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Prenez votre Bible s’il vous plait et allez avec moi dans le livre de 2 Rois, chapitre 4, verset 8.
Un jour Élisée passait par sunem, il y avait là une femme de distinction, qui le pressa d’accepter à
manger. Et toutes les fois qu’il passait, il se rendait chez elle pour manger.
Nous allons nous concentrer sur cet attribut femme de distinction et voir par la suite les actions
concrètes s’y rapportant. Enfin nous tirerons quelques leçons pour nous aujourd’hui afin de vivre
victorieusement.
La vie toute entière est suspendue par une loi immuable, la croyance. Nous sommes ce que nous
sommes aujourd’hui à cause de notre croyance, nous serons demain là où notre croyance nous
amène. Personne ne peut s’élever au-delà de ce qu’il croit et personne ne peut croire plus que ce
qu’il comprend. Nous croyons ce que nous croyons à cause de ce qui nous a été enseigné. Nous
pensons de la manière dont nous pensons à cause de la manière dont nous avons été dirigés. La
croyance est une loi. En croyant, on reçoit. (1)
Nous avons appris dans notre ministère comment la parole de Dieu s'interprète elle-même. Faisons
recours à ces ressources. La bible ou la parole s’interprète elle-même dans le verset, dans son
contexte, dans son usage antérieur (2)
Selon Dake, la traduction d’une femme de distinction est plus explicite par la traduction de King
James comme une grande femme ou dame. Le mot hébreu duquel est tiré le mot français distinction
c’est « Gadol » qui veut dire grand dans tous les sens, élevé, puissant, noble, riche.
The Companion Bible traduit le mot « grand » comme riche, une personne de position, de dignité.
Avec cette compréhension, le verset 8 du 2ème livre du Rois 4 peut se lire comme suit :
Un jour Élisée passait par Sunem, il y avait là une grande (Gadol) femme, une femme de dignité, une
femme de position, une femme riche, une femme noble, puissante, qui le pressa d’accepter à
manger. Et toutes les fois qu’il passait, il se rendait chez elle pour manger.
Regardez comment la bible le semeur rend ce verset : « un jour, Élisée passait par le village de
Sunem. Une femme riche insista auprès de lui pour qu’il accepte de prendre un repas chez elle dès
lors, chaque fois qu’il passait par ce village, il s’arrêtait chez elle pour manger ».
La femme sunamite bien que riche ne s’était pas vautrée dans la culture sociétale de son époque. Elle
s’était démarquée de la foule par la qualité de son hospitalité. Elle entreprenait des actions de
bienveillance et d’hospitalité vis-à-vis de l’homme de Dieu, elle n’était pas imbue d’elle-même, elle a
considéré d’abord Dieu et sa parole.
9 elle dit à son mari : voici, je sais que cet homme qui passe toujours est un saint homme de Dieu.
10 : Faisons une petite chambre haute avec des murs, et mettons-y pour lui un lit, une table, un siège
et un chandelier, afin qu’il s’y retire quand il viendra chez nous.
Oh ! Quel cœur généreux pour cette femme. Elle était docile et tendre à reconnaître le mérite de
l’homme de Dieu.
Lisez bien-aimé de Dieu Galates 6 : 6 : Que celui à qui l’on enseigne la parole fasse part de tous ses
biens à celui qui l’enseigne.
La femme sunamite avait appris cette vérité à son époque et elle avait agi en conséquence. En
rapport avec sa richesse, elle avait aménagé une chambre haute telle que la parole le dit.
La femme sunamite avait un problème, elle était stérile. Grâce à son hospitalité, Dieu opéra une
grande délivrance dans sa vie.
2 Rois 4 : 17 : « Cette femme devient enceinte, et elle enfanta un fils à la même époque, l’année
suivante comme Élisée lui avait dit ».
Les sœurs peuvent aujourd’hui vivre victorieusement en pratiquant la loi de la croyance au point
d’amener la délivrance financière dans leurs vies et dans la vie du ministère qui nous enseigne la
parole de Dieu droitement divisée.
Le renouvellement de l’intelligence.
La nuit est avancée, le jour approche, dépouillons-nous donc des œuvres des ténèbres :
Premièrement nous devons enlever de nous-mêmes les œuvres des ténèbres comme nous enlevons
nos pyjamas une fois que le matin apparaît.
Je sais que j’aime mes habits de nuit (pyjamas), ils sont jolis mais je ne peux pas les porter au travail.
Quand le jour arrive, j’enlève mes habits de nuit et je porte mes habits du jour.
Rejeter la nature du vieil homme et ses actions sont même plus importants, urgents et nécessaires
que de changer le pyjama.
Rejeter les œuvres des ténèbres exprime un dégoût. Les œuvres des ténèbres ne sont pas
appropriées pour nous à n’importe quel moment car nous sommes les enfants de lumière.
Le verset 14 nous enseigne : « de ne pas faire des provisions dans la chair, d’enlever le vieil homme
en prenant la décision d’arrêter de servir la chair qui s’accroche aux habitudes familières.
Lire et étudier la parole de Dieu, parler abondamment en langue, choisir sagement la fréquentation.
La lecture et l’étude quotidienne de la parole nous aident à garder Dieu en priorité dans notre vie,
prenons une bonne dose quotidienne de la parole de Dieu, une vie de prière dynamique et efficace
nous maintient dans le cœur de Dieu et la communion avec les croyants qui partagent la même
pensée est cruciale dans la vie afin de prévaloir.
Nous avons vu que la femme de distinction est une grande femme, une femme de dignité, noble,
puissante, bien positionnée et élevée qui opère la croyance afin d’apporter la délivrance dans sa
propre vie et dans la maisonnée. La sunamite était un modèle de vivre victorieusement.
Excellente journée
Sources :
Victor Paul Wierwille, puissance pour la vie abondantes, American Christian Press, The Way
International, New Knoxville, Ohio, P37;