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La figure de style est . i - Enfin ! il m’est donc permis de me délasser dans un
bain de ténèbres ! (« À une heure du matin » de
Charles Baudelaire)
c - On le poursuivit sans relâche pendant une heure, et
je commençais à croire qu’il serait très difficile de s’en La figure de style est .
emparer, quand cet animal fut pris d’une
malencontreuse idée de vengeance dont il eut à se
repentir.
j - Dans Le Barbier de Séville de Beaumarchais,
(Vingt mille lieues sous les mers de Jules Verne) Figaro après avoir été insulté de coquin et de
maraud par le comte Almaviva, lui répond : […] Voilà
La figure de style est . les bontés familières dont vous m’avez toujours
honoré. (Beaumarchais, Le Barbier de Séville, I, 2)
d - [...] une telle huître contient quinze kilos de chair, La figure de style est .
et il faudrait l’estomac d’un Gargantua pour en
absorber quelques douzaines. (Vingt mille lieues sous
les mers de Jules Verne)
k – Chiméne à Rodrigue, son amant qui vient de tuer
en duel son père : « Va, je ne te hais point. »
La figure de style est .
Corneille, Le Cid.
e - Je suis deux jours sans la voir, qui sont pour moi La figure de style est .
des siècles effroyables [...] (Le Bourgeois
gentilhomme de Molière)
l - Les secrets les plus hauts s’y laissent concevoir, Et r - « L'arbre tient bon, le roseau plie. »
l’on sait tout chez moi, hors ce qu’il faut savoir.
La Fontaine, Fables, « Le Chêne et le roseau ».
Molière, Les Femmes savantes, II 7.)
« Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur »
Définition : Il s’agit du code qui permet de déchiffrer l’intention de l’auteur, l’esprit dominant dans lequel le texte a
été écrit.
Quand c’est une tonalité, le registre traduit la vision que l’auteur ou son personnage a du monde.
Quand il s’agit de sa fonction, il faut rechercher l’effet et l’émotion qu’il cherche à susciter chez le lecteur.
LE COMIQUE
LA SATIRE
LE
BURLESQUE
L’HEROÏ-
COMIQUE
LE
POLEMIQUE
LE TRAGIQUE
LE
PATHETIQUE
LE LYRIQUE
L’EPIQUE
LE
DIDACTIQUE
LE
MERVEILLEUX
LE
FANTASTIQUE
A utiliser à chaque fois que vous rédigez ! Même dans les autres matières !
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ECRIT : LE COMMENTAIRE
But : Il s’agit d’expliquer un texte en montrant comment l’auteur a réussi à produire l’effet voulu.
1. Pour préparer (inventio)
Analysez le paratexte (sources et chapeau) : l’auteur (voir sa biographie) et son époque (voir les événements
historiques, contexte politique et social…) : quels sont les éléments propres à l’esthétique de l’époque de
l’auteur (mouvement littéraire) ? Que peut-on déduire du titre ?
Repérer la place du texte dans l’œuvre : incipit ou excipit, exposition ou dénouement ?... Quel enjeu est lié à
cette situation dans le texte?
Étudier le texte par rapport au genre (objet d’étude annoncé et vocabulaire associé). Forme du texte ?
Étudier le texte en lui-même de façon linéaire : repérage des mouvements du texte, des thèmes, du registre
(voir les procédés utilisables pour l’explication et le commentaire).
Reporter le plan de la structure du commentaire sur une feuille de brouillon. Pour chaque paragraphe de
commentaire reproduire le tableau suivant (soit 9 fois au maximum) :
1.Idée directrice du paragraphe : pensez à ajouter un adjectif qualificatif
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A connaître pour le commentaire et l’explication linéaire !
En gras, vous trouverez le nom de certaines figures de style qui correspondent au procédé donné.
noms commun ou propre (antonomase) ou groupe nominal (fonction : complément du nom ou apposition)
déterminants définis, indéfinis, partitifs, possessifs, démonstratifs, numéraux, indéfinis, interrogatifs et exclamatifs
adjectif qualificatif : comparatif et superlatif (relatif), péjoratif, neutre, mélioratif ou groupe adjectival (complément de l’adjectif)
pronoms personnels sujets ou compléments, possessifs, démonstratifs, indéfinis, relatifs ou groupe pronominal
verbes transitifs ou intransitifs, voix active ou passive, modes (indicatif, subjonctif, impératif, infinitif, participe), temps (voir valeurs
pour chaque temps de l’indicatif et des autres modes !), de parole, d’état, d’action, de mouvement, pensée, de perception, de
sentiment…
adverbes ou groupe adverbial
prépositions ou groupe … prépositionnel
conjonctions de subordination ou coordination
interjections (à la différence de l’onomatopée)
PHRASE
non verbale
verbale simple ou complexe (juxtaposition (asyndète), coordination, subordination)
forme affirmative, négative, emphatique, présentative, active et passive
type déclarative, exclamative, interrogative (question rhétorique), injonctive
fonctions : sujet, attribut (du sujet ou du cod), complément d’agent, complément d’objet (direct ou indirect), complément essentiel,
complément circonstanciel (temps, manière, cause, conséquence, but, concession, opposition, condition, comparaison), complément du
présentatif, l’apostrophe
Propositions juxtaposées, coordonnées, subordonnées (relative, conjonctive complétive ou interrogative indirecte, participiale,
infinitive), incise.
LE SENS DU TEXTE
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FORME du texte, organisation en paragraphes, en répliques, disposition sur la page, longueur, nombre, rythme binaire
(parallélisme, antithèse) ou ternaire.
TYPES DE TEXTE narratif (descriptif, discours rapporté, action), descriptif, explicatif, argumentatif, injonctif et
REGISTRES (voir fiche)
PROGRESSION THEMATIQUE à thème constant, linéaire, à thèmes dérivés, (gradation ascendante ou descendante)
LES 5 SENS
LES GENRES du discours narratif, poétique, théâtral, argumentatif (voir fiches) et les sous-genres
PRESENCE/ ABSENCE : ce qui est présent, voire répété (anaphore, pléonasme), ce qui absent.
DISCOURS situation d’énonciation, niveaux de langue, objectif ou subjectif (modalisateurs qui expriment le degré de
certitude), (litote, euphémisme, hyperbole)
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ECRIT : LA DISSERTATION SUR OEUVREÀ L’E.A.F.
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- 1 : phrase d’accroche : contexte historique ou élément sur le genre littéraire concerné en lien avec le sujet de la
dissertation
- 2 : on présente l’auteur, l’œuvre en lien avec le sujet de la dissertation
- 3 : on introduit le sujet (en insérant la citation, s'il y en a une, dans la phrase), en reformulant éventuellement le
sujet et en donnant son intérêt, en montrant la tension, le problème qu’il pose, le préjugé sur l’œuvre…
- 3 : on formule la problématique (qui assurera la cohérence, le fil directeur de votre argumentation : "en quoi...",
"comment...", "dans quelle mesure...")
- 4 : on annonce le plan en deux ou trois phrases claires (axes de résolution de la problématique).
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- Les règles de lisibilité, d'orthographe, de syntaxe, de grammaire, de ponctuation.
- Un niveau de langue approprié et un vocabulaire précis, technique.
Développement
On reprend chaque mouvement l’un après l’autre. On pense à reprendre à chaque fois l’intitulé
du mouvement donné en introduction. Il donne l’idée directrice en fonction de laquelle vous
sélectionnez les procédés dans le texte.
Pour ce qui concerne la méthode d’analyse, elle est identique à celle que l’on trouve dans un
commentaire : il s’agit de tresser ensemble mise en évidence des effets produits sur le lecteur (1)
analyse des procédés d’écriture (2) citations précises du texte (3). Il faut montrer à chaque fois le
lien avec l’intitulé du mouvement.
Brouillon possible :
I intitulé du mouvement
On évite plus que tout une litanie qui consisterait à énumérer : « ligne 1 il y a ceci, ligne 2 cela
etc. » – le « saucissonnage du texte » (c’est-à-dire le fait de le découper en tranches sans faire valoir
son unité) est interdit.
Entre chaque partie, comme dans le commentaire, on ménage un temps de bilan-transition – là
encore pour bien faire percevoir à son auditeur que le texte n’est pas composé de « morceaux » isolés
les uns des autres mais au contraire a une unité forte.
Conclusion
¤ Bilan de l’explication : on fait la synthèse de la démonstration, qui permet de conclure le projet de
lecture formulé en introduction.
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¤ Si on trouve une idée pertinente, on propose une ouverture par la mise en contexte. On peut par
exemple :
– évoquer les pages suivantes de l’œuvre, que ce passage prépare,
– mettre en relation l’extrait avec des pages qui lui font écho dans l’œuvre,
– ou bien réfléchir sur le rapport entretenu par cet extrait avec le genre auquel appartient l’œuvre, par
exemple.
Si toutefois on n’a pas d’idée, mieux vaut toujours limiter la conclusion à un bilan simple et honnête
qu’ajouter in extremis une remarque sans rapport avec l’extrait, ce qui ne réussirait qu’à gâcher
l’impression laissée par l’exposé.
Memoria : Il faut apprendre les explications au fur et à mesure (elles serviront de toute façon
à préparer la dissertation à l’écrit.)
Actio : Il faut s’entraîner à parler en articulant, avec un débit de voix adapté, en
regardant régulièrement ses notes, son texte et l’examinateur. Soyez professionnels,
convaincus et convaincants !
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LA QUESTION DE GRAMMAIRE A L’E.A.F. (2 points)
On vous demandera
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ORAL : L’ŒUVRE CHOISIE (8 points)
Cette année vous étudierez 8 œuvres littéraires (4 œuvres intégrales au programme étudiées en
classe pour la dissertation et 4 lectures cursives au choix du professeur). Pour l’oral, vous devrez en
choisir une sur les 8 (mi-mai).
Lors des 8 dernières minutes de l’oral, vous devrez présenter pourquoi personnellement vous
avez choisi cette œuvre pendant 4 minutes maximum puis l’examinateur vous posera quelques
questions lors d’un entretien.
Il faudra préparer le choix de cette œuvre en utilisant le carnet de lecteur. Cela vous fera
gagner du temps !
Comment présenter l’œuvre ? Il faut que vous partagiez votre expérience de lecteur : pas de
long résumé exhaustif, de présentation encyclopédique de l’auteur apprise par cœur. Intégrez ces
éléments au sein de remarques personnelles, montrez ce qui vous a interpellés, ce qui a fait écho à vos
propres réflexions, ce qui a peut-être eu une influence sur votre propre réflexion. Pensez à citer des
phrases ou des épisodes précis de l’œuvre et commentez votre choix.
L’examinateur prendra ensuite appui sur votre présentation pour vous poser quelques
questions pendant l’entretien. En voici un échantillon :
1. Pourquoi est-ce de cette œuvre que vous avez souhaité parler lors de votre oral ?
2. Qu’a provoqué chez vous la lecture de cette œuvre ? (Vous a-t-elle fait changer ? En quoi ?
Vous a-t-elle fait réfléchir ? A quoi ? Vous a-t-elle ému€ ? Pourquoi ?)
3. Comment vous êtes-vous senti(e) au moment où vous acheviez la lecture ?
4. Que pensez-vous de la fin de l’œuvre ?
5. Avez-vous eu envie d’imaginer un autre dénouement/ une autre conclusion ?
6. Avez-vous trouvé facile d’entrer dans l’œuvre ?
7. Que pensez-vous du début de l’œuvre ?
8. A quel personnage trouvez-vous que l’on puisse le plus s’attacher ? Pourquoi ?
9. Quelle action du personnage vous a le plus impressionné ?
10. Quelle idée avancée par l’auteur vous interpelle le plus ?
11. Avez-vous des points de désaccord avec l’auteur/ le narrateur/ le personnage principal ?
12. Pourriez-vous imaginer un autre titre pour cette œuvre ?
13. Si vous étiez éditeur et que vous deviez choisir une illustration pour la première de couverture,
qu’auriez-vous envie de proposer ?
14. A quelle musique auriez-vous envie d’associer l’œuvre ?
15. Quelles activités d’appropriation avez-vous conduites sur cette œuvre ? En quoi cela vous a-t-
il permis d’en mieux apercevoir les enjeux ? De mieux comprendre le personnage ? De mieux
comprendre les intentions de l’auteur ?
16. Quel passage de l’œuvre vous a le plus marqué ? Pourquoi ?
17. Dans dix ans, si vous ne vous souvenez que d’un détail ou de quelques éléments de l’œuvre,
de quoi s’agira-t-il ?
18. Pensez-vous que l’œuvre aurait pu être écrite à une autre époque ? A notre époque ?
19. En quoi cette œuvre peut-elle encore intéresser un lecteur contemporain ?
20. Avez-vous trouvé la lecture de l’œuvre aisée ? Pourquoi ?
21. Pensez-vous que vous seriez capable de reconnaître une autre œuvre du même auteur ? A
quoi ?
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22. Quels liens avez-vous perçus entre cette œuvre et telle autre figurant dans les œuvres
étudiées ?
23. Si vous étiez enseignant, choisiriez-vous de faire lire cette œuvre à vos élèves ? Pourquoi ?
24. Et à vous, que vous a apporté la lecture de cette œuvre ?
25. Que vous a apporté l’étude de cette œuvre par rapport à votre première lecture ?
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NOTIONS PROPRES A L’ETUDE DE TEXTES ARGUMENTATIFS
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Il existe différents types de raisonnements :
Le raisonnement ……………………: partir d’une loi générale et en tirer une conséquence
logique pour un cas particulier.
Le raisonnement …………………… : partir d’un cas particulier pour aboutir à une loi
générale.
Le raisonnement …………………….: établir un rapprochement avec un domaine familier.
Le raisonnement ……………………: admettre un argument de l’adversaire pour mieux en
montrer les faiblesses.
Le raisonnement …………………… : imaginer avec ironie les conséquences absurdes d’une
thèse et l’absence de logique.
4. ……………………... : l’orateur doit exercer sa mémoire pour s’adresser à son auditoire avec
le plus grand naturel possible.
Genres et auteurs
………….....................: enraciné dans l’actualité, il confronte très librement son point de vue à d’autres thèses, adopte une
démarche expérimentale, forme souple, en prose, à la première personne. (Montaigne)
……………………… : titre donné à certains recueils contenant des pensées, des préceptes, des vérités morales. (La
Rochefoucauld)
…………………
Argumentation
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………………………. : court récit qui débouche à une leçon explicite ou pas par le biais d’une analogie. (fables de La
…………………
Fontaine)
Argumentation
………………………. : récit court de faits imaginaires qui porte un regard sur l’homme et le monde. (voir conte
philosophique)
………………………. : création d’un monde imaginaire idéal qui dénonce en creux les défauts du monde réel.
Portrait ou Caractère : révéler au grand jour et de manière caricaturale ou stéréotypée une réalité, une attitude contestée.
(Caractères de La Bruyère)
Roman, Théâtre, Poésie engagée
Autres arts…
Chacune des personnes incarnées par un acteur ou une actrice dans une oeuvre théâtrale.
Personne chargée de tenir un rôle généralement muet, parfois au sein d’un groupe.
Type de rôles devant être joués par des acteurs dotés des qualités, du physique, de l'âge qui
correspondent à celui-ci.
La structure de la pièce
Moment du dénouement où l’on découvre les personnages découvrent la véritable identité d’un
personnage.
Malentendu faisant prendre une personne, une chose pour une autre
Action de mettre fin à un récit dont l'action a été bien nouée; événement final qui résout l'intrigue,
règle le sort des personnes qui y sont impliquées; moment où il se produit.
Le texte théâtral
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Instructions données par un auteur dramatique aux acteurs sur la manière d'interpréter leur rôle.
Dialogue dans lequel chaque réplique correspond à un vers. Puis division d’un vers en plusieurs
répliques.
Longue suite de phrases ou de vers débitée par un personnage sans qu'il soit interrompu par un de
ses interlocuteurs. Argumentative ou narrative.
Narration détaillée que fait un personnage d'événements passés qui ne sont pas représentés sur
scène mais qui sont importants pour le déroulement du drame.
Discours qu'un personnage seul en scène se tient à lui-même. Délibératif quand le personnage
doit prendre une décision.
Un acteur qui feint de se parler à soi-même éclaire le public sur ses réactions, ses intentions ou
ses sentiments, les autres acteurs présents sur scène étant censés ne pas l'entendre
Fait que le spectateur accepte de prendre pour vraie la fiction jouée sur scène.
Qualité d'une œuvre qui répond aux lois du genre, aux exigences du sujet, des personnages, au
goût dominant d'une époque et à sa morale.
Conformité d'une conduite humaine particulière avec une conduite probable, pouvant être celle du
plus grand nombre.
Purification de l'âme du spectateur par le spectacle du châtiment du coupable.
Fait pour un auteur, un metteur en scène, un acteur de créer une certaine distance entre le
spectacle et le spectateur, afin de développer l'esprit critique de celui-ci, par le choix du sujet, par
certaines techniques de mise en scène, par le jeu des acteurs. (contraire de la mimesis et de
l’illusion théâtrale)
Situation dans laquelle le personnage en sait moins que le spectateur.
Œuvre dramatique en vers, dont la composition est soumise à des règles strictes (les trois unités),
qui met en scène des personnages illustres, tirés de l'Antiquité grecque ou romaine, qui fait
reposer l'action sur des conflits passionnels dans lesquels les personnages sont déchirés et
implacablement entraînés vers une catastrophe ou un destin désastreux
Pièce mettant en scène des personnages de condition moyenne ou basse dans un cadre quotidien
et dont le dénouement est toujours heureux.
Pièce de théâtre dont l'action est romanesque, l'intrigue tragique et le dénouement heureux.
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Pièce de théâtre chantée et dansée et représentant des personnages de la vie quotidienne.
Pièce, scène, accompagnée ou non de musique, où les acteurs s'expriment par le geste et la
mimique, à l'exclusion du langage oral.
Genre théâtral dont l'action généralement tendue et faite de risques, de catastrophes, comporte des
éléments réalistes, familiers (bourgeois). Romantique : Pièce mêlant la comédie et la tragédie.
Drame populaire, parfois accompagné de musique, caractérisé par une intrigue compliquée et par
l'accumulation de situations violentes et pathétiques.
Petite comédie légère, entremêlée de ballets et de chansons sur un air populaire, jouée surtout au
théâtre de la Foire
Pièce de théâtre qui vise à transmettre des idées politiques ou philosophiques.
Pièce de théâtre mettant en scène des actions ou des personnages illogiques. Réflexion sur la
condition humaine.
Technique qui consiste à écrire ce qui se joue sur scène.
Vu de la salle, côté cour de la scène (droit), côté jardin côté de la scène (gauche).
Partie d'un théâtre, sur les côtés et à l'arrière d'une scène, cachée au public par les décors.
Celui, celle qui interprète toutes sortes de pièces de théâtre, rôles comiques ou tragiques.
Les strophes
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Ensemble de dix vers.
Les sons
Genres poétiques
Long poème ou vaste récit en prose au style Récit en décasyllabes relatant des exploits
soutenu qui exalte un grand sentiment collectif guerriers.
souvent à travers les exploits d'un héros
historique ou légendaire.
Chant ou poème composé en l'honneur d'un dieu Conte relativement court en octosyllabes
ou d'un héros et souvent marqué par le merveilleux
Poème lyrique composé de strophes Poème formé de strophes égales terminées
généralement identiques par le nombre et la par un refrain et d'un couplet final plus
mesure des vers, consacré à des valeurs court appelé envoi :
importantes, à des sentiments intimes
Poème lyrique de facture libre, écrit dans un Poème à forme fixe comportant treize vers
style simple qui chante les plaintes et les et construit sur deux rimes, avec des
douleurs de l'homme, les amours contrariés, la répétitions obligées.
séparation, la mort.
Oeuvre littéraire (poésie, roman, drame) qui Pièce de vers à rimes plates pour faire
relate la vie, les amours des bergers et des l'éloge, la satire, la critique de quelqu'un.
bergères dans le cadre conventionnel de la
douceur champêtre.
Petit poème satirique se terminant par un trait Poème de 14 vers, deux quatrains, deux
d'esprit. tercets.
Texte écrit dont les lignes sont disposées en Poème qui n’utilise pas le vers et la rime.
forme de dessins.
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Point de vue adopté par le narrateur par rapport au récit qu’il effectue.
Le narrateur relate l’action selon un seul personnage.
Le narrateur raconte l’action de l’extérieur et ne dispose que de ses sens pour le faire.
Le narrateur sait tout : le passé et le futur des personnages, leurs pensées. (dit aussi point de vue
omniscient)
La description
Une personne – un portrait, un lieu – un paysage, un objet.
Fonction narrative : présenter le cadre, les personnages, faire connaître leurs émotions et réactions,
créer une atmosphère, peut aussi retarder l’action dans le cas d’une dilatation.
Fonction symbolique : Représenter l’état d’esprit d’un personnage.
Fonction explicative ou informative.
Fonction argumentative : manière indirecte de défendre une opinion.
Fonction poétique : révèle un style particulier ou une manière de voir le monde.
Portrait physique moral, en action…
Objective : en focalisation externe
Subjective : dans les commentaires du narrateur, au point de vue interne.
De pied en cap, de haut en bas, du plus général au plus précis ou l’inverse…
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HISTOIRE LITTERAIRE
MOUVEMENTS/ AUTEURS/ OEUVRES
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