Vous êtes sur la page 1sur 2

Introduction 

En biologie, une des caractéristiques du vivant est l’adaptation d’une espèce à son milieu. C’est un

principe crucial qui constitue la théorie de l’évolution. Selon les facteurs abiotiques du milieu dans

lequel vit l’espèce, celle-ci va développer, au long de plusieurs dizaines ou centaines de milliers d’années,

des habiletés, des modifications physiques, des habitudes de migration ou des modifications de régime

pour s’ajuster à son environnement.

Le but de ce projet sera de déterminer si l’espèce Pygoscelis antarctica pourrait s’intégrer au biodôme de

Montréal, et si oui, dans quel habitat elle aura le moins d’adaptation à faire et où elle vivra le mieux.

Pour ce faire, une visite guidée de chaque habitat du biodôme ainsi qu’une recherche extensive sur

l’oiseau seront effectuées pour permettre de répondre le plus précisément et adéquatement au but. Des

données des facteurs abiotiques du biodôme seront prises en notes (températures, heures

d’ensoleillement, humidité, salinité de l’eau, régime, etc.) et seront comparées aux données provenant

de la recherche afin de faciliter l’intégration du manchot à jugulaire.

Conclusion :

Le but du projet Mission  : Intégration était de déterminer si l’espèce Pygoscelis antarctica peut s’intégrer

au biodôme de Montréal et, si oui, il fallait déterminer quel habitat serait le plus apte à recevoir

l’espèce. Après la visite guidée au biodôme et la recherche, nous pouvons déterminer que l’habitat

appelé « Îles sub-antarctiques » serait celui qui permettrait au manchot à jugulaire de s’intégrer le plus
facilement à son nouvel habitat. En effet, les facteurs abiotiques sont les plus similaires de tous les

habitats. Les espèces vivant déjà dans l’habitat ne poseraient pas de problème de compétition/prédation

et réagiraient relativement paisiblement à l’intégration de Pygoscelis antarctica.

Vous aimerez peut-être aussi