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Remerciement
Nous tenons à remercier dans un premier temps, toute l’équipe
pédagogique de l'école supérieure de technologie et les intervenants
professionnels responsables de la formation génie électrique.
Avant d’entamer ce rapport, nous profitons de
l’occasion pour remercier tout d’abord notre professeur
Monsieur tariq riouch qui n’a pas cessé de nous encourager
pendant la durée du projet, ainsi pour sa générosité en
matière de formation et d’encadrement. Nous le remercions
également pour l’aide et les conseils concernant les missions
évoquées dans ce rapport, qu’il nous a apporté lors des
différents suivis, et la confiance qu’il nous a témoigné.
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SOMMAIRE
DEDICACE……………………………………………………………………………………………………………………………………………….2
REMERCIEMENT…………………………………………………………………………………………………………………………………….3
SOMMAIRE ……………………………………………………………………………………………………………………………………………4
INTRODUCTION ……………………………………………………………………………………………………………………………….……6
4
2. LE STOCKAGE CHIMIQUE ................................................................................................................ 38
3. LE STOCKAGE ELECTRIQUE.............................................................................................................. 41
4. LE STOCKAGE THERMIQUE.............................................................................................................. 47
REFERENCES………………………………...............................................................................................................51
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Introduction
Le stockage de l'énergie consiste à mettre en réserve une quantité
d'énergie provenant d'une source pour une utilisation ultérieure. Il
est nécessaire pour valoriser avec efficacité les énergies
renouvelables et propres lorsqu'elles sont intermittentes, telles que
l'énergie éolienne et l'énergie solaire. Stocker de l'électricité
permet ainsi de stabiliser les réseaux énergétiques et de lisser les
irrégularités de production/consommation dans le contexte de
développement des énergies renouvelables, particulièrement sur
les sites insulaires ou isolés.
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Chap.1 Les types des systèmes
autonomes de production
d’énergie électrique
1 Les énergies renouvelables
Les énergies renouvelables sont des sources d'énergie dont
le renouvellement naturel est assez rapide pour qu'elles
puissent être considérées comme inépuisables à l'échelle du
temps humain.
L’énergie solaire
L’énergie éolienne
L’énergie hydraulique
La géothermie
La biomasse
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1.1.3 Le procédé solaire thermique :
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Figure 4 : exemple d’une éolienne
Le mât
L'hélice
La nacelle qui contient l'alternateur producteur
d'électricité
Les lignes électriques qui évacuent et transportent
l'énergie électrique (lorsqu'elle est raccordée au réseau)
Le rotor est situé au bout d'un mât car les vents soufflent plus fort
en hauteur. Suivant le type d'éoliennes, le mât varie entre 10 et
100 m de haut.
b. La production d'électricité
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Grâce à l'énergie fournie par la rotation de l'axe, l'alternateur
produit un courant électrique alternatif.
c. L'adaptation de la tension
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Chute de grande hauteur : plus de 300 m. On utilise
des turbines PELTON.
Chute de moyenne hauteur : de 15 m jusqu’au 300 m.
On utilise des turbines FRANCIS moyenne et rapide.
Chute de petite hauteur : moins de 15 m. On utilise des
turbines FRANCIS de très grande vitesse, d’hélice et
KAPLAN
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Figure 6 : système de production d’énergie hydraulique
1.4 La géothermie :
La pompe
L'usine qui produit l'électricité
Les lignes électriques qui la transportent
13
Figure 7 : système de production d’énergie géothermie
1.5 La biomasse
1.5.1 Définition :
L’énergie issue de la biomasse est une source d'énergie
renouvelable qui dépend du cycle de la matière vivante végétale et
animale.
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Les déchets sont d'abord transformés en un biogaz, par
fermentation grâce à des micro-organismes (bactéries). Le biogaz
est ensuite brûlé. Ce biogaz est proche du gaz naturel et
majoritairement composé de méthane. Cela concerne les déchets
ménagers, le fumier et lisier d'animaux, les boues de stations
d'épuration, les papiers et cartons…
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2 Les systèmes autonomes de
production d’énergie
Systèmes autonomes de production d’énergie sont des
systèmes de génération d’électricité utilisent les sources
renouvelables locales (des panneaux photovoltaïques, des
éoliennes). L’électricité provenant des sources renouvelables est
intermittente, dépendante des conditions climatiques. Ces
générateurs renouvelables sont couplés à un système de stockage
assurant une disponibilité en continue d’énergie.
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Soleil :
Le soleil est une étoile qui met les rayonnements
électromagnétiques.
Le plus connu d’entre eux est le silicium cristallin qui est utilisé
aujourd'hui par 90% des panneaux produits dans le monde, mais il
existe de nombreuses autres technologies déjà industrialisées,
comme les couches minces, ou en phase de recherche.
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3 - Mais il est aussi possible de récupérer cette énergie sous
forme électrique. L'électron excité forme avec le « trou » qu'il
laisse au niveau inférieur une paire « électron-trou ».
Phénomène d’électron-trou
Les électrons et les trous sont des charges de signes opposés (-q
; +q). Les cellules photovoltaïques sont des jonctions PN, faites en
associant un semi-conducteur de type n avec un semi-conducteur
de type p, comme le silicium dopé phosphore et le silicium dopé
bore. Soumises à un champ électrique dans une jonction PN
branchée sur un circuit extérieur, les paires électrons-trou vont se
séparer et les électrons excités vont se mettre en mouvement
dans une direction particulière : un courant électrique est créé.
Le régulateur de charge :
1. Pourquoi le Régulateur Solaire PV ?
Le régulateur de charge dans un système photovoltaïque familial
et le composant de jonction entre le générateur solaire, la batterie
de stockage et les consommateurs intervenant dans le système. Il
a pour rôle de protéger la batterie contre les surcharges et les
décharges profondes et assure de ce fait et le mieux possible le
bon fonctionnement de la batterie ainsi que la gestion du système
autonome solaire PV
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Les régulateurs shunts.
Synoptique :
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Figure 13 : schéma synoptique du régulateur de charge série à base des relais
20
2.2 Régulateur Shunt :
Batterie :
Disjoncteur :
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Le rôle du disjoncteur différentiel est de protéger un circuit
électrique d’une surcharge de courant et de court-circuit subite.
Onduleur :
Un onduleur solaire pour site isolé a pour fonction principale de
convertir une tension continue comme celle d'une batterie en
tension alternative semblable à celle du réseau électrique
domestique 230V.
En partant d'un parc batterie en 12V, 24V ou 48V on obtient une
tension de sortie alternative sinusoïdale, 230V alternative en
monophasé et 400V alternative en triphasé sous une fréquence de
50Hz.
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Figure 16 : Eolienne qui fonctionne à plein régime.
Un aérogénérateur (l'éolienne)
Un régulateur de charge (pour assurer le contrôle du
chargement et du déchargement de l'accumulateur)
Un système de stockage (accumulateurs/batteries)
Des câbles électriques
Un onduleur
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ne fonctionne pas par manque de vent ou lorsque celui-ci est trop
fort, la batterie alors chargée peut alimenter les appareils
électriques.
Les éoliennes domestiques :
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un lotissement ou que l'on soit isolé dans la campagne. Les
éoliennes à axe horizontal sont les plus fréquemment retrouvées
car elles s'adaptent beaucoup mieux à des zones de vents
irréguliers que les éoliennes à axe vertical.
Gamme de puissance en W
100W
200W
300W
400W
600W
750W
1000W (1kW)
2000W (2kW)
3000W (3kW)
5000W (5kW)
10000W (10kW)
20000W (20kW)
Tableau 1 : Gamme de puissance des éoliennes domestiques[1]
25
Figure 19 : Eolienne individuelle à deux pales pour maison isolée
26
Le mât, également nommée la tige, dont la taille maximale
est généralement de 12 mètres de hauteur pour les
éoliennes domestiques ;
27
L'alternateur plus récent est à stator interne et rotor
externe, c'est-à-dire que le corps de l'alternateur est en
rotation alors que le stator reste fixe au sein du tunnel
formé par le rotor (outrunner).
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Machine Asynchrone (MAS) : le générateur asynchrone
nécessite de tourner à une certaine vitesse (quelques
centaines de tours/minute) pour produire du courant, ce qui
implique la nécessité pour une éolienne d'y adjoindre un
démultiplicateur (boîte de vitesse automatique) afin de
démultiplier le nombre de tours de l'axe des pales par vent
faible avant de transmettre le mouvement à l'axe du
générateur. Si la fréquence du courant est stable et ne
requiert pas de régulateur de fréquence, c'est la boîte de
vitesses qui requiert une maintenance.
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Chap.2 La problématique du
stockage de l’électricité :
1. Le stockage d’électricité, une
problématique importante et très
complexe
Avec le développement de la capacité de production d’électricité
à partir d’énergie solaire et éolienne dont la disponibilité est
intermittente et en partie aléatoire, le stockage est devenu une
composante plus cruciale que jamais du système électrique.
Mais l’électricité n’est stockable en tant que telle que pour des
quantités limitées et des usages très spécifiques. Elle doit donc
être stockée sous forme d’énergie mécanique, thermique,
chimique ou électrochimique, dans des installations qui incluent
des convertisseurs en compléments des moyens de stockage
proprement dits.
Les caractéristiques techniques clés d’une installation de
stockage d’électricité sont la capacité (quantité maximale
d’énergie qui peut être emmagasinée et restituée), la puissance
(débit) et la durée de charge ou décharge, le nombre de cycles
de charge/décharge qu’il peut supporter, ainsi que le rendement
(quantité d’électricité restituée, rapportée à la quantité prélevée).
Le délai de réaction est également crucial pour les applications
de stabilisation du réseau.
30
Figure 21 : les différentes technologies de stockage en fonction de leur puissance et
du temps de décharge (autonomie)
31
De ce point de vue, la forte variabilité du prix de marché en
temps réel qui a découlé du recours accru aux énergies
renouvelables intermittentes crée des conditions
potentiellement favorables pour la rentabilité des moyens de
stockage à cycle court.
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l’évolution des besoins de la consommation, sinon la fréquence
et la tension électrique sont perturbées.
Les conséquences peuvent conduire à des
dysfonctionnements d’appareils, voire à des coupures
d’électricité. Lorsque la production est supérieure à la
consommation on rétablit l’équilibre en stockant de l’énergie
et réciproquement lorsque la production est inférieure à la
consommation on rétablit l’équilibre en puisant dans les
moyens de stockage.
Deuxièmement, le stockage assure une fonction de secours.
L’arrêt non programmé d’un réacteur nucléaire, une rupture de
ligne ou encore un incendie de transformateur sont les causes
de défaillances du réseau électrique qui doivent être palliées
quasi instantanément par la mise en service de moyens de
production de secours.
Enfin, le stockage permet l’intégration dans le réseau de
sources d’énergies intermittentes.
Même si les prévisions météorologiques permettent d’anticiper les
niveaux de production de l’éolien et du photovoltaïque, il y a des
moments d’excédent de production. En l’absence de moyens de
stockage cette production serait perdue. Parallèlement, lors d’une
insuffisance de production les réserves stockées seront restituées,
on évite ainsi le recours à d’autres sources de production
polluantes (thermique à flamme ou nucléaire).
La disponibilité de moyens de stockage régularisant l’offre et la
demande devrait aussi limiter les fluctuations du prix de
l’électricité.
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Chap.3 Les différentes
technologies de stockage
d’électricité
1. Le stockage mécanique
Cette catégorie regroupe les voies les plus connues de
stockage à grande échelle, les STEP et les CAES. Elle inclut
aussi les volants d’inertie, les accumulateurs hydrauliques, et
plus généralement tout type de stockage d’énergie potentielle
ou cinétique.
1.1 Les STEP [stations de transfert d’énergie par
pompage]
Les Stations de Transfert d’Energie par Pompage sont des
installations constituées de réservoirs d’eau positionnés à des
altitudes différentes et d’un dispositif de pompage réversible
permettant le transfert de masses d’eau entre ces réservoirs, et
ainsi d’exploiter de façon réversible leur énergie potentielle.
34
Figure 22 : principe d’une STEP
35
Compte tenu de ce fonctionnement très particulier, le rendement
est très médiocre.
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puissance, la variation de la vitesse étant à la base du
fonctionnement.
Le volant est guidé par des paliers sur un axe souvent vertical.
L’utilisation de paliers magnétiques permet des vitesses très
élevées ainsi qu’un centrage naturel sur l’axe d’inertie, évitant les
balourds, mais il s’agit d’une solution coûteuse encore peu
répandue.
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Figure 25 : exemple du stockage d’énergie électrique à volant d’inertie
2. Le stockage chimique
2.1 Le stockage par hydrogène
Le stockage d’électricité via l’hydrogène consiste à associer un
électrolyseur pour convertir l’électricité en hydrogène, un dispositif
de stockage d’hydrogène et une pile à combustible pour la
conversion en électricité de l’hydrogène et de l’oxygène récupéré
lors de l’électrolyse ou pris dans l’air. Les tensions appliquées par
cellule de l’électrolyseur sont de l’ordre de 2 V, ce qui est
supérieur à la tension théorique réversible de 1,23 V, le rendement
théorique d’électrolyse est dont de l’ordre de 62%. Le procédé
alcalin est le plus mature, cependant le procédé électrolyte
membrane polymère échangeuse de protons (PEM), bien que plus
coûteux (catalyseurs en platinoïdes), tend à se généraliser. En
effet, aucun électrolyte circulant n’est nécessaire, le système en
est simplifié, l’hydrogène est directement produit à haute pression
(plusieurs centaines de bar). Le rendement s’élève alors de 70 à
80% pour une densité de 1 A/cm².
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Figure 26 : Schéma de principe du stockage par hydrogène avec valorisations éventuelles
directes de l’hydrogène et des pertes de chaleur
39
2.2 Le stockage électrochimique
Le stockage électrochimique d’énergie est sans doute le plus
emblématique car il constitue la solution, de très loin la plus
utilisée, dans les applications embarquées et portables grâce à
ses performances en énergie massique. En effet, même si
elles peuvent être considérées comme faibles (de l’ordre de
100 Wh/kg) par rapport à celles d’un hydrocarbure liquide (de
l’ordre de 10 kWh/kg, soit 100 fois plus), il s’agit de la meilleure
performance parmi toutes les solutions de stockage réversible
d’énergie électrique. Dans le domaine stationnaire, les
batteries électrochimiques équipent également des installations
photovoltaïques isolées.
Et depuis une vingtaine d’années, elles permettent enfin d’offrir
des performances acceptables aux véhicules électriques
(véhicules électriques à batteries BEV et véhicules électriques
hybrides Plugin PHEV).
Les régimes en phase de charge ou décharge sont également
variables, les rapports capacité énergétiques à puissance
maximale varient de la minute (véhicule hybride) à la dizaine
d’heures (reports de charge) en passant par l’heure (véhicule
électrique).
De nombreuses technologies électrochimiques existent,
présentant diverses compromis performances/coût et une
maturité variable, citons, entre autres, les technologies
plomb-acide
nickel-cadmium (NiCd)
nickel-métal-hydrures (NiMH)
lithium-ion
sodium-soufre (haute température : 350°C).
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stockages de masse raccordés au réseau comme par exemple
pour les reports de charge journaliers, ou la continuité
d’alimentation de réseaux peu fiables.
La figure suivante montre le rapide développement du stockage
par batteries électrochimiques raccordées au réseau dans le
monde.
3. Le stockage électrique
1.1 Le stockage par super-condensateurs
Lorsqu’il s’agit de stocker et de restituer rapidement de l’énergie
électrique le super-condensateur est imbattable, avec des
applications dans les voitures et bus électriques, les trains et
trams, ....
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①-les collecteurs de courant
②-le charbon actif des
plaques
③-l'électrolyte
④-le séparateur
microporeux.
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Figure 29 : schématique d’un condensateur
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plus grande qu’il y a plus de charges accumulées sur les plaques
et que la tension entre ces plaques est plus élevée.
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Figure 30 : Schéma de principe du stockage à super-condensateurs
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1.2 Stockage a inductance super-conductrice
100 MW 75 - 80 20 – 30
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Avantages Inconvénients
Excellent temps de réponses Faible densité énergétique
Haut rendement Autodécharge
Durée de vie élevée
Ondes électromagnétiques
Charge et décharge rapide
4. Le stockage thermique
4.1 Stockage thermique par chaleur sensible
Le stockage par chaleur sensible a fait ses preuves depuis des
milliers d’années. Il s’agit par exemple du simple fait de poser une
pierre près d’un feu, de la déplacer et de profiter de la chaleur
qu’elle restitue dans le temps.
C’est aussi le principe que l’on retrouve dans l’utilisation d’un
ballon d’eau chaude ou d’une simple bouillote. Dans le cas d’une
centrale thermodynamique, il s’agit de stocker la chaleur
emmagasinée au cours de la journée d’ensoleillement.
Le fluide caloporteur (qui transporte la chaleur) circule jusqu’à un
échangeur thermique relié à deux réservoirs de sels fondus.
Les sels fondus froids passent à travers l’échangeur et
emmagasinent à leur tour la chaleur du fluide, ils sont ensuite
stockés dans un réservoir de sels chauds. Au coucher du soleil, le
circuit s’inverse et les sels chauds circulent, à travers l’échangeur,
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vers le réservoir à sels froids. La chaleur est ainsi cédée au fluide
caloporteur (autour de 500°) et permet d’alimenter une turbine
pour produire de l’électricité.
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Une installation classique consiste à mettre le MCP dans un grand
réservoir au milieu duquel passent des tubes pour transporter le
fluide caloporteur. Le MCP et le fluide peuvent être différents
suivant la production de chaleur qui lui est associée, et donc la
température ou quantité de chaleur que l’on souhaite stocker.
49
Conclusion
Cette étude a permis de mettre en évidence la problématique de la
gestion de l’énergie pour un système de stockage situé au niveau
du consommateur. Une stratégie de gestion optimale des flux
d’énergie permet de minimiser le surcoût du système et, peut-être
de le rentabiliser dans d’autres contextes économiques.
50
Références et bibliographie:
Tous les références utiliser durant cette étude seront abordée par suite :
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ALUMNI IFP SCHOOL
https://alumni.ifp-school.com/fr/revue/article/la-problematique-du-stockage-de-l-
electricite/11
https://www.science.lu/fr
https://www.science.lu/fr/electronique-electromobilite/comment-fonctionnent-les-
super-condensateurs#:~:text=Andr%C3%A9%20Mousset-
,Lorsqu'il%20s'agit%20de%20stocker%20et%20de%20restituer%20rapidement,m%C
3%A9moire%20vive%20statique%20(SRAM).
http://www.mytopschool.net
http://www.mytopschool.net/mysti2d/activites/polynesie2/ETT/C011/21/StockageE
nergie/Stockageainductancesupraconductr.html
Autre sources :
Cours de réseaux électriques M. Ghzizal.
Cours Équipement et schémas électriques M.A.FRI.
[1] : http://www.info-eolien.com/eoliennes-domestiques.html
[2] : https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_pumped-storage_hydroelectric_power_stations
[4] : http://www.mytopschool.net
http://www.mytopschool.net/mysti2d/activites/polynesie2/ETT/C011/21/StockageE
nergie/Stockageainductancesupraconductr.html
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