Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
SUPPORT DE COURS:
PROSPECTION GRAVIMETRIQUE
gmax 1.0
0.8
0.6
0.5
0.4 X1/2 X1/2
0.2
0 X
-2 -1 0 1 2
x
z r
gz
Année universitaire
2020-2021
Responsable :
PR. BENSLIMANE ANASSE
AVERTISSEMENT AU LECTEUR.
Ce travail a été conçu et réalisé pour permettre aux étudiants de STU (S5) de la
Faculté des Sciences de Fès Dhar El Mahraz d’avoir un document de travail pendant
que le déroulement du cours.
Anasse BENSLIMANE
Département de Géologie
Laboratoire de Géosciences,
Environnement et Ressources
Associées (GERA).
Faculté des Sciences de
Fès-Dhar El Mahraz
B.P. 1796 - FES (Atlas) MAROC.
A.BENSLIMANE
INTRODUCTION
Définition de la Géophysique
PHYSIQUE DU GLOBE
GEOPHYSIQUE
GEOPHYSIQUE APPLIQUEE
Physique du globe : concerne l’étude des phénomènes physiques dans la terre tels, le
magnétisme, la pesanteur, la résistivité, l’électromagnétisme, constitution et formation du
globe terrestre et le tremblement de terre.
Géophysique appliquée : a pour objectif la reconnaissance des terrains par des méthodes
utilisant des principes physiques.
Son champ d’application est large et diversifié. Elle est principalement utilisée dans les
domaines suivants :
Géologie de l’ingénieur,
Géologie minière,
Géologie pétrolière,
Géologie de l’environnement,
Géotechnique,
Hydrogéologie,
Géologie générale.
A.BENSLIMANE
PRINCIPALES METHODES GEOPHYSIQUES
A.BENSLIMANE
GRANDEURS PHYSIQUES MESUREES ET
METHODES GEOPHYSIQUES CORRESPONDANTES
Grandeurs
Méthodes
Paramètres physiques
géophysique
mesurées
Susceptibilité Champ
Magnétométrie
Magnétique magnétique
Radioactivité Rayonnement
Radiométrie
radioactif
Température
Flux de chaleur Géothermie
Temps du trajet
Vitesse d’onde Radar
électromagnétique
A.BENSLIMANE
A- INTRODUCTION
1- LOI de NEWTON
Première loi de newton: Tout point matériel conserve son état de repos ou de mouvement
rectiligne uniforme tant que l'influence d'autres corps ne le fait pas sentir de cet état.
Deuxième loi de newton: L’accélération d'un point matériel est proportionnelle à la force
qui lui est appliquée.
F = mg
g : l’accélération du point matériel
Troisième loi de newton: Les actions de deux points matériels l'un sur l'autre sont
numériquement égales et de sens opposés
Fij = -Fji (i j)
A.BENSLIMANE
LOI D'ATTRACTION UNIVERSELLE
Entre tout couple de points matériels agissent les forces d'attraction mutuelle qui sont
proportionnelles à la masse de ces points et inversement proportionnelles au carré de leur
distance.
F12 = F21 = F
F = m1.m2/r2
CONSTANTE GRAVITATIONNELLE
2- Accélération de la pesanteur
UNITE DE g
m Fc
r
d
Fa Fa : Force d’attraction universelle.
2
P Fa = k.M.m/R
R
Fc : Force centrifuge.
l 2 2
Fc = mv/r=m.w.r
O
P =m.g = Fa + Fc
d = Déviation de la verticale.
l = Latitude
A.BENSLIMANE
3- Potentiels gravifiques
Les champs gravifiques sont conservatifs, c'est à dire que le travail fourni en déplaçant
une masse dans un champ gravifique est indépendant du chemin suivi et ne dépend que des
points de départ et d'arrivée.
La force gravifique est un vecteur porté par la droite joignant les centres des deux
masses. Cette force donnant naissance à un champ conservatif dérive d'un potentiel.
Le caractère potentiel des forces d'attraction permet d'introduire une caractéristique
scalaire du champ de gravitation le potentiel, qui est lié à g par la relation:
4- Equation du potentiel
THEOREME DE GREEN-OSTROGRADSKI
Il dit que l’intégrale de la divergence du vecteur champ pour une région de l'espace est
égale à l'intégrale de la composante normale du champ, orientée vers l’extérieur, sur une
surface entourant cette région, mathématiquement, on écrira:
A dS
s
ou . An et S
s
est appelée le flux de force du vecteur A à travers la surface S
An
A
dS
A.BENSLIMANE
THEOREME DE GAUSS
Le flux du vecteur d'attraction à travers une surface fermée S ne dépend que des
masses situées à l'intérieur de S et vaut :
= g. n. ds = -4...(mi)
s
(mi) étant la somme des masses à l’intérieur de S.
n étant la normale dirigée vers l’extérieur.
EQUATION DE LAPLACE
EQUATION DE POISSON
Dans le cas général, le potentiel du champ de gravitation, crée par des masses
distribuées arbitrairement dans l’espace, satisfait l'équation différentielle de Poisson:
1- Généralités
A.BENSLIMANE
Seul le dernier facteur est significatif en prospection gravimétrique et son effet en général
beaucoup plus petit que celui des quatre autres combinés;
Ainsi la variation de la pesanteur de l'équateur aux régions polaires est d'environ 5 gals
soit 0.5 de la valeur moyenne de g (980 gals), alors que l'influence de l'altitude dans certains
cas, peut atteindre 0.1 gal ou 0.01 de g.
En exploration pétrolière, par exemple, 10 mgals (0.001) seraient une grande
anomalie, alors que sur des zones minières nous n'aurions que le dixième de cette valeur.
Il est ainsi clair que les variations de g qui sont significatives en prospection sont très petites
non seulement devant la valeur de g elle-même, mais aussi devant les effets dus à des
déplacements importants en latitudes ou en altitude.
Heureusement il est possible d'éliminer ces variations avec une bonne précision.
2- Sphéroïde
FORMULE DE CLAIRAUT
3- Géoïde
A.BENSLIMANE
Figure 2-3 .Comparaison du sphéroïde et du géoïde.
Effet (a) régional ; (b) effet local.
4- Corrections gravimétriques
A- Généralités.
Le travail sur le terrain est réalisé à terre en effectuant des lectures au gravimètre en
des stations d'un canevas de point couvrant la région intéressée. Ces lectures sont , en général
influencées par la topographie et d'autres facteurs, il convient alors de les corriger des
variations dues à la latitude, l'altitude et la topographie pour les ramener aux valeurs qu'elles
auraient sur une surface qui lui est parallèle.
Deux corrections supplémentaires sont parfois nécessaires: les effets des marées
terrestres et de l'isostasie.
CORRECTION
Action de corriger, de ramener à la règle. Les diverses mesures que l'on fait subir aux
mesures brutes de g aux différents points considérés ont pour objet de les rendre comparables
entre elles, de les banaliser.
LATITUDE
Opposée à longitude, elle est l'une des coordonnées sphériques d'un point de la surface
terrestre. C’est la distance angulaire de ce point à l’équateur mesurée en degrés sur l'arc
méridien terrestre.
A.BENSLIMANE
C’est entre la trace d'une parallèle et le plan équatorial. Elle varie entre 0 et 90° vers le
nord et vers le sud.
LONGITUDE
C'est le dièdre entre un méridien et le méridien origine. Elle varie de 0 à 180° vers
l'est et de 0 à 180° vers l'ouest.
Nord Géog Nord Géog
Paralléle de M Méridien de M
M OUEST Est
l Equateur Equateur
L L’
l’
M M‘ Méridien Origine
M‘
Paralléle de M’ Méridien de M’
Sud Géog Sud Géog
l : Latitude de M L : Longitude de M
l’: Latitude de M’ L’: Longitude de M’
b- Correction Latitude
C'est la plus simple de toutes les corrections. Elle correspond à l’élévation du point de
mesure au-dessus de la surface du géoïde.
La correction de Faye est d'environ 0,3086.Z mgal.m-1; avec Z: altitude exprimée en mètres.
A.BENSLIMANE
Surface du sol
Station
Z
d: Densité
Plan de réference
e - Correction Topographique
S'appelle aussi correction de relief, cette correction tient compte des irrégularités de la
surface du sol à proximité de la station. Toutes les mesures seront rapportées à un plan de
référence pour les rendre comparables entre elles. Ce plan de référence est souvent appelé en
anglais DP (Datum Plane). Le terrain sera divisé en compartiments, dont on évaluera sur la
carte l'altitude moyenne. Des tables calculées à l'avance donnent alors la valeur de la
correction en fonction de l'altitude et de la distance à la station du point moyen (il existe les
tables de Hammer, de Bible et de Douglas & Prahl). La figure 2-6
f- Correction Luni-solaire
Cette correction tient compte des positions respectives de la lune et du soleil variables
avec le temps; cette influence étant due à la position des astres. En prospection géophysique il
existe des tables publiées par l'Européen Association of Exploration Geophysicits (E.A.E.G.)
et la Compagnie Générale de Géophysique (C.G.G.).
Ce sont des hypothèses qui interprètent les compensations en profondeur des reliefs
superficiels. Ex: l’hypothèse de Pratt et d'Airy.
A.BENSLIMANE
Pour interpréter ces faits on peut proposer le modèle suivant : Les élévations
topographiques seraient compensées en profondeur par de véritables racines de matériaux
légers s'enfonçant dans un milieu plus dense (comparaison avec la glace flottant dans l'eau).
A une certaine profondeur, l'influence des reliefs ne se fera plus sentir et les valeurs de
la gravité qu'on pourrait mesurer seraient égales à celles fournies par le calcul. Il y aurait donc
à cette profondeur une surface dite " surface de compensation " en dessous de laquelle il y a
homogénéité de la distribution des masses.
Sur le modèle d'Airy comme sur le modèle de PRATT on voit entre la surface de
compensation et l'équipotentielle 0 m d'altitude que la distribution des masses n'est pas
homogène. Voir la figure : 2-7
5- Anomalie de Bouguer
ANOMALIE
Particularité qui rend une chose différente de ce qu'elle devrait être normalement.
Correspond à tout écart par rapport à une règle.
A.BENSLIMANE
Ainsi que nous l'avons dit plus haut, le paramètre significatif pour une étude
gravimétrique - la source de l'anomalie- est la variation locale de la densité Deux remarques à
propos de ce paramètre.
a- La variation maximale de densité entre les différentes roches comme entre les
minéraux et la roche est approximativement égale à deux. C'est une très petite variation
devant l'ordre de grandeur de la susceptibilité magnétique (105, de la conductibilité
électrique(1010), de la radioactivité(100) et même des propriétés élastiques ou vitesse des
ondes acoustique (10-20).
b- En général, il n'est pas possible de mesurer la densité in situ. Un dispositif de
carottage de densité a été quelques fois employé lors d'études pétrolières. La densité apparente
peut être évaluée lorsque l'on connaît la vitesse de propagation dans la formation En général,
la vitesse des ondes P augmente avec la densité des roches, dans la gamme de vitesses 2000 -
7000 m/s la densité augmente de 1.9 à 2.8 g/m3. Ces déterminations de la densité ne
s'appliquent pas en recherche minière ni lors des travaux de reconnaissance pétrolière.
Dans ce cas, il est indispensable de faire au laboratoire des mesures de densité sue de petits
échantillons prélevés sur des affleurements ou par des carottes. Cependant, les résultats des
laboratoires ne donnent pas obligatoirement la valeur de la densité apparente de la formation,
car les échantillons ont pu être altéré, fragmentées ou desséchées.
Il en résulte que la densité, qui est très important, n'est ordinairement pas très connue
dans des conditions de terrain données. Pour cette raison, il est utile de rassembler les densités
des roches et des minéraux avec précision. Voir le tableau.
A.BENSLIMANE
7- Appareil de mesure
GRAVIMETRE
Principe
Un gravimètre est un appareil où l'on équilibre la force de pesanteur par une force qui
en est indépendante, ce pourra être, par exemple:
-une force électrostatique
- la pression d'un gaz
- la torsion d'un fil
Les appareils industriels utilisent la tension d'un ressort (Worden, North American, Lacoste,
Romberg).
Gravimètre Lacoste:
Le ressort dit de longueur nulle, est usiné de telle manière que l'extension du ressort
due au poids mg dans la position zéro est la même que la tension de celui ci, de direction
opposée, sa longueur est donc proportionnelle à la tension qui lui est appliquée.
Quand g change, le levier se meut et le moment exercé par le ressort incliné varie dans
le même sens que le moment dû à la gravité ce qui permet d'atteindre l'astatisation souhaitée.
Ce principe est utilisé dans les gravimètres à ressort en général.
Gravimètre Worden:
A.BENSLIMANE
Les mesures à la station se font à l'aide d'une méthode de zéro. Pour une faible
variation de g qui entraîne un léger déplacement du spot lumineux, le spot doit à nouveau
apparaître entre ses repères grâce à un ressort compensateur auxiliaire, ou ressort de mesure.
la variation de g sera lue sur un tambour, qui exprimera en fait les variations de la tension de
ce ressort de mesure.
Il existe aussi une mollette, correspondante à un ressort dit de changement de zone, qui
permet de réajuster l'échelle de mesure et par conséquent d'étudier une plus large place de
variations de g.
Il faut éliminer tous les facteurs autres que g sur la position du fléau. Il en existe
essentiellement trois:
- La pression atmosphérique.
- Les variations de températures.
Il faut que le système mobile du gravimètre satisfasse à la condition d'insensibilité; d'où
l'existence de deux niveaux à bulles perpendiculaires, que l'on amena au zéro avant chaque
mesure.
Exemple de gravimètre
A.BENSLIMANE
D- INTERPRETATION
1- Généralités
Une carte de Bouguer a la même allure qu'une carte magnétique du champ total ou de
la composante verticale, bien qu'en gravimètre les courbes soient en général, plus lisses que
celles des cartes magnétiques. Cela vient de ce que les variations de densités sont petites
devant celles de la susceptibilité et aussi de ce que, dans l'espace, le champ de pesanteur varie
moins vite que celui d'un dipôle.
Examinons l'exemple d'une masse sphérique de 120 m de diamètre dont le sommet est
à 60m de profondeur. Exactement au -dessous, il y a un décrochement vertical de 300 m du
socle à une profondeur moyenne de 1500 m En gravimétrie, pour un même modèle avec des
contrastes égaux de densité, l'effet de la sphère n'est que centièmes de celui de l'accident du
socle.
Ainsi les structures profondes et étendues prédominent sur une carte gravimétrique, à
tel point que la reconnaissance de celle qui sont plus petites ou moins profondes est difficile.
Malgré cela une analyse détaillée et approfondie est nécessaire en gravimétrie non seulement
parce que le travail du terrain est onéreux, mais il est possible d'en tirer plus d'informations
que de n'importe quelle autre méthode, la sismique mise à part.
L'anomalie résiduelle: c'est une anomalie du champ géophysique qui possède des
dimensions réduites et dont les dispositions géologiques ne sont pas profondes.
METHODE DE LISSAGE
L'exemple le plus simple de suppression de la régionale par lissage est illustré par la
figure. Dans le premier cas, nous sommes en présence d'un profil qui, manifestement,
présente deux anomalies d'importance bien différentes, les courbes de la régionale sont si
régulières qu'il ne peut y avoir aucune hésitation à tracer la résiduelle en soustrayant les
courbes lisses des courbes initiales.
Voir figure 2-11
A.BENSLIMANE
Figure 2-11. Séparation graphique de la résiduelle de la régionale.
(a) à partir d'une courbe ; (b) à partir d'une carte.
Cette méthode décrite tout d'abord par Griffin (1949) est simplement une méthode
d'élimination de la régionale par les dérivées secondes. On considère la régionale comme
étant la valeur moyenne de la pesanteur à proximité de la station, on l'obtient en moyennant
les valeurs observées sur un cercle centré sur la station.
3- Dérivée seconde
Elle est calculée à l'aide du théorème, selon lequel la somme des dérivées secondes est
nulle dans trois directions orthogonales pour une fonction qui dérive d'un potentiel newtonien
(LAPLACE). Le terme de dérivée est emprunté, comme l'on sait, au calcul infinitésimal.
Alors la dérivée seconde a pour objet de grossir les phénomènes au voisinage de la surface et
de les distinguer en augmentant la puissance du terme de distance au dénominateur. La carte
de la dérivée seconde est un support fort nécessaire pour toute étude gravimétrique.
Ce n'est qu'après avoir mis en évidence la résiduelle, qui est masquée, que
L'interprétation géophysique c'est à dire la comparaison des anomalies avec celle de quelques
formes géométriques simples, peut être entreprise. Cette technique est mieux développée en
gravimétrie que dans les autres méthodes parce que l'analyse théorique est simple. Dans les
exemples qui vont suivre, les dimensions sont exprimées en grammes en centimètres et
A.BENSLIMANE
milligals lorsqu'on ne précise pas le symbole est le contraste de densité le terrain encaissant
et le symbole g correspond à gz , composante verticale de l'anomalie ;
Cas de la sphère
gmax 1.0
0.8
0.6
0.5
0.4 X1/2 X1/2
0.2
0 X
-2 -1 0 1 2
x
z r
gz
L'attraction en un point situé en dehors de l'axe n'est pas facile à calculer sauf dans des
cylindres infini par contre sa valeur sur l'axe est très importante et facile à obtenir.
Calculons la composition verticale de g sur l'axe d'épaisseur dl
Les failles verticales sont souvent le lieu d’importantes circulations d’eau, il peut être
intéressant d'en déterminer la localisation et les dimensions avant d'y placer un forage.
A.BENSLIMANE
A.BENSLIMANE
A.BENSLIMANE
A.BENSLIMANE
COMPLEMENTS DE MATHEMATIQUES
1- Systèmes de coordonnées
1-1 Cordonnées planes
a- Coordonnées cartésiennes
Soit M un point appartenant au plan Oxy muni du repère R ( o, i , j ) et soit (x, y) les
b- Coordonnées polaires
R o, i , j , k .
a- Coordonnées cartésiennes
A.BENSLIMANE
OM xi yj zk avec x OM .i
y OM . j
z OM .k
b- Coordonnées cylindriques
c- Coordonnées sphériques
2-1 Définition
Champ scalaire : On appelle champ de scalaire (ou champ scalaire) l’application qui fait
correspondre à tout un point M de l’espace un scalaire V.
V:ER
M(x, y, z) V (M)= V
Exemple : Le géoïde en tout point de l’espace.
A.BENSLIMANE
2-2 Opérateurs différentiels
2-21 Rappels
a- Produit scalaire
V1 X 1i Y1 j Z1k
V2 X 2i Y2 j Z 2 k
V1 .V2 = V1 . V2 cos V1 .V2 V1 . V2 cos
avec 0 ; : étant l'angle entre V1 et V2
V1 x12 y12 z12
Remarque : Le produit scalaire de deux vecteurs est un scalaire.
i .i 1 ; i . j 0 ; i .k 0
A.BENSLIMANE
Bibliographie.
Références
Les Livres :
Applied Geophyscis, second edition (1990). W.M. TELFORD, L.P GELDART R.E.
SHERIFF Cambridge University Press.
Seismic data Processing (1987). YILMAZ Ö. Society of Exploration Geophysicists.
Signal Processing for Geologists and geophysicists, 1997. J.L.MARI,
F.GLANGEAUD, F.COPPENS. Edition Technip.
Physical properties of rocks (Fundamentals and principales of petrophysicis),
1996. J.H.SCHÖN. Handbook of geophysical exploration, vol.18 Pergamon.
A.BENSLIMANE
Géophysique appliquée à l'hydrogéologie 1971J.L ASTIER, édit Masson. Paris
275p.
Les méthodes de la géophysique. 1982 P. MECHLER., édit Dunod Paris. 200p.
An introduction to Applied and Environmental Geophysics, 2003. J.M
REYNOLDS, édit John Wiley Sons UK. 796p.
Journaux :
Geoscientists Engineers.
Web sites :
Society of Exploration Geophysicists : www.seg.org
European Association of Geoscientists Engineers : www.eage.nl
Envirenmental and Engineernig Geophysical Society : www.eegs.org
www.google.com : cours en ligne de géophysique Université de Lausanne.
: Cours en ligne de géophysique Polytechnique de Montréal.
Pour chercher un cours, un TD ou un TP dans un moteur de recherche il faut écrire :
cours en ligne et le nom du cours recherché.
Exemple :
www.google.com : cours en ligne de paléontologie ou de biologie animale.
Cours en ligne de géophysique appliquée PPT ou PDF
A.BENSLIMANE