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Economie du risque et de l’incertain (cle : ERIFN21)

Introduction :
Un monde risqué, on est soumis a du risque. La mise sous cloche permettait de ne pas choper le
coco. Il y a des façons d’éviter certains risque, fonctionnaire titulaire, pas de risque de chômage. Mais
dans le privé il y a le risque de licenciement, pour des raisons indépendantes, ce qui influence le
niveau de revenu.
Il y a de nombreux aléa dans la vie courante, l’assurance permet de restaurer une partie de notre
mise monétaire ou physique. Dans certains cas l’assurance est obligatoire, assurance voiture, on peut
avoir un minimum d’assurance.

Les entreprises sont soumises a des risques multiples :


Risque stratégique, liée au positionnement de l’entreprise sur le marché, a la suite de nouvelle
technologie(montre à quartz en franche comté), Sanofi renonce à son vaccin ARN messager.
Risque financier lié a la rentabilité et à la trésorerie de l’entreprise, difficulté d’approvisionnement de
semi-conducteur.

A cela s’ajoutent des risques.


Liés a la gouvernance de l’entreprise, variable selon la taille(accident du chef..)
liés à l’environnement (conditions climatiques cruciales pour les agriculteurs ;catastrophe naturelles)
Comment se couvrir contre ce type d’evenement, problème lorsque les restaurateurs ont du fermé,
l’assurance et son contrat, il n’est pas écrit perte d’exploitation a la suite d’une pandémie. (haiti,
ouragan…, pandémie)
liés à des risques opérationnels
Les acteurs économiques doivent apprendre à évaluer ces risques et à les gérer.

Cas particulier de la pandémie : Introduit une incertitude pour des professions.


Il nous a touché de façon peu prévisible et nous n’avions pas beaucoup de moyens pour y faire face.
Très grande variation des revenus qui ont été pris en charge par les administrations publiques.
Innovation médicale, télétrvail en conséquence. Traduit par des variations inattendues.

Comment prendre ces décisions en l’absence de certitudes ?


Rationnelle : objectif donné et que vous explorer tous les moyens disponibles pour y arriver
Il fat que toutes les alternayives et consequences ait été évalué.
Il faut disposer de critères d’évaluation des actions dont les conséquences ne sont pas certaines, afin
de prendre la meilleur décision parmi un ensemble d’actions dont les conséquences sont incertaines
(placement financier).
L’évaluation des risques est un sujet difficile et controversés, partisan de différente conception.
Lorsque des biens dint la valeur est aléatoire, billet de loterie, une loterie est la donné d’un ensemble
de gain possible avec les probabilités associés à ses différents gains, pour les biens dont la valeur est
aléatoire, il est facile d’évaluer lorsque ces biens s’échangent sur des marché. Si les hypothèses sont
respecté.

2) considérer comment gérer le risque


En matière d’entreprises, la gestion des risques a pour but de créer un cadre de référence
permettant aux entreprises d’affronter efficacement le risque et l’incertitude. Avoir des inspecteurs
qui viennent vérifier la conformité.
Ce traduit par un ensemble d’activités financières. Utilisés des marchés pour transférer le risque à
qqun d’autres, si on a une assurance complète permettant de maximiser la valeur.
La couverture des risques peut être assurée par différents instruments
l’autoprotection(prévention, précaution) : il s’agit de mettre en œuvre des actions
préventives(cancer du sein, prostate)
Faire disparaitre le risque.
Autoassurance : suffisamment de reserve en cas de problèmes p, 1-p

Assurance de marché : transfert de risque à l’assureur en échange de prime, (Ro,Ro-D) avant


assurance, assurance qui coute P et rembourse des dégâts D, (Ro-P,Ro-P)
Ro-D+D-P)
La compagnie d’assurance a (P(recette), P-D)
L’objet du cours est de présenter un état de connaissanc

Chapitre 1 – Risque et incertitudes


Langage courant : risque =
- danger éventuel (+ ou – prévisible)
- condition de succès (qui ne risque rien n’a rien)
- support d’une spéculation (en achetant une action, on achète du risque)
en théorie, différence entre risque et incertitudes
Distinction introduite à la même date
LA situation est incertaine, lorsqu’on ne peut affecter des probabilité aux différent résulata possible.
Incapacité à définir des probabilités
En réalité, la distinction risque/incertitude est assez stérile
On est rarement dans le contexte du risque
Les individus ont des jugements sur les chances que certaines évts se produisent, qui correspondent
à des estimations subjectives
On utilise le plus le plus souvent le concept de probabilité subjective qui correspond.
La recherche d’informations consiste a assurer la confiance que l’on peut avoir dans ces croyances.
Supposons que vous ayez à estimer la probabilité (a faire)
Confiance que vous avez dans vos croyance, topo sur le principe de précaution.
Votre probabilité subjective sera 0,5 ; faire la même chose avec une pièce, avec un escroc, normal …
on le sait pas. Probabilité=1/2 importante du point de vue opérationnel, chercher des informations
qui nous permettent une meilleur estimation de la probabilité. Pas de différence si on doit prendre
une décision finale, si le résultat dépend, vous serez prêt à payer plus en argent ou effort
d’investigation lorsque votre degré de croyance est faible, second cas de l’exemple :
a) (1/3*1)+(1/3*1/2)+(1/3*0)=1/3(3/2)=1/2=0.5
b)(0*1)+(1*1/2)+(0*0)=1/2=0.5
Il a moins de certitude dans e3 une piece à deux face, relativement grande incertitude, dans e1 il
aure pile avec certitude,
c) (½*1)+(0* ½ )+(1*0)= ½ = 0,5
On est encore moins sur que dans la situation 1, dans le principe de précaution amène à se
comporter différemment suivant que l’on prenne ou non en compte le degré de confiance.

Cohérence des croyances


Pour modéliser le risque et/ou l’incertitude, on définit 4 notion
les états de la nature
les actions et les stratégies (non destinées à acquérir de k’info sur les evts futures pour me consacrer
aux actions que l’individu doit effectivement prendre, faire un mix entre actif sans risque et actif
risqué.
Les conséquences ou résultats de ces actions vont être conditionnés par les différents états de la
nature

Les états de la nature, gel ou non gel, Pleuvra ou ne pleuvra pas E={P,NP}
Jeu de dé état de la nature 1,2,3,4,5,6

b) les actions possibles, choix entre différentes actions possibles, j’ai m actions possibles avec m
variables, défini par ai, i=1 à m. A={a1,a2,….,am}
Investir dans des obligations, actions soit dans un mix, tout obligation ou tout actions.

c) les conséquences

c11, consequences si l’individu prend l’action 1 et l’etat de la nature 1 qui prévaut


cmn, action m et etat du monde n exposte se réalise

d)Il faut un critère de décision pour choisir en l’absence de certitudes pour faire son choix,

Etude suisse, en fct des différents moyen de transport, décès pour voiture de touriste, décès en
moto…
Quand on a un risque de mourir de 1 en chemin de fer on a plus de chance de mourir en voiture, en
vélo et encore plus en moto

On peut représenter………
c11, je considere des conséquences monétaire qui est susceptible quand l’agent choisit l’action a1 et
l’etat du monde e1

On peut aussi faire un arbre, on est pas dans un jeu(théorie des jeux).
Vous pouvez

A1

E1

C11

L’ajout des proba ne modifie rien au consequence, il complete l’intitulé des colonnes états du monde
Lorsque l’on…

Action i représenter par une loterie li : probabilité a létat du monde 1,2… avec somme des proba =1
et proba entre 0 et 1

Illustration :Développer un tramway, ne rien changer, soit bus en site propre


Une demande elevee, moyenne ou faible, demande pour les transports en commun.
On fait un tableau dans lequel on rempli la matrice d’information qui décrit les gains monétaires.

On peut représenter les actions a l’aide de l’état du monde, demande élevé

Chapitre 2 Décision en univers non mesurable

2.1 Critère de la raison insuffisante ou de Laplace


MAX : action i pour laquelle le Vai va être le plus grand possible, c’est la moyenne des mes gains m(-)
V(A1)=1/3(100+50+30)=180/3=60
SQ=a2 V(a2)=1/3(65+70+40)
TSSP=a3 V(a3)=1/3(35+45+50)

J’attribue a chacun des gains possibles une probabibilité 1/3


Dans ce critère la on considere tous les biens possibles

Critere maximax
Superoptimisite
Max V(ai) = Max sur tous les ettas du monde du gain de l’action j pour tous les états du monde, et
choisir l’action qui a la valeur la plus elevee possible.
Tramway :max de 100, 50, 30 donc 100
SQ : max65, 70, 40 donc 70 …
Choisir l’action qui donne le gain le plus grand possibles parmi tous les grands gains

Critère de Wald(maximum)
Individu pessimiste et prudent
A chaque action i on attribue une valeur V(ai) egal a la valeur minimal des gains que l’on peut
obtenir.
Une fois qu’on a defini la valeur d’une action
Tramway, min 30
SQ, min 40
Bus, min 35
Max des minima est 40 pour le statut quo.
Ce critère ne prend en compte qu’une valeur pour chaque action

Le critère d’Hurwicz
alpha représente le pessimisme de l’individu et varie entre 0 et 1, ce critère considère 2 valeurs pour
chaque action, la meilleur et la plus mauvaise.
Combine les deux critères précédent. Laisse les extrêmes controlés la décision.
La valeur de l’action H(ai)=alpha*le gain min pour chaque action +(1-alpha)*le gain max pour chaque
action.
Alpha est une caractéristique propre du décideur, la valeur de l’action ai.
Si je prends l’action tramway, j’attribue
pour le tramway, V(a1)=alpha*30+(1-alpha)*100=100-70alpha
pour le SQ, V(a2)=alpha*40+(1-alpha)*70=70-30alpha
Pour le bus, V(a3)=alpha*35+(1-alpha)*50=50-15alpha
L’action choisit dépend de la valeur de alpha
si alpha=1
En fonction du degré de pessimisme du decideur on donne un poids plus ou moins elevee à l’une et à
l’autre. Chacune des actions va avoir une valeur qui décroit en fonction de alpha.
En abscisse on a alpha
Quelque soit la valeur de alpha, la valeur du statut quo est supérieur au bus et on a un choix entre la
décision d’opté pour la mise en service d’un tram ou la decision de rester dans le statut quo.
L’etat de la nature est different suivant si vous etes très pessimiste ou très optimiste.

Critère de savage
Porte sur le fait de ne pas avoir choisit la meilleur action dans chacun des états du monde. Les agents
choisissent l’action qui leur donne le regret le plus faible possible, vous pouvez ne pas avoir pris la
meilleur action pour létat du monde.
Si on anticipe e1(demande élevé) alors on choisit le tram
Si on anticipe e2(demande moyenne) alors on choisit le statut quo
Si on anticipe e3(demande faible) alors on choisit le bus

Quelque soit j=1, je considère un état du monde particulier, je determine l’action qui dans cet état du
monde me donne le plus gros gain possible.
Pour chaque action on calcul la somme des pertes réalisés.
Quelque soit l’action parmi les m possible, la valeur de l’action ai, somme des regret associé à l’action
ai, c’est la différence dans un etat du monde donné entre le meilleur gain et le gain effectif que l’on
obtient.

V(a1)valeur de l’action (a1 somme des regrets associés à l’action a1), (100-100)+(70-50(ce que j’aurai
pu gagner avec la meilleur action statut quo en e2 – ce que je gagne))+(50-30(idem)=20+20=40
Pour l’action a1, la valeur de l’action Va1 est 40, ce que je perd en ne choisissant pas la meilleur
action pour e2 et e3.

Le statut quo si je suis en e1, je perd 35 du fait que je n’ai pas choisit la meilleur action(tram).(100-
65)
En e2 statut quo serait la meilleur
En e3, bus en site propre serait le meilleur choix

Pareil pour bus


En e1, 65 de perte (100-35)
En e2 25 de perte (70-45)
En e3 0 de perte.

Critère moyenne-variabilité
V(ai)=g(de la moyenne, de l’étendu(difference entre evaluation la plus élevée et plus basse)
La valeur de l’action dépend de la forme de la fct g qui dépend du TMST entre la moyenne et la
variabilité.
La variabilité est négatif, si elle est tras grande on ne sait pas si on aura la valeur la plus grande ou la
plus faible.
Si le gain moyen est plus grand pour l’action i que lpour l’action i’, et si la variabilité est plus petite
pour i que pour i’.
On compare i à i’.
Si on est dans le cas idéal l’action a une moyenne plus grande pour l’action et une variabiité plus
petite. ON choisit celle la.
En revanche plus grosse moyenne mais plus grosse variabilité on peut prendre deux critère, on prend
R2, stratégie qui à le plus grande pourcentage de moyenne par variabilité, rapport de la moyenne sur
la variabilité
R2’,
On peut affiner le comportement en associant un poids à la variabilité lamda, celui-ci est positif et
apprait de façon négatif, on choisit l’action si la différence de moyenne sur la difference de variabilité
est supérieur à lambda.
(mi-mi’)/(deltai-deltai’)>=lambda
mi-mi’>=(deltai-deltai’)lambda
(mi-mi’)lambda>=(deltai-deltai’)
g(mi,deltai)=mi-lambda*deltai critère de choix dépendant de deux variables

Quel critère retenir ?


En l’absence d’un dictateur bien veillant

Principe de précaution

Loi Barnier brosse gîte


La seconde vision, porté par les ONG, vise à supprimer les risques

Si deux situations sont équivalentes du point de vue des proba subjective, l’individu devrait préférer
la situation sur lesprobabilités auquel il fait le plus confiance, paradoxe d’Ellsberg
Boule rouge, noir, bleu dans une urne, question a des individus, tous le monde c’est que les boules
noirs représente 1/3 des boules présente, les boules rouges et bleu représente 2/3 de ce qui est
présent dans l’urne mais l’individu ne sait pas la proprotion de boule rouge ou bleu. On propose des
paris, en lui demandant ceux qu’il préfère
tirage aléatoire avec remise, si une boule de couleur x est tirée
Proposition 1 : L1 : est ce que les individus accepte de jouer à un tirage au sort qui leur permet de
gagner 10€ si boule noir qui sort
Proposition 2 : L2 : est ce que les individus accepete de jouer à un tirage au sort qui leur permet de
gagner 10€ si c’est une boule rouge
Il prefere la premiere loterie si il pense qu’il y a plus de boule noirs à la proportion de boule rouge
L1, Proba (noir)>Proba (rouge)
1/3 > Proba (rouge)
Avec P(R) appartient ]0 ;2/3[
P(B) appartient ]0 ;2/3[ et Pr(B)+Pr(R)=2/3

L3, 10€ si boule noir ou bleue sort au tirage


L4, 10€ si boule rouge ou boule bleu sort au tirage

Réponse des individus et qu’il préfère la loterie L4


P(R)+P(B)
Si on est sur des probabilités, si P(N)>P(R)
alors
P(N)+P(B)>P(R)+P(B)

Si on choisit L1
Aversion à l’ambiguité, P(R) peut aller de 0+ à 2/3-,
Dans une situation ambigue, ils vont choisir l’action en laquelle ils ont la plus confiance
Parmi l’ensemble des possibilité, l’individu considère la pire situation dans laquelle il peut se prouver,
on modélise l’aversion à l’ambiguité, on va prendre la probabiblité qui minimise la valeur, on prend
0+. On va travailler avec des probabilités dans lesquelles on a une bonne confiance.

L’augmentation de la taxe carbone à été en partie responsable des gilets jaunes, les individus pense
des croyances sur l’effet de la taxe carbone, quand on leur donne des infos négatives du point de vue
de la taxe carbone, il tienne compte de ces informations mais avec des infos positives il ne révise pas
leur jugement.

L’aversion à l’ambiguité justifie l’utilisation d’info dont on est sur sans attendre une situation encore
meilleur.
Inconveniant : incohérence temporelle( phénomène qui consitste à revenir sur un plan d’action
optimal defini dans le passé même si on a pas de nouvelles informations).

Garde fou, lorsqu’on prend une decision ou le principe de précaution peut être mis en œuvre

Exemple d’application du principe de précaution

Chapitre 3 :
Critères amenant au critères le plus aboutit,
Les critères prennent en compte tous les résultats possible,

1. Le critère de Pascal
Soit des conséquences discrète, soi continuum de conséquences possibles.
Chaque action ai se traduit par différente conséquences qui sont considérer comme des variables
aléatoire
ensemble des consequence est discret
E(Ci)= somme allant de 1 à n de pj*cij
J’affecte à chaque gain la probabilité correspondante pj, pour chaque etat du monde j, considérer par
la probabilité jugée comme bonne
Ci est distribué selon une fonction de distribution F.
Cas continue
intégrale de -infini à +infini de c*f© dc
C’est un continuum de conséquence

Si on applique le critère d’espérence de gain,


Tram=54
Statut quo=60
Bus=44,5
On retient le statut quo selon pascal
Quand on prend le critère d’espérence mathématique, on convertit la conséquence en une fonction
mathématique.

Fonction indicatrice, si c appartient à b c’est 1 sinon 0

La primitive de C est C2/2

Le critère de markowitz

Intérêt de la variance en terme de risque


2 actions, action a1 et a2, ensemble de conséquences discret
etat 1, 1 chance sur 2 de se produire
etat 2 et 3, 1 chance sur 4

Si on prend l’étendu, 2 VA avec la même étendu, n’est donc pas un bon indicateur
La variance, la seconde variance à un plus grande varaiance de la seconde.

A2 est donc plus risqué et avec une moyenne plus petite donc a1 est mieux en tout point.

Une action dont les consequences ne sont pas certaines, qui prennent certaines avleurs avec
certaines probabilités.
LA façon dont les décideurs va prendre en compte la valeur de la variance va déterminer son
comportement à l’égard du risque dans ce cadre la.

fonction d’évaluation croissante par rapport à la valeur moyenne du gain,


Si entre deux actions dont l’espérence de gain est différente, vous préférez celle qui à la plus grande
espérance de gain.
ai croissante par rapport à E(Ci)
une fonction à deux variable veux dire
Quand ils vont comparer deu actions en ne prenant que l’espérence ils vont préférez celle avec la
plus grande espérance, précisément se traduire par la façon dont son évaluation va dépendre de la
variance.
Si vous n’aimez pas le risque, comment traite t’on le caractère variable des gains mesurés par la
variation, question posé quand on qualifie g
Vous allez avoir une évaluation d’autant plus grande que la variance sera petit.
L’évaluation V(ai) est d’autant plus grande que la variance est petite à E(Ci) donné.

V(ai)

Variance

Si g2=0 si la dérivé partielle par rapport à la variance est nulle en tout point, la variance n’affecte pas
mon évaluation, je vais avoir une évaluation qui ne va pas varier quand la variance varie, je me fiche
que mes résultat soit plus ou moins dispersé autour de la moyenne, pas sensible au risque apporter
par la variance. Gain moyen pouvant être obtenu est la seul chose qui vous intéresse

Si g2<0 en tout point, l’agent à de l’aversion vis-à-vis du risque, a moyenne des gains équivalent, il
prefere ne pas choisir une action qui lui donne une grande variance. SI les moyennes differe il peut
quand même préférer la plus petite moyenne selon le poids de décision qu’à la variance dans son
choix. Poids respectif entre le gain moyen et la variance, dépend du TMS entre les deux.
Si g2>0 en tout point, un accroissement de la variance augmente la valeur de la lotterie. La valeur a
moyenne donnée est d’autant plus grande que la variance est grande.

TMSe en évidence, qu est ce qu’on est prêt à abandonner en moyenne pour avoir une variation
unitaire de la variance.

E(Ci) moyenne des consequences


delta² de Ci variance.

La fonction g est croissante avec l’espérence mathématique des conséquence


Si l’individu ne prend pas en compte la variance dans son évaluation, la derivé de la fonction g par
rapport à la variance est nulle, individu non sensible au risque

Si la derive partielle de la fct g par rapport a la variance, qui représente comment la fonction g va
évoluer par rapport à la variance, entre 2 lotterie, l’individu choisira celle qui à la plus faible
dispersion et même si la moyenne est plus faible il peut quand même choisir celle qui a la plus faible
variance.

Lorsque la dispersion est forte, la fonction g va augmenter, sensible au risque

g determine un TMS entre le rendement(espèrence mathématique des conséquences) et la variance.

Si je suppose a v(ai) constant, si le différentiel total est nul, on peut mettre en evidence un tms entre
l’espérance et la variance qui sera g2/g1, il dit si je fais varier la variance d’une unité, que dois je
augmenter, de combien je dois augmenter l’esperence si je suis averse au risque pour avoir une
action qui garde la même valeur. Laisser l’agent au même niveau de satisfaction.

g1>0, plus l’esperence est forte plus son action aura de valeur. Comme g1>0, le signe du tms est
déterminer par le signe de la derive partielle par rapport à la variance. Déterminer leur stratégie
optimale. Banquier fait une modélisation pour voir votre rpport rendement risque, comment fait on
notre arbitrage, on peut avoir des gains très elevee ou très faible et un rendement pour une
moyenne donnée plus ou moins risqué.

On spécifie la forme de la fonction g, dans laquelle la derivé premiere par rapport à l’esperence est
égale à 1. La derivé partielle de la fct g par rapport )à la variance = -lambda.

Une augmentation de 1 de l’esperence va se traduire par une augmentation de 1 de l’évalutaion de


l’action, cette evaluation est decroissante par rapport à la variance, car (-)lambda. Lambda
caractérise l’arbitrage entre la moyenne et la variance et dans ce cas son aversion vis-à-vis du risque.
SI lambda = 0, le decideur est indifférent au risque
SI lambda>0, aversion au risque d’autant plus grande que lambda est élevé.

2 actions :
1ere loterie, 1 chance sur 2, on obtient -6 ou 10, caractérise un placement financier.
Loterie 2, 1 chance sur 2, on obtient -10 et 20.

1/2 1/2
-6 -10

A1=L1 A2=L2

10 1/2 20
1/2
Espérance mathématique de gain, la loterie 2, a un plus grand rendement en revanche elle est plus
risqué que la L1, car sa variance est de 225, et la L1 est égale à 64.
Pour que l’agent soit différent entre les deux loteries ;
V(ai)=E(Ci)-lambda*delta²(de Ci).
Evaluation de la loterie 1 est 2-64lambda
Evaluation de la loterie 2 est 5-225lambda, d’où lambda= 0,01863

Si L1 préféré à L2,
V(a1)>V(a2), la valorisation de la loterie 1 est supérieur à la loterie 2
2-64lambda>5-225lambda
Lambda>0,01863
Rejete la loterie 2 car plus risqué, lambda caractérise le fait que l’individu n’aime pas se trouver face
à des situations risqués.

Règle semblable quand on avait utilisé le critère moyenne-variabilité.

La regle 1, nous dit que ai>ai’, si l’action a une esperence mathématique de gain supérieur, et si sa
variance est inférieur à ai’,
soit une relation strict au niveau de l’esperence de gain, dans ce cela implique que quelque soit
lambda l’evaluation de l’action 1 sera superieur ou égale à action 2.
Quelque chose de positif superieur a quelque chose de négatif (« implique »)

Si esperence 1ere action supérieu mais variance supérieur, on applique la regle 2 ;


Lambda(barre) caractérise le comportement de l’agent vis-à-vis du risque, n’aime pas une dispersion
forte face à l’action. Lorsque le banquier present ela comparaison des rendements, il a en face des
individus différente vis-à-vis du risque,

Exemple sur les transaports :


Choix entre bus, tramway ou statut quo,
Espérance mathématique de gain (54,60,44,5)
Variance(604,175,27,25)
Variance la plus faible associé à un gain plus faible.
Voir comment il arbitre le gain de l’action,
La regle R1 permet de classer les actions 2 et 1, Action 2 a une esperence de gain sup et une variance
plus petite que l’action 1.

Compare statut quo a bus en site propre.


ON voit graphiquement que, avoir le choix entre statut quo et bus, en fct de la valeur de lambda, si
dans mon critere d’evluation, la variance importe peu statut quo, si la variance importe l’individu
préfère bus.

Autre exemple
Valeur de l’action 3, esperence mathématique de gain la plus élevé est aussi la varaince la plus élevé
donc R1 ne permet pas de classer les actions.
graphiquement : Aucune action ne domine l’autre en fct des valeur de lambda, le choix de l’action va
changer
Cela va plus vite graphiquement mais on peut faire les comparaisons d’évaluation.
le modèle esperence-variance. Utilisé dans le modele de finance, relativement simple te assez
intuitif, déterminer l’arbitrage entre esperence de gain(rendement) et le risque (variance),

Pas le seul critère de ce type, ce sont les safety-first, entre rendements et risque, regle qui consiste à
dire , pas de rendement en dessous d’un certains seuil.

3.3 Critere du type safety first


Le risque n’ets pas simplement evalué par la variance, mais le fait que le gain passe en dessous d’un
certains seuil t. le risque est mesuré par la proba de voir se réaliser des valeurs des gains inferieur a
un seuil t et l’ecart négatif entre ces valeurs et les seuil.

L’approche du risque est mesuré par le concept de semi variance, dénomination associé à ce critère.
Delta²-t avec t seuil en dessous duquel vous évaluez que la situation est risqué. Ce qu’on appelle la
semi variance par rapport au seuil t.
f(c) fct de densité de la va c(tilde) distriubuée sur [a,b]
variance=intégrale(de a à b) (c-esperance))² f(c)dc.

Variance (t)= intégrale (de a à t) (c-t)² f(c)dc t remplace espérance de C

Vous tronquez l’intervalle des possible de a à b remplacé par a à t.

Pour prendre en compte le risque, vous ne le calculer que sur les valeurs des gains potentiels < seuil t
t<b
Ecart mesuré par rapport à t et par rapport à l’esperence. Risque calculé à partir de la semi variance

Dans le cas discret, la semi variance est défini par somme de pj(cj-t)² avec j tels que cj<t.

Espérance, variance V(ai) = t(Ci) – lambda* delta²

esperance, semi variance au seuil t V(ai)=t(Ci)-lambda*delta²(t) avec lambda=1

C1j P2j C2j


P1j

0,2 2 0,01 -17

0,3
0,49
L1 7 L2 10

0,5 0,5

13 11

E(C1)=9 E(C2)=10,23

Variance=19 Variance=7,737
Action 2 a une plus grande esperance et une plus petite variance si t=0, dans el cas safety first, du
point de vu du critère de safety first action 1 non risqué(pas de négatif), action 2 a une valeur négatif,
donc possibilité de gain négatif donc risqué. Son gain devient négatif, action 1 préféré à l’action 2 car
toutes les richesses sont positives dans l’action 1.

Autre façon d’évaluer le risque

dans le cas de l’action 2,

Calcul de la semi varaiance, en faisant le carré de l’écart négatif et je le multiplie par la probabilité
d’obtenir la valeur négatif, si je prends ce critère, l’évaluation de mon action, esperence de gain –
lambda*variance= 7,34
La semi variance au seuil t est à 0 car aucune valeur en dessous de 0
V(a1)=Espérance de gain=9
V(a1)>V(a2) action a1 préféré à l’action a2, le risque vient diminuer l’attraction de l’action 2 dont
l’esperence mathématique de gain était supérieur entre variance et esperance.

Déviations des gains par rapport au gain moyen.

Questionnaire d’une banque.

3.4 Le critère de l’espérance mathématique d’utilité.


Un critère fondamental de l’analyse économique, les limites empiriques de ce critère et la suit e des
développement théoriques et expérimentaux développé.

Des changements dans un stimulus ne provoque pas nécessairement de changement de même


nature dans les mêmes proportions.

Même variation de richesse ne donne pas la même niveau de satisfaction suivant son niveau de
richesse.
Ce qui est objectif est la richesse de l’individu.
Satisfaction a laquelle on associé au niveau de richesse et l’utilité considérer détermine notre
comportement à l’égard du risque.

Plus la richesse est élevé et plus votre satisfaction attaché au fait de détenir votre richesse est élevé.
Attitude vis-à-vis du ro

Le passage de l’objectif au subjectif va se faire par le biais d’une transformation. Plus l’individu
obtient de la richesse, plus sa satisfaction est grande.
LA croissance peut se faire en décélérant, en accélérant ou de manière linéaire. La forme de la
fonction traduit l’attitude vis-à-vis du risque.

Axiomatique de l’éspérence d’utilité


Le critère d’espérence mathématique peut ne pas être suffisant dans un monde incertain. On
considère un exemple : Billet de loterie (100€ gagné si un nombre pair sort parmi 1à10,1/2 chance de
gagné), l’espérence de gain est ½*100€=50€, on paie le ticket au maximum 50€. Ce critère
d’espérence mathématique associe a la loterie L, une utilité u(L), défini par l’espérence
mathématique de gain dans le cas général, si j’ai n gain accessible est bien l’évaluation est la somme
de sproduit d’obtenir le gain cj par le gain cj.
L’évaluation est non conforme au comportement observé, le paradoxe de St Pétersbourg. Un jeu de
pile ou face, dans lequel on montre que le sagents ne se conforme pas au critere de l’exspérence de
gain. 2^n si on a face qui sort pour la première fois au n-ième(Pile ;Pile ;Pile … Face), on peut avoir
aussi la séquence Face, ou Pile Face ou Pile Pile Face. Avec n de 1 à infini. Revient à Mettre deux
euros dans une urne et a doubler le montant dans l’urne tant que face n’est pas sorti et dès que face
sort, on remporte le gain.
SI on prend le critère d’espérence mathématique de gain, U(L), lim quand l tend vers l’infini de..,
somme infini de 1 qui a pour valeur +infini et ½^j est la probabilité que face sorte au jème coup.
Le problème du critère de l’esperence mathématique de gain est qu’il ne distingue pas l’aléatoire du
certains, quad on fait l’espérence de gain on ne distingue pas le risque.
Bernoulli, évaluation de la loterie, il a fait deux rélexions :
-[…]
-utilité pour le gain croissante, u’>0 donc fct croissante mais utilité marginale décroissanet, une
même augmentation du gain procure de moins en moins de satisfaction a mesure que les agents
s’enrichisse,

A>B

U’>0 Décroissant

U’’<0

richesse
Utilité marginale de la richesse devient de plus en plus petite, elle est décroissante.
La fonction u est une fonction concave qui se traduit par une utilité marginale de la richesse
décroissante.
Bernoulli arrive à une utilisation de la richesse qui est une utilisation de la loterie,
U(L)=lim(n->infini) somme des ½^j*2j lui transforme le gain comme une utilité du gain u(2j)

Exemple de u(.)=Ln(.)

Hypothèse de comportement qui fait que les individus traduisent la richesse comme une utilité de la
richesse, quelque chose de plus proche de ce que les individus serait prêt à mettre, spécification de la
forme de la fonction. Si on prend la fonction racine on aura un résultat différent.

Valeur de l’action, on cherche l’action a pour laquelle la valeur a est la plus grande possible, a a est
associé un ensemble de variation monétaire et la loterie va avoir une utilité est celle-ci est somme de
j=1 à n de pj* u(cj).
On peut expliquer pourquoi les individus accepte de payé une prime d’assurance, elle permet
d’expliquer pourquoi même des agents avec des aversions à l’egard du risque peuvent faire des
placements, pour une partie en placement sur et une partie ne placement risqué.
Faire des expériences et avoir un resultat sous le paradoxe d’Allay. Permis d’espliquer en essayant de
voir si on peut expliquer le comportement des agents qui va concerner à regarder ce qu’il se passe
vis-à-vis des probabilité.
L choix de la loterie qui nous donne la plus grande utilité pour une fct U donné constitue l’hypothèse.
La forme de u caractérise l’attitude vis-à-vis du risque.

Si on prend la fonction racine carré(cj), fct concave qui évolue sous la première bissectrice

utilité U(c)=c

U(c)= racine carré de c

c
On remplace u par la fonction racine. Ici il choisit le statut quo, plus grande utilité.

Le critère ne transforme pas les probabilités, celles-ci sont traités sans transformation.

Autre illustration :
Action 1 : une loterie dans laquelle on peut gagner 10000 avec une probabilité de 1
Action 2 : Gagner 2 ou 22000 à 0,3 et 0,7
si on les compare par l’esperence math de gain :
associé à L1=10000
associé à L2=0,3*2+0,7*22000=15400,6
Ici on choisirait juste la loterie 2 selon ce critère.
Si on prend la variance :
Variance loterie 1=0
Variance loterie 2=1,02*10^8.
Si on prend le gain moyen on choisit loterie deux, en revanche
U(L1)=1*Ln(10000)=9,21>U(L2)=0,3*Ln(2)+0,7*Ln(22000)=7,20
La loterie 1 est préféré à la loterie 2 bien que le gain moyen soit plus grand dans la loterie 2, même
résultat qu’avec le critère moyenne-variance.
Action 1 pas de risque, action 2 a une variance élevée. Se trouver à 22000 fait qu’on à une variation
d’utilité qui est moins forte que dans les utilités très basse puisqu’au fur et à mesure que l’on
progresse sur la courbe l’utilité diminue.

l’existence de la fonction d’utilité de Von Neumann-Morgenstern, ses axiomes sont identiques aux
axiomes vus quand on fait du microéconomie du consommateur pour certains.

L’agent sait ordonnées les conséquences monétaires(3>2 ex), on va essayer d’émettre une
préférences sur les loteries, ensemble de loterie possible,
On travaille avec deux bien choix entre :
{(x11,x21),(x12,x22)…,(x1n,x2n)} x2
On choisit entre des actions risquées caractérisé
par des loteries, dans l’incertain au lieu de choisir
des paniers de bien, on choisit de loterie
S={L1,L2,L3}

On considère un agent rationnel qui va satisfaire un certain nombre d’action. x1


On suppose que les axiomes sont complétés.
Complétude : si on prend deux loteries sur L, l’agent est capable d’exprimer ses choix : soit L’>L ou
L’<L ou L’=L., quand l’individu est face a des choix, il est capable de dire qu’il préfère cela a cela, mais
il n’est pas incapable d’exprimer des préférences.

Transitivité : si on considère trois loterie L,L’ et L’’’, si on préfere L à L’ et L’ à L’’’


alors on préfère L à L’’’.

Pour que la fonction d’utilité on va introduire deux axiomes supplémentaires,


continuité : on la dans la décision dans le certains
Indépendance, pas dans le certains. Quand on fait des expériences, les choix peuvent ne pas être en
cohérence avec cet axiome

Axiome de continuité :
Si on prend trois loterie, L,L’,L’’. alors il existe un nombre a compris entre 0 et 1 et un nombre b entre
0 et 1 tel que L’ est compris entre L et L’’ et la loterie composée avec L et L’’ avec des proba a et a-b,
l’individu est face a une loterie L qui donne des gains monétaires avec proba, et L’’ gain avec autre
proba, on va être face à la loterie L avec proba B et L’’ avec la proba 1-B, donc probabilité composée.
Si on a trois loteries on peut trouver des coeff a et b.
Si a=1 on la loterie L avec proba 1 et L’’ avec 0 donc préférence d’origine.
Si b=0 pour que l’ordre des pref entre L et L’’ ne soit pas changé avec la loterie la plus apprécié.

Pas de renversement dans les choix.

L’ordre lexicographique, ordre des choix dans le dictionnaire, on cherche la premiere lettre en
premier puis la seconde puis ….. compare des pairs et des triplets en comparant la premiere
composante puis une fois fini on ne compare que la seconde ….
Préférence rationnel au sens ou elles sont complete et transitive, l’agent sait ordonné les
loterie(continuité),

axiome d’indépendance,
On prend a entre 0 et 1 qui permet de faire des lotteries composé, si on prefere L à L’ alors on doit
preferé la loterie qui combine L à L’’ avec a et 1-a a la loterie qui combine L’ à L’’ avec les mêmes a.
l’ordre sur L et L’ est conservé quand on combine L avec L’’ et L’ avec L’’.

Si L>L’ alors il préfère aL+(1-a)L’’ > aL’+(1-a)L’’


On nous donne le choix de participer a un tirage au sort a pile ou face qui nous permet d’être face à
la loterie L si pile et L’’ si face sort.
Un premier tirage
aL+(1-a)L’’
Si pile sort avec proba a on choisis L
Si face sort avec proba 1-a ont choisi L’’

On joue a un deuxième tirage


aL’+(1-a)L’’
Si pile sort avec proba a ont choisis L’
Si face sort avec proba 1-a ont choisi L’’

Si pile sort on choisi le premier tirage


Si face sort on est indifférent

Les deux axiomes font appel à une loterie composée, dans l’axiome d’indépendance
Une loterie composé est une loterie dans laquelle vous êtes face à la loterie L1 avec proba alpha 1 et
Loterie Lm avec alpha m de probabilité.

Dans la loterie composé la proba que j’ai le gain cj est pjr .

L1=(1,0,0 ;c1,c2,c3)
L2=(1/4,3/8,3/8 ;c1,c2,c3)
L3=(3/8,1/4,3/8 ;c1,c2,c3)
Probabilité d’être face a la conséquence c1,c2 ou c3

La rpoba d’avoir c1 si on est en L1=1/6*1


La proba d’avoir C1 si on est en L2=3/6*1/4
La proba d’avoir c1 si on est en L3=2/6*3/8
Et on les additionne : ce qui nous donne 20/48

Dans les axiomes qui permettent de passer des pref sur les loterie a l’utilité des pref. L’axiome de
continuité est le même que dans l’analyse dans le certains
L’axiome d’indépendance est spécifique à l’incertitude, il ne ressemble à rien de ce qui est en
certains.
On a un sens d’avoir l’indépendance car lorsqu’on est face au loterie on est face à une loterie ou
l’autre mais pas les deux en même temps.

Théorème : rationnelle(complète et transitive), quand on dit qu’on préfère L à L’ on peut le


représenter par un nombre d’utilité supérieur pour L que L’.

Une fonction u de l’ensemble des réels dans l’ensemble des réels. Tel que la fonction U, de
l’ensemble des loterie sur l’ensemble des réel.
Si on préfère L à L’ alors Utilité L>Utilité L’.

On n’a pas qu’une fonction d’utilité U.


Qu’on utilise u ou h, le choix de l’action sera le même, on n’aura pas les même score d’utilité mais le
même choix.

Fonction d’utilité cardinal. Des choix dans l’incertain, on a un agent qui se comporte comme s’il
maximisait la valeur moyenne d’une fonction et les compare.

Les différence d’utilité ont un sens :


u1 avec c1, u2 avec c2 …

Dominance stochastique de premier ordre


On a une fonction croissante -> u’>0
On ne se pose pas de question sur les préférences de l’individu vis-à-vis du risque. Utilité croissante
avec la richesse.

3 loterie
L1(0,2 , 0,5 , 0,3 ;6,10,14)
L2(0,1 , 0,4 , 0,5 ;6,10,14)
L3(0,2 , 0,5 , 0,3 ;7,13,16)
L2 différent que L1 par les proba, même richesses
L3 diffèrent de L1 par les richesses, même proba

Théorème : c(valeur d’un gain). Fonction de distribution cumulé est plus grande avec L1 qu’avec L2

Fonction de distribution cumulé somme des proba de ci pour tout ci<c.


Si on peut nous trouver face a des distributions avec même proba et gain plus élevé, on connait
l’ordre.

Aversion à l’égard du risque.


Quand on prend un critère moyenne-variance si on accord un poids négatif a la variance cela se
traduit par un comportement risqué(on n’aime pas le risque(aversion)).
utilité

B
A=B
A

richesse

utilité

A A<B

richesse

Face a une loterie avec des gain variable et prob a, 1-a, on nous demande quel est la valeur de la
richesse qui pour nous est équivalente au fait de nous trouver face à la loterie.
La comparaison entre la richesse moyenne et l’équivalent certains caractérise le comportement à
l’égard du risque.

0<P<1 car si on a 0 ou 1 on a plus d’incertitude


Concave, l’utilité qui est égal à 1*u(Ey)
Utilité de l’équivalent certains=pu(ym)+(1-p)u(yn)
Quand on est face à une loterie, on se demande ce que cela rapporte en gain moyen Ey, si
l’équivalent certains Ec.
Si on a de l’aversion à l’égard du risque, on préfère recevoir de façon certaine le gain moyen de la
loterie plutôt que de faire face à la loterie elle-même. Si EC<Ey donc U(EC)<U(Ey)

Explication graphique
On a une fonction concave et une loterie simple :
Avec une proba ½, votre richesse est R0+X
autre proba ½, richesse R0-X
Utilité de la loterie, équivalent certains est l’abscisse associe a U(L)
Equivalent certains inférieur au gain moyen R0

Préférence pour le risque, convexe


Mon équivalent certains est supérieur au gain moyen R0

Notion de prime de risque, comment la définir

La prime de risque est la différence enre Ec et EY qui peut être positive ou négative en fct de
l’aversion au risque
Utilité de Ey-pi(montant que je suis prêt a abandonné)=U(L)=u(Ec) comme u est croissant on a une
seul valeur de Ey=Ec donc pi=Ey-EC

Illustration

Si l’individu a de l’aversion au risque, l’utilité de sa loterie est 99/100*u(21000)+1/100*U(15000), si


on utilise une fonction racine pour u : 99/100*sqrt(21000)+1/100*sqrt(15000)=144,7
L’équivalent certains EC est la loterie Lc(1,EC), somme des pi*u(ci)=1*u(EC)=sqrt(EC)=144,7
(sqrt(EC)²=EC=144,7²=20938,1
Prime de risque positive, montant que l’on accepte de retirer du gain moyen pour obtenir un gain qui
est équivalent au gain de votre loterie, Pi=Ey-EC=20940-20938,1=1,9
Payé une prime de risque est qqchose qu’il faut rajouter pour que les acteurs ait envie de prendre
part à la loterie.

Mesure de l’aversion à l’égard du risque

Arrow-Pratt, on module le u’’ par u’


Il n’y a pas qu’une seul façon de mesurer l’utilité d’un agent.
A(y), richesse initial y + gain variable x(barre),
multiplicatif : y(barre) richesse final= y(richesse initial)*(1+x(gain variable).
Prime de risque= Ey-EC

Prime de risque avec coefficient de proportionnalité qui s’applique à la variance =A(y)/2


Prime de risque pour risque multiplicatif, proportionnelle a la variance de la loterie=R(y)/2

Skipper démonstration(vers p.80)

Aversion à l’égard du risque et richesse

L’Etat est son propre assureur, lorsque notre dame a brulé, c’est l’Etat qui auto assure le bâtiment.
un individu quand il est plus riche a une aversion à l’égard du risque qui diminue, plus a même de
prendre des risques, la modalité d’évaluation que l’on étudie lors d’expérimentation avec individus,
on a besoin de savoir comment les agents se comporte à l’égard du risque, la méthode de Holt-
Lawrie.

H1 :lorsque la richesse d’un individu augmente cet individu regretterai moins une loterie inversé.
H2 :

Aversion relative au risque varie avec y, on utilise la dérivé, si + elle croit si – elle décroit si 0 alors
aversion relative au risque constante. = Aversion absolue au risque + richesse*Dérivé de l’aversion
absolue au risque,

L’effet de la richesse sur l’aversion pour le risque H1, une augmentation de la richesse augmente la
variance de la richesse(= variance du terme variable * carré de la richesse²) donc. L’effet de la
richesse sur le risque, l’effet risque n’est jamais dominé par l’effet richesse selon H2

Fonction d’utilités usuelles

Utilité de la loterie est égale à somme des j de 1 à n * niveau de richesse que l’on peut obtenir, pj
proba associé à ses conséquences monétaire.

Fonction d’utilité quadratiques, caractérise le comportement d’un agent avec un comportement


moyenne variance, utilité d’autant plus grande avec la moyenne des gains et décroissante avec la
variance de la loterie.
u(y)=y- β *y² avec β >0
u’(y)=1-2*Beta*y >0
β <1/(2y) => 0< β >1/(2ymax)
A(y)=(u’’(y))/u’(y)=(2 β)/(1-2* β *y) >0
A(y) croit en y.

R(y)=A(y)*y

U(L)=Espérance mathématique de u(y(tilde) or u(y(tilde))=y(tilde)- β (y(tilde)²)=E(y(tilde)- β


(E(y(tilde)²).
sigma² (y(tilde))=E(y(tilde)²)-E(y(tilde)²)
=> E(y(tilde)²)=∂²(y(tilde))+E(y(tilde))²

=E(y(tilde)- β(∂²*y(tilde)+E(y(tilde)²)
=E(y(tilde)- β∂*y(tilde) – βE(y(tilde))²
=E(y(tilde)- βE(y(tilde)²- β∂²*y(tilde)

Fonction de E(y(tilde) fonction de la variance

Critère safety first peut être représenté par u(.)


u(y)=y si y>t on
u(y)=y-k(y-t)² si y<t et k>0
Si t>>y A(y)=0 u(y)=y si y>t u’(y)=1 u’’(y)=0
Si y<t A(y)>0 u(y)=y-k(y-t)² si y<t et k>0
U(L)=somme de pi*yi un comportement de neutralité vis-à-vis du risque
t
U(L)= ∫ ¿ ¿
−∞

Valeur de y<t valeur de y>>t E(y(tilde) ∂²(t)

U(y) E(y(tilde)-k∂²(t)

CRRA
1−r
y
U(y)=
1−r

La fonction CARA

U(y)

Y
La décision dans le risque et l’incertain comment les agents font des choix parmi un ensemble de
situation risqué auquel ils font face, implique des choix particulier entre les différentes actions
risqués. Comment représenté les choix des individus dans l’incertain, les fonction d’utilité symbolise
des risque d’aversion en fct du risque et symbolise les choix.

CH4 Applications (feuille)

L’assurance individuelle
Payé une prime pour faire disparaitre les conséquences du risques.
montant qu’on est prêt a payé pour se trouver dans une situation d’indifférence avec la loterie.
Face à une action risquée, vous pouvez évaluer votre gain moyen
Si vous êtes risque averse, vous préférez recevoir ce gain moyen de façon certaine plutôt que d’être
face à la loterie,
Utilité du gain moyen> Utilité de la loterie :(feuille)(1)

Inconditionnelle, ne dépend pas de l’état du monde, payé en contrepartie d’un remboursement Q,


c’est un bien contingent, bien dont la valeur dépend du fait qu’une action ne se produise ou pas.
Prendre en compte le temps on travaille avec marché à termes.

Soit un individu maximisateur d’espérance d’utilité, il est face à une loterie L=(p ;1-p ;ym ;yn) ou yn
est la richesse initiale.

Individu dans une situation risqué, avec proba p, la richesse Ym et proba 1-p, la richesse Yn
Proba P qui est la proba d’accident, il a un dommage D et richesse Yn-D=Ym.

L=(1/2 ;1/2 ;Ym=50 ;Yn=150) D=100

Espérance mathématique de la loterie


u(L)=1/2*u(50)+1/2*u(150) avec u(.) concave
Le milieu du segment entre u(150) et u(50), sur l’axe des abscisse on trouve l’équivalent certains.
u(Equivalent Certains)<U(richesse moyenne)
U(EC)=93,3 se traduit par l’existence d’une prime de risque positive, qui est la différence entre EC et
richesse moyenne.
IL préfèrera une richesse moyenne de 100 plutôt que d’être face à la loterie. U(EC)<u(100)
1 1
Si u(y)=√ y u(EC)= √ 50+ √150 l’individu est prêt à payer 6,7 pour éviter le risque.
2 2
L’agent à t’il intérêt à s’assurer.
L’agent s’assure si son utilité avec assurance > Utilité sans assurance

On connait l’utilité sans assurance : U(L)= p ×u ( ym ) + ( 1− p ) ×u ( y N ) =u(EC )

Utilité avec assurance : pM prime d’assurance payée pour obtenir un remboursement complet du
dommage=D. pM=Prime maximale

Si l’agent s’assure : utilité de la loterie associée à l’assurance


(p ;1-p ;(yM -pM+D) ; yN-pN)
(p ;1-p ;yN-pM ;yN-pM)
=(1 ; yN-pM)
U(yN-pM)
PM est telle que l’individu est indifférent entre s’assurer ou non
U(yN-pM)=u(EC)
=> EC= yN-pM => pM=yN-EC
si prime p<PM l’agent préfèrera strictement s’assurer.

Assureur : moins risque averse que l’assuré


-> On suppose qu’il est neutre à l’égard du risque, s’il est neutre : u(y)=y -> utilité marginale
constante si pas d’assurance : π =0
Si l’assurance L : (p,1-p ; PF-D ; PF)
u(L)=p(PF-D)+(1-p)*PF=PF-p.D
PM=Prime maximale que l’assuré accepte de payer
PF : prime maximale que la compagnie d’assurance accepte l’assurance n’aura lieu que si pM>pF

prime

PM PF

PF/ 0=PF-p.D=>PF=P.D=p(yN-yM)= yN-E(y(tilde))

AAABBBBBBB

A La=(1/10 ;9/10 ;2 ;1,6)

+1/10 ;-1/10 -> au fur et à mesure des différents choix


B Lb=(1/10 ;9/10 ;3,85 ;0,1)

+1/10 ;-1/10

U(2)=2 U(1,6)=1,6
A p*u(z)+(1-p)*u(1,6)
avec p = proba d’avoir le gain élevé

si u(.)=Id -> espérance de gain


A>B si 2*p+1,6*(1-p) > 3,85*p+0,1*(1-p)
p=0,45

Si p<0,45 : A>B
Si p>0,45 : B>A

probabilité de choix A

0 0,1 0,2 0,3 0,4 1/2 0,6 0,7 0,8 0,9 1 p

Fonction moyenne variance : espérance de gain – lambda*Variance


Dans ce cas, A>B pour des valeurs de p>0,45

B p*u(3,85) + (1-p)*u(0,1)
si u(.) traduit l’aversion

A>B si 2*p+1,6*(1-p) – Epsilon A> 3,85*p+0,1*(1-p) -Epsilon B


Avec Epsilon B> Epsilon A
1−r
x
v ( x )= si r ≠1
1−r ❑
u ( x )=ln ( x ) si r=1
Si r=0 u(x)=x neutralité A>B si p<0,45
Si r=-1,713 A>B si p<0,1
Si r=0,146 A>B si p<0,5
Si r=0,411 A>B si p<0,6

4.2 La mutuelle des risques.


On a un très grand nombre de véhicules et dans ce type d’assurance, l’activité d’assurance est
mutualisée, tout le monde paie une prime d’assurance mais les dégâts sont payés par tous

Une assurance ça n’apparait que quand il y a un risque possible. Si la loi des grands nombre
s’applique ce que va rembourser l’assurance sera un nombre fini. Quand on a un accident de voiture,
la probabilité d’avoir des accidents de voiture sont indépendants, quand les conditions climatiques
deviennent mauvaises, proba d’accident soumises a une causes communes. Dans une épidémie les
risques sont corrélés, donc en générale le problème c’est qu’il y a des clauses dans l’assurance. En
cas de catastrophe naturelle les assurances font appel à des sociétés de réassurance, marchés
financiers qui interviennent avec des titres liées à des phénomènes naturelles, traités par les sociétés
de réassurance, par l’Etat. Avec l’IA les compagnies d’assurances en savent plus sur vos risques que
vous-mêmes.
L’individu ne sait pas à l’avance s’il aura ou non a bénéficier du transfert financier.

Perdre une somme S


remboursement égal à S si le risque survient et égale à S
La prime actuarielle égal à la fréquence des sinistres va être égale à S

Lorsque les individus mutualisent les pertes, lorsque le nombre d’assuré tend vers l’infini la richesse
finale de chaque individu. Quand on mutualise les risques chaque membres qui fait partie de la
compagnie était confronté à une richesse certaines W-pS, le risque est éliminé.

Nombre moyen de sinistres : 100000/1000(ou *0,001)


20000000/100000=200
prime d’assurance est égal au remboursement individuelle=200

Problème de sélection contraire :

Sélection adverse -> sélection contraire, antisélection


C’est une variable exogène qui est une donnée
Dans le cas de l’aléa morale, les agents choisissent un comportement
Variable endogène -> influencer votre probabilité de dommage (ex ante)
-> Jouer sur le montant des dégâts (ex post)
Contrats séparateur : on va proposer aux individus différents types de contrats pour les hauts et les
bas risques et ils choisissent le contrat qui leur convient en fonction de leur choix entre haut risque et
bas risque. Ils doivent être conçu pour que chaque type d’individu prenne le contrat qui lui destiné.

Conception des contrats doit satisfaire 2 contraints


Contrathaut risque Contratbas risque
Utilitéhr Utilitébr
Uhr(Chr)>=Uhr(Cbr) Contraintes incitatives
Ubr(Cbr)>=Ubr(Chr)

Uhr(Chr)>=Uhr(non-assurance) contraintes de rationalité individuelle


Ubr(Cbr)>=Ubr(non-assurance) C

Incertain : choix risqué et critère de décision qui permettent de faire un choix parmi ces actions
risqués.

Choix de portefeuille : façon dont on va repartir la somme d’argent dont on dispose entre différents
actifs qui sont plus ou moins risqués.

Placement dans un actif sur, fraction de richesse ; montant m, choisi entre rien :0 ou montant
total :w. il rapporte m(1+i)

Placement en actif risqué : a=w-m part de la richesse placé dans l’actif risqué, rapporte un
rendement aléatoire. Le rendement ne dépend pas de la part de richesse placé en actif risqué. Mon
rendement distribué de façon continue entre un rendement min et un rendement max.

W=m+a

A peut varier a son tour entre 0 et w.


Si a est égal à 0, l’individu place tout en actif sur.
Si a est égal à w, l’individu place tout en actif risqué

Interprétation économiqe :

On soustratit du rendement brut de l’actif x(tilde) son cout d’opportunité mesuré par le rendement i
de l’actif sur.

On peut prendre le critère d’espérance mathématique d’utilité qui dépend seulement de la


différence entre le rendement moyen de l’actif risqué et du taux d’intérêt.
Si la dérivé est négative on place tout en sur
Si la dérivé est positive on place tout en risqué

Le critère d’espérence mathématique n’est pas un très bon critère.

Critère espérance variance :


On optimise par rapport à a, on a une CPO qu’on annule
Et dérivé seconde négative donc concave
On a un maximum quand la dérivé est nulle.
On a une valeur de a*.

Le critère d’éspérence mathématique d’utilité :


Fct concave car u’’ négatif
Notre valeur optimale est CPO=0

Différentiel de l’actif risqué(x(tilde)-i)

TRUC DE PROTEFEUILLE

PAS AU
PROGRAMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMME

Modéliser l’irrationalité est compliqué, trouver des modeles alternatif

Modele d’utilité non espérer : théorie prospective


espérance mathématique d’utilité : V(p1,p2,……,pn ;c1, c2, ……,cn)
neutralité : Somme des pi*ci
Si aversion ou préférence : somme pi*u(ci)
Si concave on est averse au risque(utilité marginale décroissant, variation de mon utilité est plus
petite), on préfère avoir le gain certains plutôt que de jouer à la loterie.
SI convexe on a une préférence au risque(utilité marginale croissante,
la fct d’espérance mathématique d’utilité est linéaire par rapport au probabilité.

Si on a une aversion ou une préférence du gain, on change la fonction, gain monétaire passe à la
satisfaction de recevoir ce gain.

Chapitre 5 : Economie comportementale et décision dans l’incertain


axiomes d’indépendance et axiome de transitivité
Démarches inductives : a partir de la façon dont les agents ce xomporte, est ce qu’on peut en tirer
une théorie.

Le paradoxe d’Allais(axiome d’indépendance)


Faire deux choix entre deux paires de lotteire, choix
Q1 entre loterie A et B et
Q2 entre C et D.

Q1 :
La=(1 ; 3000)
Lb=(2/10,8/10 ;0,4000)

Q2 :
Lc=(75/100, 25/100 ; 0,3000) ou Lc(3/4, ¼ ; 0,3000)
Ld=(80/100, 20/100 ; 0,4000) ou Ld(8/10, 2/10 ; 0,4000)

L’expérience montre qu’une majorité d’individu préfère A à B et D à C : A>B, D>C

Loterie L0=(1 ;0)


Lc=(1/4, ¾ ; La, L0)
Ld=(1/4, ¾ ; Lb, L0)

Si A>B, alors d’après l’axiome d’indépendance C>D

Lc=3/4*1+1/4*0,1/4*1+3/4*0,0*+0*,0*+0*
(3/4,1/4,0 ;0,3000,4000)

Somme des pi*u(ci) : Va=1*u(3000)>Vb=2/10*u(0)+8/10*u(4000)

En terme d’esperance mathématique d’utilité, les préférences mathématiques ne correspondent pas


avec le critère.

On va discorder les proba pour donner plus d’importance dans vos choix aux éléments les moins
probables, biais psychologique

Axiome de transitivité(Loomes et al(1991))

Q1 puis Q2 puis Q3

Paradoxe d’Ellsberg

Marschack et Savage

Analyse comportementale des individus, kahneman, rôle dans la prise de décision risqué elle-même
et les expériences réalisés, un rôle dans les développement ultérieur.
Comment les individus juge les probabilités auquel ils font face

Ils ont mis en évidence un biais dans les comportement, biais de cadrage, qui traduit le fait que des
individus ne vont pas se comporter de la même façon suivant qu’il est présenté de façon positive ou
négative. Si un problème est présenté en termes négatifs, préférences pour le risque
Problème en termes positids, aversion pour le risque

Convexe en zone de perte, préférence pour le risque, l’individu préfèrera se trouver face à une
loterie avec différentes pertes plutôt que de recevoir de façon certaines une perte.

Aversion ou préférences pour le risque va se traduire par une comparaison entre la loterie et le gain
moyen (ou la perte moyenne) de cette loterie.
Si préférences pour le risque, la fonction d’évaluation des gains sera convexes
Si aversion pour le risque, la fonction d’évaluation des gains sera concaves

Gain

Q1 : On possède une certaines richesse et on suppose que vous êtes plus riche de 300$
qu’aujourd’hui
A : Vous préférer un gain certains de 100$
B : Ou loterie, 50% de chance de gagner 200$ et 50% de chance de gagner 0$.

Q2 : agent de 500$ plus riche qu’aujourd’hui


A’ : perte certaines de 100$
B’ : loterie, 50% de chance de perdre 200$ et 50% de chance de perdre 0$

A. W0+300+100=W0+400

Q1. W0+300 200*1/2 -> ½(W0+300+200) -> W0+500*1/2

B. W0+300+

0*1/2 -> 1/2 (W0+300+0) -> W0+300*1/2

A’. W0+500-100= W0+400

Q2. W0+500 200*1/2 -> ½(W0+500-200) = W0+300*1/2

B’. W0+500

0*1/2 -> ½(W0+500-0) = W0+500*1/2

Construire une formalisation.

Si on est en zone de perte, on peut perdre 100 de façon certaines, on peut certes perdre le double
mais aussi la possibilité de ne rien perdre qui joue un rôle important. On peut soit perdre 100 de
façon certaines, soit avoir moins de 100 ou ne rien perdre du tout. La compréhension de ce
comportement a permis d’expliquer des comportements en finance.

5.3 la théorie des perspective


Loterie (p1,p2 ;x1,x2) x1<x2

L’=(p1,p2; x1+Epsilon1, x2+Epsilon2) Avec Epsilon1 et Epsilon2>0

L’’=(p1’,p2’;x1,x2)

avec p1’=p1-delta et p2’=p2+delta p1’+p2’=p1+p2=1

L’ et L’’ dominent L au sens de la dominance stochastique de 1er ordre L’>L et L’’>L

X0=point de référence = 0 x0<x1<x2<…<xn plus grands que x0

x-m<…<x-2<x-1<x0 plus petit que x0

Dans la théorie de l’espérance mathématique d’utilité, de -m à +m


v porte sur les gains mais pas sur la richesse finale.
n
V ( L )= ∑ πi∗v ( xi ) fonction valeur
i=−m

Pondération

La fonction valeur traduit les trois hypothèses traduit plus haut, elle est concave pour les gains et
convexes pour les pertes
α
V(x) V(x)=x V ( x )=x pour x> 0 avec α=0 ,88
α
V ( x )=−γ (−x ) pour x <0 avec γ=2 , 25

sans déformation

πi=w(p) -> w(p) = p (pas de déformation psychologique)

p
Le modèle RDEU

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