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PROMO : 2022
INTRODUCTION GENERALE........................................................................................................................................................................ 4
CHAPITRE 1 .................................................................................................................................................................. 7
2 ................................................................................................................................................................................ CHAPI
TRE 2 ....................................................................................................................................................................................................... 17
3 ................................................................................................................................................................................ CHAPI
TRE 3 ....................................................................................................................................................................................................... 26
4 ................................................................................................................................................................................ CHAPI
TRE 4 ....................................................................................................................................................................................................... 63
* Dans le deuxième c h a p i t r e , nous avons déterminé les paramètres les plus agissants sur la croissance de
la culture sous serre afin d’améliorer nos connaissances, nous avons effectué un état de l’art sur la présentation des
serres et ses différents types, ainsi que les équipements et outils qui nous permettent de contrôler et de gérer les
paramètres climatique afin de répondre au cahier de charge.
* Dans le 3ème chapitre, nous avons présenté les différents composants et logiciels que nous avons utilisés dans
notre réalisation, et l’étude de leur caractéristique et performances qui nous a mené à choisir ces derniers pour mieux
répondre aux exigences et les objectifs ducahier des charges.
* Dans le 4ème chapitre, nous avons entamé le montage de la structure ainsi que les équipements de régulation
de la serre. Ensuite nous avons décrit le fonctionnement global denotre système par un organigramme fonctionnel.
En fin nous avons mis en marche notre système et effectuer les premiers tests de fonctionnement qui nous ont
donnés des résultats concluants.
Pour l’avenir le bagage technique développé au cours de cette expérience, nous a guidé adégagé plusieurs pistes
respectivement à savoir :
Le passage de la maquette vers une réalisation officielle.
Présentation du lieu
de stage
Historique de SOMIK
Situation géographique
Personnel
Ressources humaines
Activités opérationnelles
Domaine D’activités
Principales interventions
Introduction :
La SOMIK n’as cessé d’innover, de dynamiser la qualité de ces interventions par ces moyens est surtout par
ces hommes qui ont capitalisé une riche expérience acquise dans les unités industrielles (EST et SUD Algériens).
Les capacités matérielles de la SOMIK permettent de répondre aux besoins en maintenance industrielle des
complexes issus des hydrocarbures, pétrochimie bâtiments, de la sidérurgie et la transformation agroalimentaires.
Une garanti tant sur le respect des délais que sur la qualité.
Filiale de holding du groupe SONATRACH est une société de maintenance industrielle, crée le 05-05-1991, au
capitale sociale de 50.000.000DA détenu à part égale par la SONATRACH et la société de gestion de la zone
industrielle de Skikda implantée au niveau de la zone industrielle de Skikda depuis près de 12 a
La SOMIK a été créé entre deux entités économique : d’une part l’Entreprise de Gestion de la Zone Industrielle
de Skikda ex : EGZIK et d’autre part l’entreprise SONATRACH. Depuis, la SOMIK est devenue filiale à cent
(100℅) SONATRACH après une OPA
Notre situation géographique, au centre d’une zone industrielle en pleine Expansion représente un important
atout.
Le site SOMIK est implanté sur une superficie de 5H et situe à moins de 5 Km de la ville de Skikda.
1.3 Personnel :
appropriées.
d’investissements.
repartis par catégorie socioprofessionnelle entre employés cadre, agents de maitrise et d’exécution comme suit :
Instrumentation
Chaudronnerie industrielle
Electricité industrielle
Logistique et manutention
Charpente métallique
Isolation thermique
Sablage et peinture
Echafaudage
Prestations et arrêts
Etudes et engineering
Génie civile.
Echafaudage.
Logistique.
Usinage.
Electricité instrumentation.
Calorifugeage chaud-froid.
Charpente métallique.
Installation
Chaudières, bacs…etc.)
Isolation thermique
RA1K-GL1K-HELLISON-RA2K-GP1Z-GP2Z-GL1Z-GL2Z-RA1Z-GL3Z…
PROJET BOOSTING PHASE 111 travaux de « montage des structures en charpente métallique au profit de
SARPI
Réalisation de 3500 Tonnes de charpente métallique (entre pipe rack, hangars et abris) et de 10.000 m3 de panneaux
sandwich. Le projet comprend ainsi des travaux de génie civil (Montage, échafaudage, vérification topographique,
piquage et pose platine). Mais également l’assemblage et le montage des structures : Pipe racks et accessoires ;
plateforme et chemin d’accès ; colonnes/poteau : supports divers en acier ; bâtiments et Sheller en acier.
Travaux de réhabilitation de 27 stations de pompage ADE EL-TAREF :
Il s’agit de la réhabilitation de 27 stations de pompages devant desservir 14 localités de la wilaya EL-TAREF. Ces
travaux consistent à restaurer les équipements hors d’usage ou a trop faible débit pour les remettre à leur état normal
et parfois l’améliorer.
Figure l-3 : Organigramme Complexe
Figure l-4 : Organigramme du service Concerné
Conclusion :
Dans ce chapitre nous avons présente la société de maintenance industrielle de Skikda SOMIK son
organisation en sous-direction, départements, Nous avons présente aussi le service planification & suivis et énuméré
la tache de son personnel ainsi que le document utilise cela nous a permis de comprendre le mode de fonctionnement
La pénurie alimentaire est l'un des plus grands problèmes auxquels l'humanité est confrontée
une masse de terres substantielle disponible pour la culture. À fin de résoudre ce problème, les
pratiques en serre qui existent depuis très longtemps sont maintenant moderniséeset
consacré à l’état de l’art visant à présenter les serres et ses différents types, ainsi que les
équipements et outils qui nous permettent de contrôler et de gérer les paramètres climatiques.
Par définition, une serre est une structure plus ou moins fermée, qui protège une culture de
conditions climatiques défavorables, ou qui améliore ces conditions. Les serres peuvent êtrede
Elles ont en commun d'avoir des parois et/ou une couverture transparente qui laissent passer
la lumière nécessaire aux plantes. L'utilisation d'une serre permet de mieux gérer le climat-
température, lumière, l'eau et les apports d'engrais et de produits phytosanitaires, ainsi que la
qualité de l'air à l'intérieur de la serre. La culture peut y être faite dans le sol d'origine, mais
aussi (plus facilement qu'en extérieur) en hors sol, en hydroponique, en pots ou dans des sacs
de laine de roche.
Figure II.1: Exemple d’une serre agricole
2.1.2 Construction de la serre d’agrément
Les serres d’agrément se déclinent sous différentes formes et matériaux et leur choix n’estpas à
Verre horticole.
Le verre trempé.
Le polycarbonate alvéolaire.
Le polycarbonate transparent.
de production).
La solidité et la durabilité.
Polyhouse
Serre en plastique
2.2.2 Serres basées sur le coût :
Les serres sont un investissement basé sur la technologie. Plus le niveau de technologie utilisé
est élevé, plus le potentiel de conditions de croissance étroitement contrôlées est élevé.
Une proportion importante de l'industrie australienne utilise actuellement des structures àfaible
technologie. Ces serres mesurent moins de 3 mètres de hauteur totale. Les maisons tunnel,ou
"igloos", sont le type le plus courant. Ils n'ont pas de parois verticales. Ils ont une mauvaise
Ventilation. Ce type de structure est relativement peu coûteux et facile à monter. Peu ou pas
d'automatisation est utilisée [4]. Les serres à faible technologie ont des limites de production
etenvironnementales importantes
Les serres de niveau moyen sont généralement caractérisées par des murs verticaux de plus de
2 mètres mais de moins de 4 mètres de haut et une hauteur totale généralement inférieureà 5,5
mètres. Ils peuvent avoir une ventilation sur le toit ou les parois latérales ou les deux. Les
serres de niveau moyen sont généralement recouvertes d'un film plastique simple ou double
peau ou de verre et utilisent divers degrés d'automatisation. Les serres de niveau moyen offrent
un compromis entre coût et productivité et représentent une base économique et
productivité
2.3.3 Serres de haute technologie
Les serres de haut niveau ont une hauteur de mur d'au moins 4 mètres, le sommet du toit
pouvant atteindre 8 mètres au-dessus du sol. Ces structures offrent des performances culturales
sur le toit et peuvent également avoir des évents sur les parois latérales. Le revêtement peut être
un film plastique (simple ou double), une feuille de polycarbonate ou du verre. Les contrôles
considérablement réduite. Les structures de haute technologie offrent une vue généralement
l'agro-industrie [4].
Figure 5: Les serres de haute technologie offrent des performances de récolte supérieure
Si la serre peut rendre de grands services au jardinier, celui-ci doit pouvoir, cependant,
contrôler un certain nombre de paramètres. La température est l'un d'eux. Trop élevée ou trop
froide, cette dernière peut ralentir le développement des plantes cultivées à l'intérieur, voire les
L'été, l'atmosphère dans la serre peut vite se transformer en fournaise. L'objectif, pour le
jardinier, est de maintenir une température au-dessous de 35°C. Le premier réflexe à avoir est
d'ouvrir toutes les ouvertures (porte et fenêtres), voire de relever les côtés de votre serre tunnel,
si ceux-ci ne sont pas enterrés, pour faire circuler l'air. Il est donc important d'avoir au moins
La plupart des plantes que l'on place sous serre l'hiver sont celles qui ne supportent pas les
températures descendant en dessous de 0°C. L'objectif, à cette saison, est donc de protéger les
cultures du gel. Suivant le modèle de la serre et, notamment, le matériau utilisé pour sa
couverture, il est plus ou moins difficile de retenir le froid à l'extérieur et de garder le chaud à
l'intérieur [5].
2.4.3 L'isolation
bulle est un incontournable (les 3 couches semblent avoir le même pouvoir isolant qu'un
double vitrage).
2.4.4 Le chauffage
Selon la rusticité des plantes abritées, la mise en place d'un chauffage peut s'avérer utile (à
Les chauffages au pétrole ou au gaz ne demandent pas d'installation particulière, mais ont
tendance à apporter de l’humidité dans la serre. Le premier ne dispose pas de thermostat, il est
donc difficile de contrôler les variations de température, et dans les deux cas, il faut aérer
régulièrement. Les radiateurs électriques demandent, cela va de soi, un raccordement au réseau
électrique. Contrairement aux précédents, ils assèchent l'air ambiant et les thermostats les
rendent faciles d'utilisation. Certains radiateurs électriques sont munis d'un ventilateur qui
assure une bonne répartition de la chaleur dans la serre. Pour une petite structure, un
chauffage électrique à bain d’huile peut suffire [5].
Les niveaux d’humidité fluctuent en fonction de la température en serre, plus celle-ci est
2.4.6 Transpiration
De plus, les plantes transpirent ce qui rajoute de la vapeur dans la serre. En effet les plantesen
poussant, absorbent de l’eau par la racine et la rejettent sous forme de vapeur d’eau par leurs
En général, les plants cultivés en serre exigent une humidité entre 40 et 75% pendant leur
2.4.7.1.1.1.1.1 Toutes les plantes vertes ont besoin de lumière pour que le processus de
photosynthèse puisse se produire, mais l'intensité et la durée des besoins
diffèrent d'une espèce à l'autre. En général, les plantes à fleurs ont besoin de
deux fois plus de lumière que celles cultivées pour leurs feuilles. Les qualités
essentielles pour la lumière de la serre sont l’intensité reçue et sa durée.
L'intensité est déterminée par la force de la source lumineuse elle-même et sa
distance par rapport aux plantes [7].
avec le dioxyde de carbone (CO2) dans l'air et l'eau du sol. Au moyen de la photosynthèse,
ces éléments sont convertis en oxygène et en sucre. L'oxygène est rejeté dans l'air sous forme
de vapeur d'eau, tandis que le sucre est oxydé (brûlé) dans la plante pour lui fournir toute
Les avantages des lampes à LED ont une température de surface peu élevée. Cela veut dire
qu'on peut les placer directement dans le couvert d'une culture sans endommager les plants,
contrairement aux lampes SHP conventionnelles qui sont habituellement suspendues au-dessus
des cultures. En plaçant les lampes à LED à l'intérieur du couvert végétal, on permet à une plus
grande quantité de lumière d'atteindre les plants tout en assurant l'utilisation la plus efficace
possible de l'énergie. Les lampes à LED sont de 30 à 80 pour cent plus efficaces que les lampes
SHP [9].
2.4.8 Dégagement de gaz carbonique CO2
Les serres agricoles utilisent généralement du CO2 générateurs pour maximiser la production.
Quel que soit le type des plantes, le CO2 est un élément déterminant de la croissance. En
stimulant la photosynthèse, il accroit les rendements et augmente de façon significative la
qualité de la production. L’enrichissement de l’atmosphère en CO2 peut être effectue par le
rejet direct des produits de combustion de propane.
Le CO2 peut être obtenu par la combustion de carburants tels que le gaz naturel, le propane, le
kérosène ou encore directement à partir de réservoirs contenant du CO2 à l'état pur.Chaque
source a ses avantages et ses inconvénients.
2.4.9 L’irrigation
L’irrigation est une opération qui consiste à apporter artificiellement de l’eau à des végétaux
cultivés en utilisant une pompe pour permettre leur développement normal [12].
2.5.1 Motorisation
La motorisation intègre dans toutes ses aérations au faîtage ainsi que latérales divers systèmes
pour contrôleridéalement les variables climatiques internes de la serre. Elles sont munies d'un
d’un film plastique sur un tube axe [11]. La figure 8 représente la technique de motorisation.
2.5.2.1.1.1.1.1 L’extracteur est utilisé pour renouveler l'air dans la serre, et il est possible de
l'utiliser encombinaison avec les panneaux cooling « refroidissement » pour
réduire la température intérieure. Le logement du ventilateur et les venturis
sont fabriqués en tôle d'acier galvanisé résistante.
Les jalousies à ouverture automatique fabriquées en acier galvanisé pressé très résistant
produire de faibles niveaux de bruit et de vibrations, elle est disponible galvanisée, pré-laquée
Figure 9: Extracteur
2.5.3 Appareil de recirculation d'air
Les ventilateurs pour la recirculation de l'air ont une influence sur la qualité et l'homogénéité
combustion est simple. Il fonctionne selon le principe de combustion indirecte par échangeur
de chaleur, avec les gaz de combustion et le débit d'air complètement séparés. Les gaz de
combustion sont expulsés de la serre par la cheminée. Il dispose d'un thermostat à double
Le grand écran LCD avec ses menus détaillés fait de cet appareil un outil très simple à manier
malgré son grand niveau de sophistication ; c'est l'allié parfait si vous souhaitez tirer la
Une grande variété de capteurs de grande qualité avec toute la précision et la Fiabilité exigées
pour tous les éléments qui composent notre système de réglage climatique. Avec ces capteurs
Dans ce chapitre nous avons présenté une vue générale sur les serresagricoles, ainsi que les
paramètres climatiques nécessaires à la croissance des plantes et aussi les différents systèmes
Fournir un meilleur environnement agricole qui donne un bon rendement nécessite des
Suite à notre étude théorique et relative au plan pratique nous nous sommes engagés à restituer une étude de
faisabilité. Dans ce chapitre, nous présenterons les différents composantset logiciels que nous utiliserons pour
réaliser notre projet. Cette étude est inspirée des solutionstechniques existantes utilisées dans ce domaine et vise à
répondre aux besoins et aux exigences
dont les fonctions de services à assurer.
Un système automatisé est un ensemble d’éléments qui effectue des actions sans intervention de l’utilisateur: c’est
Visant le personnel : Améliorer ses conditions de travail en supprimant les tâches lesplus pénibles et en
augmentant la sécurité;
Visant le produit : Améliorer sa faisabilité, sa qualité par rapport au cahier descharges, sa fiabilité dans le temps;
Visant l'entreprise : Améliorer sa compétitivité (en diminuant les coûts de production), sa productivité, la qualité
Un système automatisé est composé de deux parties principales : la partie opérative et la partie commande ; à
Les interfaces d’entrée qui transforment les informations issues des capteurs placés sur la
Les interfaces de sortie qui transforment les informations élaborées par l’unité de traitement
eninformations de nature et d’amplitude compatibles avec les caractéristiques technologiques
des pré actionneurs d’une part, des visualisations et avertisseurs d’autre part ;
les ordres destinés aux actionneurs en fonction des informations reçues des différents capteurs
et du fonctionnement à réaliser.
Le modèle UNO de la société ARDUINO est une carte électronique dont le cœur est un
microcontrôleur ATMEL de référence ATMega328. Le microcontrôleur ATMega328 est un
microcontrôleurde la famille AVR dont la programmation est réalisée en langage C. Cette
carte sera utilisée comme un microcontrôleur de base pour notre station de base.
Figure II.2 : la carte Arduino UNO
. Pourquoi Arduino :
Il y a de nombreuses cartes électroniques qui possèdent des plateformes basées sur desmicrocontrôleurs
disponibles pour l'électronique programmée. Tous ces outils prennenten charge les détails compliqués de la
programmation et les intègrent dans une présentation facile à utiliser. De la même façon, le système Arduino
simplifie la façon de travailler avec les microcontrôleurs tout en offrant personnes intéressées plusieurs avantages
cité comme suit :
Le prix (réduits) : les cartes Arduino sont relativement peu coûteuses Comparativement aux autres plates-
formes. La moins chère des versions du module Arduino peut être assemblée à la main, (les cartes Arduino
préassemblées coûtent moins de 2500 Dinars).
Multi plateforme : le logiciel Arduino, écrit en JAVA, tourne sous les systèmes d'exploitation Windows,
Macintosh et Linux. La plupart des systèmes à microcontrôleurs sont limités à Windows.
Logiciel Open Source et extensible : le logiciel Arduino et le langage Arduino sont publiés sous licence
open source, disponible pour être complété par des programmateurs expérimentés. Le logiciel de programmation
des modules Arduino est une application JAVA multi plateformes (fonctionnant sur tout système d'exploitation),
servant d'éditeur de code et de compilateur.
Matériel Open source et extensible : les cartes Arduino sont basées sur les Microcontrôleurs Atmel ATMEGA8,
ATMEGA168, ATMEGA 328, les schémas des modules sont publiés sous une licence créative Commons, et les
concepteurs des circuits expérimentés peuvent réaliser leur propre version des cartes Arduino, en les complétant et
en les améliorant. Même les utilisateurs relativement inexpérimentés peuvent fabriquer la version sur plaque
d'essai de la carte Arduino, dont le but est de comprendre comment elle fonctionne pour économiser le coût.
Les signaux d'entrée / sortie du microcontrôleur ATMega328 sont reliés à des connecteursselon le
schéma ci-dessous :
. Alimentation
La tension de fonctionnement de la carte Arduino UNO est de 5V et son courant maximaldisponible par broche
entrée / sortie est de 40 mA. Elle peut être alimentée soit via la
connexion USB (qui fournit 5V jusqu'à 500mA) soit à l'aide d'une alimentation externe.
L'alimentation externe (non-USB) peut être soit un adaptateur secteur (pouvant fournir typiquement de 3Và 12V
sous 500mA) ou des piles (9V). La carte peut fonctionner avec une alimentation externe de 6 à 20 volts
programme
Une telle carte d’acquisition qui se base sur sa construction sur un microcontrôleur doitêtre dotée d’une interface de
programmation comme est le cas de notre carte.
L'environnement de programmation open-source pour Arduino peut être téléchargé gratuitement(pour Mac OS X,
Windows, et Linux).
L’environnement de la programmation
Le logiciel de programmation de la carte Arduino sert d'éditeur de code (langage proche duC). Une fois, le
programme tapé ou modifié au clavier, il sera transféré et mémorisé dans la carte àtravers de la liaison USB. Le
câble USB alimente à la fois en énergie la carte et transporte aussi l'information ce programme appelé IDE
Arduino.
Structure de l’ArduinoIDE
Comme n’importe quel langage de programmation, une interface souple et simple est exécutable sur n’importe quel
système d’exploitation Arduino basé sur la Programmation en C.
A
B
A : Barre de menus
B : Barre d'outils (raccourcis les plus utiles de fonctions se trouvant dans les menus) : Vérifier le
code | Téléverser le code dans le microcontrôleur | Nouveau code | Ouvrir | Enregistrer |Moniteur
série (permet d'afficher des messages textes reçus de la carte Arduino et/ou d'envoyer des caractères
vers la carte Arduino).
C : Zone d'écriture du programme
D : Zone de notification lors du téléversement où sera indiqué cequi se passe et les éventuels
messages d'erreur
E : Barre de notification du port de communication employé (utile si on utilise plusieurs Arduino).
(À la découverte de l'Arduino,2015)
Description du programme Arduino
3.3.1.1.1.1.1 Un programme Arduino est une suite d’instructions élémentaires sous forme textuelle (ligne par
ligne). La carte lit puis effectue les instructions les unes après les autres dans l’ordre défini par les
lignes de codes.
Coloration syntaxique
Lorsque du code est écrit dans l'interface de programmation, certains mots apparaissent en différentes couleurs
qui clarifient le statut des différents éléments :
En orange, apparaissent les mots-clés reconnus par le langage Arduino commedes fonctions existantes.
Lorsqu'on sélectionne un mot coloré en orange et qu'on effectue un clic avec le bouton droit de la souris, l'on a la
possibilité de choisir « Findin reference » : cette commande ouvre directement la documentation de la fonction
sélectionnée.
En bleu, apparaissent les mots-clés reconnus par le langage Arduinocomme des constantes.
En gris, apparaissent les commentaires qui ne seront pas exécutés dans le programme. Il est utile de bien
commenter son code pour s'y retrouver facilement oupour le transmettre à d'autres personnes. L'on peut déclarer
un commentaire de deux manières différentes :
dans une ligne de code, tout ce qui se trouve après « // » seraun commentaire.
l'on peut encadrer des commentaires sur plusieurs lignesentre
« /* » et « */ ».[]
Une simple manipulation enchaînée doit être suivie afin d’injecter un code vers lacarte Arduino via le port USB.
7. On alimente la carte soit par le port USB, soit par une source d’alimentation autonome
8. (pile 9 volts par exemple).
commande;
Des capteurs qui informent la partie commande de l'exécution du travail. Ils existent sousdifférents types
comme :
3.3.2.1 Capteur d’humidité DHT11
Le capteur DHT11 (Figure II.2) fournit une information numérique proportionnelle à la température et l'humidité
mesurée. Il est constitué d’un capteur de température à base de thermistances CTN, d’un capteur d’humidité
résistif et un microcontrôleur qui s’occupe de faire
les mesures, de les convertir et de les transmettre. Il s’interface grâce au protocole OneWire qui permet de
transmettre et de recevoir des données sur un seul fil [28]. Cette technologie utilisée par le capteur DHT11
garantie une grande fiabilité, une excellente stabilité à long terme et un temps de réponse très rapide.
Dimensions: 12x15.5x5.5mm
3.3.2.3 La photorésistance
La photorésistance (Figure. II.8) est un dipôle dont la résistance dépend de la lumière qu’il reçoit. La partie
sensible du capteur est une piste de sulfure de cadmium en forme de serpent : l’énergie lumineuse déclenche une
augmentation de porteurs libres dans ce matériau, de sorte que sarésistance électrique diminue a priori.
Avantage :
Capteur sensible.
De faible coût.
Inconvénients :
Non linéaire.
La vitesse de variation de la
résistance avec l'éclairement est faible et non symétrique.(Temps de montée de l'ordre de 35 ms et temps de
descente de l'ordre de 10 ms).
Principe de fonctionnement :
Un cristal de semi-conducteur à température basse contient peu d'électrons libres. La conductivité du cristal est
très faible, proche de celle d'un isolant. Lorsque la température du cristal augmente de plus en plus d'électrons qui
étaient immobilisés dans les liaisons covalentes s'échappentet peuvent participer à la conduction. A température
constante si le même cristal semi- conducteur est soumis à une radiation lumineuse, l'énergie apportée par les
photons peut suffire à libérer certains électrons utilisés dans les liaisons covalentes entre atomes du cristal. Plus
le flux lumineux sera intense, plus le nombre d'électrons disponibles pour assurer la conduction sera grand,ainsi la
résistance de la photorésistance est inversement proportionnelle à la lumière reçue [35].
3.3.2.4 Servomoteur
A noter bien qu’il ne s’agit pas de cerveau, mais de servo (Figure II.5). Ce mot vient du mot latin « Servus », qui
signifiait esclave. Alors un servo moteur est un moteur esclave. En effet, car quand on lui commande de se
mettre à une position précise, il se positionne puis il ne bouge plus. C’est un dispositif typiquement utilisé en
modélisme pour, par exemple, contrôler la direction d’unevoiture télécommandé. Il a une rotation de 0° à 180°
[32].
Poids 9 g
Dimensions 22.2 x 11.8 x 31 mm approximativement
Couple de décrochage 1.8 kg·cm
Vitesse de fonctionnement 60°/0.1S
Tension de fonctionnement 4.8 V (~5V)
Gamme de température 0 ºC – 55 ºC
Constitution :
Potentiomètre joue le rôle d’un capteur, car c’est une résistance variable en fonction del’angle,
ce qui permet de mesurer l’angle de rotation sur l’axe de sortie, voir figure II.6
Quand on demande au servomoteur de se placer à une certaine position grâce à un code que
nous verrons plus tard, le moteur électrique va tourner et entraîner son train d’engrenages qui
va faire tourner l’axe du servomoteur. À cet axe est lié un potentiomètre qui tourne au
même temps et récupère de manière électrique la position de rotation du servomoteur, il la
compare à la demandeet ajuste la position en envoyant des ordres au moteur qui est son esclave
(ce n’ai pas le potentiomètrequi envoie des ordres mais un petit circuit électronique contenu
dans le servo moteur), du coup notreservomoteur maintient sa position [32].
Il suffit d’envoyer une impulsion et c’est le temps que durera cette impulsion qui déterminera
l’angledu servomoteur. Ce temps d’impulsion est de l’ordre de quelques millisecondes et
doitêtre répétéà un intervalle régulier (toutes les 20ms à 50ms). Le temps d’impulsion varie
d’un fabricant à l’autremais en générale c’est :
1 ms 0 degré
1.5ms 90 degrés
2 ms 180 degrés
Une pompe est un dispositif permettant d'aspirer et de refouler un fluide, il existe une panoplie de pompes
adaptées à chaque besoin, le choix d’une pompe s’effectue toujours selon son usageet la détermination des
paramètres de performances Pour notre système d'irrigation,nous avons besoin d’une pompe d’arrosage, c’est
l’organe qui fournit au sol l’eau dont les plantes ont besoin pour garder l’humidité du sol au niveau de la
consigne. Pour notre prototype, nous avons utilisé Mini Pompe à Eau Moteur à Engrenages RS-360SH (Figure
II.9), alimentée parune source de tension 12v.
Propriétés de la pompe :
La pompe à eau est auto-amorçant, elle peut être montée au-dessus du réservoir, peutêtre séchée sans
dommage.
Le sens de rotation peut être changé afin que l'entrée et la sortie soientinterchangeables.
L'alimentation 5-12V 2A comme le support de batterie ou l'ordinateur USB est recommandée pour un
long travail.
La pompe utilise un moteur haute qualité RS-360SH et la plage de levage maximalepeut atteindre
1,5mètre.
3.3.2.6 L’extracteur
Les extracteurs (Figure II.10) servant à extraire l’air chaud et humide d’une serre pour forcer la circulation de
l’air afin de contrôler certains paramètres essentiels au bon fonctionnement de la serre tels que la température,
l'humidité, ou les concentrations de gaz, au voisinage des consignes choisies. Dans la réalisation de notre
prototype, nous avons utilisé un ventilateur d’alimentationde PC.
3.3.2.7 . Le relais
Un relais (Figure II.11) est un commutateur électrique qui peut être activé ou désactivé, laissant le courant
passer ou non, et pouvant être contrôlé avec des tensions faibles. Un relais
électromécanique est doté d’un bobinage en guise d’organe de commande. La tension appliquée à ce bobinage va
créer un courant, ce courant produisant un champ électromagnétique à l’extrémité dela bobine. Ce champ
magnétique va être capable de faire déplacer un élément mécanique métalliquemonté sur un axe mobile, qui
déplacera alors des contacts électriques.
Grace à cela, vous pouvez contrôler un circuit de haute tension a basse tension, disons 5V sur lecontrôleur. Il y a
un voyant sur la carte lorsque les terminaux contrôlés se ferment.
C : broche commune
NC (normalement fermé): la configuration normalement fermée est utilisée lorsque vous souhaitez que le relais
soit fermé par défaut, ce qui signifie que le courant circule sauf si vous envoyez un signal de l'Arduino au
module de relais pour ouvrir le circuit et arrêter le courant.
NO (normalement ouvert): la configuration normalement ouverte fonctionne dans le sens inverse: le relais est
toujours ouvert, le circuit est donc coupé sauf si vous envoyez un signal de l'Arduino pour fermer le circuit.
3.3.2.8 Afficheur LCD_ I2C
L'écran LCD (Figure II.12) contient des cristaux liquides capables de modifier leur orientation en fonction d’une
tension appliqué, et de joue ainsi plus ou moins sur l’incidence de la lumière. L’affichage à cristaux liquides
nécessite des données dans un format de série et également une alimentation 5V.
I2C est un bus série permettant de transmettre des informations de façon asynchrone entre divers circuits
connectés sur le bus. Le protocole de la liaison est du type MAITRE/ESCLAVE. Chaque circuit est
reconnu par son adresse et peut être soit transmetteur soit receveur de l'information [36].
Notre écran LCD_I2C 16*2 (Figure II.13) utilise une interface de communication I2C, cela signifie qu’il
n’a besoin que de 4 broches pour l’écran : VCC, GND, SDA, SCL.
Figure III.13 : Afficheur LCD_I2C 16*2.
Conclusion
Dans ce chapitre, on s’est focalisé à détailler l'Arduino qui est le principal outil dans notre projet. Nous avons cité et
expliqué, ainsi, les accessoires nécessaires pour réaliser notre projet. Précisément, nous avons explicité les
interactions entre l’ordinateur et le monde extérieur via la carte Arduino qui nous permettra de géreret contrôler
un nombre important de capteurs et d’actionneurs pour faire plusieurs taches sans fournir le moindre effort.
On présentera les étapes de réalisation de notre prototype, ainsi que l’étude del’évolution des paramètres
climatiques de la serre dans le prochain chapitre.
4 Chapitre 4
Conception et test
De la serre
Simulation et test
Conclusion
Introduction
Après avoir décrire la partie matérielle de notre système, nous sommes arrivés à la partie la plus importante de
notre mémoire qui est la construction de la serre prototype, du montage de la structure jusqu’au placement des
capteurs et actionneurs. Ensuite nous allons présenter le cout de notre projet, En dernier lieu nous allons
interpréter les résultats des tests expérimentaux réalisés et obtenus avec et sans contrôle climatique
40 cm 40 cm 40 cm 40 cm 40 cm
o o
i i
t t
m
arrière
36
a) Étape 2 : Acquérir les matières premières
La première chose a été de rassembler les principaux matériaux. Ceux-ci où :
1. Deux planches en ……….avec une surface ………………………. cm².
2. .
3.
4.
b) Étape 3 : Construction de la base, les parois et les couvertures
Nous avons découpées 7 pièces en plexiglass que nous avons fixé sur la structure enaluminium, ces pièces
vont constituer la paroi externe de la serre (voir figure III.2)
37
Figure VI.2 : Notre serre après montage de la paroi.
les capteurs : DHT11, LM35, LDR, capteur d’humidité de sol ainsi capteur de flamme.
les actionneurs : l’éclairage, servo- moteur, pompe d’arrosage et extracteur. (voir figure
38
Figure III.3 : Montage des capteurs et actionneurs
39
4.1.2 Schéma électrique de la serre :
La figure VI. représente le montage réalisé à l’aide du logiciel Proteus, elle montre la disposition des différents
composants de la partie commande et leurs connexions, on a fait ce montage grâce a des bibliothèques qu’on a
téléchargé puis les ajouter dans le proteus.
On a remplacé des actionneurs qui ne s’en trouvent pas dans le proteus par d’autresactionneurs ou par des LED
40
Le DHT11 lit les valeurs d'humidité dans l'air et affiche ces valeurs sur l'écran. - Le programme compare la
valeur lue avec l'instruction donnée par l'utilisateur. - Si la valeurlue est inférieure à la valeur définie, rien
ne se passera. - Si la valeur lue est supérieure à lavaleur définie, le toit de la serre sera ouvert par le
servomoteur pour refroidir la zone à l'intérieur de la serre. - Le LDR lit la valeur lumineuse exposée sur la serre.
- Si la valeur lue est supérieure à 300 lux, il ne se passera rien. - Si la valeur lue est inférieure à 300 lux, le
voyant s'allume. - Le capteur lit la valeur d'humidité du sol. - Si la valeur lue est inférieure à 78%, rien ne se
passera. Si la valeur lue est supérieure à 78 %, la pompe à jet s'allume
41
4.1.3 Partie commande
Lecture des
entres
Affichage des
données sur
l’afficheur
Valeur<
Le DHT11 lit les valeurs d’humidité dans l’aire puis les valeurs sont affichées surl’afficheur.
Le programme va comparer les valeurs lues avec la consigne donnée par l’utilisateur.
Si la valeur lue est supérieure à la consigne le toit de la serre va s’ouvrir par l’intermédiaire d’un
servomoteur pour rafraîchir l’aire a l’intérieure de la serre.
42
4.1.3.2 Organigramme de LDR
Lecture des
entres
Valeur
Allumage
de la
lampes
43
4.1.3.3 Organigramme de capteur d’humidité de sol
44
Lecture des
ent
res
Lecture des
entres
Val
Allumage
de la
pompe
La figure III.10 présente l’organigramme générale du système tels que :T, L, H1, H2 représente les valeurs lues
fixes par chaque capteur.
V1 représente la consigne de température mise par l’utilisateur et sera comparer avecla valeur lue par capteur
LM35.
V2 représente la consigne d’humidité mise par l’utilisateur et sera comparer avec lavaleur lue par capteur
DHT11.
45
Figure VI.10 : Organigramme générale de la serre intelligente
46
4.1.4 PROGRAMME DE LA SERRE
#include <EEPROM.h>
47
#include <dht.h>
#include <LiquidCrystal_I2C.h>
LiquidCrystal_I2C lcd(0x27, 16,
2);dht DHT;
#include <Servo.h>
#define DHT11_PIN
2
#define ventilateurPIN 4
#define DHTTYPE
DHT11
int digitalPin1 =
4;int led= 13;
const int LDR = A0; // Broche d'entrée analogique sur laquelle le LDR est
fixéint valeur = 0; // valeur lue du LDR
int relai = 8; // Broche de sortie numérique pour la commande du
relaivoid setup() {
myservo.attach(serv);
{lcd.init();
lcd.clear();
lcd.backlight()
;
48
pinMode(
ledpinpinMode(ledpin1,OUTPUT
);
pinMode(ventilateurPIN,OUTPU
T);dht begin();// initialize the
sensor
{
pinMode(digitalPin,
OUTPUT);
digitalWrite(digitalPin,
LOW);
}
pinMode (relai, OUTPUT); // Définir la broche "relai" comme étant une sortie
pinMode(LDR, INPUT); // Définir la broche "LDR" comme étant une entrée
Serial.begin(9600); // initialise les communications série à 9600 bps
}
void loop() {
DHT.read11(DHT11_PIN);
int current_temp =
DHT.temperature;int
current_humi = DHT.humidity;
lcd.setCursor(0, 0);
lcd.print("Temp: ");
lcd.print(current_temp);
49
lcd.print(current_humi);
lcd.print("%");
delay(1000);
} else { // sinon
digitalWrite(digitalPin, LOW);//La //La pompe à eau arrête l'arrosage
}
delay(100);
Serial.print("
");if (valeur >
100)
{
digitalWrite (relai, LOW); // La lampe s'éteint
Serial.println("C'est lumineux à l'extérieur => Mode
jour");
50
else
{
digitalWrite (relai, HIGH); // La lampe s'allume
Serial.println("Il fait sombre à l'extérieur => Mode
nuit");
}
delay(2000); //attendre 200 millisecondes avant la prochaine boucle
}
51
4.2 coût de projet
Nous avons fait une étude financière de fabrication de la structure ainsi les équipements
intérieurs et extérieurs de la serre, afin d’estimer le prix globale de notre prototype.
52
plexigl
ass
(estain+ 1500
ruban
adhésif+
…)
Lampe rgb 30 03 90
led
Total 2050
0
53
Conclusion
Dans ce chapitre, nous avons présenté en détail la réalisation de notre projet. Nous avons commencé par montage
de la structure et l’installation des capteurs et actionneurs. Ensuite, Nous décrivons le fonctionnement de la serre
par a un organigramme fonctionnel qui décrit le fonctionnement global de notre système. Enfin, nous avons
conclus ce chapitre avec des résultats obtenus durant des tests présenté sous forme des graphes.
54
Conclusion
générale
Dans le cadre de ce projet tutoriel, nous nous sommes intéressées à la conception et au développement d’un
système électronique. Au cours de la période d’élaboration du projet, nous avons essayé d’atteindre l’objectif
attendu : suivre les variations des paramètres ayant uneffet direct sur la plante en général.
Nettement ce projet, nous a permis d’approfondir nos connaissances théoriques et d’acquérir une certaine
expérience au niveau de la réalisation pratique. Nous avons eu l’occasion d’étudier, de concevoir et d’utiliser une
diversité de matériels et logiciels et appliquer notre savoir et savoir-faire acquis lors de notre formation. L’intérêt
accordé à notre système réside dans le fait qu’il peut être amélioré. L’électronicien est un domaine très vaste,
pour cela notre système de surveillance pourrait en effet gagner plus d’intelligence et de l’interopérabilité. Dans
notre cas, on peut utiliser plus qu’un seul capteur pour contrôler l’humidité et la température dans les serres. En
option, ce système peut être équipé par un moteur alternatif pour déclencher une ventilation dans la serre dans
le cas où la température atteint la valeur maximale.
Bibliographie