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Université de s Sciences et de Technologie Houari Boumediene

Faculté d’Electronique et d’Informatique


Master I AS Association Convertisseurs Machines Electriques
ACME

Travaux Pratiques
Association Convertisseurs
Machines Electriques

1. Présentation de la problématique
Les systèmes automatisés actuellement étudiés en Master I AS Automatique des Systèmes comportent toujours
un système de conversion d'énergie appliqués aux machines électriques choisi dans l'un des domaines suivants:
- Industriels,
- Tertiaires,
- la force motrice, où par ailleurs la conversion d'énergie prend une place prépondérante.
L'enseignement des systèmes à dominante électrotechnique doit éviter les études théoriques qui ne seraient pas
en relation avec le concret et où les modélisations ne seraient pas confrontées aux phénomènes physiques
mesurés sur le système.

Dans le cas où l'on ne dispose pas de systèmes physiques, on a donc recours à des dossiers d'exemples
industriels effectivement réalisés ou à des dispositifs de simulation industriels.
Pour cela, les étudiants Master I AS Automatique des Systèmes étudient des systèmes et sous-systèmes qui
matérialisent les véritables systèmes industriels.

A travers l'ensemble de ces systèmes et sous-systèmes, il s'agit donc de donner le moyen à nos étudiants
d'acquérir un certain nombre de compétences décrites dans le référentiel, qui devront être validées au terme des
deux années d'études en Master.

La stratégie pédagogique telle qu'elle est actuellement définie doit permettre de valider différentes compétences
attendues dans différents domaines:

- Les outils d'analyse des systèmes techniques,


- La variation de vitesse et la gestion de l'énergie dans les entrainements électriques,
- La commande et techniques de conversion d’énergie,
- L'étude et l'exploitation d'un système de conversion d’énergie,
- L'étude et l'exploitation d'un système automatisé.

Pr. F.Bouchafaa 2020/2021 1 Master I-AS


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2. Pourquoi simuler
La simulation des circuits, aussi bien dans le domaine industriel que dans celui de la recherche Scientifique, est
aujourd’hui une étape indispensable dans le test et l’optimisation de tout circuit électronique complexe. Par
ailleurs, le développement croissant du matériel informatique permet désormais de disposer de logiciels
performants et relativement simples pour l’utilisateur. Il existe de nombreux logiciels de simulation en
électronique: simulink de matlab, PSIM, electronics workbench, pspice, simplorer etc... Tous ces logiciels
ont leur domaine de prédilection, l'électronique de petit signal, l’électronique numérique, l'électronique de
puissance. PSIM est spécialisé dans l'électrotechnique et l'électronique de puissance.

Avec l’avènement de l’informatique pour tous les outils de simulation se sont répondus dans tous les secteurs
d’activité. L’électronique ne pouvait pas être épargnée.

La simulation donne au technicien la possibilité de réaliser puis de tester un prototype virtuel. Les avantages
sont évidents: économie de temps et d’argent.

Pour l’enseignant la simulation s’impose pour les raisons suivantes:

- Cette technique permet d’obtenir des résultats lorsque le matériel nécessaire manque : mesures des courants,
calculer la transformée de fourrier d’un signal.
- De nombreux phénomènes sont trop complexes pour une étude théorique et difficile à comprendre par
l’étudiant, la simulation permet de montrer ce que n’est pas expliqué.

3. Différents logiciels de simulation


Il y a quelques années, l'offre des logiciels de simulation de circuits électriques était assez pauvre. Depuis peu,
elle s'est largement étoffée et on peut trouver maintenant des produits très performants, dédiés à l'électronique,
à l'électronique de puissance ainsi qu'à l'électrotechnique dont certains sont très répandus dans l’industrie.

Ces dernières années Grâce, il apparut une panoplie de logiciels de simulation utilisés en Génie Electrique qui
ont bien évidemment des performances différentes:

Certains sont très puissants mais nécessitent parfois une prise en main assez longue, certains sont bien adaptés
pour réaliser des schémas fonctionnels sous forme de schémas blocs et effectuer des boucles d'asservissement,
d’autres disposent de bibliothèques très complètes pour l’électrotechnique (moteurs, transformateurs,
électronique de puissance,….).

Voici une brève description de ces différents logiciels :

3.1. Microsim pspice


La référence en matière de simulation en électronique, très puissant, qui dispose d'une bibliothèque assez
importante. Assez bien adapté pour l'électronique de puissance, il permet une prise en main très rapide.
Seul inconvénient majeur, il ne dispose pas d'une bibliothèque de composants d'Electrotechnique (comme des
moteurs à courant continu, des machines asynchrones, des charges mécaniques,…) Il existe une version de
démonstration utilisable pour la plupart des circuits étudiés.

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3.2. Matlab simulink


Issu d'un logiciel de calcul (Matlab), ce logiciel très puissant est bien adapté pour simuler des systèmes régulés
ou asservis mais il nécessite malheureusement des qualités d'abstraction en créant des fonctions et en les
assemblant sous forme de schémas blocs (Simulink). De plus, il ne permet pas de dessiner un véritable schéma
électrique.

3.3. Simplorer
Ce logiciel visiblement très complet permet de réaliser des circuits électriques et de faire de l'automatisme par
blocs fonctionnels.

Ce logiciel, à priori bien adapté pour l'électrotechnique nécessite malheureusement une prise en main qui
demande du temps.

3.4. Psim
Ce logiciel permet une simulation pour l'électronique de puissance avec une bibliothèque très complète pour
l'électrotechnique (moteurs, transformateurs, électronique de puissance). La modélisation des composants est à
la fois simplifiée mais aussi assez proche de la réalité ce qui rend le logiciel utilisable pour la plupart des
circuits étudiés. Il a de plus l'énorme avantage d'être assez simple d'utilisation.
Il existe une version de démonstration qui ne diffère de la version complète que par le nombre d'éléments
disponibles sur le schéma et le nombre de points sur les graphes du scope.
Au vu de cette étude comparative, mon choix s'est donc naturellement porté sur ce dernier logiciel Psim.

4. Logiciel PSIM de la société Powersim


Le logiciel PSIM a été spécialement développé pour simuler des systèmes électriques comportant de
l'électronique de puissance et des convertisseurs.

4.1. Présentation générale du logiciel


Un circuit électrique est créé très rapidement, en utilisant la souris pour prendre dans la bibliothèque les
éléments recherchés et les placer dans le circuit.
Il est possible de connecter des sources, des convertisseurs, les charges mécaniques, des instruments de
mesure,…, tout cela sur le même schéma. Il comprend donc une bibliothèque assez importante de matériels et
de composants du Génie Electrique: semi-conducteurs, transformateurs, moteurs, capteurs, sources de tension
ou de courant, éléments passifs et fonctions électronique, logique ou mathématique.
Il est possible de connaître les caractéristiques des différents éléments par un simple double clic avec la souris
mais aussi de les paramétrer ou de régler les conditions initiales.
Si un même sous-ensemble apparaît plusieurs fois, il est possible de créer un bloc fonction que l'on pourra alors
réutiliser.
L’expérience a montré qu'il permet une prise en main facile. De plus, d'après le fabricant, ce logiciel semble
être l'un des plus rapides et des plus puissants simulateurs en électrotechnique disponible sur le marché.

Toutes ces qualités font donc de lui, un logiciel idéal pour les différents aspects d’un système:

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- Electronique de puissance,
- Electrotechnique,
- Electronique analogique,
- Electronique numérique,
- Asservissement.

4.2. Configuration du logiciel


La version de base du logiciel PSIM intègre donc:
- Un éditeur graphique avec sa bibliothèque,
- Un simulateur avec lequel il est possible de paramétrer le temps de simulation,
- Une interface de visualisation sur laquelle s'affiche les courbes et grâce à laquelle on peut faire des opérations
arithmétiques: mesures des valeurs instantanées, moyennes, efficaces ou même tracer des spectres de
décomposition en série de Fourier (FFT).
Cette configuration de base peut être complétée par 3 modules:
- Une librairie de machines électriques,
- Une librairie de fonctions de contrôle / commande numériques ou discrètes,
- Un module permettant une simulation sous le logiciel Matlab / Simulink.

TP N°00: Utilisation du logiciel PSIM


Un logicil de simulation permet d'aborder et confirmer des hypotheses, mais il ne replacera jamais un
essai réel. PSIM est un logiciel de simulation d’électrotechnique et d’électronique de puissance. Il est distribué
par POWERSYS. La version de démonstration de ce logiciel est libre d'utilisation
Une version d’évaluation téléchargeable est disponible sur le site du distributeur et téléchargeable à l’adresse
Internet suivante : http://www.powersimtech.com/.
Lorsque le fichier psim6_demo.zip a été téléchargé, il faut le décompresser avant de lancer l’installation par
SETUP.EXE

Figure 1: PISM Demo Version 6.0 et l'icone de raccourci de logiciel


1. Fonctionnement interne du logiciel
Le logiciel PSIM est constitué de 2 modules interdépendants:
– PSIM, permet la saisie graphique du système à simuler, c'est ce que l'on appelle l'éditeur de schémas
électriques. Il permet aussi la configuration du simulateur.
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– SIMVIEW, gère l'affichage graphique des résultats de simulation calculés par PSIM.
Le logiciel PSIM est constitué de 3 fichiers exécutables:
1. Un exécutable SIMCAD.EXE pour dessiner l'application
2. Un exécutable PSIM.EXE pour simuler le fonctionnement de l'application
3. Un exécutable SIMVIEW.EXE pour afficher les courbes de l'application.

Le logiciel combine avantageusement pour les élèves la représentation structurelle pour la partie
puissance et la représentation fonctionnelle pour la partie commande. Des blocs d'interface pour la commande
des semi-conducteurs, le renvoi des grandeurs courant/tension/vitesse/couple créent les liens entre les 2 parties
et permettent l'élaboration de commandes asservies. Des appareils de mesure ampèremètre/voltmètre/wattmètre
permettent la visualisation des grandeurs électriques.
Nons cliquons sur cette icone pour loncer le logiciel (l'icone du bureau (le raccourci)), nous
obtenons l'écran ci-dessous:

2. Interface (barres d’outils)


La description du système à simuler se fait graphiquement sous la forme d'un schéma électrique. Une
barre d'outils en bas de l'écran donne accès à l'ensemble des éléments couramment utilisés en simulation, dont
les principaux sont:
la souris: l'outil le plus utilisé est l'outil sélection,un foissélectionné le clic de la souris l'active les touches du
clavier: "Echap" permet de sortir d'une fomction. "Suppr"effece l'elénent sélectionné.Ces fenétres permi de
saisie des schémas, sont les fonctionnalités essantielles pour faire un travail à préparés.

«File» concerne les fichiers (ouverture, fermeture, «Elements» permet d’accéder aux divers
sauvegarde, impression … ). composants.
«Edit » concerne l’édition (copier, coller, «Simulate» concerne la simulation (paramètres,
connections, orientation … ). lancement … ) et l’affichage (SIMVIEW).
«View» concerne l’affichage (zoom, barres de «Options» permet d’activer ou désactiver des
raccourcis, rafraîchissement … ). fonctionnalités du logiciel
«Subcircuit» concerne les sous-circuits (édition, «Utilities» donne accès à des utilitaires
affichage … ). (convertisseurs, calculatrice … ).
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: Permettant en particulier la copie (circuit sélectionné ou d'écran).

: Outil de sélection.

: Connexion électrique.

: Raccourcis de caissier de composants.

: Boutons de zoom.

: Lancer la Sim.RUM.

: Ouvrir la fenêtre de tercés SIMVIEW.

: Composants de base (masse, R, L, C, Diodes, pont moulé...)

: Blocs de commande.
: Générateurs usuels.

: Voltmètre, ampèremètre, …et sondes V et A.

: Blocs fonctionnels.

3. Dessiner un circuit
Pour un nouveau travail: File, New. Faire File, Save as pour lui donner un nom.

4. Placement des composants


A partir du menu éléments, nous choisissons un composant puis nous cliquons sur Echap le curseur se
transforme en flèche. (Par exemple: R), Ensuite nous plaçons le composant sur la table de travail simplement en
cliquant sur le bouton de gauche de la souris, pour une rotation des composants en cliquant sur le bouton de
droite. On peut sélectionner un composant pour le déplacer ou l'effacer (Suppr).

On réalise le càblage ,menu Edit, wire


On affecte les valeurs aux composants par un double clic

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Figure 2: Circuit en cours de saisir et la nouvelle valeur de R

Name: Option pour faire affiches.


Current Flag: Avec un 1 ou peut visualiser le courant lors de la simulation.
4.1. Présentation générale du logiciel
Les semi-conducteurs: La diode, le thyristor et le transistor charges:

Figure 3: Les nouvelles valeurs de la source alternative

Figure 4: Les nouvelles valeurs de la source de signal carré

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Figure 5: Réalisation d'un circuit


4.2. Placer les appareils de mesure
On place les appareils de mesure. Menu élément, other, probe, Vp, réaliser les connexions. Pour fonctionner
correctement, les appareils ont besoin d'une référence, Menu éléments, other, probe, Ground

Figure 6: Réalisation d'un circuit

4.3. Analyser un circuit


Analyse temporelle: Il faut indiquer les paramètres de simulation,
Menu simulate, simulation control. Le choix des paramètres ici
est délicat, car on peut obtenir des résultats aberrants (éroné).
Time step: pas de calcul.
Total time: temps de simulation.
Print time: temps à partir duquel les résultats sont stockées (donc
visibles dans l’afficheur de courbes).
Printstep: ratio des points stockées par rapport aux points calculés Figure 7: Simulation temporelle
(par exemple 10 indique qu’un point est stocké (donc visible) pour dix points calculés).
Load flag: 1 indique que les conditions initiales sont chargées à partir d’un fichier (d’extension ssf). 0 indique
des conditions initiales nulles.
Save flag: 1 indique que les résultats sont stockés dans un fichier (d’extension ssf). 0 indique pas de stockage.

4.4. Lancement
Le lancement de la simulation fait apparaître automatiquement le logiciel de visualisation des résultats

(SIMVIEW).

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4.5. Visualisation et exploitation des résultats

Variables Available : Variables observables


Variables for Dsplay : Variables à afficher
Add-> : Ajouter
<- Remove : Déplacer
: Zone des opérations entre variables

Figure 8: Exploitation des résultats


4.6. Écran principal et icones de raccourci

Figure 9: Signaux de simulation

«File » concerne les fichiers (ouverture, fermeture, sauvegarde, «Measure» concerne la mesure (repérage de
impression … ). points, calculs sur les courbes).
«Edit » concerne l’édition (copie dans le bloc note). «View» concerne l’affichage (zoom, barres
de raccourcis, rafraîchissement … ).
«Axis » concerne les axes (graduations, type d’échelle, … ). «Options» permet de choisir le mode
temporel ou le mode fréquentiel.
« Screen» concerne les écrans (ajout ou suppression de courbes «Label » donne accès à des utilitaires
ou d’écrans). graphiques (texte, ligne, flèche).

: Choix couleurs, fond, polices…

: Analyseur Fourier

: Pointeur (mesure)

: Ajouter/effacer des courbes sur une fenêtre graphique sélectionnée

: Ajouter une fenêtre graphique

: Rafraîchissement affichage

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: Zoom des courbes avec sélection de la zone à zoomer à la souris

: Copie de l'ensemble de zone de courbe

: Ajouter du texte sur les courbes

: Modification des échelles (très utilisé en X)


: Outil pointeur ou menu Mesure. Déplacement en appuyant sur le bouton de la souris. Un tableau
apparaît avec les coordonnées en X et en Y1, Y2…

Figure 10: Un tableau apparaît avec les coordonnées en X et en Y1, Y2.


Pour effectuer des mesures: Measure > Measure sélectionner la grandeur à mesurer en haut du cadre des
courbes:
Measure > Avg: (Average) pour obtenir la valeur moyenne
Measure > RMS: pour obtenir la valeur efficace
4.7. Écran principal à fond blanc
Pour changer le fond option couleur double clic

Figure 11: Les changements sur fond blanc

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TP Application: Redressement commandé simple alternance


Dans cette séance vous aurez à simuler grâce au logiciel PSIM un montage réalisant la
fonction «redressement commandé simple alternance» grâce à un thyristor.
I. Etude sur charge résistive R
1.1. Ouvrir le logiciel PSIMDEMO et refaire le schéma ci dessous.

1.2. Double cliquer sur le générateur (sinus voltage source) de façon à régler l’amplitude
maximale à 20V et la fréquence à 50Hz. De la même façon régler la valeur de la résistance à
100Ω.
Dans l’onglet simulate insérer dans le document l’horloge du simulator control. Régler les
paramètres de simulation comme indiqués ci-dessous:

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1.3. Lancer la simulation (Run simulation ou F8). Visualiser dans SimView les tensions
Uc(t) et V(t). Commenter leurs allures. Mesurer les périodes puis calculer les fréquences des
tensions Uc(t) et de V(t).
1.4. a) Calculer la valeur moyenne théorique de Uc(t) notée< Uc(t) théo>, tension de sortie du
pont.
b) Mesurer la valeur moyenne de Uc(t) de simulation notée <Uc(t)sim>.
c) Comparer les deux valeurs.
1.5. Visualiser dans SimView les courants i et ic. Commenter leurs allures.
II. Etude sur charge L-R
2.1. Brancher une bobine de valeur L=1,2H en série à la résistance R comme indiqué sur la
figure ci dessous.
2.2. Lancer la simulation (Run simulation ou F8). Visualiser dans SimView les tensions
Uc(t) et V(t). Commenter leurs allures.

2.3. Visualiser dans SimView les courants i et ic. Commenter leurs allures. Régler la bobine à
une valeur de 0,2H et resimuler. Que constatez-vous? Quelle est la conséquence du rajout de
la bobine en série de la résistance sur le courant ic(t)?
2.4. Calculer et représenter la FFT des signaux courant et tension absorbés par le pont + la
charge. Expliquer les différences obtenues entre les courbes sur charge «inductive» et sur
charge résistive.
III. Etude sur charge L-R avec diode roue libre
3.1. Brancher la diode roue libre Dr en parallèle avec la charge inductive R-L comme indiqué
sur la figure ci-dessous.

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3.2. Lancer la simulation (Run simulation ou F8). Visualiser dans SimView les tensions
Uc(t) et V(t). Commenter leurs allures.
2.3. Visualiser dans SimView les courants i et ic. Commenter leurs allures. Régler la bobine à
une valeur de 0,2H et resimuler. Que constatez-vous? Quelle est la conséquence du rajout de
la bobine en série de la résistance sur le courant ic(t)?
2.4. Calculer et représenter la FFT des signaux courant et tension absorbés par le pont + la
charge. Expliquer les différences obtenues entre les courbes sur charge «inductive» et sur
charge résistive.

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TP 1:
Convertisseurs –Machines à
courant continu

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TP N°01: Redressement commandé (Pont tout Thyristors)


Dans cette séance vous aurez à simuler grâce au logiciel PSIM un montage réalisant la
fonction «redressement commandé double alternance» grâce à 4 thyristors (appelé montage en
pont).
I. Etude sur charge résistive R
1.1. Ouvrir le logiciel PSIMDEMO et refaire le schéma ci dessous.

1.1. Double cliquer sur le générateur (sinus voltage source) de façon à régler l’amplitude
maximale à 20V et la fréquence à 50Hz. De la même façon régler la valeur de la résistance
à 100Ω.

1.2. Dans l’onglet simulate insérer dans le document l’horloge du simulator control. Régler
les paramètres de simulation comme indiqués ci-dessous:

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1.3. Lancer la simulation plusieurs fois en modifiant l’angle de retard à l’amorçage comme
indiqué dans le tableau ci-dessous. Faire un relevé de la valeur moyenne de la tension de sortie
notée Uc en fonction du retard à l’amorçage et remplir le tableau ci-dessous.

retard à l'amorçage α (degrés) 0 30 60 90 120 150 170


tension moyenne <Uc>
1.3. Tracer sur le même graphe la caractéristique <Uc>= f(α). Commenter l’allure de la
caractéristique ainsi obtenue.

1.4. Relever pour un retard de 60 l’oscillogramme des tensions V et Uc. Puis relever ceux des
courants i ainsi que ic. Commenter leurs allures.

1.5. Lancer la simulation (Run simulation ou F8). Visualiser dans SimView les tensions
Uc(t) et V(t). Commenter leurs allures. Mesurer les périodes puis calculer les fréquences
des tensions Uc(t) et de V(t).

1.7. a) Calculer la valeur moyenne théorique de Uc(t) notée< Uc(t)théo>, tension de sortie du
pont.
b) Mesurer la valeur moyenne de Uc(t) de simulation notée < Uc(t)sim>.
c) Comparer les deux valeurs.

1.8. Visualiser dans SimView les courants ia et ic. Commenter leurs allures.

1.9. Calculer et représenter la FFT des signaux courant et tension absorbés par le pont + la
charge. Expliquer les différences obtenues entre les courbes sur charge «inductive» et sur
charge résistive.

II. Etude sur charge L-R


2.1. Brancher une bobine de valeur L=1,2H en série à la résistance R comme indiqué sur la
figure ci-dessous.

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2.2. Lancer la simulation (Run simulation ou F8). Visualiser dans SimView les tensions
Uc(t) et V(t). Commenter leurs allures.

2.3. Lancer la simulation plusieurs fois en modifiant l’angle de retard à l’amorçage comme
indiqué dans le tableau ci-dessous. Faire un relevé de la valeur moyenne de la tension de sortie
notée Uc en fonction du retard à l’amorçage et remplir le tableau ci-dessous.

retard à l'amorçage α (degrés) 0 30 60 90 120 150 170


tension moyenne <Uc>

2.4. Tracer sur le même graphe la caractéristique <Uc>= f(α). Commenter l’allure de la
caractéristique ainsi obtenue.

2.5. Relever pour un retard de 60 l’oscillogramme des tensions V et Uc. Puis relever ceux des
courants ir ainsi que i. Commenter leurs allures.

2.6. Calculer et représenter la FFT des signaux courant et tension absorbés par le pont + la
charge. Expliquer les différences obtenues entre les courbes sur charge «inductive» et sur
charge résistive.

TP N°02: Redressement commandé Mixte (Pont Thyristors-Diodes)


Dans cette séance vous aurez à simuler grâce au logiciel PSIM un montage réalisant la
fonction «redressement commandé» grâce à deux thyristors et deux diodes (appelé montage
Mixte).

Ouvrir le fichier pont mixte correspondant au schéma ci-dessous.

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Le circuit de commande des thyristors doit être synchronisé avec le réseau électrique. La
commande de plus doit être variable, puisque on doit être en mesure de modifier l'angle de
retard à l'amorçage á des thyristors.

– Donner le schéma de commutation des thyristors en fonction des alternances du réseau, pour
un á donné.

– Donner le chronogramme de commande des thyristors en fonction du schéma de commutation


précédant.
– A partir de ces informations proposer un synoptique du circuit de commande.
Pour chacune des parties donner le circuit correspondant PSIM et effectuer la simulation pour
vérifier son fonctionnement.

– Pour la suite du TP on utilisera le fichier commande_thyristors.sch pour commander les


commutations de composants. Avantages et inconvénients du circuit proposé.

1.1. Lancer la simulation plusieurs fois en modifiant l’angle de retard à l’amorçage comme
indiqué dans le tableau ci-dessous. Faire un relevé de la valeur moyenne de la tension de sortie
notée Uc en fonction du retard à l’amorçage et remplir le tableau ci-dessous.

retard à l'amorçage α(degrés) 0 30 60 90 120 150 170


tension moyenne <Uc>

1.2. Tracer sur le même graphe la caractéristique <Uc>= f(α). Commenter l’allure de la
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caractéristique ainsi obtenue.

1.3. Relever pour un retard de 60 l’oscillogramme des tensions V et Uc. Puis relever ceux des
courants i ainsi que ic. Commenter leurs allures.

1.4. Calculer et représenter la FFT des signaux courant et tension absorbés par le pont + la
charge. Expliquer les différences obtenues entre les courbes sur charge «inductive» et sur
charge résistive.
TP N°03: Redressement commandé triphasé (Tout Thyristors)
Dans cette séance vous aurez à simuler grâce au logiciel PSIM un montage réalisant la
fonction «redressement commandé triphasé simple et double voie.
Redressement Triphasé simple voie
I. Etude sur charge résistive R
1.1. Ouvrir le logiciel PSIMDEMO et refaire le schéma de la figure ci-dessous.

1.2. Lancer la simulation (Run simulation ou F8). Visualiser dans SimView les tensions Uc(t)
et V(t). Commenter leurs allures. Mesurer les périodes puis calculer les fréquences des
tensions Uc(t) et de V(t).
1.3. a) Calculer la valeur moyenne théorique de Uc(t) notée  U c (t) théo  , tension de sortie du
redressement.
b) Mesurer la valeur moyenne de Uc(t) de simulation notée < Uc(t)sim>.
c) Comparer les deux valeurs.

1.4. Visualiser dans SimView les courants i et ic. Commenter leurs allures.

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II. Etude sur charge L-R


2.1. Brancher une bobine de valeur L=1,2H en série à la résistance R comme indiqué sur la
figure ci-dessous .

2.2. Lancer la simulation (Run simulation ou F8). Visualiser dans SimView les tensions Uc(t)
et V(t). Commenter leurs allures.

2.3. Visualiser dans SimView les courants i et ic. Commenter leurs allures. Régler la bobine à
une valeur de 0,2H et resimuler. Que constatez-vous? Quelle est la conséquence du rajout de
la bobine en série de la résistance sur le courant ic(t)?
2.4. Calculer et représenter la FFT des signaux courant et tension absorbés par le pont + la
charge. Expliquer les différences obtenues entre les courbes sur charge «inductive» et sur
charge résistive.

Redressement Triphasé double voie


I. Etude sur charge résistive R
1.1. Ouvrir le logiciel PSIMDEMO et refaire le schéma de la figure ci-dessous.
1.2. Lancer la simulation (Run simulation ou F8). Visualiser dans SimView les tensions Uc(t)
et V(t). Commenter leurs allures. Mesurer les périodes puis calculer les fréquences des
tensions Uc(t) et de V(t).
1.3. a) Calculer la valeur moyenne théorique de Uc(t) notée  U c (t) théo  , tension de sortie du
pont.
b) Mesurer la valeur moyenne de Uc(t) de simulation notée < Uc(t)sim>.
c) Comparer les deux valeurs.

1.4. Visualiser dans SimView les courants i et ic. Commenter leurs allures.
II. Etude sur charge L-R
2.1. Brancher une bobine de valeur L=1,2H en série à la résistance R comme indiqué sur la
figure ci dessous.

2.2. Lancer la simulation (Run simulation ou F8). Visualiser dans SimView les tensions Uc(t)
et V(t). Commenter leurs allures.

2.3. Visualiser dans SimView les courants i et ic. Commenter leurs allures. Régler la bobine à
une valeur de 0,2H et resimuler. Que constatez-vous? Quelle est la conséquence du rajout de
la bobine en série de la résistance sur le courant ic(t)?

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2.4. Calculer et représenter la FFT des signaux courant et tension absorbés par le pont + la
charge. Expliquer les différences obtenues entre les courbes sur charge «inductive» et sur
charge résistive.

TP N°04: Hacheurs
Le but de ce TP est double: apprendre à utiliser efficacement un logiciel de simulation
temporelle dédié à l’électronique de puissance (PSIM) et en même temps mieux saisir le
fonctionnement des structures de conversion continu-continu sans isolation (hacheurs).
1. Circuit de commande pour hacheur
Le circuit de commande du transistor de puissance sera simulé par un circuit s’inspirant du
schéma ci-dessous. Le signal de commande est généré par comparaison entre un signal
triangulaire à la fréquence de découpage (évoluant entre 0 et +1V) et une tension continue qui
est l’image du rapport cyclique de commande á souhaité. La sortie du comparateur prend les
valeurs logiques 0 ou 1 selon le signe de la tension présente entre ses deux entrées.
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Simuler le fonctionnement de ce circuit de commande pour différentes valeurs de rapports


cycliques et différentes valeurs de fréquences de découpage. Ce circuit sera ensuite utilisé pour
les différents hacheurs étudiés.
2. Hacheur série avec charge de type L-R

Le hacheur série est chargé par une résistance et une inductance (R-L) plus une inductance de
lissage Lc.
Tension d’entrée Ve = +200V
Rapport cyclique α = 0,4 puis α = 0,7
Inductance de lissage Lc=125µH
Fréquence de découpage Fdéc = 10kHz
Courant moyen absorbé par la charge I=50A
• Montrer les formes des tensions et courants représentatifs du fonctionnement de ce hacheur.
• Déterminer expérimentalement la valeur maximale d’ondulation de courant.
3. Hacheur série sur une fem
Le hacheur série est chargé par une force électromotrice modélisant un moteur à courant
continu.
On s’intéresse ici à simuler le fonctionnement en régime permanent avec les conditions
suivantes:
Tension d’entrée Ve = +200V
Rapport cyclique α = 0,4

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Inductance de lissage Lc=125µH


Fréquence de découpage Fdéc=10kHz
Courant moyen absorbé par le moteur I=50A puis I=20A
Attention: ce circuit ne comporte pas de résistance. En régime permanent la tension moyenne
aux bornes d’une inductance est nulle, donc la fem du moteur est nécessairement égale à la
tension de sortie moyenne du hacheur á Ve. Il est indispensable ici d’indiquer une valeur de
courant initial pour l’inductance.
• Déterminer expérimentalement l’ondulation de courant maximale.
• Explorer le fonctionnement en conduction discontinue.

4. Hacheur série avec filtre de sortie LC

Tension d’entrée Ve =+100V


Tension de sortie UC =+30V
Fréquence de découpage Fdéc =20kHz
Inductance Lc choisie pour que l’ondulation de courant crête à crête soit limitée à 30% du
courant de sortie moyen Ic. En régime nominal la charge absorbe un courant 50A.
Ondulations de tension de sortie maximale: 1V crête à crête.
• Déterminer les valeurs de α, de Lc et de C.
• Simuler le fonctionnement dans les conditions spécifiées ci-dessus pour faire apparaître le
fonctionnement en régime permanent en faisant apparaître les grandeurs (courants et tensions)
intéressantes pour expliquer le fonctionnement de ce convertisseur. Vérifier les amplitudes des
ondulations de courant ic et de tension UC.
• Simuler le fonctionnement pour faire montrer le fonctionnement en régime transitoire lors de
la mise en route du hacheur.

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5. Hacheur parallèle pour créer une tension d’alimentation auxiliaire de +15V à


partir de l’alimentation +5V
Conditions de fonctionnement:
Tension d’entrée Ve = +5V
Tension de sortie UC = +15V
Fréquence de découpage Fdéc = 100kHz

Inductance Lc choisie pour que l’ondulation de courant crête à crête soit limitée à 30% du
courant d’entrée moyen Ie.

En régime nominal la charge absorbe un courant 2A.

• Simuler le fonctionnement dans les conditions pour faire apparaître le fonctionnement en


régime permanent.

• Simuler le fonctionnement pour faire apparaître le fonctionnement en régime transitoire lors


de la mise en route du hacheur.

• Faire apparaître les grandeurs (courants et tensions) intéressantes pour expliquer le


fonctionnement de ce convertisseur.

TP N°05: Hacheur à quatre quadrants


5ontage en pont

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4-1- Paramètres de la machine à courant continu


Réaliser le schéma d’une MCC suivant.

- Effectuer les paramétrages de la M.C.C. suivants:


o Induit: Ra= 1 et La= 10mH
o Inducteur: Rd= 75et Ld= 50mH
o Induit (nominal): 200V / 10A / 1500 tr/mn
o Inducteur (nominal): 1A
o Inertie: 0,01 (peu réaliste, pour faciliter les simulations)

- Régler le courant inducteur à 1A.


- Régler la tension d'induit à 200V.

- Déterminer la valeur du rhéostat de champ et le couple nécessaire pour amener la machine à


ses conditions nominales.

5-2- Utilisation en Hacheur à 4 quadrants


- Réaliser le schéma d’un hacheur à quatre quadrants suivant:
- Effectuer les réglages suivants:
o Alimentation: E1= 200V.
o Machine à Courant Continu: identique à la partie (1).
o Fréquence de Hachage: f= 1kHz.
o Base de Temps: pas=10s, durée=5ms.

- Vérifier le bon fonctionnement à l'aide de IL, VS et n (vitesse de la machine) pour α= 50%.

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- Mettre la Machine à Courant Continu à vide.


- Relever Ua.moy (tension aux bornes de l'induit) et n (vitesse de la machine) en fonction de α.
Quelle est la relation Ua.moy= f(α)? Même question pour n=f(α).
- Tracer sur un même graphe, les 3 caractéristiques statiques de commande (à vide) n=f(α)
obtenues. Conclusion.
- Mettre la Machine à Courant Continu en charge avec un couple de 8 Nm.
- Relever IL (ondulation du courant dans l'inductance) en fonction de α.
- Pour quelle valeur de α, obtient on le maximum pour IL? Comparer avec les valeurs
théoriques.
- Cette valeur de IL dépend t elle du couple demandé à la machine?

5-3- Principe de la MLI


- Réaliser le schéma d’une MLI suivant:

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- Effectuer les réglages suivants:


o Oscillateur: 10 kHz et 10 Vpp.
o Signal modulant: 400 Hz et 8 Vpp.
o Charge: 1 k  et 390 nF.
o Base de Temps: pas=10s.

- Vérifier le bon fonctionnement.


- Calculer la durée de simulation pour afficher un nombre entier de périodes (en vue de la
FFT).
- Afficher la porteuse, le signal modulant et le signal modulé. Expliquer le principe de cette
modulation. (On pourra zoomer pour mieux détailler le phénomène).
- Afficher le signal modulant et le signal démodulé. Mesurer le déphasage entre ces deux
signaux. Comparer avec le déphasage introduit par la cellule RC. Conclusion.
- Afficher le spectre de la porteuse, du signal modulant et du signal modulé. Ressemblance et
différence avec la modulation AM. Est ce une modulation à proprement parler.
- Afficher le spectre du signal modulé et du signal démodulé. Quelle fonction doit remplir un
circuit pour être un démodulateur MLI. Comparer la fréquence du signal modulant, la
fréquence de la porteuse et la fréquence de cassure de la cellule RC. Conclusion.
5-4- Utilisation en on onduleur MLI (+E,-E)
- Réaliser le schéma d’une MLI avec hacheur à quatre quadrants suivant:

- Effectuer les réglages suivants:


o Alimentation: E1= 200V.
o Charge: 15 mH et 60.
o Oscillateur: 10 kHz et 10 Vpp.
o Signal modulant: signal carré 400 Hz et 6 V.
o Base de Temps: pas=10 s, durée=5ms.

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- Vérifier le bon fonctionnement du montage.


- Régler R pour que xT/ 1
- Visualiser US (tension de sortie) et IS (courant de sortie). Mesurer alors IS et comparer avec
la valeur théorique.
- Le signal modulant est maintenant une tension sinusoïdale de fréquence 400 Hz et d'amplitude
8 V crête à crête.
- Visualiser le signal modulant, la porteuse et le signal modulé d'une part; Visualiser la tension
de sortie de l'onduleur et la tension aux bornes de la résistance de charge d'autre part.
- Les formes d'ondes sont elles conformes à celles de la partie (4). En déduire le rôle de US et de
IS dans la modulation MLI.

Afficher le signal modulant et le signal démodulé. Mesurer le déphasage entre ces deux
signaux. Comparer avec le déphasage introduit par la cellule RL. Conclusion.

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TP 2:
Convertisseurs –Machines à
courant alternatif

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TP N°1: Onduleur monophasé


1. Onduleur monophasé en demi pont
Durant cette séance vous aurez à simuler grâce au logiciel PSIM un montage réalisant la
fonction onduleur
1.1. Ouvrir le logiciel PSIMDEMO et refaire le schéma de la figure n°1 en réglant les
alimentations à 100V, la résistance à 100Ω.

1.2. Les transistors ont besoins d’un circuit auxiliaire de commande: rajouter ce circuit comme
indiqué en figure n°2. Régler la fréquence du square-wave voltage source à 50Hz comme
indiqué figure n°2.

1.3. Dans l’onglet simulate insérer dans le document l’horloge du simulation control. Régler
les paramètres de simulation comme indiqués ci-contre:

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1.4. Lancer la simulation (Run simulation ou F8). Visualiser dans SimView la tension U.
Dans SIMVIEW modifier l’échelle de l’axe des ordonnées dans l’onglet AXIS->Y-AXIS:
supprimer l’auto-scale et régler à -110V puis +110V. Modifier éventuellement le paramètre
Total time du simulation control, le régler à 0.08 pour visualiser U sur plusieurs périodes.
Commenter son allure. Mesuré sa période puis calculer sa fréquence. Mesurer sa valeur
efficace et comparer ce résultat à la valeur des tensions d’alimentation.
1.5 Visualiser dans SimView le courants i. Commenter son allure. Mesurer les valeurs de Imax
et Imin. Comparer les valeurs obtenues avec celle de Umax et Umin.
1.6. Remplacer la résistance par une bobine de valeur L=1H ainsi que le paramètre initial
current à 0,5A. Visualiser dans SimView le courants i. Commenter son allure.

2. Commande MLI
On utilise le logiciel PSIM pour analyser le fonctionnement d’un onduleur de tension à
commande MLI (modulation de largeur d’impulsions). Le principe d’une commande MLI est
étudié sur une structure simple (onduleur monophasé demi pont), puis sur un onduleur triphasé.
On termine par la simulation de la structure de puissance complète d’un variateur de vitesse
pour moteur asynchrone triphasé (redresseur + onduleur).
Le principe d’une commande MLI est étudié sur un bras d'onduleur (onduleur monophasé demi
pont), avec une charge passive R-L série. Cette structure de base permet de comprendre le
fonctionnement d'un onduleur MLI et l'influence des grandeurs régnantes. Le schéma de
simulation est donné ci-dessous:

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Le circuit de puissance comprend:


- Une source de tension continue à point milieu: Vd1, Vd2;
- La cellule onduleur constituée par les interrupteurs K1 et K2, de type IGBT (insulated gate
bipolar transistor) ;
- La charge R-L, connectée entre le point milieu de la cellule onduleur et celui de la source.
Le circuit de commande comprend:
- Un générateur sinusoïdal fournissant le signal de modulation Vm, de fréquence 50Hz;
- Un générateur triangulaire fournissant la porteuse Vp de fréquence 2kHz;
- Un comparateur qui génère les signaux de commande de K1 et K2 à partir de Vm et Vp.
Les commandes de K1 et K2 sont complémentaires.
Données:
Vd1=Vd2=100V;
R=10Ω; L=10mH;
Vm: amplitude Vmmax =4,5V, fréquence fm=50Hz;
Vp: valeur crête à crête =10V, offset = -5V, fréquence fp =2kHz.
Réaliser la saisie du schéma à simuler (ajouter une sonde pour visualiser le signal de commande
de K1).
Rentrer les paramètres de simulation:
- Période d'échantillonnage: 1. 10-5s,
- Durée de simulation: 40ms,
- Visualisation: à partir de 20ms.
2.1. Étude de la commande des interrupteurs K1 et K2
Visualiser et relever: Vm, Vp (sur le même graphe) et le signal de commande de K1.
Faire un zoom sur quelques périodes de découpage (4 ou 5), et relever les graphes.
En analysant les formes d’ondes, expliquer le principe de la commande MLI.
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2.2. Étude de la tension et du courant de sortie


Visualiser sur 2 graphes séparés et relever:
- Vs: tension de sortie,
- Is: courant dans la charge.
Préciser: les niveaux de tension de Vs.
Mesurer la valeur efficace de Is : IsRMS.
Utiliser le module FFT pour réaliser la décomposition spectrale de Vs et Is.
Visualiser et relever les spectres (entre 0 et 5kHz). Evaluer les amplitudes et les fréquences du
fondamental et des premiers harmoniques présents.
Commenter les formes d'ondes et les spectres de Vs et Is.

2.3. Étude des paramètres de la MLI

2.3.1. Fréquence de découpage : fp


• Modifier la fréquence de la porteuse: fp =6kHz.
Visualiser et relever les graphes de Vs et Is.
Quelle modification constatez-vous par rapport aux graphes relevés en 1-2? Justifier.

2.3.2. Amplitudesdu signal de modulation : Vm


• Avec fp =2kHz, modifier l'amplitude du signal de modulation: Vmmax =3V.
Visualiser et relever les graphes de Vs et Is. Mesurer la valeur efficace de Is.
Visualiser et relever le spectre de Vs. Mesurer l'amplitude du fondamental de Vs(Vsfmax).
Comparer les valeurs de Vsfmax et IsRMS à celles mesurées en 1-2. Conclure.
Vérifier la relation:

Avec:
Vsfmax: amplitude du fondamental de Vs,
Vmmax: amplitude de Vm,
Vpmax: amplitude de Vp.
TP N°2: Onduleur triphasé
1. Etude d'un onduleur triphasé
Un onduleur triphasé est constitué de trois cellules identiques à celle étudiée dans la partie 1, les
signaux de modulation générant la commande de chaque cellule étant décalés de 2π/3. La
porteuse triangulaire est commune aux trois cellules.
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Données:
Vc=450V; R=5Ω; L= 20mH;
Vm: Amplitude Vmmax=4,5V, fréquence fm=50Hz;
Phase de Vm: φ1=0°, φ2=-120°, φ3= -240°.
Vp: Valeur crête à crête =10V, offset =-5V, fréquence fp =2000Hz.
Simulation:
Visualiser sur 2 graphes séparés et relever:
- Us: tension entre phases, en sortie;
- Is1, Is2, Is3: courants dans chaque phase de la charge.
Préciser les niveaux de tension de Us.
Visualiser et relever le spectre de Us (0 ≤f≤5000Hz).
Commenter les formes d’ondes de Us et Is1,2,3. Comparer la décomposition spectrale de la
tension de sortie de l’onduleur triphasé (Us) avec celle observée sur l’onduleur monophasé demi
pont (en 1-2).
2. Structure de puissance d’un variateur pour moteur asynchrone
triphasé
La structure de puissance d’un variateur de vitesse pour moteur asynchrone triphasé comporte:
- Un redresseur à diodes à l’entrée;
- Un condensateur de filtrage sur le bus continu;
- Un onduleur triphasé à commande MLI.
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Pour simplifier la simulation, la charge est passive: R-L triphasé.


Les formes d’ondes obtenues sont pratiquement identiques à celles que l’on aurait avec un
moteur asynchrone triphasé, en régime permanent.
3. Schéma de simulation:

Données:
- Tension d’alimentation: Ua=400V;
- Impédance du réseau: Ra=40mΩ; La=0,2mH;
- Condensateur de filtrage: C=2mF;
- Charge:R=5Ω; L=20mH;
- Vm et Vp: mêmes valeurs qu’en 2.
Simulation:
Régler l’horloge de simulation pour pouvoir visualiser 2 périodes en régime permanent établi.
Visualiser sur 2 graphes séparés et relever:
- Ir: courant dans la phase 1 du réseau d’alimentation ;
- Is1, Is2, Is3: courants dans chaque phase de la charge. Mesurer IrRMS.

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