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Chapitre 1 

: Les stratégies du démon pour détruire l’humanité

1. Corrompre la pensée humaine

a. La duperie de l’athéisme

b. Le matérialisme, une théorie fallacieuse

c. Le blasphème de l’évolution

d. Le culte de la science

e. L'idéologie de lutte

f. L'altération intellectuelle

g. La langue pervertie

2. Subvertir la culture traditionnelle

a. Une éducation au rabais

b. L’art dégénéré

c. Le contrôle par les médias

d. La promotion de la pornographie, des jeux d’argent et des drogues

e. La corruption de tous les types de professions

3. Démanteler la société

a. L'érosion de l’Église

b. La désintégration de la famille

c. Le totalitarisme dans les pays de l’Est


d. L’infiltration à l’Ouest

e. La perversion de la loi

f. La manipulation de la finance

g. Le gouvernement mondial

4. Susciter des conflits sociaux et fabriquer des émeutes

a. Les guerres

b. Les révolutions

c. Les crises économiques

d. Couper l’homme de ses racines et des traditions

e. Le détournement des mouvements sociaux

f. Le terrorisme

5. Diviser pour régner

a. Éliminer toute dissension

b. Récupérer les élites

c. Rendre les masses ignorantes

d. Fabriquer des émeutiers de toutes pièces

e. Hâter le renouvellement des générations

f. Fragmenter la société

6. La dissimulation et les tactiques de défense

a. Une conspiration au grand jour


b. Le camouflage des actions menées

c. Diaboliser l’opposition

d. Détourner l’attention

e. Capter l’attention de la majorité

***

1. Corrompre la pensée humaine


Le démon a inversé les critères qui amènent à comprendre le bien et le mal. Il
repousse la droiture comme étant le mal et il fait passer le vice pour de la
compassion. Il recouvre ses sinistres concepts du terme de « sciences » et il
masque sa logique de voyou sous l’expression de « justice sociale ». Il se sert du
« politiquement correct » pour imposer un contrôle de la pensée et répandre le
concept de « neutralité » afin de rendre les gens insensibles aux atrocités et aux
brutalités.

a. La duperie de l’athéisme
L’homme a été créé par Dieu, et les fidèles reçoivent sa protection divine. En
conséquence, la première étape vers la destruction de l’humanité consiste à couper
le lien qui unit les hommes et les divinités. Le démon envoie ses agents dans le
monde humain pour qu’ils répandent l’athéisme et pervertissent activement la
pensée de l’homme.

Dans les années 1850, le philosophe matérialiste allemand Ludwig Feuerbach a


prétendu que « Dieu [n’était] que la projection de la nature intrinsèque de
l’homme ». Le motet socialiste, « L’Internationale », affirme quant à lui qu’il « n’y
a jamais eu de créateur ». En réalité, les critères de la moralité humaine, la culture,
la structure sociale, la raison viennent tous du divin. Lorsque l’histoire connaît des
courants tumultueux, la foi en les divinités est comme une ligne d’amarrage, elle
permet à l’humanité de ne pas être submergée par les vagues.

Se penchant sur le bain de sang qu’aura été la Révolution française, et qui renversa
la monarchie et le clergé, le philosophe anglais Edmund Burke dit que « quand
l’homme joue à Dieu, dans les faits il se comporte comme un diable ». L’athéisme
a convaincu les arrogants qu’ils pouvaient jouer à Dieu et pouvaient tenter de
prendre en main le sort des autres et de la société. Les communistes les plus
fanatiques n’hésitent pas à se déifier eux-mêmes. Répandre l’athéisme correspond
à la première étape du diable sur le chemin de la destruction de l’humanité.

b. Le matérialisme, une théorie fallacieuse


L’esprit et la matière existent simultanément. L’idée centrale du marxisme repose
sur la notion de matérialisme dialectique, théorie qui nie l’existence de l’âme. Le
matérialisme s’est répandu à l’époque de la Révolution industrielle, quand le
progrès rapide dans le domaine des sciences, de la technologie et de la production
alimentait un véritable culte de l’empirisme et de l’athéisme. Les gens ont
commencé à ne plus croire aux miracles divins et ils ont rejeté les commandements
de Dieu.

Le matérialisme est une création du démon, il n’a rien d’un courant philosophique,
il est une arme démoniaque qui vise à mettre à terre la foi et la spiritualité de
l’homme. Le matérialisme est un produit de l’athéisme et il a pu à son tour poser
les bases qui permettront l’éclosion de prétentions intellectuelles les plus diverses.

c. Le blasphème de l’évolution
En soi, la théorie de l’évolution de Darwin est une hypothèse biaisée qui a été
discréditée depuis longtemps. Mais le démon a utilisé ses arguments grossiers afin
de détruire le lien qui unit les divinités et l’homme. La théorie de l’évolution
répand le blasphème d’une équivalence entre l’humanité et le monde animal,
sapant ainsi d’emblée la dignité du genre humain et sa révérence envers la création
de Dieu. Le XX e siècle aura vu la théorie de l’évolution s’imposer dans les
domaines de la recherche et de l’éducation, et le créationnisme être interdit
d’enseignement.
De la théorie originelle de Darwin a découlé le concept pernicieux de darwinisme
social. Les notions de « sélection naturelle » et de « survie du plus fort » ont réduit
la communauté internationale à une vaste jungle barbare dans laquelle les nations
luttent les unes contre les autres.
d. Le culte de la science
À l’aide de l’empirisme et du scientisme, le démon a promu le culte de la science
afin que celle-ci remplace la raison humaine par la « rationalité scientifique ». Les
gens ont été amenés à ne croire qu’en ce qu’ils voyaient et ressentaient de façon
tangible, renforçant encore davantage la vision athée du monde.

La communauté scientifique contemporaine rejette tout phénomène que ses propres


méthodes ne peuvent expliquer ou vérifier, et prétend que c’est de la superstition
ou de la pseudo-science, quand elle ne refuse pas, tout simplement, de les prendre
en considération. La science est devenue une espèce de religion séculaire qu’on
utilise pour réprimer la foi et la moralité grâce à l’emprise qu’elle a sur le monde
de l’éducation et de la pensée.

e. L'idéologie de lutte
La théorie dialectique élaborée par le philosophe allemand Georg Hegel est un
ensemble de principes reliés au domaine de la logique. Des penseurs de la Chine
ancienne avaient mis à jour ces principes à une époque antérieure à la dynastie des
Qin (221-206 av. J.-C.).

Le marxisme a sélectionné et absorbé certains aspects du travail d’Hegel, tout en


exagérant la nature du conflit dialectal. Ainsi que le disait le républicain Tchang
Kaï-Chek, le but du communisme n’est pas de résoudre des problèmes, mais bien
« de pousser les contradictions planétaires à leur paroxysme et de s’assurer que la
lutte des hommes entre eux n’ait pas de fin ».

Comme l’histoire nous l’a montré de façon répétée, le spectre maléfique du


communisme incite les gens à se haïr les uns les autres, génère et exacerbe les
conflits et, le moment venu, s’empare du pouvoir par le biais d’une révolution
violente ou bien par subterfuge.

f. L'altération intellectuelle
L’athéisme et le matérialisme ont engendré de nombreux courants philosophiques
et idéologiques, tels que le marxisme, le machiavélisme, le socialisme, le
nihilisme, l’anarchisme, l’esthétisme, le freudisme, le modernisme,
l’existentialisme, le post-modernisme ou le déconstructivisme. Leurs instigateurs et
leurs disciples se sont empêtrés dans un verbiage inconsistant sur des sujets d’une
importance pourtant véritable.

Le monde intellectuel, autrefois composé des éléments les plus sages et les plus
savants de l’élite de chaque société, est devenu, au cours du siècle dernier, un
levier au service du spectre maléfique, qui l’utilise pour promouvoir ses idéologies
et pour que ses déviances faussent la compréhension que les gens ont du monde.

g. La langue pervertie
Comme la « novlangue » créée par la superstructure étatique d’Océanie dans le
roman 1984 de George Orwell, les agents du diable remodèlent la langue afin
qu’elle serve les intérêts du démon. Dans le dictionnaire du diable, « liberté »
correspond à un état extrême hors de toute astreinte à la moralité, la loi ou la
tradition. Des expressions telles que « nous sommes tous des enfants de Dieu », «
tous les hommes sont égaux devant la loi », ou « les mêmes chances pour tous »
ont été travesties pour faire le jeu d’un égalitarisme absolu. « Un homme
bienveillant aime les autres », par exemple, et « aime ton prochain comme toi-
même » sont utilisés pour défendre une « tolérance » en réalité fausse et sans
principes. La raison est devenue l’instrument d’une pensée empirique bornée. Dans
l’optique de l’égalité pour tous, la justice est devenue « justice sociale ».
La langue est un instrument de la pensée. En s’appropriant des définitions déviées
et les nuances du langage, les pensées de l'homme sont dirigées vers des
conclusions démoniaques.

2. Subvertir la culture traditionnelle


La culture orthodoxe de l’humanité lui vient des divinités. En même temps qu’elle
maintient le fonctionnement normal d’une société humaine, le rôle le plus
important d’une culture d’inspiration divine est d’apporter à l’humanité les moyens
nécessaires à la compréhension de la Loi divine telle qu’elle sera enseignée dans
les derniers temps et à pouvoir être sauvé et non pas éliminé.

Une culture d’inspiration divine met en garde contre les complots du diable, ainsi
le diable emploie un moyen détourné qui consiste à couper les gens de leurs
traditions et à détruire leur culture. Pour éliminer les compréhensions
traditionnelles que les gens ont de la vie et des valeurs morales, le diable invente
une quantité d’idéaux grandioses et les pousse à consacrer leur vie au combat, à se
sacrifier eux-mêmes pour ces nouveaux idéaux biaisés.

a. Une éducation au rabais


Pendant des milliers d’années, l’éducation traditionnelle a su préserver et donner
en héritage la culture raffinée de l’humanité. Elle avait un rôle de guide et
enjoignait à être bienveillant, à préserver ses vertus morales, à maîtriser les savoir-
faire de sa profession et à agir en bonne personne et en membre responsable de sa
communauté. À partir du XIX e siècle, les nations d’Europe et d’Amérique du Nord
ont mis en place des systèmes d’éducation publique gratuite.
Cependant, à l’orée du XX e siècle, les écoles publiques ont commencé à retourner
les élèves contre la tradition et la moralité. La théorie de l’évolution est devenue un
enseignement obligatoire. Les manuels scolaires se sont progressivement remplis
d’athéisme, de matérialisme et de lutte des classes au fur et à mesure que le diable
en prenait le contrôle. La culture traditionnelle, tel qu’elle est montrée en exemple
dans les grands classiques de la littérature, était en porte-à-faux avec le courant
idéologique du démon et a été graduellement marginalisée.
Les élèves intelligents et vifs ont été incités à se conformer à l’idéologie du diable,
et à gâcher leurs talents dans des recherches intellectuelles vaines, se retrouvant
ainsi démunis pour faire face aux choses essentielles de la vie et de la société. Les
heures de cours toujours plus nombreuses ont coupé les enfants de la responsabilité
de leurs parents et de leur environnement familial, tout en les obligeant à ingurgiter
l’idéologie du démon dès leur plus tendre enfance.

En invoquant le devoir de « penser par soi-même », l’école a encouragé les élèves


à se couper de leur tradition et à mépriser leurs parents comme leurs professeurs,
pour se ranger dans l’opposition à la tradition et l’opposition à l’autorité. Les
normes académiques ont graduellement été revues à la baisse, et ainsi les élèves
ont une maîtrise incomplète des mathématiques et des textes. Ils ont été abreuvés
des théories du « politiquement correct » dans le domaine de l’histoire ou des
sciences sociales, et ils ont été immergés dans une culture des divertissements
vulgaires.
Dans les pays régis par le démon, les élèves sont la cible d’un lavage de cerveau de
la part de l’idéologie démoniaque, et ce, dans une quasi-autarcie de la maternelle
jusqu’aux études supérieures. Quand bien même ils obtiennent leurs diplômes et
entrent dans la société, leur esprit est rempli d’une logique tordue.

b. L’art dégénéré
Les arts traditionnels et dignes viennent des divinités, et sont d’abord apparus dans
les temples, les églises et autres lieux de culte. L’art véritable montre la vérité, la
bonté et la rectitude et permet le maintien d’une culture morale orthodoxe.

Le démon, lui, utilise l’art dégénéré pour détruire la culture traditionnelle. Sous
prétexte de « montrer la réalité », il a introduit l’impressionnisme dans le monde de
la peinture et le réalisme et le naturalisme dans le monde des lettres. Prétextant
d’être « innovant » et de « critiquer la réalité », il a introduit l’expressionnisme,
l’art abstrait, le modernisme, puis le post-modernisme, etc. Tout ce qui relève du
sublime, ce qui est noble et pur, est tourné en ridicule, quand tout ce qui est
vulgaire et affligeant est porté aux nues.

Un fatras d’objets divers s’est installé dans les galeries d’art. Les rythmes
cacophoniques et le bruit outrancier se font appeler « musique ». Des peintures
noires et sinistres dépeignent le monde des ténèbres. Les règles élémentaires de la
morale sont bafouées sous prétexte de performances artistiques. Beaucoup de
jeunes sont des fans irréductibles de célébrités dégénérées.

c. Le contrôle par les médias


Le diable trompe les gens en contrôlant autant que possible leur source
d’information, notamment les médias grand public. Dans les pays où le pouvoir
politique est entre ses mains, les médias sont un outil de propagande aux ordres du
Parti communiste. Ailleurs, c’est en utilisant la liberté d’expression qu’il submerge
sous une avalanche de fausses informations, de divertissements vulgaires et de
sensationnel, tout ce qui relève des informations sérieuses et des discussions de
fond.

Il utilise des leviers financiers pour contrôler les médias et s’emparer de l’opinion
publique. La plupart des gens étant pris par leur travail ou par leurs centres
d’intérêt, ils sont incapables de discerner les éléments pertinents dans ce déluge
d’information. La voix de la minorité qui a le courage et la clairvoyance de pointer
du doigt les conspirations du démon est noyée et marginalisée dans ce bruit
assourdissant, et ne permet pas de changer les choses.

d. La promotion de la pornographie, des jeux d’argent et des drogues


Le démon promeut les modes de vie dégénérés, la liberté sexuelle et
l’homosexualité. Il encourage les gens à jouer leur argent et à consommer de la
drogue, et crée ainsi des populations en situation de dépendance. La jeunesse ne
décolle pas des écrans tactiles et les jeux vidéo sont remplis de violence, de
pornographie et d’abominations.

e. La corruption de tous les types de profession


Les divinités sont à l’origine des différentes professions de la société humaine, qui
permettent aux hommes de garder en mémoire le monde divin, et par leur travail ils
maintiennent le lien qui les y unit. Le démon ne peut pas tolérer cela.

Le diable a envoyé toute une quantité de démons investir les professions


traditionnelles pour les saper de l’intérieur. Au nom de l’innovation, ceux qui
recherchent célébrité et argent ont concocté toutes sortes de « créations » déviantes
et ont abreuvé le monde de tendances et de courants excentriques et dégénérés.

Lorsque les gens s’éloignent de la volonté des divinités, alors ils perdent de vue le
vrai but de la vie humaine. Finalement, ils tomberont aux mains du mal et seront
détruits.

3. Démanteler la société
Le communisme tire son mode d’organisation et ses idéologies des gangs mafieux
et des sectes. À l’Est, les représentants du communisme sont les chefs du Parti,
Vladimir Lénine, Joseph Staline, Mao Zedong, Jiang Zemin et ceux qui ont suivi.
À l’Ouest, la situation est plus complexe : le démon a sélectionné des gens parmi
les élites gouvernementales, économiques, académiques ou religieuses par
exemple, pour qu’ils mettent en pratique ses projets de saper la société.

a. L'érosion de l’Église
Alors que les églises étaient autrefois vertueuses, de nos jours elles ont été
contaminées par la religion séculaire qu’est le socialisme. Les représentants du
diable au sein de l’Église altèrent l’enseignement traditionnel et vont même jusqu’à
modifier les textes sacrés. Ils ont créé la « théorie de la libération » pour répandre
dans la foi intègre les idées marxistes et la lutte des classes, et ils ont propagé la
perversion morale dans le clergé. À cause de cela, beaucoup de croyants ont
abandonné l’espoir qu’ils avaient en l’Église, et ont abandonné la foi en un Dieu
salvateur.

b. La désintégration de la famille
Les divinités ont créé la famille, l’État et l’Église pour qu’ils soient des points
d’ancrage de la civilisation humaine. La famille est un bastion important de la
moralité et de la tradition et sert de conduit de transmission culturelle entre les
générations.

Le diable s’attaque à la famille traditionnelle et à la différenciation des sexes en


utilisant le féminisme, en dénonçant le patriarcat, en encourageant la libération
sexuelle et la légalisation de l’homosexualité, le concubinage, l’adultère, le divorce
et l’avortement. Détruire la famille est essentiel dans le projet du démon
d’éradiquer l’humanité.

c. Le totalitarisme dans les pays de l’Est


Saisissant l’opportunité d’une Russie affaiblie au sortir de la Première Guerre
mondiale, le démon a incité à la révolution et au reversement du Tsar, ensuite il a
lancé la révolution d’Octobre pour s’emparer du pouvoir. Il en a résulté la création
de l’Union soviétique, premier régime communiste au monde. L’Internationale
communiste participait de cette volonté d’étendre la révolution au reste du monde.

De 1919 à 1921, des partis communistes ont vu le jour aux États-Unis et en Chine,
chacun tirant ses instructions de la Russie soviétique. C’est avec le soutien de
l’URSS, et en tirant profit des ravages occasionnés par la Deuxième Guerre
mondiale, que le Parti communiste chinois s’est emparé de la Chine, avec traîtrise
et violence.
Peu de temps après leur accès au pouvoir, les partis communistes soviétique et
chinois massacrèrent des dizaines de millions de gens, leur propre peuple, en temps
de paix. Le Parti communiste chinois a continué sur sa trajectoire révolutionnaire
en instaurant la « dictature du prolétariat » et a lancé un mouvement jusqu’alors
jamais vu, la Révolution culturelle, véritable guerre contre ce que la civilisation
humaine a de plus poussé, en s’attaquant à 5000 ans de culture traditionnelle
chinoise.

À partir des années 1980, le Parti introduit des réformes économiques pour
échapper à la banqueroute, mais la sphère politique est toujours restée sous la
coupe d’un contrôle totalitaire strict. À ce jour, le Parti maintient sa main de fer sur
le pouvoir en lançant des campagnes de répression, comme les arrestations des
défenseurs de la démocratie et la persécution du Falun Gong.

d. L’infiltration à l’Ouest
Que ce soient la Cour impériale de Chine, les monarchies de droit divin en
Occident, ou le système des « freins et contrepoids » du système démocratique
américain, tous ont été établis par les divinités selon les spécificités des cultures et
des environnements. Parce qu’il ne parvenait à prendre le pouvoir par la révolution
à l’Ouest, le démon a eu recours à la subversion idéologique pour établir et exercer
son contrôle. Si ce n’est l’absence de révolution violente, les pays occidentaux ont
massivement adopté nombre de caractéristiques du système communiste.

e. La perversion de la loi
La loi tire son origine d’un commandement divin et se base sur la moralité. En
redéfinissant les concepts de moralité et de liberté, le diable a influencé la
formulation et l’interprétation des lois. Dans les pays communistes de l’Est, le
diable interprète la loi comme bon lui semble.

En Occident, c’est en déformant les lois, en les détournant et en les modifiant qu’il
redéfinit les actions humaines en même temps qu’il extirpe les notions de bien et
de mal. Il protège les vices comme le meurtre, l’adultère et l’homosexualité, alors
qu’il punit les gens qui se comportent avec droiture.

f. La manipulation de la finance
L’abolition de l’étalon-or pour un système monétaire fluctuant aura eu pour
conséquence des crises économiques à répétition. La sagesse traditionnelle qui
enjoignait à une gestion des finances dans la durée ne rencontre plus d’écho, et
gouvernements comme individus baignent dans une culture de surconsommation et
de dépenses excessives. La souveraineté nationale d’un pays est affaiblie par la
dette de son gouvernement, et les gens sont constamment encouragés à emprunter
toujours plus d’argent aux banques et aux États.

g. Le gouvernement mondial
Le diable a manipulé la mondialisation de façon à ce qu’elle promeuve un
gouvernement mondial qui empiète sur les droits des États souverains. D’un côté, il
a œuvré à l’avènement utopiste d’organisations internationales et pour des slogans
comme la Ligue des Nations, les Nations Unies, « l’intégration au niveau régional
» ou « le gouvernement mondial ».

Mais d’autre part, il menace les chefs de file ou les pays qui ne suivraient pas ses
directives. Il spolie les peuples de la paix et de la sécurité qui leur reviennent, en
fabriquant de toutes pièces des guerres et des conflits sociaux. Son but est de
mettre la planète entière sous le joug d’un seul hyper-gouvernement totalitaire qui
imposerait un contrôle administratif et idéologique serré ainsi qu’un contrôle des
populations à l’échelle planétaire.

4. Susciter des conflits sociaux et fabriquer des émeutes


Pour renverser la société humaine traditionnelle, le diable a poussé à l’immigration
de masse, aux conflits sociaux et aux soulèvements dans la société, dans des
proportions élevées. Ce phénomène impressionnant est en cours depuis plusieurs
siècles.

a. Les guerres
La guerre est l’un des outils les plus efficaces du diable, dans le sens où les guerres
détruisent les équilibres internationaux, détruisent des bastions entiers de la
tradition et accélèrent le développement de l’idéologie démoniaque. De
nombreuses guerres ont été menées sous l’impulsion du démon. Il a saisi
l’opportunité de la Première Guerre mondiale pour renverser plusieurs empires
européens, notamment la Russie tsariste qui a ouvert la voie à la révolution
bolchévique.

La Deuxième Guerre mondiale a, elle, apporté les conditions nécessaires à la prise


de pouvoir du Parti communiste en Chine et à l’invasion par l’URSS de l’Europe
de l’Est, et c’est ainsi que le camp socialiste de l’après-guerre a pu se former.

Cette guerre aura également amené le désordre de la décolonisation, exploitée par


les régimes soviétique et chinois, afin d’en faire un tremplin pour un mouvement
communiste mondial. Les « mouvements de libération nationale » ont ancré de
nombreux pays d’Asie, d’Afrique et d’Amérique latine dans le camp socialiste.

b. Les révolutions
S’emparer du pouvoir politique est le meilleur moyen qu’a le diable de détruire les
êtres humains, et c’est donc l’option qu’il préfère. Tirant les leçons de la Commune
de Paris, Karl Marx a expliqué que la classe ouvrière doit viser le renversement de
l’appareil d’État existant pour le remplacer par son propre État. Le pouvoir est
toujours au cœur de la théorie politique marxiste.

La mise en place de révolutions se décompose de la façon suivante :

1. Susciter la haine et la discorde parmi les gens

2. Tromper les gens en leur disant des mensonges, puis établir un « front
révolutionnaire uni »

3. Vaincre les forces de résistance les unes après les autres

4. Propager la violence pour créer un sentiment de terreur et de chaos

5. Lancer un coup d’État

6. Réprimer les « réactionnaires »

7. Mettre en place un nouvel ordre et s’assurer de sa pérennité en propageant un


terrorisme révolutionnaire
Les pays communistes ont essayé de lancer une révolution mondiale par le biais de
l’Internationale communiste, en exportant l’activisme révolutionnaire, et en
suscitant des mouvements sociaux dans les pays non-communistes. Ainsi ils ont
soutenu les partis de gauche de ces pays.

c. Les crises économiques


On peut créer et utiliser des crises économiques pour encourager les révolutions ou
pour présenter les mouvements socialistes comme des opportunités de salut. Quand
les hommes politiques des pays démocratiques recherchent désespérément des
solutions, ils signent des pactes faustiens et dirigent graduellement leurs pays vers
plus de gouvernement et plus d’imposition à caractère socialiste. Comme le dit
Saul Alinsky dans son Manuel pragmatique pour radicaux réalistes (Rules for
Radicals), « la vraie action repose dans la réaction de l’ennemi ».
Le krach boursier des années 1930 signale le début pour les États-Unis et l’Europe
d’un engagement en faveur d’un type de gouvernement interventionniste au niveau
social. De même, la crise financière de 2008 aura accéléré le basculement vers des
politiques de gauche.

d. Couper l’homme de ses racines et des traditions


Depuis l’Antiquité, les hommes ont connu des mouvements migratoires.
Cependant, les déplacements de population à grande échelle au niveau national ou
international tels qu’on les voit de nos jours relèvent de la manipulation
intentionnelle du démon. L’immigration de masse dissout les identités nationales,
les frontières, les souverainetés, les traditions culturelles et la cohésion sociale.

Au fur et à mesure que des pans entiers de gens sont enlevés à leurs identités
traditionnelles, il devient plus facile de les absorber dans le courant de la
modernité. Il n’est pas simple pour un immigrant de s’acclimater à un
environnement nouveau et d’y trouver un moyen de subvenir à ses besoins, et il est
encore moins facile de participer efficacement à la vie politique et aux traditions
culturelles des pays qui les accueillent.
Les nouveaux arrivants sont un vivier facile pour les partis de gauche qui cherchent
des gens prêts à voter pour eux. Et pendant ce temps, l’immigration crée les
conditions propices aux animosités raciales ou religieuses.

e. Le détournement des mouvements sociaux


Le spectre maléfique du communisme fait feu des courants sociaux pour
enflammer les passions, envenimer les conflits, et mobiliser un maximum de gens
prêts à déstabiliser la société, matraquer leurs opposants politiques, imposer leur
discours et se présenter comme les tenants d’une supériorité morale. On trouve des
exemples de ce type dans les mouvements anti-guerre, dans l’écologie et bien
d’autres mouvements propres à l’Occident.

f. Le terrorisme
Les révolutions communistes sont arrivées à leurs fins par des actes de terrorisme,
et les régimes communistes mènent des politiques de terrorisme d’État. Les
communistes soviétiques et chinois ont vu dans les groupes terroristes des forces
de combat contre le monde libre. La majorité des mouvements terroristes
s’inspirent du modèle d’organisation léniniste. Le diable exploite les divisions et
permet aux colères individuelles de se regrouper en une haine collective.

Le caractère irrationnel des attaques terroristes visant des innocents crée un


sentiment d’impuissance qui touche à l’absurde. Exposés à tant d’actes de violence
gratuite, les gens finissent par devenir plus antisociaux, plus déprimés et
dépressifs, plus maladivement inquiets et plus cyniques. Tout cela contribue à
nuire à l’ordre public et à fragmenter la société, et ainsi rendre la tâche plus simple
pour le démon.

5. Diviser pour régner


Le démon manipule les gens selon les motivations et caractéristiques propres à
chacun. Il peut faire qu’ils soient assassinés ou qu’ils soient achetés, ou il peut les
endoctriner comme des pions de sa révolution et de sa rébellion.

a. Éliminer toute dissension


Certaines personnes sont plus perspicaces que d’autres. Certains sont plus proches
du divin, ont une bonne qualité d’éveil et ne sont pas dupes des agissements du
diable. En Chine en particulier, de par son histoire longue et riche, il n’est pas
simple de convaincre les gens de se laisser tromper.

Le Parti communiste chinois a dû lancer des campagnes politiques répétées pour


parvenir à massacrer des dizaines de millions de gens et pour mettre à terre l’ordre
culturel en assassinant les élites qui servaient de gardiens de la culture
traditionnelle chinoise.

Que ce soit en Chine ou en Occident, le démon n’hésite pas à liquider


physiquement les membres de la société qui voient clair dans son jeu et qui ont le
courage de parler et de résister. Pour ce faire, il arrange des campagnes politiques,
des persécutions religieuses, des procès publics et des assassinats.

b. Récupérer les élites


Le démon ramène à lui les élites de toute nation et de toute sphère d’activité. Pour
ce faire, il satisfait leurs intérêts propres et leur accorde un degré de pouvoir
proportionnel à ce qu’ils peuvent faire pour lui. Ceux qui recherchent la célébrité et
l’influence recevront du diable la réputation et l’autorité. Pour les amoureux de
l’argent, il permettra qu’ils fassent des profits. Il fait grossir l’ego de l’arrogant et
laisse l’ignorant satisfait. Les gens qui ont certains talents vont être tentés par la
science, le matérialisme et un accès illimité à la liberté d’expression.

Les individus qui ont beaucoup d’ambition et de bonnes intentions voient leurs
idéaux transformés en glorification de soi, ils ressentent la douceur d’être
présidents, Premiers ministres, intellectuels reconnus, politologues,
administrateurs, banquiers influents, professeurs d’université, experts, lauréats du
Prix Nobel, etc., avec un statut social sans égal, de l’influence sur les directions
politiques et des fortunes immenses. Une fois en place, ces personnalités de renom
sont récupérées chacune selon ses spécificités. Quand le diable fait les comptes,
tous ces gens ne sont que des agents ignorants et des idiots utiles.

c. Rendre les masses ignorantes


Le diable manipule les connaissances du public en recourant à des histoires
fausses, en trompant les gens avec son système éducatif biaisé et en contrôlant les
médias grand public. Il utilise sans vergogne l’impression de confort qu’ont les
gens ainsi que l’industrie qui propose des divertissements sans intérêt et il
s’arrange pour qu’ils ne voient pas plus loin que ce qui les concerne de façon
immédiate, qu’ils ne s’intéressent qu’aux divertissements vulgaires, aux sports de
compétition, aux ragots sur les réseaux sociaux, et qu’ils se laissent aller à leurs
penchants érotiques et charnels. En même temps, il ne vise que les instincts
collectifs les plus bas et il prive les électeurs de leur vigilance et de leur jugement
et ainsi il s’approprie l’électorat.

Dans les pays totalitaires communistes, le peuple n’est jamais autorisé à se


prononcer sur la politique. Dans les pays démocratiques, ceux qui veulent œuvrer
au bien commun sont monopolisés par des questions sans importance comme le
droit des transsexuels, rappelant ainsi le célèbre stratagème de l’histoire militaire
de la Chine antique : « Cacher la route que l’on emprunte, mais se montrer au
grand jour quand on répare le pont. » Des informations virales, du sensationnel, et
même des attaques terroristes et des guerres, tout cela est arrangé pour masquer les
intentions véritables du démon.

Le public est incité à se définir en accord avec les codes du modernisme et il est
appelé à noyer dans sa masse la minorité de gens qui s’attachent encore à la
tradition. Les intellectuels émettent de lourdes critiques sur les folklores
traditionnels des différents pays de la planète, suscitant ainsi des préjugés bornés
de la part du public peu éduqué. Les concepts de créativité et d’indépendance
intellectuelle sont détournés afin de monter la jeunesse contre l’autorité, et les
empêchent d’intégrer le savoir et la sagesse des cultures traditionnelles.

d. Fabriquer des émeutiers de toutes pièces


Dans les pays communistes, après les massacres des représentants de la culture
traditionnelle, le diable a poussé la population dans une révolution. Après la prise
de pouvoir du Parti communiste en Chine, il aura fallu une génération pour faire
grandir les « louveteaux ». On les a encouragés à se battre, à détruire, voler et
incendier tout sur leur passage.

Pendant la Révolution culturelle, des adolescentes ont sans scrupules battu leurs
professeurs à mort. L’armée des petites mains qui pullulent sur internet, actives sur
plusieurs réseaux sociaux chinois, appelle sans cesse au combat et à la tuerie avec
des messages qui typiquement disent : « récupérer les îles Diaoyu, même si la
population entière doit en mourir » ou bien « que la Chine soit recouverte de
cimetières plutôt qu’échouer à exterminer jusqu’au dernier des Japonais ». Leur
sentiment assassin est activement encouragé par le Parti communiste chinois.

En Occident, le Parti communiste regarde fièrement vers la Révolution française et


la Commune de Paris. Chaque révolution et chaque insurrection a eu son groupe
d’émeutiers sans scrupules ni remords ni compassion.

e. Hâter le renouvellement des générations


Le diable s’est arrangé pour que les anciennes générations soient marginalisées et
mises en retrait de la société à un rythme accéléré. Alors que les jeunes reçoivent
de plus en plus de droits, de pouvoir politique et de privilèges, les plus anciens
perdent leur statut d’autorité et de prestige, précipitant encore davantage la coupure
entre l’humanité et la tradition.

La littérature contemporaine, les arts et la culture populaire, tous doivent suivre les
goûts et les valeurs des jeunes, qui eux-mêmes subissent et suivent la pression des
dernières modes de peur d’être ostracisés par les autres. Les progrès rapides dans le
domaine de la technologie et de la science font que les personnes âgées ne
parviennent pas à suivre et à s’adapter aux énormes changements sociaux qui en
découlent.

La transformation des zones urbaines et rurales et l’immigration de masse,


participent de concert à couper les personnes âgées du monde et à les déraciner du
présent. Le tourment et l’impuissance de leur solitude sont exacerbés par la réalité
de la vie moderne, alors que les jeunes gens sont dans un rapport constant de
compétition qui leur laisse peu de temps pour leurs parents et pour les personnes
âgées de leur famille.

f. Fragmenter la société
Dans la société humaine traditionnelle, les gens s’aident les uns les autres. Quand il
y a des conflits, ils ont la religion, la moralité, les lois et les coutumes pour leur
permettre de les résoudre plus efficacement et de coopérer davantage.
Le diable ne peut pas provoquer l’effondrement de cette société organisée en peu
de temps. Il lui faut d’abord fragmenter la société en de petites unités atomisées,
détruire la confiance réciproque des individus et faire d’eux des étrangers les uns
pour les autres. C’est un moyen efficace du démon pour s’attaquer à l’humanité
élément après élément.

Le diable se sert de toutes sortes de critères pour diviser la société en groupes


divergents et instiller la haine et la lutte chez les gens. Les classes sociales, les
sexes, les ethnies ou les dénominations religieuses peuvent être un terreau propice
à la division.

Il amplifie l’animosité entre les bourgeois et les prolétaires, entre les dirigeants et
les dirigés, les progressistes et les « régressistes », les réformateurs et les
conservateurs – et tout ceci alors que le pouvoir du gouvernement prend
immanquablement de l’ampleur. Un individu isolé et atomisé n’a tout simplement
plus aucune chance de résister à un gouvernement totalitaire quand celui-ci
contrôle l’intégralité des ressources de la société.

6. La dissimulation et les tactiques de défense


Tout comme un criminel cherche à détruire les preuves de ses méfaits, le diable fait
son maximum pour se dissimuler. L’ampleur de sa tromperie est difficile à
percevoir.

a. Une conspiration au grand jour


Le démon mène ses projets les plus pharaoniques en plein jour tout en les décrivant
comme des projets sensés, raisonnables et conformes à la loi. Une personne
normale ne peut pas comprendre ni même imaginer l’existence d’un complot aussi
généralisé et malfaisant. Même lorsqu’on essaye de présenter le complot du diable
aux autres, ils ne peuvent que difficilement l’accepter. De plus, le démon utilise
toute une panoplie de moyens qui lui permettent de révéler lui-même certains
aspects de ses projets, semant ainsi aussi bien la suspicion, que la peur et la
confusion chez les gens.

b. Le camouflage des actions menées


Au cours de la guerre froide, le monde était divisé entre deux camps militaires et
politiques. Cependant, alors que leurs systèmes sociaux donnaient l’impression
d’être diamétralement opposés, un même processus démoniaque était à la
manœuvre de chaque côté, mais sous des formes différentes.

Beaucoup de communistes révisionnistes à l’occidentale, mais aussi des socialistes,


des Fabiens, des réformistes et des progressistes ont publiquement rejeté les
modèles soviétiques et chinois, mais leurs efforts ont entraîné la société vers des
structures assez semblables à celles en place en URSS ou en Chine. Pour le dire
clairement, le démon a utilisé le totalitarisme de l’Est pour mieux dissimuler son
infiltration de l’Ouest et faire diversion.

c. Diaboliser l’opposition
Ceux qui osent dénoncer le diable sont traités de conspirateurs, d’extrémistes,
d’extrême-droite, de droite dure, de sexistes, de racistes, de va-t’en-guerre,
d’intolérants, de nazis, de fascistes, et de tout autre terme insultant qui permettra de
les isoler et de les marginaliser dans les cercles intellectuels ou dans la société de
façon générale. Ainsi rejetés, ridiculisés et objets des peurs, leurs idées ne sont pas
entendues et leur présence n’a pas d’impact.

d. Détourner l’attention
Le diable encourage les gens à mépriser ou à faire preuve de suspicion à l’encontre
de certaines ethnies, certains groupes ou certains individus, et détourne ainsi
l’attention de ses projets maléfiques.

e. Capter l’attention de la majorité


Tout le monde n’est pas dupe des ruses du diable. Il y aura toujours des gens
suffisamment intelligents et perceptifs pour voir les secrets du diable. Mais le
diable est déjà parvenu à placer la majorité des gens sous son influence et il se sert
d’eux comme d’une couverture.

Le peu de gens qui voient le diable pour ce qu’il est sont comme des gens seuls
dans un désert inhabité : il n’y a personne pour répondre à leurs appels et ils
attendent qu’advienne leur dernière heure.
Tous les moyens utilisés par le diable pour détruire les gens sont sans fin et
toujours changeants. Les stratégies qui ont été présentées ici de façon générale
recevront une étude plus poussée dans les chapitres qui suivent.

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