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Les entraînements électriques pilotés par des machines asynchrones sont très utilisés dans le
domaine industriel. Ces machines sont très robustes et de faible coût d’entretien et peuvent
fonctionner dans des conditions très sévères. Les performances dynamiques de cette machine
dépendent beaucoup de la qualité du découplage entre le flux et le couple. Ce découplage dans le cas
d'une machine à courant continu à excitation séparée est naturel. Cependant, ce type de machine ne
convient pas pour les grandes puissances. C'est l’une parmi d’autres raisons qui a conduit à
l’utilisation de la machine à induction (machine asynchrone). Plusieurs stratégies de contrôle
permettant de découpler le flux et le couple telles que : Le contrôle vectoriel par orientation du flux ,
la commande par compensation et la commande directe de couple.
Les hypothèses simplificatrices
La machine asynchrone est représentée dans la figure 1par six enroulements dans l’espace électrique.
r
L’angle θ repère l’axe de la phase rotorique de référence R par rapport à l’axe fixe de la phase
r
statorique S .
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Par application de la loi de Faraday à la machine asynchrone, la loi des mailles s’exprime par la
relation:
dφ
V = Ri +
dt
Les équations régissant le fonctionnement électrique de la machine asynchrone pour l’ensemble des
phases statoriques, peuvent s’écrire:
Pour une alimentation triphasée, et en tenant compte des hypothèses citées précédemment, les
relations entre les flux et les courants s’écrivent :
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[φs ] [ Ls ] [ M sr ] [ I s ]
=
[ ]
r [ M rs ]
φ [ Lr ] [ I r ]
ls Ms Ms lr Mr Mr
Avec [ Ls ] = M s ls M s , [ Lr ] = M r
lr Mr
M s Ms ls M r Mr lr
2π 2π
cos (θ ) cos θ + cos θ −
3
3
2π 2π
Et [ M sr ] = [ M rs ] = M sr cos θ − cos (θ )
−1
cos θ +
3 3
2π 2π
cos θ + 3 cos θ − cos (θ )
3
2.2 L’équation mécanique :
dΩ
J + f Ω = Ce − Cr
dt
Où : J : moment d’inertie de la partie tournante ;
Ce : couple électromagnétique ;
Cr : couple résistant.
Le système d’équations du modèle de la machine asynchrone est fort complexe et non linéaire, car les
matrices des inductances contiennent des éléments variables avec l’angle de rotation θ. Pour rendre
les coefficients du système d’équations de ce modèle indépendants de θ, on a recours à la
transformation de PARK.
La figure 2 permet de définir le repère de PARK et les diverses phases ainsi que les relations
spatiales qui les relient:
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2π 2π
cos (ψ ) cos ψ − 3 cos θ +
3
2 2π 2π 3 1
P (ψ ) = k1 − sin (ψ ) − sin ψ − − sin ψ + k1 = k0 =
3 3 3 2 2
1 1 1
2k 2 k0 2 k0
0 avec
cos (ψ ) − sin (ψ ) k0
2π 2π
P (ψ ) = k1 cos ψ −
−1
− sin ψ − k0
3 3
2π 2π
cos θ + − sin ψ + k0
3 3
Cette dernière permet en général, le retour du système biphasé (d-q) vers le système triphasé initial
(a,b,c) quelques soient les grandeurs électriques ou électromagnétiques (flux, courant et tension). On
désigne par «d» l’axe direct et «q» l’axe en quadrature.
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Deux transformations sont définies à partir de la matrice de PARK, dans laquelle l’angle ψ est
remplacé par θs pour les grandeurs statoriques et par θr pour celles du rotor, on les note
respectivement : [P (θs)] et [P(θr)].
On désigne par :
r r
θs : l’angle électrique ( Sa , d )
r r
θr: l’angle électrique ( Ra , d )
On remarque sur la figure que θs et θr sont liés naturellement à θ par la relation rigide suivante:
θ= θs - θr
Et par la suite :
dθ dθ s dθ r
= − soit Ω = Ωs − Ωr
dt dt dt
La transformation des grandeurs statoriques et rotoriques sont définies par :
La substitution des enroulements fictifs Sd, Sq, Rd et Rq aux enroulements triphasés permet l’écriture
des équations suivantes :
dφds dθ s
vds = Rsids + − φqs
dt dt
v dφ dθ
= Rsiqs + qs + s φds
qs dt dt
v dφ dθ
= Rr idr + dr − r φqr
dr dt dt
dφ
vqr dθ
= Rr iqr + qr + r φdr
dt dt
2.3.2 Equations magnétiques :
En appliquant la transformation de PARK aux équations de flux et de courant, on trouve les relations
électromagnétiques de la machin, soit :
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φds Ls 0 M 0 ids
φ
qs = 0 Ls 0 M iqs
φdr M 0 Lr 0 idr
φqr 0 M 0 Lr iqr
M2
Sachant que σ = 1 −
Ls Lr
On peut écrire:
1 −M
σL 0 0
σ Ls Lr
s
ids 1 − M φds
i 0 σ Ls
0
σ Ls Lr φqs
qs =
idr − M 1 φdr
0 0
iqr σ Ls Lr σ Lr φ
qr
−M 1
0 σ Ls Lr
0
σ Lr
Pour cette étude, nous choisissons un repère (d,q) lié au stator ou (α,ß). Donc, on prend en
considération: ωr = 0 .
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Le passage d’un système triphasé (abc) à un système biphasé (αβ) peut se faire comme suit :
1 1
1 − − xia
xiα 2 2 2
x = xib avec x = v ou i ou φ et i = s ou r
iβ 3 3 3
0 − xic
2 2
Dont la transformation inverse est :
1 0
ia
x
x = 2 − 1 3 xiα
ib
3 2 2 xiβ
xic
− 1 −
3
2 2
À travers cette partie, nous avons pu établir un modèle mathématique simple de la machine
asynchrone permettant sa modélisation sous MATLAB/Simulink.
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d Φ ds
vds = Rs .ids + − ωs .Φ qs
dt
v = R .i + d Φ qs + ω .Φ
qs s qs
dt
s ds
0 = Rr .idr + d Φ dr − ωr .Φ qr
dt (1)
d Φ qr
0 = Rr .iqr + + ωr .Φ dr
dt
dΩ
Ce = J . + f .Ω + Cr
dt
ωs = p.Ω s ;ωr = ωs − ω
Avec
Φ ds = L s .ids + M .idr
Φ qs = L s .iqs + M .iqr
Φ dr = Lr .idr + M .ids
Φ qr = Lr .iqr + M .iqs
dids a b b 1
dt = − τ σ ids + ωsiqs + τ σ φdr + σ φqr Ω + L σ vds
s r s
diqs a b b 1
= −ωsids − iqs − φdr Ω + φqr + vqs
dt τ sσ σ τ rσ Lsσ
dφ M 1
dr
= ids − φdr + (ωs − ω)φqr
dt τr τr
dφqr M 1
= iqs − (ωs − ω)φdr − φqr
dt τr τr
d Ω pM 1
= (iqsφdr − idsφqr ) − Cr
dt JLr J
Rr M 2 M Ls Lr
Avec a = 1 + ; b = ; τ = ; τ =
Rs L2r
s r
Ls Lr Rs Rr
Rque : on peut modéliser cette machine par programmation sous l’environnement Matlab ou sur son
utilitaire Simulink.
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function [disd,disq,dphird,dphirq,dw]=MAS(usd,usq,isd,isq,phird,phirq,w,cr)
Ls=0.0997;
Lr=0.093;
Rs=0.62;
Rr=0.55;
M=0.093
Nom de la
Tr=0.1691; fonction
Ts=0.1608;
p=2;
*
f=0.01;
J=0.313;
sigma=1-(M^2/(Ls*Lr));
a=Rr/Lr;
b=M/(sigma*Ls*Lr);
c=f/J;
gama=(Rr*Lr^2+Rs*M^2)/(sigma*Ls*Lr^2);
m=p*M/(J*Lr);
m1=1/(sigma*Ls);
disd=b*(a*phird+p*w*phirq)-gama*isd+m1*usd;
Les équations électriques et mécaniques de la MAS dans le plan abc peuvent s’écrire :
disb=b*(a*phirq-p*w*phird)-gama*isq+m1*usq;
dphird=-a*phird-p*w*phirq+a*M*isd;
dphirq=-a*phirq+p*w*phird+a*M*isq;
Modélisation sous Simulink :
dw=m*(isq*phird-isd*phirq)-c*w-(1/J)*cr;
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- Lancer la simulation et afficher les allures des courants statoriques isabc et isdq, les flux
statoriques phidq, le couple électromagnétique et la vitesse de rotation.
- Interpréter les résultats et conclure.
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1. Réaliser la commande à flux orienté (FOC) pour la machine asynchrone selon le principe
suivant :
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Ma Alternatives
Nous faisons l'hypothèse simplificatrice d'être en régime non saturé. Le flux est alors proportionnel
aux solénations, ce qui implique que l'on peut appliquer le principe de superposition
superpositio et exprimer le
comportement de la machine à partir de ses paramètres électriques (en termes d'inductances). Il faut
donc définir les différents enroulements qui entrent dans les équations décrivant le comportement de
la machine.
L'enroulement statorique comporte donc 3 phases identiques décalées entre elles dans l'espace d'un
angle électrique de 2π / 3 . Ces trois phases seront indicées respectivement a,b et c.
Représentation des bobinages a, b, c statoriques et f rotoriques dans les deux types d'axes
(αβ )et (dq )
Pour le rotor, nous considérons seulement un enroulement d'excitation ou inducteur indicé f et nous
supposons également qu'il n'y a pas d'enroulements en court-circuit
circuit au voisinage de l'entrefer dit
``enroulements amortisseurs''. Ces enroulements amortisseurs permettent de limiter les courants en
régime transitoire ainsi qu'en régime sub-transitoire
sub transitoire et permettent également de générer un couple
c dit
couple asynchrone venant se superposer au couple synchrone et réluctant. Par construction, le
rotor d'une machine synchrone présente donc 2 types d'anisotropie:
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Ma Alternatives
Cette géométrie particulière du rotor conduit tout naturellement à adopter, pour le système
sy de
référentiell de la transformation de Park,
Park, des axes correspondant à l'axe du système inducteur (axe
direct d), respectivement à l'axe interpolaire (axe transversal q). Les enroulements rotoriques n'auront
pas à être transformés en enroulements équivalents
équivalents puisque les enroulements réels sont par
construction déjà localisés selon les axes du référentiel de Park.
Park
Par la transformation de Park, définie par la matrice P (θ ) , nous pouvons transposer les équations
électriques de 3D en 2D à savoir des axes a,b et c en d-q
d q comme représenté sur la figure ci-dessus.
Ceci permet de supprimer les non linéarités liées aux variations des inductances suivant en
transformant les enroulements statoriques en enroulements orthogonaux. En reprenant les vecteurs
et
, ,
Et
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function [disd,disq,dphird,dphirq,dw]=MAS(usd,usq,isd,isq,phird,phirq,w,cr)
Ls=0.0997;
Lr=0.093;
Rs=0.62;
Rr=0.55;
M=0.093
Nom de la
Tr=0.1691; fonction
Ts=0.1608;
p=2;
*
f=0.01;
J=0.313;
sigma=1-(M^2/(Ls*Lr));
a=Rr/Lr;
b=M/(sigma*Ls*Lr);
c=f/J;
gama=(Rr*Lr^2+Rs*M^2)/(sigma*Ls*Lr^2);
m=p*M/(J*Lr);
m1=1/(sigma*Ls);
disd=b*(a*phird+p*w*phirq)-gama*isd+m1*usd;
Les équations électriques et mécaniques de la MAS dans le plan abc peuvent s’écrire :
disb=b*(a*phirq-p*w*phird)-gama*isq+m1*usq;
dphird=-a*phird-p*w*phirq+a*M*isd;
dphirq=-a*phirq+p*w*phird+a*M*isq;
Modélisation sous Simulink :
dw=m*(isq*phird-isd*phirq)-c*w-(1/J)*cr;
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Ma Alternatives
Le stator est constitué de p bobines identiques par phase qui sont parcourues par un courant de
fréquence f imposée par le réseau d’alimentation.
ns = f / p = ωs / 2 x Π x p (tr/s)
Ωs = ns / 2 x Π = ωs / p (rd/s)
L’interaction des champs est à l’origine du couple moteur. Ce couple électromagnétique (Tem) a pour
expression
Tem = K x Hr x Hs x sin θ
Chaque pôle nord du rotor est entraîné par chaque pôle sud du stator
Tem Max
θ
-120 -90 -60
60 -30 0 30 60 90 120
-Tem Max
b. Problèmes posés :
1er cas
• Le rotor a une inertie qui l’empêche de suivre la vitesse du champ tournant de façon
instantanée.
2ème cas
Sous l’effet du couple résistant, un décalage angulaire intervient dans l’alignement des pôles du rotor
par rapport à ceux du stator.
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Ma Alternatives
Ωs = Ωrm :!
La fréquence des courants statoriques doit être imposée par la fréquence de rotation du rotor:
ωs = p . Ωr
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400 va vb vc
200
,vb
va ,vc 0
-200
-400
0 0.005 0.01 0.015 0.02 0.025 0.03 0.035 0.04
40
ia ib ic
20
,ic
,ib
0
ia
-20
-40
0 0.005 0.01 0.015 0.02 0.025 0.03 0.035 0.04
temps(s)
Va(t)+vb(t)+vc(t)=0
ia(t)+ib(t)+ic(t)=0
, = . cos −
!
= &. cos (.
⎧
⎪ 2*
= &. cos (. −
3 -
⎨ 4*
⎪ = &. cos (. −
⎩ 3
La force magnétomotrice peut s’écrire sous la forme suivante :
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3
, = & cos ( −
2
Les trois bobines créent un champ tournant à la vitesse w=ws.
β
sb isβ Axe du Rotor
isb
Usβ
Vsb
θ sa α
O isa isα
Vsa Usα
Vsc
isc
Figure 7 Transformation triphasé (sa, sb, sc) → biphasé (α,β)
sc
Le principe de base s'articule sur le fait qu'un champ tournant crée par un système triphasé (sa, sb, sc)
peut être produit par un système biphasé de deux bobines décalées de π/2 dans l'espace, alimentées
Nous pouvons donc remplacer les grandeurs X abc d'un système triphasé par des grandeurs X αβ 0 d'un
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1 1
1 − −
Xα 2 2 X
n a
2 3 3
X αβ 0 = X β = 0 − Xb
3 2 2
X 0 1 1 1 X c
2n 2n 2 n
Dans la pratique, nous ne considérons pas la composante homopolaire. Cela vient du fait que le stator
est supposé alimenté en étoile et que le système est équilibré. C'est pour cela qu'on se limite aux
composantes (α, β). Principalement, il existe deux types de transformations selon la valeur n.
Transformation de Clarke
Elle assure la conservation de l'amplitude des grandeurs, mais pas la puissance. Dans ce cas, la valeur
1 1
1 − −
Xα 2 2 X X a 1
0
a
X = 2 0 3 3 X = − 1 3 X α
− Xb ;
β 3 2 2 b 2 2 X β
X 0 1 1 1 X c X c 1 3
2 2 2 − −
2 2
Le choix de la transformation de Clarke est bien pratique pour l'élaboration des lois de commande qui
traite des courants. Cela permet de manipuler le module de courant sans passer par un facteur
multiplicatif. D'autre part, elle est bien adaptée pour une transcription en valeurs réduites.
Transformation de Concordia
Elle assure la conservation de la puissance. En plus, elle est orthonormée et elle est obtenue en
1 0
X a
X = 2 1 3 X α
−
b 3 2 2 X β
X c 1 3
− −
2 2
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1 1
Xα 1 − − X a
2 2 2 X
X =
3
3 b
β 3
0 − X
2 2 c
Pour simplifier les opérations matricielles, le choix d'une matrice de passage orthonormée est souvent
utilisé. C'est pourquoi nous allons adopter la transformation de Concordia pour la modélisation de la
machine synchrone à aimants permanents. En effet, soit M la matrice de passage de Concordia :
[ X abc ] = N X α β 0
Avec
1 0
2 1 3
N= −
3 2 2
1 3
− −
2 2
Il est facile de remarquer que :
sin( p θ )
2π 2 sin( p θ )
N −1 = N T ; sin( p θ − 3 ) = N
3 − cos( p θ )
sin( p θ − 4π )
3
cos( p θ )
2π 2 cos( pθ )
E t cos( p θ − ) = N
3 3 sin( p θ )
cos( p θ − 4π
)
3
Xα X d X d Xα
X = ℜ( pθ ) X et X = ℜ(− pθ ) X
β q q β
Nous notons que :
cos(2 pθ ) sin(2 pθ ) cos( pθ ) − sin( pθ ) cos( pθ ) sin( pθ )
− sin(2 pθ ) cos(2 pθ ) = sin( pθ ) cos( pθ ) sin( pθ ) − cos( pθ )
β
isβ d, Axe du Rotor
q Usβ
isq isd
Usq
Usd
θ α
O isα
Usα
avec
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Couple électromagnétique
Ce =
3
2
[
p. ( Ld − Lq ).i sd i sq + ϕ f i sq ] (6)
Equation mécanique :
dΩ
J + fΩ = C e − C r (7)
dt
Avec :
Ω : Vitesse mécanique de rotation de la MSAP ( w=pΩ)
i- Simulation :
Les fonctions :
f1 : (-Rs/Ld)*u(1)+(p*Lq/Ld)*u(2)*u(3)
f2 : (-Rs/Lq)*u(2)+(-p*Ld/Lq)*u(1)*u(3)+(-p*phif/Lq)*u(3)
f3 : (-f/J)*u(3)+((1.5*p*(Ld-Lq))/J)*u(1)*u(2)+((1.5*p*phif)/J)*u(2)+(-1/J)*u(4)
f4 : (1.5*p*(Ld-Lq))*u(1)*u(2)+(1.5*p*phif)*u(2)
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La transformation dq-abc
La transformation abc-dq
Modèle de l'onduleur
1
fca Mux (u[4]/3)*((2*u[1])-u[2]-u[3]) 1
Fcn van
2 Mux (u[4]/3)*(-u[1]+(2*u[2])-u[3]) 2
fcb vbn
Fcn1
3 Mux (u[4]/3)*(-u[1]-u[2]+2*u[3]) 3
4
Onduleur de tension triphasé
Uo
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Modèle de la commande
Porteuse triangulaire
Fréquence f
Amplitude Umaxp
- 1
1 +
mod a Sum3 Relay fca
2
-
+
2 Paramètres
mod b Sum4 Relay1 fcb
- 3
3 +
mod c Sum5 Relay2 fcc
4
f : Fréquence de la porteuse triangulaire.
U porteuse
2° La commande FOC
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