Virologie Questions cours par cours

Remarques
-Ce document contient toutes les questions d’anciens examens de Virologie
( 2014-2022:1ère et 2ème sessions ) - disponibles dans le Cahier d’Exams.
-Les 148 questions sont réparties cours par cours
-Les virus sont regroupés selon la Classification de Baltimore

Partie 1 :VIRO GENERALE

1.Virologie générale: ( 21 questions )
1- Les Virus:
A.Les virus sont des parasites intracellulaires obligatoires
B. Un virus peut: Être latent dans une cellule permissive,
C.Lors d'une infection productive, le virus provoque toujours une modification de la morphologie cellulaire
D.Un virus peut être à l'origine de l'immortalisation de la cellule.
E.Lors d'une infection abortive, les nouveaux virions sont libérés en faible quantité
F- Possèdent soit de L'ADN double brin soit de l'ARN simple brin
G-contiennent des ribosomes.
H-se multiplient par réplication
I-Se répliquent exclusivement dans le cytoplasme.
J-possèdent et de l'ADN et de l'ARN.
K-le virion constitue l'unité structurale des virus.
L-les ARNm viraux sont toujours traduit en protéines précurseurs qui sont clivées par des protéases
d'origine virale
M-après utilisation d'un agent désinfectant, la quantité de virus résiduelle dépend de la charge initiale.
2- Tous les virus:
A contiennent et de l'ADN et de l'ARN
B. se multiplient à partir de leurs genomes par réplication
C-sont dotes de tous les enzymes nécessaires à leur réplication.
D- se répliquent dans le cytoplasme.
E. Peuvent se répliquer dans toute cellule présentant à sa surface des récepteurs spécifiques
3- Structures des virus
A Seuls les virus enveloppés possèdent une nucléocapside
B.La nucléocapside est formé de la combinaison du genome et de la capside
C.L'enveloppe confère aux virus plus de résistance dans le milieu extérieur
D. La capside virale n'est composé que de protéine
E. Certains virus posse dont un genome viral sous forme d’ARN double brin
4- L'enveloppe des virus:
A-Est composée exclusivement de sous unités protéiques d'origine virale.
B-Est protégée par une paroi extrême
C- Porte des structures antigéniques.
D-Confère aux virus une résistance dans le milieu extérieure
E-Sa dégradation rend le virus en principe enveloppé) non infectieux
F- Dérive de la membrane cellulaire.
G- Entoure immédiatement l'acide nucléique viral.

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H-Est composée exclusivement d'unités protéiques d'origine virale.
I- Est responsable des propriétés d'hémagglutination.
J- Confère aux virus une résistance dans le milieu extérieure.
5- Les virus sont classés suivant:
A. Le type de réplication
B. La structure du virion
C. La nature de l'acide nucléique
D.Le tropisme
E. Le mode de transmission
6- Les étapes du cycle viral productif, communes à tous les virus, sont :
A.La pénétration du virus dans la cellule.
B.La décapsidation et pénétration du génome viral dans le noyau cellulaire.
C- La réplication du génome viral.
D. La synthèse des protéines structurales virales.
E. Le bourgeonnement des nouvelles virions.
7- Le cycle de multiplication virale:
A-Est d'une durée constante pour tous les virus.
B- Ne peut pas être interrompu dans une cellule sensible.
C-Est conditionné par la permissivité de la cellule hôte.
D-Se termine toujours par une lyse de la cellule hôte.
E- Se déroule complétement dans le cytoplasme de la cellule hôte.
F est d'une durée variable
G. dépend de la sensibilité et de la spécificité de la cellule hôte,
H- est plus long quand il se produit a L' Extérieure de la cellule hôte
I. ne peut pas être interrompu si la cellule est sensible
J- se termine par l'encapsidation et la libération de nouveaux virions
K-peut être interrompu même si la cellulc est sensible.
L-se termine par l'encapsidation des virions
8- Quelles sont les propositions justes?
A- Lors d'une infection aiguë localisée, l'organe cible est à distance de la porte d'entrée
B. Lors d'une infection localisée, la durée d'incubation est courte.
C. En général, un virus en latence ne peut être réactive chez une personne qu'une seule fois.
D. Lors d'une infection persistante chronique, le virus se multiplie d'une manière continue.
E.La variabilité génétique constitue un des moyens d'échappement des virus à la réponse
immunitaire.
9- Quelles sont les propositions justes
A- Un virus peut se répliquer dans toute cellule présentant à sa surface des récepteurs spécifiques.
B- La sévérité d'une infection virale dépend uniquement de la nature de l'acide
nucléique virale
C-L'ECP ne permet pas toujours une identification de l'espèce virale le produisant.
D-La réactivation d'un virus responsable d'une infection aigue, est observée lors de la diminution de
l'immunité de l'hôte.
E- Une infection persistante peut être chronique ou latente.
10- Quelles sont les propositions justes ?
A-Une infection virale peut être aiguë ou persistante.
B- Une infection persistante peut être chronique cut latente.
C-La durée d'incubation des virus responsables des infections algues ne dépasse pas 5
jours.
D-La réactivation des virus responsable des infections latentes est généralement Observée
lors de la diminution de l'immunité.

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E. L'infection aiguë est toujours liée aux virus nus.
11- interactions virus-cellules:
A. Une cellule ne permettant pas la réplication d'un virus peut ne pas y être sensible.
B. L'infection virale peut être productive dans une cellule non permissive.
C. L'infection virale productive est toujours lytique.
D. Les virus ne peuvent pas pénétrer dans une cellule non permissive.
E. L'infection virale est abortive dans une cellule non permissive.
12- Les virus peuvent échapper à la réponse immune de l'hôte par:
A. Une variabilité importante des antigènes viraux
B. La destruction de la cellule infectée.
C. L'infection des cellules du système nerveux central.
D. L'entrée en latence,
E. L'immortalisation de la cellule.
13- Une Infection virale:
A. Est toujours symptomatique.
B. Peut conduire à l'immortalisation de la cellule.
C. Peut permettre au virus de persister dans l'organisme sans réplication.
D. Peut modifier la morphologie cellulaire si elle est productive.
E. Peut être aigue et devenir chronique
14- Au cours des infections aigues:
A. Les organes cibles sont toujours situés à distance de la porte d'entrée.
B- A partir de la porte d'entrée, le virus peut diffuser jusqu'aux organes cibles
par voie sanguine, lymphatique ou nerveuse.
C- La durée d'incubation est variable en fonction du virus
D- La réponse immunitaire ne parvient pas à éliminer le virus qui persiste
alors dans l'organisme.
E-Le génome viral reste présent dans quelques cellules.
15- Une infection aiguë est:
A- une infection localisée,
B- en général, la durée d'incubation du virus qui y est responsable ne dépasse pas 5 jours.
C- la reactivation du virus responsable de cette infection est observée lors de la diminution de l'immunité.
D- peut guérir spontanément.
E- provoque généralement la destruction de la cellule hôte.
16- Pathogénèse des infections virales :
A la sévérité l' infection virale dépend de certains facteurs liés à l'hôte
B- la sévérité de l'infection dépend de la nature de l'acide nucléique virale
C- l'aspect clinique de l'infection peut dépendre de l'âge de l'hôte
D- la charge virale est un élément qui influence la probabilité d'une infection
Es la présence d'IgG préexistants protége régulièrement de l'infection
17- L'ECP
A- Le temps d'apparition d'un ECP ne dépend que du cycle viral.
B- Un ECP peut être neutralise in vitro par utilisation d'anticorps spécifiques
C- Les virus appartenant à la même famille peuvent avoir le même ECP
D- Un ECP caractéristique est obtenu lors d'une infection par le VHB
E-Un ECP caractéristique est obtenu lors de l'infection par l'HPV et consiste en une koïlocytose.
18- L'isolement et la mise en culture des virus
A- Permet le diagnostic d'une infection dans un délai de 48 à 72 heures.
B- Permet de prouver le caractère infectieux d'un virus donné.
C- Permet la mise en évidence de nouveaux virus.
D- Nécessite l'utilisation de systèmes cellulaires

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E- Permet toujours une identification précise desespèces virales.
19- Concernant l'infection virale:

A- La multiplication virale est possible dans toute cellule présentant à sa surface des récepteurs
spécifiques au virus en question.
B-Le cycle de multiplication virale peut être interrompu dans une cellule sensible.
C- Au cours d'une infection latente, le virus persiste dans l'organisme sous forme inactive.
D- Au cours d'une infection aiguë généralisée, la réponse immunitaire ne parvient pas à éliminer le virus.
Ce dernier persiste donc dans l'organisme.
E. Au cours d'une infection aiguë localisée, la période d'incubation est généralement des plus courte
20- Quelle (s) est (sont) la (es) proposition(s) Juste(s)
A- L'enveloppe est une structure exteme qui généralement confère aux virus une résistance dans le milieu
extérieur.
B- Après réplication de l'acide nucléique, l'assemblage de ce dernier avec les protéines de la capside ne
nécessite pas l'utilisation d'enzymes cellulaires.
C- Toute primo-infection virale est asymptomatique.
D- Une infection aiguë peut être localisée ou latente.
E- Au cours d'une infection aiguë, la détermination de la charge virale est importante.
F- Certains virus peuvent être à l'origine de l'immortalisation des cellules.
G- Les virus ne peuvent pas pénétrer dans une cellule non permissive.
H- Le cycle de réplication virale peut être interrompu dans une cellule sensible.
I- Les mutations constituent un des mécanismes qui permettent à certains virus d'échapper à la réponse
immune de l'hôte.
J- La quantité de l'inoculum est un élément qui influence la probabilité d'une infection
21- Techniques de diagnostic
A- L'isolement et la mise en culture des virus permettent toujours une identification précise des espèces
virales.
B- Les techniques sérologiques sont les techniques de choix pour le diagnostic des infections persistantes.
C. Les techniques de diagnostic indirectes sont utilisées pour la recherche des antigènes produits suite à
une infection.
D- Le test d'agglutination est un test utilisé pour la détection de l'acide nucléique de certains virus.
E- L'avidité des anticorps est plus élevée dans le cas d'une réinfection que lors de la primo-infection.

2.Les antiviraux:( 3 questions )

1- Les antiviraux:
A.Ils permettent d'interrompre le cycle de la réplication virale.
B- Peuvent avoir un effet cytotoxique.
C.Certains inhibiteurs de polymerases agissent de manière compétitive avec les nucléosides.
D- Les inhibiteurs de protéases sont efficaces contre les Herpesviridae
E. Sont très efficaces sur les virus en latence
F- Tous les antiviraux actuellement prescrits sont des virostatiques
G- Les antiviraux sont actifs sur les virus latents
H--Les antiviraux interagissent avec le métabolisme cellulaire et peuvent induire une cytotoxicité.
I- Un analogue nucleosidique est une molécule inactive qui nécessite une triple phosphorylation
J-Les inhibiteurs de la neuraminidase, tels que l'Oseltamivir et le Zanamivir, bloquent la décapsidation des
virions de la grippe.
K- Les antiviraux ont une action virucide.
L- Les antiviraux ne peuvent pas être utilisés en association (deux antiviraux ou plus)

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M- L'acycloguanosine ou acyclovir est un antiviral qui peut être prescrit lors d'une infection à Herpes
simplex virus.
N- L'utilisation des antiviraux peut avoir une influence sur la variabilité génétique
O- L'hétérogénéité de la population virale (chez une personne infectée) et la multiplication à haut titre
peuvent être à l'origine de la résistance à la chimiothérapie antivirale.

2- Un antiviral:
A- A un effet virucide.
B- Doit avoir un index thérapeutique élevé.
C- Peut avoir un effet cytotoxique.
D-Certains inhibiteurs de polymerases agissent de manière compétitive avec les
nucleosides.
E- Certains inhibiteurs non nucléosidiques bloquent l'activité de l'ADN
polymérase après fixation sur un site catalytique proche mais distinct du site de fixation des nucléotides
naturels
F- est une substance artificielle introduite à l'intérieur de l'organisme pour détruire les virus.
G- ne peut pas avoir un effet cytotoxique.
H- est une molécule active sur tous les virus.
I-présente une activité maximale lorsque le virus est en phase de latence
3- Concernant les antiviraux:
A- Les antiviraux agissent en interrompant une des phases du cycle de multiplication virale.
B- Les antiviraux peuvent avoir un effet cytotoxique. Certains inhibiteurs de polymérase agissent de
manière compétitive avec les nucléosides.
C- Une résistance croisée peut être obtenue entre les inhibiteurs de proteases.
D- L'index thérapeutique d'une molécule antivirale est défini par la quantité de produit nécessaire pour
bloquer
E- la multiplication virale / la quantité de produit nécessaire pour inhiber la fonction vitale.
3.Antiseptiques et desinfectants:(1 question )
1- Les antiseptiques et désinfectants :
A- Sont des agents stérilisants.
B-Certains désinfectants agissent en dénaturant l'enveloppe virale.
C- Aucun antiseptique n'a une action sur les virus nu.
D-Leur efficacité dépend de la charge virale initiale
E-Leur action peut être inhibée par les matières organiques.
4.Diagnostic des infections virales:(4 questions)
1- Le diagnostic virologique:
A-Aide à la prise de mesures prophylactiques dans l'entourage du malade.
B-Aide au choix du traitement Antibiotique adapté.
C-Permet l'évaluation de l'immunité résiduelle vis à vis d'un virus après
une infection naturelle ou vaccinale.
D-Permet la détermination du statut immunitaire d'un individus vis-à vis d'un virus à un moment donné.
E-Est nécessaire pour tous type d'infection.
2- Quelles sont les propositions justes?
A- Les techniques de diagnostic indirect permettent la caractérisation du virus ou de l'un de
ses constituants.
B- Le temps d'apparition de l'ECP varie en fonction du titre infectieux de l'inoculum et du
cycle de multiplication du virus.
C. les techniques de diagnostic direct rapide peuvent être utilisées pour l'identification de la
majorité des virus

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D. La technique d'ADN branchée est une technique de diagnostic
director
E.L'avidité d'un AC est plus forte pendant la réinfection que lors de la primo-infection
3- Le diagnostic par les techniques directes rapides:
A-Nécessite toujours un passage par une culture sur milieu cellulaire.
B-Necessite la presence du virus "vivant".
C-Est tres fiable (sensibilité élevée de ces techniques)
D- Permet une détection des virus meme pendant la phase d'incubation
E- Est applicable dans le cas de l'infection par l'Epstein barr Virus
4- Les techniques de diagnostic direct rapide:
A- Nécessitent la mise en culture du virus sur système cellulaire.
B- Peuvent être utilisées pour le diagnostic de l'infection par le virus de l'hépatite
C- Peuvent être utilisées pour le diagnostic d'une infection latente.
D- Permettent la détection des virus même pendant la phase d'incubation.
E- Sont applicable surtout pour certains virus excrétés en grandes quantités.

Partie 2 :VIRO SYSTÉMATIQUE

Groupe 1:ADN bicaténaire ( 20 questions)
Famille 1 :Herpesviridae
1- Les Herpesviridae présentent des caractères commun dont :
A.Sont des virus à ARN et nus
B.Ils possèdent une capside icosaédrique
C.Ils provoquent des infections localisées
D.L’effet cytopathogène permet de distinguer entre les sous familles
E.Après latence. Ils se réactivent pour donner une lésion au même endroit que la primo-infection
2- Quelles sont les propositions justes concernant les Herpesviridae?
A L'Ag EBNA de l'EBV est implique dans l'immortalisation des lymphocytes B.
B- Le CMV provoque une maladie toujours symptomatique.
C L'HSV 2 entre en latence dans les ganglions trigeminée.
D. Lors de l'infection par le virus de la varicelle zona, une virémie précède l'éruption cutanée.
E.Le VZV peut être isolé à partir des lésions vésiculeuses cutanées.
F-L'EBV provoque une infection chronique.
G-L'Ag EBNA de l'EBV est impliqué dans l'immortalisation des lymphocytes
H- Le CMV provoque une maladie le plus souvent inapparente
I-L'HSV 1 entre en latence dans les ganglions trigéminée
J-L'infection à HSV2 n'est observée que chez l'adulte.
Virus 1:HSV1-HSV2
3- Le virus de l'Herpès Simplex :
A.Lors d’une infection par ce virus, l’antibiothérapie est systématique pour éviter les surinfections
B.Lors d’une infection par ce virus, l’éviction scolaire est obligatoire
C.La réinfection par ce virus est liée à certains facteurs endogènes
D.Les ganglions sensitifs représentent le site de latence de ce virus
E.Peut provoquer une infection généralisée chez l’immunodéprimé
F- Après la primo-infection, il reste latent dans les ganglions sensitifs
G-HSV-1 peut provoquer une Kérato Conjonctivite aigue.
H-HSV 2 peut être responsable de l'Herpès néonatale
4- Concernant le virus herpes simplex:
A- La multiplication du Virus herpes simplex provoque un ECP commun avec les autres Herpesviridae

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B- Les ganglions sacrés représentent le site de latence de l'HSV1.
C- Le virus herpes simplex ne peut provoquer qu'une infection localisée.
D- Une infection néonatale par le virus herpes simplex peut être à l'origine de décès.
E- La présence d'anticorps neutralisants (HSV) protège de la réactivation du virus.

Virus 2 :VZV
5- Le virus de la varicelle zona :
A.Est très fragile et se transmet par contact direct
B.L’éruption de la varicelle débute au tronc et s’ étend progressivement vers les membres
C.Le virus de la varicelle diffère du virus du zona par la constitution de la nucléocapside
D.Le virus de la varicelle zona peut s’isoler de la lésion vésiculeuse cutanée
E.Zovirax est l’antiviral prescrit systématiquement pour toute infection au VZV
F.Peut être transmis par contact avec les lésions cutanées
G.Provoque une infection aiguë qui évolue vers la chronicité
H.Le prévention de l’infection par ce virus repose sur la vaccination obligatoire
I.Le zona est la manifestation récurrente de la varicelle
J.Lors d’une infection par ce virus, l’antibiothérapie est systématique pour éviter les surinfections
K.Lors de la primo-infection, ce virus provoque une maladie peu contagieuse
L.Est responsable d’une infection localisée
M.Peut provoquer des complications graves chez les sujets immunodéprimés
N.Le Zona s’observe après réinfection par le VZV
O.La varicelle est une maladie très contagieuse
P.L’infection par ce virus survient par cas sporadiques dans les communautés d’enfants
Q.La varicelle peut revêtir une forme grave quand elle survient chez des sujets immunodéprimés
R.Peut rester latent des années après la primo-infection
S.La chute des croûtes se fait normalement sans circatrices résiduelles
T.L'infection par le VZV provoque une éruption cutanée qui évolue en phases: macules
papules, vésicules et se termine par la formation de croûtes.
U- Un traitement antiviral est prescrit systématiquement pour toute infection à VZV.
V Le Zona s'observe après réinfection par le VZV.
W- La virémie ne se produit que lors de la primo-infection.
X-Se transmet par contact direct.
Y-Ne peut pas être isolé à partir des lésions vésiculeuses cutanées.
Z- Lors de la primo-infection, il provoque une virémie avant l'éruption cutanée.
AA-Après la primo-infection qui est toujours symptomatique, le virus entre en latence et peut être réactivé
(après plusieurs années) pour donner le Zona
BB-Le risque de transmission materno-foetal est nul lors de la primo- infection d'une femme enceinte, entre
la 4 et 24 SA
CC. La primo-infection par ce virus donne des lésions vésiculeuses disséminées..
DD-La réactivation du VZV survient plusieurs fois dans la vie.
EE. Est peu résistant dans le milieu extérieur et se transmet par contact direct.
FF. Persiste à l'état latent dans un ganglion sensitif.
GG. Le virus de la varicelle diffère du virus du zona par les antigènes de l'enveloppe.
HH. La primo-infection maternelle par le virus de varicelle zona a plus de conséquences périnatales
lorsqu'elle survient dans les derniers jours de Grossesse
6- Virus de la varicelle zona
A- A la fin de la primo-infection, le virus gagne les ganglions sensitifs par voie nerveuse et ou hématogène
pour entrer en latence.
B- La primo-infection maternelle par le virus de varicelle-zona a plus de conséquences périnatales
lorsqu'elle survient dans la dernière semaine d'aménombée.
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C- La réactivation du virus latent donne le Zona et cette réactivation survient plusieurs fois chez la
personne infectée.
D- Lors de la réactivation, la phase de virémie est de courte durée
E- Les vésicules liées à l'infection par le VZV sont contagieuses.
7- La varicelle :
A.Survient sous forme sporadique dans les communautés d’enfants
B.Est liée au même virus que le zona
C.Est due à la réactivation du virus du zona
D.Lors de la réactivation du virus responsable de la varicelle on peut avoir une virémie
Virus 3: CMV
8- Le CMV :
A.Appartient à la famille des entérovirus
B.A un réservoir animal et contamine exceptionnellement l’homme
C.Provoque une maladie le plus souvent inapparente
D.Se dissémine par voie sanguine associée à la fraction leucocytaire
E.Rentre en latence et les sites de latences sont mal connus
F.Le CMV peut être à l’origine d’infections viscérales principalement chez le sujet
immunodéprilé
G.Il produit un effet cytopathogène après 24 heures de culture
H.Le CMV se transmet par voie sexuelle
I.Il peut être à l’origine d’une pneumopathie
J.Il est sensible au Ganciclovir
K. Appartient à l'ordre des Mononegavirales.
L. Provoque une infection souvent asymptomatique.
M. Est secrété dans plusieurs liquides biologiques.
N. Peut se transmettre par voie sexuelle.
O. Sa culture est facile et peut être utilisée en routine.
9- Le cytomégalovirus peut être habituellement isolé à partir :
A.Du sang
B.Du liquide vésiculaire
C.Des selles
D.Des urines
E.De la salive
F.Des sécrétions génitales
10- Cytomegalovirus
A. Le cytomégalovirus appartient à la famille des entérovirus.
B- La primo-infection par ce virus est souvent asymptomatique.
C- Ce virus est secrété dans les liquides biologiques durant plusieurs années.
D- Ce virus provoque une infection latente dont les sites sont mal connus.
E- La primo-infection chez la femme enceinte est sans conséquences sur le foetus.
Virus 4 : EBV
11- Le virus de l’Epstein Barr :
A.L’EBV a un tropisme pour les lymphocytes B
B.L’EBV provoque une infection chronique
C.L’Ag EBNA de ce virus est impliqué dans l’immortalisation des lymphocytes T
D.Les Ac anti-EBNA apparaissent environ 2 à 3 mois après la primo-infection et persistent toute la vie
E.La réaction de Paul Bunnell-Davidson permet la détection des anticorps anti-EA dans le cas de la
mononucléose infectieuse
F.A un tropisme pour les lymphocytes T

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G.Peut être détecté dans certaines tumeurs
H.Peut être à l’origine de la leucémie à cellules T de l’adulte
I.La réinfection par ce virus est marquée par une phase de virémie
J.Les AC spécifiques du virus sont mis en évidence par la réaction de Paul-Bunnell-Davidsohn
G.Les premiers anticorps détectables sont les anti-VCA
H.Est un virus potentiellement oncogène
I.Provoque une infection latente
J.Possède une Reverse-Transcriptase
K.Au cours d’une primo-infection par ce virus, les anticorps anti VCA sont les premiers à être détéctés
L.Au cours d’une primo-infection par ce virus, les anticorps anti EBNA sont les premiers à être détéctés
M.Lors d’une infection par ce virus, les anticorps anti EBNA produits persistent toute la vie
N.Lors d’une infection par ce virus, les anticorps anti VCA produits persistent toute la vie
O.Le traitement de l’infection par l’EBV repose sur l’utilisation d’un antivirale type acyclovir
P-L'EBV est responsable de la mononucléose infectieuse.
conséquences périnatales lorsqu'elle survient dans les derniers jours de Grossesse.
Q. Appartient à la famille des Herpesviridae.
R. Peut être à l'origine de certains cancers.
S. Après infection par ce virus, les premiers anticorps décelables sont les anti-EBNA
12- Concernant le virus Epstein Barr et le cytomégalovirus:
A- Ces virus appartiennent à la taille des Herpesviridae
B- Ces virus se transmettent par tous les liquides biologiques
C- Ces virus peuvent être responsables de la mononucléose infectieuse
D- La réinfection par ces virus est marquée par une phase de virémie.
E. Ces virus sont très sensibles aux antivirus.
13- L'EBV
A- Le virus Epstein-Barr a un tropisme pour les lymphocytes T.
B- La primo-infection est souvent asymptomatique.
C- La transmission de ce virus se fait par la salive.
D- Ce virus peut être à l'origine de certains cancers notamment du carcinome indifférencié du nasopharynx.
E- La recherche d'anticorps hétérophiles est réalisée pour le diagnostic de la mononucléose infectieuse. Ce
test est basé sur la capacité de ces anticorps à agglutiner les globules rouges de certains animaux (cheval,
mouton....).

Famille 2:papillomavirus
Virus 1 :HPV
14- Le Papillomavirus humain :
A.La nucléocapside porte des protéines spécifiques du genre et du type
B.Les HPV peuvent être subdivisés en ceux dit « haut risque » et ceux dit « bas risque » en fonction de leur
tropisme
C.Certains antiviraux sont efficaces et permettent l’arrêt de la multiplication virale
D.Ce virus peut être à l’origine d’infections de la sphère ORL
E.Le vaccin nonavalent anti HPV protège à 100% contre l’infection et le développement du cancer du col
F.Est un virus à ADN double brin linéaire
G.Présente un tropisme exclusivement muqueux
H.Sa multiplication provoque un ECP : la koïlocytose
I.L’infection par ce virus évolue toujours vers le cancer du col
J.Le diagnostic de l’infection à HPV repose sur les tests sérologiques
K.L’HPV est un virus à ADN double brin super enroulé
L.Les HPV muqueux peuvent être à l’origine des Papillomes laryngés de l’enfant

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M.Quand un HPV haut risque infecte le tractus génnital d’une femme. Celle-ci développe toujours un
cancer du col utérin
N.Le pouvoir oncogène de l’HPV est lié à l’intégration du génome viral dans celui de la cellule hôte
O.Il existe un vaccin anti-HPV qui protège contre l’infection par tous les génotypes
P.L’HPV est un virus à ADN double brin
Q.Les HPV muqueux peuvent être à l’origine de leucoplasie chevelue de la langue
R.Il existe un vaccin anti-HPV qui protège contre certains génotypes HPV
S se transmettent uniquement par voie sexuelle.
T. peuvent être subdivisés en coux dit «haut risque et ceux dit abas risque
U- Ne peuvent provoquer que des infections génitales.
V. La multiplication virale se traduit par un ECP caractéristique qui consiste en la formation
d'un syncytium.
W. L'infection par ce virus peut régresser spontanément.
X- Peut infecter les cellules de la couche basale de l'épithélium
Y- Son acide nucléique ne peut pas s'intégrer dans celui de la cellule hôte.
15- Les HPV:
A- Sont ces virus à ADN double brin super enroulé
B. Ont un tropisme exclusivement muqueux
C. Ils se transmettent uniquement par voie sexuelle
D. Peuvent être à l'origine des Papillomes laryngés de l'enfant.
E. Il existe un vaccin HPV qui protège contre l'infection par tous les génotypes.
F. Les protéines L1 et L2 des HPV ont un pouvoir transformant.
G. L'élimination du virus peut se faire spontanément à différents stades
(même après apparition des lésions), activement
H. Infectent les cellules de la couche basale de l'épithélium et s'y multiplient
I. La multiplication virale se traduit par un effet cytopathique caractéristique : koilocytes.
16- Concernant le papillomavirus Humain (HPV):
A- Les HPV ont un génome ADN circulaire double brin
B- Les infections cutanées par l'HPV peuvent régresser spontanément
C- La majorité des HPV ont un pouvoir transformant et sont oncogènes.
D- Les HPV muqueux infectent les cellules de la couche basale de l'épithélium où ils commencent la
réplication de leur génome Ensuite, la synthèse des protéines de la capside et l'assemblage des nouveaux
virions à lieu dans les cellules épithéliales les plus différenciées. Enfin, les virions sont libérés à la surface
de la muqueuse au cours de la desquamation.
E- Les vaccins contre l'HPV disponibles protègent de tous les genotypes haut-risque.
17- Les HPV sont des virus à :
A.ADN bicaténaire, super-enroulé, circulaire
B.Caractère transformant
C.Tropisme exclusivement muqueux
D.Réplication intranucléaire
18- L’infection par un HPV peut être à l’origine de :
A.Papillome laryngé de l’enfant
B.Condylome accuminé
C.Epidermodysplasie verruciforme
D.Leucoplasie chevelue de la langue
E.Cancer du col utérin
19- L’infection par un HPV cutané peut être à l’origine de :
A.Papillome laryngé de l’enfant
B.Condylome accuminé
C.Epidermodysplasie verruciforme

Page 177:Ataraxie
D.Leucoplasie chevelue de la langue
20- Le papillomavirus humain a un effet sur la cellule infectée. Cet effet consiste en :
A.La lyse de la cellule
B.La fusion de la cellule infectée avec les cellules environnantes
C.La koïlocytose
D.La production d’inclusions souvent
caractéristiques
Groupe 2:ADN Monocaténaire: ( 2 questions )
Famille 1:Parvoviridae
Virus 1:Érythro Parvovirus B19
1- Le parvovirus B19 :
A.Est un Lentivirus
B.Est un virus oncogène
C.Présente un tropisme pour les précurseurs érythroïdes
D.Est responsable de cruse d’érythroblastopénie aiguë chez les immunodéprimés
E.Le parvovirus B19 peut être responsable d’anasarque foeto-placentaire lors d’une
primo-infection chez une femme enceinte
F.A un tropisme pour les précurseurs éythroïdes
G.Est responsable de la cinquième maladie de l’enfant
H.Peut être responsable d’une érythroblastopénie profonde
I.Est tératogène
J.L’infection survient pendant l’enfance uniquement
K.Appartient au genre des Erythrovirus
L.Est lytique pour les précurseurs érythroïdes
M.Il provoque une virémie chronique lorsqu’il infecte la femme enceinte
N.Est tératogène lors d’une transmission materno-fœtale
O.Donne le mégalérythème épidermique de l’enfant (5ème maladie de l’enfant)
P. Sa transmission est sanguine et materno foetale uniquement
Q. Infecte les précurseurs érythroïdes est se réplique au niveau du noyau.
R. Provoque la lyse des érythrocytes.
2- Lors de l’infection par le parvovirus B19 :
A.Une crise érythroblastopénique est observée chez le sujet immunocompétent
B.Une virémie transitoire est observée chez le sujet immunocompétent
C.Une virémie transitoire est observée chez le sujet immunodéprimé
D.Une virémie transitoire est observée chez le sujet immunocompétent
E.Un Anasarque foeto-placentaire peut être observé lors de l’infection d’une femme enceinte
F.Une érythroblastopénie profonde est observée chez l’immunodéprimé
Groupe 3:ARN Bicaténaire: ( 5 questions )
Famille 1:Reoviridae
Virus1:Rotavirus
1- Le Rotavirus :
A.Possède un ARN bicaténaire linéaire et segmenté
B.La capside virale a une symétrie icosaédrique
C.Il constitue la cause majeure de gastro-entérites dans le monde chez les enfants de moins de 3 ans
D.Il est très virulent et de faibles quantités du virus provoquent la maladie
E.Les anticorps produits contre ce virus et circulants sont protecteurs
F.Le Rotavirus est un virus doté d’une grande variabilité génétique
G.Le Rotavirus est d’une faible virulence

Page 178:Ataraxie
H.Ce virus est responsable d’une infection latente et sa réactivation est généralement asymptomatique
I.Ce virus est responsable de gastro-entérites
J.Les techniques immunologiques sont utilisées pour larecherche dans l’environnement des virus excrétés
dans les selles notamment pour la recherche du Rotavirus
K.Le Rotavirus est un virus d’un très faible variabilité génétique
L.Est très virulent
M.Est responsable d’une infection latente et sa réactivation est généralement asymptomatique
N.Les techniques moléculaires sont utilisées pour la recherche dans l’environnement
2- Les Rotavirus:
A.ont un génome de type ARN bicaténaire segmenté et une morphologie caractéristique
en forme de roue.
B. Leur durée d'incubation est généralement longue > 7 jours),
C-Leur transmission est fécale-orale et constituent la cause majeure de gastro entérites de
l'enfant.
D- Les techniques utilisées pour leur diagnostic sont essentiellement indirectes
E. Un traitement antiviral est préconisé chez l'adulte lors de la réinfection par ce virus.
3- Le diagnostic de l’infection à Rotavirus se fait en routine par :
A.ELISA indirect sur selles
B.ELISA direct sur selles
C.ELISA direct sur prélèvement sanguin
D.Test d’agglutination
4- Concernant le rotavirus du groupe A:
A- Les rotavirus ont un génome de type ARN bicaténaire segmenté et une morphologie forme de roue.
B- Les rotavirus sont pourvus d'une double capside à symétrie icosaédrique.
C- La gastroentérite à rotavirus évolue par épidémies saisonnières.La sécrétion du virus en grande quantité
dans les selles et sa résistance dans le milieu extérieur sont des facteurs qui favorisant l'évolution
d'épidémies.
D- Une souche virale (de rotavirus) est définie, entre autres, par une combinaison de sérotypes (G+P). Les
anticorps produits suite à l'infection par une souche donnée confèrent une protection et donc les infections
par d'autres sérotypes sont rares.
E- Lors d'une infection, le rotavirus adhère aux entérocytes des villosités de l'intestin grêle et s'y multiplie.
Ceci provoque une perturbation de l'activité électrolytique des cellules et une perte d'eau et d'électrolytes.
Cette perte d'électrolytes est à l'origine du syndrome de malabsorption et déshydratation.
5- Rotavirus du groupe A
A- Les Rotavirus ont un génome de type ADN bicaténaire segmenté.
B- Ce virus se transmet par voie féco-orale.
C- Ce virus adhère aux entérocytes des villosités de l'intestin grêle.
D- Les réinfections par se virus sont fréquentes et sont de moins en moins sévères
E- Les techniques de diagnostic directes rapides peuvent être utilisées pour la recherche de ce virus dans
les selles de patients

Groupe 4:ARN monocaténaire positif:( 23 questions )

Famille 1:Togaviridae
Virus 1:Virus de la rubéole
1- Le virus de la rubéole :
A.Appartient à la famille des Togaviridae
B.Se multiplie dans les muqueuses respiratoires
C.Présente un cycle de multiplication court (multiplication rapide)

Page 179:Ataraxie
D.Le risque de malformations congénitales dépend de l’âge de la grossesse et est plus important lorsque la
primo-infection de la femme enceinte a lieu après la 18ème semaine d’aménorrhée
E.La suspicion d’une infection congénitale justifie l’intéruption de la grossesse
F.Appartient à la famille des Orthomyxoviridae
G.Est enveloppé et fragile
H.Présente un seul type antigénique
I.Provoque une infection aiguë
J.Est tératogène
K.Est un virus à multiplication lente
L.La contamination se fait par voie respiratoire
M.Lors de l’infection, une virémie a lieu et le virus atteint les ganglions cervicaux
N.La réinfection par ce virus est asymptomatique
O.La multiplication virale provoque une hémorragie sous cutanée
P-La réinfection par ce virus au cours de la grossesse présente un risque pour le Foetus.
Q-Le virus de la rubéole est responsable de l' Enanthème de la face interne des joues
(signe de koplick)
2- La Rubéole
A- Le réservoir du virus de la rubéole est Humain.
B- Les ganglions sacrés représentent le site de latence de ce virus.
C- Ce virus provoque une infection localisée.
D- Une infection congénitale peut être à l'origine de la mort fatale.
E- Les signes cliniques sont suffisants pour établir le diagnostic de l'infection par ce virus.
3- L’examen utilisé pour le diagnostic de la rubéole congénitale chez un nouveau-né est :
A.Mise en évidence d’une augmentation significative du taux d’anticorps anti-rubéoliques
chez la mère
B.Recherche d’immunoglobulines totales anti-rubéoliques dans le sang du nouveau-né
C.Recherche d’une virémie dans le sang de la mère
D.Recherche d’IgM anti-rubéoliques dans le sang du nouveau-né
E.Recherche de l’acide nucléique viral chez la mère
4- La présence d’AC anti rubéole chez une femme enceinte à la 6ème semaine de la grossesse signifie :
A.Systématiquement une immunisation ancienne
B.La rubéole est certaine et l’interuption de grossesse est nécessaire
C.Possible réinfection qu’il faut confirmer, entre autres, par le dosage des IgM
D.Réinfection et l’interruption de grossesse est nécessaire
5- Vous proposez la vaccination contre la rubéole à une jeune femme dont la sérologie rubéole est
négative :
A.La vaccination contre la rubéole est réalisée avec un vaccin trivalent ROR
B.Il est nécessaire de s’assurer de l’absence de grossesse débutante et d’éviter toute grossesse dans les 2
mois suivant la vaccination
C.Si cette femme est déjà enceinte, vous lui proposez le vaccin et vous exigez la réalisation d’une
sérologie mensuelle
D.Si cette femme vient d’être en contact avec une personne ayant les signes cliniques de la rubéole
E.Vous lui donnez le choix entre vaccin vivant atténué et vaccin inactivé
Famille 2:Picornaviridae
Virus 1:Poliovirus:Entérovirus humain C
6- Les entérovirus sont des virus qui :
A.Ont un ARN de polarité positive (codant)
B.Ont un ARN de polarité négative (anticodant)
C.Présentent une très grande variabilité génétique et antigénique

Page 180:Ataraxie
D.Ont tous un tropisme pour le même organe
7- Le Poliovirus :
A.Appartient à la famille des Picornaviridae
B.Est éliminé dans les selles pendant plusieurs semaines après guérison
C.Est libéré par lyse cellulaire
D.Provoque une maladie à déclaration obligatoire
E.Il n’existe pas un vaccin pour ce virus
F-Le poliovirus virus est responsable de la paralysie flasque des membres inférieurs.
8- Le virus de la poliomyélite a un effet sur la cellule infectée. Cet effet consiste en :
A.La lyse de la cellule
B.La fusion avec d’autres cellules environnantes non infectées
C.La transformation
D.La production d’inclusions souvent caractéristiques
E.L’intégration du génome viral
Virus2:VHA:hepatovirus
9- Le VHA et le VHE se partagent les caractéristiques suivantes :
A.Appartiennent à la même famille
B.Se transmettent par voie féco-orale
C.Sont excrétés dans les selles en grande quantité
D.Sont des virus nus
E.La recherche de leurs Ag dans les selles représente un grand intérêt pour le diagnostic
F.Leur acide nucléique est un ARN simple brin de polarité positive
G.L’utilisation du vaccin vivant inactivé permet la prévention de l’infection
10- Le VHA présente les caractéristiques suivants :
A.Appartient à la famille des Picornaviridae
B.Est un virus enveloppé
C.Est un virus à ADN
D.Se transmet par voie fécale-orale
E.Est excrété dans les selles en faible quantité
F.Peut provoquer un hépatocarcinome
G.Peut provoquer des épidémies
H.Provoque une infection qui peut être prévenue par une vaccination
I.La recherche de ses Ag dans les selles présente un grand intérêt diagnostic
11- Le virus de l'Hépatite A:
A. Appartient à la famille des Picornaviridae
B- Se Réplique dans le muqueuse digestive, diffuse par voie sanguine pour rejoindre
le foie
C-Est éliminé dans les salles des porteurs chroniques
D-La diagnostic se fait par recherche des AG VHA dans les selles
E-Provoque une infection qui peut être právenue par une vaccination
F- Est un virus à ARN double brin et non enveloppé.
G- Son élimination se fait dans les selles pendants quelques semaines (2 à 3) avant l'apparition des signes
cliniques.
H- Lors de l'infection,une phase de virémie à lieu.
I- Le diagnostic de l'infection repose sur la recherche des antigènes dans les selles.
J- L'utilisation d'analogues nucléotidiques est recommandée pour le traitement de cette infection.

12- Concernant le virus de l'hépatite A (VHA):

A- Le VHA appartient à la famille des Picornaviridae et résiste à la chloration habituelle des eaux.
B- Le VHA est un virus enveloppé à ARN segmenté.
Page 181:Ataraxie
C- Le VHA est éliminé dans les selles des porteurs chroniques.
D- Le diagnostic du VHA repose sur la recherche de ses antigènes dans les selles.
E- Le vaccin contre le VHA disponible est un vaccin à virus inactivé.
Famille 3:Flaviviridae
Virus1:VHC:hepacivirus
13- Le virus de l’hépatite B et de l’hépatite C présentent les caractéristiques communes suivantes :
A.Sont des virus enveloppés et résistant dans le milieu extérieur
B.Le quantification de leur acide nucléique est importante pour le suivi de l’infection
C.Se répliquent dans le noyau
D.Peuvent se réactiver après la diminution de l’immunité à médiation cellulaire
E.Leur diagnostic repose sur un test de dépistage et un test de validation
F.Réplication purement intra-cytoplasmique
G.Caractérisés par une richesse en marqueurs sérologiques
H.Présentent un tropisme pour les hépatocytes
I.Leur diagnostic repose sur un test de dépistage et un test de validation
14- Le virus de l’hépatite C
A.Est un virus à ARN simple brin linéaire
B.Contient des régions génomiques hypervariables
C.Sa réplication est en partie intra-cytoplasmique
D.Le contrôle de la réponse à une vaccination anti-VHC repose sur le titrage de l’anticorps
anti-VHC
E.Peut se réactiver après la diminution de l’immunité à médiation cellulaire
F.Se réplique dans le noyau
G.Se réplique dans le cytoplasme
H.Est un virus à forte variabilité génétique et possède une région hypervariable HRV1
I.Provoque une infection aiguë qui évolue vers la chronicité dans 80% des cas
J.Ne se transmet pas par voie sexuelle
K.Peut être transmis par voie sexuelle
L.La réponse du virus au traitement dépend du génotype
M.Le génotype 1 de ce virus répond plus au traitement que les autres génotypes
N.Il existe un vaccin efficace pour le VHC
O.Est enveloppé et fragile
P.Peut intégrer son acide nucléique à celui de la cellule hôte
Q.La détermination de la charge virale de ce virus est le seul élément important à prendre en considération
avant la prescription du traitement
R.Est un virus à ARN simple brin linéaire
S.Sa réplication est purement intra-cytoplasmique
T.Un des antiviraux qui peuvent être utilisés pour le traitement de l’infection à VHC contient un inhibiteur de
la polylmérase NS5B
U.Est un virus à ARN simple brin de polarité positive.
V.Son génome code pour les protéines structurales uniquement.
W. L'intégration de l'acide nucléique viral à celui de l'hôte est à l'origine du développement du carcinome
hépatocellulaire.
X.Le diagnostic moléculaire (recherche de l'ARN) est nécessaire lorsque les résultats du
test sérologique sont douteux,
Y- Est un virus à ARN de polarité négative,
Z- Présente une forte variabilité génétique surtout au niveau de la région N terminale du gène E2.
AA- Une infection chronique à VHC est toujours symptomatique.
BB-La présence d'AC anti VHC implique systématiquement une infection active.

Page 182:Ataraxie
CC-A une répartition inégale dans le monde
DD-Es un virus génétiquement stable.
EE. Provoque une infection aigue qui évolue vers la chronicité dans 20% des cas
FF. Peut provoquer une infection chronique asymptomatique.
GG. Le vaccin permet une très bonne protection.
HH. Le diagnostic peut se faire par un simple test ELISA à la recherche des IgG anti-HCV
15- Concernant le virus de l'hépatite C (VHC):
A- Le génome du VHC est un ARN de polarité négative.
B Le VHC a une répartition inégale dans le monde.
Le VHC peut être transmis par voie sexuelle.
La forte variabilité génétique du VHC peut expliquer le taux élevé d'évolution de l'infection vers la
chronicité,
E. Le génome du VHC ne code que pour les protéines structurales virales
16- La présence d’anticorps anti-VHC chez un patient signifie :
A.Qu’il s’agit d’une infection aiguë
B.Qu’il s’agit d’une infection guérie
C.Qu’il s’agit d’une infection chronique
D.Probable réponse à une vaccination
E.N’est pas concluante et un diagnostic moléculaire est nécessaire
Virus 2:VHG:pegivirus
17- Le PegiVirus Humain
A. appartient à la famille des Flaviviridae.
B. Son génome est un ARN simple brin linéaire et est entouré d'une capside
à symétrie icosaédrique.
C. Se transmet par voie Parentérale, Materno-foetale et probablement sexuelle.
D. Se Réplique dans les lymphocytes T et B.
E. Provoque une infection aiguë qui peut évoluer vers la chronicité
Famille 4:Hepeviridae
Virus1:VHE
18- Le virus de l’hépatite E :
A.Appartient à la famille des caliciviridae et au genre Hepevirus
B.Possède un ARN simple brin de polarité positive entouré d’une capside icosaédrique
C.La diagnostic de l’infection à VHE peut être fait à partir des selles
D.Présente le même tableau clinique que le virus de l’hépatite A
E.Est un virus défectif
F.Est de la même famille que le VHA
G.Se transmet par voie oro-fécale
19- Concernant le virus de l'hépatite E (VHE):
A- Le VHE est composé d'un génome ARN simple brin et d'une capside icosaédrique.
B- Le VHE résiste aux cycles de congélations-décongélations Le VHE peut être transmis par voie aérienne
et provoque une infection toujours symptomatique.
D- L'infection aiguë par le VHE devient chronique dans 60% des cas
E- L'infection de la femme enceinte par le VII. au cours du troisième trimestre de grossesse, peut causer le
décès dans près de 20% des cas

Famille 5:Coronaviridae
20- Concernant les Coronavirus :
A- Le SARS-CoV 2 présente une forte similitude (96%) avec un coronavirus de chauve-souris.
B- Tous les coronavirus humains sont à l'origine d'une maladie grave.

Page 183:Ataraxie
C-Le SARS-CoV 2 est plus mortel que le SARS-CoV1 et le MERS-CoV.
D-Les coronavirus peuvent provoquer des infections respiratoires, des maladie digestives et des maladies
du système nerveux
E- Lors d'une infection par le SARS-CoV2, les anticorps peuvent être détectés dès l'apparition des signes
cliniques.
21- Les virus de la grippe et les Coronavirus :
A- Ont le même mode de transmission : interhumaine directe.
B- Ils ont un tropisme pour les mêmes types cellulaires.
C- Ils reconnaissent les mêmes récepteurs cellulaires.
D-Les nouveaux virions sont libérés par bourgeonnement à partir de la membrane cellulaire.
E- Ils ont des taux de reproduction de base (RO) différents.
22- Concernant les coronavirus:
A- La protéine M du SARS-CoV 2 est requise pour l'assemblage des particules virales après réplication.
B- Le SARS-CoV2 est moins mortel que le SARS-CoVI et le MERS-CoV.
C- Le taux de reproduction de base du SARS Cov2 varie d'un pays à l'autre.
D- Lors d'une infection par le SARS-CoV2, les anticorps neutralisants peuvent être détectés dès l'apparition
des signes cliniques.
E-L'infection par le SARS-CoV 2 peut provoquer, chez certaines personnes, une production très importante
de cytokines (orage cytokinique). Cet orage cytokinique peut être un facteur d'aggravation de la maladie
COVID
23- Concernantle virus de la grippe et les coronavirus:
A- ce sont des virus à ARN et enveloppés
B- Ils ont un tropisme pour les mêmes types cellulaires.
C Ils ont les mêmes récepteurs cellulaires.
D- Ils ont les mêmes modes de transmission.
E.-Ils peuvent évoluer par un phénomène de réassortiment génétique.

Groupe 5: ARN Monocaténaire négatif : (23 questions)

Partie 1: Génome non segmenté (Mononegavirales)
Famille 1:Paramyxoviridae
1- Les Paramyxoviridae présentent les caractéristiques communes suivantes :
A.Sont des virus à ARN simple brin de polarité négative
B.Se transmettent par voir aérienne
C.Possèdent tous un antigène à propriétés neuraminidase-hémmaglutinante
D.Sont responsables d’éruptions cutanées
E.Diffusent par voie lymphatique et sanguine et provoquent une infection généralisée
F.Sont des virus à ARN linéaire monocaténaire à polarité positive
G.Provoquent une infection aiguë
H. Une capside å symétrie Hélicoïdale.
I. Une enveloppe portant des spicules glycoprotéiques à l'unique propriété neuraminidase.
J. Sont tous transmissible par voie aérienne, et
K. Diffusent dans l'organisme par voie sanguine (rejoindre l'organe cible)
2- Les paramyxovirus sont transmis essentiellement par :
A.Voie respiratoire
B.Voie sexuelle
C.Voie fécale-orale
D.Voie transplacentaire
E.Contact avec les animaux infectés
Virus 1:Virus ourlien
Page 184:Ataraxie
3- Le virus ourlien :
A.Appartient à la famille des Orthomyxoviridae
B.Est enveloppé et fragile
C.Présente un seul type antigénique
D.Provoque une infection aiguë
E.Provoque une infection latente
F.La détermination de sa charge virale est un élément important à prendre en considération avant la
prescription de traitement
G.Le virus ourlien appartient à la famille des Paramyxoviridae
H.Est un virus à large tropisme
I.Il se transmet par voie sanguine
J.Provoque le 5ème maladie de l’enfant
K.Le traitement de l’infection par le virus ourlien repose sur l’utilisation d’un inhibiteur
nucléosidique de la reverse transcriptase
4- Le vaccin contre les oreillons :
A.Offre une immunité durable
B.Selon les recommandations, il doit être administré à l’âge de 1 mois
C.Est un vaccin vivant atténué
D.Est administré par voie orale
E.Une méningite ourlienne post vaccinale peut se produire chez certains enfants
Virus 2:Virus de la rougeole
5- Le virus de la Rougeole :
A.Est un virus peu contagieux
B.Provoque une infection localisée
C.Est responsable du signe de köplick
D.Le diagnostic de l’infection par ce virus peut se faire par culture et l’effet cytopathogène est obtenu en 2
jours
E.L’infection par ce virus confère une immunité définitive
F.Est transmissible par l’eau de boisson
G.Lors de sa réactivation, il donne la maladie du zona
H.C’est un virus qui s’isole facilement
I.L’éruption maculo-papuleuse observée au cours de la rougeole est liée à la multiplication du virus dans
les cellules épidermiques
J.Donne une maladie à déclaration obligatoire
6- Virus de la rougeole
A- Le virus de la rougeole est très peu contagieux.
B- Ce virus est éliminé dans les selles.
C- Lors de l'infection par ce virus, une phase de virémie secondaire est à l'origine de l'infection généralisée
qui se traduit par une éruption maculo-papuleuse caractéristique de la rougeole.
D- Ce virus provoque une infection latente et sa réactivation est possible.
E- La prévention de l'infection par ce virus est basée sur l'utilisation d'un vaccin vivant atténué
Virus 3:Parainfluenza
7- Le virus Parainfluenza :
A.Est un virus enveloppé et l’enveloppe porte des spicules ayant les propriétés d’hémmaglutinine et
neuraminidase
B.Son acide nucléique est un ARN simple brin
C.Présente un acide nucléique segmenté
D.Le diagnostic de l’infection par le parainfluenza virus est essentiellement basée sur la recherche des
antigènes viraux par la technique d'immunofluorescence

Page 185:Ataraxie
E.Il se multiplie dans les cellules de l’arbre respiratoire et provoque des lésions inflammatoires
F.La réinfection par ce virus est souvent symptomatique
G-Le para-influenza virus A est responsable de la grippe.
8- Les parainfluenza virus:
A. Les espèces parainfluenza virus appartiennent à deux genres différents.
B.Leur acide nucléique est un ARN simple brin segmenté.
C.Leur transmission se fait par les sécrétions respiratoires.
D- L'infection par ce viruses limitée au tractus respiratoire supérieur
E Le diagnostic virologique se fait par immunofluorescence ou par RT-PCR
9- La détection du Parainfluenza virus :
A.Peut se faire par PCR
B.Peut se faire en routine par les techniques sérologiques qui s’avèrent très sensibles
C.Les anticorps spécifiques du virus sont mis en évidence par la réaction de Paul-Bunnell-Davidsohn
D.Se fait essentiellement par les techniques d’immunofluorescence
Virus 4 :VRS
Pas vraiment de questions propres à ce virus
Famille 2 : Rhabdoviridae
Virus 1:Virus de la rage
10- Le virus de la rage :
A.Appartient à la famille des Rhabdoviridae
B.Est un virus à sumétrie icosaédrale
C.A un réservoir strictement humain
D.Ne se réplique que dans le cerveau
E.Le vaccin antirabique inactivé peut être utilisé comme moyen curatif et à plus faibles doses comme
moyen préventif
11- La rage :
A.Est une zoonose
B.Le virus responsable de la rage appartient à la famille des Rhabdoviridae
C.Peut se transmettre par voie sexuelle
D.Le virus responsable de la rage ne se réplique que dans le cerveau
E.Le vaccin antirabique est un vaccin inactivé qui peut être utilisé comme moyen curatif et à plus faibles
doses comme moyen préventif
Famille 3 : Filoviridae
Virus 1 : Ebola virus
12- Le virus Ebola :
A.Est un virus pantropique
B.Sa période d’incubation est de 30 jours
C.Pénètre dans les monocytes par Macropinocytose
D.La flambée qui a sévit en 2014 était liée à deux variants « Makona » et « Lomela »
E.L’infection par ce virus donne des signes cliniques suffisants pour établir le diagnostic
F.A une période d’incubation de 21 à 30 jours
G.Les premiers symptômes observés suite à l’infection par ce virus sont des symptômes
pseudo-grippaux
H.L’infection par ce virus peut provoquer des Hémorragies internes et externes
I.L’infection par ce virus peut être à l’origine d’une coagulation intra-vasculaire disséminée
J.Le traitement antiviral prescrit n’est pas toujours efficace
K.Appartient à la famille des Filoviridae
L.Touche certains primates et l’homme
M.Appartient à la famille des Filoviridae et présente une structure hélicoïdale

Page 186:Ataraxie
N.Appartient à la famille des Flaviviridae
O.Se transmet par tous les fluides corporels
P.Ne se réplique que dans les monocytes, les macrophages et les cellules dendritiques
Q.La souche Zaïre peut se transmettre par l’air
R.Il n’existe pas un traitement antiviral contre ce virus
S.L’espèce la plus virulente est Ebolavirus Reston (RESTV)
T.La transmission interhumaine se fait par voies sexuelles et respiratoire uniquement
U.L’infection par ce virus ne provoque que des hémorragies internes:
V.La souche Ebola-Reston est la plus pathogène pour l’homme
W.Le virus peut être transmis à partir des cadavres infectés
X.Après une infection par le virus EBOLA, le sperme reste contagieux jusqu’à sept mois après la guérison
clinique
Y.Ce virus comporte la VP24 qui est une protéine structurale jouant un rôle dans la décapsidation et aussi
la suppression de l’expression de l’INF
Z.Ce virus comporte la VP40 qui est une protéine structurale jouant un rôle dans le maintien de la structure
et l’assemblage et la libération des nouveaux virions
AA.La recherche des IgG par ELISA indirecte est adaptée au diagnostic en cours d’épidémie
Partie 2: Génome segmenté
Famille 1 : Orthomyxoviridae
Virus 1: Virus de la grippe
13- Les virus de la grippe sont classés dans :
A.Famille des Orthomyxoviridae
B.Genre myxovirus
C.Espèce : Para-influenza virus A
D.Espèce : Para-influenza virus B
14- Les virus de la grippe humaine :
A.Ce sont des virus à ARN simple brin segmenté
B.Ce sont des virus nus
C.Ils peuvent être responsables d’épidémies
D.Ils ne sont pas cultivables
E.Le vaccin consiste en une injection intradermique suivie de 2 injections de rappel
15- Le virus de la grippe comporte la(es) protéine(s) antigénique(s) suivante(s) :
A.Neuraminidase (NA)
B.La protéine TAX
C.Hémagglutinine (HA)
D.Le VP1 et la VP4
E.La protéine X
16- Les variations antigéniques majeures de myxovirus influenzae A:
A.Surviennent progressivement
B.Sont responsables de pandémies touts les 3 ans environ
C.Sont liées à la structure fragmentée du génome viral
D.Sont provoquées par mutation ou recombinaison entre virus
E.Entraînent une variation antigénique de la neuraminidase et/ou de l’hémagglutinine
17- À propos des mutation du virus de la grippe :
A.Le glissement est responsable de variation antigéniques mineures
B.Le glissement ne permet pas la modification des protéines de surface
C.La cassure antigénique crée un nouveau virus
D.La cassure antigénique se fait par réassortiment
E.Le réassortiment touche un seul antigène de surface

Page 187:Ataraxie
18- Concernant le virus de la grippe:
A- Le virus de la grippe est un myxovirus dont le génome est un ARN double brin segmenté.
B- La grippe A (liée au myxovirus influenza type A) est une anthropozoonose
C- Le réassortiment génétique peut se produire lors d'une infection mixte (par deux sous types de virus
grippaux). Le raisonnement qui implique les gènes codant pour l'hémagglutinine et/ou la neuraminidase
peut conduire à une pandémie de grippe
D- VPI et la VP2 sont les protéines de la capside du virus de la grippe
E- La cassure antigénique est le résultat d'une évolution progressive du virus au cours du temps
19- Le virus de la grippe :
A.Est un myxovirus
B.Comporte un génome de type ADN segmenté en 8 fragments
C.Compte 2 espèces uniquement : influenza virus A et influenza virus B
D.Le type A mute avec une grande facilité
E.Le type B est strictement humain
F.Est un Paramyxovirus
G.Est un virus enveloppé
H.Son génome est constitué d’un ADN simple brin à polarité positive segmenté
I.Peut se répliquer dans les cellules nerveuses
J.Possède des spicules à activité neuraminidase jouant un rôle dans la libération des nouveaux virions:
K.Son génome est peu variable
L.Son génome est constitué d’un ADN Simple brin à polarité négative segmenté
M.Ne peut se répliquer que dans les cellules nerveuses
N.Les sauts antigéniques observés chez les Myxovirus Influenzae A sont liés au réassortiment génétique
O.Le génome du Myxovirus influenzae type A est composé de 8 segments d’ARN
P.Le myxovirus influenzae Type A est strictement humain
Q.Les cassures antigéniques observées chez les Myxovirus influezae type A sont liés surtout à un
phénomène de réassortiment génétique
R.Le diagnostic sérologique d’une infection par le virus de la grippe H1N1 se fait par recherche d’anticorps
en utilisant la technique ELISA indirecte
S.Les antiviraux bloquant la neuraminidase, genre Tamilfu empêchent la libération de nouveaux virions et
limitent ainsi l’infection
T. Les glissements antigéniques conduisent à l'apparition de ressortants.
U.La réaction d'inhibition d'hémagglutination peut être utilisée pour le diagnostic,
V- La composition du vaccin de la grippe est déterminée annuellement par l'OMS. Celle
de 2020 comporte 4 souches dont 2 souches du type A ct 2 du type B.
W- Appartient au genre para-influenza,
X- Son génome est constitué d'un ARN simple brin segmenté,
Y-Les réassortiments génétiques conduisent à l'apparition de nouveaux sous- types. Ils se produisent
généralement chez les animaux (porc, oiseaux) et les nouveaux réassortants se transmettent à l'homme. I
Z- La composition du vaccin de la grippe est déterminée annuellement par
L’OMS. Celle de 2020 comporte 3 souches dont 2 souches du type A et 1 du type B.
AA-Compone 3 types: A Bet et le type B est le plus pathogène pour l'homme
BB- Son enveloppe porte les protéines Neuraminidase (NA) et Hémagglutinine (HA)
CC-Les protéines VP1 et VP2 sont capsidiales.
DD-Le glissement antigénique crée un nouveau virus très différent du premier et
généralement responsable de pandémie
EE. Les glissements antigéniques qui se produisent lors de sa multiplication sont
généralement à l'origine des pandémies.
FF. La composition du vaccin de la grippe est déterminée annuellement par l'OMS, celle de 2019 compte 4
souches dont 2 souches du type A et 2 du type В.

Page 188:Ataraxie
20- La grippe
A- La grippe est due à l'infection par le virys parainfluenza.
B- La grippe A est une anthropozoonose.
C- La Neuraminidase et l'Hémagglutinine sont des glycoprotéines d'enveloppe du virus de la grippe.
D- L'hémagglutinine du virus de la grippe lui permet de se fixer aux sur les cellules épithéliales ciliées de
l'arbre respiratoire.
E- Les réassortiments sont provoqués par recombinaison entre virus.
21- Le myxovirus influenza :
A.Est un virus enveloppé
B.L’hémagglutinine et la neuraminidase sont les antigènes stables de ce virus
C.Les cassures antigéniques n’intéressent qu’une protéine interne de ce virus
D.Les glissements antigéniques reflètent les mutations ponctuelles
E.L’infection par ce virus confère une immunité durable
22- Le diagnostic virologique d’une infection par le virus de la grippe présente un intérêt :
A.Dans la surveillance épidémiologique des virus en circulation
B.Dans le cas de manifestation grippale chez sujet vacciné
C.Dans le cas de manifestation grippale chez sujet âgé
D.Dans le cas de manifestation grippale chez l’immunodéprimé non vacciné
23- Si vous suspectez chez un patient une infection par le virus de la grippe, choisissez les pratiques
permettant de réduire le risque de contamination virale :
A.Se faire vacciner contre le virus de la grippe au début de l’année
B.Appliquer les mesures d’isolement technique et géographique du patient
C.Porter un masque chirurgical
D.Utiliser un masque chirurgical pour le patient
E.Frictionner les mains avec la solution hydro-alcoolique avant et après l’examen clinique
du patient
Groupe 6:ARN Monocaténaire :(retrovirus):( 15 questions )
Famille 1:Retroviridae
1- Les Retroviridae
A.Comportent des espèces qui infectent les animaux et d’autres qui infectent l’homme
B.Sont des virus à ARN double brin
C.Sont des virus nus
D.Le gène pol code les protéines de réplication
E.Ne comportent pas d’espèces oncogènes
2- Les virus de la famille des Retroviridae présentent les caractéristiques communes suivantes:
A- Sont des virus enveloppés à ARN diploïde.
B- sont responsables d'infections aigues.
C- Possèdent un gène gag qui code pour les protéines de la capside.
D-Sont des virus oncogènes
E- Pour se répliquer, ils intègrent leur ADN dans celui de la cellule hôte.
F. Sont des virus à ARN double brin.
G. Leur gène gag code les protéines de la capside.
H. Leur gène Pol code les protéines de la réplication.
I. Se transmettent par l'allaitement.
Virus 1:HIV:Lentivirus
3- Le VIH :
A.A un tropisme pour les lymphocytes B
B.Peut provoquer certaines tumeurs
C.Provoque une infection persistante latente

Page 189:Ataraxie
D.Est peu variable
E.Chaque virion possède 2 copies d’ARN
F.Pour le diagnostic de l’infection, les résultats d’un seul test sérologique sont suffisants
G.La mesure de la charge virale est primordiale pour la mise en route du traitement
H.Se multiplie exclusivement dans le cytoplasme cellulaire
I.Les virions sont libérés par bourgeonnement
J.N’est transmis que lors de la phase finale de la maladie
K.Est transmis strictement par voie sexuelle
L.L’évolution de l’infection vers le stade SIDA dépend de la charge virale
M.Se trouve dans tous les liquides biologiques et se transmet par contact de ces liquides
N.Appartient à la famille des Réoviridae
O.La réplication de ce virus se fait au niveau du noyau
P.La gp 41 permet une reconnaissance de CD4 des lymphocytes T4
Q.La libération du virus se fait par lyse cellulaire
R.L’évolution de l’infection se fait en 2 phases
S.Le virus provoque des proliférations cellulaires tel le lymphome B et le cancer du col utérin
T.Le traitement du VIH consiste en une trithérapie
U.Une diminution de la charge virale de 1 log signifie que le traitement est efficace
V.Le temps nécessaire à l’évolution de l’infection par le VIH vers le SIDA dépend entre autres de la charge
virale
W.Possède un ARN simple brin de polarité positive
Y.Contient une transcriptase inverse
X-La transmission se fait par tous les liquides biologiques.
Z.La réplication de ce virus est cytoplasmique
AA.Chez le même patient, on ne rencontre qu’un seul clone viral
BB.Contient un ARN double brin
CC.Il induit la formation de syncytium cellulaires
DD.Une infection à VIH 1 est affirmée lorsque le Western-Blot montre la présence des anticorps anti gp120
et p24
EE.La réplication de ce virus est entièrement cytoplasmique
FF.L’azithymidine (AZT) peut supprimer temporairement la présence d’ARN viral du liquide vaginal et
prévenir la transmission maternelle
GG.Possède un ARN diploïde (2 copies) simple brin de polarité positive
HH.Les anticorps anti-VIH sont les premiers marqueurs de l’infection détectables
II.Le diagnostic du VIH chez le nouveau née se fait par antigénémie P24
JJ.Une infection à VIH 1 est affirmée lorsque le Wester-Blot montre la présence des anticorps anti gp120 et
gp41
KK.L’évolution de l’infection se fait en trois phases
LL.La charge virale est un marqueur important pour le suivi du traitement
MM.La confirmation de la séropositivité s’effectue par Western-Blot:
NN.La fenêtre sérologique correspond à la période d’incubation de la maladie
OO.Les tests de dépistage permettent de diagnostiquer les infections par le VIH-1 et le VIH-2
PP.Chez le nouveau-né, le diagnostic repose sur la mise en évidence des AC
4- Le virus de l'immunodéficience humaine :
A- Est un virus enveloppés ARN double brin
B- Possède un gène pol qui code pour les enzymes viraux.
C.Les protéines précurseur obtenues lors de la multiplication virale sont toutes clivées par
dos protéases cellulaires
D. les virions sont libérés par destruction des cellules infectées.

Page 190:Ataraxie
E- Un TROD réalisé dans le mois suivant la date d'exposition au virus et donnant un Le résultat négatif
implique que la personne est HIV négative.
F- A un tropisme pour les lymphocytes T CD4+.
G-Les virions sont libéres par destruction des cellules infectées.
H-Le temps nécessaire pour le passage au stade SIDA est variable.
I- Un test rapide d'orientation diagnostique (TROD) positif est suffisant pour confirmer que le patient est HIV
positif.
J- Un TROD ne doit être réalisé qu'après trois mois de la date d'exposition
au VIH.
K. Son récepteur principal est le CD8.
L. Se multiplie exclusivement dans le cytoplasme cellulaire.
M. Le virus est cytopathogène.
N. Un test rapide d'orientation diagnostic réalisé après 3 mois de la date d'exposition (supposée) montrant
un résultat négatif implique que la personne est VIH Négative
5- Concernant le virus de l'immunodéficience humaine (VIH):
A- Le VIH a un tropisme pour les lymphocytes T CD8+
B- Après multiplication virale, les nous eaux virions sont libérés par bourgeonnement.
C- Le temps nécessaire pour le passage de l'infection au stade SIDA est variable.Il dépend, entre autres,
de la charge virale,
D- Un test rapide d'orientation diagnostique (TROD), réalisé chez un patient après trois mois de la date
présumée d'exposition au VIH a montré une réaction positive. Ce résultat permet de confirmer que le
patient est HIV positif.
E- La réduction de la charge virale est un des objectifs de la prescription des antiviraux.
6- Le virus de l'immunodéficience humaine :
A- un tropisme pour les lymphocytes T CD4+.
B- La gp41 du HIV permet la fusion de l'enveloppe virale avec la membrane de la cellule hote.
C- L'intégration de l'ADN virale dans celui de la cellule hôte est une des étapes du cycle de réplication
D- L'HIV est oncogène.
C- Un test rapide d'orientation diagnostique (TROD),réalisé après trois mois de la date présumée
d'exposition au VIH a montré une réaction positive. Ce résultat permet de confirmer que le patient est HIV
positif.
7- Lors d'une infection par le VIH
A. La diminution de la charge virale est un des objectifs de la prescription des antiviraux
B. La réduction de l'occurrence d'infections opportunistes est un des objectifs de la
prescription des antiviraux.
C. Les inhibiteurs de protéases ne peuvent pas être prescrit puisque toutes les protéases
utilisées par le virus sont d'origine cellulaire.
D- La réponse au traitement dépend du génotype.
E- La détermination du taux des lymphocytes T CDA n'a pas d'intérêt:
8- Diagnostic VIH :
A.Les tests immuno-chromatographiques de dépistage rapides (TDR) sont des tests d’orientation
diagnostique uniquement et le diagnostic basé sur ELISA et WB doit obligatoirement être réalisé si le TDR
est positif
B.Certains tests immuno-chromatographiques utilisent la salive comme prélèvement
C.Un TDR négatif obtenu chez un patient qui a eu probablement une exposition à ce virus deux mois avant
la réalisation du test implique que le patient n’est pas infecté
D.Un test ELISA 4ème génération positif et un WB négatif impliquent que le patient est non infecté par le
VIH
E.Un test ELISA 4ème génération est un test qui permet la détection simultanée des AC anti-VIH et de l’Ag
24

Page 191:Ataraxie
9- Le dépistage du VIH :
A.Se fait par la recherche systématique de l’Ag p24
B.Se fait par dosage de la charge virale plasmatique
C.Se fait par recherche des Ac anti VIH par ELISA
D.La positivité d’une première analyse doit être confirmée sur un second prélèvement
10- Une infection à VIH 1 est affirmée lorsque le western blot montre la présence des :
A.AC gp 120 et gp 41
B.AC gp 160 seuls
C.AC gp 120 et gp 160
D.AC gp 130, anti p17 et anti p24
11- Le diagnostic du VIH chez le nouveau-né se fait par :
A.Recherche des AC chez le nouveau né
B.Détection du virus chez le n-né par culture
C.Détection des IgG par ELISA
D.Diagnostic moléculaire basé sur la recherche de l’ADN plasmatique
E.Diagnostic moléculaire basé sur la recherche de l’ARN plasmatique
F.Antigenémie P24
G.Recherche de l’ARN plasmatique
H.Recherche de l’ARN plasmatique et culture dans les 2 premiers jours de vie
I.Recherche de l’ARN plasmatique et culture dans les 2 premiers jours de virus, à un mois et à 3 mois
12- Truvada® (emtricitabine (C) + fumarate de ténofovirdisoproxil) :
A.Est une nouvelle molécule qui permet le traitement du VIH
B.Est une molécule utilisée pour la prophylaxie pré-exposition du VIH
C.Est une molécule utilisée pour le traitement du HTLV
D.Permet une réduction de la charge virale dans 92% des cas
E.Permet de réduire le risque d’infection dans plus de 90% des cas
Virus 2:HTLV:Deltaretrovirus
13- La leucémie à cellules T de l’adulte est causée par :
A.Le Poliovirus
B.L’EBV
C.L’HTLV
D.L’HSV
E.L’HIV
F.Le Parvovirus B19
G.Le CMV
14- L’HTLV :
A.L’HTLV est un virus qui peut provoquer une paralysie flasque
B.Est un virus qui rentre en latence et se réactive avec la diminution de l’immunité à médiation cellulaire
C.Est un virus oncogène
D.Le dépistage de l’HTLV est réalisé par ELISA indirecte
E.Est un virus endémique en Afrique du Nord
F- L HTLV appartient à la famille des Retroviridae.
G- Ce virus comporte un gène gag qui code pour les protéines de réplication
H- La personne infectée par ce virus peut développer une paraparésie spastique tropicale
I- Ce virus provoque une infection persistante latente.
J- La présence d'IgG-anti HTLV implique que la personne est protégée et ne peut pas transmettre le virus.
15- La leucémie à cellules T de l’adulte ATLL:
A.L’ATLL est causée par une ifection au parvovirus B19
B.L’ATLL peut se présenter sous 5 formes cliniques différentes

Page 192:Ataraxie
C.La leucémie aiguë se caractérise, entre autres, par une hyperlymphocytose une hépatosplénomégalie et
une hypercalcémie
D.La survie des personnes présentant une forme indolente d’ATLL est plus longue que celle des personnes
attientes par l’une des autres formes
E.Le diagnostic sérologique de l’infection par le virus responsable de cette pathologie se fait en deux
étapes :un test de dépistage et un test de confirmation
Groupe 7:ADN bicaténaire:pararetrovirus:( 10 questions )
Famille 1:Hepadnavirus
Virus1:VHB:Orthohepadnavirus
1- Le virus de l’hépatite B et de l’hépatite C présentent les caractéristiques communes suivantes :
A.Sont des virus enveloppés et résistant dans le milieu extérieur
B.Le quantification de leur acide nucléique est importante pour le suivi de l’infection
C.Se répliquent dans le noyau
D.Peuvent se réactiver après la diminution de l’immunité à médiation cellulaire
E.Leur diagnostic repose sur un test de dépistage et un test de validation
F.Réplication purement intra-cytoplasmique
G.Caractérisés par une richesse en marqueurs sérologiques
H.Présentent un tropisme pour les hépatocytes
2- Le virus de l’hépatite B
A.Est un virus très variable et possède 3 déterminants (a, w, r)
B.Les AC anti-HBc sont détectés après vaccination contre l’hépatite B
C.L’antigène HBs n’est pas détectable aux cours de l’hépatite chronique
D.La quantification de l’ADN viral est un marqueur utilisé au cours du suivi de l’infection
E.Peut évoluer vers une infection chronique dans 20% des cas
F.Est un virus enveloppé et sensible dans le milieu extérieur
G.L’Ag HBe est un marqueur de la réplication virale
H.L’Ag HBs est le premier marqueur sérologique à apparaître après le contage
I.Les IgM anti-HBc persistent toute la vie
J.Le virus de l’hépatite B
K.Est un virus à ADN double brin
L.Est un virus très variable
M.Les AC anti-HBc sont detectés après vaccination contre l’hépatite B
N.La présence d’anticorps anti-Hbe marque une réplication active
O.Après multiplication du virus dans les hépatocytes, les nouveaux virions sont libérés par
lyse cellulaire
P.La présence d’anticorps anti-HBe marque une réplication active
Q.Après infection, la présence d’AC anti-HBs marque la guérison de l’hépatite B
R.La phase de début de l’ictère lors de l’infection par ce virus est marquée par la présence de l’AC
anti-HBs
S.Le suivi sérologique d’un patient présentant une infection chronique par le VHB et sous traitement est
basé sur l’utilisation du système HBe
T.Le contrôle de la réponse à une vaccination anti-VHB repose sur le titrage de l’AC anti-HBs
U.Après infection, la présence d’anticrops anti-HBc marque la guérison de l’hépatite B
VLa variabilité de ce virus est liée uniquement aux mutations spontanées
W.Ce virus possède un gène impliqué dans l’oncogenèse
X.La transmission de ce virus enveloppé peut se faire par voie interhumaine directe notamment sexuelle
Y- L'infection par ce virus évolue dans la majorité des cas >75%) vers la chronicité.
Z.L'antigène de surface de ce virus est immunogène et induit la formation d'anticorps protecteurs.
AA.L'antigène de surface de ce virus est également un marqueur de la réplication virale.

Page 193:Ataraxie
BB-Sa réplication est purement intra-cytoplasmique.
CC- Est cytopathogène.
DD-L'Ag HBs est le premier marqueur sérologique à apparaitre lors de la Primo-infection.
EE- L'AC anti-HBe est un marqueur de guérison
FF- Appartient à la famille des Hepadnaviridae
GG-La transmission du virus peut être interhumaine directe ou indirecte per exposition
cutanée ou muqueuse à des liquides organiques infectieux.
HH-Non cytopathogène
II- Une chute de la charge virale > 2 log survenant après 6 mois de traitement, ou > 1 log après 3 mois de
traitement signifie une sensibilité primaire au traitement
JJ. appartient à la famille des Hepeviridae.
KK. L'infection par ce virus évolue souvent vers la chronicité (dans plus de 70% des cas).
3- L’infection chronique par le VHB:
A.Se produit dans plus de 80% des infections aiguës
B.Entraîne une production continue du virus infectieux
C.Se produit avec une fréquence réduite lors de l’infection périnatale
D.Ne se résout pas spontanément
E.La présence des anticorps anti-HBs est un marqueur de l’infection chronique
4- Concernant le virus de l'hépatite B (VHB):
A- Le VHB appartient à la famille des Hepadnaviridae.
B-Le VHB possède un ADN linéaire partiellement double brin.
C- Le VHB possède une transcriptase inverse.
D- L'antigène de surface du VHB est immunogène et induit la formation d'anticorps protecteurs.
E-Après multiplication, le VHB provoque une lyse des hépatocytes.
5- Pendant une infection par le virus de l’Hépatite B un certain nombre de marqueurs sérologiques
apparaissent. Quel est le marqueur signifiant une réplication active du virus :
A.AC HBs
B.Ag HBs
C.AC HBe
D.Ag HBe
6- Un diagnostic de l’HBV a été prescrit chez différents patients. Quelles sont les bonnes interprétations
des profils obtenus ?
A.Un profil présentant l’Ag HBs+, AC anti-HBC+, pas d’ADN et le taux des transaminases est normal :
signifie une infection chronique asymptomatique par le VHB
B.Un profil présentant l’Ag HBs+, AC anti-HBC+, l’ADN et un taux de transaminases élevé : signifie une
infection chronique active par le VHB
C.Un profil présentant l’Ag HBs seul : signifie la réponse à une vaccinaton
D.Un profil présentant l’Ag HBs, l’Ag HBe et l’ADN, l’AC HBc est absent : signifie une infection chronique
E.Un profil présentant les AC anti-HBC+, les AC anti-HBs et absence d’Ag HBs signifie une guérison d’une
infection au VHB
7- Diagnostic De l'Hépatite virale B
A- L'Ag HBC est un marqueur de la réplication virale.
B- L'Ag HBe est le premier marqueur sérologique à apparaître lors de la primo infection.
C- La détection d'anticorps anti HBs implique le passage de l'infection vers la chronicité.
D- La persistance de l'Ag HBs pour une durée supérieure à 6 mois et la présence de sAc anti-HBc
impliquent une infection chronique.
E- La détermination de la charge virale permet d'évaluer la réponse au traitement.
8- Interpréter le profil sérologique suivant : Ag HBs+, Ag HBe+, anti HBe-, IgM anti Hbe+, Anti HBs - :
A.Malade guéri d’une hépatite B
B.Immunité ancienne vis-àvis du virus de l’hépatite B

Page 194:Ataraxie
C.Porteur chronique du virus de l’hépatite B
D.Hépatite B aiguë
9- Après vaccination contre l’hépatite B, on voit apparaître dans le sérum :
A.Des AC anti HBc
B.L’Ag HBs
C.Des AC anti HBs
D.Des Ac anti HBs, anti HBc et anti HBe
10- Concernant les marqueurs et la prévention de l'infection à VIB:
A- L'Ag HBC peut être détecté au cours de l'infection aiguë au VHB.
B- Suite à une infection au VHB, les IgM anti-hBe persistent toute la vie quelque soit l'évolution de la
maladie.
C- L'Ag HBs est le premier marqueur virologique à apparaître après l'infection.
D- L'antigène de surface du virus de l'hépatite B est un marqueur de réplication virale.
E- Le vaccin utilisé pour la prévention du VHB est composé du virus atténué. La vaccination permet la
production des anticorps anti-HBs et des anticorps anti-HB
Virus2:VHD:Deltavirus
Pas de questions disponibles

Questions communes:( 21 questions )

1- Parmi les propositions suivantes, cochez celles qui sont justes ?
A- Le traitement de choix des méningo-encéphalites dues au virus Herpes simplex est l'Aciclovir
B- Le virus de l'immunodeficience humaine (VIH) est une infection qui nécessite l'association de plusieurs
molécules antivirales afin de réduire le risque de résistance virale.
C- Les antiviraux actuellement disponibles contre le virus de l'hépatite C tels que le Sofosbuvir permettent
d'éradiquer complètement le virus de l'organisme.
D- Les antiviraux n'interagissent pas avec le métabolisme cellulaire et par conséquent, n'induisent aucune
cytotoxicité.
E. Les antiseptiques tels que la bétadine et l'alcool ont une action virucide sur les virus présents sur les
surfaces inertes.
2- L’efficacité des antiviraux utilisés dans le traitement de certaines infections virales peut dépendre du
génotype :
A.Le génotype VHC 1 est sensible à l’association « Daclatasvir + sofosbuvir »
B.Le génotype VHC 4 est plus sensible à l’association « Daclatasvir + sofosbuvir +
ribavirine »
C.Le génotype VHC 3 est plus sensible à l’association « Daclatasvir + peg-interféron alpha
+ ribavirine »
D.L’HSV 1 est plus sensible à l’acyclovir que l’HSV 2
E.L’HSV 2 est plus sensible au Foscarnet que l’HSV 1
3- Le(s) virus suivant(s) peut/peuvent provoquer une infection latente :
A.L’Epstein Barr Virus
B.L’Herpes Simplex Virus
C.Le virus de la Rougeole
D.Le virus de l’Hépatite B
E.Le virus de l’Hépatite A
F.Le virus de la Varicelle-Zona VZV
G.Le Rotavirus
H.Virus de la rage
I.Le CMV
J.L’HIV

Page 195:Ataraxie
K.Le para-influenza Virus
4- Certains virus peuvent provoquer aussi bien une infecion aiguë qu’une infection persistante. Parmi ces
virus on peut citer :
A.EBV
B.HBV
C.HCV
D.HAV
E.HSV
5- Le neuraminidase est un antigène retrouvé à la surface de l’enveloppe du :
A.Virus de l’immunodéficience humaine
B.Virus Epstein-Barr
C.Virus de la grippe
D.Virus de la rougeole
E.Virus de la rubéole
6- Peut être recherché dans les urines :
A.Le rotavirus
B.Le virus de l’herpès HSV 2
C.Les Herpes virus
D.Le cytomégalovurs (CMV)
E.Le parvovirus B19
F.L’influenza virus
G.Le virus ourlien
H.L’HTLV
7- Les virus responsables d'infections fœtales avec malformations sont :
A.HSV-1
B.Parvovirus B19
C.VZV
D.Le Myxovirus influenza
E.Virus de la rubéole
F.CMV
8- Quel(s) est (ou sont) le(s) virus qui n’est (ou ne sont) pas considéré(s) comme potentiellement
oncogènes ?
A.Herpes virus type 2
B.EBV
C.HTLV1
D.Rhabdovirus
Quel(s) est (sont) le(s) virus pouvant résister plusieurs jours dans les eaux polluées ?
A.L’Herpes Simplex virus 1
B.Le virus de l’Hépatite A
C.Le cytomégalovirus
D.Le virus ourlien
E.Le poliovirus
9- L’acycloguanosine ou acyclovie est un antiviral qui peut être prescrit lors d’une infection à :
A.Herpes Simplex Virus
B.Virus de la rubéole
C.Virus de la varicelle-zona
D.Virus de la grippe
E.Virus des oreillons
F.VRS
G.CMV

Page 196:Ataraxie
10- Un risque de transmission materno-fœtale existe lors de l’infection de la femme enceinte par
A.Le parvovirus B19
B.Le virus de la rougeole
C.Le virus de la Varicelle Zona
D.Le virus ourlien
11- L’isolement de patients infectés (infection apparente) par certains virus permet la prévention de la
propagation de cette infection. Cette mesure doit être prise dans le cas d’infection par :
A.VIH
B.Herpes Simplex Virus 1
C.Virus Ebola
D.Herpes Simplex Virus 2
E.Virus de la rage
12- Parmi les vaccins suivants indiquez le(s) vaccin(s) inactivé(s) :
A.L’antipoliomyélitique administré par voie sous cutanée (Salk)
B.Anti grippal
C.Anti VZV
D.Anti oreillons
E.Anti Rubéole
13- Un syndrome mononucléosique est associé à :
A.Une infection à Pneumovirus
B.Une mononucléose infectieuse
C.Une infection à l’HTLV
D.Une infection à RSV
E.Une infection à CMV
14- Parmi les virus qui peuvent causer une encéphalite on peut citer :
A.L’Herpes simplex virus 1
B.Le virus ourlien
C.Le virus de l’hépatite B
D.Le Rotavirus
E.Le virus de la varicelle zona
15- Le virus responsable de la paraparésie spastique tropicale est :
A.Le poliovirus
B.Le rotavirus
C.L’HTLV 1
D.L’HTLV 2
E.L’EBV
F.L’entérovirus A
16- La koïlocytose est l’effet cytopathogène (ECP) de :
A.L’HPV
B.L’HSV
C.L’HTLV
D.L’HBV
17- Un érythème peut être provoqué par le virus :
A.Ourlien
B.De la rubéole
C.Parvovirus B19
D.HTLV
18- Parmi les virus suivant quel(s) est (ou sont) celui (ou ceux) qui provoque(nt) une virémie secondaire
:
A.Virus Ourlien

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B.Virus de la Rougeole
C.Virus de la Varicelle-Zona
D.Herpes Simplex Virus
19- Les techniques de diagnostic direct rapide peuvent être utilisées pour détecter :
A.Rotavirus
B.Virus de l’hépatite A
C.Epstein Barr
D.Virus de la varicelle Zona
E.Papillomavirus humain (HPV) dans le cas de verrues
20- Se vacciner après avoir été contaminé peut éviter le développement d’une maladie virale dans le
cas de :
A.Contamination par le virus de l’hépatite B
B.Contamination par le virus de l’hépatite A
C.Contamination par le virus de la rage
D.Contamination par le VZV
E.Contamination par l’EBV
F.Contamination par la rubéole
21- Un vaccin existe pour :
A.Le rougeole
B.Le para influenza virus
C.L’Hépatite C
D.Les oreillons

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