Année Universitaire

2021/2022

TP n° 1 :
Pendule Élastique

Réalisé par : Abdennebi ROUKAYA

PC 13
1- Introduction :
Théorie du pendule élastique

Le pendule élastique est constitué par un ressort de masse négligeable dont une extrémité est
fixe, et l'autre liée à une masse mm libre de se mouvoir. Ici on se restreint à l'étude d'un pendule
élastique vertical. Rappelons que lorsque l'on allonge ou comprime un ressort celui-ci exerce
une force de rappel, dite tension élastique, donnée par la loi de Hooke. Ainsi, lorsque l'on fixe
une masse mm à un ressort vertical, celui-ci s'allonge. À l'équilibre, sa longueur est le résultat
d'une compétition entre le poids et la force de rappel élastique. Lorsque la masse s'écarte de la
position d'équilibre, il subit une résultante des forces. En vertu du principe fondamental de la
dynamique, cette force induit une accélération.

2- Manipulation :
But

La manipulation a pour but de déterminer souplesse d’un ressort par deux méthodes :
 Méthodes statique.
 Méthode dynamique.
2.1 Méthode statique :

m (g) 50 100 150 200 250

x (cm) 2,5 5 7,5 10 12,5

* Représentons les points de mesures x = f(m) et traçons le rectangle en ces points en prenant :
Δ𝑚 4 4 x 50
 = 100 (x) pour m = 50 g  Δ𝒎 = =2y
m 100
 Δ𝒙 = 0,5 cm

* Traçons les droites de pentes maximal et minimale et calculons les pentes Pmax et Pmin ; on a :
A (100 ; 6) et B (170 ; 10) ∈ 𝐷𝑃𝑚𝑎𝑥 et C (80 ; 3,5) et D (230 ; 10) ∈ 𝐷𝑃𝑚𝑖𝑛
Pmin = 4,3 . 10-4 ; Pmax = 5,7 . 10-4
 Pmoy = (5 . 10-4 ± 0,7 . 10-4)

ABDENNEBI ROUKAYA : TP 1 : PENDULE ÉLASTIQUE 1

 Expression de la souplesse du ressort S en fonction de Pmoy et g :

𝑥 1
S= =  F = x.k (D’après la courbe f(m) = Pmoyx)
𝐹 𝑘
𝑚𝑔
On a : F – mg = 0  x.k – mg = 0  x= = mgS  Pmoy = gS
𝑘
𝑷𝒎𝒐𝒚 5.10−4
S= = = 5,10 . 10-5
𝒈 9,8

Log S = log Pmoy – log g

dlog S = dlog Pmoy – dlog g
Δ𝑆 Δ𝑃 Δ𝑔
= - =0
S P g

Δ𝑃 0,7 .10−4
Δ𝑆 = S = 5,10 . 10 x -5
= 7,14 . 10-6
P 5 .10−4
S = ( 5,10 . 10-5 ± 7,14 . 10-6 )
2.1 Méthode dynamique :

* Prenons le nombre d’oscillation n , n = 10

t Δ𝑡
T=
n
 Δ𝑇 = n
or Δ𝑇 2

Tous n – 10 et Δ𝑡 = 0,5 Δ𝑇 = 0,05 (pour n = 10)

Δ𝑡
Δ𝑇 = = 0,05 et Δ𝑇 2 = 2 Δ𝑇
n
m (g) 𝚫 m (g) n t(s) T(s) 𝚫 T (s) 𝑻𝟐 (𝒔𝟐 ) 𝚫 𝑻𝟐 (𝒔𝟐 )
100 4 10 4,39 0,439 0.05 0,192 0,0439
150 6 10 4,5 0,45 0.05 0,202 0,045
200 8 10 6,5 0,65 0.05 0,422 0,065
250 10 10 7,16 0,716 0.05 0,504 0,0716
300 12 10 7,34 0,734 0.05 0,532 0,0734
350 14 10 8,35 0,835 0.05 0,688 0,0835
400 16 10 8,75 0,875 0.05 0,756 0,0875
(voir courbe)

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A (0 ; 0) ∈ 𝐷𝑃𝑚𝑎𝑥 et 𝐷𝑃𝑚𝑖𝑛 et B (60 ; 0,1) ∈ 𝐷𝑃𝑚𝑖𝑛 et C ( 70 ; 0.38) ∈ 𝐷𝑃𝑚𝑎𝑥

 Pmoy = (0,19 ± 0,003) (1,93 . 10-3 ± 2,7 . 10-4)

2𝜋 4𝜋2 𝑚
*T= T =2
Or T2 = Pmoym
𝜔 𝑘
4𝜋2 𝑚 1
 = Pmoym Or S =
𝑘 𝑘
𝑃𝑚𝑜𝑦
 4𝜋 2 𝑚𝑠 = Pmoym Or S =
4𝜋2
𝑃𝑚𝑜𝑦
S=  log S = log Pmoy – log 4𝜋 2
4𝜋2

D𝑆 D𝑃 Δ𝑃
 dlog S = dlog Pmoy – 4dlog 𝜋 2 
S
- P
 Δ𝑆 =
P
S

𝑃 1,93 .10−3
S = 4𝜋2 = = 4,88 . 10-5
4𝜋2

3- Conclusion :

Après la réalisation de ce TP, On distingue que la souplesse de ressort S de deux méthodes

sont très proches. On conclut que la souplesse de ressort S est toujours la même

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Annexes

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