Vous êtes sur la page 1sur 5

Nom  

: Nora Ayad
Département  : LA sociologie

Introduction :

Sujet et Titre du projet :

L’inclusion scolaire des enfants autistes dans l’école Marocaine


Notre étude à identifier L’inclusion scolaire et son impact sur la réussite de cette
iclusion des enfants autistes dans les école ordinaire , du point de vue des familles
-Quelle sont les pratiques sociale fait par la famille pour intégrer son enfant dans l’école ?
- comment la famille peut réussir a inclus l’enfant autiste dans l’école marocaine ?
- comment les familles des enfants autistes peuvent-elles développer des stratégies pour
assurer l'inclusion de son enfants dans l'école et est-ce utile?
-Est-ce que L'évaluation utilisée par l'enseignant affecte-t-elle les résultats scolaires de l'élève
avec autisme ?
Question de départ :
- comment les familles des enfants autistes peuvent-elles développer des stratégies pour
assurer l'inclusion de son enfants dans l'école et est-ce utile?
Population cible /lieu :
Les familles des enfants autistes à Casablanca
Hypothèses :
- Garantir l’aide vie scolaire pour faciliter l’inclusion et l’adaptation l’enfant avec l’autisme
l’enfant
- L’adaptation des évaluations pour les enfants autistes.
- les parents font des formations pour aider ses enfants à suivre le système éducatif.
concepts clés :

Autisme : L’organisation mondiale de la santé définit l’autisme comme un trouble du


développement qui apparaît dans les premières années de la vie de l’enfant et conduit à un
dysfonctionnement de la communication linguistique, des échanges sociaux et de diverses
manifestations psychosociales de l’enfant dans le futur

1
Quelques symptômes : Niveau sensori-moteur, Problèmes de mouvement et de locomotion ;
Hyper sensibilité aux sons et aux lumières ; Dysfonctionnement dans la coordination entre les
mouvements ; Domination des réponses motrices répétitives. Niveau cognitif et mental •
Perturbations dans le traitement de l’information au niveau de la compréhension et des
réactions ; Difficultés dans la composition des réponses ; Difficultés à produire des jugements
et des raisonnements ; Prédominance de réponses stéréotypées fréquentes. Niveau émotionnel
N’exprime pas ses sentiments envers les individus ; Difficultés à communiquer et à interagir
avec les autres et avec les pairs ; • Tendance à s’attacher avec certaines choses ou certaines
personnes et la prédominance de la routine de cet attachement. Difficulté dans la
communication ; incapacité de réagir aux apprentissages ; domination de crises émotionnelles
Quelques déficiences Il peut s’entraîner sur certains apprentissages ; il peut s’entraîner sur
certaines activités de groupe tels les jeux ; Il peut développer aisément certaines opérations
mentales simples (GUIDE POUR LES DIRECTEURS DES ÉTABLISSEMENT SCOLAIRE)

Inclusion :
En français, le mot « inclusion » signifie « état de quelque chose qui est inclus dans un tout,
un ensemble ». Ce terme [1] vient du latin inclusio : emprisonnement. Après une longue
absence d’usage, il est repris au xixe siècle au sens d’insérer, c’est-à-dire de « faire entrer un
élément dans un ensemble ». Le terme « inclusion » comporte ainsi deux aspects, l’inclusion
ségrégative et l’inclusion intégrative [2]. Toutefois, l’emploi actuel de ce mot est dans un sens
très positif, évoquant une finalité. Il est lié aux processus d’insertion sociale et d’intégration
économique, et à la recherche de participation sociale, culturelle et civique des personnes et
groupes sociaux.Ce terme n’a pas exactement la même signification dans les différents pays,
il revêt parfois plusieurs acceptions.En Allemagne, la notion d’inclusion sociale a été utilisée
par le sociologue Niklas Luhmann (1927-1998) pour caractériser les rapports entre les
individus et les systèmes sociaux. Il analyse les différentes conditions d’inclusion/exclusion
au sein des systèmes et des organisations. Au Canada, « L’inclusion sociale consiste à faire en
sorte que tous les enfants et adultes aient les moyens de participer en tant que membres
valorisés, respectés et contribuant à leur communauté et à la société [3] ». Cinq pierres
angulaires ont été identifiées : la reconnaissance valorisée, les opportunités de développement
humain, l’implication et l’engagement, la proximité, le bien-être matériel. Ce terme est
beaucoup employé. Par exemple, le Nouveau-Brunswick a créé la Société d’inclusion
économique et sociale afin d’élaborer, superviser, coordonner et instaurer des initiatives pour
réduire la pauvreté et aider à l’autonomie.( L’inclusion : approche socio-sémantique Brigitte
Bouquet Dans Vie sociale 2015/3 (n° 11), pages 15 à 25)

2
Remarque :
J’ai changé le titre de mon sujet Au lieu de l’intégration je l’ai remplacé avec L’inclusion
« L’inclusion La même chose que L’Intégration Mais sociologiquement Parlant
L’inclusion serait Le mot le plus utilisé, puisqu’on parle ici de l’autisme qui est avant tout un
trouble, un handicap communicationnel
Voilà une photo qui explique la différence entre les deux :

Etudes faites a ce sujet :


Ci-dessous quelques caractéristiques de l’éducation inclusive :
 Elle reconnaît que tous les enfants peuvent apprendre ;
 - Elle reconnaît et respecte les différences entre les enfants ;
 - Elle vise à garantir l’égalité des droits ;
 - Elle permet aux enfants en situation de handicap ou non, d’apprendre ensemble ;
 - Elle permet aux structures, systèmes et méthodes d’éducation de répondre aux
besoins de tous les enfants ;
 - Elle prend en compte les besoins individuels de tous les enfants ;
 - Elle fait partie d’une stratégie élargie visant à promouvoir une société inclusive ;
 - Elle constitue un processus dynamique évoluant de manière continue ;
 - Elle est nécessaire pour atteindre une éducation de qualité pour tous.
Handicap International & Ministère de l’Education Nationale et de l’Alphabétisation
(Burkina Faso), Manuel de formation des enseignants en éducation inclusive, 2012, p. 5
La revue littérature :

L’inclusion scolaire « ses Fondement, ses acteurs, et ses pratiques  »


Chapitre 1 : Des fondement sociologique de l’inclusion scolaire aux injonction
internationales  ». de serge Ramel et Raymond Vienneau :

3
Ces deux écrivain ont abordé dans ce chapitre, les bases sociologique de l’inclusion
scolaire, les mouvements de la normalisation, des droits civiques de la remise en question de
l’éducation spécialisée et aussi ont abordé les rôles et les pratiques de la direction d’école
associé à l’inclusion scolaire.
En conclusion de ce chapitre des éléments de réponse trouvé à notre question sur les styles de
leadership susceptible d’inspirer La direction d’une école inclusive , nous retenons d’abord
que ces styles et les pratiques effective qui en découlent sont étroitement liés .les styles de
leadership s’inscrivent dans un context te qui leur est propre a ce contexte de ce fait il ne peut
y avoir un style unique de leadership inclusif et la diversité de styles répertorié compte de
celle de réalité vécues par les directions d’école .cependant notre tour d’horizon révélée
Assez de similitudes et de récurrences pour orienter l’accompagnement des directions dans
Leur cheminement vers l’inclusion et ainsi combler les lacunes importantes notées dans leur
formation il s’agirait donc de les guider vers l’inclusion en favorisant l’adoption d’un style de
leadership en adéquation avec le but visé et la réalité qui est la leur.
La responsabilité de la mise en œuvre de l’inclusion scolaire retombe toujours sur les
directions d’école et les membres de leur personnel .il importe donc de trouver des moyens
efficace s de les soutenir dans cette démarche .Parmi les gens susceptible de soutenir les
direction d’école soutenir les directions d’école se trouvent notamment les instances
administratives supérieures , les formateur et les chercheures en administration scolaire il
apparait donc urgent de sensibiliser l’ensemble de ces personne a la cause de l’inclusion
scolaire et de stimuler les recherches dans ce domaine .

L’autisme, une approche de l’a-normalité


Laetitia Bournat, Christine Daireaux, Stéphanie Jorand, Aude Schlacther, Laetitia
Stanislawski
Dans Spécificités 2014/1 (n° 6), pages 275 à 291
Conclusion de l’article
Cette recherche nous a donner une idéé sur l’autisme dans toute sa complexité en tenant
compte des différents partenaires concernés par l’autisme. Dans nos rencontres, parfois
teintées de beaucoup d’afectif, transparaît le désir de considération de la société pour la
personne autiste. Notre réflexion nous a amenées progressivement vers la question de la
norme et nous a permis de prendre conscience que la normalité n’est pas si facile à délimiter.
Cette difficulté se traduit pour les familles par une ambivalence dans leur quête de
reconnaissance et d’identité. Cette errance les amène à vouloir souvent à tout prix que leur
enfant soit scolarisé, mais la société, malgré une évidente volonté politique, n’est toujours pas
en mesure de les accueillir dignement. Aujourd’hui, la recherche et l’accompagnement
s’améliorent, mais de manière hétérogène, nous montrant ainsi qu’il persiste encore beaucoup
d’inconnu. La solution à cette problématique ne vient peut-être pas uniquement des politiques
de santé. Peut-être viendrait-elle de la société elle-même qui pourrait modifier l’image
médiatisée de l’être parfait ? « Des fois, je ne sais pas trop si on a le droit de dire qu’un
homme est fou ou non. Des fois, je crois qu’il n’y a personne de complètement fou et
personne de complètement sain tant que la majorité n’a pas décidé dans un sens ou l’autre.

4
C’est pas tant la façon dont un homme agit que la façon dont la majorité le juge quand il agit
ainsi [15]
[15]
Faulkner W., Tandis que j’agonise, Paris, Gallimard, 1934,… ».
La sociologie d’Émile Durkheim (1858-1917) : des pistes pour l’inclusion
Nicolas Sembel
Dans La nouvelle revue - Éducation et société inclusives 2021/5 (N° 91), pages 231 à 243

Vous aimerez peut-être aussi