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Raphaël Zarca / Ysé Ferrari

Sujet n°3 : Qu’apporte la nature à Rousseau ?

Dans les Rêveries du promeneur solitaire, Jean-Jacques Rousseau fait part de son désir
de couper tout contact avec l’extérieur pour accéder à une paix, une tranquillité qui lui est
propre, pour trouver le bonheur lui-même. Cependant, lors des nombreuses promenades qui
constituent l’œuvre, l’auteur prête une certaine attention à ce qui l’entoure, à son
environnement, et, dans la cinquième promenade, plus particulièrement à la nature. En effet,
dans cet extrait, la nature n’est non seulement mise en avant, elle constitue également une
source de bonheur intarissable pour l’écrivain.

Tout d’abord,

Qu’apporte la nature à Rousseau ?

Vocabulaire mélioratif
Personnalisation
Sensibilité
Joie
Procure de la jouissance
Vocabulaire de l’agréable, de la rêverie, le soir, la nuit
Exaltation mais paisible
Plaisir transmis
Dresse le portrait de là où il est
Peintures de paysages
Solitaire qu’il voit la nature, qu’il la remarque
Le mouvement de l’eau, bruit continu
Souvenirs heureux
Il ne s’en remet qu’à ses sens,
Contempler, ressentir
Sa conscience ne se trouve plus dans la sensibilité
Instant présent
Etat primaire, innocence, insouciance
« On » conte, rêve
« Regret » : mélancolie du temps ou il était heureux : nature : bonheur durable, le vrai
Il dit que le vrai bonheur est durable
Etat simple et permanent, comme la nature
« Qui n'a rien de vif en lui-même, mais dont la durée accroît le charme au point d'y trouver
enfin la suprême félicité »
Promenade
Épanouissement
Détente

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