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Du fait du peu de présence d’altération dans la zone, les fractures observables sur photo
aérienne sont la voie privilégiée des eaux d’écoulement. C’est pourquoi la plupart des
implantations se situent au bord d’un sakasaka et ne nécessitent pas d’étude géophysique.
Chaque étude géophysique a fait l’objet de fiches d’interprétation à l’aide du logiciel Résix.
Celui-ci calcule l’épaisseur des différentes couches rencontrées (sol, altération, socle) lors
d’un sondage électrique, et permet de tracer le profil de traîné en résistivité relative.
8 sites ont été étudiés ( cf. tableau récapitulatif en annexe avec les fiches)
Le traîné a été effectué afin de vérifier la continuité latérale du terrain. Il n’a pas mis en
évidence d’anomalie particulière.
site 486 : un sondage électrique a été réalisé sur le point que l’hydrogéologue estime être
favorable pour l’implantation, afin de connaître le type de terrain :
- environ 0,6 m de sol
- 4,3 m d’altération très conductrice
- puis le socle altéré (630 m)
site 601 : un sondage électrique a été réalisé sur le linéament vu par photo-interprétation,
malgré la présence de dalles de granite sain partout dans les environs. A 2,5 m de profondeur,
la résistivité est déjà très élevée (6 500 m) ce qui met en évidence l’absence de fracture. Il
semble qu’aucune implantation ne soit possible.
site 833 : le traîné électrique effectué indique la présence d’un substratum très résistant à
faible profondeur qui correspond au socle dur. L’implantation Dinika (piquet) ne semble donc
pas pouvoir être retenue. Une implantation de secours est à prévoir.