Texte n°4 2 ème objet d’étude : le roman : « Colette, Sido Les Vrilles de

la vigne » p39-p40 Introduction Colette est une romancière et une

journaliste du XXème siècles, née en 1873 et morte en 1954. Elle écrit

les Vrilles de la vigne en 1908 et Sido en 1930. Cette femme écrivaine

est athée, féministe adorée par sa mère. Elle accorde bcp d’importance

à la description de sa région natale la bourgogne et aussi à sa jeunesse

et a l’image de sa mère. En quoi l’image de la mère Sido fascine-t-elle sa

fille Colette ? Nous étudierons d’abord l’exaltation sentimental dans le

1er mouvement du texte puis l’image de la mère Sido dans le 2ème

mouvement. I. L’exaltation sentimental dans le 1er mouvement. Colette

perçoit la ville de Paris uniquement par l’intermédiaire de sa mère. La

mère est donc un filtre pour sa fille car l’image de Paris est totalement

contrôlée par Sido. Ce qui fait rêver colette c’est surtout la personnalité

fantaisiste de sa mère. A son retour de Paris il y a le déballage des

cadeaux en grand nombre, Sido accumule des produits que l’on ne

trouve pas à cette époque en province. Le chocolat en barre, les

denrées exotiques ce qui apparait dans la construction de la phrase elle

revenait lourde de chocolat. Il y a aussi les étoffes en coupons qui

montre l’élégance, le raffinement vestimentaire de Sido. Elle aime la

mode parisienne. On le voit avec les programmes de spectacle : cela

caractérise la ville culturelle parisienne c’est la preuve que Sido est une

femme raffinée, cultivée est sensuelle quand elle d écrit la ville de Paris
et sa fille le remarque : « elle commençait de nous peindre Paris dont

tous les apprêts était à sa mesure » on voit la curiosité de Sido car elle

veut tout connaitre et tout voir de la vie parisienne ex : « d’un geste, d’un

regard elle reprenait tout » c’est une femme aux occupations multiples il

y a une antithèse entre tous les apprêts et elle ne dédaignait rien. Le

passage suivant détaille aussi des occupations par des énumérations : «

le musée a grandi, le nouveau magasin, la conférence, le manteau… »