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Section Urbanisme
A4
Cours d’Urbanisme
ISAU/KINSHASA, 2017-2016
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PLAN DU COURS
Introduction Générale
1. Intérêt du cours
2. L’objectif du cours
3. La méthodologie
1. Documents de base :
a. Dénomination ;
b. Provenance ;
c. Composition ;
2. Constitution de la pige :
a. Rappel de la formule des calculs de la pente ;
b. Calcul de la distance AB’ ou (d) sur terrain ;
c. Reconversion des hauteurs à l’échelle de la carte ;
d. Etablissement de la légende des pentes ;
e. Confection de la pige.
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III. REPARTITION DE LA SUPERFICIE CONSTRUCTIBLE
1. Carré d’évaluation
a. Définition et composition ;
b. Impact des éléments constitutifs ;
c. Représentation graphique ;
d. Réalités sur le terrain.
e. Composantes d’un site
0 Introduction
2. Espaces verts
a. Définition ;
b. Rôle ;
c. Réalités sur terrain
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IV. La programmation urbaine
REFERENCE BIBLIOGRAPHIQUE
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INTRODUCTION GENERALE
Il y a Plusieurs définitions qui existent selon le profil de différents
spécialistes qui interviennent dans ce domaine.
Ces sont des règles ; lois ; recettes ; formules d’assemblages des bâtiments
et des espaces urbaine, jusqu’aux moindres préoccupations architecturales.
Selon Larousse : C’est une organisation consciente de l’espace humain sans laquelle
il y aurait un désordre inconscient en connaissance des cause , des moyens
disponibles, impacts et conséquences ainsi que de l’espace humain qui est l’espace
habité par l’homme qui n’est pas illimité.
Cette conception est présente également dans la définition suivante, formulée par la
Société Française des Urbanistes (S.F.U.) : organisation réfléchie et responsable des
espaces naturels, ruraux ou urbains.
b) dans sa seconde signification, le mot désigne une discipline nouvelle apparue à la fin du
19ème siècle à la fois science et théorie de la ville
Le cours d’Urbanisme, a pour intérêt dans la formation des futurs Architecte, de les
amener à penser, à intégrer la problématique, la question de l’analyse et de la viabilisation
des sites dans les esquisses ou Plans d’aménagement Urbain.
Donner aux étudiants futurs Architectes, des notions, des outils nécessaires qui leurs
permettront de tenir compte des aspects techniques relevant de l’analyse et de la
viabilisation des sites avant toute opération d’aménagement urbain. Pour attendre cet
objectif, il faut :
1. Donner aux étudiants des éléments techniques de base pour analyser et évaluer des
besoins d’un site à viabiliser ;
2. Amener les étudiants, à penser, à intégrer les techniques de viabilisation des sites dans
le cadre des projets en milieu urbain ou d’aménagement urbain.
03. La méthodologie
Le cours est articulé en 2 grandes parties excepté l’introduction générale, les travaux
pratique et la bibliographie, il s’agit de :
Première partie : Analyse du Site
Deuxième partie : Trame Assainie
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Première Partie : ANALYSE DU SITE
Le site est une partie du sol, une portion de l’espace physique sur laquelle porte une
quelconque opération d’aménagement ou d’organisation de l’espace.
Le site désigne une configuration locale où l'on fait abstraction des alentours pour ne se
concentrer que sur les caractéristiques du lieu désigné.
Le site peut être localisé dans des endroits divers qui, préalablement peuvent être :
Site aménagé ou non aménagé ;
Des sites occupés ou non occupés donc libres ou vierges ;
Des sites habités ou non habités
Il peut aussi être localisé dans des agglomérations bien précises telles :
En ville : site urbain ;
A la campagne : site rural
c. Les éléments du site dus à l’action de l’homme perceptibles grâce aux sciences
telles :
L’architecture ;
L’urbanisme ;
L’aménagement du territoire…
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Vouloir comprendre un site revient à s’intéresser et à tourner ses regards vers tous les
éléments cités ci-haut qui le composent et à s’intéresser ainsi sur plusieurs aspects aux
colorations diverses.
D’où la lourdeur de la tâche devant cet élément « site » qui devient ainsi complexe au
regard de la complexité et de la diversité des éléments qui la composent.
Pour le besoin de la plupart des études effectuées dans le domaine de l’urbanisme, seul
l’aspect physico-naturel est souvent pris en compte. Cet aspect fait ainsi intervenir les
éléments fournis surtout par la topographie. Cette dernière science dresse un certain
nombre de cartes qui intéressent au plus haut chef tout celui qui s’évertue de faire
l’analyse d’un site.
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I. CONFECTION DE LA CARTE DE PENTE
1. Document de base
a. dénomination
Le document de base qui permet de procéder à la confection de la carte de pente est
dénommé « Fond de plan cartographique ».
b. Provenance
Le fond de plan cartographique est élaboré :
Le cartographe ;
L’ingénieur géomètre-topographe ;
Tout autre technicien rompu aux techniques de la cartographie et de la
topographie ;
Certains logiciels tels que Covadis, Piste, Autocad civil 3D…
c. Composition
Le fond de plan cartographique comprend les éléments ci-après :
Les courbes de niveau cotées ;
L’équidistance des courbes ;
L’échelle.
Une courbe de niveau, en cartographie, est une ligne joignant les points de même
altitude (isoplèthes).
Les courbes de niveau sont des lignes joignant des successions de points de même élévation et
servent à représenter la topographie, ou le relief, sur les cartes. Elles indiquent l'élévation du
terrain au-dessus du niveau moyen de la mer (N.M.M.) en pieds ou en mètres et peuvent être
tracées à toute équidistance souhaitée. Par exemple, de nombreuses courbes de niveau
rapprochées les unes des autres indiquent un terrain accidenté ou montagneux; lorsque éloignées
les unes des autres elles représentent des pentes plus douces.
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En mathématique, les courbes de niveau sont les intersections des plans horizontaux
équidistants avec le relief du terrain.
L'échelle représente le rapport entre une distance sur la carte et la distance réelle sur le
terrain. Par exemple, si une distance de 2 cm sur la carte (Map) ...
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représente 1 km sur le terrain (Ground) ...
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2. Constitution de la pige
Hypoténuse 3%
3 mètres
100 mètres
B’ A
Dans l’application de cette formule, il est important que le la AB’ soit réellement la
distance entre les deux courbes de niveau consécutives. De ce fait, il doit former un angle
droit sur l’une des courbes de niveau considérées.
Il a été remarqué dans la formule de la pente ci-haut citée, que la donnée AB’ n’est pas
explicitement indiquée sur le fond de plan cartographique.
Cette omission risque d’alourdir et de retarder le travail de confection de la carte de pente
que l’on peut d’emblée imaginer en considérant l’allure générale des courbes de niveau.
Bref, la formule de calcul des pentes s’avère apparemment difficile dans son application
suite à l’absence de la donnée AB’ ici évoquée.
Mais cette difficulté somme toute mineure ne peut en aucune façon bloquer la machine de
celui qui tient à évoluer.
Cet ainsi que l’on recourt à la pente à la pente P que l’on peut généralement déterminer
au regard de l’allure des courbes de niveau sur carte et de la configuration du terrain.
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Toutefois, pour les commodités des études, on a tendance à adopter en urbanisme selon
les convenances, les pentes ci-après :
2% ;
4% ;
8% ;
15% ;
20%.
𝑬
d=𝑷
25
Si P= 2% ou 0,02 ; d= 0,02
= 1250 m.
25
Si P = 4% ou 0,04 ; d = 0,04 = 625 m ; et ainsi de suite…
Les distances d ainsi calculée sont libellée telles qu’elles se présentent sur le terrain. Ce
sont donc des distances réelles qui ne permettent pas de figurer comme telle dans le
document à dresser sans leur avoir fait subir au préalable certains aménagements.
C’est à partir de ce moment que l’on a recours à l’échelle mentionnée dans le fond de plan
cartographique.
1250
Si P = 2% ; d = 100
= 12,5 cm ;
625
Si P = 4% ; d = 100
= 6,25 cm… et ainsi de suite.
Pente en % Couleur
0-2 Blanc
2-4 Jaune
4-8 Orange
8-15 Rouge
15-20 Noir
+ 20 Violet
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e. Confection de la pige
0% 2% 4% 8% 15% 20%
Elle est pour l’exemple 1 Lt= 12,5 + 6,25 + 3,125 + 1,66 +1,25 = 24,785 cm.
Cette distance condensée dans une droite unie doit être tracée sur un bout de carton
solide avec les différentes distances d qui la composent. Ce bout de carton sur lequel le
technicien s’appuiera pour le travail de confection de carte de pentes est appelée
« pige ».
chercher à recouvrir entièrement l’espace entre les deux courbes de niveau par la d
considérée ;
recouper le niveau de recouvrement total de cet espace par un crayon bien taillé ;
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La partie de l’espace compris entre deux courbes de niveau consécutives délimitées par
deux d successives est appelée « plage de pente ».
Chaque plage de pente a deux limites :
une limite supérieure (la d la plus grande) ;
une limite inférieure (la d la plus petite).
Chacune de ces limites, par rapport à la plage suivante ou par rapport à la plage
précédente est successivement :
limite supérieure (inférieure de la plage précédente) ;
limite inférieure (supérieure de plage suivante).
A
B
C
D
E
1 2 F
3 4 Orange
Jaune Vert 5 Violet
Blanc Rouge Noir
Le travail consiste à donner à chacune des plages circonscrites sur le fond de plan
cartographique une couleur particulière conforme à celle y afférente et reprise dans la
pige et dans la légende des pentes.
Lorsque cet espace (plage) est supérieur à la d la plus grande de la pige, il aura la
couleur de cette d (considérée dans le cas d’espèce comme limite inférieure de
cette plage ;
1
Blanc 2
Jaune
Lorsque cet espace (plage) est inférieur à sa limite inférieure et donc inférieure à sa
limite supérieure, cet espace (plage) aura la couleur de la limite immédiatement
inférieure sur l’échelle et de légende des pentes.
3
Orange
3
Rouge 4
Noir
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II. RECHERCHE DE LA CAPACITE D’UN SITE
Il a été constaté que la carte des pentes est constituée d’une série des plages de même
pente qu’il importe de circonscrire ou de regrouper dans des ensembles plus vastes et
homogènes appelés « zones des pentes ».
Deux techniques permettent d’y arriver, à savoir :
La considération des plages de même pente ;
L’insertion des plages proches de moindre importance.
Il s’agit de circonscrire dans des ensembles homogènes les différentes plages de même
pente ou de même couleur comprise entre les courbes de niveau consécutives et proches.
Violet
Violet
Violet
Dans cette opération tendant à circonscrire les zones de pentes, il convient d’insérer dans
ces zones des plages de pente proches mais de faible ampleur ou de faible importance et
donc négligeables.
Procéder de la sorte paraît facile à première vue, mais suscite en aval des travaux
topographiques appropriés aux fins d’épouser la forme de la topographie du site telle
qu’elle ressort de l’analyse de site. Dans ce cadre interviendront les travaux de déblayage
ou de terrassement en cas de forte pente ou de travaux de remblayage en cas de pente
faible.
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2. Dégagement des degrés de constructibilité des zones de pente
a. Zones constructibles
Les zones de pente constituées présentent des aptitudes différentes quant à leur
constructibilité. Ainsi certaines zones de pente se prêtent bien et facilement aux diverses
opérations de construction et sont dites zones constructibles.
Il existe cependant des degrés dans cette constructibilité ou des nuances frappantes qui
laissent apparaître :
Des zones d’urbanisation idéale dont la pente est comprise entre 2 et 4% ;
Des zones d’urbanisation à faibles coût dont la pente est comprise entre 4 et
8% ;
Des zones d’urbanisation à coût élevé dont la pente est comprise entre 8 et
15%.
Toutes ces zones sont propres à la construction et sont appelées zones constructibles
délimitées par de pentes allant de 2 à 15%.
Le seuil choisi pour la circonscription des zones constructibles c'est-à-dire des pentes de 2
à 15% délimite d’emblée d’autres zones non comprises dans cette fourchette.
Les zones de pente inférieure à 2% sont des zones inondables : le drainage des
eaux est difficile en l’absence des ouvrages appropriés ;
Les zones de pente supérieure à 15% sont des zones érodables accentuées en cas
d’occupation anarchique.
Il est à noter que dans le cadre d’une politique volontariste imposée ou appliquée, les
zone parfois impropres à la construction sont conquises et accueillent des établissements
humains. Une telle conquête impose le déploiement des techniques appropriées et des
moyens conséquents sans omettre tout l’arsenal des dispositifs à prendre pour la
sauvegarde de l’environnement et pour la préservation des populations riveraines contre
les fléaux ou les catastrophes prévisibles ou imprévisibles.
c. Circonscription de la polygonale
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d. Calcul de la superficie de la polygonale
La polygonale ainsi circonscrite comporte une superficie qui peut être évaluée. Elle est
trouvée en utilisant l’une des trois méthodes suivantes :
1) L’emploi de la planimétrie ;
Le planimètre est un outil qui permet la mesure mécanique directe des surfaces sur les
plans, carte géographiques, etc., en en suivant le contour par l'extrémité d'un bras
articulé.
Chacune de ces figures géométriques a une superficie propre calculée à base de formule
simple. La superficie de la polygonale sera ainsi donnée par la sommation des superficies
de toutes les figures géométriques ainsi tracées en son sein.
La superficie ainsi obtenue est d’une grande importance pour l’urbaniste car elle traduit la
capacité du site.
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III. REPARTITION DE LA SUPERFICIE CONSTRUCTIBLE
La superficie constructible, telle que définie à l’issu d’un long processus ayant conduit à la
détermination de la capacité du site par le biais de la carte de pente doit être
judicieusement reparti dans un carré d’évaluation.
1. Carré d’évaluation
a. Définition et composition
Le carré d’évaluation est un tableau reprenant les différents pourcentages de la superficie
constructible du site affecté aux grands postes des éléments de la viabilisation du site.
Parmi ces éléments se retrouvent :
L’habitat ;
Les équipements ;
La voirie ;
Les espaces verts
A titre d’illustration,
Composantes du site %
Habitat 55
Voirie 15
Equipements 20
Espaces verts 10
Total 100
L’impact de chacune des composantes du site est édicté par le maître d’ouvrage. Ce
dernier fixe l’influence des différentes composantes en relation avec la fonction de la ville.
c. Représentation graphique
Toutes les composantes reprise dans le carré d’évaluation doivent être correctement et
proportionnellement représenté.
500 ℎ𝑎𝑥 55
Habitat 55% : 100
= 275 𝐻𝑎
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500 ℎ𝑎𝑥 15
Voirie 15% : 100
= 75 𝐻𝑎
500 ℎ𝑎𝑥 20
Equipements 20% : 100 = 100 𝐻𝑎
500 ℎ𝑎𝑥 10
Espace vert 10% : 100 = 50 𝐻𝑎
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Deuxième Partie : TRAME ASSAINIE
0. Introduction générale
L’opération des trames assainies consiste au préalable à la viabilisation d’un site c’est-à-
dire à mettre sur pied : la voirie, le réseau d’eau, l’électricité, l’assainissement (drainage,
évacuation des eaux usées, eaux vannes, système de gestion des déchets), réseau
téléphonique, gaz, les équipements(les espaces disponibles des équipements collectifs).
Une fois assainies ou viabilisées, on peut procéder soit :
- à une opération d’auto construction ;
- à une opération immobilière clé en main.
Ceci suppose qu’il y a quelque part des enjeux financiers, sociaux, techniques très
importants à prendre en compte. D’on la réalisation de ces projets doit répondre à des
règles précises de préparation et d’exécution.
Au niveau de la préparation, c’est-à-dire de l’élaboration des études de faisabilité, on
étudiera des aspects suivants :
- les Aspects techniques : Nous prenons en compte toutes les possibilités techniques en
matière d’aménagement, ex : tracer de la VRD, la nature du sol (portance du sol), la
végétation, les cours d’eau, la configuration topographique (forme du relief), car le site
naturel est la matrice de conception ;
- les Aspects juridiques : La loi foncière, le sol et le sous-sol appartient à l’Etat (la loi
Bakajika) ; il s’agit ici de toute les solutions techniques que nous proposons pour le projet
dans le domaine de la voirie et réseaux divers etc., doivent être appuyé par la loi qui
détermine les modalités d’utilisation du sol urbain (le Plan d’urbanisme est toujours
accompagné d’un règlement d’urbanisme)
- les Aspects financiers : liés au financement du projet ; c’est-à-dire les fonds à mobiliser
sont importants et il faut le trouver. Ces fonds sont généralement assortis des
contributions d’octroi et de remboursement parfois trop difficile.
Cette évaluation sera abordée suivant 5 points de vue :
- des bénéficiaires : le coût du projet est-il compatible au revenu ?
- du projet : les fonds disponibles sont-ils suffisant pour couvrir les coûts
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d’exécution du projet ?
- Planning-plan de financement (Cash Flow)
- de l’intermédiaire financier, le projet est-il fiable ?
- de l’Etat
- les Aspects économiques
L’évaluation économique replace le projet dans un contexte sectoriel bien déterminé. On
se préoccupe d’évaluer la contribution du projet à la réalisation des objectifs de
développement tant au niveau de la ville que du pays, il doit améliorer l’efficacité
économique de la ville, donc une certaine rentabilité.
Elle se préoccupe aussi des bénéficiaires, de leur capacité contributive (taux d’effort).
REVENU Taux d’effort 20%
- dégager les contraintes naturelles ex : les maraichages, zones inondables, les collines
…;
- faire ressortir les contraintes crées ex : le chemin de fer, la ligne haute tension, …
Socio-
économique
Technique
Artistique
Société
(Esthétique)
Problème
s Juridique
Financière
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I. LES NOTIONS EN TRAMES ASSAINIES
1.1. Parcelle
C’est une étendue de terrain de taille variée en m2, délimitée physiquement et
juridiquement. Cette délimitation sous-entend la notion de propriété et d’affectation. On
distingue :
- les parcelles à usage résidentielle (15x20, 20x20, 20x25, 20x30, 25x30,….) ;
- les parcelles à usage commercial (30x30, 30x40, 40x40,….);
- les parcelles à usage industriel (40x50, 45x50, 50x50, 50x60, 60x60,….);
- les parcelles à usage artisanal (40x50, 45x50, 50x50, 50x60, 60x60,….)
- les parcelles à usage agricole (70x80, 80x80, 80x90, 90x90 100x100) etc.
1.2. Ilot
On appel ilot ou bloc, un ensemble des parcelles délimitées ou quadrillées par 4 voies de
circulations. On distingue :
- ilot parcelle ou ouvert
- ilot semi-ouvert
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1.5. Lotissement
C’est une opération d’urbanistes qui consiste à subdiviser un terrain à plusieurs lots ou
parcelles. Pour les urbanistes c’est beaucoup plus qu’une simple subdivision, car il y a
l’aspect art urbain qui prend une place prépondérante dans la conception de ce projet.
1.6. Remembrement
C’est une opération inverse au lotissement, il consiste à regrouper un ensemble des
parcelles mal morcelées de façon, à être de nouveau divisé rationnellement.
1.7. Trame
C’est une unité des modules c’est-à-dire la multiplication de plusieurs modules. On le fait
correspondre à la structure d’un bâtiment en architecture.
Ex : module des fenêtres etc.
1.8. Assainie
Le mot assainie, signifie la viabilisation du terrain, c’est crée un cadre viable qui rempli
beaucoup de conditions d’assainissement à savoir : la voirie et réseaux divers, l’eau et
l’électricité, les réseaux d’évacuation des eaux pluviales, usées et vannes, les
téléphones,…
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II. LA STRUCTURE D’UNE UNITE URBAINE (VILLE)
Du point de vue organisation fonctionnelle, une ville est composée de : un centre ville
polyfonctionnel, une zone industrielle et des unités de voisinage (quartiers d’habitat).
VILLE
Centre ville(CBD)
Unité de voisinage
Zone industrielle
Grand équipement
Centre secondaire
Centre ville(CBD)
Une ville a toujours son centre ville polyfonctionnel, composé de : centre d’affaire, centre
administratif, centre commercial, résidentiel et équipements socio communautaires (loisirs,
culturels, cultuels)
- Habitations
Aire secondaire : chaque unité de voisinage a son centre secondaire qui est aussi une
aire de centralité polyfonctionnel comme le centre-ville.
Façade urbaine
Centre secondaire
1. Centre ville
Niveau intime
Niveau quartier
Niveau urbain
- Niveau quartier : les services qui servent aux personnes habitants l’immeuble ;
- Niveau urbain : les fonctions réservées au grand public (commerces, hall des immeubles
d’affaire, activités culturelles, hall d’exposition, …)
2. Centre secondaire
Niveau intime
Niveau quartier
- Niveau quartier : les fonctions réservées au grand public (commerces banales, les
services, salons de coiffure, dispensaires, lavages, écoles maternelles,…)
1. Marché
2. Rue commerciale
3. Préceinte commercial
5. Supermarché
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III. FONCTIONNEMENT DES COMPOSANTES D’UNE VILLE ET LES NORMES
D’AMENAGEMENT URBAIN
Les voies de communications est relative à la fonction cardinale circulée; cette fonction
structure à l’unité urbaine. Elle zonifie (zoning) l’espace urbain en plusieurs lots.
La circulation
La circulation est l’ensemble des échanges entre la ville, sa région et à l’intérieur de
ces milieux eux-mêmes. C’est la manifestation la plus tangible de la vie urbaine. Le
milieu immédiat ou régional régit les accès de la ville : accès par eau, par route, par
voie ferrée ou par air.
L’aménagement d’une ville corsetée dans ses frontières communales ne peut mener
à rien, il faut étudier le réseau de communication dans la région dont elle fait partie
Les réseaux urbains ont été ramenés à deux types essentiels et à l’assemblage de
ceux-ci : le type radioconcentrique ou en toile d’araignée composé de deux
sortes de voies, les unes rayonnantes qui vivifient ; les autres circulaires qui
enveloppent et unifient, et le type damier ou en échiquier répondant au seul
besoin de classer et de découper le sol en lots égaux. Mais en fait, toute
agglomération un peu étendue est de type polycentrique.
Pour diminuer les points de conflits, il y a lieu de prévoir des sens uniques, des
sauts- de- moutons, des passages souterrains, des échangeurs (croisements à
différents niveaux).
Les transports
Au rang des problèmes engendrés par l’explosion urbaine se trouve la question des
transports.
-Transport des personnes, domaine ou l’on privilégie les déplacements des actifs de
leur lieu de résidence à leur lieu d’emploi. IL est à prendre en compte en priorité,
car ces déplacements sont massifs et ils conditionnent toute l’activité et l’économie
urbaine.
Schéma de l’arbre.
Principes de base
1 2
350 à 500
2
1000
3
3
1 Voirie primaire
4 Voirie tertiaire
Pour quitter une auto route (vers une voie hyper primaire ou primaire), la transition se fait
par un échangeur. Distance entre échangeur 5 Kms). Entre la voirie primaire et la voie
secondaire, la distance acceptable doit être située au moins 1 km, tandis que les voies
tertiaires, 40 ou 100 m.
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Largeur des chaussées
L’emprise, c’est la distance entre les fronts de bâtisses dans une avenue.
a : bande de roulement
A : largeur de la chaussée
a a a B: trottoir, caniveau (6 à 7m)
B A B
- Route de montagne : 12 a 16 %
- Normale : 8 %
- Rapide : 6 %
- Autoroute : 4 %
Rayons de courbure :
- Autoroute : 50.00m
- Primaire : 15.00 m
- Secondaire : 10 a 15.00 m
- Tertiaire : 6.00 m
-Voie forte
-Voie moyenne
-Voie faible
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Les servitudes
3.2. L’habitat
a. Définition
L’habitat est relatif à la fonction cardinale habitée. On entend par « habitat » l’ensemble
de conditions permettant à l’individu de vivre normalement et de s’épanouir.
L'habitat est donc lié au milieu de résidence. Ce dernier est constitué d'un ensemble
d'éléments du paysage qui offre les moyens suffisants pour permette à un individu de
habiter normalement sur ce territoire. Il est claire que l’habitat est appelé à évoluer pour
répondre aux besoins changeants de ses résidents.
La question du Logement
Le problème du logement est parmi les plus ardus. Les conditions dans lesquelles il se
pose changent à l’infini et sont en rapport avec l’ensemble des questions relatives à la
croissance urbaine.
L’exploitation des recensements est à pousser autant qu’il est possible : tailles de
ménages, répartition entre actifs et inactifs …
Le grand ensemble n’a pas de gabarit-type. Les uns ne comprennent que plusieurs
centaines d’appartements, d’autres des milliers, voire vingt ou trente mille comme il
avait été prévu à Alger avant l’indépendance ! Un chiffre pareil passe pour abusif. Les
bâtiments résidentiels sont, en général, distribués dans un rayon de 250 à 300
mètres, c .à. d une superficie de 20 à 30 ha, autour d’un noyau attractif, une place qui
concentre commerces, bureaux et écoles.
Selon ce principe, les grands ensembles peuvent donc être uni, bi ou multipolaires, en
fonction de la taille qui leur est assignée. On a souvent reproché aux premières
réalisations, une monotonie déprimante.
Dans les verticaux on a des espaces des transitions qui sont des espaces communs ( ex,
escaliers, ascenseur, hall commun)
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Si le cos est ≥ à 1 alors la surface bâtie hors œuvre est supérieure ou égale à la surface
du terrain (de la parcelle ou du lot).
Le coefficient d’emprise au sol (CES) est le rapport entre la surface couverte du bâtiment
et la surface de la parcelle
L’habitat peut être influencé par la catégorie socio-professionnelle dont il est destiné. C’est
ainsi que l’on trouve les types d’habitat suivant :
L’habitat de haut standing (réservé aux cadres supérieur) ;
L’habitat de moyen standing (réservé aux cadres moyens) ;
L’habitat économique ou populaire (pour ceux ayant un pouvoir d’achat faible tel
que les ouvriers et les ouvriers qualifiés).
CSP Hall W.C Chambre Chambre S.D.B S.D.B terrasse cuisine Chauffe garage jardin piscine
visiteur parents visiteur parents enfants eau
Ouvrier X
Ouvrier X
qualifié
Cadre X X X + ou - X + ou - X X X + ou - + ou -
moyen
Cadre X X X X X X X X X X X X
supérieur
N.B : les surfaces des pièces varient en fonction du degré de confort et du cout
d’accessibilité.
Mais dans une ville bien aménagée, les caractéristiques socio professionnelles
disparaissent.
Il est à remarquer, en ce qui concerne les différents types d’habitat, ce qui suit :
Le site préférentiel d’implantation diffère parfois des opportunités topographiques
en tel enseigne que les économiquement forts convoitent et s’accaparent les zones
d’urbanisation idéale. En outre, suite à la carence des terres et faute de mieux,
l’habitat de haut standing se localisent vers les zones d’urbanisation à coût
excessif ;
Le clivage engendré par l’implantation des quartiers spécifiques ne permet pas le
brassage de différentes catégories socio-professionnelles et crée une certaine
discrimination en équipements et infrastructures tant sur le plan quantitatif que
qualitatif ;
Chacun de ces types d’habitat a des caractéristiques propres notamment : pour les
quartiers de haut standing, le gigantisme des parcelles, la faible densité habitée, un
faible coefficient d’occupation du sol et le gaspillage de l’espace dans le quartier ;
pour l’habitat économique, l’étroitesse des parcelles et la promiscuité accentuée ;
Le mode d’occupation et de peuplement de chacun de ces types d’habitat fait
apparaître assez clairement certains paramètres qui sont soit en rapport direct avec
la population, soit en rapport direct avec les parcelles ou soit encore en rapport
direct avec le logement. Ainsi l’on peut parler tantôt de densité brute, tantôt de
densité réelle ou encore de densité nette ;
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L’habitat est lié à la fonction cardinale habitée c’est-à-dire le lieu d’habitation décente
pour la population.
Les activités dans une ville sont liées à la fonction cardinale travaillée. Une ville bien
aménagée doit toujours avoir une zone industrielle qui représente au plus 40% de la
superficie de la ville non comprise la zone industrielle elle-même, et plus de 80% de sa
population travaille dans le secteur tertiaire (les services). Les mêmes activités
économiques que l’on peut trouver dans les grandes, moyennes et petites villes, on peut
aussi les trouvées dans les centre secondaires des quartiers d’habitation mais l’échelle du
quartier.
La norme recommande pour la superficie d’un centre secondaire 1.000 habitants pour
800 m2, la superficie qu’occupent les activités économiques dans un quartier.
Les équipements urbains sont les compléments naturels du logement. Il y a également les
grands équipements, qui, eux, sont à l'échelle de la ville et occupent une grande emprise
au sol.
2. Types d’équipements
Dans le cadre de notre cours nous ne pouvons-nous étendre car cette notion fait l’objet
d’un cours spécifique du cursus de l’étudiant en urbanisme.
3. ESPACES VERTS
a. Définitions :
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Règlement national d'urbanisme ou du Plan d'occupation des sols (protection
des espaces boisés, établissement de zones non constructibles, obligation de
créer des espaces verts lors de la construction d'immeubles d'habitation...).
C'est une appellation récente apparue à la fin de la seconde guerre mondiale. Il est en
générale de grandes surfaces, ouvert au public. On y trouve de nombreux végétaux.
L'aménagement est axé vers la détente et le loisir (ex: aires de repos, parcs d'attractions).
Les espaces verts avec toutes leurs composantes (verdure, eaux, aménagements
ludiques) participent à la protection de l'environnement.
Les espaces verts ont aujourd'hui un rôle essentiel dans notre société, celui d'améliorer la
qualité de vie (ex: protection contre l'environnement disgracieux).
Protection contre le bruit ;
Rôle psychologique
Une autre caractéristique d'un espace vert est également importante, celle de l'épuration
de l'atmosphère (ex: fixation des poussières et des gaz nocifs). Il est bien évident que les
jardins sont aujourd'hui pour l'homme des espaces favorables au maintien de l'équilibre.
La première chose qui vient à l’esprit lorsqu’on parle d’amélioration du cadre de vie urbain
est l’augmentation du nombre d’espaces verts. Surgissent alors moult problèmes, tels que
le choix de leur placement, les restrictions concernant leur usage, la perte d’espace
occasionnée, etc.
L’urbanisme vert nie ces problèmes car il adopte une vision beaucoup plus globale : la ville
elle-même est un vaste espace vert, car elle fait intrinsèquement partie du paysage
naturel, au même titre qu’une ruche ou une fourmilière.
Dans cette optique, la notion de parc ou d’espace vert disparaît, car c’est l’ensemble de
l’espace qui est traité avec le souci d’augmenter le nombre d’éléments naturels.
Pratiquement, cela se traduit par de très larges avenues, bordées d’arbres, de massifs de
fleurs, mais aussi d’œuvres d’art telles que statues ou fresques, et de grands espaces, ou
plazzas, plus ou moins assimilables aux parcs conventionnels si ce n’est qu’ils sont intégrés
directement au cœur du réseau des rues et non plus contenus dans des enceintes.
L’éclairage peut facilement être dissimulé dans les arbres, donnant une touche féerique
pour peu qu’on apporte un minimum de soin au choix des couleurs et à l’étude des
champs lumineux ; l’esthétique de l’ensemble n’est ainsi pas rompue par les réverbères.
Le revêtement du sol est également à étudier. L’urbanisme vert prône un mélange de
mosaïques de pierre (source encore une fois d’œuvres d’art), et de surfaces engazonnées.
L’idéal étant de supprimer totalement toute surface goudronnée ou non naturelle.
Même si cela paraît irréaliste, une surface engazonnée présente plusieurs avantages :
Perméabilisation du sol: les routes avec leur revêtement imperméable contribuent,
de façon très importante, aux problèmes d'inondation lors des orages et obligent
les autorités à prévoir des bassins d'orage coûteux. L'engazonnement empêche le
ruissellement des eaux pluviales par l'effet d'éponge. Cela est tout bénéfice aussi
pour le milieu souterrain local et les plantations avoisinantes ;
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Réduction de la pollution sonore: Un tel revêtement absorbe et réduit
considérablement les bruits occasionnés par une cité très peuplée ;
Diminution des poussières: Par temps sec, une ville produit beaucoup de poussières
incommodantes, qui seront là encore diminuées par une surface engazonnée.
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VI. LA PROGRAMMATION URBAINE
a. Perspective Démographique
La population estimée dans l’aire d’étude est de Pt. On observe trois hypothèses de taux
pour la projection de la population de Pt à Pt+n période de l’aire d’étude :
b. Projection de la population
Pt+n-Pt
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c. Evaluation des Besoins en Equipements Collectifs et en Espace
Aménageable
- Normes : 20 m2 de terrain/enfant
Nombre d’écoles
- Normes : 25 m2 de terrain/enfant
Nombre d’écoles
- Normes : 30 m2 de terrain/enfant
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Nombre d’écoles
- Normes :
- Normes : 0, 14 m2 de terrain/habitant
1. Aire de sport
2. Aire de jardinage
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EXERCICES
Résolution
Si l’on suppose que la population totale évolue de façon constante et très élevée
chaque année, nous utilisons alors la formule d’intérêt composé d’usage courant en
économie pour calculer ce taux d’accroissement annuel moyen (r), au cas où on
travail d’une ville, cité que ce taux n’est pas connu.
Pt+n= Pt (1+r)n
r= n√Pt+n -1
Pt
r=3√120.192 -1
102.600
r=1,054-1
P2010=120.192 x (1,054)5
= 120.192 x 1,301
P2010=156.343 habitants
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2. Programmer les équipements collectifs de ce site à l’horizon 2010
2. 1. Equipements scolaires
a. Ecoles Maternelles
Nombre d’écoles
b. Ecole Primaire
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→ Surface : 25x39.086 = 977.150 m2≈ 97,7 ha
Nombre d’écoles
c. Ecole Secondaire
Nombre d’écoles
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2.2. Equipements Sanitaires
- Normes :
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2.3 Equipement Commercial
- Superficie : 156.343 x 0,50 m2 = 78.172 m2 soit 7,8 hectares pour les équipements
commerciaux
- Normes : 0, 14 m2 de terrain/habitant
1. Aire de sport
- Superficie : 156.343 x 0,4 m2= 62.537,2 m2 soit 6,25 hectares pour les aires de
sport
2. Aire de jardinage
- Superficie : 156.343 x 0,5 m2 = 78.171,5 m2 soit 7,81 hectares pour les aires de
jardinage.
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V.LES PRINCIPALES ETAPES DANS UNE OPERATION DES TRAMES
ASSAINIES
En fonction du relief et attrait du site, des vents dominants (rose des vents),
d’ensoleillement (orientation, le parcours du soleil), la portance du sol.
A partir de ces éléments que l’on déterminera les zones qui pourront recevoir les
éléments du programme :
- site possible pour recevoir les habitations en fonction des densités ;
- des zones inondables, érodées, marécageuses, à dégager dans le site ;
- la vue panoramique du site (il faut respecter la belle vue du site) ;
- les contraintes créées : en tenant compte de la législation, des lois, les servitudes ;
Dans l’écoulement des eaux, nous avons les lignes de crêtes et les lignes de
thalwegs ; l’ensemble nous donne une surface qui nous amènera à faire des études
de la voirie, assainissement etc.
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Crète
Cette fonction du bassin versant que l’on peut calculer le débit d’eau, et que l’on fait
le tracé des caniveaux et leur dimensionnement.
A partir des esquisses des ilots, des tracés possibles de la voirie et réseaux divers de
la situation des zones à affectation obligatoires, alors on peut concevoir un ou
plusieurs esquisses sommaires.
Après toutes ces étapes, on fait un examen rapide pour étudier la cohérence ; à
savoir :
- surface habitable : 60 à 70%
- Equipements : 15 à 20%
- Infrastructures : + ou- 15%
4. Module urbain
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REFERENCE BIBLIOGRAPHIQUE
Page 50 sur 51
- Groupe Huit-Arter. SOSAK rapport définitif S4, Le plan de Kinshasa dans les années
40, Kinshasa, 2014.
- Groupe Huit-Arter. SOSAK rapport définitif S4, Le plan de Léopoldville, proposé par
Georges Ricquier en 1949, Kinshasa, 2014.
- Image Google Map. N’djili, Masina et Kimbanseke, 2015 Groupe Huit-Arter. Schéma
d’orientation stratégique de l’agglomération Kinoise et plan particulier
d’aménagement de la zone nord, SOSAK rapport définitif S4, juin 2014, financement
A.F.D, Kinshasa, 2014.
- Mission Française d’Urbanisme. Le plan local d'aménagement de la ville de
Kinshasa1967, Kinshasa, 1967.
-
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