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1) i(t) est une fonction paire; sa série de Fourier ne présente donc que des termes en cosinus
T
i(t) présente une symétrie de glissement [i(t + 2 ) = –i(t)]; sa série de Fourier ne présente donc que des
harmoniques de rang impair.
i
2) fondamental
Î
0 t
50 2 40 2 24 ,8 2 9.92 2
3.1) I eff = + + + = 49 A ou :
2 2 2 2
1 mH 1 mH
L f L 3f
e(t) u1(t) + u3(t) + ...
i1 i3
⎛ π⎞
U 1 = E − jLω .I 1 ⇒ u1 ( t ) = 220. 2 .cos(100.π .t + 0 ,25 ) + 15 ,7. cos⎜ 100.π .t − ⎟
⎝ 2⎠
⎛ π⎞
U 3 = − jL.3ω .I 3 ⇒ u 3 ( t ) = 37 ,7. cos⎜ 300.π .t − ⎟
⎝ 2⎠
⎛ π⎞
U 5 = − jL.5ω .I 5 ⇒ u 5 ( t ) = 39.cos⎜ 500.π .t − ⎟
⎝ 2⎠
⎛ π⎞
U 7 = − jL.7ω.I 7 ⇒ u 7 (t ) = 21,8. cos⎜ 700.π .t − ⎟
⎝ 2⎠
⇒ u( t ) = u1 ( t ) + u 3 ( t ) + u 5 ( t ) + u7 ( t )
PowerElecPro – Corrigé de Chap6_exercice 1 - 2 -
u
400V 400V
u approximation à graphe réel et
l’harmonique 7 approximation à
l’harmonique 7
0 M
0
t t
On voit que la tension d'alimentation u(t) en entrée du variateur de vitesse est sensiblement déformée par le
courant i(t).
-2000
Ce problème illustre un phénomène réel mais dans une configuration fortement simplifiée par rapport à une
distribution électrique réelle (nombreuses mailles avec des courants harmoniques divers).