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Wa Salatou Wa salamou Hanla Rassoulilah Seydil Euwalina Wal Akhirina Seydina Mouhamad
SAW.
Chers parents
Honorables invités
C’est avec honneur et un grand plaisir que je m’adresse en ces mots à cet auditoire qui pour
moi est la force, les portes étendards de Ndiobène.
Pourquoi ?
Parce que vous êtes les désireux de la connaissance qui dirige quelque soit le statut des
personnes composant un groupe.
Permettez moi de vous parler de la situation de ce village qui d’amblée fut le plus développé de
la localité mais trouve un recul de plus en plus. Un tel phénomène mérite une large réflexion.
Ndiobène est créé en 1925 quelque années plus tard il accueilli des saints d’antan comme Mame
Médoune Diop, Omar Diop etc... qui ont contribué à magnifié son image de par le biais de leur
enseignement religieux.
En 1963 il acquerra ses premières salles de classe de l’enseignement francophone faisant de lui
un centre de convergence de plusieurs gens.
Le sage Aboubacar Ibn Hassan dit dans son ouvrage Ibnou Dourayda :
En commençant par la recherche d’argent on aura des difficultés pour retrouver la connaissance
mais quand même on pourra avoir les femmes qui se verront être des parasites vis-à-vis de cette
richesse.
Malheur à celui qui se dresse en premier vers les femmes, il finira par perdre tout ces
possessions mêmes ces derniers. »
Alors mes chers frères pour redorer l‘image de nos cher village il en va de notre responsabilité
d’aimer ce que nous possédons : nos esprits. Marchons-nous vers l‘essentiel qui est la
connaissance et ce fameux joyau se trouve dans un terminus auquel pour y accéder il faut être
l’esclave de ces quatre choses que sont : la faim, l’éloignement, se détourner des désirs
mondains et enfin être l’esclave du papier et du stylo.
Permettez-moi de prendre l’exemple du mil qui pour retrouver son importance subit toutes les
sortes de difficulté du champ au fourneau.