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Centre universitaire Abdelhafid Boussouf, Mila

Institut des Sciences et Technologies


Département de génie mécanique
Transfert de chaleur II
Pr. S. Saouli

Exercice n°20

Trouver l’équation de continuité en coordonnées cartésiennes pour un fluide


incompressible en écoulement bidimensionnel permanent.
V y  dy

dx
Vx V x  dx
dy

Vy
Exercice n°21

Trouver l’équation du mouvement pour un fluide newtonien incompressible en


écoulement bidimensionnel permanent en appliquant la deuxième loi de la
dynamique.

 y dy

dx
Px Px  dx
dy

y

Exercice n°22

Considérons le mouvement d’une couche d’huile d’épaisseur L  2 mm entre deux


plaques solides l’une fixe et l’autre mobile. La plaque mobile se déplace avec la
vitesse V  12 m / s . Les deux plaques sont maintenues à une température
constante égale à TP  20 C .
a) Trouver le profil de la vitesse de l’huile,
b) Trouver le profil de la température en tenant compte de la dissipation
visqueuse.
c) Déterminer la température maximale,
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d) La quantité de chaleur échangée entre l’huile et les deux plaques.


Données :   0,145 W / mC ,   0,800 kg / m s .

y
TP 
V

TP x

Exercice n°23
Une plaque plane de dimensions L  l  3 m  2 m est suspendue dans une chambre,
et soumise à un flux d’air parallèle à sa longueur. La vitesse et la température de
l’air sont respectivement U   7 m / s et TP  20 C . La force de frottement totale
mesurée sur la plaque est F f  0,86 N . Déterminer le coefficient d’échange
convectif moyen pour la plaque.
Données :   1,204 kg / m3 , CP  1007 J / kgC , Pr  0,7309 .

U

Exercice n°24
Soit un écoulement incompressible et bidimensionnel, on peut définir alors une
  
fonction vectorielle A telle que V  rotA .
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a) Montrer que l’équation de continuité est satisfaite,


b) Calculer les composantes de la vitesse en fonction des composantes du

vecteur A ,

c) Si le vecteur A a pour composantes les valeurs Ax  0 , Ay  0 et

Az   x , y , où x, y  est une fonction appelée fonction de courant,


déduire les composantes du vecteur vitesse en fonction de cette nouvelle
fonction,
d) En reprenant, l’équation de continuité, déduire que la fonction x, y  est

une fonction d’état,


e) Monter que la fonction de courant est constante le long d’une ligne de
courant,
f) Considérons à présent deux lignes de courant très voisines définies par les
fonctions de courant 1 x , y  ,  2 x , y  , calculer le débit du fluide à travers

un élément d’arc AB .
Exercice n°25
L’équation de la quantité du mouvement pour la couche limite sur une plaque
plane est
U U  2U
U V 
x y y 2
avec les conditions aux limites
x  0, U  U  , V  0
y  0, U  0, V  0
y  , U  U  , V  0
U
considérer le changement variables   y et la fonction f   tel que
x
x, y   xU  f  
a) Montrer que la fonction f   obéit à l’équation différentielle
f    f   f    0
1
2
b) Déduire ses conditions aux limites.
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Exercice n°26
Le coefficient de frottement pariétal local et le nombre de Nusselt local pour une
1
0,664
plaque plane sont respectivement Cf P x  et Nu x  0,332 Re x Pr 3 , calculer
Re x
leurs valeurs moyennes sur une distance L .

Exercice n°27
De l’air à la température de 20 °C s’écoule avec la vitesse 8 m/s sur une surface
plane
de dimensions 1,5 m x 6 m et de température 140 °C. Calculer la quantité de
chaleur échangée entre la surface et l’air si
a) L’air s’écoule le long de la longueur,
b) L’air s’écoule le long de la largeur.
Données :   0,02953, Pr  0,7154,  2,548105 S.I

Exercice n°28
Le tableau suivant contient certaines valeurs expérimentales effectuées avec un
fluide de température 15,5°C sur une plaque plane de longueur L=30,5 cm portée à
la température de 60 °C.

U  (m/s) 0,08 0,31 0,49 1,14


h (W/m2 °C) 64,64 130,4 196,2 391,2

Les propriétés physiques sont évaluées à la température moyenne du film et sont :


  0,166 W / m K , CP  2552,24 J / kg K ,   0,00086 Ns / m2 ,   796,0 kg / m3
a) Dresser un tableau donnant les valeurs de Nusselt, Prandtl et Reynolds,
Nu
b) Tracer Ln 0.33  f (ln Re L ) ,
Pr
c) Déterminer les constantes C et n tel que Nu L  C Pr 0.33 Re nL ,
d) Si on veut être plus précis qu’elle méthode faudra-il utiliser pour calculer
ces coefficients.

Exercice n°29
De l’hydrogène à la température de 15 C et à la pression de 1 atmosphère s’écoule
le long d’une plaque plane à la vitesse de 1 m / s . Si la plaque a une largeur de
30 cm et une température de 70 C , calculer les grandeurs suivantes à la distance
x  30 cm , sachant que la longueur de la plaque est 1 m .
a) L’épaisseur de la couche limite,
b) Le coefficient de frottement pariétal,
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c) Le coefficient de frottement pariétal moyen,


d) L’épaisseur de la couche limite thermique,
e) Le coefficient d’échange convectif moyen,
f) La quantité de chaleur échangée.
Données :   0,078, CP  14312,7,   0,190,   0,416105 S.I
Exercice n°30
Calculer le coefficient de frottement moyen Cf P sur une plaque plane de longueur
L en présence d’une couche limite laminaire et d’une couche limite turbulente en
utilisant la relation
1 
xC L

 
Cf P   Cf px lami dx  Cf px turb dx
L0  
 xC 
sachant que
Cf P x lami  0,664
1
, Cf P x turb  0,0592
1
Re x2 Re x5
U  xC
le nombre de Reynolds critique est Re C   5  105 .

Exercice n°31
Ayant choisi le profil de la vitesse
U y
2 3
 y   y   y 
 a 0  a1    a 2    a3  
U 
 V  x   
 V  x   
 V  x  
où a 0 , a1 , a 2 et a 2 sont des constantes. A partir des conditions aux limites
imposées sur la vitesse, déterminer ces constantes.
Exercice n°32
2
U y  y 
On choisit un profil de vitesse adimensionnel tel que a  b 
U  V ( x)   V ( x) 
a) Déterminer les constantes a et b à partir de conditions aux limites bien
choisies,
b) Calculer l’épaisseur de la couche limite visqueuse V (x) ,
c) Déduire le coefficient de frottement pariétal Cf Px en fonction du nombre de
Reynolds Re x .
Exercice n°33
Un tuyau de 10 cm de diamètre a sa surface externe maintenue à la température de
110 °C est exposé au vent. Déterminer la quantité de chaleur perdue par unité de
longueur du tuyau quand le vent à 10 °C lui souffle dessus perpendiculairement à
la vitesse de 8 m/s. Données :   0,02808, Pr  0,7202,  1,896105 S.I
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Solutions
Exercice n°20
En régime permanent, nous avons
Débit massique entrant= débit massique sortant

Vx x dy  V y y dx  Vx xdx dy  V y ydy dx


en développant, les expressions aux points x  dx et y  dy , nous obtenons
V   V   
   
V x x dy  V y y dx  V x x  x dx dy   V y y  y dy dx
x y
   
soit
 V x V y 
   dxdy  0
 x y 
comme dx  0 et dy  0 , nous obtenons
V x V y
 0
x y
Exercice n°21

 y dy

dx
Px Px  dx
dy

y

En régime permanent, la somme des forces est



Fx  m x

U U
x U V
x x
La projection des forces sur l’axe des abscisses, nous donne

 x  Px dy   y y dy dx  Pxdx dy   y y dx


   P 
 x  Pdy   

dy dx   P 
y 
dx dy   y
x 
 y dx
 
D’où
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 P
Pdy  dx dxdy  Pdy  dxdy  dx
y x
 P
Soit  x  
y x
U
Pour un fluide newtonien, nous avons    , l’équation du mouvement s’écrit
y
 U U   2U P
 U V  2 
 x x  y x
Exercice n°22
a) Les équations de continuité et du mouvement sont
U V U U  2U
  0, U V 
x y x y y 2
U  2U
Comme V  0 ,  0 , U  U  y  , de là, nous obtenons  0 , la solution de
x y 2
cette équation est U  y   C1 y  C2 . Les conditions aux limites sont y  0, U  0 et

y  L, U  V d’où U  y   V .
y
L
b) L’équation de chaleur en présence de la dissipation visqueuse est
2
T T  2T   U 
U V a 2   
x y y C P  y 
 2T   V 
2
T
Nous avons  0 et V  0 , nous obtenons     0 avec les conditions
x y 2   L 
aux limites y  0, T  TP et y  L, T  TP .
T  y   TP
2
y  y
La solution est   
V 2 L  L
2
dT  y 
c) La température maximale est obtenue en écrivant  0 , en dérivant la
dy
L
température par rapport à y, nous obtenons y d’où
2
V 2 0,800  12
2
Tmax   TP   20  119,31C
8 8  0,145
d) Les quantités de chaleur évacuées sont
 T  V 2  T  V 2
q1       28000W / m et q 2   
2
   28000W / m 2
 y  y 0 2L  y  y  L 2L
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Exercice n°23
U 2
La force de frottement est F f  CfS avec S  2Ll d’où
2
Ff 0,86
Cf    2,43  10 3 . Le coefficient d’échange convectif est
U 2 S 1,204  7  12
2

2 2
Cf U  C P 2,43  103 1,204  7  1007
h 2
 2
 12,7 W / m 2 C
2 2
Pr 3 0,73093

Exercice n°24
  
A partir de la relation divV  div rotA  0  

L’écoulement étant plan, le vecteur A doit satisfaire les égalités suivantes
  
i j k
      
V  V x i  V y j  rotA 
x y z
Ax Ay Az

Les composantes du vecteur vitesse sont donc


Az A y A A A y Ax
Vx  , Vy  x  z ,  0
y z z x x y

Si nous posons que le vecteur A a pour composantes les valeurs Ax  0 , Ay  0 et

Az   x , y , les équations précédentes seront alors satisfaites. Donc les


composantes du vecteur vitesse en fonction de cette nouvelle fonction sont
  x, y    x, y 
Vx  , Vy  
y x

la fonction ainsi définie est appelée la fonction de courant. Reprenons l’équation


de continuité est remplaçons les composantes du vecteur vitesse par ces relations
et nous obtenons l’équation
   x , y     x , y  
      
 y   x  0
x y
soit
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 2 x , y   2 x , y 

 xy  yx
cette relation montre que la fonction de courant est une fonction d’état, il alors
possible d’écrire la dérivée total de la fonction de courant sous la forme
  x , y    x , y 
d  x , y   dx  dy
x y
La fonction de courant est constante le long d’une ligne de courant, en effet, la
ligne de courant est définie par l’équation
dx dy

Vx V y

en remplaçons les composantes de la vitesse par leurs expressions respective en


fonction de la fonction de courant, nous trouvons
V y dx  V x dy

 V y dx  V x dy  0

  x , y    x , y 
dx  dy  0
x y

donc d x , y   0 , cela veut bien dire que la fonction de courant est constante sur

la ligne de courant. Considérons à présent deux lignes de courant très voisines


définies par les fonctions de courant 1 x , y  ,  2 x , y  et calculons le débit du fluide

à travers un élément d’arc M 1M 2 , ce débit est égal à :

dqv  Vx dy  V y dx

Le débit qui traverse l’arc AB est donc :


B
qv   V dy  V dx
A
x y

Remplaçons les expressions des composantes de la vitesse par leurs expressions en


fonction de la fonction de courant nous obtenons l’équation suivante pour le débit :

   x , y    x , y  
B B


q v   dx  dy   d  x , y    2  x , y  1  x , y 

A   x  y  A
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Exercice n°25
Nous avons
  x , y   x , y   V xV
xV f      f  
V
Vx   
y  y x x
la composante longitudinale de la vitesse V x devient

Vx  V f  

La composante transversale de la vitesse V y est

  x , y 
Vy  
x


x
xV f   
 xV f    xV f   
V y   f    xV   f    xV
x x x  x
qui après simplification devient

 xV f   
 V y  f    xV
x  x
explicitons à présent les dérivées incluses dans cette relation, en effet, après un
petit calcul nous trouvons :

 xV 1 V

x 2 x

 V 
 y  
 x 
 
1 y V

x x 2 x x

1 V
Vy  f    f   (IV.63)
2 x
Après avoir exprimé les vitesse longitudinale et transversale en fonction de la
variable  et la fonction f   , calculons maintenant les dérivées de la vitesse
longitudinale par rapport aux variables x et y .

 V 
 y  

Vx Vx   V f    x 
 
y  y  y
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nous trouvons ainsi


Vx Vx 
 V  f  
V

y  y x
la dernière dérivée à calculer est la dérivée seconde de la vitesse longitudinale par
rapport à la variable y .

 
V  f  
V
  
 2Vx
  x   V V f   

y 2
y x  y
qui après simplification devient
 2Vx V2
 f  
y 2 x
substituons les relations

f    f   f    0
1
2
c’est une équation différentielle non-linéaire qui se résout par la méthode
numérique dite méthode de Runge-Kutta.
Trouvons à présent les conditions aux limites aux quelles doit satisfaire l’équation
différentielle. A partir des conditions aux limites suivantes aux quelles doivent
satisfaire les vitesses longitudinale et transversale :
  0 , f    0 , f    0 (IV.75)

   , f    1 (IV.76)

Exercice n°26
Nous avons
0,664
Cf P x 
Re x

le coefficient de frottement pariétal moyen est par définition

1 L
Cf P 
L 0
Cf Px dx
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en y rapportant la relation V. 172, nous obtenons

L
2  0,664  2 
1 1
1 L 0,664  2  0,664
Cf P 
L 0 U
x 2 dx  x  
U    U
L
L 0 L
  
d’où la valeur du coefficient de frottement pariétal moyen

1,328
Cf P 
Re L
1
Nu x  0,332 Re x Pr 3
1
hx
 0,332 Re x Pr 3

1
 U x 3
h  0,332 Pr
x 
L 1
1  U x 3
h
L0
0,332
x 
Pr dx

1
Nu  0,664 Re L Pr 3

Exercice n°27

Calculons la distance critique xC à partir de la relation Re C  5  105 , soit


 Re C 2,548  10 5  5  105
xC    1,59 m . Par conséquent dans les deux cas, la
U 8
transition vers la turbulence se fait au-delà de la surface car la distance critique est
supérieure à la longueur et à la largeur de la surface. La relation utilisée pour
calculer le nombre de Nusselt moyen est celle d’un écoulement laminaire, soit
1
Nu lam  0,664 Re L Pr 3
a) Quantité de chaleur le long de la longueur

UL 8  1,5
Re L    4,71 105
 2,548  10 5
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 
1
0,71543
0, 5
Nu lam  0,664 4,71 105  408

 Nu 0,02953 408
h   8,03 W / m 2 C
L 1,5

Q  hS TP  T   8,03  1,5  1  140  20  1445,4 W

b) Quantité de chaleur le long de la largeur

UL 8 1
Re L    3,14  105
 2,548  10 5

 
1
0,71543
0, 5
Nu lam  0,664 3,14  105  333

 Nu 0,02953 333
h   9,83 W / m 2 C
L 1

Q  hS TP  T   9,83  1,5  1  140  20  1769,4 W


Exercice n°28
a) Tableau
U  (m/s) 0,08 0,31 0,49 1,14
h (W/m2 °C) 64,64 130,4 196,2 391,2
Pr 13,22 13,22 13,22 13,22
Re L 22584,18 87513,72 138328,14 321824,65
Nu 118,76 239,59 360,48 718,77
ln Re L 10,02 11,38 11,84 12,68
Ln
Nu 3,92 4,62 5,03 5,72
Pr 0.33
b) Graphe de Ln
Nu
 f ( Ln Re L )
Pr0.33
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6,0

5,5
0,33
Ln(Nu/Pr )
5,0

4,5

4,0

3,5
10 11 12 13 14
Ln(ReL)

c) Nous utilisons la méthode des moindres carrés.

Exercice n°29

Ux 0,078  1  0,3 5x 5  0,3


a) Re x    5625Régime laminaire,     0,02 m
 0,416  10 5
Re x 5625
0,664 0,664
b) Cf    0,0088
Re x 5625
UL 0,078  1  1 1,328 1,328
c) Re L    18750 , C f    0,0097
 0,416  10 5
Re L 18750
C P 0,416  10 5  14312,7 0,02
d) Pr    0,31 ,  t   0,029 m
 0,190 0,310,33
e) Nu  0,664 Re L Pr 0,33  0,664  18750  0,310,33  61,75 ,
 Nu 0,190  61,75
h   11,73W / m 2 C
L 1
f) Q  h S TP  T   11,73  1  0,370  15  193,54W
Centre universitaire Abdelhafid Boussouf, Mila
Institut des Sciences et Technologies
Département de génie mécanique
Transfert de chaleur II
Pr. S. Saouli

Exercice n°30
Sachant que

Cf P x lami  0,664


1
, Cf P x turb  0,0592
1
Re x2 Re x5
Le coefficient de frottement pariétal moyen sur la plaque est

1 
xC L
Cf P   Cf px
L0  lami dx   Cf px turb dx

 xC 
xC xC
2  0,664
 Cf px lami dx  
1
0,664
1
dx  1
 xC  2
1
0 0 U  2 2 U  2
  x  
     

5  0,0592  5
L L 4 4

 Cf 
0,0592
px turb 
dx  1
dx  1
 L  xC 

5

U 5 
1
xC xC  U  5

  x 5 4 
     

d’où
5  0,0592  5
4 4
2  0,664 1
Cf P   
xC 2   L  xC 
5
 
1 1
U  2 U 5 
L  4 L 
     

U  xC 5  105
comme Re C   5  105 , nous avons xC  . En substituant cette valeur
 U
dans l’expression précédente, nous obtenons
1  4 4
2  0,664  5  105  2 5  0,0592  5  5  105 5 
Cf P     L   
1   1   
U  2    U  
U
 U   5  
L  4 L 
     
soit
1  4 
4
2  0,664  5  10  2
5  0,0592  5  5  105 
 
5 5
Cf P     L  
1  1   
 U    U  
U  2  U   5  
L  4 L 
     
en réarrangeant les termes, nous trouvons
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939 0,074 2681,68


Cf P   1

Re L Re L
Re L5
soit finalement
0,074 1742,68
Cf P  1

Re L
Re L5
Exercice n°31
où a 0 , a1 , a 2 et a 2 sont des constantes déterminées à partir des conditions aux
limites suivantes

y  0, U 0

d 2U
y  0, U  y , 0
dy 2
y   V  x  , u  u

y   V x  ,
dU
0
dy
après avoir calculer les constantes a 0 , a1 , a 2 et a 3 qui sont
3 1
a 0  0 a1  a 2  0 a 3   , le profil supposé de la vitesse s’écrit alors sous la
2 2
forme
3
U 3 y  1 y 
    
U  2   V x   2   V x  

Exercice n°32
2
U  y   y 
Nous avons  a   b  , les conditions aux limites sont
U  V  x    V   x  
dU
y  V ,U  U  , y   V ,  0 , d’où a  2 , b  1 et de là, nous avons
dy
2
U  y   y 
 2    
U   V x     V x  
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V  x 
 U  U  
Avant d’utiliser la relation U 2
x 0
1 
U  U
dy  P , calculons
 
V  x 
U  U   x  2U 
0
1 
U  U
dy  V
 15
, P 
 V x 
et nous obtenons

30 x 0,730
 , Cf x 
Re x Re x

Exercice n°33
VD 8  0,10
Calcul de Reynolds Re x    4,219  10 4
 1,896  10 5

4
1
 55
0,62 Re D Pr 3 
1   
 
Re 8
Nu D  0,3  D
1   282000 
 2 4  
 0,4  3
1    
  Pr  
 
4
1  55
0,62 4,219  10 4 0,7202   4,219  10 8
   124
4
3
 0,3  1 1   282000  
 24    

1   0, 4 3 

  0,7202  
 

Nu D0,02808 124


a) h    34,8W / m 2 C
D 0,10
b) Q  hDLTP  T   34,8    0,10  1110  10  1093W

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