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Transformateurs monophasé
A. HADDOUN
1
Transformateur Monophasé
A. TRANSFORMATEUR MONOPHASE
I. Généralités :
Les problèmes de la production, du transport et de l’emploi de l’énergie électrique dans les
meilleures conditions économiques ont montré la nécessité d’utiliser des tensions différentes pour ces
diverses fonctions. Le plus souvent le transformateur sert à transformer une énergie électrique en une
autre énergie électrique dont la tension est différente. Il est donc impossible (tout comme pour un
moteur par exemple) de considérer le transformateur comme un récepteur électrique. Le récepteur sera
l'appareil raccordé au secondaire du transformateur. La puissance et donc le courant absorbé par le
primaire du transformateur est donc indépendant de ce transformateur (tout comme le courant absorbé
par un moteur ne dépend pas de la valeur notée sur la plaquette signalétique mais de la charge du
moteur). Le but du transformateur est de relier des circuits à des tensions différentes, il est dit statique
parce qu’il ne comporte aucun organe tournant.
Plus proche encore des considérations pratiques, la dernière partie traite des procédés
expérimentaux de détermination des éléments du schéma équivalent : un essai à vide sous tension
primaire nominale et un essai en court-circuit en régime de courant secondaire nominal. De ces deux
expériences, le document s’achève sur la détermination pratique des éléments d’exploitation du
transformateur.
i1 i2
1 2
B1 U2 Z
G U1 n1 B2 n2
2
Transformateur Monophasé
Comme son nom l'indique ce type de transformateur comprend une alimentation alternative
monophasée (tension primaire, figure (.01) notée U1) qui alimente une bobine appelée bobine
primaire. Cette bobine est fixée sur un conducteur de champ magnétique à très faible réluctance dont
les pertes magnétiques sont les plus petites possibles. Le flux magnétique sert de liaison entre le
primaire et le secondaire (seulement si le flux n'est pas constant). Le secondaire est constitué d'une
autre bobine comprenant un nombre de spires différents que celui du primaire. Au borne de cette
bobine, on y mesure une tension (tension secondaire, notée U2). Lorsqu'on raccorde une impédance au
secondaire un courant secondaire (noté i2) circule. Le secondaire peut être considéré comme une
source de tension commandée par une tension.
Fonctionnement à vide
Principe :
Quand une tension alternative sinusoïdale U U 1 . sin t est appliquée aux bornes de
l'enroulement primaire suivant le montage de la figure .03, elle produit un courant alternatif dans cet
enroulement. Le courant primaire engendre un flux variable dans le circuit magnétique. Selon la loi de
Lenz, ce flux induit dans chaque spire une f.e.m de valeur : E . L'ensemble des spires étant
t
soumis à cette variation de flux, il en résulte la création (fig. 04) :
- dans l'enroulement primaire d'une force contre électromotrice E1 = N1 E sensiblement égale
mais opposée à U1 ;
- dans l'enroulement secondaire, ouvert, d'une force électromotrice E2 = N2 E.
I1O
I1O
Z1 Z2
U1 E2 U1 U2 = E2
E1 E2
T
Figure .03 : Transformateur à vide. Figure .04 : Modèle équivalent du transformateur
à vide.
Rapport de transformation
Si l'on observe les formules liées aux transformateurs, on remarque que plus le nombre de spire
du primaire (N1) est grand par rapport à celui du secondaire (N2), plus U2 sera petit. (transformateur
directement combiné avec une prise réseau pour obtenir des tensions équivalente à celle de piles (6V,
9V, etc..). Le transformateur est une machine réversible : si on alimente le secondaire, on obtient une
tension au primaire. Donc il peut également fonctionner pour élever la tension. On désigne par rapport
U2
de transformation "m ou ü ", le rapport de la tension primaire à la tension secondaire : m .
U1
A vide existent les égalités ci-dessous :
U 1 N 1 .E E1
U 2 N 2 .E E2
N2
Aussi le rapport de transformation à vide, mv , s'exprime par : mv
N1
Si m 1 : la tension secondaire est plus faible que la tension primaire implique le
transformateur est dit abaisseur.
Si m 1 : la tension secondaire est égale à la tension primaire implique le transformateur est
dit transformateur d'isolement.
3
Transformateur Monophasé
dφ
Dans ce cas, on obtient la relation suivante : v1 N1
dt
1
N1
Qu’on peut réarranger pour obtenir : φ v1dt
1
Α 2 N 2 φ N 2 v1dt
N1
La force électromotrice induite dans la bobine secondaire est donnée par la loi de Faraday :
dΑ 2 N 2 d
e2
dt
N1 dt N
v1dt 2 v1
N1
(e2 représente la tension aux bornes du noyau, entre les deux bornes de l'enroulement. Si la
résistance du fil de cuivre est nulle, e2 = v2). La force électromotrice induite dans le primaire
est :
dΑ1 d d 1
e1 n1φ N1 v1dt v1
dt dt dt N1
4
Transformateur Monophasé
On obtient donc :
v1 e1 N1
v2 e2 N 2
On définit le rapport de transformation m comme étant le rapport du nombre de tours du
transformateur. Donc :
N1
m
N2
----------------------------------
Rapport de transformation
Les chutes de tension au primaire et au secondaire étant nulles, le rapport de transformation en
U N
charge est égal au rapport de transformation à vide, soit : m 2 2
U 1 N1
Puissance et facteur de puissance
Comme les pertes dans le transformateur parfait sont nulles :
- les puissances actives primaires et secondaire sont égales ;
- les puissances réactives primaire et secondaire le sont aussi ;
- cette double égalité implique celle des puissances apparentes primaires et secondaires :
P1 = P2 ; Q1 = Q2 ; S 1 = S2 .
P
Par définition, le facteur de puissance ou cos a pour expression : cos et comme P1 = P2
S
et; S1 = S2 ; les déphasages primaire et secondaire sont identiques : cos 1 = cos 2 .
5
Transformateur Monophasé
Rendement
Il est égal au rapport de la puissance active utile P2 à la puissance active absorbée P1. Ces deux
puissances étant égales, le rendement du transformateur est égal à l'unité : = 1.
I1 U 2 U2 N2 I1 I1 1
On tire : et comme m alors m et
I 2 U1 U1 N1 I2 I1 m
Se fermant dans le noyau, le flux magnétique alternatif est embrassé non seulement par
l’enroulement secondaire, mais aussi par l’enroulement primaire du transformateur. C’est pourquoi
une F.E.M, sera également induite dans l’enroulement primaire. Les valeurs des F.E.M, induites dans
les enroulements du transformateurs dépendent de la fréquence du courant alternatif, du nombre de
spires de chaque enroulement et de la valeur du flux magnétique dans le noyau. Examinant le circuit
magnétique du transformateur suivant :
A i1 i2 C
U1 (t) U2 (t)
B D
Figure .05 : Circuit magnétique du transformateur.
: réluctance du circuit magnétique
R1 et R2 :résistances des enroulements primaire et secondaire (respectivement)
: flux commun aux 2 enroulements ( = 1 = 2)
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Transformateur Monophasé
VD VC u2 ( t ) 0 (Générateur)
implique : U 2 E2 R2 I 2
m sin t
d
e n n m cos t n m sin( t ) ( en avance de /2 sur E)
dt 2
n m
Em n m E 2 n m E
2
2 n f
avec : 2 f E m 4.44 n f m
2
d
u2 ( t ) n2 e2 ( t )
dt u2 n d
De b) et d) U 1 E1 , U 2 E2 2 si 0
d u1 n1 dt
u1( t ) n1 e1( t )
dt
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Transformateur Monophasé
Pour qu’il y’ ait « transformation » il faut que le flux soit variable en fonction du temps.
u2 E n
En valeurs efficaces 2 m 2 : rapport de transformation.
u1 E1 n1
De a) 0 n1 I 1 n2 I 2 0
i2 n1 I2 n
1 m I1 mI 2 0
i1 n2 I1 n2
I2 1 I1 U
en valeur efficaces : m 2
I1 m I2 U1
V. Transformateur réel :
Rapport de transformation
Le rapport de transformation en charge du transformateur réel est inférieur à son rapport à vide ;
cette diminution, de faible valeur, est due :
- d'une part, aux fuites magnétiques qui entraînent des pertes de flux entre le primaire et le
secondaire : E2 < mv .E1 ;
- d'autre part, à la chute de tension ohmique se produisant dans les enroulements primaire et
secondaire et ainsi : U1 > E1 et U2 < E2.
On a donc bien :
U 2 E2
soit m mv
U 1 E1
P2 P2
cos1 cos 2
S1 S2
Rendement
Il reste toujours égal au rapport de la puissance active utile à la puissance active absorbée. La
puissance active utile a pour expression :
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Transformateur Monophasé
P2 U 2 I 2 cos 2
et la puissance absorbée est égale à la puissance utile plus les pertes, soit :
P2 PJ Pf
- avec :
PJ, pertes par effet joule au primaire et au secondaire :
PJ r1 I 12 r2 I 22 ;
P2
Le rendement a pour expression :
P2 pertes
1) Méthode graphique
U1 = - E1
a- Diagramme d'un transformateur
n1 I1
1
U 1 E1 , U 2 E2 , n1 I1 n2 I 2 0 I1 1 = 2
2 ( I 2 ,U 2 ) I2
2
n1 I1 n2 I 2 E2 = U2
n2 I2
Si la réluctance n'est pas négligeable :
E1
# 0 n1I1 n2 I 2
: Valeur efficace du flux. ( est le même dans tous les régimes de fonctionnement), à vide
(I2=0) la seul F.m.m créant le flux est la F.m.m n1I10 due au courant primaire à vide.
U1 = - E1
n1 I10 n1 I1 n2 I n1 I10
n1 I1
1
I10 est en phase avec le flux -n2 I2
n1 I1O
n1I1 n1I10 n2 I 2 2
n2 I2 E2 = U2
E1
R1 I1
Si la résistance des enroulements n'est pas négligeable
U1
- E1
R1 # 0 R2 # 0
U1 E1 R1I1 , U 2 E2 R2 I 2
1
Les données de la construction du diagramme -n2 I2
U2, I2, 2, n1, n2 ,I1 ,R2
n1I10 en phase avec I2
n1 I1O
2
n1I1 n2 I n1I10 n2 I2 U2
R2 I2
E2
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Transformateur Monophasé
On trace successivement:
U2, I2, R2I2, E2,, - E1, n2I2, n1I10, R1I1,U1 .
U1 = - E1
Les pertes dans le fer ne sont pas nulles
A vide: I10 très faible R1I10 très faible ( U 1 , I 10 ) 0
2 n1 I1O
Et la puissance absorbée à vide par le transformateur:
P0 U1 I10 cos 0
2 U1 = - E1
Les pertes dans le fer sont fonction de Bm et f n1 I1O
Pfer (à vide) = Pfer (charge)
Puisque Bm et f sont les mêmes dans tous les régimes de fonctionnement industriel
P0 Pertes fer 0 ( U1 , I10 ) doit être < /2 R1 I1
U1
- E1
I0 en avance du flux ;
n1 I1
est surtout dû à l'hystérésis, on appelle parfois angle hystérétique; 1
0 est déterminé à partir de : 0 -n2 I2
I2 n1 I1O
Pfer U 1 I 10 cos 0 0
2
n2 I2 U2
R2 I2
E2
Les fuites magnétiques ne sont pas négligeables
Au niveau du: A i1 i2 C
2
Primaire: 1= +f1;
U2 (t)
Secondaire: 2= +f2; U1 (t)
1
f1 etf2 : flux de fuites (de dispersion); B D
: flux commun (flux utile).
d f 1 d f 2
e f 1 n1 , e f 2 n2
dt dt
L1I1
f1 f 2 U1
f 1 L1 n1 , et f 2 L2 n2 R1 I1
i1 i2 - E1
donc : Et 1 E1 E f 1 , Et 2 E2 E f 2 n1 I1
1
di1 -n2 I2
E f 1 L1 0
dt
di2 n1 I10
E f 2 L2 n2 I2 2
dt U2
U 1 R1 I 1 Et 1 R1 I 1 E1 jL1 I 1
R2 I2
U 2 R2 I 2 Et 2 R2 I 2 E2 jL2 I 2 L2I2 E2
E1
b- Diagramme général du transformateur
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Transformateur Monophasé
Pertes joule
Pertes fer
Pertes joule
Primaire
Schéma équivalent
f1 f2
i1 i2
R1 R2
L1 L2 U 1 E 1 R1 I 1 jL1 I 1
U1 Ef1 -E1 E2 Ef2 U2
U 2 E 2 R2 I 2 jL2 I 2
11
Transformateur Monophasé
V U1 V U20
Secteur
P0 R1 I10
2
Pfer , Pj 0 R1 I10
2
Les pertes joules à vide sont négligeables puisque I10 est faible
P0 U 1 I 10 cos 0 Pfer ,
Exemple de résultats
U2 (V)
Le transformateur utilisé a pour caractéristiques : 200
2. Essai en charge
But de l'essai
a) Mesurer la tension secondaire U2 pour un courant secondaire I2 variant de zéro à sa valeur
nominale;
b) Calculer le rapport de transformation pour la charge nominale.
Schéma du montage (fig .10)
I1 I2
W A A
K
Secteur V U1 V U2
Charge
T
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Transformateur Monophasé
a- Charge inductive
Z ch Rch jX ch
X
2 ( I 2 ,U 2 ) arctg ch ; 2 0
Rch
n1 I 1 n2 I 2 n1 I 10 U 2 Z ch I 2
X X2
2 (( I 2 , E2 ) arctg ch ; 2 0
Rch R2
b- Charge capacitive
Z ch Rch jX ch
X ch
2 arctg 0
Rch
X 2 X ch
2 arctg 0 si X 2 X ch
R2 Rch
Exemple de résultats
U2 (V)
Le transformateur utilisé étant identique à celui de 25
l'essai précédent, son courant nominal est :
S 300
I 2n n 12,5 A 24
U2 24
Soit : La courbe de la figure 11 Représente U2 en 23
fonction de I2.
A la charge nominale : U2 = 23,5 V, le rapport de 22 In
transformation est alors égal à :
I2 (A)
U 23,5 0 2 4 6 8 10 12
m 2 m 0 ,106. .
U 1 220 Figure .11 : Courbe de chute de tension en charge.
3. Mesure de rendement
But de la mesure
P2
Déterminer le rapport des puissances actives au primaire et au secondaire.
P1
Méthodes de mesure
La méthode directe des mesures de P1 et P2 est illustrée par la figure .12
W W
Secteur V U1 U2 Charge
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Transformateur Monophasé
Le rendement d'un transformateur étant voisin de l'unité, tous les résultats de masures obtenus
avec une erreur de l'ordre de 1 à 2 % due à l'imprécision des appareils de mesures n'ont aucun sens. La
méthode directe ne permet pas la mesure du rendement d'un transformateur industriel.
La méthode de mesure de rendement la plus couramment utilisée est la méthode des pertes
séparées.
Elle consiste à mesurer :
- par un essai à vide, les pertes fer Pf;
- par un essai en court-circuit, les pertes joule PJ.
Le rendement est alors égal au rapport :
P2 U 2 I 2 cos 2
P1 P2 Pj Pfer
I 12 R
Pj R1 I 12 R2 I 22 I 22 ( R2 R1 2
) I 22 ( R2 12 )
I2 m
Pfer P0 U 2 I 20 cos 0 ( U 1 U nom )
I2 R1
si I 2 I 2 nom Pj 2 I 22nom ( R2 2
) 2 P1cc
I 2 nom m
S 2 cos 2
S 2 cos 2 2 P1cc P0
Essai à vide
Le primaire du transformateur est alimenté sous sa tension nominale (fig. 13). La puissance
absorbée, mesurée au wattmètre, est égale aux pertes dans le circuit magnétique, les pertes joule dans
l'enroulement primaire étant, à vide, négligeables.
A W
Secteur V U1
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Transformateur Monophasé
Essai en court-circuit
Le secondaire du transformateur est court-circuité sur un ampèremètre (fig .14). Le primaire est
alimenté sous une tension réduite, réglable à l'aide d'un autotransformateur. Un wattmètre mesure la
puissance absorbée par le primaire : P1CC.
A W
Secteur V U1 A U2 = 0
T
Figure .14 : Mesure du rendement par la méthode directe
des pertes séparées, essai en court-circuit.
La tension U1 étant très faible par rapport à la tension nominale, les pertes fer sont
maintenant négligeables.
La puissance P2 débitée au secondaire en court-circuit est nulle.
La puissance mesurée, P1CC représente uniquement les pertes joule, PJ du transformateur.
P1CC = PJ
U2 =0
U1cc= (0.04 0.08) U1nom
R1 I12cc
D'où : P1cc Pj R1 I 12cc R2 I 22cc I 22cc ( R2 )
I 22cc
1 I 2 cc I 2 nom
,
m I 1cc I 1nom
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Transformateur Monophasé
di1 di2
U 1 R1 i1 l1 dt M dt I1 M I2
R1 R2
di di U1 L1 L2 U2
U 2 R2 i2 l2 2 M 1
dt dt
di1 d ( i2 i2 )
U 1 R1 i1 ( l1 M ) dt M dt
di d ( i1 i 2 )
U 2 R2 i2 ( l2 M ) 2 M
dt dt
2. Transformation : Schéma équivalent ramené au primaire (méthode symbolique)
I2 R
R2'
2'
R2 22
I2 m
X
de même X2I22 = X'2I'22 X 2' 22
m
U 1 R1 I1 j L1 I1 E1 L1 X 1
on a : U E R I j X I
'
2
'
2
'
2
'
2
'
2
'
2 E2' E1
n1 I 1 n2 I 2 n1 I10 I1 m I 2 I10 I1 I10 m I 2 I10 I 2' , I 2' m I 2
avec: E2' E1
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Transformateur Monophasé
U1 RF Xm U ’2
U ’1 RF X’m U2
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Transformateur Monophasé
I2 X’1 X2 RS XS
R’1 R2
mU1 = U’1 U2 U ’1 U2
X s X 2 X 1 X 2 m X 1
' 2
U 2 ( Rs cos 2 X s sin 2 ) I 2
U 2 U 20 U 2
Chute de tension relative : (%)
U 20 U 20
Expression réelle : C
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Transformateur Monophasé
relation entre Rs et Rp
R2
Rs R2 m 2 R1 , R p R1
m2
Rs R2 Rs Xs
R1 R p Rp de même X p
m2 m2 m2 m2
P0
P0 U 10 I 10 cos 0 cos 0
U 10 I 10
P0 RF I a2 , I a I 10 cos 0
P0 U 10 I 10 cos 0 U 10 2
U 10
RF RF
I a2 2
I 10 cos 2 0 I 10 cos 0 P0
Q0 U 10 I 10 sin 0 X m I r2 , I r I 10 sin 0
Q0 U 10 I 10 sin 0 U 10
Xm 2
2
Ir I 10 sin 0
2
I 10 sin 0
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Transformateur Monophasé
Remarque :
Conditions de validité du diagramme de Kapp:
Il n'est valable que pour la détermination de la chute de tension. Il ne permet pas de
calculer I1 et cos 1, grandeurs dont la détermination ne peut se faire avec précision que par
le diagramme général et la méthode de Boucherot (Connaissance de L1 et L2)
Il est trop imprécis disque le courant à vide I0 est relativement important : Petits
transformateurs, transformateurs saturés ou ayant de mauvais joints.
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