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Parcours: Electromécanique
Niveau: Ingénieur II
Année academique: 2022-2023
Présenté par:
(
V 1=220. √ 2. cos ( ωt ) , V 2=220. √ 2. cos ωt−
2. π
3 ), V 3=220. √ 2 .cos (ω+
2. π
3
)
Introduction
la commande d’une machine électrique nécessite des connaissances non seulement sur la
machine, mais aussi une étude approfondie de la théorique expliquant son fonctionnement
notamment sur ses grandeurs physiques et électriques qui sont les éléments permettant de savoir
comment pourra se comporter la machine à des instants donnés. Il est donc important de traduire
le fonctionnement théorique de la machine en équations électriques et mécaniques. La
modélisation a pour but de traduire le fonctionnement théorique de la machine en équations
électriques et mécaniques ; pour se faire plusieurs outils mathématiques peuvent être appliquées
pour modéliser les machines électriques.
Dans le cadre de notre étude nous aurons recours à la transformation de Park pour modélisaliser
la machine asynchrone.
La transformation e Park est l’une des outils mathématiques les plus utilisés pour modéliser des
machines électriques. Elle permet notamment de ramener le repère triphasé au repère monophasé
pour faciliter la commande de la machine.
Pour développer le modèle électrique de la machine, il est important de faire certaines
hypothèses simplificatrices soient prises en compte.
• On considère une machine asynchrone triphasé a cage d’écureuil.
• On néglige le phénomène de saturation du circuit magnétique
• On néglige les pertes fer de la machine
• On néglige l’effet de la température sur les résistances des enroulements
• On considère une distribution sinusoïdale des forces magnétomotrices.
I1
V 1=Rs . I 1−e
−d (Φ s )
e=
dt
d (Φ s )
V 1=Rs . I 1−
dt
Rs
s
vV 1 ee
Tapez une équation ici .
( )( )( ) ( )
V1 Rs 0 0 I1 Φ1
d
V 2 = 0 Rs 0 I2 + Φ
dt 2
V3 0 0 Rs I 3 Φ3
- Matrice rotorique
() ( )( ) ( )
0 Rr 0 0 Ir 1 Φr 1
= ¿
0 0 Rr 0 Ir 2 +d ¿ Φ
dt r 2
0 0 0 Rr Ir 3 Φr 3
( )
Ls ms ms
Matrice d’inductance statorique [ Ls ]= ms Ls ms
ms ms Ls
Matrice d’inductance mutuelle
( )
4. π 2. π
cos (θ) ) cos (θ−
cos (θ− )
3 3
[ Msr ] =msr cos (θ− 2. π ) cos (θ) cos (θ−
4. π
)
3 3
4. π 2. π
cos (θ− ) cos (θ− ) cos (θ)
3 3
( )
Lr mr mr
Matrice d’inductance rotorique [ Lr ] = mr Lr mr
mr mr Lr
La transformation de Park est un outil de conversion qui consiste à ramener les enroulements
triphasés de la machine en des enroulements équivalents du point de vue électrique et
magnétique disposés en deux axes orthogonaux direct et transversal et éventuellement un axe
homopolaire. Pour se faire il est important de déterminer la matrice de transfert et la matrice
inverse, qui vont nous permettre de passer du repère triphasé au repère diphasé et vice-versa.
Matrice de Park
( )
1
cos ( θs ) −sin (θ s )
√2
√
2 2. π 2. π
[ P(θ s) ]= 3 cos (θ s− 3 ) −sin (θ s− 3 ) √ 2
4. π 4. π
1
1
cos (θ s− ) −sin (θ s− )
3 3 √2
Matrice de Park inverse
[ P(θ s) ]
−1
=
√ 2
3
¿
Une fois que les deux matrices sont obtenues nous pouvons passer du domaine triphasé au
diphasé, par les transformations suivantes.
( V )= [ P ( θ s ) ] . ( Vp ) et ( Vp )= [ P (θs ) ] . ( V )
−1
Avec:
( ) ( )
V1 Vd
( Vs ) = V 2 et ( Vsp )= Vq
V3 V0
Etant donné que le repère est fixe au stator on : θ s=0. La matrice de Park devient alors :
( ) ( )
1 −1 −1
1 0 1
√2 2 2
[ P(θ s) ]= √ 2 −1
3 2
−1
2
− √3
√3 1
√2
1
√−1
et [ P( θs ) ] =
2
3
0
1
√3
2
1
−√ 3
2
1
2 2 √2 √2 √2 √2
Les équations simplifiées de la tension et du courant sont traduites dans le domaine de Park par :
( ) ( )( )
−1 −1 −1 −1
1 1
2 2 2 2
( )√ ( )()√
Vd V1 Id I1
Vq =
2
0
√3 −√ 3
V 2 et Iq =
2
0
√3 −√ 3
I2
3 2 2 3 2 2
V0 V3 I0 I3
1 1 1 1 1 1
√2 √2 √2 √2 √2 √2
{
1
Vd= (2. V 1−V 2−V 3)
√6
1
Vq= (V 2−V 3)
√2
V 0=0
Ainsi grâce à la transformation de Park le système de trois tension se réduit donc a deux
équations de tension suivant l’axe (d) et l’axe (q).
{
d
Vd=Rs . Isd+ ( Φ ) −ω s . Φ sq
dt sd
d
Vq=Rs . Isq+ ( Φ sq ) +ω s .Φ sd
dt
P devient alors ;
Puissance électromagnétique : [ d
dt
(
d
Φ sd ) . Isd+ ( Φ sq ) . Isq
dt ]
Puissance mécanique: ω s (Φ sd . Isq−Φ sq . Isd )
ωs
C em= ( Φ . Isq−Φ sq . Isd )
Ω s sd
Avec :
{
ω s= p .Ω s
Φ sd=Ls . Isd+ Msr . Ird
Φ sq=Ls . Isq+ Msr . Irq
{
d
Vd=Rs . Isd+ ( Φ ) −ω s . Φ sq
dt sd
d
Vq=Rs . Isq+ ( Φ sq ) +ω s . Φ sd
dt
d
0=Rr . Ird + ( Φrd )−ωr . Φ rq
dt
d
0=Rr . Irq + ( Φrq ) +ω r .Φ rd
dt
{
Φ sd=Ls . Isd+ Msr . Ird
Φ sq=Ls . Isq+ Msr . Irq
Φrd =Lr . Ird+ Msr . Isd
Φ rq =Lr . Irq+ Msr . Isq
En remplaçant les équations de flux dans celles des tensions on obtient le système d’équation
différentielle suivant
{
dIsd Lr .Vsd + ( p . Ω . Msr ) . Isq−Rs . Lr . Isd + Msr . Rr . Ird+ p . Ω . Lr . Msr . Irq
2
= 2
dt Ls . Lr−Msr
dIsq Lr .Vsq−Rs . Lr . Isq−( p . Ω . Msr ) . Isd+ Msr . Rr . Irq− p . Ω . Lr . Msr . Ird
2
= 2
dt Ls . Lr−Msr
dIrd Msr .Vsd + p . Ω . Ls . Msr . Isq−Msr . Rs . Isd+ ( p . Ω. Ls . Lr ) . Irq+ Lr . Ls . Ird
= 2
dt Msr −Ls . Lr
dIsq Msr . Vsq−Msr . Rs . Isq− ( p . Ω . Msr . Ls ) . Isd+ Ls . Rr . Irq− p . Ω. Lr . Ls . Ird
=
dt 2
Msr −Ls . Lr
La simulation de la machine asynchrone se fera sur l’interface du logiciel Scilab, qui est un logiciel poussant
pour le tracé des courbes et la résolution des équations.
- Méthode de simulation
La méthode a utilisé sur cette partie est celle de Runge Kutta 4, qui est une méthode précise pour la
résolution des équations différentielles du premier ordre.
Rappelons que nos équations différentielles sont de la forme :
{ y =f ( t , y (t ) )
'
y ( t 0 ) ϵ Rn fixé
{
K 1=F ( y ( t ) , t)
∆t ∆t
K 2=F ( y ( t ) + K 1 ,t + )
2 2
∆t ∆t
K 3=F ( y ( t ) + K 2 ,t + )
2 2
K 4=F ( y ( t ) + K 3 , t+ ∆ t)
Le choix du pas de calcul h est crucial car un pas trop grand peut entrainer une perte de précision dans la
solution, tandis qu’un pas trop petit peut entrainer un temps de calcul excessif sans amélioration significative
de la précision.
Rappelons nos équations différentielles des courants :
¿
[]
dIsd
[ ][ ]
dt
dIsq −RsLr ( pΩ Msr 2 ) MsrRr pΩLrMsr I sd
1 −( pΩ Msr ) MsrRr I sq +
2
dt −RsLr − pΩLrMsr
= 2
dIrd ( LsLr −Msr ) MsrRs − pΩLsMsr −RrLs −pΩLrLs I rd
dt pΩLsMsr MsrRs ( pΩLrLs ) −RrLs I rq
dIrq
dt
[ ][ ]
Lr 0 0 0 V sd
1 0 Lr 0 0 V sq
2
( LsLr −Msr ) 0 0 −Msr 0 V rd
0 0 0 −Msr V rq
2∗0.56∗0.05+ 2∗0.28∗0.05
|trace ( A )|= 2 =344.61 soit 345
0.05∗0.05−0.0475
Ainsi h=3ms
Voir Annexe
- La vitesse angulaire
- Interprétation des allures de la machine
Au régime transitoire de la machine qui est de 0.30s, Ces grandeurs varient en présentant
quelques oscillations au bout de ce temps cette variation est légère.
A t < 0.6 la machine fonctionne à vide, le couple est donc nul, le courant baise d’une certaine
valeur.
Une fois que t >= 0.6 le machine est accouplée a une charge et elle développe un couple pour
entrainer la charge.
A t > 0.9s le couple est quasiment constant, la vitesse aussi
A t > 0.9s le régime permanant est établi on obtient les résultats suivants.
Grandeurs mécaniques
Puissance de la machine
Calcule Analytique
- Le couple électromagnétique
Ptr Rr 2 Rr 2
C em= =3 I Avec Ptr=3 I
Ωs gΩs r g r
- Calcul de Ir .
V s=( R s+ L s ω ) I s+ jM ω I r
0=( Rr /g+ Lr ω ) I r + jM ω I s
( Rr /g+ Lr ω ) I r
I s=
− jM ω
V s −( Rs + L s ω ) I s
I r=
jM ω
− jM ω V s
I r=
Rr R
+ ( M −Ls Lr ) ω + j( R s Ls + r Ls )ω
2 2
Rs
g g
Cem devient:
2 2 2
Rr M ω Vs
C em=3
( )
2 2
gΩs R R
[ R s r + ( M 2−Ls Lr ) ω 2 ] +[ R s Ls + r Ls ω]
g g
2 2
Rr M ωV s
C em=3 p
( )
2 2
g R R
[R s r + ( M 2−Ls Lr ) ω2 ] +[ R s Ls + r Ls ω ]
g g
Avec g=0.06
Cem=¿ 44.61 N . m
- Le couple moteur
Cu=C em−C r =Cem−0.003 Ω=44.61-0.003*294
Cu=43.72 N . m
2
P jr =3 Rr Ir
Or :
M ωV s
=23.3 A
√[ ] [( ]
2
I r=¿ 2
Rs
Rr
g
2 2 Rr
+ ( M −Ls Lr ) ω + R s L s+ Ls ω
g )
2
P jr =3∗0.56∗23.3 =912.055 W
2
P js=3 Rs Is
Avec:
( Rr /g+ Lr ω ) I r
I s=
Mω
I s=28.02 A
2
P js=3∗0.28∗28.02 =659.50 W
Pa=14686.89W
- Le facteur de puissance
Pa 14686.89
Par définition : cosφ= 2
= =¿0.79
3∗V∗Is 3∗220∗28.02
- Le rendement du moteur
Pu Γu∗Ω 43.72∗294
η= = = =0.87 soit 87 %
Pa Pa 14686.89
Conclusion:
Après avoir effectuer un calcul numérique et analytique de la machine asynchrone, les deux
résultats sont identiques à la virgule près. Il est important de noter que le calcul numérique est
plus précis que le calcul analytique.
Partie B
Dans cette partie du travail nous aurons a utilisé une MADA a rotor bobiné, dont le rotor sera
alimenté par la même tension que celui du stator.
Stratégie de simulation
Etant donné que la MADA, possède deux circuit dont celui du stator et celui du rotor.
Nous allons commencer par un premier temps alimenter le circuit rotorique par une tension
réduite que celle du stator et l’augmenter pour voir l’influencer de cette tension sur les
caractéristiques de la machine.
Le rotor étant alimenter les équations de simulation ne sont plus les mêmes.
Système d’équations
{
d
Vsd=Rs . Isd+ ( Φ ) −ω s .Φ sq
dt sd
d
Vsq=Rs . Isq+ ( Φ sq ) +ω s .Φ sd
dt
d
Vrd =Rr . Ird+ ( Φ rd )−ω r .Φ rq
dt
d
Vrq=Rr . Irq+ ( Φ rq ) +ω r .Φ rd
dt
{
Φ sd=Ls . Isd+ Msr . Ird
Φ sq=Ls . Isq+ Msr . Irq
Φrd =Lr . Ird+ Msr . Isd
Φ rq =Lr . Irq+ Msr . Isq
( )√ ( )
Vsd
2 √3 −√ 3
V1 √6
Vsq = 0 V 2 ≤systeme est : 1
3 2 2 Vsq= (V 2−V 3)
Vs 0 V3 √2
1 1 1
Vs 0=0
√2 √2 √2
( )
2. π 4. π
cos (θ r ) cos (θr −
) cos (θ r− )
3 3
( )√ ( )
Vrd V r1
2 2. π 4. π
Vrq = −sin (θ r ) −sin (θr − ) −sin (θ r− ) V r2
3 3 3
Vr 0 V r3
1 1
¿ ¿
√2 √2
{ √ ( ) ( )
2 2. π 4. π
Vrd =(cos ( θ r ) . V r 1+cos θr − . V r 2−cos θr − . V r 3)
3 3 3
2
√
Vrq= (−sin ( θ r ) .V r 1−sin θr −
3 ( 2. π
Vr 0=0
3 )
. V r 2−sin θ r− (
4. π
3 ).V r 3)
{
dIsd Lr . Vsd−Msr . Vrd + ( p . Ω . Msr ) . Isq−Rs . Lr . Isd+ Msr . Rr . Ird + p . Ω . Lr . Msr . Irq
2
= 2
dt Ls . Lr−Msr
dIsq Lr . Vsq−Msr .Vrq−Rs . Lr . Isq−( p . Ω . Msr ) . Isd + Msr . Rr . Irq− p . Ω . Lr . Msr . Ird
2
= 2
dt Ls . Lr−Msr
dIrd Msr .Vsd−Ls .Vrd + p . Ω . Ls . Msr . Isq−Msr . Rs . Isd+ ( p . Ω. Ls . Lr ) . Irq+ Lr . Ls . Ird
= 2
dt Msr −Ls . Lr
dIsq Msr . Vsq−Ls . Vrq−Msr . Rs . Isq−( p . Ω . Msr . Ls ) . Isd+ Ls . Rr . Irq− p . Ω. Lr . Ls . Ird
=
dt 2
Msr −Ls . Lr
(
Vr 2=Vr . √ 2. cos ωr . t−
2. π
3 ), Vr=50 V
2. π
Vr 3=Vr . √ 2. cos (ωr .t + )
3
- Couple électromagnétique
- Vitesse angulaire
- Courant électrique de la phase (A)
- Résultat numérique pour la MADA pour Vr=10V :
Conclusion
La simulation de la MADA nous a donné les résultats obtenus en prenant diverses
valeurs de la tension rotorique a la même fréquence que celle du stator, on
remarque que plus la tension rotorique augmente plus les caractéristiques courant,
vitesse, et couple diminuent.
Il est donc important de bien choisir la tension du rotor pour fournir le couple
nécessaire.
Annexe
W_s=0;
Isd_r=(1/(L_S*L_R-M_Sr**2))*(L_R*Vd-(-W_s*L_S*L_R+W_s*M_Sr**2-p*Vitesse*M_Sr**2)*Isq-
R_s*L_R*Isd+p*Vitesse*L_R*M_Sr*Irq+M_Sr*R_r*Ird);
endfunction
W_s=0;
Isq_r=(1/(L_S*L_R-M_Sr**2))*(L_R*Vq-R_s*L_R*Isq-(W_s*L_R*L_S-
W_s*M_Sr**2+p*Vitesse*M_Sr**2)*Isd+M_Sr*R_r*Irq-p*Vitesse*L_R*M_Sr*Ird);
endfunction
W_s=0;
Ird_r=(1/(M_Sr**2-L_R*L_S))*(M_Sr*Vd+p*Vitesse*M_Sr*L_S*Isq-(-W_s*M_Sr**2+W_s*L_R*L_S-
p*Vitesse*L_R*L_S)*Irq-M_Sr*R_s*Isd+L_S*R_r*Ird);
endfunction
W_s=0;
Irq_r=(1/(M_Sr**2-L_R*L_S))*(M_Sr*Vq-M_Sr*R_s*Isq-p*Vitesse*M_Sr*L_S*Isd+L_S*R_r*Irq-(W_s*M_Sr**2-
W_s*L_R*L_S+p*Vitesse*L_R*L_S)*Ird);
endfunction
Vitesse_r=(p*M_Sr*(Isq*Ird-Isd*Irq)-Cr)/J;
endfunction
function Vs1_r=VS1(T_0)
Vs1_r=V*sqrt(2)*cos(W_s*(T_0));
endfunction
function Vs2_r=VS2(T_0)
Vs2_r=V*sqrt(2)*cos(W_s*(T_0)-2*%pi/3);
endfunction
function Vs3_r=VS3(T_0)
Vs3_r=V*sqrt(2)*cos(W_s*(T_0)-4*%pi/3);
endfunction
// Parametres du programme
Isd_0=0;
Isq_0=0;
Ird_0=0;
Irq_0=0;
Vitesse_0=0;
Isd_F=[];
Isq_F=[];
Ird_F=[];
Irq_F=[];
Vitesse_F=[];
t=[];
Ia=[];
Ib=[];
Ic=[];
CeM_Sr=[];
while T_0<=T_f
J0=0.1;
Jc=0.2;
Vs1=VS1(T_0);
Vs2=VS2(T_0);
Vs3=VS3(T_0);
if T_0<0.6 then
J=J0;
Cr=0.003*Vitesse_0;
Vitesse_K1=Pas*VITESSE(Isq_0, Isd_0, Irq_0, Ird_0, Cr);
Vs1=VS1(T_0 + 1/2*Pas);
Vs2=VS2(T_0 + 1/2*Pas);
Vs3=VS3(T_0 + 1/2*Pas);
Isd_K2=Pas*ISD(Vd, Isq_0 + 1/2*Isq_K1, Isd_0 + 1/2*Isd_K1, Irq_0 + 1/2*Irq_K1, Ird_0 + 1/2*Ird_K1, Vitesse_0 +
1/2*Vitesse_K1);
Isq_K2=Pas*ISQ(Vq, Isq_0 + 1/2*Isq_K1, Isd_0 + 1/2*Isd_K1, Irq_0 + 1/2*Irq_K1, Ird_0 + 1/2*Ird_K1, Vitesse_0 +
1/2*Vitesse_K1);
Ird_K2=Pas*IRD(Vd, Isq_0 + 1/2*Isq_K1, Isd_0 + 1/2*Isd_K1, Irq_0 + 1/2*Irq_K1, Ird_0 + 1/2*Ird_K1, Vitesse_0 +
1/2*Vitesse_K1);
Irq_K2=Pas*IRQ(Vq, Isq_0 + 1/2*Isq_K1, Isd_0 + 1/2*Isd_K1, Irq_0 + 1/2*Irq_K1, Ird_0 + 1/2*Ird_K1, Vitesse_0 +
1/2*Vitesse_K1);
if T_0<0.6 then
J=J0;
Cr=0.003*(Vitesse_0 + 1/2*Vitesse_K1);
Vitesse_K2=Pas*VITESSE(Isq_0 + 1/2*Isq_K1, Isd_0 + 1/2*Isd_K1, Irq_0 + 1/2*Irq_K1, Ird_0 + 1/2*Ird_K1, Cr);
Vs1=VS1(T_0 + 1/2*Pas);
Vs2=VS2(T_0 + 1/2*Pas);
Vs3=VS3(T_0 + 1/2*Pas);
Isd_K3=Pas*ISD(Vd, Isq_0 + 1/2*Isq_K2, Isd_0 + 1/2*Isd_K2, Irq_0 + 1/2*Irq_K2, Ird_0 + 1/2*Ird_K2, Vitesse_0 +
1/2*Vitesse_K2);
Isq_K3=Pas*ISQ(Vq, Isq_0 + 1/2*Isq_K2, Isd_0 + 1/2*Isd_K2, Irq_0 + 1/2*Irq_K2, Ird_0 + 1/2*Ird_K2, Vitesse_0 +
1/2*Vitesse_K2);
Ird_K3=Pas*IRD(Vd, Isq_0 + 1/2*Isq_K2, Isd_0 + 1/2*Isd_K2, Irq_0 + 1/2*Irq_K2, Ird_0 + 1/2*Ird_K2, Vitesse_0 +
1/2*Vitesse_K2);
Irq_K3=Pas*IRQ(Vq, Isq_0 + 1/2*Isq_K2, Isd_0 + 1/2*Isd_K2, Irq_0 + 1/2*Irq_K2, Ird_0 + 1/2*Ird_K2, Vitesse_0 +
1/2*Vitesse_K2);
if T_0<0.6 then
J=J0;
Cr=0.003*(Vitesse_0 + 1/2*Vitesse_K2);
Vitesse_K3=Pas*VITESSE(Isq_0 + 1/2*Isq_K2, Isd_0 + 1/2*Isd_K2, Irq_0 + 1/2*Irq_K2, Ird_0 + 1/2*Ird_K2, Cr);
Vs1=VS1(T_0 + Pas);
Vs2=VS2(T_0 + Pas);
Vs3=VS3(T_0 + Pas);
Isd_K4=Pas*ISD(Vd, Isq_0 + Isq_K3, Isd_0 + Isd_K3, Irq_0 + Irq_K3, Ird_0 + Ird_K3, Vitesse_0 + Vitesse_K3);
Isq_K4=Pas*ISQ(Vq, Isq_0 + Isq_K3, Isd_0 + Isd_K3, Irq_0 + Irq_K3, Ird_0 + Ird_K3, Vitesse_0 + Vitesse_K3);
Ird_K4=Pas*IRD(Vd, Isq_0 + Isq_K3, Isd_0 + Isd_K3, Irq_0 + Irq_K3, Ird_0 + Ird_K3, Vitesse_0 + Vitesse_K3);
Irq_K4=Pas*IRQ(Vq, Isq_0 + Isq_K3, Isd_0 + Isd_K3, Irq_0 + Irq_K3, Ird_0 + Ird_K3, Vitesse_0 + Vitesse_K3);
if T_0<0.6 then
J=J0;
Cr=0.003*(Vitesse_0 + Vitesse_K3);
Vitesse_K4=Pas*VITESSE(Isq_0 + Isq_K3, Isd_0 + Isd_K3, Irq_0 + Irq_K3, Ird_0 + Ird_K3, Cr);
Is1=sqrt(2/3)*(Isd_0);
Is2=sqrt(2/3)*(-1/2*Isd_0 + (sqrt(3)/2)*Isq_0);
Is3=sqrt(2/3)*(-1/2*Isd_0 - (sqrt(3)/2)*Isq_0);
Ia=[Ia, Is1];
Ib=[Ib, Is2];
Ic=[Ic, Is3];
Isd_F=[Isd_F, ISd];
Isq_F=[Isq_F, ISq];
Ird_F=[Ird_F, IRd];
Irq_F=[Irq_F, IRq];
Vitesse_F=[Vitesse_F, Vit];
CeM_Sr=[CeM_Sr, CEM_Sr];
t=[t, T_0];
if T_0>=1.25 then
vitesse= Vit;
Cem=CEM_Sr;
Isq_P=ISq;
Isd_P=ISd;
Ird_P=IRd;
Irq_P=IRq;
Ia_P=Is1;
Ib_P=Is2;
Ic_P=Is3;
end
Isd_0=ISd;
Isq_0=ISq;
Ird_0=IRd;
Irq_0=IRq;
Vitesse_0=Vit;
T_0=T_0 + Pas;
end
// Courant de la phase A
subplot(331)
plot(t, CeM_Sr, 'r')
title('Couple electromagnetique')
xlabel(' t(s)')
ylabel('(Nm)')
subplot(332)
plot(t, Vitesse_F, 'g')
title('Vitesse angulaire')
xlabel(' t(s)')
ylabel('(rad/s)')
subplot(333)
plot(t, Ia)
Partie MADA
On ajoute cette condition pour t > 1.8s et les tension rotoriques sont implementées dans des
fonctions.
elseif T_0>1.8 then
J0=0.1;
Jc=0.2;
Vs1=VS1(T_0);
Vs2=VS2(T_0);
Vs3=VS3(T_0);
Vr1=VR1(T_0 - 2);
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Vr3=VR3(T_0 - 2);