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………………………………… le tournoi médiéval......................................................
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Année Universitaire
2022-2023
Dédicace :
Nous dédions ce travail a ma famille mes collègues , mes amis et tout personne était
à mes cotés pendant ces derniers tois ans , nous esperons qu’ils seront fier de moi
fier de ce que j’ai réalisé et de ce que nous allons realiser au future , nous tennons à
remercier tous les gens qui m’ont soutenu
J’adresse aussi mes vifs remerciements aux membres des jurés pour avoir bien voulu
examiner et juger ce travail.
Mes remerciements vont à tout le personnel que j’ai contacté durant mon stage au sein de
l’ …………., auprès desquelles j’ai trouvé l’accueil chaleureux, l’aide et l’assistance dont j’ai
besoin.
Je ne laisserai pas cette occasion passer, sans remercier tous les enseignants et le personnel de
l’institut des metiers de sport, et particulièrement ceux de la filière management de sport et
loisirs pour leur aide et leurs précieux conseils et pour l’intérêt qu’ils portent à ma formation.
Enfin, mes remerciements à tous ceux qui ont contribué de prés ou de loin au bon
déroulement de ce projet .
Table des matières :
1. Présentation :
Il est pratiqué en Occident entre les IXe et XVIe siècles. L’apogée des tournois se situe dans
les années 1125-1225
Les enjeux en sont parfois courtois (on se bat pour une belle ou sa couronne de fleurs),
pour de l'argent et parfois aussi symboliques, mimant ceux d’un véritable duel ou d’une
guerre en réduction. Outre l’entraînement militaire, il est l’occasion de faire preuve de sa
valeur, et pour les meilleurs combattants de s’enrichir, grâce aux armes des chevaliers
vaincus et aux rançons versées par les prisonniers
2. Origine :
3. Organisation :
Au Moyen Âge, les tournois regroupent diverses épreuves8. Lors d'un
tournoi, il y avait des combats à pied, à l'arme individuelle, des prises de
tours, des jeux d'adresse à cheval tels que la quintaine pour les écuyers et des
mêlées à cheval avec des combats à la batte ou à l'épée neutralisée ; cette
épreuve nommée behort était particulièrement spectaculaire, elle se déroulait
le plus souvent dans un espace ouvert et dans des enclos au XVe siècle.
Les chevaliers simulaient de véritables batailles rangées devant un public
enthousiaste (y compris féminin2).
Le terrain pouvait être situé sur les marches de deux principautés, mais
également dans des landes entre deux villages, les terres cultivées et les
habitations étant ainsi épargnées9.
4. Régions concernée :
4.1.En France :
Le tournoi chevaleresque est un sport qui se joue en France, au nord de la Loire (zone
des Francs), et jusqu’aux Flandres (c’est-à-dire dans le duché de Normandie, le Maine,
le comté de Champagne, le Vermandois, duché de France). Ils sont apparus dans le Nord
de la France vers 1100 avant de se répandre en Europe7.
Ils sont principalement organisés par les détenteurs des principautés territoriales (comtes
et ducs), le plus souvent à la lisière de deux de ces principautés.
Le tournoi est aussi prisé dans le Saint-Empire romain germanique, bien qu'ils semblent y
avoir été moins grands et moins fréquents qu'en France (au moins jusqu'au XIIe siècle). Ils
y étaient considérés avant tout comme des actes politiques. Tous les grands évènements
d'un règne, entrées, couronnements, visites d'Etat, mariages, baptêmes, étaient fêtés par
des tournois, moyen pour le souverain de souligner son importance et d'augmenter son
prestige. Les Habsbourg n'hésitaient pas à dépenser des sommes considérables pour en
faire des spectacles grandioses permettant ainsi de réaffirmer l'ordre féodal de la société et
d'assurer l'unité d'un Empire hétérogène composé de régions disséminées dans toute
l'Europe. Les tournois y constituaient un élément majeur de la propagande impériale.
L'empereur Maximilien 1er de Habsbourg et l'archiduc Ferdinand II du Tyrol, notamment,
développèrent et firent évoluer les tournois dans les territoires qu'ils gouvernaient .
5. Déroulement :
Les chevaliers arrivent souvent déjà organisés en équipes au tournoi, chacune menée par
un grand seigneur. Ces équipes peuvent s’allier entre elles pour aboutir à une situation où
seuls deux camps s’affrontent14.
Avant le tournoi, les heaumes ornés de cimiers sont exposés sous les bannières des
participants, dans un cloître15.
Sur le terrain, des recès sont choisis par convention avant le début du tournoi : tout groupe de
combattants peut s‘y réfugier pour s’y reformer, comme au cours d’une véritable bataille, les
chevaliers se replient à l’arrière pour reprendre leur souffle ou faire redresser un casque.
Plusieurs épreuves ont lieu : commençailles (combats qui ouvrent les joutes, réservés aux
débutants, les bacheliers), passes d'armes, béhourds, courses de planchon, tables rondes,
emprises d'armes, épinettes, versions populaires de joutes avec mules et bâtons16.
René d'Anjou, à la suite d'un tournoi donné à Bruges en 1393, entre Jean IV van der Aa dit
Jean de Bruges, seigneur de Gruuthuse et Gérard de Ghistelles, seigneur de Wasquehal,
compose pour Louis de Bruges, fils de Jean IV van der Aa, un traité sur les tournois
intitulé Traité de la forme et devis comme on peut faire les tournois, avec des illustrations
de Barthélemy d'Eyck, dans lequel il réunit, les lois, règlements, usages, cérémonies et détails
observés dans ces exercices17.
Au XVe siècle, le tournoi est donc devenu un sport organisé basé sur le traité de René
d'Anjou. Il pouvait prendre trois formes principaleː le combat à deux avec des chevaux, le
tournoi libre ou tournoi au sens strict du terme, et le tournoi à pied. Le tournoi à deux peut
s'opérer sous forme de piquer, de joute ou de course
Conclusion :