Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
la France reconnaissante.
3
4
Préface de Geneviève DARRIEUSSECQ
Secrétaire d’État auprès de la ministre des Armées
Ces identités, ces noms, ces visages, sont ceux des combattants origi-
naires du continent africain. Ceux qui, avec tant d’autres, ont contribué
à mettre fin à l’Occupation. Les forces françaises de la Libération sont
issues de la diversité : celle des pieds noirs, celle de soldats originaires
d’Algérie, du Maroc et de Tunisie, celle de combattants venus d’Afrique
occidentale et équatoriale. Goumiers, tabors, spahis, tirailleurs, zouaves, ils étaient des milliers
d’hommes aux destinées si différentes. Ils étaient des milliers d’hommes unis par la fraternité
d’armes au service de notre drapeau. Ensemble, l’Office national des anciens combattants et victimes
de guerre (ONACVG) et le Service Historique de la Défense (SHD) ont retracé quelques-uns de
ces parcours rassemblés dans ces fiches biographiques.
Nombre de ces combattants avaient déjà parcouru les sentiers de la gloire, en Afrique du Nord,
en Corse et en Italie. D’autres ont combattu sous notre drapeau dès 1940. En mêlant leur sang à
notre terre, ils ont payé un lourd tribut au combat contre le nazisme. Morts pour la France, morts
pour notre idéal, ces combattants méritent la reconnaissance pleine et entière de la Nation.
C’est à cet appel que des maires ont déjà répondu. C’est à cet appel que tant d’autres pourront
encore répondre. Le ministère des Armées se tient donc résolument aux côtés des communes
de France et offre son aide. Pour cela, une convention de soutien a été signée avec l’Association
des Maires de France. Pour cela, les services du ministère, le SHD, l’ONACVG, s’engagent à ac-
compagner toutes les collectivités désireuses de s’inscrire dans cette démarche. Ces biographies
de combattants sont à leur disposition.
Ce travail de mémoire sur les combattants africains de la Seconde Guerre mondiale est essentiel
pour la reconnaissance de leur dévouement et la transmission de leur souvenir. Je remercie tous
les élus locaux et toutes les communes qui participent à ce mouvement de fraternité mémorielle.
Par ce geste, ce sont aussi les valeurs de la République que nous servons.
5
6
SOMMAIRE
Introduction. . .................................................................................................. 8
• 1939-1945, des soldats africains au service de la France ......................................... 8
• Méthodologie de constitution des fiches biographiques .. ...................................... 9
•L es premiers parcours de combattants d’Afrique ................................................. 10
dans les départements français, 1939-1945
• Recensement par région des combattants d’Afrique............................................. 11
• Pays d’origine des combattants d’Afrique.. ........................................................... 15
• Recensement par pays d’Afrique. . ....................................................................... 16
Chasselay....................................................................................................... 85
• Les soldats inhumés au Tata sénégalais de Chasselay.......................................... 86
7
1939-1945, des soldats africains au service de la France
Les soldats d’Afrique sont issus de deux types de population vivant dans l’empire colonial. Tout
d’abord celle des citoyens français ou européens. Les « Pieds-Noirs », comme on a pu les appeler,
sont très nombreux en Afrique du Nord, et tout particulièrement dans les départements algériens.
Par ailleurs, certains des combattants d’origine européenne sont issus d’autres parties de l’Empire.
Les autres - dans le dispositif juridique de l’époque - ne bénéficient pas de la qualité de citoyens, ce
sont des sujets de l’Empire dans leur majorité, souvent qualifiés « d’indigènes » pour ceux originaires
d’Afrique du Nord, de « coloniaux » pour ceux venus de Madagascar ou d’Afrique subsaharienne.
Par-delà la diversité des origines et des statuts, les soldats d’Afrique qui combattent au sein des
armées françaises méritent tous d’être honorés par la République.
Après avoir combattu en Europe durant la Première Guerre mondiale, les troupes venues de
l’Outre-mer stationnent de manière permanente en France métropolitaine durant l’entre-deux-
guerres, à Fréjus, Mont-de-Marsan, Cahors, Châteauroux ou encore Saint-Dié-des-Vosges. Face
au péril que représente l’Allemagne nazie, l’empire colonial apparaît comme un recours dans une
France encore meurtrie par la Grande Guerre. Dès 1937, des plans massifs de mobilisation et de
renfort sont bâtis et, dès 1938, des recrutements supplémentaires sont opérés au sein de l’armée
d’Afrique (Algérie-Tunisie-Maroc) et des troupes coloniales (Afrique subsaharienne, Madagas-
car, Indochine). La période de la « drôle de guerre » voit la mobilisation de ces effectifs. Près
de 100 000 Nord-Africains et 70 000 Africains subsahariens et Malgaches combattent durant
la campagne de France en mai et juin 1940. Ils livrent alors les combats parmi les plus violents.
Les spahis algériens et marocains se sacrifient à La Horgne, les tirailleurs algériens à Lille, les
tirailleurs tunisiens en Eure-et-Loir, les tirailleurs marocains et les tirailleurs sénégalais dans la
Somme, l’Oise ou la Marne.
Durant cette campagne, nombre de soldats africains sont exécutés par les troupes allemandes.
À Febvin-Palfart, dans le Nord, 32 soldats marocains sont passés par les armes le 30 mai 1940. Au
nord-ouest de Lyon, les 19 et 20 juin 1940, plusieurs dizaines de tirailleurs sénégalais sont exécutés.
La Nécropole nationale du Tata sénégalais de Chasselay (69) regroupe leurs corps.
Dès août 1940, l’Afrique va donner les premiers contingents d’importance à la France libre du
général de Gaulle. Des bataillons de marche sont formés et combattent en Erythrée, en Syrie et
en Libye. Les soldats africains se distinguent à Koufra et El Alamein.
8
subsaharienne, plus de 70 000 hommes sont de nouveau engagés. Près de 400 000 autres
viennent d’Algérie, du Maroc et de Tunisie. Les Africains représentent plus de 80 % des effectifs
qui vont débarquer en Europe. Parmi eux, 175 000 Français d’Algérie, du Maroc et de Tunisie.
Les premiers engagements ont lieu en Italie où se distinguent notamment les soldats
nord-africains lors de la bataille du Belvédère ou du Garigliano. Le 17 juin 1944, les tirailleurs
sénégalais de la 9 e D.I.C. débarquent sur l’île d’Elbe et s’en emparent.
Le 15 août 1944, les soldats de l’armée d’Afrique débarquent sur les côtes de Provence. Ils
libèrent Toulon, puis Marseille, après de furieux combats. Puis viennent Lyon et Dijon. Dans
le froid et sous la neige, ils combattent dans les Vosges et en Alsace avant de traverser le Rhin
et de combattre en Allemagne. D’autres assiègent les forteresses allemandes de l’Atlantique,
comme les tirailleurs somalis (Djibouti) qui combattent dans les marais de la Pointe de Grave.
Durant ces combats pour la Libération, des soldats coloniaux évadés des camps allemands
s’engagent également dans la Résistance et luttent dans le Vercors, les Vosges, dans les
Ardennes, dans l’Hérault. Ils libèrent par exemple Romans (26) ou Châtillon-sur-Seine (21).
Afin d’illustrer la démarche par des cas concrets, l’ONACVG et le SHD ont établi un corpus
de 100 fiches biographiques.
Elles sont consultables en ligne sur le site : https://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/
Pour honorer la mémoire des combattants d’Afrique de la Seconde Guerre Mondiale, deux
méthodologies sont proposées :
9
Premiers territoires défendus et libérés
par les 100 combattants d’Afrique, 1939-1945
10
Recensement par région des combattants d’Afrique
Régions page Combattants
88 ABDOU Diagne
166 ABOULKER José
90 ALADJI Diop
92 ALY Sene
94 BADIANE Gora
24 BAKARY Sassi
25 BAKOTE Paul
96 BALA Amar
98 BANDIA Kamara
100 BOUCAR Pouye
102 BOURAMA Diadhiou
104 CAMARA Falaye
106 CISSÉ Amadou
108 DIASSE Niang
Auvergne-Rhône-Alpes
110 DIOUF Babakar
112 DIOUF Paul
114 DJEMORY Sako
116 DOFFENE Diouf
118 FALAYE Koudé
120 FALL Aly
122 FALL Cheik
124 FAMOUSSA Kamara
126 GUEYE Ibrae
128 IBRAHIMA Kandjé
47 KALOANORANA André
130 KARIFA Koudé
54 M'PO Basse
132 MAMADI Kamara
11
134 MAMADOU Bello
136 MAPATE Diouck
138 MOUSSA Sylla
140 MOUSSA
142 N'GOM Diokel
69 NACER Salem
144 NANAMAN Kondé
146 OGOTEMBENE Guindo
148 PEPE Camara
Auvergne-Rhône-Alpes 72 POROFO Antiègne
159 SAA KOTOU Tolno
152 SADIO Sara
154 SAMBA Diane
156 SAMOURA Kamba
78 SANTIGUI Camara
159 SEKOU Traoré
161 SOUMA Sivaré
203 TARDY René
162 ZIBAGO Thiao
27 BASSA Dembélé
Bourgogne-Franche- 73 RAKOTOMANGA Norbert
Comté 81 TRAORE Zégué
60 MAHAMAT Outman
Bretagne 194 MARIENNE Pierre
24 BAKARY Sassi
Centre-Val de Loire 44 HEDHILI Ben Salem
75 RESOKAFANY Justin
31 CISSÉ Issa
Corse
40 FALL Alioune
23 BAKABÉ
Grand Est
40 FALL Alioune
12
42 FODE Keita
45 IDRISSA Diana
52 KONE Sei
57 MADEMBA SY Claude
Grand Est 72 POROFO Antiègne
75 RESOKAFANY Justin
77 SAMAKE Tiediougou
79 SIDIBE Makane
178 GUEDJ Max
30 BOUTIÉ Diasso
32 DEMBELE Djime
43 GOROYA Siué
Hauts-de-France
61 MORIBA Doumbia
64 N'TCHORERE Charles
67 N'TCHORERE Jean Baptiste
25 BAKABE
Île-de-France 57 MADEMBA SY Claude
70 OUAFI OUAFI Ould Mohamed
70 OUAFI OUAFI Ould Mohamed
Normandie
178 GUEDJ Max
26 BAKARY Sassi
33 DEMBIL Areh
36 DIEME Bourama
75 RESOKAFANY Justin
Nouvelle-Aquitaine 82 YOUSSOUF Aptidon Darar
166 ABOULKER José
184 KAILAO André
198 MOUNIRO
192 KOUDOUSSARAGNE Paul
77 SAMAKE Tiediougou
Occitanie
79 SIDIBE Makane
13
166 ABOULKER José
Occitanie
171 COLLET Philibert
Pays de la Loire
24 BAKARY Sassi
26 BANGO Blou
27 BASSA Dembélé
29 BEN SEMERS Allal Ould M’hamed
31 CISSÉ Issa
Provence- 35 DIATTA Affane
Alpes-Côte d’Azur 38 DOUGOUFANA Tologola
40 FALL Alioune
48 KANDJINA
55 MABOULKEDE
73 RAKOTOMANGA Norbert
186 KOLI Yorgui
22 ALI AMAR Saïd
28 BEN HATTAB EL HADI Kacem
169 COGGIA Jean-François
174 COLONNA D'ORNANO Jean
176 COUSSIEU Edmond
177 DOURSAN Idrisse
43 GOROYA Siué
50 KAOUROU Béaogui
Campagnes extérieures 51 KIDA
188 KONE Nouhoum
190 KOUDOUKOU Georges
196 MOUNIER André
198 MOUNIRO
63 N'DOU
200 NEMIR
201 PICHAT Jean
203 TARDY René
14
Pays d’origine des combattants d’Afrique
TUNISIE
MAROC
ALGÉRIE
MAURITANIE
MALI
NIGER SOUDAN
TCHAD
SENEGAL
DJIBOUTI
BURKINA
FASO
GUINÉE
CÔTE
D’IVOIRE CENTRAFRIQUE
BENIN CAMEROUN
GABON
MADAGASCAR
15
Recensement par pays d’Afrique
16
Pays page Combattants
47 KALOANORANA André
Madagascar 73 RAKOTOMANGA Norbert
75 RESOKAFANY Justin
27 BASSA Dembélé
38 DOUGOUFANA Tologola
32 DEMBELE Djime
42 FODE Keita
Mali
45 IDRISSA Diana
188 KONE Nouhoum
77 SAMAKE Tiediougou
79 SIDIBE Makane
BEN SEMERS Allal Ould
Maroc 29
M’hamed
Niger 23 BAKABÉ
88 ABDOU Diagne
90 ALADJI Diop
92 ALY Sene
94 BADIANE Gora
26 BAKARY Sassi
96 BALA Amar
100 BOUCAR Pouye
Sénégal 102 BOURAMA Diadhiou
31 CISSÉ Issa
108 DIASSE Niang
35 DIATTA Affane
36 DIÉMÉ Bourama
110 DIOUF Babakar
112 DIOUF Paul
116 DOFFENE Diouf
17
118 FALAYE Koudé
40 FALL Alioune
120 FALL Aly
122 FALL CHEIK
124 FAMOUSSA Kamara
126 GUEYE Ibrae
128 IBRAHIMA Kandjé
130 KARIFA Koudé
57 MADEMBA SY Claude
132 MAMADI Kamara
134 MAMADOU Bello
136 MAPATE Diouck
Sénégal 138 MOUSSA Sylla
140 MOUSSA
136 N'GOM Diokel
138 NANAMAN Kondé
140 OGOTEMBENE Guindo
148 PEPE Camara
159 SAA KOTOU Tolno
152 SADIO Sara
154 SAMBA Diane
156 SAMOURA Kamba
159 SEKOU Traoré
161 SOUMA Sivaré
162 ZIBAGO Thiao
Soudan 106 CISSE Amadou
177 DOURSAN Idrisse
184 KAILAO André
Tchad
48 KANDJINA
51 KIDA
18
186 KOLI Yorgui
55 MABOULKEDE
60 MAHAMAT Outman
Tchad 198 MOUNIRO
63 N'DOU
200 NEMIR
70 OUAFI OUAFI Ould Mohamed
28 BEN HATTAB EL HADI Kacem
44 HEDHILI Ben Salem
Tunisie 178 GUEDJ Max
201 PICHAT Jean
203 TARDY René
19
20
Classement alphabétique
des combattants d’Afrique
21
ALI AMAR Saïd
(1910-1944)
1 er Régiment de tirailleurs algériens
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
22
BAKABÉ 1
(1911-1941)
Mort pour la France
14 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
23
BAKARY Sassi ou Sani
(1916-1945)
Mort pour la France
623 e Régiment de pionniers sénégalais
• Lieu d’inhumation :
69 - Villeurbanne - Nécropole Nationale
LA DOUA.
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
24
BAKOTE Paul
(1920-1944)
Mort pour la France
1 er Régiment d’artillerie coloniale
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
1 L’article n°1 de l’Ordonnance n°45 2717 du 2 novembre 1945 reconnait notamment comme « Mort pour la France » tout acte de décès
d’un militaire mort d’accident survenu en service, ou à l’occasion du service en temps de guerre.
25
BANGO Blou
(1913-1941)
Mort pour la France
24 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
26
BASSA Dembélé
(1907-1940)
Mort pour la France
4 e Régiment de tirailleurs sénégalais
• Lieu d’inhumation :
69 - Villeurbanne - Nécropole Nationale
LA DOUA.
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
27
BEN HATTAB EL HADI Kacem
(1915-1944)
Mort pour la France
4 e Régiment de tirailleurs tunisiens
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
28
BEN SEMERS Allal ould M’Hamed
(1920-1944)
Mort pour la France
1 er Régiment de tirailleurs marocains
• Lieu d’inhumation :
Crypte du Mont Valérien
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
1 Date inconnue.
29
BOUTIÉ Diasso
(1918-1940)
Mort pour la France
16 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
30
CISSÉ Issa
(1921-?)
Mort pour la France
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
31
DEMBELE Djime
(1908-1940)
Mort pour la France
44 e Régiment d’infanterie coloniale mixte sénégalais (RICMS)
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
32
DEMBIL Areh
(1921-?)
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
33
DEMBIL Areh (suite)
(1921-?)
• Bibliographie indicative :
- FARGETTAS Julien. Les tirailleurs séné-
galais. Les soldats noirs entre légendes et
réalités 1939-1945. Paris, Tallandier, 2012.
- JENNINGS Eric, La France libre fut afri-
caine, Paris, Perrin, 2014, p. 174.
- LÉTANG Géraud, « Mirages d’une rébellion.
Être français libre au Tchad 1940-1943 », thèse
de doctorat sous la direction de Guillaume
- Piketty, Institut d’Études Politiques de
Paris, 2019, p. 516.
- SIMONNET Stéphane. Les poches de
l’Atlantique. Les batailles oubliées de la
Libération janvier 1944-mai 1945, Paris,
Tallandier, 2019 (collection texto).
- Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
sénégalais en Afrique occidentale fran-
çaise (1857-1960), Paris, Khartala, 2009
et Nancy LAWLER, Soldats d’infortune.
Les tirailleurs ivoiriens de la Deuxième
Guerre mondiale, Paris, L’Harmattan, 1996.
80 - CONDE-FOLIE - Nécropole Nationale
CONDE-FOLIE- Claire Miot, Sortir l’armée des
ombres. Soldats de l’Empire, combattants de la
Libération, armée de la Nation. La Première
armée française, du débarquement en Pro-
vence à la capitulation allemande (1944-1945),
thèse d’histoire, O. Wieviorka dir., ENS Paris
Saclay, 2016.
34
DIATTA Affane
(1920-1944)
Mort pour la France
21 e Bataillon de marche
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
35
DIÉMÉ Bourama
(1919-1999)
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
36
coloniale (Extrême-Orient), médaille - RFI, le 29-03-2010, modifié le 22-08-
commémorative de la guerre 1939-1945, 2010 (Site Internet) : http://www.rfi.fr/
médaille commémorative de la campagne tirailleurs/20100329-adjudant-bourama-
d’Indochine, médaille commémorative des dieme-1919-1999
opérations de sécurité et de maintien de - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
l’ordre (Algérie), médaille commémorative sénégalais en Afrique occidentale fran-
française des opérations du Moyen-Orient. çaise (1857-1960), Paris, Khartala, 2009
et Nancy LAWLER, Soldats d’infortune.
• Lieu d’inhumation : Les tirailleurs ivoiriens de la Deuxième
Inconnu Guerre mondiale, Paris, L’Harmattan, 1996.
- Claire Miot, Sortir l’armée des ombres.
• Sources : Soldats de l’Empire, combattants de la
- SHD/CAPM, Pau : État signalétique et Libération, armée de la Nation. La Première
des services (ESS), texte citation croix de armée française, du débarquement en Pro-
guerre 1939-1945. vence à la capitulation allemande (1944-1945),
- SHD, Vincennes : GR 12 P 265, GR 12 P thèse d’histoire, O. Wieviorka dir., ENS Paris
266 (JMO 16e RTS, 17e RTS, 1944 -1945). Saclay, 2016.
• Bibliographie indicative :
- FARGETTAS Julien. Les tirailleurs séné-
galais. Les soldats noirs entre légendes et
réalités 1939-1945. Paris, Tallandier, 2012.
- FRANK Sarah Ann, « Colonial prisoners
of war and Vichy France 1940-1942: expe-
riences and politics ». Thèse de doctorat
en histoire sous la direction de John Horne,
Trinity College (Dublin – Irlande), 2015.
37
DOUGOUFANA Tologola
(1916-1944)
Mort pour la France
6 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
38
• Bibliographie indicative :
- FARGETTAS Julien. Les tirailleurs séné-
galais. Les soldats noirs entre légendes et
réalités 1939-1945. Paris, Tallandier, 2012.
- GASSEND Jean-Loup, Le débarquement de
Provence. La Libération de la Côte d’Azur,
Damigny, Heimdal, 2014.
- Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
sénégalais en Afrique occidentale fran-
çaise (1857-1960), Paris, Khartala, 2009
et Nancy LAWLER, Soldats d’infortune.
Les tirailleurs ivoiriens de la Deuxième
Guerre mondiale, Paris, L’Harmattan, 1996.
- Claire Miot, Sortir l’armée des ombres.
Soldats de l’Empire, combattants de la
Libération, armée de la Nation. La Première
armée française, du débarquement en Pro-
vence à la capitulation allemande (1944-1945),
thèse d’histoire, O. Wieviorka dir., ENS Paris
Saclay, 2016.
39
FALL Alioune
(1921-2019)
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
40
• Bibliographie indicative :
- FARGETTAS Julien. Les tirailleurs séné-
galais. Les soldats noirs entre légendes et
réalités 1939-1945. Paris, Tallandier, 2012.
- GASSEND Jean-Loup, Le débarquement de
Provence. La Libération de la Côte d’Azur,
Damigny, Heimdal, 2014.
- Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
sénégalais en Afrique occidentale fran-
çaise (1857-1960), Paris, Khartala, 2009
et Nancy LAWLER, Soldats d’infortune.
Les tirailleurs ivoiriens de la Deuxième
Guerre mondiale, Paris, L’Harmattan, 1996.
- Claire Miot, Sortir l’armée des ombres.
Soldats de l’Empire, combattants de la
Libération, armée de la Nation. La Pre-
mière armée française, du débarque-
ment en Provence à la capitulation al-
lemande (1944-1945), thèse d’histoire, O.
Wieviorka dir., ENS Paris Saclay, 2016.
41
FODE Keita
(1908-1940)
Mort pour la France
12 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
42
GOROYA Siué
(1915-1942)
Mort pour la France
26 e Régiment de tirailleurs sénégalais
• Lieu d’inhumation :
80 - Saint-Quentin - Nécropole Nationale
SAINT-QUENTIN.
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
43
HEDHILI Ben Salem Ben Hadj Mohamed Ama
(1913-1940)
Mort pour la France
4 e Régiment de tirailleurs tunisiens
• Décorations et citations :
Cité par ordre (niveau hiérachique inconnu)
du 15 janvier 1941 :
« Tirailleurs d’un courage au-dessus de
tout éloge, tué d’une balle à la tête alors
qu’il luttait farouchement contre en ennemi
très supérieur en nombre ».
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
1
Jour et mois inconnus.
2 La mention « Mort pour la France » n’est pas explicite dans son état signalétique et des services.
44
IDRISSA Diana
(?-1944)
Mort pour la France
Forces Françaises de l’Intérieur
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
1 Date inconnue.
45
IDRISSA Diana (suite)
(?-1944)
Mort pour la France
Forces Françaises de l’Intérieur
• Sources :
SHD/CAPM, Pau : texte citation (Croix de
guerre 1939-1945).
SHD, Vincennes : GR 16 P 300 924.
• Bibliographie indicative :
- FARGETTAS Julien. Les tirailleurs séné-
galais. Les soldats noirs entre légendes et
réalités 1939-1945. Paris, Tallandier, 2012.
- FRANK Sarah Ann. « Colonial prisoners
of war and Vichy France 1940-1942: expe-
riences and politics ». Thèse de doctorat
en histoire sous la direction de John Horne,
Trinity College (Dublin – Irlande), 2015.
- LECLER Philippe, Le temps des partisans,
Éditions D. Guéniot, Langres, 2009. SGA,
Service historique de la Défense.
http://maitron-fusilles-40-44.univ-paris1.
fr/spip.php?article173798
- Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
sénégalais en Afrique occidentale fran-
çaise (1857-1960), Paris, Khartala, 2009
et Nancy LAWLER, Soldats d’infortune.
Les tirailleurs ivoiriens de la Deuxième
Guerre mondiale, Paris, L’Harmattan, 1996.
46
KALOANORANA André
(1906-1944)
Mort pour la France
Forces Françaises de l’Intérieur
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
47
KANDJINA
(1912-?)
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
48
Décoré de la Croix de guerre 1939-1945 • Bibliographie indicative :
avec une citation à l’ordre de la division - FARGETTAS Julien. Les tirailleurs séné-
(étoile d’argent), le 19 juillet 1944. galais. Les soldats noirs entre légendes et
« Chef d’équipe d’une équipe de brancar- réalités 1939-1945. Paris, Tallandier, 2012.
diers ; a toujours entrainé ses hommes - Julie LE GAC, Vaincre sans gloire. Le corps
vers les tâches les plus dures. Pendant la expéditionnaire français en Italie (novembre
matinée du 12 juin 1944 est allé chercher 1942-juillet 1944), Paris, Les Belles Lettres, 2013.
les blessés devant et en vue de l’ennemi - Claire Miot, Sortir l’armée des ombres.
donnant ainsi un grand exemple de courage Soldats de l’Empire, combattants de la
et de dévouement soulevant l’admiration Libération, armée de la Nation. La Première
des combattants » armée française, du débarquement en Pro-
vence à la capitulation allemande (1944-1945),
• Lieu d’inhumation : thèse d’histoire, O. Wieviorka dir., ENS Paris
Inconnu. Saclay, 2016.
• Sources :
- SDD/CAPM, Pau : état signalétique et
des services (ESS), texte citation croix de
guerre 1939-1945.
- SHD, Vincennes : GR 16 P 316474 (Dossier
personnel de résistance).
49
KAOUROU Béaogui
(?-1944)
Mort pour la France
4 e Régiment de tirailleurs sénégalais
• Sources :
- SHD/CAPM, Pau : état signalétique et
des services (ESS).
- SHD, Vincennes : GR 12 P 461 (JMO
4e RTS 1940).
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
1 Date inconnue.
2 Date de promotion inconnue.
50
KIDA
(1909-1944)
Mort pour la France
5 e Bataillon de marche
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
51
KONE Sei
(1912-1948)
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
52
- Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
sénégalais en Afrique occidentale fran-
çaise (1857-1960), Paris, Khartala, 2009
et Nancy LAWLER, Soldats d’infortune.
Les tirailleurs ivoiriens de la Deuxième
Guerre mondiale, Paris, L’Harmattan, 1996.
- Claire Miot, Sortir l’armée des ombres.
Soldats de l’Empire, combattants de la
Libération, armée de la Nation. La Première
armée française, du débarquement en Pro-
vence à la capitulation allemande (1944-1945),
thèse d’histoire, O. Wieviorka dir., ENS Paris
Saclay, 2016.
53
M’PO Basse
(1918-1945)
Mort pour la France
14e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
54
MABOULKEDE
(1921-1944)
Mort pour la France
24 e Bataillon de marche / 1re Division française libre
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
55
MABOULKEDE (suite)
(1921-1944)
Mort pour la France
24 e Bataillon de marche / 1re Division française libre
56
MADEMBA SY Claude
(1923-2014)
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
1 Il est important de souligner que, en raison des positions occupées par sa famille, Claude MADEMBA SY n’a jamais eu le statut d’«
indigène ». C’est ce qui explique son parcours particulier au sein de l’armée française.
2 Intégré à la 2e division blindée (2e DB), le RMT combat en France (Normandie, Libération de Paris, Strasbourg) puis en Allemagne
(Berchtesgaden) en 1944-1945 sous le commandement du général Leclerc.
57
MADEMBA SY Claude (suite)
(1923-2014)
commande la force africaine d’intervention 1954 : Croix de guerre des T.O.E. avec
de l’ONU au Congo-Léopoldville ainsi qu’au palme : citations à l’ordre de la division
Kivu et au Burundi. De 1963 à 1965, il exerce le 19 mars 1954 et de l’armée le 11 juin 1954.
les fonctions de chef d’état-major général 1959 : Croix de la Valeur militaire avec
de l’Union africaine et malgache et attaché palme et étoile de vermeil : citations à
militaire du Sénégal à Paris. l’ordre de l’armée, le 2 août 1959 et du corps
Carrière diplomatique : ambassadeur d’armée le 17 novembre 1959.
de la République du Sénégal au Congo Légion d’honneur (chevalier le 13 juillet
(1966-1970), en Italie et Yougoslavie (1970- 1955, officier le 29 janvier 1973, comman-
1972), en Tunisie (1972-1973), en Autriche deur en 1979, grand officier en 2012).
(1977- 1980). Pendant ces mêmes périodes, Grand-Croix de l’Ordre du Lion (Sénégal).
il est aussi nommé représentant perma-
nent auprès de l’Organisation des Nations • Lieu d’inhumation :
unies pour l’alimentation et l’agriculture Inhumé au cimetière de Briatexte (Tarn).
(FAO) à Rome (1970-1980), ainsi qu’auprès Membre du Conseil national pour la défense
de l’Organisation des Nations unies pour le des anciens combattants de l’Union française
développement industriel (ONUDI) et de ou de la Communauté où il défend inlassable-
l’Agence atomique de Vienne (1977-1980). Il ment le principe d’égalité pour les pensions
se retrouve, ensuite, conseiller interrégional militaires versées par la France.
de l’ONU à New York (1974-1977), membre Dirigeant de la Fondation Maréchal Leclerc
de la mission des Nations Unies au Cam- de Hauteclocque.
bodge (1992-1993), membre de la mission La dénomination « allée Claude Mademba
des Nations Unies pour les élections en Sy » a été attribuée par la ville de Paris à
Afrique du Sud (1994). une allée du square Claude Nicolas Ledoux
située 2, place Denfert Rochereau (14e arron-
• Décorations et citations : dissement) en 2019.
Titulaire de la Croix de guerre (1939-1945)
avec huit citations (dont trois à l’ordre de • Sources :
l’armée), dont une citation à l’ordre de la - SHD/CAPM, Pau : texte de citation (Croix
division (étoile d’argent), le 3 janvier 1945 : de guerre 1939-1945).
« Chef de char plein d’allant, très brillant - SHD, Vincennes : GR 2000 Z 205 02644
depuis le débarquement. Le 31 octobre 1944 (dossier personnel).
a eu son char attaqué par un canon - SHD, Vincennes : 16 P 382 284.
anti-chars, l’a neutralisé par un tir précis - SHD, Vincennes : 12 P 259 (JMO RMT
de 12,7 ». 1944-1945).
58
• Bibliographie indicative :
- Revue de la France Libre n°46, décembre
2012, p.13-16
http://www.france-libre.net/site/wp-content/
uploads/2009/02/pdf_revue-n461.pdf
https://www.francetvinfo.fr/culture/patri-
moine/histoire/liberation-de-parisen-1944-
pourquoi-claude-mademba-sy-etait-il-le-
seul-soldat-noir-de-la-2e-db_3585947.html
https://fresques.ina.fr/landes/fiche-media/
Landes00262/restructuration-des-armees-
suppression-du-6eme-rpima-de-mont-de-
marsan.html
- Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
sénégalais en Afrique occidentale fran-
çaise (1857-1960), Paris, Khartala, 2009
et Nancy LAWLER, Soldats d’infortune.
Les tirailleurs ivoiriens de la Deuxième
Guerre mondiale, Paris, L’Harmattan, 1996.
- Claire Miot, Sortir l’armée des ombres.
Soldats de l’Empire, combattants de la
Libération, armée de la Nation. La Première
armée française, du débarquement en Pro-
vence à la capitulation allemande (1944-1945),
thèse d’histoire, O. Wieviorka dir., ENS Paris
Saclay, 2016.
59
MAHAMAT Outman
(1918-1944)
Mort pour la France
21 e Bataillon de marche
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
1 Date inconnue.
2 Dossier de décès.
60
MORIBA DOUMBIA ou MORIBA Doumbia 1
(1892-1940)
Mort pour la France
24e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
1 L’état-civil présent sur les documents disponibles varie selon les documents. MORIBA DOUMBIA est le plus souvent considéré comme
le nom de famille et aucun prénom n’est inscrit. Parfois Doumbia est considéré comme le prénom et MORIBA comme le nom.
2 D’autres documents mentionnent 1890 comme son année de naissance.
3 Le nom de son père varie aussi souvent selon les documents d’état-civil présents dans le dossier personnel d’officier.
61
MORIBA DOUMBIA ou MORIBA Doumbia 1 (suite)
(1892-1940)
Mort pour la France
24e Régiment de tirailleurs sénégalais
62
N’DOU
(1921-1944)
Mort pour la France
1er Régiment d’artillerie colonial
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
63
N’TCHORÉRÉ Charles
(1896-1940)
Mort pour la France
53e Régiment d’infanterie coloniale mixte sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
64
invoquant la convention de Genève. Il est Témoignage de satisfaction du général
abattu d’une balle dans la nuque. Les autres commandant supérieur du groupe de l’Afrique
soldats noirs capturés avec lui seront massa- occidentale française, du 11 septembre 1934 :
crés quelques jours plus tard avec d’autres « Le capitaine N’Tchoréré, directeur de l’École
prisonniers d’origine africaine 1. des enfants de troupe depuis deux ans et demi
a assuré cette tâche, éminemment utile, en
• Décorations et citations : plus de ses fonctions, et s’y est voué avec une
Témoignage de satisfaction du ministère de généreuse passion et une belle continuité de
la Guerre, du 17 novembre 1925 : vues. Par son action paternelle et ferme, il a
« A fait preuve de qualités de travail et d’in- nettement élevé le niveau de cette école, ob-
telligence, ainsi que du désir de perfectionner tenant des résultats remarquables aussi bien
son instruction générale en publiant sur le dans l’instruction militaire préparatoire que
Gabon, dont il est originaire, un travail très dans l’orientation morale des futurs gradés ».
intéressant paru dans la Revue des troupes Citation à titre posthume l’ordre de la di-
coloniales en 1925. » vision (étoile d’argent), le 12 octobre 1940 :
Croix de guerre des théâtres d’opérations « Commandant de compagnie plein d’allant et
extérieures, le 11 décembre 1925 : de bravoure. Lors des combats des 5, 6 et 7 juin
« Officier de valeur, d’une bravoure remar- 1940, a infligé à l’ennemi des pertes sérieuses.
quable. A été grièvement blessé à la mâchoire A donné à tous l’exemple du mépris du danger
au cours du combat du 30 au 31 juillet ». par son activité sous le feu de l’ennemi ».
Décoré de l’ordre de l’Étoile noire du Bénin, de Déclaré « Mort pour la France par avis offi-
la médaille coloniale (agrafe Maroc) et de la ciel de décès n°52977/EC/A2, le 24 mai 1943.
médaille commémorative Syrie-Cilicie, en 1926. Croix de guerre 1939-1945 avec étoile de
Naturalisé français par décret, le 29 août 1927. vermeil à titre posthume assortie de la
Fait chevalier de la Légion d’honneur par citation à l’ordre du corps d’armée (qui
le Président de la République Gaston Dou- annule la citation du 12 octobre 1940 à
mergue, le 31 décembre 1930. l’ordre de la division 2), le 24 août 1954 :
1 Un témoignage dans son dossier de décès conservé à Caen évoque l’hypothèse qu’il serait mort à Airaines (Somme) « alors qu’il
combattait le fusil mitrailleur à la main pour se dégager avec sa compagnie ».
2 En octobre 1940, du fait de l’armistice et de l’occupation, les autorités militaires du régime de Vichy évitent toute mention explic-
ite des pratiques des nazis en mai-juin 1940. C’est la raison pour laquelle il faut attendre 1954 pour que l’exécution du capitaine
N’Tchoréré soit évoquée.
65
N’TCHORÉRÉ Charles (suite)
(1917-1940)
Mort pour la France
2e Régiment d’infanterie coloniale mixte sénégalais
• Sources :
- SHD/ Caen : 21 P 123164, (dossier de décès).
- SHD/ Vincennes : GR 8 YE 67 503
(dossier personnel d’officier).
66
N’TCHORÉRÉ Jean-Baptiste
(1917-1940)
Mort pour la France
2e Régiment d’infanterie coloniale
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
67
N’TCHORÉRÉ Jean-Baptiste (suite)
(1917-1940)
Mort pour la France
2e Régiment d’infanterie coloniale
68
NACER Salem
(1918-1944)
Mort pour la France
5e Régiment de tirailleurs algériens
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
69
OUAFI OUAFI Ould Mohamed
(?-?)
Régiment de marche du Tchad
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
1 Les dates et les lieux de naissance et de décès ne sont pas connue. Les documents nominatifs ne permettent que de le suivre à
travers le texte de ses citations.
2 Il aurait déjà été « au service de la France » depuis 1931 d’après le texte accompagnant la concession de la Médaille militaire en 1945.
3A u sein du GTL du colonel Langlade le 2 e bataillon du RMT est commandé par le commandant Massu.
4 Combats à Dampierre, Chevreuse, Toussus-le-Noble, Jouy-en Josas (Yvelines), Clamart et Sèvres (Hauts-de-Seine).
5 Dates, lieux et circonstances précises inconnus.
70
• Lieu d’inhumation : La 2e DB dans la Libération de Paris et de
Inconnu sa région. Tome I : de Trappes à l’Hôtel de
Ces éléments biographiques font d’Ould Ville. Paris, Histoire et Collections, 2009.
Mohamed OUAFI OUAFI le seul soldat - MAUBEC Jérôme. « La Deuxième
avec le statut colonial d’indigène à servir Division Blindée française. Étude d’un
au sein de la 2 e DB 1 . Cela fait donc de ce outil militaire et politique. » Mémoire de
combattant une exception dans la me- master en histoire sous la direction de
sure où la transformation du Régiment de Jean-François Muracciole, Université Paul
tirailleurs sénégalais du Tchad (RTST) en Valéry-Montpellier III, 2015.
RMT en juillet 1943, s’est accompagnée - MURACCIOLE Jean-François. La
de la démobilisation des soldats ayant le Libération de Paris. 19-26 août 1944. Paris,
statut colonial d’« indigène » 2. Tallandier, 2013.
- Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
• Sources : sénégalais en Afrique occidentale fran-
SHD/CAPM, Pau : textes des citations çaise (1857-1960), Paris, Khartala, 2009
(Médaille militaire et Croix de guerre et Nancy LAWLER, Soldats d’infortune.
1939-1945). Les tirailleurs ivoiriens de la Deuxième
SHD, Vincennes : 12 P 259 (JMO RMT Guerre mondiale, Paris, L’Harmattan, 1996.
1944-1945). - Claire Miot, Sortir l’armée des ombres.
Base nominative des Français libres dispo- Soldats de l’Empire, combattants de la
nible en ligne : http://www.france-libre.net/ Libération, armée de la Nation. La Première
liste-francais-libres/ armée française, du débarquement en Pro-
vence à la capitulation allemande (1944-1945),
• Bibliographie indicative : thèse d’histoire, O. Wieviorka dir., ENS Paris
https://www.defense.gouv.fr/terre/his- Saclay, 2016.
toire-et-patrimoine/accueil/actualites-his-
toire-et-patrimoine/le-gt-langlade-dans-la-
liberation-de-paris
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
1 Le cas célèbre de Claude Mademba Sy est différent dans la mesure où celui-ci est alors métis et citoyen français.
2 Il est donc étonnant que son cas n’ait pas suscité une attention mémorielle et médiatique plus importante.
71
POROFO Antiègne
(1909-1944)
Mort pour la France
8e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
72
RAKOTOMANGA Norbert
(1914-1944)
Mort pour la France
Régiment d’artillerie coloniale du levant
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
1 Son père est naturalisé par décret en 1923 mais la citoyenneté française n’a pas été transmise à son fils.
2 Entre 1940 et 1942, il aurait été envoyé au Maroc avec les troupes levées par Vichy pour combattre les Forces Françaises Libres (FFL)
en Syrie.
3 Selon son dossier de décès. Date de passage de grade inconnue.
4A u moment de sa mort, il appartient au 1er groupe, 1re batterie du RACL. « Inhumé sur place, 400 mètres est du monument au mort
de Frotey-les-Lure (Haute-Saône), terrain de monsieur Auguste Clément ».
73
RAKOTOMANGA Norbert (suite)
(1914-1944)
Mort pour la France
Régiment d’artillerie coloniale du levant
74
RESOKAFANY Justin
(1909-1949)
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
75
RESOKAFANY Justin (suite)
(1909-1949)
• Sources :
- SHD/CAPM, Pau : Extrait des services,
texte de citation (Croix de guerre 1939-
1945, médaille des évadés).
- SHD, Vincennes : GR 16 P 506 564.
76
SAMAKÉ Tiediougou
(1903-1940)
Mort pour la France
5e Régiment d’infanterie coloniale mixte sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
77
SANTIGUI Camara
(1917-1945)
Mort pour la France
Régiment d’artillerie coloniale du Maroc
• Lieu d’inhumation :
69 - Villeurbanne - Nécropole Nationale
LA DOUA
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
78
SIDIBE Makan (ou Makane)
(1897-1940)
Mort pour la France
5e Régiment d’infanterie coloniale mixte sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
79
SIDIBE Makan (ou Makane) (suite)
(1897-1940)
Mort pour la France
5e Régiment d’infanterie coloniale mixte sénégalais
• Lieu d’inhumation :
68 - COLMAR - Nécropole Nationale
COLMAR.
80
TRAORÉ Zégué
(1919-1940)
Mort pour la France
Centres de transition des troupes indigènes coloniales
• Lieu d’inhumation :
69 - Villeurbanne - Nécropole Nationale
LA DOUA.
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
81
YOUSSOUF Aptidon Darar
(1921-2013)
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
82
• Sources : - Claire Miot, Sortir l’armée des ombres.
- SHD/CAPM, Pau : Extrait des services, Soldats de l’Empire, combattants de la
texte de citation. Libération, armée de la Nation. La Première
- SHD, Vincennes : GR 12 P 79 (JMO batail- armée française, du débarquement en Pro-
lon des Somalis 1943). vence à la capitulation allemande (1944-1945),
thèse d’histoire, O. Wieviorka dir., ENS Paris
• Bibliographie indicative : Saclay, 2016.
- CHAZETTE Alain et REBERAC Fabien,
Royan - Pointe de Grave - Poches de l’Atlan-
tique, Editions Histoire et fortifications, 2005.
- JENNINGS Eric, La France libre fut afri-
caine, Paris, Perrin, 2014, p. 174.
http://www.djibnet.com/mabraze/topic
/17444-le-bataillon-de-tirailleurs-somalis/
- Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
sénégalais en Afrique occidentale fran-
çaise (1857-1960), Paris, Khartala, 2009
et Nancy LAWLER, Soldats d’infortune.
Les tirailleurs ivoiriens de la Deuxième
Guerre mondiale, Paris, L’Harmattan, 1996.
83
84
Chasselay
Pour ralentir l’avancée allemande et empêcher celle-ci de prendre à revers l’armée des Alpes
qui tient face aux troupes italiennes, décision est prise de constituer un front sur le cours
supérieur du Rhône.
A partir du 16 juin, des troupes françaises prennent position au nord de Lyon dont le 25 e RTS
(Régiment de Tirailleurs Sénégalais). Elles doivent interdire toute infiltration par les routes
nationales n° 6 et n° 7.
Le 17 juin, le maréchal Pétain demande l’armistice et, le lendemain, Lyon est déclarée « ville
ouverte ».
Le 19 juin, les colonnes allemandes se heurtent aux troupes françaises notamment installées
au couvent de Montluzin. Le combat fait rage durant plusieurs heures avant que les positions
françaises ne soient submergées par un adversaire plus nombreux et mieux équipé. Les
premières exactions sont commises par les troupes allemandes à Montluzin.
Le lendemain, le 20 juin 1940, le capitaine Gouzy et ses hommes, retranchés dans le bourg
de Chasselay, décident de continuer le combat. Après plusieurs heures de combats, ils sont
faits prisonniers. Soldats d’origines française et africaine sont divisés en deux groupes et
dirigés sur la route des Chères. Au lieu-dit « Vide-Sac », les prisonniers noirs sont alors
abattus. Leurs corps sont écrasés par les chars d’assaut allemands.
Alertée, la population locale soigne les blessés, tentant d’identifier les victimes et secourant les
tirailleurs égarés dans la région afin qu’ils ne connaissent pas un sort similaire. Les dépouilles
des tirailleurs exécutés sont provisoirement inhumées sur place. A partir de 1942, un cimetière
dénommé « Tata sénégalais » regroupe sur le lieu même du massacre les corps des tirailleurs
exécutés ou morts au combat. Entre le 19 juin 1940 et le 25 juin 1940, plus d’une centaine
de soldats africains sont exécutés dans la région mais aussi dans les départements voisins.
Les massacres de la région lyonnaise, dont la tuerie de Chasselay fut le point d’orgue, sont
parmi les plus importants de la campagne de mai et juin 1940. Pour rendre hommage à ces
combattants et mettre en lumière ces massacres racistes, les noms des soldats inhumés dans
la nécropole nationale du Tata sénégalais de Chasselay sont inscrits dans ce recueil. Plusieurs
parcours sont également disponibles.
85
Les soldats inhumés au Tata sénégalais de Chasselay
86
• MAKE SARR • SEKOU TRAORE *
• MAMADI KAMARA * • SELIVANOFF ALEXIS
• MAMADOU BELLO * • SENE NIOKOR
• MAMADOU KONDI • SEYNE FALL
• MAPATE DIOUCK * • SIDIKI TOGOLA
• M’BAKE SEYE • SOMBEL DIOUF
• M’BAYLE SIDI • SOULEYMANE CAMARA
• MISSA KEITA • SOUMA SIVARE *
• MOBY BAIDEL • THIOU EMILE FELIX
• MODIANE SAGNE • TIAKA FAYE
• MOUSSA * • TIAV N’COR
• MOUSSA SYLLA * • TIERO BANAZORO
• MOUSTAPHA OSMAN • VASAINON N’GOM
• MOUTE ANDRE • YAMBA YALCOUYE
• NANAMAN KONDE * • YOLOGUNDE OUDRAUGO
• N’DIAYE GORQUI • ZIBAGO THIAO *
• N’DJI BEMBELLE
• N’DLAYE GORQUI
• N’GOM DEMBA
• N’GOM DIOKEL *
• OGOTEMBENE GUINDO *
• OUDAR GISS
• PEPE CAMARA *
• SAA KOTOU TOLNO *
• SADIO SARA *
• SAMB GORMAH
• SAMBA DIANE *
• SAMBA HANG
• SAMBA KAMARA
• SAMBA SENOUBA
• SAMBO MALADO
• SAMOURA KAMBA *
• SARR N’GOR
Reposent également dans cette Nécropole 50 inconnus Morts pour la France, tirailleurs
sénégalais, nord-africains et légionnaires.
87
ABDOU Diagne 1
(1912-1940)
Mort pour la France
25 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
88
- MOURAGUES Jean-François, Soldats de où quelques anciens combattants témoignent.
la République : les tirailleurs sénégalais - Le site de l’association « Les amis de la
dans la tourmente - France mai-juin 1940, présence africaine » présente la liste des
Paris, L’Harmattan, 2010. combattants du Tata sénégalais. Ce tra-
- SCHECK Raffael (trad. Éric Thiébaud), vail diligenté par Christine Adjahi, Sadio
Une saison noire : Les massacres de ti- Ngaide et Alain Begay de l’association
railleurs sénégalais, mai-juin 1940, Paris, visait à s’assurer des « identités africaines des
Tallandier, 2007. différentes ethnies ». Travail indiqué comme
- SCHECK Raffael, « Les massacres de pri- « communiqué au Ministère de la défense en
sonniers noirs par l’armée allemande en 2004 ». Il présente des informations sur la
1940 », in Johann Chapoutot et al., Des soldats répartition de certains combattants au sein
noirs face au Reich, Paris, PUF, 2015, p. 59-100.- des unités et établit un bilan géographique
AÏDARA Moulaye, « Le Tata sénégalais de des morts sur la zone.
Chasselay, « une présence africaine », Écarts https://www.lyonpresenceafricaine.com/
d’identité, no 115, 2009, p. 51–57. lieux-de-memoire/le-tata-de-chasselay-
http://www.revues-plurielles.org/_uploads/ rhone/liste-des-combattants-africains-au-
pdf/6/115/ei_115_aidara.pdf tata-de-chasselay/
- HOPQUIN Benoît, « Le massacre des - Le combattant Moman Diop du 25e RTS a été
tirailleurs », in « 1940, la débâcle et l’espoir », mis à l’honneur par le groupe de recherche
Le Monde, hors-série, mai 2010. ACHAC (colonialisation, immigration, post-
- PONCET Jean, Les combats de Chasselay colonialisme) sous forme d’un petit film
Montluzin et dans l’Ouest lyonnais, les 19 Moman Diop (Sénégal, 1918-1940) : un des
et 20 juin 1940, L’Harmattan, 2010. soldats exécutés à Chasselay par les Allemands,
- Documentaire Le Tata, Paysage de pierres, raconté par Thomas N’Gijol, réalisé par Rachid
documentaire de 60 min de Patrice Robin Bouchareb, auteurs Rachid Bouchareb et Pascal
et Eveline Berruezo (1992). Blanchard.
- Documentaire « Le Tata sénégalais de Chas- https://www.achac.com /memoires-
selay : mémoires du 25e RTS », 52’ de Rafael combattantes/moman-diop-1918-1940/
Gutierrez et Dario Arce (2007), Productions - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
Chromatiques- TLM, France. Ce documentaire sénégalais en Afrique occidentale fran-
revient sur les événements de juin 1940 et çaise (1857-1960), Paris, Khartala, 2009
explique la construction du Tata. Il retrace et Nancy LAWLER, Soldats d’infortune.
l’histoire des régiments de Tirailleurs. Il donne Les tirailleurs ivoiriens de la Deuxième
la parole aux témoins et nous conduit à Dakar Guerre mondiale, Paris, L’Harmattan, 1996.
89
ALADJI Diop
(1918-1940)
Mort pour la France
25 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
90
- SCHECK Raffael, « Les massacres de pri- comme « communiqué au Ministère de
sonniers noirs par l’armée allemande en la défense en 2004 ». Il présente des in-
1940 », in Johann Chapoutot et al., Des soldats formations sur la répartition de certains
noirs face au Reich, Paris, PUF, 2015, p. 59-100.- combattants au sein des unités et établit un
- AÏDARA Moulaye, « Le Tata sénégalais de bilan géographique des morts sur la zone.
Chasselay, « une présence africaine » », Écarts https://www.lyonpresenceafricaine.com/
d’identité, no 115, 2009, p. 51–57. lieux-de-memoire/le-tata-de-chasselay-
http://www.revues-plurielles.org/_uploads/ rhone/liste-des-combattants-africains-
pdf/6/115/ei_115_aidara.pdf au-tata-de-chasselay/
- HOPQUIN Benoît, « Le massacre des - Le combattant Moman Diop du 25 e RTS
tirailleurs », in « 1940, la débâcle et l’espoir », a été mis à l’honneur par le groupe de
Le Monde, hors-série, mai 2010. recherche ACHAC (colonialisation, im-
- PONCET Jean, Les combats de Chasselay migration, post-colonialisme) sous forme
Montluzin et dans l’Ouest lyonnais, les 19 d’un petit film Moman Diop (Sénégal, 1918-
et 20 juin 1940, L’Harmattan, 2010. 1940) : un des 188 soldats noirs exécutés
- Documentaire Le Tata, Paysage de pierres, à Chasselay par les Allemands, raconté
documentaire de 60 min de Patrice Robin par Thomas N’Gijol, réalisé par Rachid
et Eveline Berruezo (1992). Bouchareb, auteurs Rachid Bouchareb et
- Documentaire « Le Tata sénégalais de Pascal Blanchard.
Chasselay : mémoires du 25 e RTS », 52’, de https://www.achac.com /memoires-
Rafael Gutierrez et Dario Arce (2007) Pro- combattantes/moman-diop-1918-1940/
ductions Chromatiques- TLM, France. Ce - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
documentaire revient sur les événements sénégalais en Afrique occidentale fran-
de juin 1940 et explique la construction du çaise (1857-1960), Paris, Khartala, 2009
Tata. Il retrace l’histoire des régiments de et Nancy LAWLER, Soldats d’infortune.
Tirailleurs. Il donne la parole aux témoins Les tirailleurs ivoiriens de la Deuxième
et nous conduit à Dakar où quelques an- Guerre mondiale, Paris, L’Harmattan, 1996.
ciens combattants témoignent. - Claire Miot, Sortir l’armée des ombres.
- Le site de l’association « Les amis de Soldats de l’Empire, combattants de la
la présence africaine » présente la liste Libération, armée de la Nation. La Première
des combattants du Tata sénégalais. Ce armée française, du débarquement en Pro-
travail diligenté par Christine Adjahi, Sadio vence à la capitulation allemande (1944-1945),
Ngaide et Alain Begay de l’association thèse d’histoire, O. Wieviorka dir., ENS Paris
visait à s’assurer des « identités africaines Saclay, 2016.
des différentes ethnies ». Travail indiqué
91
ALY Sene
(1916-1940)
Mort pour la France
25 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
92
- MOURAGUES Jean-François, Soldats de quelques anciens combattants témoignent.
la République : les tirailleurs sénégalais - Le site de l’association « Les amis de
dans la tourmente - France mai-juin 1940, la présence africaine » présente la liste
Paris, L’Harmattan, 2010. des combattants du Tata sénégalais. Ce
- SCHECK Raffael (trad. Éric Thiébaud), travail diligenté par Christine Adjahi, Sadio
Une saison noire : Les massacres de ti- Ngaide et Alain Begay de l’association
railleurs sénégalais, mai-juin 1940, Paris, visait à s’assurer des « identités africaines
Tallandier, 2007. des différentes ethnies ». Travail indiqué
- SCHECK Raffael, « Les massacres de pri- comme « communiqué au Ministère de
sonniers noirs par l’armée allemande en la défense en 2004 ». Il présente des in-
1940 », in Johann Chapoutot et al., Des soldats formations sur la répartition de certains
noirs face au Reich, Paris, PUF, 2015, p. 59-100.- combattants au sein des unités et établit un
- AÏDARA Moulaye, « Le Tata sénégalais de bilan géographique des morts sur la zone.
Chasselay, « une présence africaine » », Écarts https://www.lyonpresenceafricaine.com/
d’identité, no 115, 2009, p. 51–57. lieux-de-memoire/le-tata-de-chasselay-
http://www.revues-plurielles.org/_uploads/ rhone/liste-des-combattants-africains-
pdf/6/115/ei_115_aidara.pdf au-tata-de-chasselay/
- HOPQUIN Benoît, « Le massacre des - Le combattant Moman Diop du 25 e RTS
tirailleurs », in « 1940, la débâcle et l’espoir », a été mis à l’honneur par le groupe de
Le Monde, hors-série, mai 2010. recherche ACHAC (colonialisation, im-
- PONCET Jean, Les combats de Chasselay migration, post-colonialisme) sous forme
Montluzin et dans l’Ouest lyonnais, les 19 d’un petit film Moman Diop (Sénégal, 1918-
et 20 juin 1940, L’Harmattan, 2010. 1940) : un des 188 soldats noirs exécutés
- Documentaire Le Tata, Paysage de pierres, à Chasselay par les Allemands, raconté
documentaire de 60 min de Patrice Robin par Thomas N’Gijol, réalisé par Rachid
et Eveline Berruezo (1992). Bouchareb, auteurs Rachid Bouchareb et
- Documentaire « Le Tata sénégalais de Pascal Blanchard.
Chasselay : mémoires du 25 e RTS », 52’, https://www.achac.com /memoires-
de Rafael Gutierrez et Dario Arce (2007) combattantes/moman-diop-1918-1940/
Productions Chromatiques- TLM, France. - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
Ce documentaire revient sur les événe- sénégalais en Afrique occidentale française
ments de juin 1940 et explique la construc- (1857-1960), Paris, Khartala, 2009 et Nancy
tion du Tata. Il retrace l’histoire des régi- LAWLER, Soldats d’infortune. Les tirailleurs
ments de Tirailleurs. Il donne la parole ivoiriens de la Deuxième Guerre mondiale,
aux témoins et nous conduit à Dakar où Paris, L’Harmattan, 1996.
93
BADIANE Gora
(1915-1940)
Mort pour la France
25 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
94
- MOURAGUES Jean-François, Soldats de quelques anciens combattants témoignent.
la République : les tirailleurs sénégalais - Le site de l’association « Les amis de
dans la tourmente - France mai-juin 1940, la présence africaine » présente la liste
Paris, L’Harmattan, 2010. des combattants du Tata sénégalais. Ce
- SCHECK Raffael (trad. Éric Thiébaud), travail diligenté par Christine Adjahi, Sadio
Une saison noire : Les massacres de ti- Ngaide et Alain Begay de l’association
railleurs sénégalais, mai-juin 1940, Paris, visait à s’assurer des « identités africaines
Tallandier, 2007. des différentes ethnies ». Travail indiqué
- SCHECK Raffael, « Les massacres de pri- comme « communiqué au Ministère de
sonniers noirs par l’armée allemande en la défense en 2004 ». Il présente des in-
1940 », in Johann Chapoutot et al., Des soldats formations sur la répartition de certains
noirs face au Reich, Paris, PUF, 2015, p. 59-100.- combattants au sein des unités et établit un
- AÏDARA Moulaye, « Le Tata sénégalais de bilan géographique des morts sur la zone.
Chasselay, « une présence africaine » », Écarts https://www.lyonpresenceafricaine.com/
d’identité, no 115, 2009, p. 51–57. lieux-de-memoire/le-tata-de-chasselay-
http://www.revues-plurielles.org/_uploads/ rhone/liste-des-combattants-africains-
pdf/6/115/ei_115_aidara.pdf au-tata-de-chasselay/
- HOPQUIN Benoît, « Le massacre des - Le combattant Moman Diop du 25 e RTS
tirailleurs », in « 1940, la débâcle et l’espoir », a été mis à l’honneur par le groupe de
Le Monde, hors-série, mai 2010. recherche ACHAC (colonialisation, im-
- PONCET Jean, Les combats de Chasselay migration, post-colonialisme) sous forme
Montluzin et dans l’Ouest lyonnais, les 19 d’un petit film Moman Diop (Sénégal, 1918-
et 20 juin 1940, L’Harmattan, 2010. 1940) : un des 188 soldats noirs exécutés
- Documentaire Le Tata, Paysage de pierres, à Chasselay par les Allemands, raconté
documentaire de 60 min de Patrice Robin par Thomas N’Gijol, réalisé par Rachid
et Eveline Berruezo (1992). Bouchareb, auteurs Rachid Bouchareb et
- Documentaire « Le Tata sénégalais de Pascal Blanchard.
Chasselay : mémoires du 25 e RTS », 52’ de https://www.achac.com /memoires-
Rafael Gutierrez et Dario Arce (2007) Pro- combattantes/moman-diop-1918-1940/
ductions Chromatiques- TLM, France. Ce - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
documentaire revient sur les événements sénégalais en Afrique occidentale française
de juin 1940 et explique la construction (1857-1960), Paris, Khartala, 2009 et Nancy
du Tata. Il retrace l’histoire des régi- LAWLER, Soldats d’infortune. Les tirailleurs
ments de Tirailleurs. Il donne la parole ivoiriens de la Deuxième Guerre mondiale,
aux témoins et nous conduit à Dakar où Paris, L’Harmattan, 1996.
95
BALA Amar
(1918-1940)
Mort pour la France
25 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
96
- SCHECK Raffael (trad. Éric Thiébaud), travail diligenté par Christine Adjahi, Sadio
Une saison noire : Les massacres de ti- Ngaide et Alain Begay de l’association
railleurs sénégalais, mai-juin 1940, Paris, visait à s’assurer des « identités africaines
Tallandier, 2007. des différentes ethnies ». Travail indiqué
- SCHECK Raffael, « Les massacres de pri- comme « communiqué au Ministère de
sonniers noirs par l’armée allemande en la défense en 2004 ». Il présente des in-
1940 », in Johann Chapoutot et al., Des soldats formations sur la répartition de certains
noirs face au Reich, Paris, PUF, 2015, p. 59-100.- combattants au sein des unités et établit un
- AÏDARA Moulaye, « Le Tata sénégalais de bilan géographique des morts sur la zone.
Chasselay, « une présence africaine » », Écarts https://www.lyonpresenceafricaine.com/
d’identité, no 115, 2009, p. 51–57. lieux-de-memoire/le-tata-de-chasselay-
http://www.revues-plurielles.org/_uploads/ rhone/liste-des-combattants-africains-
pdf/6/115/ei_115_aidara.pdf au-tata-de-chasselay/
- HOPQUIN Benoît, « Le massacre des - Le combattant Moman Diop du 25 e RTS
tirailleurs », in « 1940, la débâcle et l’espoir », a été mis à l’honneur par le groupe de
Le Monde, hors-série, mai 2010. recherche ACHAC (colonialisation, im-
- PONCET Jean, Les combats de Chasselay migration, post-colonialisme) sous forme
Montluzin et dans l’Ouest lyonnais, les 19 d’un petit film Moman Diop (Sénégal, 1918-
et 20 juin 1940, L’Harmattan, 2010. 1940) : un des 188 soldats noirs exécutés
- Documentaire Le Tata, Paysage de pierres, à Chasselay par les Allemands, raconté
documentaire de 60 min de Patrice Robin par Thomas N’Gijol, réalisé par Rachid
et Eveline Berruezo (1992). Bouchareb, auteurs Rachid Bouchareb et
- Documentaire « Le Tata sénégalais de Pascal Blanchard.
Chasselay : mémoires du 25 e RTS », 52’, https://www.achac.com /memoires-
de Rafael Gutierrez et Dario Arce (2007) combattantes/moman-diop-1918-1940/
Productions Chromatiques- TLM, France. - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
Ce documentaire revient sur les événe- sénégalais en Afrique occidentale française
ments de juin 1940 et explique la construc- (1857-1960), Paris, Khartala, 2009 et Nancy
tion du Tata. Il retrace l’histoire des régi- LAWLER, Soldats d’infortune. Les tirailleurs
ments de Tirailleurs. Il donne la parole ivoiriens de la Deuxième Guerre mondiale,
aux témoins et nous conduit à Dakar où Paris, L’Harmattan, 1996.
quelques anciens combattants témoignent.
- Le site de l’association « Les amis de
la présence africaine » présente la liste
des combattants du Tata sénégalais. Ce
97
BANDIA Kamara
(1919-1940)
Mort pour la France
25 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
98
- MOURAGUES Jean-François, Soldats de quelques anciens combattants témoignent.
la République : les tirailleurs sénégalais - Le site de l’association « Les amis de
dans la tourmente - France mai-juin 1940, la présence africaine » présente la liste
Paris, L’Harmattan, 2010. des combattants du Tata sénégalais. Ce
- SCHECK Raffael (trad. Éric Thiébaud), travail diligenté par Christine Adjahi, Sadio
Une saison noire : Les massacres de ti- Ngaide et Alain Begay de l’association
railleurs sénégalais, mai-juin 1940, Paris, visait à s’assurer des « identités africaines
Tallandier, 2007. des différentes ethnies ». Travail indiqué
- SCHECK Raffael, « Les massacres de pri- comme « communiqué au Ministère de
sonniers noirs par l’armée allemande en la défense en 2004 ». Il présente des in-
1940 », in Johann Chapoutot et al., Des soldats formations sur la répartition de certains
noirs face au Reich, Paris, PUF, 2015, p. 59-100.- combattants au sein des unités et établit un
- AÏDARA Moulaye, « Le Tata sénégalais de bilan géographique des morts sur la zone.
Chasselay, « une présence africaine » », Écarts https://www.lyonpresenceafricaine.com/
d’identité, no 115, 2009, p. 51–57. lieux-de-memoire/le-tata-de-chasselay-
http://www.revues-plurielles.org/_uploads/ rhone/liste-des-combattants-africains-
pdf/6/115/ei_115_aidara.pdf au-tata-de-chasselay/
- HOPQUIN Benoît, « Le massacre des - Le combattant Moman Diop du 25 e RTS
tirailleurs », in « 1940, la débâcle et l’espoir », a été mis à l’honneur par le groupe de
Le Monde, hors-série, mai 2010. recherche ACHAC (colonialisation, im-
- PONCET Jean, Les combats de Chasselay migration, post-colonialisme) sous forme
Montluzin et dans l’Ouest lyonnais, les 19 d’un petit film Moman Diop (Sénégal, 1918-
et 20 juin 1940, L’Harmattan, 2010. 1940) : un des 188 soldats noirs exécutés
- Documentaire Le Tata, Paysage de pierres, à Chasselay par les Allemands, raconté
documentaire de 60 min de Patrice Robin par Thomas N’Gijol, réalisé par Rachid
et Eveline Berruezo (1992). Bouchareb, auteurs Rachid Bouchareb et
- Documentaire « Le Tata sénégalais de Pascal Blanchard.
Chasselay : mémoires du 25 e RTS », 52’, https://www.achac.com /memoires-
de Rafael Gutierrez et Dario Arce (2007) combattantes/moman-diop-1918-1940/
Productions Chromatiques- TLM, France. - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
Ce documentaire revient sur les événe- sénégalais en Afrique occidentale française
ments de juin 1940 et explique la construc- (1857-1960), Paris, Khartala, 2009 et Nancy
tion du Tata. Il retrace l’histoire des régi- LAWLER, Soldats d’infortune. Les tirailleurs
ments de Tirailleurs. Il donne la parole ivoiriens de la Deuxième Guerre mondiale,
aux témoins et nous conduit à Dakar où Paris, L’Harmattan, 1996.
99
BOUCAR Pouye1
(1918-1940)
Mort pour la France
25 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
100
- MOURAGUES Jean-François, Soldats de - Le site de l’association « Les amis de la
la République : les tirailleurs sénégalais présence africaine » présente la liste des
dans la tourmente - France mai-juin 1940, combattants du Tata sénégalais. Ce tra-
Paris, L’Harmattan, 2010. vail diligenté par Christine Adjahi, Sadio
- SCHECK Raffael (trad. Éric Thiébaud), Ngaide et Alain Begay de l’association
Une saison noire : Les massacres de ti- visait à s’assurer des « identités africaines
railleurs sénégalais, mai-juin 1940, Paris, des différentes ethnies ». Travail indiqué
Tallandier, 2007. comme « communiqué au Ministère de
- SCHECK Raffael, « Les massacres de pri- la défense en 2004 ». Il présente des in-
sonniers noirs par l’armée allemande en formations sur la répartition de certains
1940 », in Johann Chapoutot et al., Des soldats combattants au sein des unités et établit un
noirs face au Reich, Paris, PUF, 2015, p. 59-100.- bilan géographique des morts sur la zone.
- AÏDARA Moulaye, « Le Tata sénégalais de https://www.lyonpresenceafricaine.com/
Chasselay, « une présence africaine » », Écarts lieux-de-memoire/le-tata-de-chasselay-
d’identité, no 115, 2009, p. 51–57. rhone/liste-des-combattants-africains-au-
http://www.revues-plurielles.org/_uploads/ tata-de-chasselay/
pdf/6/115/ei_115_aidara.pdf - Le combattant Moman Diop du 25 e RTS
- HOPQUIN Benoît, « Le massacre des a été mis à l’honneur par le groupe de re-
tirailleurs », in « 1940, la débâcle et l’espoir », cherche ACHAC (colonialisation, immigra-
Le Monde, hors-série, mai 2010. tion, post-colonialisme) sous forme d’un petit
- PONCET Jean, Les combats de Chasselay film Moman Diop (Sénégal, 1918-1940) : un
Montluzin et dans l’Ouest lyonnais, les 19 des 188 soldats noirs exécutés à Chasselay par
et 20 juin 1940, L’Harmattan, 2010. les Allemands, raconté par Thomas N’Gijol,
- Documentaire Le Tata, Paysage de pierres, réalisé par Rachid Bouchareb, auteurs Rachid
documentaire de 60 min de Patrice Robin Bouchareb et Pascal Blanchard.
et Eveline Berruezo (1992). https://www.achac.com /memoires-
- Documentaire « Le Tata sénégalais de combattantes/moman-diop-1918-1940/
Chasselay : mémoires du 25 e RTS », 52’, de - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
Rafael Gutierrez et Dario Arce (2007) Pro- sénégalais en Afrique occidentale française
ductions Chromatiques- TLM, France. Ce (1857-1960), Paris, Khartala, 2009 et Nancy
documentaire revient sur les événements LAWLER, Soldats d’infortune. Les tirailleurs
de juin 1940 et explique la construction du ivoiriens de la Deuxième Guerre mondiale,
Tata. Il retrace l’histoire des régiments de Paris, L’Harmattan, 1996.
Tirailleurs. Il donne la parole aux témoins et
nous conduit à Dakar où quelques anciens
combattants témoignent.
101
BOURAMA Diadhiou
(1917-1940)
Mort pour la France
25 e Régiment de tirailleurs sénégalais
102
Région lyonnaise. 19 et 20 juin 1940, Tirailleurs. Il donne la parole aux témoins et
mémoire de maîtrise d’histoire contemporaine nous conduit à Dakar où quelques anciens
soutenu en 1999. combattants témoignent.
- MOURAGUES Jean-François, Soldats de - Le site de l’association « Les amis de
la République : les tirailleurs sénégalais la présence africaine » présente la liste
dans la tourmente - France mai-juin 1940, des combattants du Tata sénégalais. Ce
Paris, L’Harmattan, 2010. travail diligenté par Christine Adjahi, Sadio
- SCHECK Raffael (trad. Éric Thiébaud), Ngaide et Alain Begay de l’association
Une saison noire : Les massacres de ti- visait à s’assurer des « identités africaines
railleurs sénégalais, mai-juin 1940, Paris, des différentes ethnies ». Travail indiqué
Tallandier, 2007. comme « communiqué au Ministère de
- SCHECK Raffael, « Les massacres de pri- la défense en 2004 ». Il présente des in-
sonniers noirs par l’armée allemande en formations sur la répartition de certains
1940 », in Johann Chapoutot et al., Des soldats combattants au sein des unités et établit un
noirs face au Reich, Paris, PUF, 2015, p. 59-100.- bilan géographique des morts sur la zone.
- AÏDARA Moulaye, « Le Tata sénégalais de https://www.lyonpresenceafricaine.com/
Chasselay, « une présence africaine » », Écarts lieux-de-memoire/le-tata-de-chasselay-
d’identité, no 115, 2009, p. 51–57. rhone/liste-des-combattants-africains-
http://www.revues-plurielles.org/_uploads/ au-tata-de-chasselay/
pdf/6/115/ei_115_aidara.pdf - Le combattant Moman Diop du 25 e RTS
- HOPQUIN Benoît, « Le massacre des a été mis à l’honneur par le groupe de re-
tirailleurs », in « 1940, la débâcle et l’espoir », cherche ACHAC (colonialisation, immigra-
Le Monde, hors-série, mai 2010. tion, post-colonialisme) sous forme d’un petit
- PONCET Jean, Les combats de Chasselay film Moman Diop (Sénégal, 1918-1940) : un
Montluzin et dans l’Ouest lyonnais, les 19 des 188 soldats noirs exécutés à Chasselay par
et 20 juin 1940, L’Harmattan, 2010. les Allemands, raconté par Thomas N’Gijol,
- Documentaire Le Tata, Paysage de pierres, réalisé par Rachid Bouchareb, auteurs Rachid
documentaire de 60 min de Patrice Robin Bouchareb et Pascal Blanchard.
et Eveline Berruezo (1992). https://www.achac.com /memoires-
- Documentaire « Le Tata sénégalais de combattantes/moman-diop-1918-1940/
Chasselay : mémoires du 25 e RTS », 52’, de - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
Rafael Gutierrez et Dario Arce (2007) Pro- sénégalais en Afrique occidentale française
ductions Chromatiques- TLM, France. Ce (1857-1960), Paris, Khartala, 2009 et Nancy
documentaire revient sur les événements LAWLER, Soldats d’infortune. Les tirailleurs
de juin 1940 et explique la construction du ivoiriens de la Deuxième Guerre mondiale,
Tata. Il retrace l’histoire des régiments de Paris, L’Harmattan, 1996.
103
CAMARA Falaye 1
(1916-1940)
Mort pour la France
25 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
104
- MOURAGUES Jean-François, Soldats de - Le site de l’association « Les amis de
la République : les tirailleurs sénégalais la présence africaine » présente la liste
dans la tourmente - France mai-juin 1940, des combattants du Tata sénégalais. Ce
Paris, L’Harmattan, 2010. travail diligenté par Christine Adjahi, Sadio
- SCHECK Raffael (trad. Éric Thiébaud), Ngaide et Alain Begay de l’association
Une saison noire : Les massacres de ti- visait à s’assurer des « identités africaines
railleurs sénégalais, mai-juin 1940, Paris, des différentes ethnies ». Travail indiqué
Tallandier, 2007. comme « communiqué au Ministère de
- SCHECK Raffael, « Les massacres de pri- la défense en 2004 ». Il présente des in-
sonniers noirs par l’armée allemande en formations sur la répartition de certains
1940 », in Johann Chapoutot et al., Des soldats combattants au sein des unités et établit un
noirs face au Reich, Paris, PUF, 2015, p. 59-100.- bilan géographique des morts sur la zone.
- AÏDARA Moulaye, « Le Tata sénégalais de https://www.lyonpresenceafricaine.com/
Chasselay, « une présence africaine » », Écarts lieux-de-memoire/le-tata-de-chasselay-
d’identité, no 115, 2009, p. 51–57. rhone/liste-des-combattants-africains-
http://www.revues-plurielles.org/_uploads/ au-tata-de-chasselay/
pdf/6/115/ei_115_aidara.pdf - Le combattant Moman Diop du 25 e RTS
- HOPQUIN Benoît, « Le massacre des a été mis à l’honneur par le groupe de
tirailleurs », in « 1940, la débâcle et l’espoir », recherche ACHAC (colonialisation, im-
Le Monde, hors-série, mai 2010. migration, post-colonialisme) sous forme
- PONCET Jean, Les combats de Chasselay d’un petit film Moman Diop (Sénégal, 1918-
Montluzin et dans l’Ouest lyonnais, les 19 1940) : un des 188 soldats noirs exécutés
et 20 juin 1940, L’Harmattan, 2010. à Chasselay par les Allemands, raconté
- Documentaire Le Tata, Paysage de pierres, par Thomas N’Gijol, réalisé par Rachid
documentaire de 60 min de Patrice Robin Bouchareb, auteurs Rachid Bouchareb et
et Eveline Berruezo (1992). Pascal Blanchard.
- Documentaire « Le Tata sénégalais de Chas- https://www.achac.com /memoires-
selay : mémoires du 25 e RTS », 52’, de Rafael combattantes/moman-diop-1918-1940/
Gutierrez et Dario Arce (2007) Productions - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
Chromatiques- TLM, France. Ce documentaire sénégalais en Afrique occidentale française
revient sur les événements de juin 1940 et (1857-1960), Paris, Khartala, 2009 et Nancy
explique la construction du Tata. Il retrace LAWLER, Soldats d’infortune. Les tirailleurs
l’histoire des régiments de Tirailleurs. Il donne ivoiriens de la Deuxième Guerre mondiale,
la parole aux témoins et nous conduit à Dakar Paris, L’Harmattan, 1996.
où quelques anciens combattants témoignent.
105
CISSÉ Amadou 1
(1909-1940)
Mort pour la France
25 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
106
• Bibliographie indicative : revient sur les événements de juin 1940 et
- FARGETTAS Julien. Le massacre des soldats explique la construction du Tata. Il retrace
du 25e Régiment de tirailleurs sénéga- l’histoire des régiments de Tirailleurs. Il donne
lais. Région lyonnaise. 19 et 20 juin 1940, la parole aux témoins et nous conduit à Dakar
mémoire de maîtrise d’histoire contemporaine où quelques anciens combattants témoignent.
soutenu en 1999. - Le site de l’association « Les amis de la
- MOURAGUES Jean-François, Soldats de présence africaine » présente la liste des
la République : les tirailleurs sénégalais combattants du Tata sénégalais. Ce tra-
dans la tourmente - France mai-juin 1940, vail diligenté par Christine Adjahi, Sadio
Paris, L’Harmattan, 2010. Ngaide et Alain Begay de l’association
- SCHECK Raffael (trad. Éric Thiébaud), visait à s’assurer des « identités africaines des
Une saison noire : Les massacres de ti- différentes ethnies ». Travail indiqué comme
railleurs sénégalais, mai-juin 1940, Paris, « communiqué au Ministère de la défense en
Tallandier, 2007. 2004 ». Il présente des informations sur la
- SCHECK Raffael, « Les massacres de pri- répartition de certains combattants au sein
sonniers noirs par l’armée allemande en des unités et établit un bilan géographique des
1940 », in Johann Chapoutot et al., Des soldats morts sur la zone.
noirs face au Reich, Paris, PUF, 2015, p. 59-100.- https://www.lyonpresenceafricaine.com/lieux-
- AÏDARA Moulaye, « Le Tata sénégalais de de-memoire/le-tata-de-chasselay-rhone/liste-
Chasselay, « une présence africaine » », Écarts des-combattants-africains-au-tata-de-chasselay/
d’identité, no 115, 2009, p. 51–57. - Le combattant Moman Diop du 25 e RTS a été mis
http://www.revues-plurielles.org/_uploads/ à l’honneur par le groupe de recherche ACHAC
pdf/6/115/ei_115_aidara.pdf (colonialisation, immigration, post-colonialisme)
- HOPQUIN Benoît, « Le massacre des sous forme d’un petit film Moman Diop (Sénégal,
tirailleurs », in « 1940, la débâcle et l’espoir », 1918-1940) : un des 188 soldats noirs exécutés à
Le Monde, hors-série, mai 2010. Chasselay par les Allemands, raconté par Thomas
- PONCET Jean, Les combats de Chasselay N’Gijol, réalisé par Rachid Bouchareb, auteurs
Montluzin et dans l’Ouest lyonnais, les 19 Rachid Bouchareb et Pascal Blanchard.
et 20 juin 1940, L’Harmattan, 2010. https://www.achac.com /memoires-
- Documentaire Le Tata, Paysage de pierres, combattantes/moman-diop-1918-1940/
documentaire de 60 min de Patrice Robin - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
et Eveline Berruezo (1992). sénégalais en Afrique occidentale française
- Documentaire « Le Tata sénégalais de Chas- (1857-1960), Paris, Khartala, 2009 et Nancy
selay : mémoires du 25 e RTS », 52’, de Rafael LAWLER, Soldats d’infortune. Les tirailleurs
Gutierrez et Dario Arce (2007) Productions ivoiriens de la Deuxième Guerre mondiale,
Chromatiques- TLM, France. Ce documentaire Paris, L’Harmattan, 1996.
107
DIASSE Niang
(?-1940)
Mort pour la France
25 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
108
http://www.revues-plurielles.org/_uploads/ Il présente des informations sur la répar-
pdf/6/115/ei_115_aidara.pdf tition de certains combattants au sein des
- HOPQUIN Benoît, « Le massacre des unités et établit un bilan géographique des
tirailleurs », in « 1940, la débâcle et l’espoir », morts sur la zone.
Le Monde, hors-série, mai 2010. https://www.lyonpresenceafricaine.com/
- PONCET Jean, Les combats de Chasselay lieux-de-memoire/le-tata-de-chasselay-
Montluzin et dans l’Ouest lyonnais, les 19 rhone/liste-des-combattants-africains-
et 20 juin 1940, L’Harmattan, 2010. au-tata-de-chasselay/
- Documentaire Le Tata, Paysage de pierres, - Le combattant Moman Diop du 25 e RTS
documentaire de 60 min de Patrice Robin a été mis à l’honneur par le groupe de
et Eveline Berruezo (1992). recherche ACHAC (colonialisation, im-
- Documentaire « Le Tata sénégalais de Chas- migration, post-colonialisme) sous forme
selay : mémoires du 25 e RTS », 52’, de Rafael d’un petit film Moman Diop (Sénégal, 1918-
Gutierrez et Dario Arce (2007) Productions 1940) : un des 188 soldats noirs exécutés
Chromatiques- TLM, France. Ce documentaire à Chasselay par les Allemands, raconté
revient sur les événements de juin 1940 et par Thomas N’Gijol, réalisé par Rachid
explique la construction du Tata. Il retrace Bouchareb, auteurs Rachid Bouchareb et
l’histoire des régiments de Tirailleurs. Il donne Pascal Blanchard.
la parole aux témoins et nous conduit à Dakar https://www.achac.com /memoires-
où quelques anciens combattants témoignent. combattantes/moman-diop-1918-1940/
- Le site de l’association « Les amis de - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
la présence africaine » présente la liste sénégalais en Afrique occidentale française
des combattants du Tata sénégalais. Ce (1857-1960), Paris, Khartala, 2009 et Nancy
travail diligenté par Christine Adjahi, Sadio LAWLER, Soldats d’infortune. Les tirailleurs
Ngaide et Alain Begay de l’association ivoiriens de la Deuxième Guerre mondiale,
visait à s’assurer des « identités africaines Paris, L’Harmattan, 1996.
des différentes ethnies ». Travail indiqué
comme « communiqué au Ministère de
la défense en 2004 ».
109
DIOUF Babakar
(1913-1940)
Mort pour la France
25 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
110
- MOURAGUES Jean-François, Soldats de quelques anciens combattants témoignent.
la République : les tirailleurs sénégalais - Le site de l’association « Les amis de
dans la tourmente - France mai-juin 1940, la présence africaine » présente la liste
Paris, L’Harmattan, 2010. des combattants du Tata sénégalais. Ce
- SCHECK Raffael (trad. Éric Thiébaud), travail diligenté par Christine Adjahi, Sadio
Une saison noire : Les massacres de ti- Ngaide et Alain Begay de l’association
railleurs sénégalais, mai-juin 1940, Paris, visait à s’assurer des « identités africaines
Tallandier, 2007. des différentes ethnies ». Travail indiqué
- SCHECK Raffael, « Les massacres de pri- comme « communiqué au Ministère de
sonniers noirs par l’armée allemande en la défense en 2004 ». Il présente des in-
1940 », in Johann Chapoutot et al., Des soldats formations sur la répartition de certains
noirs face au Reich, Paris, PUF, 2015, p. 59-100.- combattants au sein des unités et établit un
- AÏDARA Moulaye, « Le Tata sénégalais de bilan géographique des morts sur la zone.
Chasselay, « une présence africaine » », Écarts https://www.lyonpresenceafricaine.com/
d’identité, no 115, 2009, p. 51–57. lieux-de-memoire/le-tata-de-chasselay-
http://www.revues-plurielles.org/_uploads/ rhone/liste-des-combattants-africains-
pdf/6/115/ei_115_aidara.pdf au-tata-de-chasselay/
- HOPQUIN Benoît, « Le massacre des - Le combattant Moman Diop du 25 e RTS
tirailleurs », in « 1940, la débâcle et l’espoir », a été mis à l’honneur par le groupe de
Le Monde, hors-série, mai 2010. recherche ACHAC (colonialisation, im-
- PONCET Jean, Les combats de Chasselay migration, post-colonialisme) sous forme
Montluzin et dans l’Ouest lyonnais, les 19 d’un petit film Moman Diop (Sénégal, 1918-
et 20 juin 1940, L’Harmattan, 2010. 1940) : un des 188 soldats noirs exécutés
- Documentaire Le Tata, Paysage de pierres, à Chasselay par les Allemands, raconté
documentaire de 60 min de Patrice Robin par Thomas N’Gijol, réalisé par Rachid
et Eveline Berruezo (1992). Bouchareb, auteurs Rachid Bouchareb et
- Documentaire « Le Tata sénégalais de Pascal Blanchard.
Chasselay : mémoires du 25 e RTS », 52’, de https://www.achac.com /memoires-
Rafael Gutierrez et Dario Arce (2007) Pro- combattantes/moman-diop-1918-1940/
ductions Chromatiques- TLM, France. Ce - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
documentaire revient sur les événements sénégalais en Afrique occidentale française
de juin 1940 et explique la construction (1857-1960), Paris, Khartala, 2009 et Nancy
du Tata. Il retrace l’histoire des régiments LAWLER, Soldats d’infortune. Les tirailleurs
de Tirailleurs. Il donne la parole aux ivoiriens de la Deuxième Guerre mondiale,
témoins et nous conduit à Dakar où Paris, L’Harmattan, 1996.
111
DIOUF Paul
(vers 1919-1940)
Mort pour la France
25 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
112
- MOURAGUES Jean-François, Soldats de Le site de l’association « Les amis de la
la République : les tirailleurs sénégalais présence africaine » présente la liste des
dans la tourmente - France mai-juin 1940, combattants du Tata sénégalais. Ce tra-
Paris, L’Harmattan, 2010. vail diligenté par Christine Adjahi, Sadio
- SCHECK Raffael (trad. Éric Thiébaud), Ngaide et Alain Begay de l’association
Une saison noire : Les massacres de ti- visait à s’assurer des « identités africaines
railleurs sénégalais, mai-juin 1940, Paris, des différentes ethnies ». Travail indiqué
Tallandier, 2007. comme « communiqué au Ministère de
- SCHECK Raffael, « Les massacres de pri- la défense en 2004 ». Il présente des in-
sonniers noirs par l’armée allemande en formations sur la répartition de certains
1940 », in Johann Chapoutot et al., Des soldats combattants au sein des unités et établit un
noirs face au Reich, Paris, PUF, 2015, p. 59-100.- bilan géographique des morts sur la zone.
- AÏDARA Moulaye, « Le Tata sénégalais de https://www.lyonpresenceafricaine.com/
Chasselay, « une présence africaine » », Écarts lieux-de-memoire/le-tata-de-chasselay-
d’identité, no 115, 2009, p. 51–57. rhone/liste-des-combattants-africains-
http://www.revues-plurielles.org/_uploads/ au-tata-de-chasselay/
pdf/6/115/ei_115_aidara.pdf Le combattant Moman Diop du 25 e RTS a été
- HOPQUIN Benoît, « Le massacre des mis à l’honneur par le groupe de recherche
tirailleurs », in « 1940, la débâcle et l’espoir », ACHAC (colonialisation, immigration,
Le Monde, hors-série, mai 2010. post-colonialisme) sous forme d’un petit film
- PONCET Jean, Les combats de Chasselay Moman Diop (Sénégal, 1918-1940) : un des
Montluzin et dans l’Ouest lyonnais, les 19 188 soldats noirs exécutés à Chasselay par
et 20 juin 1940, L’Harmattan, 2010. les Allemands, raconté par Thomas N’Gijol,
- Documentaire Le Tata, Paysage de pierres, réalisé par Rachid Bouchareb, auteurs Rachid
documentaire de 60 min de Patrice Robin Bouchareb et Pascal Blanchard.
et Eveline Berruezo (1992). https://www.achac.com /memoires
- Documentaire « Le Tata sénégalais de Chas- -combattantes/moman-diop-1918-1940/
selay : mémoires du 25 e RTS », 52’, de Rafael - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
Gutierrez et Dario Arce (2007) Productions sénégalais en Afrique occidentale française
Chromatiques- TLM, France. Ce documentaire (1857-1960), Paris, Khartala, 2009 et Nancy
revient sur les événements de juin 1940 et LAWLER, Soldats d’infortune. Les tirailleurs
explique la construction du Tata. Il retrace ivoiriens de la Deuxième Guerre mondiale,
l’histoire des régiments de Tirailleurs. Il donne Paris, L’Harmattan, 1996.
la parole aux témoins et nous conduit à Dakar
où quelques anciens combattants témoignent.
113
DJEMORY Sako
(1919-1940)
Mort pour la France
25 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
114
- MOURAGUES Jean-François, Soldats de - Le site de l’association « Les amis de
la République : les tirailleurs sénégalais la présence africaine » présente la liste
dans la tourmente - France mai-juin 1940, des combattants du Tata sénégalais. Ce
Paris, L’Harmattan, 2010. travail diligenté par Christine Adjahi, Sadio
- SCHECK Raffael (trad. Éric Thiébaud), Ngaide et Alain Begay de l’association
Une saison noire : Les massacres de ti- visait à s’assurer des « identités africaines
railleurs sénégalais, mai-juin 1940, Paris, des différentes ethnies ». Travail indiqué
Tallandier, 2007. comme « communiqué au Ministère de
- SCHECK Raffael, « Les massacres de pri- la défense en 2004 ». Il présente des in-
sonniers noirs par l’armée allemande en formations sur la répartition de certains
1940 », in Johann Chapoutot et al., Des soldats combattants au sein des unités et établit un
noirs face au Reich, Paris, PUF, 2015, p. 59-100.- bilan géographique des morts sur la zone.
- AÏDARA Moulaye, « Le Tata sénégalais de https://www.lyonpresenceafricaine.com/
Chasselay, « une présence africaine » », Écarts lieux-de-memoire/le-tata-de-chasselay-
d’identité, no 115, 2009, p. 51–57. rhone/liste-des-combattants-africains-
http://www.revues-plurielles.org/_uploads/ au-tata-de-chasselay/
pdf/6/115/ei_115_aidara.pdf - Le combattant Moman Diop du 25 e RTS
- HOPQUIN Benoît, « Le massacre des a été mis à l’honneur par le groupe de re-
tirailleurs », in « 1940, la débâcle et l’espoir », cherche ACHAC (colonialisation, immigra-
Le Monde, hors-série, mai 2010. tion, post-colonialisme) sous forme d’un
- PONCET Jean, Les combats de Chasselay petit film Moman Diop (Sénégal, 1918-1940)
Montluzin et dans l’Ouest lyonnais, les 19 : un des 188 soldats noirs exécutés à Chasse-
et 20 juin 1940, L’Harmattan, 2010. lay par les Allemands, raconté par Thomas
- Documentaire Le Tata, Paysage de pierres, N’Gijol, réalisé par Rachid Bouchareb, au-
documentaire de 60 min de Patrice Robin teurs Rachid Bouchareb et Pascal Blanchard.
et Eveline Berruezo (1992). https://www.achac.com /memoires-
- Documentaire « Le Tata sénégalais de Chas- combattantes/moman-diop-1918-1940/
selay : mémoires du 25 e RTS », 52’, de Rafael - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
Gutierrez et Dario Arce (2007) Productions sénégalais en Afrique occidentale française
Chromatiques- TLM, France. Ce documentaire (1857-1960), Paris, Khartala, 2009 et Nancy
revient sur les événements de juin 1940 et LAWLER, Soldats d’infortune. Les tirailleurs
explique la construction du Tata. Il retrace ivoiriens de la Deuxième Guerre mondiale,
l’histoire des régiments de Tirailleurs. Il donne Paris, L’Harmattan, 1996.
la parole aux témoins et nous conduit à Dakar
où quelques anciens combattants témoignent.
115
DOFFENE Diouf
(1918-1940)
Mort pour la France
25 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
116
- SCHECK Raffael (trad. Éric Thiébaud), travail diligenté par Christine Adjahi, Sadio
Une saison noire : Les massacres de ti- Ngaide et Alain Begay de l’association
railleurs sénégalais, mai-juin 1940, Paris, visait à s’assurer des « identités africaines
Tallandier, 2007. des différentes ethnies ». Travail indiqué
- SCHECK Raffael, « Les massacres de pri- comme « communiqué au Ministère de
sonniers noirs par l’armée allemande en la défense en 2004 ». Il présente des in-
1940 », in Johann Chapoutot et al., Des soldats formations sur la répartition de certains
noirs face au Reich, Paris, PUF, 2015, p. 59-100.- combattants au sein des unités et établit un
- AÏDARA Moulaye, « Le Tata sénégalais de bilan géographique des morts sur la zone.
Chasselay, « une présence africaine » », Écarts https://www.lyonpresenceafricaine.com/
d’identité, no 115, 2009, p. 51–57. lieux-de-memoire/le-tata-de-chasselay-
http://www.revues-plurielles.org/_uploads/ rhone/liste-des-combattants-africains-
pdf/6/115/ei_115_aidara.pdf au-tata-de-chasselay/
- HOPQUIN Benoît, « Le massacre des - Le combattant Moman Diop du 25 e RTS
tirailleurs », in « 1940, la débâcle et l’espoir », a été mis à l’honneur par le groupe de re-
Le Monde, hors-série, mai 2010. cherche ACHAC (colonialisation, immigra-
- PONCET Jean, Les combats de Chasselay tion, post-colonialisme) sous forme d’un petit
Montluzin et dans l’Ouest lyonnais, les 19 film Moman Diop (Sénégal, 1918-1940) : un
et 20 juin 1940, L’Harmattan, 2010. des 188 soldats noirs exécutés à Chasselay par
- Documentaire Le Tata, Paysage de pierres, les Allemands, raconté par Thomas N’Gijol,
documentaire de 60 min de Patrice Robin réalisé par Rachid Bouchareb, auteurs Rachid
et Eveline Berruezo (1992). Bouchareb et Pascal Blanchard.
- Documentaire « Le Tata sénégalais de Chas- https://www.achac.com /memoires-
selay : mémoires du 25 e RTS », 52’, de Rafael combattantes/moman-diop-1918-1940/
Gutierrez et Dario Arce (2007) Productions - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
Chromatiques- TLM, France. Ce documentaire sénégalais en Afrique occidentale française
revient sur les événements de juin 1940 et (1857-1960), Paris, Khartala, 2009 et Nancy
explique la construction du Tata. Il retrace LAWLER, Soldats d’infortune. Les tirailleurs
l’histoire des régiments de Tirailleurs. Il donne ivoiriens de la Deuxième Guerre mondiale,
la parole aux témoins et nous conduit à Dakar Paris, L’Harmattan, 1996.
où quelques anciens combattants témoignent.
- Le site de l’association « Les amis de
la présence africaine » présente la liste
des combattants du Tata sénégalais. Ce
117
FALAYE Koudé
(1906-1940)
Mort pour la France
25 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
118
- MOURAGUES Jean-François, Soldats de - Le site de l’association « Les amis de
la République : les tirailleurs sénégalais la présence africaine » présente la liste
dans la tourmente - France mai-juin 1940, des combattants du Tata sénégalais. Ce
Paris, L’Harmattan, 2010. travail diligenté par Christine Adjahi, Sadio
- SCHECK Raffael (trad. Éric Thiébaud), Ngaide et Alain Begay de l’association
Une saison noire : Les massacres de ti- visait à s’assurer des « identités africaines
railleurs sénégalais, mai-juin 1940, Paris, des différentes ethnies ». Travail indiqué
Tallandier, 2007. comme « communiqué au Ministère de
- SCHECK Raffael, « Les massacres de pri- la défense en 2004 ». Il présente des in-
sonniers noirs par l’armée allemande en formations sur la répartition de certains
1940 », in Johann Chapoutot et al., Des soldats combattants au sein des unités et établit un
noirs face au Reich, Paris, PUF, 2015, p. 59-100.- bilan géographique des morts sur la zone.
- AÏDARA Moulaye, « Le Tata sénégalais de https://www.lyonpresenceafricaine.com/
Chasselay, « une présence africaine » », Écarts lieux-de-memoire/le-tata-de-chasselay-
d’identité, no 115, 2009, p. 51–57. rhone/liste-des-combattants-africains-
http://www.revues-plurielles.org/_uploads/ au-tata-de-chasselay/
pdf/6/115/ei_115_aidara.pdf - Le combattant Moman Diop du 25 e RTS
- HOPQUIN Benoît, « Le massacre des a été mis à l’honneur par le groupe de
tirailleurs », in « 1940, la débâcle et l’espoir », recherche ACHAC (colonialisation, im-
Le Monde, hors-série, mai 2010. migration, post-colonialisme) sous forme
- PONCET Jean, Les combats de Chasselay d’un petit film Moman Diop (Sénégal, 1918-
Montluzin et dans l’Ouest lyonnais, les 19 1940) : un des 188 soldats noirs exécutés
et 20 juin 1940, L’Harmattan, 2010. à Chasselay par les Allemands, raconté
- Documentaire Le Tata, Paysage de pierres, par Thomas N’Gijol, réalisé par Rachid
documentaire de 60 min de Patrice Robin Bouchareb, auteurs Rachid Bouchareb et
et Eveline Berruezo (1992). Pascal Blanchard.
- Documentaire « Le Tata sénégalais de https://www.achac.com /memoires-
Chasselay : mémoires du 25 e RTS », 52’, de combattantes/moman-diop-1918-1940/
Rafael Gutierrez et Dario Arce (2007) Pro- - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
ductions Chromatiques- TLM, France. Ce sénégalais en Afrique occidentale française
documentaire revient sur les événements (1857-1960), Paris, Khartala, 2009 et Nancy
de juin 1940 et explique la construction du LAWLER, Soldats d’infortune. Les tirailleurs
Tata. Il retrace l’histoire des régiments de ivoiriens de la Deuxième Guerre mondiale,
Tirailleurs. Il donne la parole aux témoins et Paris, L’Harmattan, 1996.
nous conduit à Dakar où quelques anciens
combattants témoignent.
119
FALL Aly 1
(1912-1940)
Mort pour la France
25 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
120
- MOURAGUES Jean-François, Soldats de - Le site de l’association « Les amis de
la République : les tirailleurs sénégalais la présence africaine » présente la liste
dans la tourmente - France mai-juin 1940, des combattants du Tata sénégalais. Ce
Paris, L’Harmattan, 2010. travail diligenté par Christine Adjahi, Sadio
- SCHECK Raffael (trad. Éric Thiébaud), Ngaide et Alain Begay de l’association
Une saison noire : Les massacres de ti- visait à s’assurer des « identités africaines
railleurs sénégalais, mai-juin 1940, Paris, des différentes ethnies ». Travail indiqué
Tallandier, 2007. comme « communiqué au Ministère de
- SCHECK Raffael, « Les massacres de pri- la défense en 2004 ». Il présente des in-
sonniers noirs par l’armée allemande en formations sur la répartition de certains
1940 », in Johann Chapoutot et al., Des soldats combattants au sein des unités et établit un
noirs face au Reich, Paris, PUF, 2015, p. 59-100.- bilan géographique des morts sur la zone.
- AÏDARA Moulaye, « Le Tata sénégalais de https://www.lyonpresenceafricaine.com/
Chasselay, « une présence africaine » », Écarts lieux-de-memoire/le-tata-de-chasselay-
d’identité, no 115, 2009, p. 51–57. rhone/liste-des-combattants-africains-
http://www.revues-plurielles.org/_uploads/ au-tata-de-chasselay/
pdf/6/115/ei_115_aidara.pdf - Le combattant Moman Diop du 25 e RTS
- HOPQUIN Benoît, « Le massacre des a été mis à l’honneur par le groupe de re-
tirailleurs », in « 1940, la débâcle et l’espoir », cherche ACHAC (colonialisation, immigra-
Le Monde, hors-série, mai 2010. tion, post-colonialisme) sous forme d’un petit
- PONCET Jean, Les combats de Chasselay film Moman Diop (Sénégal, 1918-1940) : un
Montluzin et dans l’Ouest lyonnais, les 19 des 188 soldats noirs exécutés à Chasselay par
et 20 juin 1940, L’Harmattan, 2010. les Allemands, raconté par Thomas N’Gijol,
- Documentaire Le Tata, Paysage de pierres, réalisé par Rachid Bouchareb, auteurs Rachid
documentaire de 60 min de Patrice Robin Bouchareb et Pascal Blanchard.
et Eveline Berruezo (1992). https://www.achac.com /memoires-
- Documentaire « Le Tata sénégalais de Chas- ombattantes/moman-diop-1918-1940/
selay : mémoires du 25 e RTS », 52’, de Rafael - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
Gutierrez et Dario Arce (2007) Productions sénégalais en Afrique occidentale française
Chromatiques- TLM, France. Ce documentaire (1857-1960), Paris, Khartala, 2009 et Nancy
revient sur les événements de juin 1940 et LAWLER, Soldats d’infortune. Les tirailleurs
explique la construction du Tata. Il retrace ivoiriens de la Deuxième Guerre mondiale,
l’histoire des régiments de Tirailleurs. Il donne Paris, L’Harmattan, 1996.
la parole aux témoins et nous conduit à Dakar
où quelques anciens combattants témoignent.
121
FALL Cheick
(1911-1940)
Mort pour la France
25 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
122
- MOURAGUES Jean-François, Soldats de - Le site de l’association « Les amis de
la République : les tirailleurs sénégalais la présence africaine » présente la liste
dans la tourmente - France mai-juin 1940, des combattants du Tata sénégalais. Ce
Paris, L’Harmattan, 2010. travail diligenté par Christine Adjahi, Sadio
- SCHECK Raffael (trad. Éric Thiébaud), Ngaide et Alain Begay de l’association
Une saison noire : Les massacres de ti- visait à s’assurer des « identités africaines
railleurs sénégalais, mai-juin 1940, Paris, des différentes ethnies ». Travail indiqué
Tallandier, 2007. comme « communiqué au Ministère de
- SCHECK Raffael, « Les massacres de pri- la défense en 2004 ». Il présente des in-
sonniers noirs par l’armée allemande en formations sur la répartition de certains
1940 », in Johann Chapoutot et al., Des soldats combattants au sein des unités et établit un
noirs face au Reich, Paris, PUF, 2015, p. 59-100.- bilan géographique des morts sur la zone.
- AÏDARA Moulaye, « Le Tata sénégalais de https://www.lyonpresenceafricaine.com/
Chasselay, « une présence africaine » », Écarts lieux-de-memoire/le-tata-de-chasselay-
d’identité, no 115, 2009, p. 51–57. rhone/liste-des-combattants-africains-
http://www.revues-plurielles.org/_uploads/ au-tata-de-chasselay/
pdf/6/115/ei_115_aidara.pdf - Le combattant Moman Diop du 25 e RTS
- HOPQUIN Benoît, « Le massacre des a été mis à l’honneur par le groupe de
tirailleurs », in « 1940, la débâcle et l’espoir », recherche ACHAC (colonialisation, im-
Le Monde, hors-série, mai 2010. migration, post-colonialisme) sous forme
- PONCET Jean, Les combats de Chasselay d’un petit film Moman Diop (Sénégal, 1918-
Montluzin et dans l’Ouest lyonnais, les 19 1940) : un des 188 soldats noirs exécutés
et 20 juin 1940, L’Harmattan, 2010. à Chasselay par les Allemands, raconté
- Documentaire Le Tata, Paysage de pierres, par Thomas N’Gijol, réalisé par Rachid
documentaire de 60 min de Patrice Robin Bouchareb, auteurs Rachid Bouchareb et
et Eveline Berruezo (1992). Pascal Blanchard.
- Documentaire « Le Tata sénégalais de https://www.achac.com /memoires-
Chasselay : mémoires du 25 e RTS », 52’, de combattantes/moman-diop-1918-1940- /
Rafael Gutierrez et Dario Arce (2007) Pro- - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
ductions Chromatiques- TLM, France. Ce sénégalais en Afrique occidentale française
documentaire revient sur les événements (1857-1960), Paris, Khartala, 2009 et Nancy
de juin 1940 et explique la construction du LAWLER, Soldats d’infortune. Les tirailleurs
Tata. Il retrace l’histoire des régiments de ivoiriens de la Deuxième Guerre mondiale,
Tirailleurs. Il donne la parole aux témoins et Paris, L’Harmattan, 1996.
nous conduit à Dakar où quelques anciens
combattants témoignent.
123
FAMOUSSA Kamara 1
(1919-1940)
Mort pour la France
25 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
124
- MOURAGUES Jean-François, Soldats de - Le site de l’association « Les amis de
la République : les tirailleurs sénégalais la présence africaine » présente la liste
dans la tourmente - France mai-juin 1940, des combattants du Tata sénégalais. Ce
Paris, L’Harmattan, 2010. travail diligenté par Christine Adjahi, Sadio
- SCHECK Raffael (trad. Éric Thiébaud), Ngaide et Alain Begay de l’association
Une saison noire : Les massacres de ti- visait à s’assurer des « identités africaines
railleurs sénégalais, mai-juin 1940, Paris, des différentes ethnies ». Travail indiqué
Tallandier, 2007. comme « communiqué au Ministère de
- SCHECK Raffael, « Les massacres de pri- la défense en 2004 ». Il présente des in-
sonniers noirs par l’armée allemande en formations sur la répartition de certains
1940 », in Johann Chapoutot et al., Des soldats combattants au sein des unités et établit un
noirs face au Reich, Paris, PUF, 2015, p. 59-100.- bilan géographique des morts sur la zone.
- AÏDARA Moulaye, « Le Tata sénégalais de https://www.lyonpresenceafricaine.com/
Chasselay, « une présence africaine » », Écarts lieux-de-memoire/le-tata-de-chasselay-
d’identité, no 115, 2009, p. 51–57. rhone/liste-des-combattants-africains-
http://www.revues-plurielles.org/_uploads/ au-tata-de-chasselay/
pdf/6/115/ei_115_aidara.pdf - Le combattant Moman Diop du 25 e RTS
- HOPQUIN Benoît, « Le massacre des a été mis à l’honneur par le groupe de re-
tirailleurs », in « 1940, la débâcle et l’espoir », cherche ACHAC (colonialisation, immigra-
Le Monde, hors-série, mai 2010. tion, post-colonialisme) sous forme d’un petit
- PONCET Jean, Les combats de Chasselay film Moman Diop (Sénégal, 1918-1940) : un
Montluzin et dans l’Ouest lyonnais, les 19 des 188 soldats noirs exécutés à Chasselay par
et 20 juin 1940, L’Harmattan, 2010. les Allemands, raconté par Thomas N’Gijol,
- Documentaire Le Tata, Paysage de pierres, réalisé par Rachid Bouchareb, auteurs Rachid
documentaire de 60 min de Patrice Robin Bouchareb et Pascal Blanchard.
et Eveline Berruezo (1992). https://www.achac.com /memoires-
- Documentaire « Le Tata sénégalais de Chas- combattantes/moman-diop-1918-1940/
selay : mémoires du 25 e RTS », 52’, de Rafael - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
Gutierrez et Dario Arce (2007) Productions sénégalais en Afrique occidentale française
Chromatiques- TLM, France. Ce documentaire (1857-1960), Paris, Khartala, 2009 et Nancy
revient sur les événements de juin 1940 et LAWLER, Soldats d’infortune. Les tirailleurs
explique la construction du Tata. Il retrace ivoiriens de la Deuxième Guerre mondiale,
l’histoire des régiments de Tirailleurs. Il donne Paris, L’Harmattan, 1996.
la parole aux témoins et nous conduit à Dakar
où quelques anciens combattants témoignent.
125
GUEYE Ibrae 1
(1918-1940)
Mort pour la France
25 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
126
- MOURAGUES Jean-François, Soldats de - Le site de l’association « Les amis de
la République : les tirailleurs sénégalais la présence africaine » présente la liste
dans la tourmente - France mai-juin 1940, des combattants du Tata sénégalais. Ce
Paris, L’Harmattan, 2010. travail diligenté par Christine Adjahi, Sadio
- SCHECK Raffael (trad. Éric Thiébaud), Ngaide et Alain Begay de l’association
Une saison noire : Les massacres de ti- visait à s’assurer des « identités africaines
railleurs sénégalais, mai-juin 1940, Paris, des différentes ethnies ». Travail indiqué
Tallandier, 2007. comme « communiqué au Ministère de
- SCHECK Raffael, « Les massacres de pri- la défense en 2004 ». Il présente des in-
sonniers noirs par l’armée allemande en formations sur la répartition de certains
1940 », in Johann Chapoutot et al., Des soldats combattants au sein des unités et établit un
noirs face au Reich, Paris, PUF, 2015, p. 59-100.- bilan géographique des morts sur la zone.
- AÏDARA Moulaye, « Le Tata sénégalais de https://www.lyonpresenceafricaine.com/
Chasselay, « une présence africaine » », Écarts lieux-de-memoire/le-tata-de-chasselay-
d’identité, no 115, 2009, p. 51–57. rhone/liste-des-combattants-africains-
http://www.revues-plurielles.org/_uploads/ au-tata-de-chasselay/
pdf/6/115/ei_115_aidara.pdf - Le combattant Moman Diop du 25 e RTS
- HOPQUIN Benoît, « Le massacre des a été mis à l’honneur par le groupe de re-
tirailleurs », in « 1940, la débâcle et l’espoir », cherche ACHAC (colonialisation, immigra-
Le Monde, hors-série, mai 2010. tion, post-colonialisme) sous forme d’un petit
- PONCET Jean, Les combats de Chasselay film Moman Diop (Sénégal, 1918-1940) : un
Montluzin et dans l’Ouest lyonnais, les 19 des 188 soldats noirs exécutés à Chasselay par
et 20 juin 1940, L’Harmattan, 2010. les Allemands, raconté par Thomas N’Gijol,
- Documentaire Le Tata, Paysage de pierres, réalisé par Rachid Bouchareb, auteurs Rachid
documentaire de 60 min de Patrice Robin Bouchareb et Pascal Blanchard.
et Eveline Berruezo (1992). https://www.achac.com/memoires-com-
- Documentaire « Le Tata sénégalais de Chas- battantes/moman-diop-1918-1940/
selay : mémoires du 25 e RTS », 52’, de Rafael - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
Gutierrez et Dario Arce (2007) Productions sénégalais en Afrique occidentale française
Chromatiques- TLM, France. Ce documentaire (1857-1960), Paris, Khartala, 2009 et Nancy
revient sur les événements de juin 1940 et LAWLER, Soldats d’infortune. Les tirailleurs
explique la construction du Tata. Il retrace ivoiriens de la Deuxième Guerre mondiale,
l’histoire des régiments de Tirailleurs. Il donne Paris, L’Harmattan, 1996.
la parole aux témoins et nous conduit à Dakar
où quelques anciens combattants témoignent.
127
IBRAHIMA Kandjé 1
(1919-1940)
Mort pour la France
25 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
128
- SCHECK Raffael (trad. Éric Thiébaud), travail diligenté par Christine Adjahi, Sadio
Une saison noire : Les massacres de ti- Ngaide et Alain Begay de l’association
railleurs sénégalais, mai-juin 1940, Paris, visait à s’assurer des « identités africaines
Tallandier, 2007. des différentes ethnies ». Travail indiqué
- SCHECK Raffael, « Les massacres de pri- comme « communiqué au Ministère de
sonniers noirs par l’armée allemande en la défense en 2004 ». Il présente des in-
1940 », in Johann Chapoutot et al., Des soldats formations sur la répartition de certains
noirs face au Reich, Paris, PUF, 2015, p. 59-100.- combattants au sein des unités et établit un
- AÏDARA Moulaye, « Le Tata sénégalais de bilan géographique des morts sur la zone.
Chasselay, « une présence africaine » », Écarts https://www.lyonpresenceafricaine.com/
d’identité, no 115, 2009, p. 51–57. lieux-de-memoire/le-tata-de-chasselay-
http://www.revues-plurielles.org/_uploads/ rhone/liste-des-combattants-africains-
pdf/6/115/ei_115_aidara.pdf au-tata-de-chasselay/
- HOPQUIN Benoît, « Le massacre des - Le combattant Moman Diop du 25 e RTS
tirailleurs », in « 1940, la débâcle et l’espoir », a été mis à l’honneur par le groupe de
Le Monde, hors-série, mai 2010. recherche ACHAC (colonialisation, im-
- PONCET Jean, Les combats de Chasselay migration, post-colonialisme) sous forme
Montluzin et dans l’Ouest lyonnais, les 19 d’un petit film Moman Diop (Sénégal, 1918-
et 20 juin 1940, L’Harmattan, 2010. 1940) : un des 188 soldats noirs exécutés
- Documentaire Le Tata, Paysage de pierres, à Chasselay par les Allemands, raconté
documentaire de 60 min de Patrice Robin par Thomas N’Gijol, réalisé par Rachid
et Eveline Berruezo (1992). Bouchareb, auteurs Rachid Bouchareb et
- Documentaire « Le Tata sénégalais de Pascal Blanchard.
Chasselay : mémoires du 25 e RTS », 52’, de https://www.achac.com /memoires-
Rafael Gutierrez et Dario Arce (2007) Pro- combattantes/moman-diop-1918-1940/
ductions Chromatiques- TLM, France. Ce - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
documentaire revient sur les événements sénégalais en Afrique occidentale française
de juin 1940 et explique la construction (1857-1960), Paris, Khartala, 2009 et Nancy
du Tata. Il retrace l’histoire des régiments LAWLER, Soldats d’infortune. Les tirailleurs
de Tirailleurs. Il donne la parole aux ivoiriens de la Deuxième Guerre mondiale,
témoins et nous conduit à Dakar où Paris, L’Harmattan, 1996.
quelques anciens combattants témoignent.
- Le site de l’association « Les amis de
la présence africaine » présente la liste
des combattants du Tata sénégalais. Ce
129
KARIFA Koudé
(1919-1940)
Mort pour la France
25 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
130
- PONCET Jean, Les combats de Chasselay https://www.lyonpresenceafricaine.com/
Montluzin et dans l’Ouest lyonnais, les 19 lieux-de-memoire/le-tata-de-chasselay-
et 20 juin 1940, L’Harmattan, 2010. rhone/liste-des-combattants-africains-
- Documentaire Le Tata, Paysage de pierres, au-tata-de-chasselay/
documentaire de 60 min de Patrice Robin - Le combattant Moman Diop du 25 e RTS
et Eveline Berruezo (1992). a été mis à l’honneur par le groupe de
- Documentaire « Le Tata sénégalais de Chas- recherche ACHAC (colonialisation, im-
selay : mémoires du 25 e RTS », 52’, de Rafael migration, post-colonialisme) sous forme
Gutierrez et Dario Arce (2007) Productions d’un petit film Moman Diop (Sénégal, 1918-
Chromatiques- TLM, France. Ce documentaire 1940) : un des 188 soldats noirs exécutés
revient sur les événements de juin 1940 et à Chasselay par les Allemands, raconté
explique la construction du Tata. Il retrace par Thomas N’Gijol, réalisé par Rachid
l’histoire des régiments de Tirailleurs. Il donne Bouchareb, auteurs Rachid Bouchareb et
la parole aux témoins et nous conduit à Dakar Pascal Blanchard.
où quelques anciens combattants témoignent. https://www.achac.com /memoires-
- Le site de l’association « Les amis de combattantes/moman-diop-1918-1940/
la présence africaine » présente la liste - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
des combattants du Tata sénégalais. Ce sénégalais en Afrique occidentale française
travail diligenté par Christine Adjahi, Sadio (1857-1960), Paris, Khartala, 2009 et Nancy
Ngaide et Alain Begay de l’association LAWLER, Soldats d’infortune. Les tirailleurs
visait à s’assurer des « identités africaines ivoiriens de la Deuxième Guerre mondiale,
des différentes ethnies ». Travail indiqué Paris, L’Harmattan, 1996.
comme « communiqué au Ministère de
la défense en 2004 ». Il présente des in-
formations sur la répartition de certains
combattants au sein des unités et établit un
bilan géographique des morts sur la zone.
131
MAMADI Kamara
(?-1940)
Mort pour la France
25 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
132
- SCHECK Raffael, « Les massacres de pri- comme « communiqué au Ministère de
sonniers noirs par l’armée allemande en la défense en 2004 ». Il présente des in-
1940 », in Johann Chapoutot et al., Des soldats formations sur la répartition de certains
noirs face au Reich, Paris, PUF, 2015, p. 59-100.- combattants au sein des unités et établit un
- AÏDARA Moulaye, « Le Tata sénégalais de bilan géographique des morts sur la zone.
Chasselay, « une présence africaine » », Écarts https://www.lyonpresenceafricaine.com/
d’identité, no 115, 2009, p. 51–57. lieux-de-memoire/le-tata-de-chasselay-
http://www.revues-plurielles.org/_uploads/ rhone/liste-des-combattants-africains-
pdf/6/115/ei_115_aidara.pdf au-tata-de-chasselay/
- HOPQUIN Benoît, « Le massacre des - Le combattant Moman Diop du 25 e RTS
tirailleurs », in « 1940, la débâcle et l’espoir », a été mis à l’honneur par le groupe de re-
Le Monde, hors-série, mai 2010. cherche ACHAC (colonialisation, immigra-
- PONCET Jean, Les combats de Chasselay tion, post-colonialisme) sous forme d’un petit
Montluzin et dans l’Ouest lyonnais, les 19 film Moman Diop (Sénégal, 1918-1940) : un
et 20 juin 1940, L’Harmattan, 2010. des 188 soldats noirs exécutés à Chasselay par
- Documentaire Le Tata, Paysage de pierres, les Allemands, raconté par Thomas N’Gijol,
documentaire de 60 min de Patrice Robin réalisé par Rachid Bouchareb, auteurs Rachid
et Eveline Berruezo (1992). Bouchareb et Pascal Blanchard.
- Documentaire « Le Tata sénégalais de Chas- https://www.achac.com /memoires-
selay : mémoires du 25 e RTS », 52’, de Rafael combattantes/moman-diop-1918-1940/
Gutierrez et Dario Arce (2007) Productions - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
Chromatiques- TLM, France. Ce documentaire sénégalais en Afrique occidentale française
revient sur les événements de juin 1940 et (1857-1960), Paris, Khartala, 2009 et Nancy
explique la construction du Tata. Il retrace LAWLER, Soldats d’infortune. Les tirailleurs
l’histoire des régiments de Tirailleurs. Il donne ivoiriens de la Deuxième Guerre mondiale,
la parole aux témoins et nous conduit à Dakar Paris, L’Harmattan, 1996.
où quelques anciens combattants témoignent.
- Le site de l’association « Les amis de
la présence africaine » présente la liste
des combattants du Tata sénégalais. Ce
travail diligenté par Christine Adjahi, Sadio
Ngaide et Alain Begay de l’association
visait à s’assurer des « identités africaines
des différentes ethnies ». Travail indiqué
133
MAMADOU Bello
(1919-1940)
Mort pour la France
25 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
134
- MOURAGUES Jean-François, Soldats de où quelques anciens combattants témoignent.
la République : les tirailleurs sénégalais - Le site de l’association « Les amis de
dans la tourmente - France mai-juin 1940, la présence africaine » présente la liste
Paris, L’Harmattan, 2010. des combattants du Tata sénégalais. Ce
- SCHECK Raffael (trad. Éric Thiébaud), travail diligenté par Christine Adjahi, Sadio
Une saison noire : Les massacres de ti- Ngaide et Alain Begay de l’association
railleurs sénégalais, mai-juin 1940, Paris, visait à s’assurer des « identités africaines
Tallandier, 2007. des différentes ethnies ». Travail indiqué
- SCHECK Raffael, « Les massacres de pri- comme « communiqué au Ministère de
sonniers noirs par l’armée allemande en la défense en 2004 ». Il présente des in-
1940 », in Johann Chapoutot et al., Des soldats formations sur la répartition de certains
noirs face au Reich, Paris, PUF, 2015, p. 59-100.- combattants au sein des unités et établit un
- AÏDARA Moulaye, « Le Tata sénégalais de bilan géographique des morts sur la zone.
Chasselay, « une présence africaine » », Écarts https://www.lyonpresenceafricaine.com/
d’identité, no 115, 2009, p. 51–57. lieux-de-memoire/le-tata-de-chasselay-
http://www.revues-plurielles.org/_uploads/ rhone/liste-des-combattants-africains-
pdf/6/115/ei_115_aidara.pdf au-tata-de-chasselay/
- HOPQUIN Benoît, « Le massacre des - Le combattant Moman Diop du 25 e RTS
tirailleurs », in « 1940, la débâcle et l’espoir », a été mis à l’honneur par le groupe de re-
Le Monde, hors-série, mai 2010. cherche ACHAC (colonialisation, immigra-
- PONCET Jean, Les combats de Chasselay tion, post-colonialisme) sous forme d’un petit
Montluzin et dans l’Ouest lyonnais, les 19 film Moman Diop (Sénégal, 1918-1940) : un
et 20 juin 1940, L’Harmattan, 2010. des 188 soldats noirs exécutés à Chasselay par
- Documentaire Le Tata, Paysage de les Allemands, raconté par Thomas N’Gijol,
pierres, documentaire de 60 min de Pa- réalisé par Rachid Bouchareb, auteurs Rachid
trice Robin et Eveline Berruezo (1992). Bouchareb et Pascal Blanchard.
- Documentaire « Le Tata sénégalais de Chas- https://www.achac.com /memoires-
selay : mémoires du 25 e RTS », 52’, de Rafael combattantes/moman-diop-1918-1940/
Gutierrez et Dario Arce (2007) Productions - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
Chromatiques- TLM, France. Ce documentaire sénégalais en Afrique occidentale française
revient sur les événements de juin 1940 et (1857-1960), Paris, Khartala, 2009 et Nancy
explique la construction du Tata. Il retrace LAWLER, Soldats d’infortune. Les tirailleurs
l’histoire des régiments de Tirailleurs. Il donne ivoiriens de la Deuxième Guerre mondiale,
la parole aux témoins et nous conduit à Dakar Paris, L’Harmattan, 1996.
135
MAPATE Diouck
(1912-1940)
Mort pour la France
25 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
1 Né à Oumbel (Sénégal) d’après un document daté du 19 juillet 1955 du chef du 1 er bureau de l’état civil militaire.
2 Date précise inconnue.
3 Les archives du 25 e RTS (dépôt n° 189) ont été détruites lors de l’incendie du camp de Bas-en-Basset en mai 1944 d’après un
compte-rendu du bureau colonial d’archives de la caserne Gardanne de Toulon en date du 14 mars 1955, adressée au Ministre des
anciens combattants en victimes de la guerre trouvé dans le dossier AC 21 P 81708 de MAPATE Diouck (archives SHD/Caen).
4 Compte-rendu du bureau colonial d’archives de la caserne Gardanne de Toulon en date du 14 mars 1955, adressée au Ministre des
anciens combattants en victimes de la guerre.
5 Dossier de décès.
6 Circonstances exactes du décès non connues sachant que des soldats du 25 e RTS sont exécutés, torturés dans toute la zone des combats.
136
- MOURAGUES Jean-François, Soldats de où quelques anciens combattants témoignent.
la République : les tirailleurs sénégalais - Le site de l’association « Les amis de
dans la tourmente - France mai-juin 1940, la présence africaine » présente la liste
Paris, L’Harmattan, 2010. des combattants du Tata sénégalais. Ce
- SCHECK Raffael (trad. Éric Thiébaud), travail diligenté par Christine Adjahi, Sadio
Une saison noire : Les massacres de ti- Ngaide et Alain Begay de l’association
railleurs sénégalais, mai-juin 1940, Paris, visait à s’assurer des « identités africaines
Tallandier, 2007. des différentes ethnies ». Travail indiqué
- SCHECK Raffael, « Les massacres de pri- comme « communiqué au Ministère de
sonniers noirs par l’armée allemande en la défense en 2004 ». Il présente des in-
1940 », in Johann Chapoutot et al., Des soldats formations sur la répartition de certains
noirs face au Reich, Paris, PUF, 2015, p. 59-100.- combattants au sein des unités et établit un
- AÏDARA Moulaye, « Le Tata sénégalais de bilan géographique des morts sur la zone.
Chasselay, « une présence africaine » », Écarts https://www.lyonpresenceafricaine.com/
d’identité, no 115, 2009, p. 51–57. lieux-de-memoire/le-tata-de-chasselay-
http://www.revues-plurielles.org/_uploads/ rhone/liste-des-combattants-africains-
pdf/6/115/ei_115_aidara.pdf au-tata-de-chasselay/
- HOPQUIN Benoît, « Le massacre des - Le combattant Moman Diop du 25 e RTS
tirailleurs », in « 1940, la débâcle et l’espoir », a été mis à l’honneur par le groupe de re-
Le Monde, hors-série, mai 2010. cherche ACHAC (colonialisation, immigra-
- PONCET Jean, Les combats de Chasselay tion, post-colonialisme) sous forme d’un petit
Montluzin et dans l’Ouest lyonnais, les 19 film Moman Diop (Sénégal, 1918-1940) : un
et 20 juin 1940, L’Harmattan, 2010. des 188 soldats noirs exécutés à Chasselay par
- Documentaire Le Tata, Paysage de les Allemands, raconté par Thomas N’Gijol,
pierres, documentaire de 60 min de Pa- réalisé par Rachid Bouchareb, auteurs Rachid
trice Robin et Eveline Berruezo (1992). Bouchareb et Pascal Blanchard.
- Documentaire « Le Tata sénégalais de Chas- https://www.achac.com/memoires-com-
selay : mémoires du 25 e RTS », 52’, de Rafael battantes/moman-diop-1918-1940/
Gutierrez et Dario Arce (2007) Productions - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
Chromatiques- TLM, France. Ce documentaire sénégalais en Afrique occidentale française
revient sur les événements de juin 1940 et (1857-1960), Paris, Khartala, 2009 et Nancy
explique la construction du Tata. Il retrace LAWLER, Soldats d’infortune. Les tirailleurs
l’histoire des régiments de Tirailleurs. Il donne ivoiriens de la Deuxième Guerre mondiale,
la parole aux témoins et nous conduit à Dakar Paris, L’Harmattan, 1996.
137
MOUSSA Sylla
(?-1940)
Mort pour la France
25 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
138
- MOURAGUES Jean-François, Soldats de où quelques anciens combattants témoignent.
la République : les tirailleurs sénégalais - Le site de l’association « Les amis de
dans la tourmente - France mai-juin 1940, la présence africaine » présente la liste
Paris, L’Harmattan, 2010. des combattants du Tata sénégalais. Ce
- SCHECK Raffael (trad. Éric Thiébaud), travail diligenté par Christine Adjahi, Sadio
Une saison noire : Les massacres de ti- Ngaide et Alain Begay de l’association
railleurs sénégalais, mai-juin 1940, Paris, visait à s’assurer des « identités africaines
Tallandier, 2007. des différentes ethnies ». Travail indiqué
- SCHECK Raffael, « Les massacres de pri- comme « communiqué au Ministère de
sonniers noirs par l’armée allemande en la défense en 2004 ». Il présente des in-
1940 », in Johann Chapoutot et al., Des soldats formations sur la répartition de certains
noirs face au Reich, Paris, PUF, 2015, p. 59-100.- combattants au sein des unités et établit un
- AÏDARA Moulaye, « Le Tata sénégalais de bilan géographique des morts sur la zone.
Chasselay, « une présence africaine » », Écarts https://www.lyonpresenceafricaine.com/
d’identité, no 115, 2009, p. 51–57. lieux-de-memoire/le-tata-de-chasselay-
http://www.revues-plurielles.org/_uploads/ rhone/liste-des-combattants-africains-
pdf/6/115/ei_115_aidara.pdf au-tata-de-chasselay/
- HOPQUIN Benoît, « Le massacre des - Le combattant Moman Diop du 25 e RTS
tirailleurs », in « 1940, la débâcle et l’espoir », a été mis à l’honneur par le groupe de re-
Le Monde, hors-série, mai 2010. cherche ACHAC (colonialisation, immigra-
- PONCET Jean, Les combats de Chasselay tion, post-colonialisme) sous forme d’un petit
Montluzin et dans l’Ouest lyonnais, les 19 film Moman Diop (Sénégal, 1918-1940) : un
et 20 juin 1940, L’Harmattan, 2010. des 188 soldats noirs exécutés à Chasselay par
- Documentaire Le Tata, Paysage de pierres, les Allemands, raconté par Thomas N’Gijol,
documentaire de 60 min de Patrice Robin réalisé par Rachid Bouchareb, auteurs Rachid
et Eveline Berruezo (1992). Bouchareb et Pascal Blanchard.
- Documentaire « Le Tata sénégalais de Chas- https://www.achac.com/memoires-com-
selay : mémoires du 25 e RTS », 52’, de Rafael battantes/moman-diop-1918-1940/
Gutierrez et Dario Arce (2007) Productions - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
Chromatiques- TLM, France. Ce documentaire sénégalais en Afrique occidentale française
revient sur les événements de juin 1940 et (1857-1960), Paris, Khartala, 2009 et Nancy
explique la construction du Tata. Il retrace LAWLER, Soldats d’infortune. Les tirailleurs
l’histoire des régiments de Tirailleurs. Il donne ivoiriens de la Deuxième Guerre mondiale,
la parole aux témoins et nous conduit à Dakar Paris, L’Harmattan, 1996.
139
MOUSSA
(1909-1940)
Mort pour la France
25 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
140
- MOURAGUES Jean-François, Soldats de où quelques anciens combattants témoignent.
la République : les tirailleurs sénégalais Le site de l’association « Les amis de la
dans la tourmente - France mai-juin 1940, présence africaine » présente la liste des
Paris, L’Harmattan, 2010. combattants du Tata sénégalais. Ce tra-
- SCHECK Raffael (trad. Éric Thiébaud), vail diligenté par Christine Adjahi, Sadio
Une saison noire : Les massacres de ti- Ngaide et Alain Begay de l’association
railleurs sénégalais, mai-juin 1940, Paris, visait à s’assurer des « identités africaines
Tallandier, 2007. des différentes ethnies ». Travail indiqué
- SCHECK Raffael, « Les massacres de pri- comme « communiqué au Ministère de
sonniers noirs par l’armée allemande en la défense en 2004 ». Il présente des in-
1940 », in Johann Chapoutot et al., Des soldats formations sur la répartition de certains
noirs face au Reich, Paris, PUF, 2015, p. 59-100.- combattants au sein des unités et établit un
- AÏDARA Moulaye, « Le Tata sénégalais de bilan géographique des morts sur la zone.
Chasselay, « une présence africaine » », Écarts https://www.lyonpresenceafricaine.com/
d’identité, no 115, 2009, p. 51–57. lieux-de-memoire/le-tata-de-chasselay-
http://www.revues-plurielles.org/_uploads/ rhone/liste-des-combattants-africains-
pdf/6/115/ei_115_aidara.pdf au-tata-de-chasselay/
- HOPQUIN Benoît, « Le massacre des - Le combattant Moman Diop du 25 e RTS
tirailleurs », in « 1940, la débâcle et l’espoir », a été mis à l’honneur par le groupe de re-
Le Monde, hors-série, mai 2010. cherche ACHAC (colonialisation, immigra-
- PONCET Jean, Les combats de Chasselay tion, post-colonialisme) sous forme d’un petit
Montluzin et dans l’Ouest lyonnais, les 19 film Moman Diop (Sénégal, 1918-1940) : un
et 20 juin 1940, L’Harmattan, 2010. des 188 soldats noirs exécutés à Chasselay par
- Documentaire Le Tata, Paysage de pierres, les Allemands, raconté par Thomas N’Gijol,
documentaire de 60 min de Patrice Robin réalisé par Rachid Bouchareb, auteurs Rachid
et Eveline Berruezo (1992). Bouchareb et Pascal Blanchard.
- Documentaire « Le Tata sénégalais de Chas- https://www.achac.com/memoires-com-
selay : mémoires du 25 e RTS », 52’, de Rafael battantes/moman-diop-1918-1940/
Gutierrez et Dario Arce (2007) Productions - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
Chromatiques- TLM, France. Ce documentaire sénégalais en Afrique occidentale française
revient sur les événements de juin 1940 et (1857-1960), Paris, Khartala, 2009 et Nancy
explique la construction du Tata. Il retrace LAWLER, Soldats d’infortune. Les tirailleurs
l’histoire des régiments de Tirailleurs. Il donne ivoiriens de la Deuxième Guerre mondiale,
la parole aux témoins et nous conduit à Dakar Paris, L’Harmattan, 1996.
141
N’GOM Diokel
(1900-1940)
Mort pour la France
25 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
142
- SCHECK Raffael (trad. Éric Thiébaud), travail diligenté par Christine Adjahi, Sadio
Une saison noire : Les massacres de ti- Ngaide et Alain Begay de l’association
railleurs sénégalais, mai-juin 1940, Paris, visait à s’assurer des « identités africaines
Tallandier, 2007. des différentes ethnies ». Travail indiqué
- SCHECK Raffael, « Les massacres de pri- comme « communiqué au Ministère de
sonniers noirs par l’armée allemande en la défense en 2004 ». Il présente des in-
1940 », in Johann Chapoutot et al., Des soldats formations sur la répartition de certains
noirs face au Reich, Paris, PUF, 2015, p. 59-100.- combattants au sein des unités et établit un
- AÏDARA Moulaye, « Le Tata sénégalais de bilan géographique des morts sur la zone.
Chasselay, « une présence africaine » », Écarts https://www.lyonpresenceafricaine.com/
d’identité, no 115, 2009, p. 51–57. lieux-de-memoire/le-tata-de-chasselay-
http://www.revues-plurielles.org/_uploads/ rhone/liste-des-combattants-africains-
pdf/6/115/ei_115_aidara.pdf au-tata-de-chasselay/
- HOPQUIN Benoît, « Le massacre des - Le combattant Moman Diop du 25 e RTS
tirailleurs », in « 1940, la débâcle et l’espoir », a été mis à l’honneur par le groupe de re-
Le Monde, hors-série, mai 2010. cherche ACHAC (colonialisation, immigra-
- PONCET Jean, Les combats de Chasselay tion, post-colonialisme) sous forme d’un
Montluzin et dans l’Ouest lyonnais, les 19 petit film Moman Diop (Sénégal, 1918-1940)
et 20 juin 1940, L’Harmattan, 2010. : un des 188 soldats noirs exécutés à Chasse-
- Documentaire Le Tata, Paysage de pierres, lay par les Allemands, raconté par Thomas
documentaire de 60 min de Patrice Robin N’Gijol, réalisé par Rachid Bouchareb, au-
et Eveline Berruezo (1992). teurs Rachid Bouchareb et Pascal Blanchard.
- Documentaire « Le Tata sénégalais de Chas- https://www.achac.com /memoires-
selay : mémoires du 25 e RTS », 52’, de Rafael combattantes/moman-diop-1918-1940/
Gutierrez et Dario Arce (2007) Productions - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
Chromatiques- TLM, France. Ce documentaire sénégalais en Afrique occidentale française
revient sur les événements de juin 1940 et (1857-1960), Paris, Khartala, 2009 et Nancy
explique la construction du Tata. Il retrace LAWLER, Soldats d’infortune. Les tirailleurs
l’histoire des régiments de Tirailleurs. Il donne ivoiriens de la Deuxième Guerre mondiale,
la parole aux témoins et nous conduit à Dakar Paris, L’Harmattan, 1996.
où quelques anciens combattants témoignent.
- Le site de l’association « Les amis de
la présence africaine » présente la liste
des combattants du Tata sénégalais. Ce
143
NANAMAN Kondé
(?-1940)
Mort pour la France
25 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
144
- AÏDARA Moulaye, « Le Tata sénégalais de visait à s’assurer des « identités africaines
Chasselay, « une présence africaine » », Écarts des différentes ethnies ». Travail indiqué
d’identité, no 115, 2009, p. 51–57. comme « communiqué au Ministère de
http://www.revues-plurielles.org/_uploads/ la défense en 2004 ». Il présente des in-
pdf/6/115/ei_115_aidara.pdf formations sur la répartition de certains
- HOPQUIN Benoît, « Le massacre des combattants au sein des unités et établit un
tirailleurs », in « 1940, la débâcle et l’espoir », bilan géographique des morts sur la zone.
Le Monde, hors-série, mai 2010. https://www.lyonpresenceafricaine.com/
- PONCET Jean, Les combats de Chasselay lieux-de-memoire/le-tata-de-chasselay-
Montluzin et dans l’Ouest lyonnais, les 19 rhone/liste-des-combattants-africains-
et 20 juin 1940, L’Harmattan, 2010. au-tata-de-chasselay/
- Documentaire Le Tata, Paysage de pierres, - Le combattant Moman Diop du 25 e RTS
documentaire de 60 min de Patrice Robin a été mis à l’honneur par le groupe de re-
et Eveline Berruezo (1992). cherche ACHAC (colonialisation, immigra-
- Documentaire « Le Tata sénégalais de Chas- tion, post-colonialisme) sous forme d’un petit
selay : mémoires du 25 e RTS », 52’, de Rafael film Moman Diop (Sénégal, 1918-1940) : un
Gutierrez et Dario Arce (2007) Productions des 188 soldats noirs exécutés à Chasselay par
Chromatiques- TLM, France. Ce documentaire les Allemands, raconté par Thomas N’Gijol,
revient sur les événements de juin 1940 et réalisé par Rachid Bouchareb, auteurs Rachid
explique la construction du Tata. Il retrace Bouchareb et Pascal Blanchard.
l’histoire des régiments de Tirailleurs. Il donne https://www.achac.com /memoires-
la parole aux témoins et nous conduit à Dakar combattantes/moman-diop-1918-1940/
où quelques anciens combattants témoignent. - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
- Le site de l’association« Les amis de la sénégalais en Afrique occidentale française
présence africaine » présente la liste des (1857-1960), Paris, Khartala, 2009 et Nancy
combattants du Tata sénégalais. Ce tra- LAWLER, Soldats d’infortune. Les tirailleurs
vail diligenté par Christine Adjahi, Sadio ivoiriens de la Deuxième Guerre mondiale,
Ngaide et Alain Begay de l’association Paris, L’Harmattan, 1996.
145
OGOTEMBENE Guindo 1
(1917-1940)
Mort pour la France
25 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
146
- SCHECK Raffael (trad. Éric Thiébaud), travail diligenté par Christine Adjahi, Sadio
Une saison noire : Les massacres de ti- Ngaide et Alain Begay de l’association
railleurs sénégalais, mai-juin 1940, Paris, visait à s’assurer des « identités africaines
Tallandier, 2007. des différentes ethnies ». Travail indiqué
- SCHECK Raffael, « Les massacres de pri- comme « communiqué au Ministère de
sonniers noirs par l’armée allemande en la défense en 2004 ». Il présente des in-
1940 », in Johann Chapoutot et al., Des soldats formations sur la répartition de certains
noirs face au Reich, Paris, PUF, 2015, p. 59-100.- combattants au sein des unités et établit un
- AÏDARA Moulaye, « Le Tata sénégalais de bilan géographique des morts sur la zone.
Chasselay, « une présence africaine » », Écarts https://www.lyonpresenceafricaine.com/
d’identité, no 115, 2009, p. 51–57. lieux-de-memoire/le-tata-de-chasselay-
http://www.revues-plurielles.org/_uploads/ rhone/liste-des-combattants-africains-
pdf/6/115/ei_115_aidara.pdf au-tata-de-chasselay/
- HOPQUIN Benoît, « Le massacre des - Le combattant Moman Diop du 25 e RTS
tirailleurs », in « 1940, la débâcle et l’espoir », a été mis à l’honneur par le groupe de re-
Le Monde, hors-série, mai 2010. cherche ACHAC (colonialisation, immigra-
- PONCET Jean, Les combats de Chasselay tion, post-colonialisme) sous forme d’un petit
Montluzin et dans l’Ouest lyonnais, les 19 film Moman Diop (Sénégal, 1918-1940) : un
et 20 juin 1940, L’Harmattan, 2010. des 188 soldats noirs exécutés à Chasselay par
- Documentaire Le Tata, Paysage de pierres, les Allemands, raconté par Thomas N’Gijol,
documentaire de 60 min de Patrice Robin réalisé par Rachid Bouchareb, auteurs Rachid
et Eveline Berruezo (1992). Bouchareb et Pascal Blanchard.
- Documentaire « Le Tata sénégalais de Chas- https://www.achac.com /memoires-
selay : mémoires du 25 e RTS », 52’, de Rafael combattantes/moman-diop-1918-1940/
Gutierrez et Dario Arce (2007) Productions - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
Chromatiques- TLM, France. Ce documentaire sénégalais en Afrique occidentale française
revient sur les événements de juin 1940 et (1857-1960), Paris, Khartala, 2009 et Nancy
explique la construction du Tata. Il retrace LAWLER, Soldats d’infortune. Les tirailleurs
l’histoire des régiments de Tirailleurs. Il donne ivoiriens de la Deuxième Guerre mondiale,
la parole aux témoins et nous conduit à Dakar Paris, L’Harmattan, 1996.
où quelques anciens combattants témoignent.
- Le site de l’association « Les amis de
la présence africaine » présente la liste
des combattants du Tata sénégalais. Ce
147
PEPE Camara 1
(?-1940)
Mort pour la France
25 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
148
- PONCET Jean, Les combats de Chasselay bilan géographique des morts sur la zone.
Montluzin et dans l’Ouest lyonnais, les 19 https://www.lyonpresenceafricaine.com/lieux-
et 20 juin 1940, L’Harmattan, 2010. de-memoire/le-tata-de-chasselay-rhone/liste-
- Documentaire Le Tata, Paysage de pierres, des-combattants-africains-au-tata-de-chasselay/
documentaire de 60 min de Patrice Robin - Le combattant Moman Diop du 25 e RTS
et Eveline Berruezo (1992). a été mis à l’honneur par le groupe de re-
- Documentaire « Le Tata sénégalais de Chas- cherche ACHAC (colonialisation, immigra-
selay : mémoires du 25 e RTS », 52’, de Rafael tion, post-colonialisme) sous forme d’un
Gutierrez et Dario Arce (2007) Productions petit film Moman Diop (Sénégal, 1918-1940) :
Chromatiques- TLM, France. Ce documentaire un des 188 soldats noirs exécutés à Chasse-
revient sur les événements de juin 1940 et lay par les Allemands, raconté par Thomas
explique la construction du Tata. Il retrace N’Gijol, réalisé par Rachid Bouchareb, au-
l’histoire des régiments de Tirailleurs. Il donne teurs Rachid Bouchareb et Pascal Blanchard.
la parole aux témoins et nous conduit à Dakar https://www.achac.com /memoires-
où quelques anciens combattants témoignent. combattantes/moman-diop-1918-1940/
- Le site de l’association « Les amis de - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
la présence africaine » présente la liste sénégalais en Afrique occidentale française
des combattants du Tata sénégalais. Ce (1857-1960), Paris, Khartala, 2009 et Nancy
travail diligenté par Christine Adjahi, Sadio LAWLER, Soldats d’infortune. Les tirailleurs
Ngaide et Alain Begay de l’association ivoiriens de la Deuxième Guerre mondiale,
visait à s’assurer des « identités africaines Paris, L’Harmattan, 1996.
des différentes ethnies ». Travail indiqué
comme « communiqué au Ministère de
la défense en 2004 ». Il présente des in-
formations sur la répartition de certains
combattants au sein des unités et établit un
149
SAA KOTOU Tolno
(?-1940)
Mort pour la France
25 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
150
- AÏDARA Moulaye, « Le Tata sénégalais de visait à s’assurer des « identités africaines
Chasselay, « une présence africaine » », Écarts des différentes ethnies ». Travail indiqué
d’identité, no 115, 2009, p. 51–57. comme « communiqué au Ministère de
http://www.revues-plurielles.org/_uploads/ la défense en 2004 ». Il présente des in-
pdf/6/115/ei_115_aidara.pdf formations sur la répartition de certains
- HOPQUIN Benoît, « Le massacre des combattants au sein des unités et établit un
tirailleurs », in « 1940, la débâcle et l’espoir », bilan géographique des morts sur la zone.
Le Monde, hors-série, mai 2010. https://www.lyonpresenceafricaine.com/
- PONCET Jean, Les combats de Chasselay lieux-de-memoire/le-tata-de-chasselay-
Montluzin et dans l’Ouest lyonnais, les 19 rhone/liste-des-combattants-africains-
et 20 juin 1940, L’Harmattan, 2010. au-tata-de-chasselay/
- Documentaire Le Tata, Paysage de pierres, - Le combattant Moman Diop du 25 e RTS
documentaire de 60 min de Patrice Robin a été mis à l’honneur par le groupe de re-
et Eveline Berruezo (1992). cherche ACHAC (colonialisation, immigra-
- Documentaire « Le Tata sénégalais de Chas- tion, post-colonialisme) sous forme d’un
selay : mémoires du 25 e RTS », 52’, de Rafael petit film Moman Diop (Sénégal, 1918-1940)
Gutierrez et Dario Arce (2007) Productions : un des 188 soldats noirs exécutés à Chasse-
Chromatiques- TLM, France. Ce documen- lay par les Allemands, raconté par Thomas
taire revient sur les événements de juin 1940 N’Gijol, réalisé par Rachid Bouchareb, au-
et explique la construction du Tata. Il retrace teurs Rachid Bouchareb et Pascal Blanchard.
l’histoire des régiments de Tirailleurs. Il donne https://www.achac.com /memoires-
la parole aux témoins et nous conduit à Dakar combattantes/moman-diop-1918-1940/
où quelques anciens combattants témoignent. - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
- Le site de l’association « Les amis de sénégalais en Afrique occidentale fran-
la présence africaine » présente la liste çaise (1857-1960), Paris, Khartala, 2009 et
des combattants du Tata sénégalais. Ce Nancy LAWLER, Soldats d’infortune. Les
travail diligenté par Christine Adjahi, Sadio tirailleurs ivoiriens de la Deuxième Guerre
Ngaide et Alain Begay de l’association mondiale, Paris, L’Harmattan, 1996.
151
SADIO Sara
(1919-1940)
Mort pour la France
25 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
152
- SCHECK Raffael, « Les massacres de pri- comme « communiqué au Ministère de
sonniers noirs par l’armée allemande en la défense en 2004 ». Il présente des in-
1940 », in Johann Chapoutot et al., Des soldats formations sur la répartition de certains
noirs face au Reich, Paris, PUF, 2015, p. 59-100.- combattants au sein des unités et établit un
- AÏDARA Moulaye, « Le Tata sénégalais de bilan géographique des morts sur la zone.
Chasselay, « une présence africaine » », Écarts https://www.lyonpresenceafricaine.com/
d’identité, no 115, 2009, p. 51–57. lieux-de-memoire/le-tata-de-chasselay-
http://www.revues-plurielles.org/_uploads/ rhone/liste-des-combattants-africains-
pdf/6/115/ei_115_aidara.pdf au-tata-de-chasselay/
- HOPQUIN Benoît, « Le massacre des - Le combattant Moman Diop du 25 e RTS
tirailleurs », in « 1940, la débâcle et l’espoir », a été mis à l’honneur par le groupe de re-
Le Monde, hors-série, mai 2010. cherche ACHAC (colonialisation, immigra-
- PONCET Jean, Les combats de Chasselay tion, post-colonialisme) sous forme d’un
Montluzin et dans l’Ouest lyonnais, les 19 petit film Moman Diop (Sénégal, 1918-1940)
et 20 juin 1940, L’Harmattan, 2010. : un des 188 soldats noirs exécutés à Chasse-
- Documentaire Le Tata, Paysage de pierres, lay par les Allemands, raconté par Thomas
documentaire de 60 min de Patrice Robin N’Gijol, réalisé par Rachid Bouchareb, au-
et Eveline Berruezo (1992). teurs Rachid Bouchareb et Pascal Blanchard.
- Documentaire « Le Tata sénégalais de Chas- https://www.achac.com /memoires-
selay : mémoires du 25 e RTS », 52’, de Rafael combattantes/moman-diop-1918-1940/
Gutierrez et Dario Arce (2007) Productions - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
Chromatiques- TLM, France. Ce documentaire sénégalais en Afrique occidentale fran-
revient sur les événements de juin 1940 et çaise (1857-1960), Paris, Khartala, 2009 et
explique la construction du Tata. Il retrace Nancy LAWLER, Soldats d’infortune. Les
l’histoire des régiments de Tirailleurs. Il donne tirailleurs ivoiriens de la Deuxième Guerre
la parole aux témoins et nous conduit à Dakar mondiale, Paris, L’Harmattan, 1996.
où quelques anciens combattants témoignent.
- Le site de l’association « Les amis de
la présence africaine » présente la liste
des combattants du Tata sénégalais. Ce
travail diligenté par Christine Adjahi, Sadio
Ngaide et Alain Begay de l’association
visait à s’assurer des « identités africaines
des différentes ethnies ». Travail indiqué
153
SAMBA Diane 1
(?-1940)
Mort pour la France
25 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
154
• Bibliographie indicative : explique la construction du Tata. Il retrace
- FARGETTAS Julien. Le massacre des sol- l’histoire des régiments de Tirailleurs. Il donne
dats du 25e Régiment de tirailleurs sénéga- la parole aux témoins et nous conduit à Dakar
lais. Région lyonnaise. 19 et 20 juin 1940, où quelques anciens combattants témoignent.
mémoire de maîtrise d’histoire contemporaine - Le site de l’association « Les amis de
soutenu en 1999. la présence africaine » présente la liste
- MOURAGUES Jean-François, Soldats de des combattants du Tata sénégalais. Ce
la République : les tirailleurs sénégalais travail diligenté par Christine Adjahi, Sadio
dans la tourmente - France mai-juin 1940, Ngaide et Alain Begay de l’association
Paris, L’Harmattan, 2010. visait à s’assurer des « identités africaines
- SCHECK Raffael (trad. Éric Thiébaud), des différentes ethnies ». Travail indiqué
Une saison noire : Les massacres de ti- comme « communiqué au Ministère de
railleurs sénégalais, mai-juin 1940, Paris, la défense en 2004 ». Il présente des in-
Tallandier, 2007. formations sur la répartition de certains
- SCHECK Raffael, « Les massacres de pri- combattants au sein des unités et établit un
sonniers noirs par l’armée allemande en bilan géographique des morts sur la zone.
1940 », in Johann Chapoutot et al., Des soldats https://www.lyonpresenceafricaine.com/
noirs face au Reich, Paris, PUF, 2015, p. 59-100.- lieux-de-memoire/le-tata-de-chasselay-
- AÏDARA Moulaye, « Le Tata sénégalais de rhone/liste-des-combattants-africains-
Chasselay, « une présence africaine » », Écarts au-tata-de-chasselay/
d’identité, no 115, 2009, p. 51–57. - Le combattant Moman Diop du 25 e RTS
http://www.revues-plurielles.org/_uploads/ a été mis à l’honneur par le groupe de re-
pdf/6/115/ei_115_aidara.pdf cherche ACHAC (colonialisation, immigra-
- HOPQUIN Benoît, « Le massacre des tion, post-colonialisme) sous forme d’un
tirailleurs », in « 1940, la débâcle et l’espoir », petit film Moman Diop (Sénégal, 1918-1940)
Le Monde, hors-série, mai 2010. : un des 188 soldats noirs exécutés à Chasse-
- PONCET Jean, Les combats de Chasselay lay par les Allemands, raconté par Thomas
Montluzin et dans l’Ouest lyonnais, les 19 N’Gijol, réalisé par Rachid Bouchareb, au-
et 20 juin 1940, L’Harmattan, 2010. teurs Rachid Bouchareb et Pascal Blanchard.
- Documentaire Le Tata, Paysage de https://www.achac.com/memoires-com-
pierres, documentaire de 60 min de Pa- battantes/moman-diop-1918-1940/
trice Robin et Eveline Berruezo (1992). - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
- Documentaire « Le Tata sénégalais de Chas- sénégalais en Afrique occidentale fran-
selay : mémoires du 25 e RTS », 52’, de Rafael çaise (1857-1960), Paris, Khartala, 2009 et
Gutierrez et Dario Arce (2007) Productions Nancy LAWLER, Soldats d’infortune. Les
Chromatiques- TLM, France. Ce documentaire tirailleurs ivoiriens de la Deuxième Guerre
revient sur les événements de juin 1940 et mondiale, Paris, L’Harmattan, 1996.
155
SAMOURA Kamba
(1904-1940)
Mort pour la France
25 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
156
• Sources : - AÏDARA Moulaye, « Le Tata sénégalais de
- SHD/Caen : AC 21 P 149 027. Chasselay, « une présence africaine » », Écarts
- SHD/Pau : état signalétique des services d’identité, no 115, 2009, p. 51–57.
(ESS). http://www.revues-plurielles.org/_uploads/
- SHD/Vincennes : néant. pdf/6/115/ei_115_aidara.pdf
- HOPQUIN Benoît, « Le massacre des
• Bibliographie indicative : tirailleurs », in « 1940, la débâcle et l’espoir »,
- FARGETTAS Julien. Le massacre des sol- Le Monde, hors-série, mai 2010.
dats du 25e Régiment de tirailleurs sénéga- - PONCET Jean, Les combats de Chasselay
lais. Région lyonnaise. 19 et 20 juin 1940, Montluzin et dans l’Ouest lyonnais, les 19
mémoire de maîtrise d’histoire contemporaine et 20 juin 1940, L’Harmattan, 2010.
soutenu en 1999. Documentaire Le Tata, Paysage de pierres,
- MOURAGUES Jean-François, Soldats de documentaire de 60 min de Patrice Robin
la République : les tirailleurs sénégalais et Eveline Berruezo (1992).
dans la tourmente - France mai-juin 1940, - Documentaire « Le Tata sénégalais
Paris, L’Harmattan, 2010. de Chasselay : mémoires du 25 e RTS »,
- SCHECK Raffael (trad. Éric Thiébaud), 52’, de Rafael Gutierrez et Dario Arce
Une saison noire : Les massacres de ti- (2007) Productions Chromatiques-
railleurs sénégalais, mai-juin 1940, Paris, TLM, France. Ce documentaire revient
Tallandier, 2007. sur les événements de juin 1940 et ex-
- SCHECK Raffael, « Les massacres de pri- plique la construction du Tata. Il retrace
sonniers noirs par l’armée allemande en
1940 », in Johann Chapoutot et al., Des soldats
noirs face au Reich, Paris, PUF, 2015, p. 59-100.-
157
SAMOURA Kamba (suite)
(1904-1940)
Mort pour la France
25 e Régiment de tirailleurs sénégalais
158
SEKOU Traoré
(?-1940)
Mort pour la France
25 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
159
SEKOU Traoré (suite)
(?-1940)
Mort pour la France
25 e Régiment de tirailleurs sénégalais
160
SOUMA Sivaré
(1919-1940)
Mort pour la France
25 e Régiment de tirailleurs sénégalais
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
161
ZIBAGO Thiao
(1906-1940)
Mort pour la France
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
162
- SCHECK Raffael (trad. Éric Thiébaud), Ngaide et Alain Begay de l’association
Une saison noire : Les massacres de ti- visait à s’assurer des « identités africaines
railleurs sénégalais, mai-juin 1940, Paris, des différentes ethnies ». Travail indiqué
Tallandier, 2007. comme « communiqué au Ministère de
- SCHECK Raffael, « Les massacres de pri- la défense en 2004 ». Il présente des in-
sonniers noirs par l’armée allemande en formations sur la répartition de certains
1940 », in Johann Chapoutot et al., Des soldats combattants au sein des unités et établit un
noirs face au Reich, Paris, PUF, 2015, p. 59-100.- bilan géographique des morts sur la zone.
- AÏDARA Moulaye, « Le Tata sénégalais de https://www.lyonpresenceafricaine.com/
Chasselay, « une présence africaine » », Écarts lieux-de-memoire/le-tata-de-chasselay-
d’identité, no 115, 2009, p. 51–57. rhone/liste-des-combattants-africains-
http://www.revues-plurielles.org/_uploads/ au-tata-de-chasselay/
pdf/6/115/ei_115_aidara.pdf - Le combattant Moman Diop du 25 e RTS
- HOPQUIN Benoît, « Le massacre des a été mis à l’honneur par le groupe de re-
tirailleurs », in « 1940, la débâcle et l’espoir », cherche ACHAC (colonialisation, immigra-
Le Monde, hors-série, mai 2010. tion, post-colonialisme) sous forme d’un
- PONCET Jean, Les combats de Chasselay petit film Moman Diop (Sénégal, 1918-1940)
Montluzin et dans l’Ouest lyonnais, les 19 : un des 188 soldats noirs exécutés à Chasse-
et 20 juin 1940, L’Harmattan, 2010. lay par les Allemands, raconté par Thomas
- Documentaire Le Tata, Paysage de N’Gijol, réalisé par Rachid Bouchareb, au-
pierres, documentaire de 60 min de Pa- teurs Rachid Bouchareb et Pascal Blanchard.
trice Robin et Eveline Berruezo (1992). https://www.achac.com /memoires-
- Documentaire « Le Tata sénégalais de Chas- combattantes/moman-diop-1918-1940/
selay : mémoires du 25 e RTS », 52’, de Rafael - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
Gutierrez et Dario Arce (2007) Productions sénégalais en Afrique occidentale fran-
Chromatiques- TLM, France. Ce documentaire çaise (1857-1960), Paris, Khartala, 2009 et
revient sur les événements de juin 1940 et Nancy LAWLER, Soldats d’infortune. Les
explique la construction du Tata. Il retrace tirailleurs ivoiriens de la Deuxième Guerre
l’histoire des régiments de Tirailleurs. Il donne mondiale, Paris, L’Harmattan, 1996.
la parole aux témoins et nous conduit à Dakar
où quelques anciens combattants témoignent.
- Le site de l’association « Les amis de
la présence africaine » présente la liste
des combattants du Tata sénégalais. Ce
travail diligenté par Christine Adjahi, Sadio
163
164
Les Compagnons de la Libération 1
L’ordre de la Libération est institué par le général de Gaulle en novembre 1940 afin de
récompenser les personnes ou les collectivités militaires et civiles qui se sont « signalées
dans l’œuvre de libération de la France et de son Empire ». Deuxième ordre national français
après la Légion d’honneur, l’ordre de la Libération ne comporte qu’un seul titre, celui de
compagnon de la Libération et un insigne unique, la croix de la Libération. Au total, 1 038
croix de la Libération ont été décernées à des personnes physiques, 18 à des unités mili-
taires des Forces françaises libres et 5 à des communes françaises : Nantes, Grenoble, Paris,
Vassieux-en-Vercors et l’Île de Sein. Ce nombre restreint d’attribution donne à l’ordre de la
Libération un caractère exemplaire et fait de la croix de la Libération la distinction française
la plus prestigieuse au titre de la Seconde Guerre mondiale.
Parmi les 1 038 titulaires physiques de la croix de de la Libération, un peu plus de 700 ont
survécu à la guerre. 270 ont été nommés à titre posthume et 50, déjà Compagnons, sont morts
au combat ou en service commandé avant la fin de la guerre. Clos en janvier 1946, l’Ordre
est de nouveau exceptionnellement ouvert par son grand-maître, le général de Gaulle, qui
attribue la croix de la Libération à Winston Churchill (1958) et au Roi d’Angleterre George
VI, à titre posthume (1960). Presque les trois-quarts des compagnons de la Libération sont
issus des rangs de la France libre et un quart des rangs de la Résistance intérieure.
1 https://www.ordredelaliberation.fr/fr
165
ABOULKER José, Georges
(1920-2009)
Compagnon de la Libération
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
166
• Décorations et citations : rendant possible le ralliement d’une grande
Commandeur de la Légion d’honneur, décret partie de la police et assurant l’évacuation
du 13 mai 1996. de la Préfecture assiégée ».
Citation pour le grade de chevalier de la Croix de guerre 1939-1945 avec citation à
Légion d’honneur (26 avril 1945, signé : de l’ordre de l’armée (palme).
Gaulle) : « A joué un rôle de premier plan Citation à l’ordre de l’armée (Ordre n° 343
dans la Libération de l’Afrique du Nord. A « D », signé : Giraud) :
pleinement réussi, à travers d’innombrables « A montré un remarquable esprit d’organi-
dangers sa mission volontaire de Délégué sation et prouvé un courage splendide de tous
du Gouvernement en France occupé par les instants comme Chef des Groupes Civils
l’organisation du Service de Santé Militaire d’Alger pour la préparation du débarquement
des Forces Françaises de l’Intérieur et la Pro- allié en Afrique du Nord. Bien que recherché
tection sanitaire des populations civiles. A par la police a continué sa mission jusqu’au
ainsi permis, en assurant pendant neuf mois, bout méprisant les dangers qui le menaçaient.
au péril de sa vie, une mission doublement La nuit du 7 au 8 a donné l’exemple d’un
difficile, le parachutage aux Forces Françaises courage et d’une bravoure magnifiques. A
de l’Intérieur d’un équipement sanitaire dirigé lui-même l’action des patriotes au
considérable et la préparation des secours Commissariat central d’Alger ».
aux populations libérées. A brillamment Médaille commémorative des services vo-
rempli, au maximum du danger, son devoir lontaires dans la France Libre.
de médecin et de soldat ». Medal of Freedom, Bronz Palm (États-Unis).
Compagnon de la Libération, décret du 30 Citation for the Medal of Freedom (date
octobre 1943. inconnue) :
Citation pour la croix de la Libération : « Mr. Jose Aboulker, French civilian, perfor-
« A été l’un des principaux animateurs des med outstanding service to the Allied cause
groupements de résistance et le chef des in Algiers from January to November 1942.
groupes de choc du département d’Alger, By his untiring efforts among the French
s’exposant sans compter, notamment en vue patriot groups, he contributed materially to
d’assurer les livraisons d’armes, a préparé their successful operations. On the night of
et mis au point les plans de neutralisation the Allied debarkation in North Africa, he
des centres importants d’Alger, en vue d’un was in charge of a volunteer group of patriots
débarquement allié, dirigé personnellement who took and held certain strategic points
l’exécution de ces plans, le 8 novembre 1942 in Algiers until the arrival of Allied Forces ».
167
ABOULKER José, Georges (suite)
(1920-2009)
Compagnon de la Libération
• Lieu d’inhumation :
Inconnu.
• Sources :
- Ordre de la Libération.
- SHD/Vincennes :
- GR 2000 Z 1618 21380 (dossier personnel).
- GR 28 P 4 463 / 6 et GR 16 P 1874 (dossier
résistant).
• Bibliographie indicative :
- NOTIN Jean-Christophe, 1061 compa-
gnons : Histoire des Compagnons de la
Libération, Paris, Perrin, 2000.
- TROUPLIN Vladimir, Dictionnaire des
Compagnons de la Libération, Paris, Elytis,
2010.
- Claire Miot, Sortir l’armée des ombres.
Soldats de l’Empire, combattants de la
Libération, armée de la Nation. La Première
armée française, du débarquement en Pro-
vence à la capitulation allemande (1944-1945),
thèse d’histoire, O. Wieviorka dir., ENS Paris
Saclay, 2016.
168
COGGIA Jean-François
(1916-1943)
Compagnon de la Libération
Mort pour la France
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
169
COGGIA Jean-François (suite)
(1916-1943)
Compagnon de la Libération
Mort pour la France
• Lieu d’inhumation :
Inhumé à Pont-du-Fhas (Tunisie), le
25 février 1943.
Ré-inhumé à Bône en juin 1943.
Ré-inhumé à Toulouse, date inconnue
(probablement dans les années 1960).
• Sources :
Ordre de la Libération.
SHD/DAVCC, Caen : AC 21 P 46 762
(dossier de décès).
• Bibliographie indicative :
- Mémorial des Compagnons - 1940-1945 :
Compagnons morts en le 18 juin 1940
et le 8 mai 1945, Paris, Imprimerie nationale,
1961.
- NOTIN Jean-Christophe, 1061 compa-
gnons : Histoire des Compagnons de la
Libération, Paris, Perrin, 2000.
- TROUPLIN Vladimir, Dictionnaire des
Compagnons de la Libération, Paris, Elytis,
2010.
170
COLLET Philibert
(1896-1945)
Compagnon de la Libération
Mort pour la France
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
171
COLLET Philibert (suite)
(1896-1945)
Compagnon de la Libération
Mort pour la France
ainsi que l’arabe syrien. C’est en janvier 1938 l’Axe conduit Philibert Collet à rompre
qu’il quitte le groupement Tcherkesse pour totalement avec les autorités françaises au
prendre le commandement du 4 e Bataillon Levant. Ses protestations auprès du
du 1 er Régiment de Tirailleurs Marocains général Dentz (nommé Haut-Commissaire
(1 er RTM), alors stationné dans le secteur de l’État français au Levant et commandant
d’Antioche et d’Alexandrette. supérieur des troupes du Levant par le Ma-
La rébellion du capitaine Collet contre réchal Pétain en novembre 1940) n’étant
Vichy n’est pas éclatante. Elle se forme pas entendues, il passe clandestinement la
progressivement à la faveur de l’autonomie frontière syro-transjordanienne le 20 mai
dont il dispose dans l’exercice de son com- 1941 pour rencontrer le général Catroux. Il
mandement et de la position que sa troupe est rejoint le lendemain par les 23 officiers,
occupe au Levant. Revenu à ses escadrons 30 sous-officiers et 400 Tcherkesses avec
de Tcherkesses, le commandant Collet est à qui il s’engage dans les Forces Françaises
Damas en octobre 1940 et met sur pied un Libres en Palestine. Il est radié de l’armée et
groupe de partisans tcherkesses fort de 14 déchu de la nationalité française le 24 mai 1941.
escadrons dont la mission est de surveiller Le 8 juin 1941, il participe aux opérations de
la frontière avec la Transjordanie-Pales- Syrie contre les forces vichystes en tant que
tine (alors sous domination britannique). colonel commandant le Groupement de Ca-
Profitant des contacts que ce poste fron- valiers de la Division Legentilhomme. Le 22
talier occasionne, Philibert Collet entre juin, le général Catroux le nomme Délégué
en relation avec le général Catroux, com- de la France libre à Damas. Sa connaissance
mandant en chef et délégué général de la du terrain comme les nombreux relais qu’il
France libre au Moyen Orient, n’hésitant a pu se constituer parmi les populations
pas à recevoir les émissaires de ce dernier, locales font de lui un acteur essentiel dans
sans se laisser intimider par les dangers l’apaisement des relations entre chefs
auxquels il s’expose en recevant des «dis- gaullistes et autorités britanniques, alors
sidents» gaullistes. en pleine rivalité pour dominer la région.
En mai 1941, sont signés et négociés les Promu général de brigade en août 1941, il est
protocoles de Paris signés entre l’État fran- nommé au commandement de la région de
çais et le régime hitlérien qui prévoient Meknès (Maroc) en août 1943.
l’ouverture des bases aériennes françaises Malheureusement sa santé s’oppose
du Levant aux appareils allemands venus à un nouveau départ en opérations.
appuyer l’insurrection irakienne contre En janvier 1944, le général de Gaulle le
les Britanniques. Cet approfondissement
de la collaboration avec les forces de
172
décore de la Croix de la Libération à Alger. • Bibliographie indicative :
Le 15 octobre 1944, il est nommé Comman- - Mémorial des Compagnons - 1940-1945 :
dant de la 17 e région militaire à Toulouse. Compagnons morts en le 18 juin 1940
Fin 1944, il est nommé général de division et et le 8 mai 1945, Paris, Imprimerie natio-
grand officier de la Légion d’Honneur. nale, 1961.
Décédé à Toulouse, le 15 avril 1945. - COLLET Anne, Collet des Tcherkesses
éditions Correa, 1949.
• Décorations et citations : - CORNIL-FRERROT Sylvain « Le ralliement
Croix de guerre 1914-18 (4 citations). de Philibert Collet », disponible en ligne :
Croix du combattant volontaire. http://www.france-libre.net/le-ralliement-de-
Légion d’honneur : philibert-collet/ (consulté le 11 février 2020).
- Chevalier : décret du 9 octobre 1918 ; Sapin-Lignières, Les Tcherkess Carnet de
- Officier : décret du 7 juin 1927 ; La Sabretache, 1987.
- Commandeur : décret du 15 juillet 1939. - KESSEL Joseph, En Syrie, éditions Galli-
Croix de guerre des TOE (17 citations). mard, 1926.
Croix de guerre belge. - NOTIN Jean-Christophe, 1061 compa-
Mérite syrien hors classe. gnons : Histoire des Compagnons de la
Grand cordon des Omeyades. Libération, Éditions Perrin, 2000, 822 p.
Compagnon de la Libération par décret - RONDEAU Daniel et STEPHANE Roger in
du 31 Mars 1944. Daniel Rondeau et Roger Stéphane. Des
hommes libres 1940-1945. La France Libre
• Lieu d’inhumation : par ceux qui l’ont faite. Paris, Grasset, 1997,
La figure du capitaine Collet et des cavaliers p. 202-203.
tcherkesses a été intensément célébrée par - SALKIN Yves, Collet au galop des Tcher-
la propagande de la France libre coloniale kesses , Economica, 1999.
dès leur ralliement en mai 1941. - SIMONNET Stéphane « Philibert Collet »
Inhumé au cimetière de TERRE CABADE in François Broche, Georges Caïtucoli et
(Toulouse). Jean-François Muracciole (dir.). Diction-
Une rue porte son nom à Châtillon/ naire de la France Libre. Paris, Robert
Chalaronne (Ain). Laffont, 2010, p. 300.
- TROUPLIN Vladimir, Dictionnaire des
• Sources : Compagnons de la Libération, Paris,
- Ordre de la Libération. Elytis, 2010.
- SHD/DAVCC, Caen : AC 21 P 46 762
(dossier de décès).
173
COLONNA D’ORNANO Jean
(1895-1941)
Compagnon de la Libération
Mort pour la France
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
174
• Décorations et citations : - SHD, Vincennes : 8 YE 71 482 (dossier
Officier de la Légion d’Honneur. personnel).
Compagnon de la Libération - décret du - Ordre de la Libération :
31 janvier 1941. https://www.ordredelaliberation.fr/fr/
Croix de Guerre 14/18 (4 citations) compagnons/jean-colonna-dornano
Croix de Guerre des TOE (2 citations).
Médaille de la Résistance avec rosette. • Bibliographie indicative :
Croix du Combattant. - MAJA DESTREM, L’aventure de Leclerc,
Médaille Coloniale avec agrafes « AOF » Fayard, 1984, 447 p.
et « Maroc ». - DRONNE Raymond (préf. éditeur),
Médaille Commémorative 14/18 (Syrie). Leclerc et le serment de Koufra, Paris,
Officier de l’Etoile Noire du Bénin. Editions J’ai lu, coll. « J’ai lu leur aventure
Officier du Nicham Iftikar (Tunisie). / A239 », 1970, 321 p.
Officier du Ouissam Alaouite (Maroc). - D’ORNANO, Michel Marie Les Ornano :
un lignage féodal corse dans l’Histoire de
• Lieu d’inhumation : France, Ajaccio, Albiana, 2009, 456 p.
Son corps devait reposer à Mourzouk jusqu’au - LETANG Géraud, Mirage d’une rébellion,
départ des troupes françaises. Sa dépouille être Français libre au Tchad (1940-1943),
fut d’abord ramenée à Alger (le 10 décembre thèse de doctorat sous la direction de
1956) puis de là en Corse où elle arrive le 20 Guillaume Piketty, Paris, Sciences-Po, 2019.
décembre 1956, à bord de l’escorteur Guichen, - NOTIN Jean-Christophe, 1061 compa-
pour être inhumée au cimetière Marin gnons : Histoire des Compagnons de la
d’AJACCIO (Corse). Libération, Éditions Perrin, 2000, 822 p.
Donne son nom au cours d’élèves aspirants - TROUPLIN Vladimir, Dictionnaire des
de la France libre à Brazzaville en janvier 1941, Compagnons de la Libération, Elytis, 2010,
qui prend le nom d’école Colonna d’Ornano. 1230 p.
Une rue de Paris (15 e) et une avenue à Ajaccio « Jean Colonna d’Ornano, l’Africain », http://
portent son nom. www.france-libre.net/colonna-ornano-
Un réseau de résistance, le « maillon d’Or- africain/
nano » à Gap, prend son nom en hommage. - Mémorial des Compagnons - 1940-1945 :
Compagnons morts en le 18 juin 1940
• Sources : et le 8 mai 1945, Paris, Imprimerie natio-
- SHD/DAVCC, Caen : AC 21 P 47 682 nale, 1961.
(dossier de décès).
175
COUSSIEU Edmond
(1899-1941)
Compagnon de la Libération
Mort pour la France
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
176
DOURSAN Idrisse
(1914-1965)
Compagnon de la Libération
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
177
GUEDJ Max (Pseudonyme : Maurice)
(1913-1945)
Compagnon de la Libération
Mort pour la France
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
178
Il semblerait normal de rentrer à la base, En mars 1943, il abat un Junker 88 au-des-
mais avec un autre pilote des FAFL, Otti- sus de la baie de Biscaye mais son avion
no Sabbadini, ils repartent de nouveau à est très endommagé pendant le combat.
l’attaque ; cette fois-ci c’est l’appareil de Il réussit, dans des conditions extrêmes,
Sabbadini qui est abattu (ayant réussi à à ramener son appareil malgré les éclats
s’extraire de son avion en feu, ce dernier d’obus qu’il a reçus à la tête et aux jambes
sera repêché en mer et fait prisonnier par au cours du combat et, pour cela, reçoit
les Allemands). Alors, pour la troisième la médaille britannique du Distinguished
fois, avec un appareil criblé de trous, Max Service Order.
Guedj repart faire un dernier passage. Son Voyant que son tour d’opérations touche
retour, avec un avion en lambeaux, est un à sa fin, il demande alors à ce que lui
exploit peu ordinaire. soient confiées prioritairement les at-
Au printemps 1942, le 248 Squadron entame taques de bateaux, considérées comme
une série d’opérations consistant à recher- les missions les plus dangereuses.
cher des navires ennemis ou bien attaquer S’appuyant sur sa grande popularité
les chasseurs allemands qui harcèlent les parmi ses camarades, son commandant,
patrouilles alliées anti sous-marines dans le Wing Commander Montagu-Smith,
l’Atlantique. Il continue ensuite à effectuer désire faire de Max Guedj un de ses chefs
une série d’attaques et de reconnaissances d’escadrille. Il part comme instructeur
photographiques sur les côtes de Norvège à la 2 Operationnal Training Unit où il
et de Hollande. Puis son groupe opère dans est en charge de l’Air firing flight, volant
le golfe de Gascogne. et s’entraînant au tir sans arrêt. L’intérêt
En juillet 1942, ils sont envoyés à Malte, qu’il porte à cet entraînement améliore
protégeant les fameux grands convois qui beaucoup ses résultats et l’amène à battre un
passent alors en Méditerranée. Guedj effec- record considéré jusquelà comme im-
tue de nombreuses attaques au sol contre battable (250 points sur un maximum de
les aérodromes ennemis, particulièrement 300). Il obtient le grade de capitaine le
celui de Cagliari (Sardaigne – Italie), où il 2 octobre 1943.
détruit des hangars remplis d’avions, et, En février 1944, il réussit enfin, après avoir
au sol, trois autres appareils torpilleurs, insisté de tous côtés, à retourner en opéra-
italiens et allemands. Le 15 décembre 1942, tions, au 248 Squadron, et repart de nouveau
Max Guedj accède au grade de lieutenant. pour le golfe de Gascogne ; il fait entre-
Le Squadron revient ensuite au Pays de Galles temps sa “transformation” de Beaufighter
pour des opérations sur le golfe de Gascogne. sur Mosquito. Avec beaucoup de cran, il
179
GUEDJ Max (Pseudonyme : Maurice) (suite)
(1913-1945)
Compagnon de la Libération
Mort pour la France
prend, au cours d’une mission de recon- rages. Attaqué de toutes parts, Max Guedj
naissance photo, des vues du port de Cher- disparaît avec son navigateur britannique,
bourg à moins de 300 mètres d’altitude. le Flight Lieutenant Langley
Le printemps 1944 est marqué par une
intense activité combattante. Max Guedj • Décorations et citations :
prend part à de nombreuses opérations Commandeur de la Légion d’honneur
dans la perspective du D Day. Son groupe Compagnon de la Libération - décret du
travaille à l’extrême, non sans pertes (22 20 novembre 1944.
équipages sont perdus en six semaines). Croix de guerre 1939-1945 (6 citations)
Il prend part à toutes les sorties, faisant Citation à l’ordre de l’armée de l’Air du 9
jusqu’à trois patrouilles par jour, parfois septembre 1942 :
plus de huit heures de rase-mottes sur « Brillant officier pilote de chasse bi-moteur.
l’eau en moins d’une journée. Il reçoit A effectué de nombreuses opérations sur les
alors une barre à sa Distinguished Flying côtes norvégiennes et hollandaises. S’est
Cross, reconnaissance rarement accordée particulièrement distingué le 17 mai 1942,
par la Royal Air Force à des pilotes non en prenant une part active à l’attaque sur le
britanniques. “Prince Eugène”. Vient de participer avec brio
En septembre le 248 Squadron est envoyé à des opérations en Méditerranée Centrale,
à Banf en Ecosse pour opérer au-dessus au cours desquelles il a détruit deux hangars
de la Norvège et en décembre 1944, Max et endommagé trois appareils ennemis sur
Guedj est nommé Wing Commander de la des terrains. Compte à son actif 104 heures
RAF (lieutenant-colonel) ; il prend le com- d’opérations et 31 missions de guerre ».
mandement du 143 Squadron, sur Mosquito. Citation à l’ordre des Forces Françaises
Le 15 janvier 1945, il participe à l’attaque combattantes avec attribution de la Palme
d’un convoi de navires ennemis au-dessus de vermeil en date du 9 avril 1943 :
du port de Leirvik (Norvège). Fonçant sur « En opérations depuis plus d’un an, a effec-
un pétrolier, il réussit à l’endommager, tué 280 heures de vols de guerre au cours
mais son avion est touché et un moteur de 72 missions dont 58 missions offensives
est arrêté. Il repart quand même de nou- à longue distance dans les ciels de Norvège,
veau à l’attaque, sur un seul moteur et de Hollande, du Golfe de Gascogne et de la
réussit à couler son adversaire. Un second Méditerranée centrale. A la suite d’un combat
bateau se présente : toujours sur un seul difficile contre un Junker 88 au large de la Bre-
moteur, il l’attaque et l’endommage. Douze tagne, a abattu en flammes son adversaire au
Focke-Wulf 190 se trouvent dans les pa- moment où il cherchait à s’échapper dans les
180
les nuages. Blessé à la tête et aux jambes, nue à maintenir très haut le prestige de
a réussi à regagner l’Angleterre malgré les l’Armée de l’Air dans la RAF. Le 4 juillet
graves avaries causées à son appareil par 1944, au cours d’une mission spéciale et
le feu de l’adversaire ». périlleuse, comprenant trois Mosquitoes,
Citation du 11 janvier 1944 de la main du s’est heurté à une D.C.A. extrêmement vio-
général martial Valin, alors comman- lente avant d’atteindre l’objectif, ayant son
dant des forces aériennes françaises en appareil deux fois touché. A, malgré tout,
Grande-Bretagne et en URSS : continué sa mission en vol rasant, touché
« L’un des “as” des F.A.F.L. et de l’aviation une troisième fois et abattu son Leader en
du Costal Command de la R.A.F. où il fait flammes. En arrivant sur l’objectif a mis
montre de qualités exceptionnelles qui ont en feu deux unités navales ennemies dans
placé très haut le prestige de l’armée de l’air ». le port de Quimper.
Citation n°1 à l’ordre de l’Armée de l’Air du A réussi à rejoindre sa base avec son équi-
30 octobre 1944 : pier dont l’appareil avait été également
« Officier d’élite et magnifique combattant, endommagé.
continue à donner la preuve de brillantes Les résultats magnifiques de cette opéra-
qualités de chef et d’une ardeur remar- tion ont été confirmés le 5 juillet 1944, au
quable dans la lutte contre l’ennemi. Le cours d’une mission de reconnaissance
10 juin 1944, a coulé une vedette ennemie. photographique ».
Le 27 juin 1944 s’est vu confier la direction Citation n°1 à l’ordre de l’Armée de l’Air du
d’une opération contre le port de Lorient, 22 février 1945 :
à la tête d’une formation comprenant 43 « Magnifique entraîneur d’hommes, ayant
mosquitos provenant de 4 Squadrons bri- un sens parfait de la discipline et une haute
tanniques. Les 29 et 30 juin 1944, a atta- conception du devoir. Par sa conduite hé-
qué au canon plusieurs navires allemands roïque et ses qualités de chef, donne sans
sous une DCA violente, endommageant cesse le plus bel exemple aux équipages
sérieusement deux frégates et un pétro- qu’il commande. Vient à nouveau de se
lier au large de Penmarch et 2 navires distinguer, le 11 juillet 1944, en attaquant
de commerce à l’ancre dans le port de en vol rasant six unités navales ennemies,
Concarneau ». dans le goulet de Brest, dans des conditions
Citation n°2 à l’ordre de l’Armée de l’Air particulièrement périlleuses et méritoires.
du 30 octobre 1944 : Se trouvant à la tête de 19 appareils britan-
« Officier supérieur et commandant de niques, ses canons se sont enrayés au mo-
groupe de tout premier ordre qui conti- ment d’arriver sur l’objectif, a néanmoins,
181
GUEDJ Max (Pseudonyme : Maurice) (suite)
(1913-1945)
Compagnon de la Libération
Mort pour la France
malgré une D.C.A. des plus violentes, Autorités britanniques. Au cours des mois
poursuivi avec calme et détermination d’octobre et de septembre 1944, a détruit 8
son attaque à la mitrailleuse seulement, navires ennemis, ayant son appareil deux
assurant ainsi le succès de l’opération. fois très gravement endommagé et rendu
A eu son avion touché. Toujours leader inutilisable par la suite ».
d’importantes formations de “Mosquitoes” Médaille de la Résistance avec rosette
a, au cours des mois de juillet et août 1944, (décret du 11 mars 1947).
détruit ou mis en feu 9 navires ennemis Grande médaille d’or de l’aéronautique
dont plusieurs destroyers de poche ». club de France.
Citation n°2 à l’ordre de l’Armée de l’Air Médaille de la participation norvégienne
du 22 février 1945 : (décision du 20 juillet 1948).
« Figure glorieuse, animé des plus hautes Distinguished Service Order (GB).
vertus morales, incarne les plus belles qua- Distinguished Flying Cross and Bar (GB).
lités du combattant. Remarquable exemple
de ténacité dans la lutte contre l’ennemi, • Lieu d’inhumation :
conduit son Groupe à la bataille avec une Inconnu
ardeur inlassable. Le 21 octobre 1944, se Il est mentionné par Romain Gary dans la
voit donner la direction d’une importante Promesse de l’Aube (roman autobiographique
opération comportant 42 appareils contre paru en 1960).
des navires ennemis abrités dans un fjord Le 15 janvier 2001 est inaugurée l’Esplanade
norvégien. Arrivé au-dessus du fjord indi- Max Guedj à Paris (15 e), au croisement de la
qué, les navires repérés la veille avaient dis- rue Balard et de la rue Gutenberg.
paru. Au lieu de rentrer, une fois sa mission La base aérienne BA 151 de Rabat Salé (Maroc)
accomplie, a divisé sa formation en deux, a porté son nom jusqu’à sa dissolution le 21
un groupe de 25 appareils partant vers le février 1961.
Nord et lui-même avec 16 autres appareils A Casablanca, une rue a été dénommée
se dirigeant vers le Sud en quête d’objec- « rue Félix et Max Guedj ».
tifs à attaquer. Dans le port d’Hangesund,
très fortement défendu, il attaque en vol • Sources :
rasant, 5 gros bateaux et 5 “flack-ships”, - SHD, Vincennes : 4 D 19445/89 ; DE 2013
laissant deux navires de 4 000 et 3 000 ZL 144/420 ; AI 1 Mi 28 (dossier personnel).
tonnes en feu, les autres étant gravement - Ordre de la Libération :
endommagés pour la perte d’un seul avion. https://www.ordredelaliberation.fr/fr/
Une fois de plus, ses efforts sont couronnés compagnons/max-guedj
de succès et est chaudement félicité par les
182
• Bibliographie indicative :
- ALLALI Jean-Pierre, Les émeraudes de
l’Étoile, cinquante figures juives. Préface
d’Elie Wiesel. Editions Romillat, 2001.
- CLOSTERMANN Pierre, Feux du ciel,
Paris, 1951, Flammarion. Réed. Ananké
Lefrancq, coll. Attitudes, 2001.
- FACON Patrick « GUEDJ, Max (1913-1945)
in François Broche, Georges Caïtucoli et
Jean-François Muracciole (dir.). Diction-
naire de la France Libre. Paris, Robert
Laffont, 2010.
- MARZAC Marcel, Max Guedj, un héros
de la guerre 39/45, Barreau des avocats de
Casablanca, 1951.
- NOTIN Jean-Christophe, 1061 compa-
gnons : Histoire des Compagnons de la
Libération, Éditions Perrin, 2000.
- TROUPLIN Vladimir, Dictionnaire des
Compagnons de la Libération, Elytis, 2010,
1230 p.
- Mémorial des Compagnons - 1940-1945 :
Compagnons morts en le 18 juin 1940 et le 8
mai 1945, Paris, Imprimerie nationale, 1961.
« Les forces aériennes françaises libres, t.6 :
1941/1945 Max Guedj et les Français de Coas-
tal Command », Icare, numéro 152, 1995.
183
KAILAO André
(1918-1965)
Compagnon de la Libération
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
184
• Lieu d’inhumation :
Inhumé à N’djamena (Tchad))
• Sources :
- Notice biographique sur le site de l’Ordre
de la Libération :
https://www.ordredelaliberation.fr/fr/
compagnons/andre-kailao.
• Bibliographie indicative :
- FARGETTAS Julien. Les tirailleurs séné-
galais. Les soldats noirs entre légendes et
réalités 1939-1945. Paris, Tallandier, 2012.
- Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
sénégalais en Afrique occidentale fran-
çaise (1857-1960), Paris, Khartala, 2009
et Nancy LAWLER, Soldats d’infortune.
Les tirailleurs ivoiriens de la Deuxième
Guerre mondiale, Paris, L’Harmattan, 1996.
- Claire Miot, Sortir l’armée des ombres.
Soldats de l’Empire, combattants de la
Libération, armée de la Nation. La Première
armée française, du débarquement en Pro-
vence à la capitulation allemande (1944-1945),
thèse d’histoire, O. Wieviorka dir., ENS Paris
Saclay, 2016.
185
KOLI Yorgui
(1896-1970)
Compagnon de la Libération
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
186
• Décorations et citations : - Notice biographique sur le site de l’Ordre
Chevalier de la Légion d’honneur. de la Libération :
Compagnon de la Libération, décret du https://www.ordredelaliberation.fr/fr/
7 juillet 1945. compagnons/yorgui-koli.
Médaille Militaire.
Croix de guerre 1939-1945. • Bibliographie indicative :
Croix du combattant. - FARGETTAS Julien. Les tirailleurs séné-
Médaille de la Résistance avec rosette. galais. Les soldats noirs entre légendes et
Croix du combattant volontaire de Résistance. réalités 1939-1945. Paris, Tallandier, 2012.
Médaille coloniale avec agrafes « Maroc 1925 », - JENNINGS Eric. La France libre fut afri-
« Fezzan-Tripolitaine ». caine. Paris, Perrin, 2014, p. 174.
Médaille du Levant. - Julie LE GAC, Vaincre sans gloire. Le corps
Médaille commémorative 1939-1945. expéditionnaire français en Italie (novembre
Médaille commémorative des services 1942-juillet 1944), Paris, Les Belles Lettres, 2013.
volontaires dans la France libre. - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
Médaille des Blessés. sénégalais en Afrique occidentale fran-
Chevalier de l’Étoile noire du Bénin. çaise (1857-1960), Paris, Khartala, 2009
Officier de l’Ordre national du Tchad. et Nancy LAWLER, Soldats d’infortune.
Les tirailleurs ivoiriens de la Deuxième
• Lieu d’inhumation : Guerre mondiale, Paris, L’Harmattan, 1996.
Inhumé à Sarh (Tchad) - Claire Miot, Sortir l’armée des ombres.
Soldats de l’Empire, combattants de la
• Sources : Libération, armée de la Nation. La Première
- SHD, Vincennes : GR 16 P 191360 (Dossier armée française, du débarquement en Pro-
personnel de résistance). vence à la capitulation allemande (1944-1945),
- SHD, Vincennes : GR 12 P 270 (JMO BM1). thèse d’histoire, O. Wieviorka dir., ENS Paris
Saclay, 2016.
187
KONÉ Nouhoum
(1909-1988)
Compagnon de la Libération
188
« Adjudant de compagnie qui a fait preuve • Sources :
des plus éminentes qualités dans ses fonc- - SHD, Vincennes : GR 16 P 447 578 (Dossier
tions pendant les opérations. Laissé à personnel de résistance).
l’arrière, a rejoint lui-même son unité en - SHD, Vincennes : GR 8 YE 108 438 (Dos-
ligne. A déployé une activité débordante sier personnel).
pendant les jours précédents l’attaque, - SHD, Vincennes : GR 12 P 270 (JMO BM5).
dirigeant le ravitaillement sous le tir de Notice biographique sur le site de l’Ordre
l’artillerie ennemie, aidant à l’évacuation de la Libération :
des blessés. Après une attaque infructueuse https://www.ordredelaliberation.fr/fr/
le 9 mai, a contribué pour une large part compagnons/nouhoum-kone.
à remonter le moral des tirailleurs ébran-
lés par la violence de la réaction ennemie • Bibliographie indicative :
et les pertes subies. Lors de l’attaque du - FARGETTAS Julien. Les tirailleurs séné-
11 mai, a exécuté plusieurs missions de galais. Les soldats noirs entre légendes et
liaison, sous le tir violent de l’artillerie en réalités 1939-1945. Paris, Tallandier, 2012.
nemie. Blessé dès le début de l’attaque de la - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
cote 150, par un éclat de grenade, a abattu au sénégalais en Afrique occidentale fran-
révolver le grenadier ennemi qui venait de çaise (1857-1960), Paris, Khartala, 2009
tuer un officier et de blesser son comman- et Nancy LAWLER, Soldats d’infortune.
dant de compagnie qui, marchant diffici- Les tirailleurs ivoiriens de la Deuxième
lement, n’a pu quitter un intense barrage Guerre mondiale, Paris, L’Harmattan, 1996.
d’artillerie. A refusé d’être évacué ».
• Lieu d’inhumation :
Inhumé à Bamako ( Mali)
189
KOUDOUKOU Georges
(1894-1942)
Compagnon de la Libération
Mort pour la France
2e Bataillon de marche
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
190
• Décorations et citations : • Sources :
Compagnon de la Libération à titre pos- - SHD/DAVCC, Caen : AC 21 P 56 498.
thume, décret du 9 septembre 1942. - Notice biographique sur le site de l’Ordre
Médaille militaire. de la Libération :
Croix de guerre 39/45 avec palme. https://www.ordredelaliberation.fr/fr/
Croix de guerre des TOE. compagnons/georges-koudoukou.
Médaille coloniale avec agrafe « Maroc 1925 ».
Extrait du décret n°515 portant attribution • Bibliographie indicative :
de la Croix de la Libération : - FARGETTAS Julien. Les tirailleurs séné-
« Excellent officier indigène d’une conduite galais. Les soldats noirs entre légendes et
qui lui a déjà valu de nombreuses citations. réalités 1939-1945. Paris, Tallandier, 2012.
A prouvé une fois de plus toutes ses qualités - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
de chef au cours de la sortie de Bir Hakeim sénégalais en Afrique occidentale fran-
où il a été grièvement blessé ». Fait à Bey- çaise (1857-1960), Paris, Khartala, 2009
routh le 9 septembre 1942, signé Charles et Nancy LAWLER, Soldats d’infortune.
de Gaulle. Les tirailleurs ivoiriens de la Deuxième
Guerre mondiale, Paris, L’Harmattan, 1996.
• Lieu d’inhumation :
Inconnu.
191
KOUDOUSSARAGNE Paul
(1920-1973)
Compagnon de la Libération
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
192
Médaille coloniale avec agrafes « AFL », - Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
« Bir Hakeim » et « Libye ». sénégalais en Afrique occidentale fran-
Médaille commémorative 39/45 avec agrafes çaise (1857-1960), Paris, Khartala, 2009
« Afrique » et « Libération ». et Nancy LAWLER, Soldats d’infortune.
Médaille commémorative des services Les tirailleurs ivoiriens de la Deuxième
volontaires dans la France libre. Guerre mondiale, Paris, L’Harmattan, 1996.
Médaille du Levant. - Claire Miot, Sortir l’armée des ombres.
Soldats de l’Empire, combattants de la
• Lieu d’inhumation : Libération, armée de la Nation. La Première
Inhumé à Bimbo (République Centrafricaine). armée française, du débarquement en Pro-
vence à la capitulation allemande (1944-1945),
• Sources : thèse d’histoire, O. Wieviorka dir., ENS Paris
Notice biographique sur le site de l’Ordre Saclay, 2016.
de la Libération :
https://www.ordredelaliberation.fr/fr/
compagnons/paul-koudoussaragne.
• Bibliographie indicative :
FARGETTAS Julien. Les tirailleurs séné-
galais. Les soldats noirs entre légendes et
réalités 1939-1945. Paris, Tallandier, 2012.
193
MARIENNE Pierre
(1908-1944)
Compagnon de la Libération
Mort pour la France
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
194
Reçoit à Callac du commandant Bourgoin, son - SHD, Vincennes : AI 4 D 19 447 (dossier
supérieur, le commandement d’un groupe de personnel).
parachutistes SAS et de maquisards. - Ordre de la Libération : https://www.
Capturé par les Allemands et des miliciens ordredelaliberation.fr/fr/compagnons/
avec une partie de ses hommes à Kerihuel en pierre-marienne
Plumelec, le 12 juillet 1944.
Exécuté en même temps que le lieutenant • Bibliographie indicative :
Martin, cinq autres parachutistes et onze - Mémorial des Compagnons - 1940-1945 :
résistants bretons. Compagnons morts en le 18 juin 1940 et
le 8 mai 1945, Paris, Imprimerie nationale,
• Décorations et citations : 1961.
Chevalier de la Légion d’honneur. - NOTIN Jean-Christophe, 1061 compa-
Compagnon de la Libération, décret du 29 gnons : Histoire des Compagnons de la
décembre 1944. Libération, Paris, Perrin, 2000.
Croix de guerre 1939-1945 (2 citations). - TROUPLIN Vladimir, Dictionnaire
Médaille de la Résistance. des Compagnons de la Libération, Paris,
Elytis, 2010.
• Lieu d’inhumation : - Claire Miot, Sortir l’armée des ombres.
Inhumé au cimetière de Plumelec (Morbihan). Soldats de l’Empire, combattants de la
Donne son nom à une rue de Plumelec et à Libération, armée de la Nation. La Première
une impasse de Lorient. armée française, du débarquement en Pro-
Choisi comme parrain par la promotion avril vence à la capitulation allemande (1944-1945),
1976 - juillet 1976 du 4 e Bataillon de l’ESM. thèse d’histoire, O. Wieviorka dir., ENS Paris
Saclay, 2016.
• Sources :
- SHD/DAVCC, Caen : AC 21 P 85 923
(dossier de décès).
195
MOUNIER André
(1913-1941)
Compagnon de la Libération
Mort pour la France
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
196
• Sources :
- SHD/DAVCC, Caen : AC 21 P 106 602
(dossier de décès).
- SHD, Vincennes : GR 8 YE 13 331 (dossier
personnel).
- Ordre de la Libération :
https://www.ordredelaliberation.fr/fr/com-
pagnons/andre-mounier
• Bibliographie indicative :
- Mémorial des Compagnons - 1940-1945 :
Compagnons morts en le 18 juin 1940 et le 8
mai 1945, Paris, Imprimerie nationale, 1961.
- NOTIN Jean-Christophe, 1061 compa-
gnons : Histoire des Compagnons de la
Libération, Paris, Perrin, 2000.
- TROUPLIN Vladimir, Dictionnaire
des Compagnons de la Libération, Paris,
Elytis, 2010.
197
MOUNIRO
(1907-1958)
Compagnon de la Libération
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
198
• Sources :
- SHD, Vincennes : GR 12 P 271 (JMO BM2).
- Notice biographique sur le site de l’Ordre
de la Libération :
https://www.ordredelaliberation.fr/fr/
compagnons/mouniro.
• Bibliographie indicative :
- FARGETTAS Julien. Les tirailleurs séné-
galais. Les soldats noirs entre légendes et
réalités 1939-1945. Paris, Tallandier, 2012.
- Myron J. ECHENBERG, Les tirailleurs
sénégalais en Afrique occidentale fran-
çaise (1857-1960), Paris, Khartala, 2009
et Nancy LAWLER, Soldats d’infortune.
Les tirailleurs ivoiriens de la Deuxième
Guerre mondiale, Paris, L’Harmattan, 1996.
- Claire Miot, Sortir l’armée des ombres.
Soldats de l’Empire, combattants de la
Libération, armée de la Nation. La Première
armée française, du débarquement en Pro-
vence à la capitulation allemande (1944-1945),
thèse d’histoire, O. Wieviorka dir., ENS Paris
Saclay, 2016.
199
NÉMIR
(1904-1953)
Compagnon de la Libération
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
200
PICHAT Jean
(1913-1942)
Compagnon de la Libération
Mort pour la France
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
201
PICHAT Jean (suite)
(1913-1942)
Compagnon de la Libération
Mort pour la France
• Lieu d’inhumation :
Inhumé à Tobrouk (Libye).
• Sources :
SHD/DAVCC, Caen : AC 21 P 130 897 (dossier
de décès).
SHD, Vincennes : GR 8 YE 50 196 (dossier
personnel).
Ordre de la Libération : https://www.ordre-
delaliberation.fr/fr/compagnons/jean-pichat
• Bibliographie indicative :
- Mémorial des Compagnons - 1940-1945 :
Compagnons morts en le 18 juin 1940 et le 8
mai 1945, Paris, Imprimerie nationale, 1961.
- NOTIN Jean-Christophe, 1061 compa-
gnons : Histoire des Compagnons de la
Libération, Paris, Perrin, 2000.
- TROUPLIN Vladimir, Dictionnaire
des Compagnons de la Libération, Paris,
Elytis, 2010.
202
TARDY René
(1908-1943)
Compagnon de la Libération
Mort pour la France
Cette fiche biographique a été rédigée à partir de documents identifiés et consultés dans les archives du Service
historique de la Défense (SHD) sur les sites de Vincennes, Caen (DAVCC) et Pau (CAPM). Parfois lacunaires, ces
sources écrites indispensables pour le travail de l’historien peuvent toutefois présenter des données contradictoires. Il
peut en résulter des différences d’orthographe (noms et lieux) et de dates qui seront précisées en notes de bas de page.
203
204
Index - Lieu d’inhumation
205
A Lieu d’inhumation Page
ABDOU Diagne 69 - Chasselay - Nécropole Nationale TATA SÉNÉGALAIS 88
ABOULKER José * Inconnu 166
ALADJI Diop 69 - Chasselay - Nécropole Nationale TATA SÉNÉGALAIS 90
ALI amar Saïd Inconnu 22
ALY Sene 69 - Chasselay - Nécropole Nationale TATA SÉNÉGALAIS 92
B
BADIANE Gora 69 - Chasselay - Nécropole Nationale TATA SÉNÉGALAIS 94
BAKABÉ 69 - Chasselay - Nécropole Nationale TATA SÉNÉGALAIS 23
BAKARY Sassi ou Sani 69 - Villeurbanne - Nécropole Nationale LA DOUA 24
BAKOTE Paul 69 - Villeurbanne - Nécropole Nationale LA DOUA 25
BALA Amar 69 - Chasselay - Nécropole Nationale TATA SÉNÉGALAIS 96
BANDIA Kamara 69 - Chasselay - Nécropole Nationale TATA SÉNÉGALAIS 98
BANGO Blou 13 - Aix-en-Provence - Nécropole Nationale LUYNES 26
BASSA Dembélé 69 - Villeurbanne - Nécropole Nationale LA DOUA 27
BEN HATTAB EL HADI Inconnu
Kacem 28
BEN SEMERS
Allal Ould M’Hamed Crypte du Mont Valérien 29
206
D Lieu d’inhumation Page
DIOUF Babakar 69 - Chasselay - Nécropole Nationale TATA SÉNÉGALAIS 110
DIOUF Paul 69 - Chasselay - Nécropole Nationale TATA SÉNÉGALAIS 112
DJEMORY Sako 69 - Chasselay - Nécropole Nationale TATA SÉNÉGALAIS 114
DOFFENE Diouf 69 - Chasselay - Nécropole Nationale TATA SÉNÉGALAIS 116
DOUGOUFANA Tologola Inconnu 38
DOURSAN Idrisse* ABECHE (Tchad) 171
F
FALAYE Koudé 69 - Chasselay - Nécropole Nationale TATA SÉNÉGALAIS 118
FALL Alioune Inconnu 40
FALL ALY 69 - Chasselay - Nécropole Nationale TATA SÉNÉGALAIS 120
FALL CHEIK 69 - Chasselay - Nécropole Nationale TATA SÉNÉGALAIS 122
FAMOUSSA Kamara 69 - Chasselay - Nécropole Nationale TATA SÉNÉGALAIS 124
FODE Keita Inconnu 42
G
GOROYA Siué 80 - Saint-Quentin - Nécropole Nationale SAINT-QUENTIN 43
GUEDJ Max* Inconnu 178
GUEYE Ibrae 69 - Chasselay - Nécropole Nationale TATA SÉNÉGALAIS 126
H
HEDHILI Ben Salem 59 - Haubourdin - Nécropole Nationale HAUBOURDIN 44
I
IBRAHIMA Kandjé 69 - Chasselay - Nécropole Nationale TATA SÉNÉGALAIS 128
IDRISSA Diana 08 - Floing - Nécropole Nationale FLOING 45
K
KAILAO André* N’DJAMENA (Tchad) 184
KALOANORANA André 69 - Villeurbanne - Nécropole Nationale LA DOUA 47
KANDJINA Inconnu 48
KAOUROU Béaogui Inconnu 50
KARIFA Koudé 69 - Chasselay - Nécropole Nationale TATA SÉNÉGALAIS 130
KIDA Cimetière divisionnaire n°9 - VITERBO (Italie) 51
KOLI Yorgui* SARH (Tchad) 186
KONE Nouhoum* BAMAKO ( Mali) 188
KONE Sei Inconnu 52
KOUDOUKOU Georges* Inconnu 190
KOUDOUSSARAGNE Paul* BIMBO (République Centrafricaine) 192
207
M Lieu d’inhumation Page
M’PO Basse 69 - Villeurbanne - Nécropole Nationale LA DOUA 54
MABOULKEDE Crypte du Mont Valérien 55
MADEMBA SY Claude Cimetière de BRIATEXTE (Tarn) 57
MAHAMAT Outman Cimetière de VILLERSEXEL (Haute Saône) 60
MAMADI Kamara 69 - Chasselay - Nécropole Nationale TATA SÉNÉGALAIS 132
MAMADOU Bello 69 - Chasselay - Nécropole Nationale TATA SÉNÉGALAIS 134
MAPATE Diouck 69 - Chasselay - Nécropole Nationale TATA SÉNÉGALAIS 136
MARIENNE Pierre* Cimetière de PLUMELEC (Morbihan) 194
MORIBA Doumbia 80 - CONDE-FOLIE - Nécropole Nationale CONDE-FOLIE 61
MOUNIER André* Inconnu 196
MOUNIRO* BEBO PEN (Tchad) 198
MOUSSA Sylla 69 - Chasselay - Nécropole Nationale TATA SÉNÉGALAIS 138
MOUSSA 69 - Chasselay - Nécropole Nationale TATA SÉNÉGALAIS 140
N
N’DOU 69 - Villeurbanne - Nécropole Nationale LA DOUA 63
N’GOM Diokel 69 - Chasselay - Nécropole Nationale TATA SÉNÉGALAIS 142
N’TCHORERE Charles Cimetière d’AIRAINES (Somme) 64
N’TCHORERE
Cimetière de REMIENCOURT (Somme) 67
Jean-Baptiste
NACER Salem 69 - Chasselay - Nécropole Nationale TATA SÉNÉGALAIS 69
NANAMAN Kondé 69 - Chasselay - Nécropole Nationale TATA SÉNÉGALAIS 144
NEMIR* N’DJAMENA (Tchad) 200
O
OGOTEMBENE Guindo 69 - Chasselay - Nécropole Nationale TATA SÉNÉGALAIS 146
OUAFI OUAFI
Ould Mohamed Inconnu 70
P
PEPE Camara 80 - CONDE-FOLIE - Nécropole Nationale CONDE-FOLIE 148
PICHAT Jean* Tobrouk (Libye) 201
POROFO Antiègne 69 - Villeurbanne - Nécropole Nationale LA DOUA 72
R
RAKOTOMANGA
Inconnu 73
Norbert
RESOKAFANY Justin MADAGASCAR - Ampahiny 75
208
S Lieu d’inhumation Page
SAA KOTOU Tolno 69 - Chasselay - Nécropole Nationale TATA SÉNÉGALAIS 159
SADIO Sara 69 - Chasselay - Nécropole Nationale TATA SÉNÉGALAIS 152
80 -Villers Carbonnel - Nécropole nationale VILLERS
SAMAKÉ Tiediougou 77
CARBONNEL
SAMBA Diane 69 - Chasselay - Nécropole Nationale TATA SÉNÉGALAIS 154
SAMOURA Kamba 69 - Chasselay - Nécropole Nationale TATA SÉNÉGALAIS 156
SANTIGUI Camara 69 - Villeurbanne - Nécropole Nationale LA DOUA 78
SEKOU Traoréo 69 - Chasselay - Nécropole Nationale TATA SÉNÉGALAIS 159
SIDIBE Makan 68 - COLMAR - Nécropole Nationale COLMAR 79
SOUMA Sivaré 69 - Chasselay - Nécropole Nationale TATA SÉNÉGALAIS 161
T
TARDY René* Cimetière d’AUBENAS-LES-ALPES (alpes de haute provence) 203
Traoré Zégué 69 - Villeurbanne - Nécropole Nationale LA DOUA 81
Y
YOUSSOUF Inconnu 82
Aptidon Darar
Z
ZIBAGO Thiao 69 - Chasselay - Nécropole Nationale TATA SÉNÉGALAIS 162
209