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NIVEAUX: TECHNICIEN

FILIERE: TEMI

MODULE:

INSTALLATION ET ENTRETIEN DES


LUMINAIRES ET LEURS COMMANDES

ISTA 3E
Année :2017/2018
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Préparer et animer par M.ERRAKI
CH1: INTRODUCTION
1/Eclairage et lumière:
1°/Eclairage :
1.2°/Définition:
Application de la lumière aux objets ou à leur entourage pour qu'ils puissent être vus à
travers un ensemble des appareils qui distribuent une lumière artificielle.(Lampes,
Luminaires, Projecteur,..ect) ou/et naturelle.

1.2°/Types d’éclairage:
Il existe deux formes d’éclairage:
Eclairage naturelle: celui de lumière du jour provenant du soleil
Eclairage artificielle: celui produit par des luminaires ou lampes
2°/Lumière:
La lumière est un ensemble d’ondes électromagnétiques.

La lumière « blanche » visible est composée de l’ensemble des fréquences de la lumière


visible (couleurs de l’arc en ciel : rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo, violet)

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CH1: INTRODUCTION
2/Autres définitions:

L'éblouissement:
C’est la difficulté à voir en présence de lumière vive, telle que l'exposition à la lumière du
soleil (directe ou indirecte) ou d'une forte lumière artificielle, par exemple les phares d'une
voiture dans la nuit.

Tungstène:
C’est l'élément chimique de numéro atomique 74, de symbole W. Son nom en français
provient du suédois tung et sten et signifie donc « pierre lourde ».

Sa température de fusion est :3 422 °C

 Starter:
C’est un composant constitué d'un petit tube rempli de gaz et pourvu d'un bilame.

Le ballast:
C’est un composant constitué d'un bobinage de cuivre entourant un noyau de fer (ballast dit
inductif ou électromagnétique)

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CH 2: LES TYPES D’ECLAIRAGE
Plan:

1/Eclairage direct
2/Eclairage indirect
3/Eclairage mixte
4/L'éclairage à deux composantes

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CH2:TYPES D’ECLAIRAGE
1/L'éclairage direct:
La lumière est projetée directement du luminaire vers la surface de travail.

Avantages:
La lumière n'est pas réfléchie avant d'atteindre la tâche à éclairer. Le rendement est donc
meilleur que celui d'un système comprenant une partie indirecte.

Inconvénients:
Il existe un risque d'éblouissement et de contraste entre des zones sombres (par exemple le
plafond) et des zones lumineuses.
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CH2:TYPES D’ECLAIRAGE
2/L'éclairage indirect:
Une surface, le plafond ou les murs sont utilisés comme réflecteur pour diffuser la lumière.

Avantages:
La diffusion de la lumière par le plafond et une répartition uniforme des luminances offrent
une bonne protection contre l'éblouissement.
En éclairage d’ambiance, l’indirect peut donner des ambiances lumineuses intéressantes.

Inconvénients:
Vu que la lumière est réfléchie avant d'atteindre la tâche à éclairer, ce mode d'éclairage a un
moins bon rendement et demande, à niveau d'éclairement égal, une puissance installée
supérieure à celle du système direct.
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CH2:TYPES D’ECLAIRAGE
3/L'éclairage mixte:
Ce mode d'éclairage combine l'éclairage direct et l'éclairage indirect. La partie indirecte
reste toutefois dominante.

Avantages:
Les avantages de ce mode d'éclairage sont identiques à ceux de l'éclairage indirect :
répartition uniforme et absence d'éblouissement. De plus, la partie directe crée des ombres
avantageuses et permet de réduire la luminance du plafond.

Inconvénients:
L'inconvénient principal est identique à celui du système d'éclairage indirect : rendement
très sensible aux coefficients de réflexion des parois. il est cependant moins marqué
puisqu'une partie de l'éclairage est dirigé directement vers le plan de travail.
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CH2:TYPES D’ECLAIRAGE
4/L'éclairage à deux composantes:
Une première composante assure un éclairage général direct ou indirect de faible
éclairement (environ 300 lux sur le plan de travail); une deuxième composante assure
l'appoint directement sur la place de travail.

Avantages:
Ce système est énergétiquement le plus intéressant : il associe un faible niveau
d'éclairement général et des luminaires ponctuels, en fonction des besoins.

Inconvénients:
L'inconvénient de l'éclairage ponctuel est qu'il peut générer des contrastes, des ombres
marquées ainsi que des réflexions gênantes. Ceci dit, le fait de veiller à une
bonne uniformité permet de limiter les effets néfastes des contrastes.
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CH3: LES SOURCES LUMINEUSES

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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
Plan:

1/Les lampes à incandescence:


2/Les lampes à décharge:
3/Les sources à LED:

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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
1/Les lampes à incandescence:

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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
1/Les lampes à incandescence:

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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
1/Les lampes à incandescence:
1.1/Principe fonctionne une lampe incandescente:

Le passage du courant électrique dans un filament de tungstène provoque une émission de


lumière et de chaleur dans un gaz inerte à l’intérieur d’une ampoule de verre.

Le flux lumineux des lampes à incandescence peut être diminué ou augmenté par variation
de la tension ("dimming").

Cette modulation se fera cependant avec une diminution de la température de couleur et


du rendement lumineux

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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
1/Les lampes à incandescence:
1.2/principales caractéristiques:

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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
1/Les lampes à incandescence:
1.3/ Les lampes halogènes:
A/Principe fonctionne une lampe halogénes:
La lampe halogène fonctionne sur le même principe qu’une lampe à incandescence : elle
produit de la lumière visible à partir d’un filament de tungstène porté à incandescence.

Pour éviter une dégradation très rapide du filament, celui-ci est placé dans une ampoule à
verre de quartz (pour les hautes températures) renfermant des gaz halogénés à haute
pression comme l’iode et le brome.

Cette caractéristique de la lampe halogène lui permet de travailler avec une surface
d’ampoule beaucoup plus petite.

La lampe halogène fonctionne soit à très basse tension (12 V par exemple), soit à la tension
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du réseau (230 V). Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
1/Les lampes à incandescence:
1.3/ Les lampes halogènes:
B/Types et caractéristiques générales:
Lampe à la tension du réseau:
À la tension du réseau 230 V, la lampe est directement raccordée au réseau. Lorsqu'elle
possède un culot à visser, elle peut directement remplacer une lampe à incandescence.

Lampe à très basse tension:


En très basse tension, la lampe doit être raccordée au réseau 230 V au moyen d'un
transformateur.

Les lampes à très basse tension sans réflecteur:


Il faut éviter de toucher cette lampe (la capsule) : une trace de graisse provoque la
destruction de la lampe lors de l'allumage (par mesure de précaution, frotter la lampe à
l'alcool avant l'emploi).
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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
1/Les lampes à incandescence:
1.3/ Les lampes halogènes:
C/Types et caractéristiques générales:
Les lampes à très basse tension sans réflecteur:

Les lampes à très basse tension avec réflecteur:


Ce type de lampe, plus connue sous le nom de lampe "dichroïque", est directement équipé
d’un réflecteur performant.

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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
1/Les lampes à incandescence:
1.3/ Les lampes halogènes:
C/Types et caractéristiques générales:
Les lampes à très basse tension sans réflecteur:

Les lampes à très basse tension avec réflecteur:


Ce type de lampe, plus connue sous le nom de lampe "dichroïque", est directement équipé
d’un réflecteur performant.

2.3/Caractéristiques des lampes halogènes:

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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
2/Les lampes à décharge:
2.1/Généralités:
On reprend généralement sous la dénomination "lampes à décharge"

les lampes à décharge "haute pression" (lampe au sodium haute pression, aux
halogénures métalliques ou au mercure haute pression).

 Les lampes au sodium basse pression.

Mais les tubes fluorescents, les lampes fluocompactes et les lampes à induction sont
aussi des lampes à décharge (la lumière y est aussi produite par une décharge électrique
dans un gaz).

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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
2/Les lampes à décharge:
2.2/Principe de fonctionnement:

Une lampe dite "à décharge" fonctionne par décharge d'un courant électrique dans une
atmosphère gazeuse.

La décharge électrique s’accompagne de la production de radiations lumineuses visibles


dues à l’illumination du gaz : ce phénomène est représentatif de l’éclairage par
luminescence.

La décharge se fait au travers d'un tube à décharge qui se trouve lui-même dans une
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ampoule vide. Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
2/Les lampes à décharge:
2.2/Principe de fonctionnement:
Les lampes à décharge ont besoin des éléments suivants pour fonctionner :
Amorceur:

Il est équivalent du starter des lampes fluorescentes

 Ballast et d'un condensateur:

Ces trois éléments sont nécessaires pour :


 Atteindre pendant un court instant la tension élevée d'amorçage de la
décharge électrique dans le gaz ionisé ou dans la vapeur de métal,

Limiter le courant après l'amorçage pour empêcher la destruction de la lampe,

Garder un cos φ proche de 1.


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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
2/Les lampes à décharge:
2.3/Les tubes fluorescents:

A/Principe de fonctionnement d’un tube fluorescent:

Les lampes fluorescentes font partie des lampes à décharge. Elles fonctionnent par décharge
d'un courant électrique dans une atmosphère gazeuse.
Les lampes fluorescentes utilisent de la vapeur de mercure sous basse pression.

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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
2/Les lampes à décharge:
2.3/Les tubes fluorescents:

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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
2/Les lampes à décharge:
2.3/Les tubes fluorescents:

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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
2/Les lampes à décharge:
2.3/Les tubes fluorescents:
B/Types et caractéristiques générales:

Les différents diamètres:

Il existe 3 grands types de tubes fluorescents sur le marché :

T12 ou T38 : de diamètre 38 mm,


efficacité lumineuse= 40 à 70 lm/W;

T8 ou T26 : de diamètre 26 mm,


efficacité lumineuse = 65 à 95 lm/W (à 25°C de température ambiante);

T5 ou T16 : de diamètre 16 mm,


efficacité lumineuse = 85 à 105 lm/W (à 35°C de température ambiante).

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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
2/Les lampes à décharge:
2.3/Les tubes fluorescents:
B/Types et caractéristiques générales:

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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
2/Les lampes à décharge:
2.4/Les lampes fluocompactes:

A/Principe de fonctionnement :
Une fonctionne comme un tube fluorescent mais le tube est replié de manière à la rendre
plus lampe fluocompacte compacte.

B/Types et caractéristiques générales:


Sur le marché, on retrouve trois grandes familles de lampes fluocompactes :

Les lampes dites "économiques" à culot à visser :


Elles sont les lampes les plus répandues dans le commerce grand public.
Ces lampes économiques "PL" ont toute leur électronique incorporée et sont de faible
puissance. Certains modèles peuvent être dimmables.

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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
2/Les lampes à décharge:
2.4/Les lampes fluocompactes:
B/Types et caractéristiques générales:
Les lampes fluocompactes à culot à broches (plus professionnelles):
Elles sont souvent utilisées dans des luminaires de type "Downlight" équipés d'optiques
performantes. Ces lampes PL fonctionnent avec ballast non incorporé. Le ballast peut être
électronique dimmable ou pas (4 broches) ou conventionnel (2 broches).

Certains constructeurs innovent en présentant des séries de lampes fluocompactes capables


d'équiper les luminaires à lampe halogène. Certains modèles sont dimmables

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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
2/Les lampes à décharge:
2.4/Les lampes fluocompactes:
B/Types et caractéristiques générales:
Les avantages des lampes à culot à broches sont:
Un plus grand choix de température de couleur et d’IRC.

La possibilité de conserver le ballast (durée de vie de 30 000 h) lors du


remplacement de la lampe (durée de vie de 8 000 h, ou 13 000 h avec ballast
électronique).
L'utilisation d'un ballast électronique assure un allumage instantané de la lampe, sans
clignotement, ni temps d'échauffement.

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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
2/Les lampes à décharge:
2.4/Les lampes fluocompactes:
B/Types et caractéristiques générales:

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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
2/Les lampes à décharge:
2.4/Les lampes fluocompactes:
B/Types et caractéristiques générales:

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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
2/Les lampes à décharge:
2.5/ Les lampes aux halogénures (ou iodures) métalliques

A/Principe de fonctionnement :
La lampe aux iodures métalliques fait partie des lampes à décharge. Son principe de
fonctionnement est donc identique.

Pour certaines lampes, l'ensemble amorceur, ballast conventionnel et condensateur peut être
remplacé par un ballast électronique.

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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
2/Les lampes à décharge:
2.5/ Les lampes aux halogénures (ou iodures) métalliques
A/Principe de fonctionnement :
L'ampoule contient de la vapeur de mercure haute pression dans laquelle on a ajouté des
halogénures métalliques. Suivant le fabricant, les iodures métalliques sont différents
(dysprosium, scandium, sodium, tallium, indium, etc.).

La température de couleur dépend des iodures métalliques présents.

Remarque:
Certaines lampes particulières ont un starter incorporé. Elles s'utilisent alors bien sûr sans
amorceur.
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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
2/Les lampes à décharge:
2.5/ Les lampes aux halogénures (ou iodures) métalliques
B/Caractéristiques générales:
Technologies quartz et céramique:
Les premières générations de lampe à halogénure métallique ont fait appel à un brûleur
quartz.
Cette technologie est tout doucement remplacée par la céramique qui :
Supporte mieux les plus hautes températures permettant une
miniaturisation des lampes ;

Moins sensible à la corrosion des halogénures métalliques ;

Moins poreux aux éléments de remplissage ;

Améliore l’efficacité lumineuse et le rendu de couleur

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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
2/Les lampes à décharge:
2.5/ Les lampes aux halogénures (ou iodures) métalliques
B/Caractéristiques générales:
Connaissance :
Lampe tubulaire de puissance élevée (250 - 2 000 W) transparente équipée :

d'un tube à décharge au quartz,

d'un culot standard

Lampe compacte (70 - 150 W) équipée d'un brûleur céramique.

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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
2/Les lampes à décharge:
2.5/ Les lampes aux halogénures (ou iodures) métalliques
B/Caractéristiques générales:
Connaissance :
Lampe compact (35 -150 W) équipée d'un brûleur céramique

Lampe (35 - 70 W) équipée d'un brûleur céramique à culot standard

Avantage et inconvénient:

Elles ont un flux lumineux élevé et un bon rendement.

Elles ont une position de fonctionnement bien déterminée.

Ces lampes peuvent exploser


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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
2/Les lampes à décharge:
2.5/ Les lampes aux halogénures (ou iodures) métalliques
B/Caractéristiques générales:

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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
2/Les lampes à décharge:
2.5/ Les lampes aux halogénures (ou iodures) métalliques
B/Caractéristiques générales:

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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
2/Les lampes à décharge:
2.6/Les lampes au sodium haute pression:

A/Principe de fonctionnement du lampes au sodium haute pression:


La lampe à vapeur de sodium fait partie des lampes à décharge. Son principe de
fonctionnement est donc identique.

Pour certaines lampes, l'ensemble amorceur, ballast conventionnel et condensateur peut être
remplacé par un ballast électronique.

Le tube à décharge contient un amalgame de sodium avec du mercure et du xénon comme


gaz d'allumage. 39
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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
2/Les lampes à décharge:
2.6/Les lampes au sodium haute pression:
B/Types et caractéristiques générales:
Les lampes à vapeur de sodium haute pression standards émettent une lumière jaune-
orangée, au maximum de la sensibilité de l'œil. Cette lumière leur confère une grande
efficacité lumineuse.

Les lampes au sodium haute pression sont reconnaissables, pour les lampes à finition claire,
à leur tube à arc en céramique de couleur blanche.

Il existe deux modèles de lampes au sodium haute pression :


 Bulbe ellipsoïde
Tubulaire

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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
2/Les lampes à décharge:
2.6/Les lampes au sodium haute pression:
B/Types et caractéristiques générales:
En général, le premier s'utilise dans les cloches tandis que le second s'emploie dans les
projecteurs.

Ces lampes fonctionnent avec ballasts et amorceurs appropriés. On conseille d'utiliser ces
lampes avec des ballasts électroniques.

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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
2/Les lampes à décharge:
2.6/Les lampes au sodium haute pression:
B/Types et caractéristiques générales:

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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
2/Les lampes à décharge:
2.6/Les lampes au sodium haute pression:
B/Types et caractéristiques générales:

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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
2/Les lampes à décharge:
2.7/Les lampes au sodium basse pression:
A/Principe de fonctionnement du lampes au sodium basse pression:

La lampe au sodium basse pression fait partie des lampes à décharge. Son principe de
fonctionnement est donc identique.

L'ensemble amorceur, ballast conventionnel et condensateur peut être remplacé par


un ballast électronique.

Cette lampe est constituée d'un tube à décharge en forme de "U" logé dans une ampoule
extérieure.

Le tube à décharge contient un mélange de vapeur de sodium et de gaz tels que le néon et
l'argon.
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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
2/Les lampes à décharge:
2.7/Les lampes au sodium basse pression:
B/Caractéristiques générales:
La lampe au sodium basse pression émet une lumière monochromatique jaune-orangée au
maximum de la sensibilité de l'œil.

Cette lumière monochromatique lui confère la plus haute efficacité lumineuse de toutes les
lampes communes (hors LED).

Mais c'est également cette caractéristique qui lui donne un très mauvais indice de rendu des
couleurs (IRC).

Après une coupure du réseau, elle redémarre immédiatement.

Elle est principalement utilisée pour l'éclairage des autoroutes car l'efficacité lumineuse est
très élevée et que le rendu des couleurs n'y est pas primordial.

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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
2/Les lampes à décharge:
2.7/Les lampes au sodium basse pression:
B/Caractéristiques générales:

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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
2/Les lampes à décharge:
2.8/Les lampes au mercure haute pression:
A/Principe de fonctionnement du lampes au mercure basse pression:
La lampe au mercure haute pression fait partie des lampes à décharge. Son principe de
fonctionnement est donc identique.

L'ampoule contient de la vapeur de mercure et de l'argon.

La lumière est émise exclusivement sous forme de rayons ultraviolets invisibles rendus
visibles par les poudres fluorescentes placées sur la face interne de l'ampoule.

La lampe à mercure haute pression dispose d'électrodes auxiliaires servant de démarreur


interne. Pour bien fonctionner, elle ne doit donc être équipée que d'un ballast et d'un
condensateur.
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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
2/Les lampes à décharge:
2.8/Les lampes au mercure haute pression:
B/Caractéristiques générales:
La lampe à vapeur de mercure haute pression est aujourd'hui démodée pour plusieurs
raisons : son efficacité lumineuse est faible, de même que son indice de rendu des couleurs.

De plus, sa durée de vie n'est pas très élevée et elle est défavorable à l'environnement.
Dans la plupart des cas, les lampes à vapeur de mercure sont couplées avec des ballasts
électromagnétiques.

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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
3/Les sources LED:

A/Principe de fonctionnement des LED:


Une LED (Light Emitting Diode) est une diode électroluminescente qui émet de la
lumière lorsqu’elle est parcourue par un courant continu dans le sens passant.

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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
3/Les sources LED:
A/Principe de fonctionnement des LED:
La LED émet une lumière quasi monochromatique. Sa couleur dépend des caractéristiques
des matériaux utilisés durant la production (composition des semi-conducteurs et de leur
dopage, température de jonction, …).

Il est ainsi possible de balayer toutes les couleurs du spectre visible.

B/ Caractéristiques générales:
Durée de vie des lampes et luminaires LED:
Une source LED (chip) seule peut atteindre une durée de vie de 50 000 h

Efficacité lumineuse des lampes et luminaires LED

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CH 3: LES SOURCES LUMINEUSES
3/Les sources LED:
B/ Caractéristiques générales:
Rendu des couleurs et température de couleurs:
Avec les lampes et luminaires à LEDs, on peut obtenir un indice de rendu de
couleur entre 60 et 98. De plus, il est possible, avec certains types de LED, de moduler
la température de couleur de manière continue.

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CH 4: BALLASTS ET DRIVERS
Plan:

1/Ballast:
2/L’alimentation (ou "drivers") des LEDs:

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CH 4: BALLASTS ET DRIVERS
1/Ballasts:

Le ballast est un composant constitué d'un bobinage de cuivre entourant un noyau de fer
(ballast dit inductif ou électromagnétique)

Les ballasts évitent la surintensité après amorçage due à la chute brutale de la résistance du
tube fluorescent.

Ils peuvent être compensés, par adjonction d’un condensateur pour améliorer le
facteur de puissance (cos φ).

1.1/Utilisation des ballasts, des starters et des condensateurs:

Le fonctionnement des lampes fluorescentes et des lampes à décharge nécessite


l’utilisation de ballasts et de starters (pour les lampes fluo) ou d'amorceurs (pour les
lampes à décharge).

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Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 4: BALLASTS ET DRIVERS
1/Ballasts:
1.1/Utilisation des ballasts, des starters et des condensateurs:

À partir de cet instant, le ballast joue le rôle de limiteur de courant et empêche la


destruction de la lampe.

1.2/Types de ballasts:
Ballast électromagnétique:

Le ballast électromagnétique (appelé aussi "inductif" ou "conventionnel") est


essentiellement constitué d'un bobinage. Il doit être associé à un starter pour provoquer
l’allumage des lampes fluorescentes

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CH 4: BALLASTS ET DRIVERS
1/Ballasts:
1.2/Types de ballasts:
Ballast électronique haute fréquence pour lampes fluorescentes:
L’ensemble starter, ballast conventionnel et condensateur de compensation du cos φ peut
être remplacé par un ballast électronique avec ou sans préchauffage des cathodes.

Ballast électronique avec préchauffage (ou cathode chaude)


Ballast électronique sans préchauffage
Ballast électronique dimmable

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CH 4: BALLASTS ET DRIVERS
1/Ballasts:
1.2/Types de ballasts:
Ballast électronique pour lampes au sodium basse pression:
L’ensemble starter, ballast conventionnel et condensateur peut être remplacé par un ballast
électronique, appelé également ballast HF (haute fréquence). À l'opposé des ballasts
électroniques pour lampes fluorescentes

Ballast électronique pour lampes à décharge haute pression:


Il existe un ballast électronique dimmable pour lampe au sodium haute pression et lampe
aux iodures métalliques

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Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 4: BALLASTS ET DRIVERS
1/Ballasts:
1.2/Types de ballasts:
Ballast électronique multilampes:

Ce type de ballast, grâce à son "intelligence embarquée", est en mesure de reconnaître les
différentes lampes fluorescentes T5 uniquement de manière autonome et de les amorcer de
façon optimale.

Lors du premier amorçage de la lampe, le microprocesseur du ballast électronique


effectue plusieurs mesures des paramètres de la lampe fluorescente et compare celles-ci
avec les valeurs de références normalisées enregistrées dans sa mémoire telles que :
le courant de préchauffage,
la tension d'électrode,
l'impédance de l'électrode,
le courant normal de régime,
la tension de service de la lampe.
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Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 4: BALLASTS ET DRIVERS
1/Ballasts:
1.2/Types de ballasts:
Ballast électronique multilampes:
L'identification terminée, les paramètres de fonctionnement du ballast sont fixés en fonction
du type et de la puissance de la lampe fluorescente détectée et enregistrés dans sa mémoire
(EPROM).

Lors des amorçages suivants, seul un très court test de vérification est effectué si les
paramètres de la lampe n'ont pas changé.

Le ballast multilampes s'adapte en général à différentes gammes de puissances reprises dans


le tableau suivant :

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Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 4: BALLASTS ET DRIVERS
1/Ballasts:
1.2/Types de ballasts:
Ballast électronique à commande numérique DALI:

DALI: Digital Addressable Lighting Interface

Les ballasts électroniques permettent de réaliser (en fonction du modèle) la gradation des
lampes fluorescentes ou d'être intégrés dans des systèmes de gestion numérique de
l'éclairage.

On peut parler de "réseau adressable d'éclairage" offrant beaucoup d'avantages

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Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 4: BALLASTS ET DRIVERS
2/L’alimentation (ou "drivers") des LEDs:
L’équipement permettant l’alimentation de la LED est appelé couramment un "driver" de
LED.

L’alimentation s’effectue en courant continu dans le sens passant

La stabilité de l’alimentation de la LED dépend de la qualité du redresseur AC/DC et du


filtre "lisseur" de tension

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CH 5 : LUMINAIRES
Plan:

1/Les composants d'un luminaire:


2/Les luminaires intérieurs pour lampes à décharge de puissance élevée:
3/Les luminaires LED:

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CH 5 : LUMINAIRES
1/Les composants d'un luminaire:
Un luminaire sert à répartir, filtrer ou transformer la lumière des lampes. Il peut être
composé de :
L'armature :
Permet l'assemblage des différents composants du luminaire (réflecteurs, ventelles,
platine, diffuseur,...) et la fixation du luminaire au plafond ou au mur.

Le réflecteur :
Réfléchi la lumière émise par la lampe et la dirige selon des directions préférentielles.

Les ventelles :
Protègent l'œil des éblouissements en empêchant la vue directe de la lampe.

Le diffuseur ou protecteur :


Remplace parfois les ventelles et protège la lampe de l'ambiance. On parle aussi de
"vasque".

La platine :
Permet la fixation des auxiliaires électriques (ballasts, starters,...).

L'ensemble des dispositifs chargés de contrôler la lumière émise (réflecteurs, ventelles) est
aussi appelé "optique". 62
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CH 5 : LUMINAIRES
1/Les composants d'un luminaire:
1.1/Luminaire intérieur pour tubes fluorescents:
Les ventelles d'un luminaire ont pour but de limiter la vue directe des lampes à partir d'un
certain angle de vision appelé angle de défilement

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CH 5 : LUMINAIRES
1/Les composants d'un luminaire:
1.1/Luminaire intérieur pour tubes fluorescents:

Luminaires ouverts à ventelles:

Pour limiter l’éblouissement via les écrans d’ordinateur et obtenir une basse luminance

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1/Les composants d'un luminaire:
1.1/Luminaire intérieur pour tubes fluorescents:

Luminaires ouverts à ventelles:

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CH 5 : LUMINAIRES
1/Les composants d'un luminaire:
1.1/Luminaire intérieur pour tubes fluorescents:

Luminaires équipés de ventelles "crantées ou en sapin’’

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CH 5 : LUMINAIRES
1/Les composants d'un luminaire:
1.1/Luminaire intérieur pour tubes fluorescents:

Luminaires "lumière douce’’:


Il est caractérisé par une luminance également répartie dans toutes les directions (de l'ordre
de 1 500 cd/m²)

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CH 5 : LUMINAIRES
1/Les composants d'un luminaire:
1.1/Luminaire intérieur pour tubes fluorescents:

Luminaires fermé:
Pour leur garantir un degré d'étanchéité (classe IP) ou de protection au choc (classe IK) plus
important, le luminaire peut être fermé par un diffuseur ou protecteur translucide. Celui-ci
peut être en :

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CH 5 : LUMINAIRES
1/Les composants d'un luminaire:
1.1/Luminaire intérieur pour tubes fluorescents:

Mode de pose:
Encastré:
Les luminaires à encastrer sont utilisés avec un faux plafond démontable.

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CH 5 : LUMINAIRES
1/Les composants d'un luminaire:
1.1/Luminaire intérieur pour tubes fluorescents:

Mode de pose:
Apparent:

En rénovation, ils sont en principe utilisés lorsqu'on ne dispose pas d'un faux plafond, ou
lorsque le faux plafond est fixe (ex : faux plafond en plaques de plâtre).

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CH 5 : LUMINAIRES
1/Les composants d'un luminaire:
1.1/Luminaire intérieur pour tubes fluorescents:

Mode de pose:
suspendu:

Les luminaires peuvent être suspendus au plafond soit par des câbles, soit par des tubes qui
contiennent en même temps l'alimentation électrique.

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CH 5 : LUMINAIRES
1/Les composants d'un luminaire:
1.1/Luminaire intérieur pour tubes fluorescents:

Mode de pose:
Cas particulier : les rails industriels:
On trouve chez les fabricants, des luminaires précâblés pouvant se raccorder par
encliquetage immédiat sur des rails modulaires.

Ils conviennent aussi bien pour les lignes continues de luminaires (luminaires disposés les
uns derrière les autres, sans espace entre eux) que pour les lignes discontinues.

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CH 5 : LUMINAIRES
1/Les composants d'un luminaire:
1.2/Luminaire intérieur pour lampes à décharge:

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CH 5 : LUMINAIRES
1/Les composants d'un luminaire:
1.3/Exemples de luminaire intérieur pour LED:

Luminaire de type "dowmlight’’

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CH 5 : LUMINAIRES
1/Les composants d'un luminaire:
1.3/Exemples de luminaire intérieur pour LED:
Types de lampes adaptées:

Initialement, les luminaires "downlights" ont été développés pour accueillir des lampes
fluocompactes à broches de puissance réduite.

Actuellement, une alternative plus économique est le downlight à LED. Le luminaire


complet est prévu uniquement pour y intégrer un module LED (éventuellement
remplaçable).

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CH 5 : LUMINAIRES
1/Les composants d'un luminaire:
1.4/Luminaire intérieur pour lampe fluocompacte:

Dans ce type de luminaire, le ballast électronique n’est pas intégré. On dit qu’il est déporté
ou externe.

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CH 5 : LUMINAIRES
1/Les composants d'un luminaire:
1.5/Luminaire extérieur:

Le luminaire est soit fixé à un mur via une console, soit posé sur le sol via un mât ou un
poteau.

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CH 5 : LUMINAIRES
1/Les composants d'un luminaire:
1.5/Luminaire extérieur:

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CH 5 : LUMINAIRES
1/Les composants d'un luminaire:
1.5/Luminaire extérieur:

Classification des luminaires extérieurs:

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CH 5 : LUMINAIRES
1/Les composants d'un luminaire:
1.5/Luminaire extérieur:

Classification des luminaires extérieurs:

Un luminaire d'éclairage public éclaire grosso modo une bande d'une largeur égale à la
hauteur de feu. Cette largeur peut atteindre 2,5 fois la hauteur pour un projecteur.

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CH 5 : LUMINAIRES
1/Les composants d'un luminaire:
1.5/Luminaire extérieur:

Classification des luminaires extérieurs:

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CH 5 : LUMINAIRES
2/Les luminaires intérieurs pour lampes à décharge de puissance élevée:

2.1/Types de réflecteur:

Réflecteur en aluminium:
Ce réflecteur est le plus courant, le plus polyvalent (grâce à la gamme d'accessoires qui peut
y être adapté) et le moins cher

Le réflecteur en aluminium peut être émaillé blanc sur sa partie interne. Son rendement est
alors légèrement moins élevé qu'un réflecteur en aluminium anodisé, par exemple.

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CH 5 : LUMINAIRES
2/Les luminaires intérieurs pour lampes à décharge de puissance élevée:
2.1/Types de réflecteur:
Réflecteur en aluminium:

Réflecteur interne en verre:


Le réflecteur peut également être en verre ou en acrylique sans enveloppe en aluminium.

La lumière sort dans toutes les directions et la répartition photométrique de ce réflecteur est
équivalente à celle d'un éclairage "direct/indirect’’. De plus, il est très apprécié pour son
esthétique.

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CH 5 : LUMINAIRES
2/Les luminaires intérieurs pour lampes à décharge de puissance élevée:
2.2/Accessoires:

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CH 5 : LUMINAIRES
2/Les luminaires intérieurs pour lampes à décharge de puissance élevée:
2.2/Accessoires:

Pour obtenir un luminaire fermé, on utilise un verre de protection ou une vasque en


polycarbonate.

La grille de protection protège des chocs.

La grille de défilement protège contre l'éblouissement direct.

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CH 5 : LUMINAIRES
2/Les luminaires intérieurs pour lampes à décharge de puissance élevée:
2.3/Particularités:

Les ouïes de ventilation créent un courant d'air, provoquant un effet auto-nettoyant à


l'intérieur du réflecteur.

Le cycle de maintenance peut être prolongé et les pertes de flux entre deux nettoyages sont
réduites.

De plus, le courant d'air refroidit la lampe et augmente sa durée de vie.

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CH 5 : LUMINAIRES
2/Les luminaires intérieurs pour lampes à décharge de puissance élevée:
2.4/Mode de pose:
Le montage se fait soit directement au plafond (ou sur une structure fixe), soit suspendu par
chaîne ou tige filetée rigide.

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CH 5 : LUMINAIRES
3/Les luminaires LED:
Le luminaire LED est un système complet composé de puces LED, de lampe(s) à LEDs ou
encore de module(s) LED, comprenant l’électronique, l’enveloppe, le câblage, etc.

Il peut éventuellement être conçu pour recevoir des modules remplaçables.

3.1/Caractéristiques générales:

Durée de vie des lampes et luminaires LED:

La durée de vie peut atteindre une durée de vie de 50 000 h

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CH 5 : LUMINAIRES
3/Les luminaires LED:
3.1/Caractéristiques générales:

Efficacité lumineuse des lampes et luminaires LED:

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CH 5 : LUMINAIRES
3/Les luminaires LED:
3.1/Caractéristiques générales:

Rendu des couleurs et température de couleurs:

Avec les lampes et luminaires à LEDs, on peut obtenir un indice de rendu de couleur entre
60 et 98. De plus, il est possible, avec certains types de LED, de moduler la température
de couleur de manière continue.

3.2/Aspect thermique:

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CH 5 : LUMINAIRES
3/Les luminaires LED:
3. 3/Aspect optique:

la luminance de la source devient très importante et peut atteindre des valeurs de 10 à 100
millions de Cd/m².

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CH 6 : LES COMMANDES
1/ Le zonage des commandes:
1.1/Principe:
Le zonage consiste à répartir la distribution électrique et à regrouper les commandes en
tenant compte :

De la présence d'éclairage individuel : Celui-ci retarde l'allumage de


l'éclairage général.

Des zones de même activité ou même période d'occupation : Les appareils


d'une même zone sont utilisés en fonction de l'occupation, indépendamment de la
zone voisine.

De l'éclairage naturel du local : Les appareils "côté intérieur" (ou locaux
aveugles) sont commandés séparément des appareils "côté vitrages", ces derniers
étant enclenchés selon les besoins en complément de l'éclairage naturel.

Des activités secondaires : Pour les activités se déroulant en dehors des heures
normales (nettoyage ou gardiennage), un éclairage réduit suffit souvent
amplement.

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CH 6 : LES COMMANDES
1/ Le zonage des commandes:
1.2/Technologie classique de zonage:

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CH 6 : LES COMMANDES
1/ Le zonage des commandes:
1.2/Technologie classique de zonage:

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CH 6 : LES COMMANDES
2/ La gestion et les commandes manuelles:
2.1/Les interrupteurs:
Les interrupteurs constituent les organes de commande les plus simples dans une gestion
d’occupation. Leur caractéristique principale est qu’ils restent en l’état ON ou OFF s’ils ne
sont pas actionnés par l’occupant.

Le changement d’état nécessite l’intervention de l’occupant.

On retrouve différents types d’interrupteur suivant la configuration du local : les


interrupteurs simples et 2 directions existent toujours sur le marché.

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CH 6 : LES COMMANDES
2/ La gestion et les commandes manuelles:
2.1/Les interrupteurs:

Simple allumage:

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CH 6 : LES COMMANDES
2/ La gestion et les commandes manuelles:
2.1/Les interrupteurs:

Simple allumage:

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CH 6 : LES COMMANDES
2/ La gestion et les commandes manuelles:
2.1/Les interrupteurs:

Simple allumage:

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CH 6 : LES COMMANDES
2/ La gestion et les commandes manuelles:
2.1/Les interrupteurs:
Simple allumage:

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CH 6 : LES COMMANDES
2/ La gestion et les commandes manuelles:
2.1/Les interrupteurs:
Interrupteur à voyant:

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CH 6 : LES COMMANDES
2/ La gestion et les commandes manuelles:
2.1/Les interrupteurs:
Interrupteur à voyant:

101
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CH 6 : LES COMMANDES
2/ La gestion et les commandes manuelles:
2.1/Les interrupteurs:
Interrupteur s double allumage:

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CH 6 : LES COMMANDES
2/ La gestion et les commandes manuelles:
2.1/Les interrupteurs:
Interrupteurs double allumage:

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CH 6 : LES COMMANDES
2/ La gestion et les commandes manuelles:
2.1/Les interrupteurs:
Interrupteur s va et vient:

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CH 6 : LES COMMANDES
2/ La gestion et les commandes manuelles:
2.1/Les interrupteurs:
Interrupteur s va et vient:

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CH 6 : LES COMMANDES
2/ La gestion et les commandes manuelles:
2.1/Les interrupteurs:
Interrupteurs permutateur:

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CH 6 : LES COMMANDES
2/ La gestion et les commandes manuelles:
2.1/Les interrupteurs:
Interrupteurs permutateur:

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CH 6 : LES COMMANDES
2/ La gestion et les commandes manuelles:
2.1/Les interrupteurs:
Interrupteurs télérupteurs :

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CH 6 : LES COMMANDES
2/ La gestion et les commandes manuelles:
2.1/Les interrupteurs:
Interrupteurs télerupteurs :

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CH 6 : LES COMMANDES
2/ La gestion et les commandes manuelles:
2.2/Les boutons poussoir:
Les boutons poussoirs, contrairement aux interrupteurs, n’ont qu’un seul état au repos : soit
ON, soit OFF suivant leur type.

Ils ne servent, par une simple impulsion, qu'à changer l’état d’un équipement intermédiaire
de commande des luminaires comme, par exemple, les télérupteurs, les relais, les entrées
digitales des automates (DI : Digital Input), …

Cette caractéristique leur permet aussi de pouvoir être couplés avec une détection
d’occupation automatique.

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CH 6 : LES COMMANDES
2/ La gestion et les commandes manuelles:
2.3/Les gradateurs ou "dimmer’’:
L’idée du contrôle du flux lumineux est d’adapter la luminance ou, de manière plus
pratique, le niveau d’éclairement du luminaire en fonction du besoin réel de "lux" dans un
local, lorsque le local considéré bénéficie d’un appoint en éclairage naturel.

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CH 6 : LES COMMANDES
2/ La gestion et les commandes manuelles:
2.3/Les gradateurs ou "dimmer’’:

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CH 6 : LES COMMANDES
2/ La gestion et les commandes manuelles:
2.3/Les gradateurs ou "dimmer’’:

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CH 6 : LES COMMANDES
3/La gestion en fonction d'un horaire:
3.1/Les minuteries:

L'usage de minuteries assurant l'extinction automatique de l'éclairage est utilisé depuis


longtemps dans les circulations (escaliers, halls, ...) où la présence des utilisateurs est
momentanée.

3.2/Contrôle de l'heure:

Il existe une grande variété d'horloges, allant du simple interrupteur électromagnétique


multi positions jusqu'à l'interrupteur à cristaux liquides. Les commandes transmises aux
luminaires peuvent aussi provenir de systèmes de gestion centrale.

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CH 6 : LES COMMANDES
3/La gestion en fonction d'un horaire:
3.2/Contrôle de l'heure:

Lorsque l'on envisage le placement d'une horloge sur l'installation d'éclairage, il faut avoir
en tête qu’il est souvent préférable de ne commander que l'extinction des luminaires,
laissant aux occupants la liberté d'allumage.

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CH 6 : LES COMMANDES
4/La gestion en fonction de la présence:
Les détecteurs de mouvement et de présence/absence:
A/Principe de fonctionnement:

Dans le jargon des professionnels, un détecteur de mouvements se différencie d'un détecteur


de présence par sa grande sensibilité.

Il existe plusieurs technologies:


La technologie à infrarouge (IR)

Ils détectent le mouvement du corps humain par la mesure du rayonnement infrarouge


(= chaleur) émis par le corps humain (Passifs)

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CH 6 : LES COMMANDES
4/La gestion en fonction de la présence:
Les détecteurs de mouvement et de présence/absence:
A/Principe de fonctionnement:

Technologies ultrasoniques (US) (sanitaires)

Les détecteurs US sont de type émetteur/récepteur et fonctionne sur le principe de l’effet


Doppler. Toute onde ultrasonique (32 kHz à 45 kHz) émise par le détecteur qui rencontre un
objet sur son parcours, "rebondit" en direction inverse avec une fréquence différente

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CH 6 : LES COMMANDES
4/La gestion en fonction de la présence:
Les détecteurs de mouvement et de présence/absence:
A/Principe de fonctionnement:

Combinées IR et US ou encore sonore.

Cette combinaison permet d’augmenter la fiabilité des détecteurs et élimine les détections
indésirables.

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CH 6 : LES COMMANDES
4/La gestion en fonction de la présence:
Les détecteurs de mouvement et de présence/absence:
A/Principe de fonctionnement:
Détecteurs sonores:
Les détecteurs sonores réagissent au bruit

Détecteurs "intelligents’’:
Ce type de détecteur à double technologie enregistre pendant plusieurs mois le mode
d'occupation du local et adapte automatiquement sa sensibilité.

B/Types de détecteurs:
On distingue deux familles d'équipement :
Les détecteurs à pouvoir de coupure (peut couper l'alimentation de la
lampe)
Les détecteurs montés à la place des interrupteurs
Ceux-ci se placent dans les circulations, sanitaires, petits bureaux etc

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CH 6 : LES COMMANDES
4/La gestion en fonction de la présence:
Les détecteurs de mouvement et de présence/absence:
B/Types de détecteurs:
Les détecteurs à pouvoir de coupure (peut couper l'alimentation de la
lampe)

Les détecteurs placés au plafond


Dans les entrepôts de grand volume ou les bureaux aménagés de cloisons montant à mi-
hauteur de manière à pouvoir couvrir l'ensemble de l'espace.

Exemple: Salles de sports

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CH 6 : LES COMMANDES
4/La gestion en fonction de la présence:
Les détecteurs de mouvement et de présence/absence:
B/Types de détecteurs:
Les détecteurs à pouvoir de coupure (peut couper l'alimentation de la
lampe)
Les détecteurs intégrés dans le luminaire
Ce type de détecteur commande directement et individuellement le luminaire sur lequel il
est monté

Les détecteurs gradables (agit sur la commande 1-10V du ballast


dimmable)

Les détecteurs gradables


On rencontre deux types de détecteurs gradables :
Analogique : connecté au ballast électronique dimmable, ce type de
détecteur agit comme le potentionmètre (ou dimmer) sur le ballast en
faisant varier la tension de commande de 1 à 10 Volt,

Digital : connecté à un ballast type DALI ou sur un réseau type


DALI, ce genre de détecteur peut agir sur un ou des groupes de
luminaires.
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CH 6 : LES COMMANDES
4/La gestion en fonction de la présence:
Les détecteurs de mouvement et de présence/absence:
B/Types de détecteurs:

Les détecteurs gradables (agit sur la commande 1-10V du ballast


dimmable)

Les détecteurs gradables

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CH 6 : LES COMMANDES
4/La gestion en fonction de la présence:
Les détecteurs de mouvement et de présence/absence:
B/Types de détecteurs:
Les détecteurs gradables (agit sur la commande 1-10V du ballast
dimmable)

Les multidétecteurs

Les détecteurs combinent plusieurs fonctions afin de commander, de réguler, de gérer un ou


des groupes de luminaires :

la détection de présence,


la régulation en fonction du niveau d'éclairage naturel,
la réception IR d'un signal de commande à distance (télécommande).

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CH 6 : LES COMMANDES
4/La gestion en fonction de la présence:
Les détecteurs de mouvement et de présence/absence:
C/ Emplacement:
Les détecteurs doivent être placés de manière à couvrir tout l'espace à détecter.

Exemple:
On souhaite placer des détecteurs de présence pour commander l'éclairage du hall ci-
dessous.
Caractéristiques du détecteur :
Interrupteurs automatiques :
Angle de détection : 180°
Portée latérale : 2 x 6 m
Portée frontale : 12 m

Trois détecteurs seront placés


Ils couvriront l'ensemble
du hall.

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CH 6 : LES COMMANDES
4/La gestion en fonction de la présence:
Les détecteurs de mouvement et de présence/absence:
D/ Schémas de raccordement (en gestion de l'éclairage):

Situation 1 : il n'y a qu'un seul détecteur:

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CH 6 : LES COMMANDES
4/La gestion en fonction de la présence:
Les détecteurs de mouvement et de présence/absence:
D/ Schémas de raccordement (en gestion de l'éclairage):

Situation 2 : il y a plusieurs détecteurs


Détecteurs en parallèle:

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CH 6 : LES COMMANDES
4/La gestion en fonction de l'apport en éclairage naturel:

Très souvent dans les zones proches des fenêtres, l'éclairage artificiel n'est nécessaire que
le matin, le soir ou la nuit. En journée, l'éclairage naturel est suffisant pour assurer le
confort visuel.

On tient compte de l'éclairage naturel en agissant :


Soit en tout ou rien (on/off), soit par une gradation continue du flux lumineux,
Soit en fonction de l'éclairement extérieur, soit en fonction de l'éclairement
intérieur,
Soit individuellement sur chaque luminaire, soit sur un groupe de luminaires.

Mesure de la luminance de la fenêtre:

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CH 6 : LES COMMANDES
4/La gestion en fonction de l'apport en éclairage naturel:
Mesure de la luminance de la fenêtre:
Un capteur mesure en permanence la luminance de la fenêtre (proportionnelle à l’apport de
lumière naturelle).

Au sein d'un régulateur, une correspondance est établie entre le niveau mesuré et le réglage
du ballast pour maintenir le niveau d'éclairement requis.

Mesure de la luminance en un point du local:

Un capteur mesure la luminance en un point du local et adapte en conséquence la puissance


des luminaires. Ces sondes de luminosité locales peuvent être placées :

Dans des blochets au même emplacement que les interrupteurs ;


En plafonnier ;
Encastrés dans des faux-plafonds.
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CH 6 : LES COMMANDES
4/La gestion en fonction de l'apport en éclairage naturel:

Mesure de la luminance en un point du local:


Un capteur mesure la luminance en un point du local et adapte en conséquence la puissance
des luminaires. Ces sondes de luminosité locales peuvent être placées :

Dans des blochets au même emplacement que les interrupteurs ;

En plafonnier ;

Encastrés dans des faux-plafonds.

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CH 6 : LES COMMANDES
4/La gestion en fonction de l'apport en éclairage naturel:

Mesure de la luminance au niveau de chaque luminaire:


Ce mode de régulation consiste à équiper chaque luminaire d'un capteur qui mesure
l'éclairement sous le luminaire.

Le capteur agit directement sur le ballast du luminaire et régule le flux lumineux pour
maintenir en permanence l'éclairement recommandé.

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CH 6 : LES COMMANDES
5/La gestion centralisée de l'éclairage:

Gestion classique:
Une installation d'éclairage traditionnelle raccorde les luminaires et les commandes par un
réseau de câbles défini une fois pour toutes.

131
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CH 6 : LES COMMANDES
5/La gestion centralisée de l'éclairage:

Gestion par bus de communication:

Les récents développements ont ouvert de nouvelles possibilités : tous les équipements sont
connectés en parallèle sur un même bus de communication, chaque lampe, chaque
interrupteur ayant une adresse informatique propre.

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CH 6 : LES COMMANDES
5/La gestion centralisée de l'éclairage:

Le protocole DALI:


DALI (Digital Addressable Lighting Interface) est un protocole de communication dédié
exclusivement à la gestion d’éclairage.

DALI permet de gérer, commander et réguler numériquement une installation d'éclairage


par l'intermédiaire d'un bus de communication deux fils communément appelé "ligne
DALI".

DALI apporte :
Une gestion flexible de l'éclairage par :

un adressage individuel des ballasts électroniques, et par


conséquent des luminaires,

la facilité de découper les espaces en zone indépendante,

la simplicité de programmation, de modification de


programmation sans devoir intervenir physiquement sur
l'installation.
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CH 6 : LES COMMANDES
5/La gestion centralisée de l'éclairage:
Le protocole DALI:
DALI apporte :
Un confort et une simplicité :

de mise à disposition de multiples scénarios de commande et de


gestion pour l'utilisateur et le gestionnaire technique,

de mise en œuvre pour le maître d'œuvre.


Une compatibilité avec les systèmes domotiques et les GTC (Gestion Technique
Centralisée).

Exemple:

134
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CH 6 : LES COMMANDES
5/La gestion centralisée de l'éclairage:
Le protocole DALI:
DALI apporte :
Un confort et une simplicité :

de mise à disposition de multiples scénarios de commande et de


gestion pour l'utilisateur et le gestionnaire technique,

de mise en œuvre pour le maître d'œuvre.


Une compatibilité avec les systèmes domotiques et les GTC (Gestion Technique
Centralisée).

Exemple:

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CH 6 : LES COMMANDES
5/La gestion centralisée de l'éclairage:
Le protocole DALI:
Exemple:
Soit 5 groupes de luminaires reliés entre eux par un bus de communication DALI :

Les alimentations 220 V des luminaires peuvent être indépendantes l'une de l'autre. Vu que
chaque luminaire a sa propre adresse , ils peuvent être commandés séparément ou en groupe
à partir du boîtier de commande DALI via le bus DALI.

Le boîtier de commande est programmable comme un automate traditionnel avec des


fonctions:
de temporisation;
d'horloge;
de commande directe;
...

Les entrées sont reliés aux organes de commande tels que les boutons poussoirs, les sondes
photométriques, les télécommandes, ...

Les sorties se font sur le bus de communication DALI et commandent ou régulent les
ballasts des luminaires.
136
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CH 6 : LES COMMANDES
5/La gestion centralisée de l'éclairage:
Le protocole DALI:
Exemple:
Dans le cas de locaux avec vitrage, chaque luminaire peut être régulé séparément en
fonction de sa position dans le local et suivant l'apport externe de lumière naturelle.

Cette régulation s'opère à partir :


D'une sonde photométrique unique via le bus de communication;

Ou directement à partir d'une sonde placée sur le luminaire et


communiquant avec le ballast DALI.

137
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CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
0/Symbole d’éclairage:
0.1/Symbole électrique de commande:

138
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CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
0/Symbole d’éclairage:
0.2/Symbole électrique d’éclairage:

139
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CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
0/Symbole d’éclairage:
0. 3/Symbole électrique de prise de courant, réseau et antenne:

140
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CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
0/Symbole d’éclairage:
0.4/Symbole électrique divers:

141
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CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
1/Schémas électriques:
1.1/Schéma architectural:

142
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CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
1/Schémas électriques:
1.1/Schéma architectural:
A l’aide de symboles normalisés et conformément au cahier des charges, le schéma
architectural permet de représenter le local ou l’habitation avec ses dimensions (architecture
- vue de dessus).

On indique sur ce schéma l’emplacement :

- Des prises (de courant, RJ45, téléphone, télévision,…).


- Des récepteurs (point lumineux, convecteur, volet roulant...).
- Des points de commande (interrupteur, bouton poussoir).
- De l'arrivée d'énergie.

Les liaisons entre les points de commande et l’appareil commandé sont représentées par des
pointillés.

N.B: Les protections ne sont pas représentées.

143
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CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
1/Schémas électriques:
1.1/Schéma architectural:
A/ Appareils de commande:

144
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CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
1/Schémas électriques:
1.1/Schéma architectural:
B/ Appareils d’utilisation:

C/ Appareil de connexion :

1.2/ Le schéma développé :


Dans ce schéma, les symboles des différents éléments sont disposés de façon à ce que le
tracé de chaque circuit soit facile à suivre.

N.B: Les protections électriques sont représentées.

145
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CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
1/Schémas électriques:
1.2/ Le schéma développé :

146
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CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
1/Schémas électriques:
1.2/ Le schéma développé :
A/Appareils de protection du matériel contre les surintensités :

N.B: Il faut également indiquer le calibre de la protection en Ampère (A) à côté du


repère de l'appareil. 147
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CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
1/Schémas électriques:
1.2/ Le schéma développé :
B/Appareil de protection des personnes contre les défauts d'isolement :

N.B: Il faut également indiquer le calibre de la protection I (en A) et sa sensibilité IΔn


(en mA) à côté du repère de l'appareil. 148
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CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
1/Schémas électriques:
1.2/ Le schéma développé :
C/Appareil de connexion :

149
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CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
1/Schémas électriques:
1.2/ Le schéma développé :
D/Appareil d’utilisation (récepteur):

E/ Appareils de commande simple :

150
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CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
1/Schémas électriques:
1.2/ Le schéma développé :
F/ Appareils de commande complexe:

151
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CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
1/Schémas électriques:
1.3/ Le schéma multifilaire:

152
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CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
1/Schémas électriques:
1.3/ Le schéma multifilaire:
Il représente les appareils à leur emplacement dans la pièce avec les circuits électriques
détaillés et la position des canalisations.

L’utilisation des couleurs est obligatoire afin de comprendre plus facilement le schéma.

- Neutre : bleu.
- Phase :Rouge
- P.E. : Vert ou Jaune.

- Autre conducteurs : toutes les couleurs sauf bleu ,rouge et vert ou jaune.

Les symboles utilisés pour le schéma multifilaire sont les mêmes que ceux du schéma
développé sauf pour les protections.

153
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CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
1/Schémas électriques:
1.2/ Le schéma multifilaire:
A/ Appareils de protection du matériel contre les surintensités :

N.B: Il faut également indiquer le calibre de la protection en Ampère (A) à côté du


repère de l'appareil.
154
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CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
1/Schémas électriques:
1.2/ Le schéma multifilaire:
B/ Appareils de protection des personnes contre les défaut d'isolement :
Le Dispositif Différentiel à courant Résiduel (D.D.R.) :

N.B: Il faut également indiquer le calibre de la protection I (en A) et sa sensibilité IΔn


(en mA) à côté du repère de l'appareil. 155
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
1/Schémas électriques:
1.4/ Le schéma unifilaire :

156
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CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
1/Schémas électriques:
1.4/ Le schéma unifilaire:

C’est la représentation simplifiée du schéma uniltifilaire : il comporte l’emplacement


des appareillages et des canalisations sur lesquelles on précise le nombre et le type de
conducteurs.

Les conducteurs sont représentés par un trait oblique sur le conduit.

S’il s’agit d’un conducteur de neutre, un point est placé sur une extrémité du trait oblique.

Les conducteurs de Protection Equipotentielle (PE) sont représentés avec un trait à


l’extrémité du trait oblique.

Les autres conducteurs sont représentés par un simple trait oblique.

Dans le cas où il y a plusieurs conducteurs de même type, on peut ne tracer qu’un trait et on
indique à côté de celui-ci le nombre de conducteurs identiques.

Les symboles du schéma unifilaire sont identiques à ceux du schéma architectural.


157
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CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.1/Simple allumage:
A/Schéma développé:

158
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CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.1/Simple allumage:
A/Schéma développé:

B/Schéma architectural:

159
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.1/Simple allumage:
B/Schéma architectural:

160
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.1/Simple allumage:
C/Schéma multifilaire:

161
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.1/Simple allumage:
C/Schéma multifilaire:

162
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.1/Simple allumage:
C/Schéma multifilaire:

163
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.1/Simple allumage:
D/Schéma unifilaire:

164
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.1/Simple allumage:
D/Schéma unifilaire:

165
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.1/Simple allumage:
D/Schéma unifilaire:

166
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CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.2/Double allumage:
A/Schéma développé:

167
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.2/Double allumage:
A/Schéma développé:

168
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.2/Double allumage:
B/Schéma architectural:

169
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.2/Double allumage:
B/Schéma architectural:

170
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.2/Double allumage:
C/Schéma multifilaire:

171
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.2/Double allumage:
C/Schéma multifilaire:

172
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.2/Double allumage:
C/Schéma multifilaire:

173
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.2/Double allumage:
C/Schéma multifilaire:

174
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.2/Double allumage:
D/Schéma unifilaire:

175
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.2/Double allumage:
D/Schéma unifilaire:

176
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.3/Va et vient :
A/Schéma développé:

177
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.3/Va et vient :
B/Schéma architectural:

178
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.3/Va et vient :
C/Schéma multifilaire:

179
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.3/Va et vient :
C/Schéma multifilaire:

180
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.3/Va et vient :
D/Schéma unifilaire:

181
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.3/Va et vient :
D/Schéma unifilaire:

182
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.4/Télérupteur :
A/Schéma développé:

183
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.4/Télérupteur :
A/Schéma développé:

184
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.4/Télérupteur :
B/Schéma architectural:

185
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.4/Télérupteur :
B/Schéma architectural:

186
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.4/Télérupteur :
C/Schéma multifilaire:

187
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.4/Télérupteur :
C/Schéma multifilaire:

188
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.4/Télérupteur :
D/Schéma unifilaire:

189
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.4/Télérupteur :
D/Schéma unifilaire:

190
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.5/Minuterie avec effet:
Schéma développé:

Lampes éteintes avec disjoncteur ouvert (OFF):

191
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.5/Minuterie avec effet:
Schéma développé:

Lampes allumées avec disjoncteur fermé (ON):

192
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.5/Minuterie avec effet:
Schéma développé:

K:Minuterie
K1:Contact de la minuterie
193
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.6/Minuterie sans effet:
Schéma développé:

K:Minuterie
K1:Contact de la minuterie
194
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.6/Minuterie sans effet:
Schéma architectural:

195
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.6/Minuterie sans effet:
Schéma multifilaire:

196
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
2/Exemples:
2.6/Minuterie sans effet:
Schéma unifilaire:

197
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
3/Schémas électriques des tubes fluorescents:
.

198
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
3/Schémas électriques des tubes fluorescents:
.

199
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
3/Schémas électriques des tubes fluorescents:

200
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
3/Schémas électriques des tubes fluorescents:

201
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
3/Schémas électriques des tubes fluorescents:

202
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
3/Schémas électriques des tubes fluorescents:

203
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
3/Schémas électriques des tubes fluorescents:

204
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
3/Schémas électriques des tubes fluorescents:

205
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
3/Schémas électriques des tubes fluorescents:

206
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
3/Schémas électriques des tubes fluorescents:

207
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
3/Schémas électriques des tubes fluorescents:

208
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
3/Schémas électriques des tubes fluorescents:
3.1/Schéma d’un allumage par starter, ou allumage différé:

209
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CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
3/Schémas électriques des tubes fluorescents:
3.2/Schéma d’un allumage instantané par une électrode auxiliaire:

210
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CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
3/Schémas électriques des tubes fluorescents:
3. 3/Montage compensé:
Schéma développé:

211
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
3/Schémas électriques des tubes fluorescents:
3.4/Schéma de montage duo:
Schéma développé:

N.B: Les substances fluorescentes utilisées pour rendre visibles les radiations ultraviolettes
ont un faible rémanence : Cela se traduit par un papillotement désagréable. 212
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
3/Schémas électriques des tubes fluorescents:
3.4/Schéma de montage duo:
Schéma développé:

.
213
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
4/Schémas électriques des prises de courant:

Schéma architectural:

214
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CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
4/Schémas électriques des prises de courant:

Schéma développé:

215
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CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
4/Schémas électriques des prises de courant:

Schéma multifilaire:

216
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CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
4/Schémas électriques des prises de courant:

Schéma unifilaire:

217
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CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
5/Schémas électriques de sonnerie:

Schéma développé:

218
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CH 7 : SYMBOLE D’ECLAIRAGE, PLAN ET
SCHEMA ELECTRIQUE D’INSTALLATION
6/Schémas électriques de gâche électrique (commande à distance): :

Schéma développé:

219
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH8 : PRINCIPAUX RISQUES ET DANGER LIES A L’INSTALLATION
DE LUMINAIRES ET LES PRECAUTIONS A PRENDRE

1/Risques et dangers:
Parmi les principaux risques et dangers liés à l’installation de luminaires on peut citer par
exemple :
Chutes à partir d’un échafaudage, une échelle ou un escabeau.

Blessures aux mains ou au dos par exemple.

Electrocution à cause de l’utilisation d’un outillage défectueux par


exemple.
2/Précautions:
La prudence élémentaire exige de prendre les mesures qui s’imposent pour réduire les
risques, mais aussi de protéger contre l’imprévisible, c’est la raison d’être des mesures de
protection suivantes:
Consulter les directives et le devis.

Consulter le plan.

Déterminer les caractéristiques : tension monophasée, triphasée.

Consulter les normes en vigueur.


220
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH8 : PRINCIPAUX RISQUES ET DANGER LIES A L’INSTALLATION
DE LUMINAIRES ET LES PRECAUTIONS A PRENDRE

2/Précautions:

Effectuer les calculs nécessaires : section des conducteurs, circuits de


protection.

Consulter la documentation pertinente.

Choisir le matériel, l’équipement et l’outillage nécessaires.

Communiquer adéquatement avec ses supérieurs et ses collègues.

Rédiger un rapport de planification contenant la liste du matériel, de


l’outillage et de l’équipement nécessaire.

221
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH9 : PREPARATION DE L’EQUIPEMENT,
L’OUTILLAGE ET LE MATERIEL
La procédure à suivre pour préparer l’équipement, l’outillage et le matériel :

1/Communiquer adéquatement pour l’organisation de la manutention:

Choix d’un chef de manoeuvre, selon la situation;

Organisation de la manutention;

Détermination d’un parcours;

Distribution des responsabilités.


2/Vérifier l’outillage :
Le bon fonctionnement des guides de sécurité;

L’état des cordons d’alimentation des outils électriques;

L’état général de fonctionnement;

L’état des piles des instruments.

222
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH9 : PREPARATION DE L’EQUIPEMENT,
L’OUTILLAGE ET LE MATERIEL
3/Entretenir les outils manuels :

Aiguisage;

Changement des lampes;

4/Préparer l’équipement, l’outillage et le matériel :

Assembler les accessoires aux outils;

Installer des extensions de câblage pour alimenter les outils


électriques;

Installer les échafaudages, escabeaux ou échelles, selon les besoins;

Manutentionner de façon sécuritaire le matériel, l’équipement et


l’outillage.

223
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH10 : TECHNIQUES DE FIXATION DES DIVERS
LUMINAIRES
Pour chaque type de luminaire la technique de fixation devra comporter les étapes suivantes :

Localiser et positionner le composant.

Effectuer les travaux préparatoires selon le cas:

Mesure

Perçage

Pose d’ancrages

Installation de supports

Choisir les organes et accessoires d’assemblage

Fixer solidement le composant

Installer les accessoires.

224
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH11 : METHODE DE RACCORDEMENT DES
DIVERS TYPES DES LUMINAIRES
1/Raccordement d’une lampe:
La douille de la figure est reliée à l’extrémité du câble électrique en vissant un conducteur sur
chaque borne de raccord.

On détache l’enveloppe de la douille à l’aide d’une tournevis. Certaines douilles sont munies
d’un interrupteur interne ce qui ne change pas la façon de faire les raccords des conducteurs.

225
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH11 : METHODE DE RACCORDEMENT DES
DIVERS TYPES DES LUMINAIRES
2/Raccordement d’un lustre :
Le plafonnier de porcelaine comme le lustre est généralement monté à l’aide d’un support de
montage et est relié au câble électrique en respectant les couleurs des conducteurs et en
prenant soin d’isoler les connexions avec des connecteurs isolés. ( figure 2 ) et ( figure 3 ).

226
Préparer et animer par M.ERRAKI
CH11 : METHODE DE RACCORDEMENT DES
DIVERS TYPES DES LUMINAIRES
2/Raccordement d’un lustre :

227
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CH11 : METHODE DE RACCORDEMENT DES
DIVERS TYPES DES LUMINAIRES
3/Raccordement des tubes fluorescents:
Les tubes fluorescents doivent être montés sur des supports pour tubes droits munis de douille
qui reçoivent les tenons. A chaque extrémité, les tenons restent dans la douille grâce à des
attaches à ressorts.

Tous les lustres à tubes fluorescents sont munis d’un régulateur (ballast)
3.1/Tube à démarrage rapide:

228
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CH11 : METHODE DE RACCORDEMENT DES
DIVERS TYPES DES LUMINAIRES
3/Raccordement des tubes fluorescents:
3.2/Tube avec démarreur:

229
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CH11 : METHODE DE RACCORDEMENT DES
DIVERS TYPES DES LUMINAIRES
3/Raccordement des tubes fluorescents:
3.2/Tube avec démarreur:
Il est important de relier les conducteurs couleurs appropriées aux conducteurs d’alimentation
et ce, plus spécialement dans le cas des tubes fluorescents à démarrage rapide.

Les tubes circulaires ont un fonctionnement identique à celui des tubes droits, leur support
diffère afin de s’adapter aux tubes circulaires ( figure 6 ).

230
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CH11 : METHODE DE RACCORDEMENT DES
DIVERS TYPES DES LUMINAIRES
3/Raccordement des tubes fluorescents:
3.3/Raccordement des spots TBT encastrés :
Le spot est alimenté par un transformateur lui-même commandé comme n’importe quel
circuit lumière.

Deux possibilités existent :


On installe un transformateur pour plusieurs spots.

On installe un transformateur par spot.

La deuxième solution est plus utilisée ; car les transformateurs peuvent se glisser dans
n’importe quel faux plafond, du fait de leur petite taille, mais le prix du matériel est plus
élevé.

Le spot a tendance à beaucoup chauffer et il est donc nécessaire de prévoir un espace


suffisant dans le faux plafond ou une aération convenable.

La figure 7 présente le mode d’installation de ces spots en faux plafond existant ou à créer.

231
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CH11 : METHODE DE RACCORDEMENT DES
DIVERS TYPES DES LUMINAIRES
3/Raccordement des tubes fluorescents:
3.3/Raccordement des spots TBT encastrés :

232
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CH11 : METHODE DE RACCORDEMENT DES
DIVERS TYPES DES LUMINAIRES
3/Raccordement des tubes fluorescents:
3.3/Raccordement des spots TBT encastrés :

233
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CH11 : METHODE DE RACCORDEMENT DES
DIVERS TYPES DES LUMINAIRES
3/Raccordement des tubes fluorescents:
3.3/Raccordement des spots TBT encastrés :

234
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CH12 : MISE SOUS TENSION DES LUMINAIRES

Avant de mettre sous tension un luminaire il faut :

Vérifier le serrage adéquat des vis et de leurs borniers respectifs.

Déterminer la valeur des dispositifs de protection.

Tableau donnant la valeur des protections à installer en fonction de la section des


conducteurs.

Cas d’un fusible:

235
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CH12 : MISE SOUS TENSION DES LUMINAIRES

Cas d’un disjoncteur divisionnaire:

Insérer les dispositifs de protection dans leurs récepteurs respectifs.

Activer selon le cas les dispositifs de protection ou l’interrupteur principal.

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CH13 : METHODES D’ENTRETIEN DE
LUMINAIRES ET LEURS COMMANDES
1/Introduction:
Chaque technique d’entretien des luminaires et leur commande doit comporter les étapes
suivantes :

Ouvrir les disjoncteurs ou cartouche fusible de protection du circuit.

Choisir les outils et les appareils de vérification appropriés.

Identifier la cause du défaut.

Effectuer avec précision les travaux de réparation selon le cas.

Remplacer les éléments défectueux avec d’autres identiques ou avec des


caractéristiques équivalentes.

Remettre le circuit sous tension.


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CH13 : METHODES D’ENTRETIEN DE
LUMINAIRES ET LEURS COMMANDES
2/Exemple d’entretien d’une installation de luminaires:

Commande séparée de deux lampes à partir d’un seul point.


DC : direct commutateur.
DL : direct lampes.
RL1 : retour lampe L1 .
RL2 : retour lampe L2 .

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CH13 : METHODES D’ENTRETIEN DE
LUMINAIRES ET LEURS COMMANDES
Tableau des différentes causes possibles:

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CH13 : METHODES D’ENTRETIEN DE
LUMINAIRES ET LEURS COMMANDES
3/CAS : Aucune lampe ne fonctionne

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CH14 : METHODES D’ENTRETIEN DE
LUMINAIRES ET LEURS COMMANDES

MERCI POUR VOTRE


ATTENTION

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