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RÉPUBLIQUE DU CAMEROUN INSTITUT UNIVERSITAIRE DE TECHNOLOGIE

REPUBLIC OF CAMEROON FOTSO VICTOR DE BANDJOUN


Peace – Work – Fatherland FOTSO VICTOR UNIVERSITY
Paix-Travail-Patrie INSTITUTE OF TECHNOLOGY
UNIVERSITÉ DE DSCHANG Département de Génie Informatique
UNIVERSITY OF DSCHANG
Department of Computer Engineering
Scholae Thesaurus Dschangensis Ibi Cordum
BP 134, Bandjoun – Tél.:6 99 70 19 09
BP 96, Dschang (Cameroun) – Tél.: (237) 233 45 13 81
Website: http://www.univ-dschang.org/iutfv/
Site web: http:// www.univ-dschang.org E-mail : info@iutfv-bandjoun.net
E-mail : udsrectorat@univ-dschang.org

PROJET DE FIN D’ETUDES

REALISATION D’UNE APPLICATION


WEB/ MOBILE DE GEOLOCALISATION
DE RESSOURCES NATURELLES

Du 17 Décembre 2022 au 30 Juin 2023


Présenté par :
AWAMBENG RODRICK BOLAN CDRI CM-UDS-22IUT0607

KAPPE MOKO PRISCILLE LAURETTE CDRI CM-UDS-20IUT0094

MANFOUO PATRICK AIME QSIR CM-UDS-22IUT0982

En vue de l’obtention de la

Licence de Technologie (LIR)


Mention : Génie Informatique
Parcours : Informatique et Réseaux (IR)
Option : Concepteur Développeur Réseaux et Internet (CDRI) – Qualité
Sécurité Internet et Réseau (QSIR)
Sous la Direction de :
Dr. FOTSING Eric, Chargé de Cours
M. KAKEU Séverin, Enseignant Assistant
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A Année académique 2022-2023
RESUME

Les ressources naturelles, notamment les ressources minières et énergétiques, sont de plus en
plus l’objet de travaux géographiques. Elles continuent de jouer un rôle très important dans
l’économie et sont considérées avec les populations et les territoires, comme un des enjeux
principaux du pouvoir d’un Etat. Leur gestion devient donc primordiale. De nos jours, de
nombreuses ressources naturelles sont exploitées de manière illicite. Pour préserver
l’environnement tout en répondant aux besoins des habitants de la planète, il est crucial
d’améliorer la prise des décisions, ce qui est possible quand on dispose d’informations
actualisées. En ce sens, la collecte d’informations précises et les plus récentes possibles est l’un
des plus grands défis auxquels se heurtent les gouvernements et organisations. Il se pose le
problème de la localisation en temps réel des ressources naturelles, ceci en vue de leur
protection et exploitation future pour le développement des Etats, en particulier, ceux en voie
de développement tels que le Cameroun. Ce projet vise à élaborer une application de
géolocalisation des ressources naturelles des Etats, plus précisément, les ressources les plus
rares telles que les ressources minières.

i
ABSTRACT

Geolocalization of natural resources refers to the process of identifying, mapping, and


analyzing the location of natural resources such as minerals, oil, gas, and water. The use of
geolocalization technology has become increasingly important in the field of natural resource
exploration and management due to its ability to provide accurate and detailed information
about the location, size, and quality of these resources. In addition, geolocalization technology
involves the use of satellite imagery, remote sensing, and geographic information systems (GIS)
to collect and analyze data on the earth's surface. This information is then used to create detailed
maps and models of natural resource deposits, which can be used to guide exploration and
development activities. One of the main benefits of geolocalization technology is its ability to
improve the efficiency and accuracy of natural resource exploration and development. By
providing detailed information on the location and quality of natural resources, geolocalization
technology can help reduce exploration costs, increase resource recovery rates, and minimize
environmental impacts. However, the use of geolocalization technology also raises concerns
about privacy and security, as it can be used to track and monitor the movements of individuals
and organizations. As such, there is a need for appropriate safeguards and regulations to ensure
that geolocalization technology is used in a responsible and ethical manner. Overall, the
geolocalization of natural resources has become an essential tool for the exploration and
management of natural resources, and is likely to play an increasingly important role in shaping
the future of the global economy and environment. In addition, the use of geolocalization
technology can also aid in disaster response and recovery efforts. For instance, during natural
disasters such as earthquakes, floods, or hurricanes, geolocalization technology can be used to
identify the affected areas and assess the damage caused to natural resources such as water
sources, forests, and agricultural lands. This information can be used to guide relief efforts and
prioritize aid distribution to the most affected areas. Moreover, the geolocalization of natural
resources can also play a crucial role in mitigating the impacts of climate change. For example,
by mapping the locations of renewable energy sources such as wind and solar farms,
geolocalization technology can help identify the areas where the deployment of such
technologies can be maximized. Additionally, by identifying areas at risk of climate change-

ii
related impacts such as sea-level rise, geolocalization technology can help guide adaptation
measures to minimize the impacts on natural resources and human populations.

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MOTS CLES

✓ Portail web
✓ Unité de recherche académique
✓ Conception, réalisation
✓ Architecture de site
✓ Plateforme de développement web
✓ Gestion de contenu
✓ Navigation
✓ Expérience utilisateur
✓ Système de gestion de contenu
✓ Communication en ligne
✓ Visibilité
✓ Recherche scientifique.

iv
ETAT DE L’ART

L'état de l'art pour une application de géolocalisation des ressources naturelles est assez vaste
et diversifié, avec de nombreuses applications et technologies existantes.
Voici quelques exemples :

1- ArcGIS

ArcGIS est une plateforme de cartographie et d'analyse géospatiale très populaire utilisée
dans le monde entier pour cartographier et gérer les ressources naturelles. Elle offre une large
gamme d'outils de visualisation, d'analyse et de partage de données géospatiales.

2- Google Earth Engine

Google Earth Engine est une plateforme de traitement et d'analyse de données géospatiales
qui utilise des images satellites pour cartographier les ressources naturelles et surveiller
l'environnement. Elle offre des fonctionnalités telles que la détection des changements dans la
végétation, la cartographie de la déforestation, la surveillance des ressources en eau, etc.

3- QGIS

QGIS est un système d'information géographique open source qui peut être utilisé pour
cartographier et analyser les ressources naturelles. Il offre des fonctionnalités telles que
l'analyse des réseaux hydrographiques, la cartographie des gisements minéraux, la
surveillance des habitats naturels, etc.

4- ENVI

1
ENVI est un logiciel de traitement d'images géospatiales utilisé pour cartographier et
analyser les ressources naturelles. Il offre des fonctionnalités telles que la classification
d'images satellites, la détection des changements, la cartographie des habitats naturels, etc.

5- Planet
Planet est une entreprise de technologie spatiale qui utilise des images satellites pour
surveiller l'environnement et cartographier les ressources naturelles. Elle offre des solutions
de cartographie pour l'agriculture de précision, la gestion des ressources en eau, la détection
de la déforestation, etc.

6- Earth Resources Observation and Science Center (EROS)

EROS est un centre de recherche de la NASA qui utilise des images satellites pour
surveiller l'environnement et cartographier les ressources naturelles. Il offre des données
géospatiales pour l'agriculture, la foresterie, les ressources en eau, la géologie, etc.

A nos jours, de nombreuses technologies existent pour la géolocalisation. On peut citer entre
autres :

❖ Google Map : C est un service mondial de cartographie permettant de rechercher


des commerces et des services de proximité, afficher des plans et calculer des
itinéraires routiers.
❖ Google Earth : C’est un système d’information géographique Google Earth est
un logiciel développé par la société Google, permettant une visualisation de la
Terre avec un assemblage de photographies aériennes ou satellitaires. Ce
logiciel permet à tout utilisateur de survoler la Terre et de zoomer sur un lieu de
son choix. Selon les régions géographiques, les informations disponibles sont
plus ou moins précises. Ainsi un habitant d'une métropole peut localiser son
restaurant préféré, obtenir une vue en 3D des immeubles de la métropole, alors
que la résolution des photos d'une bonne partie de la Terre est très faible. La
modélisation en trois dimensions des constructions, initialement réalisée à l'aide
du logiciel SketchUp, est maintenant créée automatiquement à l'aide
d'algorithmes utilisant pour une part les prises de vues Street View et des
données d'altitude permettant d’explorer. La principale limite de cette

2
application est qu’elle ne met pas en exergue à proprement parler les ressources
naturelles
❖ QGIS : C’est une application permettant de visualiser, gérer, éditer, analyser des
données et composer des cartes à imprimer. Elle est open source.

Limite : Elle peut être difficile à utiliser pour des débutants, fonctionnalités limitées, sécurité

❖ GPS Waypoints : Cette application collecte des points et des séquences de points
pour la géolocalisation et des activités de . Les séquences de points permettent
de mesurer des distances, et aussi des superficies et périmètres. Cette application
fournit des détails sur les satellites actifs et visibles, elle permet de partager des
données avec d’autres applications.
❖ OpenStreetMap : C’est un projet collaboratif de cartographie en ligne qui vise à
constituer une base de données géographiques libre du monde, en utilisant le
GPS et d’autres données libres. Il donne la possibilité aux utilisateurs de
l’améliorer et de créer des cartes personnalisées

Quelques formats de données utilisés pour la cartographie

a. KML (Keyhole Markup Language)

KML est un langage fondé sur le formalisme XML et destiné à la gestion de l'affichage de
données géospatiales dans les logiciels de SIG. Les fichiers KML spécifie un ensemble de
caractéristiques tel que (lieu des marques, des images, des polygones, des modèles 3D,
des descriptions textuelles, etc.) pour affichage de données dans les logiciels comme
Google Earth, Google Maps etc.

L’API de Cartographie
a. Open Layer

Open Layer est un logiciel libre qui constitue des bibliothèques de fonctions JavaScript assurant
un noyau de fonctionnalités orienté vers la mise en place d'applications clientes Web
cartographiques fluides. Open Layer prend en charge les données GeoRSS, KML (Keyhole
Markup Language), GML (Geography Markup Language), GeoJSON et les données
cartographiques de toute source utilisant les normes OGC comme Web Map Service
(WMS) ou Web Feature Service (WFS).
b. Leaflet

3
Leaflet est une bibliothèque JavaScript libre de cartographie en ligne. La bibliothèque est
utilisée sur les sites cartographiques OpenStreetMap (bibliothèque par défaut), Flickr,
Wikipédia (greffon de cartographie et application mobile), Foursquare, craigslist, Institut
national de l'information géographique et forestière, Washington Post, le Wall Street Journal,
Geocaching.com, City-Data.com, StreetEasy, Nestoria, Skobbler et d'autres.

La géolocalisation des ressources naturelles est un domaine de recherche en constante


évolution, qui vise à améliorer la compréhension et la gestion des ressources naturelles en
utilisant des technologies de géolocalisation telles que les systèmes d'information géographique
(SIG) et la télédétection. Les avancées technologiques ont permis de collecter des données à
haute résolution spatiale et temporelle, ainsi que de développer des algorithmes sophistiqués
pour analyser ces données et en extraire des informations utiles pour la gestion des ressources
naturelles. Les principales applications de la géolocalisation des ressources naturelles sont la
gestion des forêts, l'agriculture de précision, la gestion des ressources en eau, la gestion des
ressources minières et la gestion des ressources énergétiques. Dans la gestion des forêts, par
exemple, la géolocalisation peut aider à surveiller l'état de santé des arbres, à évaluer les impacts
des changements climatiques et à planifier les activités de récolte de bois. Dans l'agriculture de
précision, la géolocalisation peut aider à optimiser l'utilisation des intrants agricoles, à surveiller
la croissance des cultures et à prédire les rendements.
Les SIG sont largement utilisés dans la géolocalisation des ressources naturelles pour la
collecte, la gestion, l'analyse et la présentation de données géographiques. Les SIG permettent
de visualiser les données spatiales sous forme de cartes et de couches d'information, de
superposer des données géographiques pour identifier des relations spatiales et de réaliser des
analyses spatiales complexes pour générer des informations utiles pour la gestion des ressources
naturelles. Les SIG peuvent également être utilisés pour développer des modèles prédictifs pour
la gestion des ressources naturelles, tels que des modèles de croissance forestière ou de
changement d'utilisation des terres.
La télédétection est une autre technologie clé de la géolocalisation des ressources
naturelles, qui permet de collecter des données à distance sur la surface de la Terre. La
télédétection peut être effectuée à partir de différents capteurs, tels que les satellites, les avions
et les drones, et permet de collecter des données à haute résolution spatiale et temporelle sur les
caractéristiques des ressources naturelles, telles que la densité forestière, la couverture des
cultures ou la qualité de l'eau. Enfin, les applications de géolocalisation des ressources
naturelles sont de plus en plus utilisées dans les projets de développement durable pour aider à
la gestion des ressources naturelles dans les zones à haute valeur environnementale. Par
exemple, les projets de gestion des aires protégées utilisent souvent la géolocalisation pour
surveiller et protéger les écosystèmes fragiles, tandis que les projets de développement agricole
durables utilisent la géolocalisation pour optimiser l'utilisation des terres tout en préservant la
biodiversité.

❖ Data and standard services in Web GIS

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GPX (GPS eXchange format):

✓ Brève description et caractéristiques clés du format de données ou standard :

GPX Est un format de fichier permettant l’échange de coordonnées GPS. Il permet de décrire
une collection de points utilisables sous forme de points de cheminement (waypoints), traces
(tracks) ou itinéraires (routes).

✓ Expérience dans l’utilisation du format de données ou standard

La version du format GPX la plus utilisée est le format GPX v 1.1 mais il existe encore des
logiciels comme ITN Converter qui utilisent la version 1.0.

La plupart des applications ou les appareils GPS utilisent le format GPX comme le ou l’un
des formats d’échange avec d’autres applications ou appareils GPS, en import ou en export.
Le protocole de communication à l’appareil GPS peut être standard, de type RMC, ou
propriétaire.

Structure d’un fichier GPX :

La racine du fichier ( <gpx> ) peut contenir :

• Des métadonnées ( <metadata> ), décrivant le contenu du fichier GPX par :

o un nom ( <name> )

o une description ( <desc> )

o l'auteur du fichier ( <author> ) comprenant son nom, une adresse mail et un lien vers

son site web.


o un copyright ( <copyright> ) précisant la licence et l'année

o un ou plusieurs liens ( <link> ) vers des informations additionnelles (page web, photo,

vidéo, etc.)
o la date et l'heure de création du fichier ( <time> )

o un ou plusieurs mots-clés

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o les frontières couvertes par le fichiers GPX (latitudes et longitudes minimum et
maximum)
o Optionnellement, des extensions ( <extensions> ) permettant d'ajouter librement des

éléments XML définis dans un autre espace de noms (namespace) afin d'étendre les
capacités du fichier
• Une liste de points de cheminement ou waypoint ( <wpt> ), chacun étant décrit par :

o sa latitude en degrés (attribut lat )

o sa longitude en degrés (attribut lon )

o son altitude en mètres ( <ele> )

o un horodatage ( <time> )

o la déclinaison magnétique au point, en degrés ( <magvar> )

o la hauteur du géoïde ("niveau de la mer") au-dessus de l'ellipsoïde WGS 84, tel que
décrit dans la spécification des messages NMEA GGA ( <geoidheight> )

o un nom ( <name> )

o un commentaire ( <cmt> )

o une description ( <desc> )

o le modèle et le fabricant de l'appareil à l'origine de la géolocalisation du point ( <src>

)
o le type de (fix) GPS ayant permis l’obtention du point ((fix) 2D, 3D, DGPS...)
o le nombre de satellites acquis lors du calcul des coordonnées ( <sat> )

o des informations sur les mesures DGPS comme la durée depuis la dernière mise à jour
( <ageofdgpsdata> ) ou l'identifiant de la station ( <dgpsid> )

o mais aussi un lien vers une page web d'informations additionnelles ( <link> ), le nom

exact du symbole illustrant le point sur l'appareil GPS ( <sym> ), le type de point

( <type> ) et la précision ( <hdop> , <vdop> , <pdop> voir Geometric dilution of

precision)
o optionnellement, des extensions d'un autre espace de noms ( <extensions> )

• Une liste d' itinéraires ( <rte> ) chacun décrit par :

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o un nom ( <name> )

o un commentaire ( <cmt> )

o une description ( <desc> )

o le modèle de l'appareil ( <src> )

o le numéro de l'itinéraire ( <number> )

o mais aussi un lien vers une page web d'informations additionnelles ( <link> ) et le

type d'itinéraire( <type> )

o optionnellement, des extensions ( <extensions> )

o L'itinéraire est décrit par une liste ordonnée de points (une balise <rtept> par point

au même format que la balise <wpt> décrite précédemment) qui représentent

l'emplacement des virages permettant de mener à une destination.


• Une liste de traces ou track ( <trk> ) chacune décrite par :

o un nom ( <name> )

o un commentaire ( <cmt> )

o une description ( <desc> )

o le modèle de l'appareil ( <src> )

o le numéro de la trace ( <number> )

o mais aussi un lien vers une page web d'informations additionnelles ( <link> ), le type

d'itinéraire ( <type> )

o optionnellement, des extensions ( <extensions> )

o La trace est décrite par des segments de trace ( <trkseg> ), le passage d'un segment à

un autre indique une extinction du récepteur GPS ou une perte de réception. Un


segment de trace est constitué :
▪ d'une liste ordonnée de points de trace ( <trkpt> ) dont le format est identique à la

balise <wpt> décrite précédemment

▪ optionnellement d'extensions ( <extensions> )

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Le format GPX étant un format XML, il est possible de VISUALISER ET DE MODIFIER
LE FICHIER avec un éditeur de texte. L’utilisation d’un éditeur de texte syntaxique
compatible XML (comme Notepad++ avec le plugin XML Tools) permet de s’assurer que le
fichier GPX reste valide sur le plan de la syntaxe et réduit le risque de produire un fichier
illisible par les applications/ appareils.

La plupart des applications qui utilisent les données GPS peuvent ouvrir les fichiers GPX. On
peut citer par exemple GPX Viewer, Google Maps.

Procédure d’ouverture d’un fichier avec Google Map :

• Rendez-vous sur votre moteur de recherche et tapez l’adresse suivant dans la barre d’URL :
https://www.google.com/maps/d/u/0/ et assurez-vous d’être connecté à votre compte Google.
• Cliquez sur le bouton « + Créer une carte » en haut à gauche.
• Cliquez sur le bouton « importer ».
• Importez votre fichier GPX que vous avez préalablement téléchargé et glissé le dans la
fenêtre.
• Le tracé s’affiche sur la carte.
• Pour ouvrir l’itinéraire du fichier gpx :
• Ouvrez Google Maps sur votre ordinateur
• Cliquez sur les trois traits horizontaux dans l’angle supérieur gauche
• Sélectionnez « Vos adresses » dans le menu latéral
• Allez dans l’onglet « Cartes » pour afficher tous vos itinéraires créés ou importé

✓ Potentiel et limites de son utilisation dans le projet

Principaux avantages de GPX :

• Permet des échanges entre un plus grand nombre de programmes pour Windows, MacOs,
Linux, Palm et PocketPc.

• Peut être converti sous tous formats en utilisant un site web ou application.

• Il est basé sur le standard XML, c’est pourquoi de nombreux programmes utilisés
pourraient normalement lire des fichiers GPX.

• Permet de développer de nouvelles caractéristiques pour utiliser les données des


récepteurs GPS.

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Il n’existe aucun programme spécifique pour le transfert de GPX. Par contre, plusieurs
programmes peuvent être utilisés :

• GPSBabel, (http://www.gpsbabel.org/)

• GPS TrackMaker, (http://www.gpstm.com/)

• GARtrip, (http://www.gartrip.de/)

• GPSMapEdit, (www.geopainting.com/en/)

• G7ToWin (http://www.gpsinformation.org/ronh/g7towin.htm)

• EasyGPS (http://www.easygps.com/)

Dans ce cas, nous décrirons la marche à suivre pour le transfert de fichiers GPX.

✓ Limites de GPX :

Web Technologies for developing Web GIS

RIA

Description et caractéristiques:

RIA (Rich Internet Application) est une application Web qui offre des caractéristiques
similaires aux logiciels traditionnels installés sur un ordinateur, à la seule différence qu’elle
fournit une dimension interactive riche et une vitesse d’exécution particulièrement soignée.

Contrairement aux applications Web traditionnelles, les RIA s’efforcent de rapatrier chez le
client (local), une partie des traitements normalement dévolus au serveur. Le langage
Javascript en particulier a été conçu dans cette optique.

✓ Expérience dans l’utilisation de la technologie RIA :

Quelques RIA sont Google Maps (cartes interactives), Gmail (courrier électronique).

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Google Maps est une riche interface application qui peut être utilisée pour trouver diverses
informations liées à des localisations spécifiques, cartographier les routes entre ces points et
bien plus encore. En outre, elle permet aux utilisateurs d'accéder à des données sur le trafic,
les itinéraires ainsi que des images satellite haute résolution des zones stratégiques du monde
entier. De plus, Google Maps permet également d'extraire des itinéraires et de nombreuses
autres fonctionnalités utiles qui offrent une expérience interactive très riche aux utilisateurs.

✓ Potentialités

• Aucune installation n’est nécessaire


• Les utilisateurs peuvent utiliser l’application depuis n’importe quel ordinateur équipé
d’une connexion Internet et d’un navigateur récent
• Grande réactivité de l’interface utilisateur

Nous devons donc utiliser la technologie RIA pour rendre notre système convivial.

Limites

• Le développement d’applications s’exécutant dans un navigateur Web en limite la


portée.
• Ces applications sont plus difficiles à mettre en œuvre que celles bureautiques
classiques.

MAPS API

GM (Google Map API)

• Brève Description et caractéristiques clés

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L’API Google Maps permet l’intégration et la personnalisation d’une carte sur un site
Web. Le développeur peut ainsi la personnaliser en y ajoutant des données spécifiques
(calcul d’un itinéraire, localisation d’un point d vente, etc.).
Cet API permet l’accès aux cartes, routes et services de géolocalisation.

• Expérience dans l’utilisation l’API cartographique

Le cout est fonction des API, donc du nombre des visiteurs journaliers.

Pour utiliser l’API de Google Maps, il faut d’abord obtenir une clé d’API. Et pour cela, il faut
avoir un compte Gmail et se rendre sur le site dédié aux développeurs. Puis, se laisser guider
pour l’obtention de la clé.

Potentialités

L’API de Google Maps est publique, et donc, facilement accessible

L’API de Google Maps s’avère adapté pour les utilisateurs inexpérimentés ou sans
connaissances en programmation.

Il propose le chemin le plus court

Limites

Des connaissances avancées en Javascript sont utiles pour l’intégration de cartes complexes.

Augmented reality, Location-based System (ALBS) and Performance Issues (PI)

DRWA (Data reduction techniques for web and mobile GIS)

✓ Brève description et caractéristiques clés de la technologie de géolocalisation ou


mobile :

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Le DRWA est une technique de réduction des données qui peut considérablement améliorer la
vitesse, la performance et la convivialité des applications Web et mobiles GIS. En appliquant
le DRWA aux données brutes, il est possible de réduire leurs volumes sans perdre
d'informations importantes sur les informations géographiques.

✓ Potentiel :

Le DRWA offre un potentiel considérable en matière d'amélioration des performances des


solutions applicatives GIS. Il permet de compresser les données pour en accroître l'efficacité
et augmenter leurs performances globales. Il fournit également une analyse plus approfondie
grâce au découpage des grandes échelles dans plusieurs petites briques spécifiques à
l'utilisateur, ce qui rend les applications GIS plus conviviales et offre une meilleure
intégration avec les systèmes tiers. La réduction des données GIS joue également un rôle clé
dans le partage rapide, sûr et sûr de données volumineuses entre différents acteurs.

Ainsi, afin de permettre une utilisation optimale de l’application de géolocalisation de


ressources naturelles que nous allons concevoir, il sera primordial de réduire la consommation
des données mobiles, ce qui passe par l’application du DRWA.

✓ Limite :

Bien que le DRWA présente de nombreux avantages pour les applications Web et mobiles
GIS, son application est limitée par la taille des jeux de données à traiter. Les jeux de données
paramétriques peuvent être comprimés jusqu'à un certain point, mais si une certaine taille
maximale est atteinte, ce type de compression ne sera pas efficace ou seulement
marginalement supérieur aux autres formes de compression standard. De plus, certains types
particuliers de jeux de données ne peuvent pas être compressés du tout, en raison du fait qu'ils
contiennent des informations trop spécifiques qui sont exclusivement liés à chaque utilisateur
et/ou situation particulière.

Comment améliorer la capacité de DRWA à réduire efficacement les volumes de données


Mobile GIS

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Il faut utiliser des technologies de mise en cache et de stockage côté serveur pour fournir une
latence plus rapide pour le chargement des jeux de données.

Comment optimiser le temps de traitement et l'efficacité des métriques d'analyse des données
par DRWA

Pour cela, il faut utiliser des algorithmes d'agrégation de données afin de limiter le nombre de
jeux de données à transférer au client.

Comment optimiser le fonctionnement du DRWA pour qu'il soit capable de traiter et de


fournir des informations plus riches

Optimisez les performances du système en réduisant le nombre d'opérations requises pour


compléter une requête ou une opération en particulier utilisant des algorithmes gourmands en
temps/espace, tels que la fusion/jointure pivotée et la segmentation par taille maximale ou
minimale sur les jeux de données source groupées.

Comment améliorer l'interface utilisateur du DRWA, en particulier pour faciliter le


développement et l'utilisation par les développeurs Web GIS

Il faut essayer également d’utiliser un proxy web entre le serveur Web et le client afin que le
serveur conserve uniquement les données qui sont demandées fréquemment par différents
clients, pour diminuer le temps d’accès des futurs clients et améliorer les performances liées
aux demandes répétitives.

Applications Case study (apps)

GeoGlobe :

✓ Requirements/Besoins

GeoGlobe est utile pour les utilisateurs souhaitant intégrer et exploiter des informations
géospatiales multi-sources dans un seul système. Ce logiciel permet aux utilisateurs de naviguer
facilement grâce à une vue pratique du monde physique avec une variété de couches, y compris
la cartographie numérique et le détail administratif. Il offre également une sélection spéciale
d'applications prêtes à l'emploi associées aux installations Web GIS. En outre, GeoGlobe peut
être personnalisée pour répondre rapidement aux besoins des organisations ou des clients

13
individuels. Les principaux avantages de ce logiciel sont sa simplicité d'utilisation et une
interface conviviale pour la navigation en espace virtuel qui rendent la consultation des
informations géospatiales multi-sources plus intuitive et efficace. Les utilisateurs peuvent
également créer et partager leurs propres visualisations statistiques par le biais du système,
consulter les données sur appareil mobile et capturer des «locavignettes» (instantanés) pour
chaque position géographique visitée.

✓ Architecture

L'architecture à haut niveau de GeoGlobe est une architecture client-serveur qui implique une
couche client et une couche serveur distinctes. La couche client inclut des composants logiciels
tels qu'un navigateur Web, un lecteur d'images 3D et un outil de cartographe. La couche serveur
comprend un système d'administration de base de données, un gestionnaire de ressources
géospatiales, un analyseur géospatial et des services Web SLAP (Simple Location Access
Protocol). Le système d'administration de base de données est responsable du stockage des
données géographiques telles que les coordonnées GPS et les attributs associés. Le gestionnaire
de ressources géospatiales se charge du traitement et du stockage des données provenant de
diverses sources spatiales telles que les images satellites et aériennes, le SIG mobile et la
cartographie en ligne. L'analyseur géospatial effectue des analyses complexes sur ces données
pour aider les utilisateurs à mieux comprendre leurs modèles spatiaux. Les services Web SLAP
fournissent aux clients l’accès à tout type de contenu géospatial disponible sur le réseau ainsi
qu’une capacité avancée pour inclure des informations variétales au-delà des limites
traditionnelles, par exemple en matière d’utilisations autorisées ou non autorisée ou pour
visualiser la carte sensible dans plusieurs niveaux prêts à être diffusés sous forme numérique
(raster ou vecteur).

✓ Format ou standard des donnees, API, ServicesWeb

GeoGlobe prend en charge plusieurs formats et standards de données, notamment le format Esri
Shapefile, le format AutoCAD DWG, le projet OGC GeoPackage et le Web Feature Service
(WFS). De plus, il fournit des API et des services Web afin que les développeurs puissent
exploiter facilement les données. Les API peuvent être utilisées pour afficher et contrôler
l'affichage des géométries, ainsi que la recherche et l'analyse spatiale. Les services Web offrent
une intégration à d'autres systèmes incluant les applications mobiles et web. Ces services
fournissent des commandes comme la requête de vecteur (queryVector), l'enregistrement
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dans/depuis un catalogue distant (readFrom/saveToCatalog) et la conversion entre différents
formats de données (convertFormat). De plus, GeoGlobe offre un service de projection
bidirectionnelle qui permet aux utilisateurs de visualiser et stocker leurs jeux de données dans
n'importe quel système de référence spaciale souhaité.

Les API de GeoGlobe offrent un support pour divers services et applications, y compris:

1. Géocodage

2. Localisation et recherche d'adresses

3. Outils de géomarketing et d'analyse géospatiale

4. Cartographie interactive et vues satellites

5. Routage / calculs d’itinéraires

6. Technologies professionnelles en temps réel

7. Intégrations à des API tierces

• Workflow et outils d’intégration

GeoGlobe est une application qui permet à ses utilisateurs d’explorer le monde et de
découvrir des informations sur les endroits qu'ils visitent, en particulier à travers des cartes
dynamiques interactives. L'application est basée sur un modèle architectural orienté service
(SOA). Elle repose sur un ensemble d'API RESTful couplées à une interface JSON pour
communiquer avec les services tiers, y compris des API de géodiffusion et d’accès à la base
de données. La principale couche est celle des services Web, qui fournit aux clients l'accès
aux données nécessaires à l'exécution du logiciel. Les services utilisent principalement Java et
Scala pour le développement, ainsi que pour l’hébergement du traitement de données. Ces
services communiquent avec les API REST Tierces à l'aide d'un puissant système d’adapteurs
REST. Le logiciel et les API tierces offrent une riche palette de fonctionnalités destinées aux
développeurs web modernes : support technique étendu, documentation en profondeur, balise
HTML5 rapide et structure MVC robuste.

Le stockage est réalisé grâce à une combinaison de bases de données NoSQL et cloud haute
performance, telles que Cassandra, MongoDB ou PostgreSQL. Les supports sont le plus

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souvent persistant (avec possibilité de sauvegarder tout type de donnée), ce qui permet un
accès rapide aux informations dont l’utilisateur a besoin au bon moment. Le déploiement se
fait souvent via AWS EC2 ou Heroku dynos, ce qui permet une escalabilité importante si
nous devons prendre en charge plus d’utilisateurs

• Résultats

Architecture technique de l’application

Nous avons opté pour l’architecture MVC.

L’architecture d’une application désigne la manière dont seront agencés les différents
éléments de cette application et la manière dont ils interagissent entre-eux.

Nous avons utilisé une architecture en trois couches : modèle, vue et contrôleur
(architecture MVC).

MVC est un modèle d’architecture qui cherche à séparer nettement les couches de
présentation (UI : User Interface), métier (BLL : Business Logic Layer) et d’accès aux données
(DAL : Data Access Layer).

Le but est d’avoir une dépendance minimale entre les différentes couches de
l’application. Ainsi, les modifications effectuées sur n’importe quelle couche de l’application
n’affectent pas les autres couches.

La couche modèle représente la partie de l’application qui exécute la logique métier.


Cela signifie qu’elle est responsable de récupérer les données, de les convertir selon des
concepts chargés de sens pour l’application, tels que le traitement, la validation, l’association
et beaucoup d’autres tâches concernant la manipulation des données. À première vue, l’objet
Modèle peut être vu comme la première couche d’interaction avec n’importe quelle base de
données de l’application. Mais plus globalement, il fait partie des concepts majeurs autour
desquels l’application est exécutée. Cette couche comporte les différentes interfaces utilisateur,
c’est celle qui interagit directement avec l’utilisateur ; celle de domaine présente les différents
objets (bon de commande, formulaire, facture…) et les méthodes permettant de récupérer les
informations saisies ; la couche d’accès aux données quant à elle, contient les données
renvoyées après les différents traitements.
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La vue retourne une présentation des données venant du modèle. Étant séparée par les
Objets Modèle, elle est responsable de l’utilisation des informations dont elle dispose pour
produire une interface de présentation de l’application. Par exemple, de la même manière que
la couche Model retourne un ensemble de données, la Vue utilise ces données pour fournir une
page HTML. Ou un résultat XML formaté. La couche Vue n’est pas seulement limitée au
HTML ou à la représentation en texte de données. Elle peut aussi être utilisée pour offrir une
grande variété de formats en fonction de vos besoins, comme les vidéos, la musique, les
documents et tout autre format auquel vous pouvez penser.

La couche contrôleur gère les requêtes des utilisateurs. Elle est responsable de retourner
une réponse avec l’aide mutuelle des couches Modèle et Vue. Les contrôleurs peuvent être
imaginés comme des managers qui ont pour mission de vérifier que toutes les ressources
souhaitées pour accomplir une tâche soient déléguées aux travailleurs de façon appropriée. Il
attend des requêtes des clients, vérifie leur validité selon l’authentification et les règles
d’autorisation, délègue les données récupérées et traitées par le modèle et sélectionne les types
de présentation correcte que le client accepte, pour finalement déléguer le processus d’affichage
à la couche Vue. Ainsi, un contrôleur est un module qui traite les actions de l’utilisateur, modifie
les données du modèle et de la vue.

- Couche Modèle

Cette couche contient les données manipulées par le programme. Elle contient toutes les
classes de notre système et les méthodes pouvant s’appliquer à elles. Elle offre des méthodes
pour mettre à jour ces données (insertion, suppression, changement de valeur) et pour récupérer
ces données. [3] Ces méthodes se résument en l’acronyme CRUD (Create Read Update Delete),
qui désigne les quatre opérations de base pour le stockage d’informations en base de données,
c’est-à-dire la création, la consultation, la modification et la suppression.

Dans le cas de notre application, la couche modèle peut être représentée au niveau du
cas d’utilisation « s’inscrire » par la classe personnel, qui contient les différentes propriétés
d’un membre du personnel, et par les méthodes (actions) appliquées sur cette classe.

- La couche vue

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Elle constitue la partie visible de l’application. Sa première tâche est d’afficher les
données qu’elle a récupérées auprès du modèle. Sa seconde tâche est de recevoir toutes les
actions de l’utilisateur (clic, sélection d’une entrée…).

Dans le cas de notre application, un exemple pour la couche vue peut être le formulaire
d’inscription.

- La couche de contrôle (contrôleur)

Cette couche est chargée de la synchronisation du modèle et de la vue. Elle reçoit tous
les évènements de l’utilisateur et enclenche les actions à effectuer. Si une action nécessite un
changement de données, le contrôleur demande la modification des données au modèle et
ensuite, avertit la vue que les données ont changé pour que celle-ci se mette à jour. Également,
certaines actions de l’utilisateur ne concernent pas les données, mais la vue. Dans ce cas, le
contrôleur demande à la vue de se modifier.

Dans le cas de notre application, un exemple pour cette couche peut être le contrôleur
d’inscription, qui lui, se charge de vérifier que les données entrées au niveau de la vue
(formulaire d’inscription) soient conformes aux types de données recevables au niveau du
modèle. Si tel n’est pas le cas, le contrôleur demande à la vue d’afficher un message d’erreur.
Dans le cas contraire, le contrôleur demande à la vue de présenter à l’utilisateur, la page
d’accueil.

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Modélisation :

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Figure : Modèle Conceptuel de Données

Un utilisateur peut rechercher au moins une ressource ; une ressource peut être recherchée par
plusieurs utilisateurs. Une ressource est localisée en un point ; en un point peuvent être
localisées plusieurs ressources. Un utilisateur peut créer plusieurs cartes. Une carte peut être
créée par un et un seul utilisateur. Un utilisateur peut consulter plusieurs revues ; une revue peut
être consultée par plusieurs utilisateurs. Un point est contenu dans une et une seule zone
géographique, tandis qu’une zone géographique contient plusieurs points.

Figure : Modèle Conceptuel de Données

Outils utilisés :

En termes d’outils, nous ferons principalement référence aux logiciels utilisés dans le
processus de développement. Ce sont :

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Des environnements de développement intégré ou IDE : Il s’agit de logiciels de
création d’applications, qui rassemblent des outils de développement fréquemment utilisés dans
une seule interface utilisateur graphique (GUI). Pour notre projet, nous avons utilisé et Visual
Studio Code.

Une plateforme de développement Web : Nous avons utilisé une plateforme de


développement Open source1 nommée WAMP (Windows, Apache, MySQL et PHP).

Cette plateforme permet de développer des applications Web dynamiques sur le système
d’exploitation Windows. A cet effet, son fonctionnement dépend de quatre éléments clés : Un
système d’exploitation (Windows), une base de données (Apache), un système de gestion de
base de données (MySQL) et un logiciel de script pour le développement en PHP.

Des navigateurs Web : Ce sont des logiciels permettant d’accéder à l’ensemble des
informations contenues sur Internet. Ils interprètent le code PHP écrit dans l’IDE. Nous avons
utilisé les navigateurs Mozilla Firefox, Opera, Google Chrome et Microsoft Edge.

Un Framework : Signifiant « cadre de travail » en Français, c’est un ensemble cohérent


de composants logiciels structurés qui servent à créer les fondations ainsi que les grandes lignes
d’un logiciel ou d’une partie de celui-ci, c’est-à-dire une architecture. Afin de mettre en place
l’architecture MVC, nous avons opté pour l’utilisation du Framework Symfony 5, couplé au
logiciel Composer, qui est un gestionnaire de dépendances libre écrit en PHP, permettant de
déclarer et d’installer les bibliothèques dont a besoin le projet principal.

Un logiciel de gestion de versions décentralisé : C’est un logiciel conçu pour gérer


des projets avec rapidité et efficacité. Dans le cas précis de notre projet, nous avons opté pour
l’utilisation du logiciel Git.

Ajax : C’est un ensemble de fonctions destinées à afficher du contenu Web de manière


dynamique, et signifie asynchronous JavaScript and XML (JavaScript et XML
asynchrones). Dans une application Web en Ajax, lors des manipulations effectuées sur la page
utilisateur, le programme en JavaScript envoie des requêtes au serveur Web. Le serveur
répondra aux requêtes en envoyant un document au format XML contenant un nombre
d’informations réduit, d’où des temps de latence plus réduits que ceux d’une application Web

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classique. Le développement des applications Ajax est facilité par l’emploi d’un framework ;
et dans ce cas, il s’agit du framework Symfony.

Des ateliers de génie logiciel (AGL): En Anglais CASE tools, ce sont des outils
logiciels ayant permis de modéliser notre système tout au long du processus de développement,
selon le formalisme UML. UML (Unified Modeling Language) est un métalangage de
modélisation regroupant de nombreux diagrammes tels que le diagramme de classe. Comme
AGL, nous avons utilisé Pacestar UML et StarUML.

- Langages de programmation utilisés

Etant donné qu’il s’agit du développement d’une application Web, les langages utilisés
ont été : HTML, CSS, Javascript et PHP.

Le langage HTML (HyperText Markup Language) est le langage de balisage conçu pour
représenter les pages Web. Il permet de structurer une page Web et son contenu.

Le langage CSS (Cascading Style Sheets) permet de mettre en forme une page Web.

Le langage JavaScript est un langage de programmation des scripts 2 principalement


employé dans les pages Web interactives.

Le langage PHP (Hypertext Preprocessor) est un langage de scripts généraliste et open


source, spécialement conçu pour le développement d’applications Web. Il peut être intégré
facilement au HTML. Ce qui le distingue du Javascript est que le code est exécuté sur le serveur,
générant ainsi le HTML, qui sera ensuite envoyé au client (navigateur). Nous avons opté pour
du PHP orienté objet (PHP O.O), car il permet une meilleure organisation du projet et favorise
la maintenance et l’évolutivité du code.

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REFERENCES

"Télédétection et SIG pour la gestion des ressources naturelles" de F. Papy et B.


Duchemin
"Géomatique et environnement : Applications des SIG pour la gestion des ressources
naturelles" de N. Reghezza-Zitt et M. Caloz-Tschopp
"Gestion des ressources naturelles : SIG et aide à la décision" de J.-M. Ambrosini et
J.-M. Salles
"Géomatique et gestion des ressources naturelles" de M. R. Bouzidi et M.
Benabdelouahab : cet ouvrage présente les concepts de base de la géomatique et leur
application pour la gestion des ressources naturelles.
https://fr.wikipedia.org/wiki/OpenLayers
https://fr.wikipedia.org/wiki/Keyhole_Markup_Language

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