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Dans les années 80, le monde d’architecture a découvert les premiers outils
informatiques qui ont bouleversés le métier de l'architecte. Cette découverte des logiciels
dits DAO, « dessin assisté par ordinateur », servant à produire les dessins graphiques 2D,
ont donnés un coup de pouce dans la production des projets d'architecture. Ainsi, les
logiciels CAO, « conception assistée par ordinateur », ont été adoptés rapidement dans le
domaine d’architecture du fait que leurs utilisations ont aidées l’architecte à exprimer son
activité créative et faciliter la communication du projet d’architecture en diverses
représentations 2D et 3D.
Le BIM entre dans tous les travaux et projets comme facteur principal pour la
réalisation d’un nouveau projet, comme outil révolutionnaire pour accompagner les
acteurs en situation de démarche qualité partagée entre eux.
Démarche méthodologique :
• La démarche BIM est mal comprise par certaines personnes dans le domaine de
génie civil, et presque inconnue pour d’autres. Pour mieux comprendre, une stratégie bien
claire est proposée afin d’aider à la bonne lecture.
• Voir une lecture et une compréhension du thème de façon Globale et des concepts
clés.
• Dans un premier temps, en essayant de dissocier les deux processus (la conception
et le processus BIM), tous seuls.
• Procéder à l’analyse d’un cas d’étude précise, à partir d’une simulation sur leur
conception.
Introduction :
Plusieurs rapports sur le secteur de la construction relèvent des problèmes
systémiques dans le processus de construction, touchant aux niveaux de collaboration, au
sous-investissement dans la technologie, et à une mauvaise gestion des informations. Ces
problèmes ont pour
Conséquence une utilisation non optimale des fonds publics ainsi qu’un risque financier
plus élevé en raison des dépassements de coût non maitrisés, des retards dans la livraison
des infrastructures publiques et des modifications apportées au projet qui auraient pu être
évitées.
1-L’origine du BIM :
Il est curieux de constater que dans l’ingénierie mécanique, on utilise depuis
longtemps la Modélisation numérique. Cela a commencé avec le logiciel Uni surf de
Renault en 1971, et plus tard Dassault Aviation a développé le logiciel Catia en 1981 pour
ses propres besoins. Son utilisation a pu Ensuite être généralisée au domaine de
l’ingénierie mécanique En effet pour représenter un objet mécanique par le biais de plans
et coupes 2D, beaucoup plus de documents sont nécessaires pour représenter un bâtiment
car ce dernier se structure par étage. Le besoin de représentation 3D dans ce domaine a
donc, je pense, été moteur dans le développement de la modélisation numérique. De plus,
la conception d’un objet mécanique est généralement gérée par une seule entreprise, alors
que dans le BTP, il y en a une pour chaque domaine (électricité, structure, architecture,
climatique…).
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, une maquette numérique comporte plus
que 3 dimensions. A ces dimensions d’espace s’ajoutent un nombre variable de
dimensions selon les informations fournies dans la maquette.
5-1- BIM 2D :
De la maquette numérique nous pouvons extraire autant de plans 2D que nécessaire, par
l’intermédiaire de vues et feuilles qui sont actualisées automatiquement avec l’évolution du
projet.
5-2- BIM 3D :
C’est grâce aux 3 dimensions spatiales de la maquette que les différentes vues 2D sont
mises à jour automatiquement. Des vues 3D sont bien sûr définissables de manière à
visualiser le
projet selon l’angle voulu. La 3D permet de caractériser et de visualiser les conflits entre
les différents sous-projets, et de calculer les quantités de matériaux ou d’équipements.
5-3- BIM 4D :
A ces 3 dimensions géométriques s’ajoute le vecteur temps. Les éléments géométriques
peuvent être liés à un planning de construction. Ainsi, les différents acteurs du projet ont
la possibilité de visualiser dans le temps la durée d’un évènement ou la progression d’une
phase de construction.
5-4- BIM 5D :
Avec la cinquième dimension, le modèle est complété par des éléments de ressources
(méthodes, matériels, ressources humaines…). La présence de ces éléments permet
d’ajouter
une donnée de coût à la maquette numérique, et ainsi d’estimer les coûts de construction
du projet, voire le coût global.
5-5-BIM 6D :
Nous pouvons aller plus loin en définissant de nouvelles dimensions pour le BIM. Chaque
strate de données qui est présente dans la maquette enrichit le niveau d’information du
modèle numérique et ajoute une nouvelle dimension au sens du BIM.
Et pour cause, il n’y a pas de collaboration. Chaque collaborateur met à jour ses données
indépendamment. Les échanges de données peuvent tout de même se faire sous forme
numérique en utilisant des plateformes de mise à disposition de fichiers. A ce niveau, le
potentiel du BIM est clairement sous-exploité. En effet, les modèles utilisés ne sont pas
paramétriques et les échanges de données ne sont pas standardisés et donc non
exploitables automatiquement d’un acteur à un autre.
De plus, les modèles 3D utilisés sont paramétriques, c’est à dire qu’on manipule des
objets intelligents. Ce ne sont plus de simples formes géométriques mais de véritables
composants de la construction (porte, mur, fenêtre, escalier…) qui évoluent
intelligemment ensemble, et contiennent tous les paramètres qui seront utiles pendant le
cycle de vie entier de l’ouvrage, tels que son identification, son modèle, sa composition,
ses caractéristiques techniques, son fournisseur, son prix, etc.
Il s’agit du niveau de collaboration utilisé par Edeis pour mener à bien ses projets.
6-4- BIM niveau 03 :
Au 3ème niveau de maturité BIM, le travail se fait sur une maquette de référence. Il y a
donc nécessité d’un outil qui fournit la base de données à l’ensemble des acteurs. Par
exemple, BIM Server ou Revit Server mis à disposition par l’un des acteurs du projet (en
général la maîtrise d’ouvrage ou le maître d’œuvre). Ou encore une plateforme
collaborative de type Cloud comme BIM Cloud ou A360 Collaboration for Revit. Un bon
nombre de problèmes se pose encore à l’heure actuelle pour une application massive de
ce niveau. En effet, les responsabilités de chacun doivent alors être clairement définies et
les processus utilisés entre les acteurs sont fondamentaux.
« Le BIM n’est donc pas un objectif en soi, mais une méthode de travail collaborative
Et efficace nécessitant l’engagement de tous les acteurs.»
7-1-2-Visualisation et contrôle
La maquette numérique du BIM permet de visualiser plus rapidement le résultat final
et de contrôler si tous les éléments sont compatibles. Pour les maîtres d’ouvrage, qui ne
sont pas habitués aux plans techniques en 2D, une maquette numérique constitue un réel
avantage.
Le BIM (model) profite également aux exécutants : il peut, par exemple, être utilisé pour
examiner en 3D des éléments qui n’étaient pas clairs en 2D, ou pour extraire directement
du BIM (model) des quantités et même les contrôler.
7-1-3-Simulation
Différents scénarios peuvent être simulés virtuellement : analyse énergétique
(enveloppe du bâtiment), analyse de la lumière du jour, analyse acoustique, …Le modèle
d’information du bâtiment permet d’effectuer différents calculs comme des analyses
concernant la lumière du jour, l’acoustique et la consommation énergétique.
Fig 07 :simulation
Source :google image
7-1-4-Stimulation de la collaboration :
*Deux paramètres doivent être pris en considération pour une utilisation optimale du BIM
:
-dès la phase de conception, toutes les parties concernées devraient se réunir pour
partager leurs informations.
-le BIM devrait être utilisé par tous les partenaires du projet. Plus ils seront nombreux à le
faire, plus l’utilisation du BIM sera efficace.
7-1-5-Economies :
Lorsqu’on utilise le BIM dans un projet, c’est principalement lors de la phase de
construction que des économies sont réalisées.
Le BIM permet de réduire les coûts liés aux erreurs d’exécution, notamment par la
détection des conflits ou le bon échange d’informations, qui permet de détecter les
conflits au préalable.
Fig 08: décisions de réalisation des modifications dès le début (phase de conception) a une influence
positive sur les coûts et les prestations de l’ouvrage.
Source : google image.
Ces deux courbes indiquent donc que le fait de prendre des décisions de réalisation
des modifications dès le début (phase de conception) a une influence positive sur les coûts
et les prestations de l’ouvrage. C’est l’un des principaux avantages du BIM. L’utilisation
du BIM
7-1-6-Accessible à tous :
Pour que la transition s’opère en douceur, il convient d’avancer pas à pas. Le simple fait
de dessiner à l’aide d’un logiciel BIM, sans recours aux BIM (models), offre ainsi
différents avantages. Ces modèles peuvent ensuite être partagés avec d’autres parties et
éventuellement être complétés par des informations relatives aux coûts et à la
planification.
7-1-7-Outil de gestion :
Après le processus de construction, le maître d’ouvrage et/ou le gestionnaire peut
continuer à employer le BIM lors de la phase d’utilisation de l’ouvrage. Le BIM (model)
constitue en effet une source d’informations importantes et utiles. On peut, par exemple, y
trouver toutes les données nécessaires au remplacement d’une partie du système de
ventilation.
*on peut constater huit phases dans la réalisation d’un projet structuré dans lesquelles le
BIM joue un rôle crucial :
1. Conceptualisation (programmation).
2. Conception des critères (conception schématique).
3. Conception détaillée (développement de la conception).
4. Mise en œuvre de la phase des documents (documents de construction).
5. Examen par l’agence.
6. Rachat.
7. Construction (administration des contrats).
8. Clôture.
Au cours de ces huit phases, les rôles du BIM peuvent être regroupés en sept domaines) :
•Prise de décision :
La diminution des mauvaises décisions de conception à l’aide des modèles et outils BIM
pendant la conception et la construction permet d’améliorer nettement la prise de
décision.
•Estimation de préconstruction :
La réduction du niveau d’approximation et d’inefficacité en maximisant les schémas de
conception générés pendant le processus BIM améliore l’estimation de préconception.
Cela inclut également l’optimisation de l’utilisation de multiples modèles d’établissement
des prix par le contractant et la réutilisation comme modèles numériques as-built sur les
nouveaux marchés.
•Approvisionnement et planification :
La refonte de l’approvisionnement et de la planification de projet grâce à l’emploi de
modèles de délai et de coût (BIM 4D/5D) élimine les arrêts de production sur chantier et
améliore la coordination, le chevauchement et le phasage des métiers.
•Coordination :
La réduction du nombre d’erreurs de coordination sur chantier en intégrant les modèles
de la conception principale très tôt dans le processus et en utilisant le logiciel de détection
de conflits pour faciliter la coordination de conception interdisciplinaire résout les
problèmes de coordination virtuellement plutôt que sur le terrain.
•Rentabilité :
La réduction de l’impact sur les coûts des erreurs de coordination, d’une fabrication
incorrecte et d’une mauvaise installation en adoptant un processus de travail prédéfini du
•Documents de clôture :
La migration vers une approche axée sur le BIM de tous les documents du projet
basculant les documents de clôture traditionnels en exemplaires numériques permet au
propriétaire du projet/à l’opérateur de continuer à utiliser les documents de la phase de
design et de construction jusqu’à la gestion d’installations et la gestion globale du cycle
de vie du bâtiment.
8-Potentiels du BIM :
Les potentialités du BIM sont nombreuses. Dans ce large panel, nous limiterons aux potentiels
dans la phase de conception, touchant la maîtrise d’œuvre et non la maîtrise d’ouvrage. Selon LE
MONITEUROn distingue les potentiels suivants :
8-1-Le BIM comme aide au relevé de l’existant :
À l’heure actuelle, le scanner laser 3D est une nouvelle technologie qui permetde
retranscrire informatiquement son environnement sous forme de nuages de points.
La précision est remarquable. Elle peut aller jusqu’à 2mm pour une portée supérieure 300
mètres.
Toutes les données sont ainsi rapidement et précisément récoltées en une seule visite. Le
projet entier se matérialise à l’écran. L’atout se porte également sur l’export possible de
Fig 11: le modèle paramétrique développé par Bentley, qui permet de modéliser des formes à géométrie
complexe.
Ces critères qui, habituellement, dépassent les capacités de l’architecte, sont ainsi
rapidement effectués, alors l’architecte n’a plus besoin de demander à une tierce
personne. « Le projet peut évoluer rapidement en fonction des résultats la performance
souhaitée. L’autre avantage est de permettre à l’architecte d’effectuer autant d’analyses
que souhaité. Toutes les possibilités envisagées par l’architecte peuvent
Être testées. »La figure suivante mettre en scène l’analyse des points thermiques avec le
logiciel« ArchiWIZARD ».
Changement. Cet avantage est un véritable gain de temps pour l’architecte, et il permet
chaque intervenant du projet (Bureau d’étude, structure...) de modifier cette même
maquette.
Fig 13: « la Courbe de Mc Leamy » qui trace l'impact du travail collaboratif sur le poste de conception.
À la suite de cette énumération, nous pouvons conclure que les potentiels du BIM sont
nombreux.
Découvrons, à présent plus en détails ces aspects bénéfiques de l’emploi du BIM pour les
professionnels comme pour le maître d’ouvrage. Nous limiterons cependant notre
Développement à la partie conceptuelle du projet, excluant la phase de réalisation. Le
travail collaboratif sera largement abordé.
conditions :
Le plan papier est voué à disparaître d’ici quelques années. Le passage à des plans 3D
(3 dimensions géométriques X-Y-Z) normalisés IFC (Information For Construction) dans
l’utilisation du BIM est crucial. C’est un format de données neutre, normalisé ISO et
ouvert, permettant la définition de classes associées à tous les objets de construction.
Cette caractéristique améliore la qualité des projets et garantit une meilleure
interopérabilité vis-à-vis des éditeurs de logiciels.
L’essence même de la maquette numérique repose sur cette notion de 3D. L’utilisation de
cette technologie permet d’avoir une visualisation complète de la préfabrication du projet
par le biais de simulations, le calcul des quantités ou la détection des interférences.
L’intérêt est double : réfléchir à long terme sur les bénéfices apportés par cette nouvelle
solution par rapport à celle « manuelle », et la faire adopter par tous à travers ses
avantages.
C’est ici qu’un accompagnement prend tout son sens. Le premier, le deuxième voir le
troisième projet, réalisés avec le BIM, rencontreront certaines lenteurs dans leur
réalisation, faute d’un environnement connu des utilisateurs. L’appui de l’éditeur de votre
solution, les institutions ou les fédérations compétentes en matière de BIM est alors
indispensable dans cette phase de démarrage.
Pour ce qui est du profil du BIM Manager, chaque métier comporte des avantages qui lui
sont propres. Un architecte possède un esprit assez complet du projet, tandis que
l’économiste aura celui le plus concret. Une autre piste est donc étudiée pour les projets
importants : nommer un BIM Manager PAR phase de projet. Par exemple, pendant la
phase de conception du projet, l’architecte a le meilleur rôle pour être BIM Manager.
L’économiste prendra le relais pendant le DCE (Dossier de Consultation des Entreprises).
Si aucun acteur, quel que soit son métier n’a les pré requis pour endosser un tel rôle,
une autre alternative existe : prendre un prestataire externe si cela est possible. Choisir
son prestataire en fonction du panel de services proposés est important. Car ces derniers
deviennent souvent incontournables dans les premières utilisations d’une solution BIM.
Le partage de l’information se fait alors en temps réel et entre tous les acteurs d’un
même projet de construction. Il est donc capital de composer une équipe non seulement
avec les compétences requises, cela va de soit, mais également apte à adopter cette
méthode de travail révolutionnaire !
Au-delà du point de vue purement financier, qui intègre le cout d’achat, de formation, de
mise à jour de conversion des fichiers ou même d’achats de bibliothèque, il est toujours
judicieux d’aller plus loin, en vous intéressant non plus au produit, mais à l’entreprise qui
le propose, à son ADN, à ses services.
-Les matériaux
-Les objets
-Les assemblages
-Les détails
Ces composants peuvent être classés en 3 catégories :
-Primaire
-Secondaire
-Tertiaire
Les composants primaires sont les éléments qui entourent et donnent accès aux
espaces. Ce sont les planchers, murs, plafonds, toits et ouvertures. Ces composants
primaires sont généralement ajoutés dès les études de faisabilité.
Les composants secondaires sont essentiels pour la conception, mais demeurent non
spécifiés au début de la modélisation. Ce sont des éléments non structuraux tels les
escaliers, les balustrades, les murs de partition des WC, casiers, etc.
Les composants tertiaires sont des composants de détail tels les meubles, luminaires, etc
Les modèles peuvent rapidement contenir énormément d'informations. Bien qu'il soit
préférable d'avoir des informations et de ne pas s'en servir plutôt que de ne pas les avoir et
en avoir besoin, les modèles ne devraient pas contenir de données qui ne sont pas utiles
plus tard. Il est nécessaire de définir une convention pour les noms des composants afin
qu'ils soient facilement identifiables lors des requêtes faites sur la base de données.
Les objets non paramétriques et CAO ont leur place dans le modèle mais plus à des fins
d'aide à la conception d'objets BIM.
L'utilité d'une maquette dépend des informations qu'elle contient. Il a différents types
d'informations, certains graphiques, d'autres informatives. Avant d'ajouter des
informations, il est important de se demander si celle-ci sera nécessaire plus tard dans le
projet. Il est inutile d'ajouter des informations qui ne servent à personne. Voici certains
types d'informations à ajouter :
-Dimensions
-Identifications
-Performance
-Installation/application
-Utilisation/Durabilité
-Gestion et maintenance
-Spécification
9-4-Vérification de la Maquette Numérique :
La mise en place d'un contrôle de la qualité de la maquette numérique est probablement
l'aspect le plus important du BIM. Il faut bien se rendre compte que les modèles que nous
développons vont faire partie plus tard d'un contrat de construction, sous forme de dessins
ou de données extraites.
Lors de la création d'objets BIM, la qualité est encore plus importante car l'objet
représente le meilleur moyen de marketing pour les fournisseurs.
Il est préférable si possible de nommer une seule et même personne pour le contrôle
qualité et la maintenance des modèles. Cela assurera un niveau uniforme de la qualité.
Toutefois toutes les personnes impliquées dans la création de composants ou de modèles
doivent avoir une vision très claire de la façon de développer un modèle, des standards et
niveaux de détails associés.
données et ce durant la durée de vie d'un bâtiment, depuis les premières études à la
démolition, en passant par la conception, la planification, la construction et l'utilisation.
Les IFC sont probablement le format Open BIM le plus connu et le plus utilisé. La
complexité des données pouvant être échangées augmente à chaque nouvelle version. Les
IFC permettent
de représenter la géométrie des objets, la relation et le lien avec d'autres objets, les
propriétés, les métadonnées nécessaires à la gestion de l'information et les informations
non-graphiques.
Actuellement les IFC sont le seul format open suffisamment développé pour le BIM. Ce
format s'est imposé comme le standard mondial et est maintenant une norme ISO
(16739:2013). Les principales applications BIM sont capables d'importer et d'exporter les
IFC.
Conclusion :
Le BIM constitue un réel atout pour l’architecte. Travailler en maquette numérique. Lui
permet :