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Qua voue eac:hlaz ou non Ce lM&,.. . . . •fPaiU qui Hors de notre aapRa at L'81Mur d6vola dana ca
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* SCIENCES DE L' EXTRA- ORDINAIRE
STARGATE
Editorial 3 ENIGMES Dl! LA TERRE
Les tours de Watt
LES ENIGMES Dl! L' HISTOIRE À Los Anl(elea 17 atructures en
Un regard dans le temps acier datant des années cinquante
et mesurant 30 mètres de haut
Une machine pour voyacer dans nous reportent 6 la vie mystérieuse
le passé, construite et mlae de leur constructeur et au pourquoi
â l'essai. (1ère partie) de ces constructions.
par Peret Kmssa 4 pat Alessandto Torrnes1 38
DOSSIER COUVERTURE
Les crop circles et ~ .
ENQUÊTE
Et1ons-nous seuls
le TZOLKIN sur la lune?
Une erreur êtrance de l'ordinateur Les enrel(lstrementa audio des
continuait d'Indiquer le conversatk>nl entre la navette
21 septembre 2012
par Alessan<Jro Turatto 10 spatiale Américaine et le contrôle
mission de Houston le
confirmeraient •••
ENQUÊTE pat Carlo Sltbltdm 42
Le contrôle
ENQUÊTE DÉCHETS RADIO.ACTIFS
technologique
Le marché du nucléaire
des existences Nous avons été entourés d'un linceul
Le pasM, le prêaent et le futur peuvent et d' une atmoaph6re de secret.
être sondêa 6 travera les données
génétiques.
par \llllCCM) Plt>ttlll 50
par ChnstofotO &ttt>IJro
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20 AUTRE SCIENCE TODESCHINI
TECNOLOGIE SPAnALE Le savant oublié
Plus vite que la lumière Plusieurs chercheurs ont rév61ê des
analol(les entre les études, dês<>m>als
Les hypot.....,s qui rendraient
cohérentes lea r6v61atlona de
oubliées de Todeschlnl. 54
par Carlo SablKI•n
Bob t.azar, aavant de la zone 51.
par Alessandro Torlncsl 24 NOUVELLE UFOLOGIE
OPINION La nuit obscure
Les bébés du de la science
3•m• millénaire : Et si une nuit, reprdant le ciel,
ja devala découvrir quelque chose
qui sont-ils? d 'Insolite, de •non Identifiable" ?
'
Jl vos pL~mes, pd$Stonnés de
L'extl'tl-o-rd indi-re,
no~s tdtendons vos photos
et histoi-res étonntlntes_
2 - O(Cl- 2003
Il est aujourd'hui
une évidence...
e Monde est en pleine mut:uion et vit actuellement des moments
L plus fa mastiques les uns que les autres. ll y a bien sûr des guerres
sans fondements, des auemats multiples, des violeurs en séries et
des marchand~ de r~ves.
Le climat lui m'me ne sait plus Olt il en est cr, d'étés meurtriers en
hivers a....~a.çsins, de fome de glaciers en montée des caux, nous ne savons
plus où regarder...
Mais que re~:,,..rdons-nous au juste ? Ne tournons-nous pas la tête dans
la seule direction que nous indiquem ceux qui nous di ripent?
Pendant que nous pleurons nos morts, agissons sous 1 emprise de la
colère et crions à l'itljusrice, le monde change. En tournant juste un
peu la rête, nous pourrions percevoir des enfdnt.\ de Lumière qui regar-
dent les humains s'auro-dérrui rc sans co mprendre, des savams er des
chercheurs qui continuem à croire en l'Impossible cr, des ~hénomènes
dits "myMérieux" qui reis des clins d'oeil nous proposent 1espoir.
Sur la revue Belge bien informée "Agenda plus" nous pouvons lire :
"Pendant qu'à Tokyo , on parle des civilisations extra-terrestres aux
in fos de 20h ... ce sujet reste encore tabou dans la plupart des pays d'Eu-
rope... Des budgets colossaux sont alloué~ depuis la seconde guerre
mondiale pour discréditer rour constat ct faire disparaître toute rrace
concernant les Ovnis er autres E.T. "
Ainsi, pendant qu'une parrie de la population se demande encore si une
civilisation peut exister en dehors de notre bonne planète, des contacts
"'officieux entre nos officiels et des races cxtranécnn~"'~c tiennent sous
toutes les latitudes.
Ceux que J'on nomme "les Grand~" de cc monde ct qui ne le sonr que
pa.r le pouvoir que nous leur accordons, ~ont depuis longtemps en
contact r~ulier avec les "aliénigèncs".
Les mut•uons observées au niveau des struCtures de l'ADN humain,
animal ct végétal, l'augmentation du pouls de 1• Terre ct toutes les
découvertes qui sortent de l'ordinaire cr lais.'lent entrevoir d'immenses
possibilités som volontairement cachée.~ au grand public ou discrédi-
lées. Pouvoir er Espoir marchent rarement main dans la main er l'igno-
rance er la peur som les sceptres d'un pouvoir qui ne laisse aucune place
à la Connaissance, source de J.ibcrré. Pour qu'aujourd'hui le fossé encre
ceux qui savent ct ceux qui doivem er veulent
~ savoir se comble peu à peu, l'équipe de Srargare
vou~ /roposc une autre information er un autre
regar sur la Vie.
Afin que chacun retrouve son autonomie ct sache
que tour est possible, afin que l'espoir nous anime,
nous vous offrons, comme dans la revue Nexus, des
articles qui ne sont soumis ni à la reconnaissa nce
des "officiels" ni aux publicités.
Pour les apprécier pleinement nous vous
conseill ons simplement d'ouvrir une porte à rous
M•go,;ne l"'"en•;re les possibles cr de vous di re en les lisant: "Er si
*
après rour, c'éra ir Vrai ?"
L a version originale du récit Je plus fumeux de J'écri- Palestine ne correspondaient pas à la vérité. Il n'existait aucune
vain anglais H. <.;.Wells, déjà publiée en 1888 sous Véronique qui aV;Iit soulagé le Chrisc en esmyam la sueur de son
Je titre The Cronic ArgonautS dans la revue The front. Et J'homme appelé Simon, écarté par le.< snldaL< romains de
Science School's Journal, parut sept ans plus tard à Londres, sous la masse des spectateurs, n'était point disposé à aider Jé<us de plein
forme de livre intitulé Timc Machine (La machine à voyager dan> gré; on a dCt lui forcer la main.
le remps). En 1905, l'ouvrage fut traduit en allemand, ct l'intérêt Un silence presque sacré s'abattit dans la pièce oit l'appareil, plutôt
qu'il suscita dans le monde de la cinématographie fut considérable. étrange er gigantesque. fonctionnait. Le groupe avait suivi Jes é:vé-
Mais personne, ct surtout aucun savant à l'époque. ne pensa que le nements avec le souffle coupé. Seul un homme, parmi les présents,
voyage à travers le temps pouvait, un jour ou l'autre, devenir J'objet ne parvenait pas à réprimer un léger sourire qui sc dessinait sur son
d'une discussion. L'histoire fictive de H. <.;, Wells était considérée visage. l'our lui, les minutes qui s'écoulaient é<aient comme le plus
comme pure fantaisie, sans aucune pcrspccrivc de réalisation. grand triomphe de sa vie. Cet homme-là paraissait différent des
Aujourd'hui cependant, la situadon semble avoir manifestement autres, tant par sa tenue que par la profession qu'il exerçait. Le
changé. bénédictin Alfredo Pellegrino Ernerci n'é-
Le physicien ct mathématicien de génie, tair pas seulement moine. La même pas-
Srcvcn W. Hawkins, s't)t dit convaincu de sion, dè.o; son jeune âge, l'avait accompagné
la possibilité d'effectuer """ voyages à tra- dans le domaine de la recherche sur la
vers le temps, cc qui nous permenra.it musique ancienne. En effet, plus tard il
bientôt de visiter noue pass~. L'important avait insrallé, avec l'aucorisacion des auto-
c'c.~t de réussir à construire une machine rités ecclésiastiques supérieures, à l'inté-
spéciale ct puissante qui nou:> permette - rieur du doîuc de son O rdre -situé sur la
grâce à l'utilisation d'une quanlilé con- petite î]e vénitienne Saint GeOrge - le
sid<'rable d'énergie - de dépasser la vitesse Conservatoire de Musique '"Benedetto
de la lumière. Ce n'est que de cene maniè- Marcello".
re que nous pourrons "vaincre" le temps, Dans le même conservatoire se trouvaient
en nous assurant la possibilité d'aller dans également le< pièces du Laboratoire, dans
n'importe quelle direction, et œrce loi lequel le frère - avec quelques-uns parmi les
physique existe, selon Hawkins, mais elle plus grands expertS -avait lancé, à l'insu de
est particulièrement complexe. "]Oute la presse ct du public, une série d' expérien-
th<'oric est grise", dit le poète - parce qu'il ces physiques et pataphysiques réalisées au
semble que la machine à voyager dans le moyen d'un appareil très sophistiqué.
:c':"ps ait déjà été cottstruite et même mise Dans un seul but: effectuer un saur tem.-
a 1essat. porel dans un passé lointain.
Une fois terminés les uavaux préliminaires
L'EFFET JfSUS relatifs à la construction de la machine
Stupéf.Uts et ahuris, les savams fixaient J'é.. gigantesque, il aurait été possible de prou-
cran gigantesque qui F..isait partie d'un ver mainœnant que l'on pouvait franchir le
appareil à l'aspect monstrueux, vu sa com- seuil du temps en revenant 2000 ans en
plexité. Bien qu'ils eussem pan icipé à la arrière. A l'appareil insolite on avait dollllé,
consum.:tion de Ja machine, maintenant à J'unanimité, le nom proposé par le père
chacun d'eux semblait avoir besoin de Ernmi lui-même: CHRONOVISEUR.
quelques minutes pour se reprendre, pour A la différence de la machine conçue par
comprendre que, dans la réalité de leur conscience, chaque scène H. G. Wells- à laquelle J'écrivain doir son immot·ralité d'auteur de
sur l'écran n'étaie pa.o; un produit imaginaire mais une réalité tridi- science-fiction - celle du père F.rnecri pos.<édait la qualité de
rnensionnelle. "'Visualiseur du temps". Le frère bénédicrin avait eu cene idée à ua-
Ce qu'ils voyaient avait déjà cu vraiment lieu il y a dctLx miJlc an.s. vctS une série de circonstances dues au hasard.
Essouffiés, les saV;~ntS observaient la marche de Jésus-Christ ver.; Je Ayant fait la connaissance d'un professeur de musique de Jcsi,
lieu de son exécurion, sur le Golgotha. C 'était le vrai Jésus qui Giuseppe Marasca, avec lequel il partageait la même passion pour
avançait sur J'éc.ran, cr sur ses épaules on avait chargé Ja poutre la musique, il appric J'exisrence d'une œuvre d'opéra ancienne et
horizontale de la croix; .ses ch~ûnes aussi étajem vra.ies. et elles incomplète du poète Ennius CaJabcr, donr il restait t!nviron 25
entravaient sa marche, car elles avaiem été soudées ô celles des deux ligne.< et quelques références atLx écrilli de Cicéron, de Probus et de
hommes condamnés~ mon pour les crimes qu'ils avaienr cornmis. Nonius.
Pour la première fois, des bommes du XXe siècle étaient témoins Le chercheur musical qu'était le père Ernctti entra en action et,
ocu]aircs ct audiùfs (l'iŒ>tallatiou fonctionnait aussi au niveau avec son an'li Mara~ca, il pai"\'Înt à reconstruire la première mise en
sonore) de cet événement qui, après des siècles, est encore à la base scène de la rragédie..opéra, intitulée "T hye.stcs", un titre que son
d'un mouvement religieux: le C hrislianisme....-:..ce n'esr que mai n~ ameur lui ..même lui avait donné. Sa rcprésenmtion fut aussi la der-
ten~tnt que les témoins se rendirenc compte que certaines choses nière, car l'o:uvrc aurait pris pour cible - et rouché- le système
menrionnées dans les Évangilc.o; cr sc rattachant aux faits de la nerveux du Sénat de: Rome, en sorre que d' aurres représentations
AVEC L'AUTORISATION
DU VATICAN
A partir de œ moment-là, le père Ernerri
fUr obsédé par l'idé<:. de retrouver les mor-
ccau.x pcrdus de cene œuvre, afin de hl ren-
dre accessible à l'étude de l'hisroire
musicale. Lorsque l'idée de construire un
Chronoviseur fur réalisée, le moine héné..
diclin ' 'Îl la possibiliré de se meme sur les
traces du "Tbyestes" égaré.
Mar.tSca r<Sta fidèle et garda le silence sur œ
trésor p~nda.nt de long'-' es an nées, en gar-
dant jalousemenr chez lui la vidéoca~serre er
le livrer de nores, transcrit par le rcligieu.x
avec le texte en ]adn ancien.
Ce n'esr q ue hien plus rnrd, lorsque des
rumeurs comrnencèrenr à courir, évcillam
la cu riosiré de quelques journalisres de la
presse populaire - ~i insistants qu'ils par..
vinrenr à faire parler le professeur - que DÈS LA FIN DU XIXE SIÈCLE,
1' accion de pionnier du moine bén6dit:tin
véniden devine de nomriété publique. Mais GUIGLELMO MARCONI, INSOUCIANT
q u'érajt.-ce cour cela par rapport au coup de
DE SA CÉLÉBRITÉ DE SAVANT,
rnaître du Chronoviscur qui permettait,
justemem, de visualiser le chemin de croix AURAIT ENTREPRIS - SELON
de Jésus-Chrisr' Selon les savanrs physi-
ciens, il s'agissait d 'un progrès crès impor- L'ARCHEVÊQUE SQUICCIARINI -
rant. Mais d'aprè:s le rbrologien Ernerri, il
LES PREMIÈRES TENTATIVES
s'agissait d 'une tonfirmation: démonstra-
tion de facco de la vérité de la foi, abstrac- D'ENTRER EN CONTACT AVEC LE
tion fai re de certains petits détails erronés.
MONDE DES MORTS, UTILISANT
Il existe une personne q ui conn aît be-.tu-
coup plus de détails que d'au tres intéress<!s
L'ÉLECTRONIQUE ET LA
au suje.r de. l'expérience réalisée derrière les COMMUNICATION SANS AL.
murs d u doîrre Saint Georges à Venise.
Cerre personne enseigne la théologie à la
Sorbonne de Paris. Pendanr de longues à jerer le discrédit sur les autorités spiri-
années, le père François Brune fur lié d'une ruelles du Vatican. L'occasion m 'e n a étC:
profonde amitié au père Erneui, lequel, donnée lorsque j'ai été reçu en a udience
bien q ue ne confiant ce secret à llei'SOnne par le Nonce apostolique, représencanr
d':nnre, lu i révéla beaucoup de détails sur diplomalique du v:.1rican e n Autriche,
ses (ravaux. I.e père Brune transcrivit sc.~ I'Archevèque Donaro Squicciarini. J'ai cu
entretiens avec son ami F.rnerri, mais il ne le moyen de parler en rêre à rêre avec
publia ses expériences que depuis quelques Ernetti du Chronoviseur, d 'acriv irés s'y
années. lhns ces écrirs, l'auteur françajs mpporrant et d 'audiophonie. Je me rend is
aborde un sujet d ont le père Erneui s'oc- compte que le phénomène de la voix des
cupait constamment avec une grand~ pas- morL~ n'était pa.~ d u cour une thématique
sion. cr qui a trouvé un consensus dont seul Friedrich Jürgcnson s'émit
univoque même aupr~s dcs hauts responsa- occupé.
bles d u Varican, comme il a éré possible de Bien avant 1959, quand le chercheur
le vérifier: la recherche sur la provenam.:e s uédois avai[ déclaré qu'il avait entendu
de voix sur bandes magnéciqucs. la voix de sa mère lui parler de l'Au-delà,
J'ai pu vérifit:r JXrSOnnellement qu' il ne le 17 scprcmbrc 1952, le père Agostino
s'agissait pas d'une simple mmeur rendant Gcmd1i eut un succès précisémenr dans
tonales appartenant sOrement à des épo- Nobel dt physiqut, Georgts Charpak, n 'htsi-
q,.~es loimaines. Ce fur ainsi que le pas à raconur au public qu'il a nurepris
tl!
Chronoviseur, l'appareil qui voit dans le Ms r~durch~s ana./ogurs à ailt>s tÛ 11wn ami
rcmps, commença lcnccmcnc à prendre PrUegrino EnU'tti", a affirmé Brune en révé-
corps. lant la raison de la simple "rc'vc'lation" de
l.orsque son ami Brune lui demanda à son confrère italien, voyageur du temps. Le
qui il fallait attribuer la naissance du t héâtre des événements reproduits sur l'é-
C h ronoviseurt il lui répond it sur un ron cran du Chronoviseur, accompagnés de
diplomadque: "Nou..'i édons plusieurs pcr..- sons, varie entre le connu et 1' inconnu. Il y
sonncs, cc il y avait parmi nous Enrico avait différentes vues de l'antiquité romai-
Fermi ct l' un de ses élèves. puis un prix ne, des scl:nes du marché de Trnj,ln, et
Nobel japonais, un chercheur porrugais ct même l'un des discours les plus f,uneux de
l'experr en technique aérospatiale cr en Cicéron, son premier discours contre
fusées. I'Allernand Wernher von Braun, Cari lina (Q uou.sque [andcm aburere,
paniculièrenlenr inréressé à rouee cerre pro-- Ca[ilina, padenria nostra? - "Ju.c;ques à
blématique". A la question de Brune au quand abuseras-tu de notre patience,
sujet de la capacité de la machine de sc Carilina?"), dans lcqud lc:s d1ercheurs con-
déplacer dans le temps cr de la crédibilité de '
Materent, avec un <:ert~uu '
. elOnnemem,
cc que la reproduction visudJc émit en quelques différences dans la langue P"rlée à
mesure de moncrcr, le père Erncni décrivit répoque par rapport à cc que l'on enseigne
à son ami que, oucrc des parolc.'i de Benito aujourd·hui dans les écoles.
Mussolini ct avant lui de Napoléon !cr, la C 'éraiem les heures qui offraient à Ernetti
documcnr:adon confirmait le vérité des des impressions paniculièrcs: avec ses col-
tmagcs. labora.teurs. il pouvait revivre complète- e père Pellegrino Alfredo Maria
Le père Fra.nçois Brune décrivit minutieu- ment sur l'écran du Chronoviseur. une l Ernetti, moine bénédictin de
l'Abbaye de Saint-Georges-Majeur à
sement cet entretien avec le moine bénédic- petite cr brè~c rrag~ie Mtique, accompa-
tin dans son livre .. En dirce< de r au-ddà'·. gnée de mustque .... Venise, où il mourut en 1994, fut un
..Est-cr qur vous avrz pu rrcotJStruirr ir trxre exorciste célèbre, un savant, un théo-
DES PISTES VERS LE PASSt du "Thym" • d,- Quintus Ennius?'; deman- logien, un spécialiste de musique
L: Chronoviseur entraînait toujours plus da Bnme à Emetti. Celui-c-i acquiesç:l d'un ancienne et un chercheur dans le
loin ce petit groupe de savan ts, en remon- signe de la rêre: ''Nou.s avons vu tt enundtt domaine de la pneumophonie (voix de
tant de plus en p lus le P'SSé rle l'hisroire t.flut k 1exu) ks chœurs ~~ ût tmtsique. Je suis J' esprit), discipline qu'il a découverte
humaine. !lien qu •il ne s'agissait pas d'un m po.sussion du uxu imigrai de am rragt~ lui-même et dont le nom dérive des ter-
véhic1de - comme dans le récit de H. G. dit··. On compl'end que dans la mémoire mes pneuma (esprit) et phono (son).
Wells - à bord duquel on pouvait entre- du frère, c'est le linguiste er le rnusicologue Travaillant à un chant grégorien avec
prendre physiquen,erlt u n voy:lge à travers qui fonr ~urfuce. .. "'c'ttait un~ tfpoqu~ très son collègue, Père Agostino Gemelli,
le cemps, les sava.nLc; de l'île Sai m.-Georges iméwssanrf' .. c'est ainsi qu'Erneni exprime Ernetti enregistra par hasard la voix du
étaiem devenus les témoins oculaires ct son sentiment de chercheur - ''m1r époque père d e celui-ci. Avec u n groupe de
auditifs d'événements h istoriques passés, durant laqurUr /,. fntin, SI!I/S fimpulsion savants fidèles, il se consacra pendant
dont les imagc.s ct les son.s pouvaient être dotmlr park grec. commrnrair li s'éloigner de d es années à des expériences dans le
caprés par le C:hronoviseur. j'ai pttlf•tlrt us formts dialt>cta!t>J et popuiAirrs pour s'affir- doma ine de la physique et de la
d&idi d~ raconur dans l~s moindrts dita ils u mer commt grand~ langue lirrhairf ~ * paraphysique. Ce travaille condu isit à
qu 'Ernnti m'avoir dit, parce qu~ 11orr~ pri'( A suivre... l'invention du fameux Chronoviseur.
millén a1re
Les huile. ossenrielle< <nnt un ami. C.es cadeaux de b.
d'autant plU> utiles qu'elit< nature om éré employés avec
conniruc:nt une défense natu- ~<»< et efficacité dcpui< des
rel!< pu1~.antc contre les bacrf- miU~rW.rcs. dans les ~<!decines
ties, qUI elles, résistent de phu populaires. Pourquoi no pa.< en
en p lu< aux anri-biociquc. de faire tout autant?*
.<ynthè<c. quelquc:lli ccnramcs
La nature po,.,ède en eJTer la d'e<pèccs produisent
capacité de s'adapter aux der- o«e7. d'liE pour per-
nières mutations bactérienne~. mettre une exrracrion
De tOul ltmps, ces merveilles écu no rn i que men r
de l.t nat ure ~ sont avérées nos ''~able. I:ossenœ s'éla-
moillam ;alliés. bore JU ~in de certaines
cellules des plan res aroma-
UN BRIN D'HISTOIRE tiques.
Les tradition> de rous les por< F.n distillant ces
nom apprcnncm que les huiles piJnt« ~ l'aide d'un
essentielle~ onr été utili s~<:s abmbic. o n obrienr
depuis des millénaires, ranc l'c.lll florale, sur laquelle
dano; le domaine de la parfume- noue un liquide consri-
rie que de la rui>ine, la cosmé- ru< de molc'rules volacilc.;
tique, la m~ccine ou même le d'aspect huileux.
culte rdigocux. C'est l'huile csscncicUc.
Les p~ros de la Chine anciquc Anonuon! Il ne s'agir pas
purifiaiem los temples avec de d'une huile grasse au même
l'enceM. Les pharaons d'Égyp- mrc que l'huile de rourn«<>l
rt ucilisa.icnc aussi les huiJeS ou d'oli"·c mais hien une syner..
essentielle> ct les plantes aro- g1e de plusieurs dizaine> de
matique~. pour la cosmérique mol~culcs aromatiquc:s.
ct la médecine. Depuis co
temp<, tous les peuples de la LE MODE D'EMPLOI
M~diterranéc cr du Moyen- 1~< HF. étant par narurc vola-
Orienr om appris à tirer pani oilos, 1> première méthode d'ab·
de ces m~quo cadeaux de <Orpcion p~sc par la voic-
la naru.tt. •<rienne. On peur rép;wdre des
L:histoin: de Marie \ladeleine, milliards de fmes particule<
qui vc"'-1 de l'huile de Nard sur d'liE dans l'aunosphère à l'ai-
les pied> de J6u>, démonrre de d'un diffuseur éhuique ou
l'imporrancc des parfum< /o d'un brûleur. du coude er frorrcr cerre zone
cene époque. Cette HE très Cene rnéthod<: convieru sur- avec le poigner de l'amer: main.
rare eSl ~ncore disponible rom aux huiles de conifère~, de Le pli des coudes er les f>Oigne"
aujourd'hui. romarim;1 de lavandcs,d'euca· <'to.nt trè> vascularisés, l'ai><Orp
lypnn. d'agrumes, cre. tion >e fait plus rapidement.
UNE HUILE ESSENTIELLE, l.a deuxième méthode d'ab- la consommarion par voie
C'EST QUOI ? sorption est la voie curan«. bucc;ale est plus resrroinre. Il
I.e rq;no vcgéw compte plu- CtnJmes huiles convic:nncm '·aut mieux résen-er ct mode
~ieu" cenraincs de milliers d'es- aux massages localisés (Pruchc, d'emploi aux H.F.. is.rues de
~uJemem quarre
pèces. rtl.l.Î$ pin rouge, verge d$or, e-tc); planees aromatiques à usage
mille d'enor< elles ont choisi d'auuQ ~c: prêtent bien ;~u m:l$- culinaire comme l'anis. le
'"le- chemin des arôme.~"', c'est-à· sagc de tOUl le corps (bv:tndc, girofle. la menrhe, le thym ou
dire qu'dies fa briquent des épinette noire, etc.). la cannelle.
huiles mcmielles (HF.). On peut aœ.si '\'t'rser deux ou Nom e n consommons ré-gulië-
De nombre, rrois gouttes d'HE dans le pli remenr dans les bonbons, les
UNE HYPOTHÈSE DE
RECHERCHE RENDAIT LE
CHEMIN ENTREPRIS DE PLUS
D aru les dcmicn jours du mois
d'•oin, alors que la saison dc:s
crop ci rd es ne semblait
~mnJ~Î\ plu.t exprimer- quoi
que ce SOli d'ml~re«:Jnt, après rapparÎIÎOO de
EN PLUS INTÉRESSANT. la "Tête de l'extn-~erre<tre' de Cr•bwood
lOBASl Farm Hou~, deux. pictogrammes apparurent
PEUT·ÈTRE, L'ÈTUDE •
d•m le Wiltshire qui semblaient comenir des
34A élément) pouvanr strvir de point de dépan
COMPARÉE AVEC LE in1ére.,,,uu puur une: :maly,e :•pprofondie. En
effeL, les de1nier~ évènement.< des s:lisons pa.<;-
CALENDRIER MAYA NOUS sécs s'élaicnc ~;ou~nt révélés parciculiè:remem
RAPPROCHAIT-ELLE D'UNE riches en mfonnation.t (comme l.a répon.~
l'année dernière, au rne<.uge d'Arecibo de
CONCLUSION. Chilholton d.tn\ le Hampshire) et même s'il
ne sagi=• pas de crop cirdes particulière-
PEUT-ÈTRE QUE, DANS CE mene extr.~~orduu.ittS. nous avions étt attirés
CAS AUSSI, LES CERCLES pas b pcrf«<On ck kur f.actun, a leur com·
plcxilc..l..;a p~micrc formaôon~ apparue à
DANS LE BLÉ NOUS Bct:klwnp1on le 26 .001 fig.l , <rait compo-
.« ck ckw< pcnr.q;rammes concentriques
INDIQUAIENT LA DIRECTION entour6 de pctia sccrrurs circulaires; candis
que la ..-conde, <il;)lal<'e deux jows aprà à
À PRENDRE... C:rookc:d 5olcy l proximi1~ de Hu ngerford.
.s· 3' (fi~. 2) présentait une carac[érlo;Uque inhahi-
par ALESSANDRO TURATTO,
FABIO SACCOMANI
.
20 A
rudlc, sa partie ce•male éranr fuite d'épis de
blé llOil· plié<.
et VINCENZO PINELLI
• •
FIG . 3
AIW.YSE GEOMETRIQUE picrogr.unmc «•n corn~ de 504 losanga
À l'ocasion de la premiù< analyse nous sombra qui repraenwem la épis de blé
nous <rions apaçus que l'image enlacée à droits ct d'un nombre ~ de losanga qui
l'intériau de la couronne cirwlaire sem- oc:eupaient l'espace des épis pliés (1/ 2),
blait avoir des analogies bôdentc:s ave<: la )]1~~· <Oit un total de 1008 lo...nges (72xl4).
double h~lice de l'ADN humain (fig.3), De plus le rapport entre le diamètre du
étant composée de l'enroulement en spi- cercle interne ct celui du cercle externe
rale de deux filament> reli6 emre eux. était de 1/2.
O n peut consr.ner (tlg.4) que trois enrou-
lementS completS de 360 degl"és (ou six ADN ETI KING
enroulementS identiques de 180 degrés) Nou.c; avons p~gé ces réRexions avec
som repréçencés. Ccci nous a incités à ünnen Rtnore, cherche= indépendante
approfOndir la recherche à m.ven un essai de depuis des années dans le domaine de la loi du
r«<nstruaion géométrique:. Nous avons ainsi tA!mps. laquelle nous a oooucillés de rechercher
dkouvm que le dessin ~ dévdoppait le long clcs analogi<s avec le alcndno- Maya. D se fait
de b c:ouronne c:irc:uWre en ~ divU.nt en 72 que dans les premicn jours de SeptA!mbre, l'un
!«teurs qw oo:upa~<nt eb.cun 5 degrés. le clcs plus grands connaisseurs"' interprètes de
LE TZOLKIN OU CALENDRIER
la cradition Maya, Jose Argucllcs vcnaic de
publier une écudc qui sc:mblaic d'une certaine 9 3 10 4 11
manière se trouver en relation avec le crop cie- 4 11 5 12
de de Hungerford. Les planches en annexe,
striccemem reliées à la carce génétique de 12 6 13
l'ADN (fig. JO}, nous reporte!\! au principe du
Yin ec du Yang du 1 King, livre divinacoire de 10
la Chine ancienne (fig. JI). Dans ce symbo· 11
lisme, la division des espaces blancs ct noirs,
correspondant aLL't principes du bien ct du 12
mal, est réparrie de manière égale. exaccemem
13
comme dans le crop cirde de Hungerford, où
l'on retrouve les 1008 losanges qui fo rment le 1
pietogramme, eux-mêmes divisés en parties
égales: 504 oellules noires ec 504 cellules blan· 2
ches. Un rapport visuel qui est srricrcment
3
relié au crop circle anglais où les parties claires
et foncées sone équivalentes.
Le calendrier sacré Maya de Twlkin (fig.5) esc
composé d'une grille de 13x20 = 260 oellules
dans laquelle le chiffre 13 esc le nombre des
cons du cycle galactique cc le chiffre 20 celui
des tribus du cycle solaire (fig.6), Dans cc cal-
cul du temps formé par 20 cycles de 13 jours
chacun, 4 couleurs harmoniques (rouge,
blanc, bleu ec jaune) (fig.7}, 4 direccions, 4
élémentS représemam le cycle énergétique cer-
resue, reviennenc constammenr de même que
l'ADN esc composé de 4 bases azotées.
En observant le schéma du Tzolkin (fig.5)
nous avons remarqué également que les jours
de l'accivacion du porcail galaccique (cellule.<
noires) forment approximacivemem une 2 9 3 10 4 11
im;tge semblable à la double hélice de l'ADN
et elles som au nombre de 52. Sans aucun
douce 52 est le chiffre clé Maya, ct ille dcvien·
dra plus rard aussi pour notre calcul, FIG. 8
Nous nous sommes rappelés par la suite avoir
lu dans le livre "Vical Signs", de Andy
Thomas, une analyse du chercheur anglacs
Michael Glickman, au sujec du cercle dans le
blé apparu à Etchilhampton, Whiltshire
(fig.9) en août 1997. Cc pictogramme écait
constitué d'une grille de 780 carrés (26x30); si
l'on attribue à chacun d'eux la valeur d'une always bonds with
semaine (26 scmaincs=6mois) Michael a obte-
nu exactement le chiffre correspondant à 15
ans, aboudssanr ainsi à 2012. année indiquée
par les Mayas comme la fin du compce à
rebours de ce temps. C'est à la suite de cerre
érude que le pictogramme a été surnommé
"the mayan oountdown". Fig.J2 : De Poussin,
environ 1650 a.c En bas le schéma de l'analy-
se géométrique occulce du tableau. Des liens
avec l'année 20 12 ont égale.ment écé décou· atways bonds wtth
verts dans d•aucres formations par Je chercheur
GeoffStray qui. en l'occurrence. a mis en évi-
dence le F.tit que les 780 carrés correspon-
d raient eJC3Ctement ~ uois Tzolkin
MOON sacy.
DRAGON SERPtNT EARTH
WAliŒit
w
00 Wll"l> m
w \'>'OttLD-
BltiOGUt
~
E::)J
DOC
ffiJ WIZAlO ~ Mlllotl
21 SEPTEMBRE 2012
En rcvtmmt maintenant à not re Crop de
Hungerford, nous avons imaginé de muiLi~
plior 72 sec1eurs par le chiffre 52 del"' ADN"
tlu calendrier Maya (les 52 por!ails galani·
que.<!) en ohoenant 52x72=3744. À ce stade
de notre recherche, il nous fallait rrouver une
date de départ pour le: "'oountdown". le
compte à rebours! Après plusieur=> tentatives
en utilisant lin programme pour le calcul des
jours e1 :1prè.:; une erreur éLrange de J'ordina..
tè\J r qui corllinuaiL d'indiquer le 21
Septornbre 20 12 malgré les différente.< dates
de dtpart chol:ties dans nos c.1lculsJ nous
avons essayé de sousuaire les 6S jours dt.$
cinq cycles du crop citck do Bockhampton
c:n obtenant un intervalle de: tc:mp:. de: 3679
jours. Cc: dc:rnic::r p:t'ls:..1ge reponé à panjr du
26 aofit 2002 (jour de l'apparition de la for·
•nation de Bec:kh:unpcon) a donné comme
ré>ultat pré<:isément le 21 Septemhre 20 12,
date de l'éqt1inoxc: d'automne, jour de
l'année ol1lcs heur~ d'ob:;çurilé SOnt ég:1les ~
celles de 1::~ lumière, exact.e ment comme il
::1pparaî1 d:ut'i le crop circle de
Hungerrord olt les hia n •
cdlulc::.s noire.'i c h e s .
som égales Ceue fois enco-
au.x cd- re deux cordo. dans le
Iules blé, rdjés emre eux de tome éviden-
ce, semblent nous ramener à la date fàtidiquc:
de 2012. Que sc: passero-t-il à ectte époc:~.ue,
plusieurs fois citée d::ms différerues prophécies,
ct non seulement dans œlle du peuple Maya?
NOTE:
• www.tortuga.oorn
•• wv.w.swirlc:dnews.eorn
...... www.diagnosis20 12.oo.uk
CONTROLE
ES EXISTENCES
"LE PASSt, LE PRÉSENT ET LE FUTUR PEUVENT ÊTRE SONDÉS
À TRAVERS LES DONNÉES GÉNÊTIQUES". LE GARANT DE
l'INTIMITÉ, STEFANO RODOTÀ, EXPRIME DES DOUTES FONDÉS
SUR LES SYSTÈMES INFORMATISÉS DE RECUEIL
D' INFORMATIONS. UNE MENACE MONDIALE SÉRIEUSE À LA
LIBERTÉ ET AUX DROITS FONDAMENTAUX DES CITOYENS
~ ~
.....
informnionç physiques (sur la manière OARPA pourta.~t permettre aux militai-
faits (heuriuique). Les données ainsi obte- dont nouç nous sentons) ainsi que des res de développer do wistants informati-
nue., homologuées en coda de r<eonnais- archives ~ur les médias (oc que nous lisons). sés comme combattant> ct capitaines de
sance. <uhit<ent un catalogagc ultérieur Gordon Bell (professeur de sciences des guerre qui peuvent s'avérer plus efficaces,
selon le< différents ru'-caux de provenance. ordin>~eur< et ing~nicur électronique à la vu qu'il< peuvenr avoir un accès plus facile
À rrave,.. la déducùcm ct le raisonnement, Carnegie-Mellon University), chercheur à aux expériences p..,éc). Et il ajoute: "les
le Lifel.og engendre plu>ieur> couches de la Micro<aft, recueille toute> .es lettres en ordinarcurli peuvent nous rappeler corn ..
représen t3tions à un niveau toujours crois- les class..1nt, il enregistre ~ conversations. ment chaque étudiant apprend, en
sam. 1.'innoduction dc.s séquences sauvegarde le< page.< web qu'il visite et les exerça nt une: i ntcracdon avec les systèmes
don née< pmvient d 'une périodicité de e-m:)il reçu~. en plaçant ensuite toutes les d'enrraîncmcnc, ct en conséquence corn·
si r u>~ion< agrégée> ~ de• conrcxces déter- donnée< dan~ un d~pôt élr:<:tronique sur- ment adapter les lcçoru". Même si le spé·
miné~ qui oon~titucnt pour un individu la nomm~ "MyiJfeBits" (Motccaux de Ma ciali<re John Pike, cfueaeur du sire du
m.!moirr lpisbdiqu~. Les échantillons d' évé- Vie). Le Lifel.og de la DARPA développe- comité de défense Globa!Security.org dit
nement~. 3 l'intérieur de la "bande tempo- rait con<idérablement oc conocpt en con- qu'il rtouvc l'explication très "difficile à
relle" contiennent l'idencificaùon des trôlant le< déplaocments phy>iques des croire·.
habitude<, de< relaùons ct du quoùdien. gens er tout ce qu'ils observent dans les ·u semble êrre affirme Pike- une consé-
Donc, celui qui accède à la ba.c de données différente< SltwÙons. Cela rend le projet quence du <ystème TIA. un autre program-
pourrait mrou,·cr une trace spécifique scmbhblc au tra>-ai.l du prof=r Steve mt dt la DARPA pour Lt sécuriré et la
d'une rransirion p....C.:, r.tppder une expé- .Mann, de rt:nivcnuè de Toronto. Depuis sur\'<illancc de la patne" .
rience qui vient d'avoir lieu, en urilisam 19~0. quand ilav:ut 10 ans, Mann a urili- "Plus le comporttment caracrérid d 'un
rour ~implcmcnt un moteur de recherche <é la cam~ra airui qu un déploiement de individu - a dc!c.l.u-~ Aftergood - la vic de
imerfact. lien~urs pour cnrcgi)trcr son exisœnce. routine, 1o relation; et les habitudes peu-
Mann raconte qu'il o1 c.:onvaincu ses éru- vent êcrc rcpré)cnt6 numériquement, ct
CR tER d ianc• acruds ct prc'<idents de faire de pllL< il dtviendr-J f•<:ile d'idenrifier chaq ue
UNE MtMOIRE-SUCdDANtE même, en insér.un le: tOU l au nom d'une penon ne ou de la contrôler.
Apparemment, le projet semble le dernier "technologie de l'cxi5t«>ce", "mét.aphysi- Dans le rapport sur le l.ifeLog, la DARPA
de la liste dam le wdre des recherches éla- que de la libre volontf'. sc fait le porte-parole de. droits humanitai-
borées par la DAIU'A, dont une grande res quand elle propose qu'un "accès anony-
partie <ont restée> de• expériences de labo- UN PROJET PEU PUBLICISt! me appropri~ aux donnée.< du Lifelog-
r:uoire. Mais la DARPA c:>t a<tuellement à Mai< quds pourraient être les objectifs pourrait aider I. rc.;hercht médicale ou une
la recherche de fananu:ments, et certains d'un programme comme le l.ifeLog? La enquête rapide en cas d'urgence épidémi-
penonnages du milieu, tels que Steven rrchcrehe, d'aprè> lo experts, poui'T:lit être qu~"'. Pr&:i~mcm en certe période~ la
Afiergood, ami)'>tc pour les programmes ucilistt pour coruuui~ un sysrème qui, DARPA (qui n'a p>< tncore établi le bud-
de défense de la féd~r.nion des Sa>'211ts semblable 3 l'être humdin, puisse améliorer get dïnvc:>tisscmen" pour le programme)
Américains, sont préO<.<upés. les simulilnoru <i'cntr.ûnemem miliraires ct est en train de demander à des industries et
Afirrgood sc dit com·ainw que le Lifel.og cdlcs didacriquo né<.esMires pour enrichir des académies de 50lucrîre les proposiùons
pourrait dép;u>cr de loin la portée du TlA, les )eux· de réalité virtuelle. l.a technolo- pour huit mois de recherche, avcç une pos-
ajoutant à CC) donnt:es rran.sitoire.~ des g•e- affirme J.ul Walker, porre-parole de la sible cxtcn~ion ~ vingr..quatrc mois. *
------
...,....d,....coutlww .. t t6itN
. .
...
2 2 ':
?
•
A u cas où d'hypothétiques visi-
teurs cxu:arerresues voudraient
couvrir les mormes distances qui ~tl.a
Torr< des S)'St~mes célestes extl':lSOl>.ires les
plus proches de nous, un cemps octraordi-
naircmc:nt long leur serait nécessa.irc, même
s'ils voyagcaiont à la vitesse de la lumihe.
Alors comment parviendraient-ils ~ nous
«joindre?
Olmbion de fois n'avons-nous pas onttndu
= question? Pour les sceptiques dio con-
ri<nr déji La rq,oose. .En gênerai dio est
po6ée aux ufologues dans l'immrion d. cir-
conscrir< le sujet"' de ramen<r les possibi-
lités do contact avec des inrdligcnces
extrarcrrc:strc:s au conto:re êrroir des con-
nai5Sances humaines actuelles. D'apr~ la
Thc!orie de la Relativité énoncc!e par
Einstdn, il est impossible de dc!passer la
vitesse de la lunlière. Une celle assenion
d<Vicnt le prcnli<r er, pour beaucoup, le seul
r<mpan l opposcr, dans le but do discrali-
r<r or démolir La r6ùité d'un ph<nomènc
qu'il est n<!cc:ssaite désormais d'accepter cr
de compr<ndrc. Il est indc!ni2hle qu'une
affirmation aussi soüde, comme a:Uc établi<
par Einsrdn, a créé de grandes difficultés
aux ufologues er permis aux "im~gristes
scicmifoqucs" de bien soutenir leurs Ùt~o
ric:s, nocammenr vis..à-vis de l'opinion
publiquo. Une attitude différeme, plus
ouvene, plus "de frontière" - comme nous
aimons b définir nous-mêmes - del.-ait
néctss>.i,.mcnt '=ir de ce mondo sciencifo-
que (sou\-.nt trop tbc!orique er rar<ment
concret), qui opposait obscinémom sos a:r-
tirudes aux doutes cr aux hypothèsa relati-
ves l des r6ùir6; nouvelles et surpronantes.
Ainsi, si les ufologues soutiennent .. en sc
basant $Ur leurs recherches • que la vitesse
limiro dela lumi~e n'est pas cdle reconnu<
D'aprM lM prlndpoo dll
W.., Dl!ve, Il serait
pouible de ~*courir des
-lntom.ilairOI
au mo)W'I de "aaut:a
dimenslonnets"•
•
jusqu'ici, ils ne suscirenc que des c ritiques et
des sourires pédants. Alors que si une affu-
marion de ce genre vient de la conununauré
scientifique elle-même, qui s'oppose si rigi-
demenr aux thèses "bizarres er singulières",
elle devient phL~ crédible. Er cela, selon un
cliché bien connu: les ufologues sont des
visionnaires ou, dans le meilleur des cas, des
rêveurs auxquels il ne faut pas prêter trop
d'acrention.
MAHOMET ET LA MONTAGNE
Tl esr opporrun de rappeler que la Théorie
de la Relacivicé Rescreinte (TRR) démontre
essentiellement deux concepts fondamen-
taux:
- la viresse de la lumière dans le vide est la
même, quel que soir le référentiel;
- il n'exisre pas de référentiel absolu.
Nous savons, en o uue, qu'un corps doté
d'une masse non nulle réussirait à grand-
peine à re.<rer cel s'il voy:>geaic à 300.000
km/sec, car une opération de ce genre exige-
rait une énorme quantité d'énergie. Cette
chèsc n'esc vraie que si l'on néglige les effecs
gravitationnels (ec dans ce domaine il y a particules supraluminiques. A ce sujet, les ccr" en avant le point de départ ct e n arriè·
e ncore beaucoup à faire) . Ainsi, certains études de Mr Gonzales-Mesrres sont inté- re le poim d'arrivée. Le vaisseau spatial sc
marhémaciciens er physiciens corn mencè· ressantes. Lors de la 28e Confér<ncc retrouverait ainsi dans une sorte de "bulJe
rent à se poser cene question: au lieu de Internationale de Physique à Haute Énergie cosmique" au sein de laquelle les principes
&ire voy:>ger un corps d'un point A à un (Varsovie, juillet 1996). il présenta une d'Einstein continueraient d'être valables.
poinc B en ligne droice à la vitesse de la étude comparée minutieuse ayant trait, Donc, selon Alcubicrrc, il est possible ct
lumière, pourquoi ne pa.~ chercher à con- d'une parr, à certaines particules auxqudles mathématiquement correct d'i magi ner
tracter l'espace afin de rapprocher le poinc seraient associés de nouveaux degrés de - dans le cadre de la Rclarivicé générale -
B du poinc A? Le corps en question ne vio- überté non encore découvertS expérimenta- un mécanisme: qui puisse dépas..~er la vices..
lcraic pas les limices posculées par la lement, et d'autre part, aux implicacions sc limite de la lumière sans contredire cette
T héorie de la Rclacivicé, vu que l'espace cosmologiques possibles de ces parries de la chéorie.
seul sc déformerait, en nous rapprochant macière qui se déplaceraient plus vite que la
de notre objet et en s'étendant derrière lui. lumière. Ce thème est abordé et débattu LES CAPACITÉS DES OVNI
En somme, puisque la moncagne ne vient dans plusieurs milieux scientifiques. Il laisse La chéorie d'Aicubierre reflèce fidèlement le
pas à Mahomet, c'csc Mahomec qui ira à la présager qu'à l'avenir la science affirmera comportement décrit par de très nombreux
montagne. Donc, si 1' on prenait e n considé- eUe aussi er démontrera sans équivoque la témoins d'OVNI. Faisant le récit de cc
ration les dfeu gravitationnels, les c.ho.ses possibilité de se déplacer à des vitesses supé- qu'ils one observé, ils indiquent des été-
changeraient, parce que les règles ec les rieures à 300.000 km/sec. menes cohérencs avec l'hypochèsc de dépla-
équaùon.s qui décrivent l'espace.. temp.~ que Le chème des déplacemencs, grâce à des pro- cemencs supraluminiques basés sur des
nous connaissons ne seraient pas directe.. pulseurs capables de dépasser la vitesse limi- effecs gravitationnels. En effet, ce n'est pas
ment applicables à un contexte si élargi, te établie par la Théorie de la Relativité, par hasard que les obserntions d'OVNI ont
conune celui que nous présenteraient de devient de plus en plus accuel er de moins écé caractérisées par certains détails liés à la
nouvelles hypochèses gravirationndlcs. en moins distant de toue ce qui esc raconlé dynamique du mouvement. On peur les
daos de nombreux films ou romans de résumer conune suit: - capacité de station-
LA BULLE COSMIQUE science·fiction. Si la réalité assimile des con .. nement aérien (comme si la gravité ne
Il n'y a rien de nouveau dans le fait que la cepcs er des images provenant du monde de représentait aucune contrainte);
physique quantique, s'occupant du "micro- la fiction (sans s'étonner de la possibilité · mouvem ents brusques avec des accéléra..
cosme" (qui, paradoxalemenc, ressemble tel- d'un parcours en sens inverse!), nous pou- tions spc:ctaculaircs;
lement à l'U nivers), se concentre sur la vons alors comprendre pourquoi d'illustres - dématérialisations soudaines qui laisse-
recherche de particules subatomiques qui mathématiciens conune Miguel raient supposer un saut dimensionnel ou
pourraient se déplacer à des vicesses supé- Alcubierre en 1994 - ont soutenu la possi- une distorsion spatio-ccmpord le.
rieures à celle de la lumière. Nombre de bilité de réaliser un vaisseau spatial dont le
savanes ct divers cenues de recherche s'inté· syscème de propulsion aurait pu tordre UNE ÉNERGIE INIMAGINABLE
ressent depuis longtemps à l' cxiscence de l'espace en le conrracr:anr, de F..çon à "dépla- Le concept de "Warp drive" (propulsion
.,_... ...
tt...,.e:IHN4Mel
pro~Pir•
OOUrtlure.
Le pl!yolcltn Clwll Yan 8oft
- • I'!Mivenlti
.......
CMtl al, fit dt Louv-,
...
.. 2 ! '
sité de produire une tnergie négacive suffi- qu'il a JOUé dans ce cas esr inférirur à celui
sante - que le "Warp drive" ét.air beaucoup qu'il a déUaré, et son bagage <eicntifique
moins improbable que œ que Pfenning ct moins impunant. t.n somme. on 2l'impro-
r-ord cbcrciWcm :1 farre croire. En dli:t, sron qu'il a dû s'occuper de quelque chooc
selon Van Den llmeck, en modifiant la de non convemionnd er que le point de
géométtie d'AJcubierrc pour rcporr<:r roure dc'p•m de son récit est vrai ct correct, bien
la bulle cosmique :1 des dimensions subaro- que M>n imerprétarion ou son imaginat.i()n
miquts, il nesernit pas néce553ire d 'avoir des aient probablemenr enrichi tOU[C cette
quantités é normes d'~nergie. Son affirma- h istoire. La question fondamentale qui re:. te
tion était b3Sée sur l'hypothèse d'une nouvel- à po;ercstla suivanre:si Mr lazar a parlé du
le dimension spario-ren1pordlc cxtrémcment système de propul<ion des OVNI en indi-
vaste à l'imérieur, m:ti~ ..vue de l'extérieur" quam de grandes similitudes ave:<. la théorie
clic appara!trait o:trèmcmcnt petite. Dam d'Akubit:rre:. comment pouvait-il connaître:
supralwrunique à oourbure, dinonion) est la pratique. si Cette petite bulle cosmique tti- do aspects aussi spécifiques ct sacntifiquc-
donc la tnruposition fidèle de ccs ,.,h>eula dimensiooneUe passait daru la quatrième mcnt coh~re:nlS cinq ans à l'avance? *
spatiaux. Le: f;tit de supposer lrur o:istcncc d.imen.sioo. nous au rion~ en réafjté une zone
c:t de la ;outenir p•r des argumcn<atioru multidimensionnelle rrè.< vaste qui n'cxigt"
scientifiques, comme J'a fait Alcubicrn:, qu'une q1L1nriré d'tnergic vraiment réduite.
ouvrirait de nouvelles perspectives. Il ne f.1m Les •ffirmarions de Pfenning et Ford furent
pas s'~tonner si l'affirmacion du mathém.llη ainsi démenties ou du moiru ramenées à
cien de !"Université du Pay> de Galles a leurs jtmes proportions, ct le postulat selon
a. M. Alcubierre, Class. Quantum Grav.
suscit~ des c.ridqucs ct des accioru vi~nt :).)a lequel il esr impossible de dépasser la vitesse n h994J Ln
banaliser, e:n la considérant comme une sim.. de la lumière ne paraiswt plw. aussi solide er
a. L.H. Ford and M.J. Plenning, Class.
pie rda rion de cause à dl"c:t (à chaque action Quantum Grav. 14 (1997) 1743
incontournable.
cor.-..pond une n'action). Ce fut ain<i qu'en J. S.V. Krasnikov, Phys. Rev. D 57
19')7 deuxchcrchewsde t.Tufts Uni\-.:nity CINQ ANS AUPARAVANT, LAZAR (1998) 476o
._ C. Van Den Btoeck. "A warp dri~
(Ma.ssachusctt>), Micbad Pfenning ct Larry JI vaut la peine de prcndrc en considération
wrth reasonable total energy require·
Ford, essay~rent de démolir la th~c le lien cxist:mt emre la thl!orie d'Aicubicrrc-
d'Aicubierre, en démontr3nt que l"hypotho- Van Den Broeck et les affirnmion< du p hy- ments, gr-qc/9905084"
sc du ''Warp drive" était 5;1ns fondement ct sicien Bob Lazar. Celui-ci soutient qu'il a s. www.spires.slac.stanford.edu/cgi·
non plaw.ible. Un système de propul<ion de rrav;tillé dans la Zone 51 (inmllarion S-4) à bln/spiface/find/hep/www?rawcmd•t
+warp&Format=www&sequence•
cc genre appliqué à un vai«eau spatial aur;tit la rérroingénierie de< <y<tèmcs de propul-
------------------------- Stilll · OÉCEMOA( =F
UN CHERCHEUR, CÉLÈBRE DANS LE MONDE DE L'UFOLOGIE,
EXPRIME SES CONVICTIONS PERSONNELLES AU SUJET D'UN
PHÉNOMÈNE MONDIAL ÉTENDU CONCERNANT DES ENFANTS DOTÉS
DE CAPACTÉS INCROYABLES. DES CONNAISSANCES QUI, DANS
CERTAINS CAS, PROUVERAIENT L'EXISTENCE
D'UNE MATRICE EXTRATERRESTRE
par RICHARD BOYLAH, PH.D.
n des p:rnagcs les plus inté- moment mèmc. Je contact avec les habi-
- - DECE-2003 31
LA DOUBLE NATURE Enfant des Étoiles, visité la nuit
La conception de cecre génération d'avant· par les exuatcrrc.~rres dans .sa
garde aurait lieu grâce à un processus qui cham bre à coucher. Son récit
dépassernit la simple reproduction humaine conrinuel de cet épisode aurait
(comme celle de Jésus). Dans cermins C.lS, susçjcé une réaccion cellemenr
leurs parents auraient eu des conr:acrs extra· violente chez sa rnère que 1' enF.uu
rcrrcsrrcs sans en garder un souvenir con .. aurait appri.~ rapidement à ne
scienc, er cc n'esc qu'aprè.'i bien dc.'i années plus lui faire de confidences.
que cerre réminiscence remonre à la surface. Malgré cela, il aurait montré de
À la su ire d'un rel conracr, un Enranr des toute fuçon des dessins d'ET et
"troiles serait conçu corn me matériel généri- de vaisseaux spatiaux à son
que exrrarerresr:re ou avec un gène humain grand-père, plus compréhensif.
altéré par la biorcchnologie ET, de fàço n à
mcnrc en évidence des apcirudcs supéricu.. LES ÉCOLES POUR
res à la moyenne. Dans plu..'i d'un cas, il LES HYBRIDES HUMANO·
semblerait que les parents des enfantS ainsi EXTRATERRESTRES
recon nus aient été eux.. mêmes des Srnr Lors de leurs différents conracrs
C hildren. avec les huJ,lains, les exHacer-
Ces personnages particuliers seraient crès dans l'inconsciem remonreraien~ à la surfu- resrres auraient comrnuniqué qu'il y aura
inrdligcnts, ils auraient un esprit cosmique ce. L'écrivain Whirley Scrieber (fameux bientôt .sur la Terre des "écoles spéciales"
ct posséderaient une sensibilité plus grande pour l'épisode de son enlèvement par les pour les Enfants des Étoiles, dans losqud-
par rapport aux aurros enf.uns do leur âge. cxuatcrrcsucs, dom on a ciré le film cr le Ios ils pourront apprendre à uciliscr libre-
Certains d'entre eux se rappeiJcraicnc livre inrirulés "Communion") aurair fré.. ment les aptitudes ct lc.s talents qu'ils
même d'une vic précédente au cours de quenré une école primaire un peu spéciale. possèdent, cds q ue la célépathie, la préco·
laqudlo ils auraient vécu avec leur famille 11 raconrc qu'il aurait souvenc senti le gnition, la rélékiné.sie, l'intuition, la Jecrure
ET. Durant los régressions hypnotiques, il besoin de laisser sa maison er de rejoindre de l'aura, la guérison bioénergétique, sans
se serait avéré invariablement qu'ils en bicyclette une forêt où il aurait trouvé êuc pour autant ridiculisés, comme cela .sc
auraient accepté volontairement de s'incar- d'autres onlàms do son âge. passerait aujourd'hui dans los établisse·
ner comme êues hwnains en f.tveur de: ce Là, une figure capuchonnée vèruc d'une ments scolaires traditionnels.
moment historique: pani<.:ulier. Ces enfants lo ngue tunique leur aurait montré des scè- Ces écoles particulières exigc::raic::nt un
apparaimUent souvent embarrassés par le nes cirées du pa.o;.<é ct du furur. \Vhidey sup· onsdgnemenc crès sensible afin do dévdop·
primitivisme de la vie terrcsue. par la den- posa que dans le passé, étanr donné sc.~ per l'appartenance biculrurdle do ces
sité de leurs <X>rps physiques « los f.ùbles vèrc::mcnts, l'cnscignanrc avait été une reli- cn.fà.nts, ct elles prévoiraient la création d'u-
capacités intellectuelles et comportementa- gieuse catholique comme cdlos q ui lui nités élémentaires c::t supérieurc::s. En outre,
les de leurs semblables. Ils ex'lSpéreraiem enseignaient ~ l'écolo paroissiale. Par la dies disposeraient d'urùr6 spéciales pour
leurs parems (humains) par leurs récits con- suite, à l'âge adldte, il aurait rencontré de les parents, afin de leur enseigner er de leur
cernant le lieu d' oil ils viendraiem ou leurs nouveau quelques-w1s de::. ses anciens com- conseiller comment aider leurs fils à déve-
vrais procréateurs extraterrestres, en faisam pagnons, qui auraient pris parr acLx leçons lopper leur poremiel. De plus, les adultes
souvem des observations profondes sur les d'endOCtrinement. Un dos cas les plus inté- seront encouragés à accepter ce genre
phobies humaines, comme s'ils y étaient ressantS de Star Kids concerne une fillotte d'expérience et à assimiler non seulement la
presque étrangers. Pl usieurs parents se sont de six ~ms. que nous appdlcrons Karrina. réalité ordinaire, mais aussi une réalité
demandés: "quel genre d'enfànrs avons- EUe décrivit à ses parems, à son frère et à cosmique vers laquelle nous évoluons rapi-
nous eu?" . I.e but du présent travail est pré- ceux qui l'analysèrem, l'école qu'elle aurait dement. Ayam lill degré de manuiré préoo·
cisément de résoudre ces perplexités er de fréquemée la 11uit, en dessinant même le ce très développé, les Enfants des Etoiles
fournir une méthode aidant à mieux con- vaisseau spatial dans laquelle cette école parviendraient à occuper des posres de
na:iue ce.s enfants:. :mrair été placée, ainsi que la salle dorée djrection à une époque en pleine transfor~
d'un .. rableau noir, qui n'est pas exactement mation. Ils pourrn ienr êrre les enseignant..~
ENSEIGNEMENTS COSMIQUES un tableau noir". Elle illustra également "le du nouveau rnonde, les gujdcs, les guéris..
Dos nombrolLX Enlànts dos Étoiles parlent srylo spécial" qu'elle aurait utilisé pour dcv seurs alternatifs, les visionnaires, les o rgani-
de déplacemc:nts nocturnes, à un endroit sinc::r à distance sur le non-tableau. Kauina sateurs de communautés ct lc::.s artisans de
déterminé de la Terre ou à J'extérieur, sur sc souviendrait de sa parente extraterrestre, la paix. Ils pourraionc assumer la fonction
un vaisseau spatial à bord d uquel do nom- qui sc::rait un jour apparue à la mère humai- d'ambassadeurs lors des rencontres avec les
breuses notions leurs seraient indiquées er ne de la fillette pour lui demander do prcn· visiteurs cxtratcrrc.strcs, durant la phase de
enseignées, y compris des événements rela- dre soin de la petite, maintenant qu'elle transition de la soc.iété actuelle:: à une autre
tifs à un avenir prochain. JI semit dit à ces éraie une créature terreStre. En outre::. la qui voyagera parmi les étoiles. Accueillons
sujers parriculiers qu'ils ne parviendraient petite enfant écrirait "en caractères extrater- favorablement nos Enfants des Étoiles er
pas à cour comprendre à l'insunr même, restres", parlerait er traduirait "sa tUlgue renforçons leur développement.
mais que par la sui re - au cas où cela se ren· exrracerresrre" da.ns un scy-le coulam. Ils pourr~1iem représenter effecrivemenr
drait nécessaire - les informacions stockées Seymour (nom de f.1nr:aisie) serait un autre norre avenir. *
32 sam · OËŒMBRE 2003
n ow sommes totale-
ment responsables de
cc qut sc passe sur la
planète Terre ! Je sais
impossible do sortir de la toile
d':t.r:>ignéc cri« par les FP qut
nous entourent et par les cg"'~
gores qui nous nourric;~nt cr
la barreaux d'une prison que
nous ..~ons con.slr\Üte pierre
•près pierre mais qui n'est qut
du \"Cnt ct que nous pou'"ons ~
\'OÏr. Aimer le beau • .s~aimer et
<'offrir du temps ou <-c que l'on
2ime esr une marque de respc:ct
pour ce que nous sommes ct je
combien ces propo> peu,·ent que nous enrrecenon~. chaque instant dissoudre. ne m'imurgc pas contre c.c:la.
hre générateun de .:ulpabilité I.e plus gr>nd manipulateur les .Euc:-s du ~couvernernenr C'e.<r dans l'énergie émise pat le
~r pounanr, je ne peux n·e.u pas à l'extérieur de nOI.l). i1 Mondial• n'existent q ue parce F.it de poss~dcr plus ct mieux
confondre responsubilit~ et cul- esc là er c·e.u nou~·mêmc. Nous que nous le voulons. Ils utili- que d•:mtrc$, q ue :.c trouve les
pabiliré. la culpabilité est une er nos envies de po uvoir, nos !ic:nt simplemem ce q ue noue; FP destructrices c:t manipu-
enfant de l'orgueil, cet orgueil peurs de perd re cr nntrc désir leur offrons ct surtout, ce qu'il bhlc<.
qui nous fah croire que nous de pu issance. P3rrnur, no us y a de plus bas en nous. ~·cnrourcr de beau par amour
pouvons inrer,·enir et changer cherchons à conquérir une pl• Ainsi, toutes les fois oè1, p3r du hcau, émet une a uue éner-
la vie d'2urrui saru son con.sen- ce qui jamai~ ne nous a été en- l'imcnnédiaire des public it ~. gie que celle q ui con.si>"te à s'cu-
remenr. levée. nous désirons un obje< pht< tourer de beau par amour du
D'après mes cxp<'riences, en Nous lurtoru avcx: now·mêmc. cher, plus luxueux, plu< ... moi-je ct c'ot t t qui en fait
CUlt que thérapeute ou lors de toute l• différence. Il ne s'agit
mes sorties astrales, je n'ai ja- pas ici de morale, mai> simple-
mais rcnconu~ un tue quj ment de •physique subtil.,. Il
puisse modifi<r le pucours parait anodin de wuloir <tOu-
d'une personne par son ani rude jours plus•.
ou ses faits s:ms q u'une parrie Cependant, ch•que énergie de
d'elle n"ait dir •Oui•. pouvuir que nous c réons va ali·
La culpabilit~ q ui nous habirc menrcr une autre énergie heau ..
si souvent, n'a que peu d'milité, coup plus puissante e r perni-
si ce n'est celle de nous déuui.. citUM:: l'égrégore du Pouvoir,
re, sans aider ceux envers Jes .. qui li. wn tour va_ d éverser sa
qud~ nous nous semons cou.. force :.ur )Q tlictateurs en puic; ..
pables. ).;> r~ponsabilité sc si- >ante ou Mjà en place. A
tue sur un autre registre ct c'est chaque instant, par le< FP que
à eUe que je m'adre<se lorsque nou> créons et les gesres qui en
j'évoque la nunipulation dom d«oulcm. nous rendons la
nous ClO)Ons ~i ~u\·enr èr:rc les main .l ttt~x- que nous nom-
impuiwnres vicrimes. mom nos •manipulateurs- cr
Toutes les foi< où nous émet- noUl renforçons leur action.
tons des FP lourdes cr presque Je me souviens de l'époque où
cangiblcs, elles sc ti'1UlSforment tOut le monde ou presque~ était
aussitôt en in.urumcnts de: ma- alterrc! par les agissements d e
nipul;nion. sans savoir que le s.1ng que nous p lus... plus .. . , nous laissons S.dam llusscin.
L1 science acrucllc ct non offi- répan dons autour de nou~ en des énergies activer en nous le J'enrend~ encore les réflcx.iom
cielle q u i œuvre auprè.< du gou- plus encore notre propre song deuxième p lexus (ou chakrJ), actrbes à ,m n e ncontre ct les
''ernemenr mnndial, sait depuis q ue celu i d e n'imporrt q ui celui q ui d it insatiabJe : ~je pri ~res ou méditations qui
longremp~ comme nt manipu- d 'autre. Nous noue; lllcc;c;ons veux p lus», pour paraître plus :waicnt pour but d'étouffe r son
ler le< FP que nou• lui offrons S<UlS arrêc, noue; noue; meurtris· ct avoir un semblam d e puic;- action ...
conc;ra.mmcnt avec la plu~ gmn- sons er nous nom tapons. en sance.
d e naïveté. pleur3nr~ la rêrc comrc nos J'entend> déjà des voix s'élever
~orre monde 5C' traruforme au- propr~ mure; en maudissant le ct me dire : •Nous avonc; déjà
jourd'hui en poudriè"' alimen- créareur. entendu ces discouro aunefnis
tée par les app<'ut> do pouçoir Kous générons sans cesse : Le dans not"' ,;eille 1'-.gli«!. C'.c
que nous nourric;~n.s rous mensonge ! .On sc ment tOU· n'est pas de cela dom nous
d'une f.t~on plus ou moins vi- jours à soi-même avant dt avons besoin aujourd'hui !
sible. Voulonvnous vraimcnc menci.r à autrui•. Fini.s.sons<n avec les imerdiu
sortir de ce jeu du Moi ? La grande Loi Cosmique est de ~ f.ûrc plaisir, les rcsuicriom
Acœp<on< do ne plus meme en idc:-ntiquc: pour tous. amorale en mus genres ct les ascérùrno
avam notre moi je ct la peur d u car au-delà de la mor> le, elle n'a rclîgicu."( qui o nt mené le- mOn·
manque qui e n découle ? La cure de savoir si elle couche des de là où il est aujourd'hu i.
gra nde queStion e>t là. riches ou clec; p:mvrcs, des bons Nous voulons d'autres proposi·
T.·mr que nou) cuntinuerons ~ ou des méchant~, dc;_c; jeunes ou tions ... ..
p rendre des p rétc:Xte) rnus par des vieux, elle EST. La vic, la joie, l'arnoul' n·mu ê.xtraü d u livre: Fonnes-Pensées
• la peur de pcrdrc)l, il nous sera Ainsi, nous gémissons derrière: rien en com rnu n avec le pou· de Anne GIVAUDA N
: ., ..
L
e son, comme le montre dans les érudes pour la réduction de la pol·
n' im porre quel morceau lurion acousrique. Dans le Los Alamos
assourdissant de m usique National Lahorarory> au Nouveau ..
rock> peur êrrc incroyable.. Mexique, un moteur a été développé, ct o n
mene puissant. U ne force J'a sur nom mé "ami de l'environnement",
qui, sollicitée, peur produire dc.s changc.- car il est alimenté par cerre technologie.
mcncs dans le corps humain ou fai re léviter Déjà construit au XIXe siècle> d'après le
des obje<s clans l'espae<. Une force relie· principe de la pompe du curé écossais
ment puissante que son application dans le Robert Srirling - qui d&:ouvrit que les gaz
secteur rcchnologico-milirairc est actud lc- q ui y sont contenus n'explosent pas
mcn r prise en considération par les savants. comme clans le moteur à explosion. mais sc
Les premiers tests cA-ècrués sur des oobayc:-s détendent et sc contractent à cause de la
avec des fréquences à ultrasons ont endom- chaleur. litisant bouger les pisrons - le
magé les rissus er provoqué la mon d 'ani· moteur à chaleur thermo-acoustique émet
maux par hémorragie interne. Ces résultats un son à rravers l'hélium réchauffé à l'inté·
onr mis en évidence le potentiel de ce sec- rieur; les ondes sonores poussent alors le
teur t:t ont encouragé à poursuivre la piston qui. g.rdce au mouvement aJternàtif.
recherche dans le monde entier. alors que produit de l'électricité. "Dts motrurs à coût
dans le domaine miliraire ils onr rallumé rlduit comme celui-ci semimt tr'h iruliquls
l'espoir de trouver une :l rme à uril ise1· d:HlS aussi pour tm tUIIg'- domt1tiq1u"- d ir Gn~g
les conAi ts furu1·s. Duram!~.J cOtifliJJ - as;~;u Swif[, un des créareur.lô du moreur expéri ..
rem les experr.s - on pou"ait me"" m pinet mental. ''En d'autrts r.ermes. ils pou"aien.r:
tot groupe de haut.-parirors orùnti-s vm 1'~11 .. ém utilish wttt à /.a fois pottr produùe dt 1'1-
tumi~ qui sn-ait ainsi dhruit ptzr d~s uûra- /~ctridtl, cha.rtjj;r d~ l'tart ou ln maison".
som très puissants, dts ond~s sonorN à très Mais cc som surrouc les voitures qui pro-
bms~ fttqttl'JJ.rt,
inftrirorrs au st'uil diuulibi- duisenr en abondance de la poiJurion
litt d.- l'oreille hunutine. AI~ec une arme de ce acoustiqut'. à laqudlt' nous sommes expo-
genre, on pourrait mtttrt à rxtcurion des sés chaque jour. Un groupe de savants ble de limiter le fracas des auroroures er de.s
attlfques dlvastatri,·es sans même tirer un stul japonais affirme qu'une possible solution à chemins de fer grke à la superposirion du
coup dt fou ni utiliser dts ttrma conuention- ce problème poumür consister à comb3t· son lui-rnêrne (en langage cechnique ce pro..
ntllts. rre le bruir par le bruit, car ce principe esr cessus s'appelle "contre-phase". (N.d.r.).
" b hase des casques de pilore< d'avion. 1.' "Tnsrirure of Noise C:onrrol" (ANC) -
MOTEURS A ONDES SONORES I.' insliruc japonais .. Puhlic ·work~ qui ucilise des anénuatcurs cylindriques
Heureusemenr, le son e.çr égaJemenc ,.utili .. Rcsearch" a conçu un nouveau rype de - mesure les o ndes sonores cngendrtc.s
~é" à des fins plus constructives> comme maçonnerie pourvue d'un disposicif capa- par Je erafle (des pointes minimales aux
,""'""'_
--
fi!U iMIIIIGIIIIIOnOfM
"
nomène lié au son et qui a cnthou.~ia.~;;mé re qui pourrait donner lieu dam le monde dc:>tinéc au diverrisscmem (VR). Ce nou-
bcauc<>up de savants américaim. û: qui a à des cemaine> d'applications différentes: veau programme, appelé Su"o /)tpol~. s'est
susciré leur intérêt " été la présence des de ]a fusion nucléaire au rrairement des vu décerner une décoration par le J)esign
"luminescences acoustique~·· (terme ccch- eaux usées. Eu tout cas, Lcighron demeure Council en tanr q ue "Produit du
nique: auralis.1tion (1), c'c:st-à-dire lum ière imperturbable. "P~nonn~ 11 iz 4fictivnntnt Millénaire". Le secret de b réalisation "''
émise p-ar un liquide sou.s une prcs..~ion dbnontrl la p<Jtsibilirl tk quelque appli<tt- üé aux champs sonores vinuel1. Grlce ~
acowrique <levée - N .d.r.). le phénomè- Ûbn qut ct l()it- affinn~r-ii. une régulation adéquace, on pem faire
ne, connu également comme "sono--lumi.- L 'ntthousiasm~. SltKirl par tks txpirimtts croin: que la source sonore ~ rrou..,e par-
ncsccnce", avait déjà été o~ sur la foitts dans dts !«aux tksrinh à 1'1/imination lOUl: derrière, au...<fcssus, de pout et d'aune
Terre en 1930, même si sa <ar.~eteruaqu.:s tks Jkkts, tsl tomprlhnuibk: ks !«aux m d~ la tête-. ct l'on peut même ~imuler une
daru l'espace "'"' très différemn. qu..tion sont tontrôlh n parfoirnnmt J)'ml- rotation. L'équipe de Philip 1\elson, de
"D-s o:pirimra mon#ml f{IU' lrs pulsano1u triqun. Évùkmm~nt, au mom~nr où l'on y l'ln>IÏtu« of Sound and Vibracion
tÜ la lu mintS(tntt sont très courus - affi rme i""· par txtmplt des eaux usùs, l'expirimtt Rescarc.h de Sourhampron, er celle dirigée
Tim Llghron, professeur J'acousrique lchou~·: par Harco Hamada, à la Den ki University
ultrasonique er sous-marine à. I'Univcrsicé Dern ièremenl, le Dépancmcnc d'acous(i- de 'tokyo, ont produir un système pour la
de Snurhampron, Angleterre. 11 s'ngir d'wt que de Southampton écair sur le point de çréatiun clc.s "virrual acou.~ric imagts".
piJbtom''" que la piJysique actuelle p.ur dif faire une d~couvcrtc qui pourraic révolu- "L~ systtmt comistt à plaar tkux haut-p<Jr-
jirilmtrnr txpliqun-". Ce nouveau rypc de cionner les m6.lia.): un syscème sonore vir- l~un rm prn /',.n & l'autrr. Cme disposition
luminc.sccnce acoustique esl une: décom.-cr.- ruel qui complète la réaliré virruelle f>roduu un champ sono" nzdianr explique
36
,_,--do
Lot _,_... J'ISVR
,.. • ..tt.ntli r...ateur
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oiiNtrowe.
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~,
Eo- r·· :•
••-•3-0.
• c?e:. Kallo
Cocpocatloe: de Tolcyo.
- - ~2003 37
À LOS ANGELES 17 STRUCTURES EN
ACIER DATANT DES ANNÉES CINQUANTE
ET MESURANT TRENTE MÈTRES DE
HAUT NOUS REPORTENT A LA VIE
MYSTÉRIEUSE DE LEUR CONSTRUCTEUR
ET A LA RAISON POUR LAQUELLE ELLES
ONT ÈTÉ CONSTRUITES
L
es Toun dt Wizlts se dressent dans le
quartier afro-américain homonyme de
Los Angeles qui, en 1965, fut le théâ-
tre de violenrs conflits er de graves
émeuces raciaJes. Ces tours furenc consuuiccs par
un artisan, Sabato Simon Rodia, né en Italie en
1897, qui les réalisa en plus de 30 ans (de 1921 à
1954), dans une zone siméc au n• 1765 East de la
107c Rue de la ville. Dix-sept tours en acier.
renforcées par d"" cibles, par des sommiers et du
ciment, où sont placés des milliers de pièces en
céramique brisées, des fonds de bouteilles, des
bidons, des boulons, des vis, des pierres et d'aurres
1 matériaux recyclés issus des ordures. Elles ont été
construiœs par Rodia, qui n'a reçu aucune aide
.... ._ financière er qui vivait dans une peri ce maison
~ •• si mée dans le chantier. En 1954, dès que J'ouvrage
'.-. • U1~ fut terminé, Simon Rodia abandonna Los Angeles
.... '
cc, chose curieuse-. il s'installa en Californie.
Les Tours de Watts risquèrent d'être ab-.mues à la
suite de J'ordre donné par le Département p<>ur la
UN tPILOGUE OBSCUR
De toute fiaçon, b vie de Simon Roclia ra«
obscure ct cnrourtt dt m}"Stè:rc. Sa déci...
sion. en 1965, d"abandonn~r brusquement
son habit•rion. c'est-~-dire les Tours de
Wans, reste encore une énigme inexplica-
ble. D' oprès certaines hypothèses inquié-
ta mes, Rodia fur conrraint d'abandonner
sa maison sous la pression de cenains per-
sonnages occultes. et ce furent toujours ces
derniers qui poussèrem les autorités à
déclarer dangereuses les Tours de \Vans,
afin qu'elles soient abanues. On pourrait
- que de financements: c'était l'époque de la guerre civile espagnole et papauté et par les Français à Montségur en 1244. 0
Ectwin Aklrin M ll'omêne
tur la Lune.
Avoc Nell Armstrong et M-
Colllno, Ils fonnaient l'""ipage
d'AI)ollo u <•gaudle)•
....
ÉTIONS-NOUS
c: es <.krniers mois, la NASA a
fitit l'objet d'une âpr<: com-
pagne d'accusation ct de
polémiques. qui a cu un
grand écho parmi lc.s médias améric..·tins.
En c::fl'et, cen:rines source:, .soutic:nnc;nt que
LES ENREGISTREMENTS AUDIO DES CONVERSATIONS
ENTRE LA NAVETTE SPATIALE AMÉRICAINE ET LE
CONTRÔLE MISSION DE HOUSTON LE CONFIRMERAIENT.
QU 'EST-GE QUE LA NASA A DÉCOUVER:r DURANT
l' hornme, e1l 1969, n'a jamais déharqué sur
l:l Lune er qu' il ~·est agi d'une mise erl scène LA MISSION APOLLO? ET POUR QUELLE RAISON LE
coloss:>le réalisée ad hoc. C.:e problème o déjà
été soulevé dc:puis l':lmu~ç dernière, durant GOUVERNEMENT DES ÉTATS-UNIS
une .,éric: de: progr:munes télé\'ÎS6 de:: la NRC
CONTINUE-T-IL A CACHER ET A NIER LA VÉRITÉ?
et de hi Fox où l'on avait donné une gr:mde
place à de telles hypothè.<oe.<o, en laissant s'ex-
primer cerr:ains sceptiques qui avaient fomlU- par CRISTOFORO BARBATO
Ié de lourdes critiques à l'encontre de
l' organisnle spatial américain.
Une polérnique :llimeruée par l'affromemenl
er) d irect en1re l':lSirOrl:lure Bu.r.z Aldrin e1 lm
de ses détracteurs, qui en est arrivé à deman-
der pour cene affaire de prêcer sermem sur la
Bible. Après un long silence, la NASA a
aujourd'hui décidé de répondre à ces accusa~
rions en lançant une véritable campagne,
donc le coûr esc d'environ 15.000 dollars,
afin de prouver définitivemenc que ces spé~
culacions som sans aucun fOndcmenc. Il s'a-
git d'tm projet médiatique:: que <.:crtains
exp<:rtl> one critiqué, e<\r - sdon c::ux - le f.l.it
d'ignorer les diffilmations aumit été plus pro-
ductif que dt: chc-rrher à convaincre lc:s scep-
tiques les plus acharnés.
La thèse sdon laqudle l'homme n'aurair pas
débarqué sur b Lune n ':1 rien de: nouve::;n1,
puisqu"en 197 5 l'Américain Bill Kaysing -
responsable pendam quelques années des
publications rcchniques de la Rockerdyne
Research Propulsion, qui projeta les propul-
seurs pour les missions spaciale.'i ApoiJo - a
envisagé cette évenrualicé dans son livre
"Nous ne sommes jamais allés sur la Lune".
K:-~ysing a <:herd1e: à prouvc::r que cert~~incs
pholographies prireç au cours des difTérentes
missions Apollo 0111 été m:1nipulées et réali-
séc::s dans des studios.
Il a condtl que:: ces opération:,, ainsi que l'en-
ter rt:mem deo:i do~ierS g~u:Hl1 S p:tr b NASA,
avaient pour objectif de faire une très rnau-
L'INCROYABLE CONVERSATION
D'ARMSTRONG ET ALDRIN ainsi la M<r tÙ /11 /r,JtiiJUillitl à 1 h 17 tb /'a- cc qui a :IClmé \on p:nron précédent d'avoir
Mai~ m~me ~i la NASA n'a jamai.s oonfirmé prh-rmdi. D'flprh rn-Illms rapports, jtls9u'à a ctnsuré le\ érni11~ions d'Apollo Il ainsi que
de tels événcmenu nl révélé volont:IÎremenc- jour non l'OIIflrmh, Nfil Anmrrong et Edwin cdle~ d 'auc re~ï missions - Aldrin et
comme le dOCI:trcnl u·ri ;IÏrb chercheurs) sur.-. 'Buzz' A/drin virmr des OVNIS p<u d< umpt Armstrong étaic:nc en train d'dlè<:tuer le::urs
tout Hoagl:tnd - l.t v~ric~ sur ce qui a été apri's l'aiuniuagr. }r mr wu11irm ttll()ir tmundu, explorations à une certaine diManœ du LF.M ,
découvC'n durant IQ différentes mis.~ïions spa .. dumnr i'tmiuùm tllivulr, un des rlna IZStr0- qu3nd !iOudain quelque chose .suscita la oon-
rialcs, des information) ont quand même nduU1 patÛT d'unr ..Jumifrf,. i) /'inrbÙu.r ou vers:alinn :anim~e u.pportée ci-dessous:
tr.l1lSpiré. Cn patt1culicr, le >pécialis1e améri- au-tlnsw d'un mmrr, t1 '1"' k Contrôk Arm.<-trong: "'Qu rsr-a qr« c 'at? Qu'est-cc qur
cain Don Wil)on, ~.tm\ son livre "'Our Mission dcm11nd.. plus tlïnform111i•ns. Mais •n t~l ntlm tk Duw? cm (QUI re que je lM!VX
\iystcn<>U\ S1>><e>hip Moon", publié en n "rnlmtlir rim dlurrt ":. tawir'" Conrrôk M">ion: -Q>.! 11•t•il lÀ·
1975, rappor1e une série de milations inhé- l.a (;nn~cruuôn sui,<tme. incroyable.. fut NK... (mauv;ai\C rcap1ion, bruits confus) ...
rentes aux diverses mjssions s-patiÀies ap1ée l"'' des radiœmatcuss en possession ContrôJ, Mw1on apf'lk ~ Il ... ~
des1inh.l .1 la "conquête" de la Lune. nW.s il d apJ'3rdl1 de ricep1ion VHh capables d'in- Apollo 11: ··en machtm wnt lnormn. mon-
rJc.:oncc « qui se .scr.lit récUcmcnt passé tert.'C'plcr la tr;;tn,mi\.,ions provenant de la sinlr! Gixnnrnqurl!. . Oh mon Din~! Vous nr
dur.ml l'aluniuagc historique d'Apollo Il, NASA. À <c: rnornem·l~. !'~mission télévisé< poumn pas k mnrr!... }< vow dis qu'il J 11
'urvenu le 20 juillet 1969. D'après ce qu'é- en dirc:u ~'interrompit pendant deux minu- d'aurrn vaÎJsraux spauaux IJ-bas... alif!lls sur
crie Wilson: '".•. Pendant que Mu·hatl CiJ!iùzs te.~ à cause de: la prétendue ·surr:haujj~ d'une la bortfu" loimmnr du craûrt.'.. . Ils som sur la
orbitait autour dr la l.rmt dtms k moduk tk ramira ... mais l'~mi.ssiun r.tpponée fut clj_ire- Lunr rn train dr nous r~ardtr!" Encore
commamb, Nril Armstrong et Edwin A/drin mcnr captée par de~ c.:cnt;.tin~ t.I':Hna!eu~ Bindc1\ comme on peut le lire dan!) le livre de
dtrrnulinm vtnlr Joi lunain,) bord du modu.. radio. Selon Onu Bindcr - qui f:.tisotit partie Don Wilson; '"NnNinllrmmr, ii n J a t<U aucu-
/, d'rxpk!rnti011 lunairr (LEM), r<joignam à l'époque du programme spatial de la NASA ru ctmfinnlllion ojficirlk de rrt incroyable rdp-
---
Photographies de deu.x
formes lumineu5e5
--..p,;...
d' .lj>ollo u pondant
qu'il orbitait artow
..,
delal.one•
port dr la pnrt dr la NASA 011 dr qurlqur ""'" \.emre de Ctmtrôle appelle Apollo 11. Europe.
au.roriti. Nous lU' gnrantissom pas son tturJun~ A. et A.: "Nous awns vu qu~lqu~s visitrurs. Ils Professeur: "Que se passa-t-il réellement 1~
riritl. mais si rout alli tsf vmi, nous pnuvf.ms sont rcstis là pour qu~ique umps. n ils ont dehors, duram la l'nission Apollo 1 1?
diduiw qut k Contrô!t MU!ùm a hésité au obsrrvt ln in.stn.tm.tnrs ': Armsrrong: Ce ltlt qudqu" chose d'incroya-
dlbut, durchant à prrndrt unr décision, puis il H .: "Rfpftrz, rtpltrz!" ble. Cc:rtes, nous avions toujours su que- cela
s'est "!Jii! ctml1nt un hlri.rstJTI ~n Qrdonnant A. ct A.: "Laissez-nous sondn usu orbiu. . di! pt)uvait être possible::-. Le fàit c~:rt que nous
aux asrronauus qui haimt dncmdu.s sur la 625 à 5... La connexion nutomatiqur Nt avons été sommés de quiller le.~ï lieux! À l'c;;-
Lunr d'oublirr a q-u'ils avai~m vu tf dt rtsll!r acr.ivü. . . M~s mains rrembknt ulinne1lf quej~ poquc il érajc absolumem hors de question
ra!mt's er indijflrmrs. commr si ritll 1/t s'hait n1t"ivl! à n"tn foir('. Le filmer? Oh mon Dieu! de construire une station spaciale ou une
pnssf. Aprh touJ, prrsqur 600 millions tÛ prr- Si Ct1 satrl.tt t:amiras ont enregisni qurlqut Ville Lunaire.
somJf'i dam ft monik mtiN' hoimt rn train t:hvse, aWrs qu'est-cr quis~ pass~m?" Professeur: "Qu'emende-1.-vous par 'nous
d'lc(ltttn .. llvtc lt soujjlr coupl - chaqu~ mot H .: "AIIfZ- 1!11111 mrrgistr! quelqllf cb.u>" a ..·ons ~1.é sommés de quitte r les lieux' "?
prononrl pttr ks d~x prrmit!rs homma qui A. et A.: 'Je 11 @ais pns dr film à ma porl!e. Armsr rong: Je ne peux pas rentrtr dans le
laùsèrt'tJt bun rraas sur la Lrmt>". Trois prises rk vue des disqu.ts ou de fJUOi t.p~.t u détail, je peux seulement VO\l.S dire que leurs
soir d'ttulrt:, qui it4itmt en train d'rndom11111Ker vaisseaux spaciaux étaicm de loin supérieurs
CES DEUX MINUTES k film ". am:. nôtres, cam par leurs dimensions que par
MANQUANTES H. : "/.~miroirs. ks miroirs: rst-cr q~t.t liOUJ l.ts leur technologie. Mince com me ils élaienl
En 1987, le livre "Celestial Rise'' (Aube awz inJMIJi?" grand<i! ... el men:lÇ:llHS! Non, la possibilité
Céleste) d e Richard Wac..çon, rapport..ail in A. c:.t A: "Oui, ils sont au bon mdroù. Mais de cor1sr ruire une St:t1ion sp:uialc: était hors
ext enso le surp renant dialogue d 'Apollo Il quiconqu~ a t:onsrruir ces vaisseaux spatiaux de qucsüon.
cité plus haut, cd qu 'il a été capté par des pn~t siJmnnu UMurnrr demdin et les enlever. Professeur: "Mais la NASA envoya d'aurres
centaines d':unate::urs radio aux l!tats-Unis: Urminl". missions après Apollo IL .. "
'"Ouram l'émission c;:n d ireu qui montrait Une désinformation orchesrrée par la C1A? Armstrong: Naturellement. La NASA s'était
l'a.lunisS3ge d'Armstrong et Aldrin - qui Dans son livre "lleyon Top Secret", l'ufo lo- engJgée à le làirc, à l'époque, ct d ie ne pou-
n:joignirent la Lune à bord d 'une navette gue 1i rnorhy Good - au sujet d 'une possible: vait risquer de semer la panique sur la ~lêr re.
américain e - il y e ut dclLx minutes de silence 1'e r1COIH re r:lppro<.:héc: que;: les astronautes Mais en réalité il s'agissait d 'une rocade e1
p<:ndant lcsqudl.,; les images ct le son furent d 'Apollo auraiel)t eu - r.•pportc;: un morceau d'une fugue. Toujours dans son livre. Good
inlt:rromptL.\. d 'une conversation qu'il cenait de source r:•pporte quelques déclarntions de J'ufologuc
La NASA a toujours SOulenu que;: <.:t:. problè- sûre~ il lui avait été cédé par le service de ren- russe. M r Vladimir A.z.hazha, selon lcqud
me étair c:1usé p:lr l:t surd,aulfc: d'une;: dt".s seignements britann ique. La convers.1cion en ArlfnSlrong a transnùs au Contrôle: Mission
caméras, qui a interféré avc;:c la réception. Cc question avait eu lieu emre un professeur un rnc.;s:;agc;: qui parlait des deux grands objets
problème;: imprévu a également surpris les (q u i a demandé l'anonym>t) et Neil mystérieux. qui les observaient après avoir
spc:.çtau.:urs les plus qualifiés, qui ne furent Armstrong. lors d'un congrès ti~ b NASA en atterri près du module )unairc. tv1ais cc texte
p:t$ eu m~\J re d 'expliqut r comment - dans le
cadre d'un projet si ooûteux - un des inst ru-
ments les plus important.<; pouvait tomber en
panne ... Peu de remps aprè.< le débarque-
mene h istorique sur la Lune, le directeur de 1~
ba.e de HOtm on, Christopher Craft, 6t quel-
q ues décb r:u ions s-.~rprename:, q uand il
abandonna la NASA, dotu le contc:nu a été
confi rmé par des centaines d'amateurs radio
qui one syntonisé leurs stations sur la m~me
fréquence utilisée par le-s astro nautes.
Pendant les deux minutes d'interruption, la
NASA a censuré tant le son que l'image.
Void la version intégrale de la conversation
qui a tu lieu emre les astronautes ct le Ccnrre
de C.ontrôl~:
Armstrong ec Al drin: Y."n (Jbjets sont gigan-
trsquts. Non. non. n(m .. . (~ n't-1t p11s un~ illu-
sùm d'optiqu~. Pmonnt: n~ croira d un~ chos~
partillr1 ~
Hou_<con (C h risropher Cr:ill) : "Quoi?. ..
Quoi?.. . Quoi> Qu- du,ble s. p11ss<-t-ii> Qu 'r.st-
ct'qui tu va pas?"
A. et A.: ''Ils JOIIt là, sous la surfocr".
H .: "Qu'nt qu'il y a. .• là?" (bruir de fond)
communkation ooupé<-; in terfé rences; le
(voir ene rdilc::t ci-dessous. sur le rapport de la ditutrr.s p~nom1a ortupnnr dnptJJtn dr mpon-
NSA).
Le llrooking lns[Îlute rétlige:a un r"ppon
Sttbi!itl du cas où "'" ulll' dtrtmvtrU smlit
. ,.
fi'illlt'. .
...
intitulé "' Proposed .SLUdit..' un the La possibilité d'une 1>reuve irréfuublc de
L formes de vie extraterrestres ou de pi~ces s'y rapportant, le but de cette monographie est de donner briMment quelques
daterait d'une époque antérieure à la constitution de la éclaircissements sur les Implications ayant trait à la survie de l'hu·
NASA. Parmi les documents qui exhortaient à adopter un tel com- manité et suggérées par les principales hypothèses sur la nature du
portement. souhaité par les autorités gouvernementales, il y a lieu phénomène connu en général sous le nom OVN 1. (... Omission ...)
de mentionner: le "Rapport sur les rencontres du Comité s) Certains OVNI sont l'expression évidente d'une intelligence
Consultatif Scientifique sur les Objets Volants Non Identifiés - extraterrestre. Selon plusieurs savants éminents, il y a lieu d'en
convoqué par la CIA du 14 au 18 janvier 1953". Dans la conclusion. tenir compte, ne serait-ce qu' en prévision des multiples consé-
on peut lire: "le récit réitéré et exa- quences que cela pourrait avoir
géré de ces phénomènes (ren- sur la survie de l 'humanité. les
contre avec des OVNIS) finit par deux points suivants pourraient
devenir, en ces temps tourmentés, bien les résumer:
une menace pour le bon fonction· a) Il a été mai ntes fois prouvé,
nement des organes destinés à tout au long de l' histoire humai·
protéger la classe politique". (Par ne, qu'une confrontation entre
la suite. cette commission fut nom· une civilisation supéri eure au
mée 'Robertson Panel'). Un autre point de vue technologique et un
document, encore plus éloquent, peuple moins avancé peut avoir
rédigé en 1968 par la National des effets tragiques. En général,
"·~ ·~r ! .Ill! . .u.:"GPTI) r.J.TIIIhTl . . . . lftl_lUCJtl('l: ..~. .,.,
Security Agency (NSA) à la deman- je . ... uÎÎ î u ...u . h , .. ,....... ,, • . •• celui qui est "Inférieur" subit une
IIJJ'fli>n?~. . • •••Mr • t ftr•UH~i,l ""' ' nn • • htH nll• • •
de du président lyndon Johnson, t/ ..,..., ~bltt 1 "'' ,.,...., • • the ••f • e•h ,.._ t.ro t tr r~ ••ll • ' ' • invasion sur le plan matériel.
,_,, . . h u - " ' '- • • • ,.._.._•Jtoci ..JI' "'""'h~ d • tl laoo ll•...,
est celui intitulé " UFO HVPOTHE· • lhiMdetlctUJ lahn• ...,.,h n.. "hh•l.-" U - • II.J' n• )f t l b) Dans la confrontation de deux
te ...,,, u •l ,_,t.
SIS AND SURVIVAl QUESTIONS" "'/ 1• ••rr-hU• " ' " - h• ,...,., .. .t eJr.&flc~tl.J tllfh " ' '
peuples très différents au point
" ' ' " '' , lu•h , ,.,_. M•l..,. tM t.hrt• • t.·• •tdlo cd h ot ,
(hypothèse sur tes OVNIS et pro· - • .,,. • .,.,,., • or-ck r - •• •••Ult - ,.,. - n, ~-... • de vue culturel, celui dont la cul·
•r ... tU•r ••••;,. ,
blêmes de survie), dont le contenu ture est inf~rieure ou moins virile
(partiellement dégagé de la censu- subit fréquemment une perte tra-
re le 13 novembre 1984, à travers le gique d'identité, et te plus sou-
FOIA " Freedom Of Information vent, il est assimilé par l'autre.
Act", Décret-loi sur la liberté d'in· 6) Commentai re: Une analyse de
formation en vigueur aux ttats· ce phénom~ne devrait être faite
Unis qui permet de délivrer, sur avec une certaine urgence. afin de
demande, des documents à t'origine censurés) boen que présentant bien mettre en évidence la menace qui incombe et de définir avec
encore des passages censurés, permet d'envisager, du moins pour prkision sa vraie nature. Elle devrait permettre de d~elopper des
l 'essentiel, les implications possibles pour la survie du genre mesures défensives ad~uates en un temps mini me. On pourrait
humain, en se basant sur les hypothèses suggérées par ce genre de dire, au moins en partie, que cet instinct de conservation a de nou-
phénomène. Nous donnons ci-dessous la traduction du texte men- veau occupé le devant de la scène à cause du problème soulevé par
tionné. les OVNIS.
l'nistcncc d'une vic o:tr"l.ltrrcsuc imc:lligen- mièro missions sparialo - b. possibilité de aur.ai1 eu lieu à la base de ~.funx.. en préscnu
tt" poUlTil.lt 01\-"(tÎr des co~uc:nccs bien !,'1"3- d~couvrir des objcn fJbnquk d'origine d'~nhowcL Du T<Sic, une alfumation de
vcs $Ur l'<ng;.tnÏS:UÎOn SOC'iopolitique~ et inconnue sur \fars ea <ur la Lune. Et c'c:s{ c;:c et gmrc powrah sembler tOut ~fait gr.nuirc.
inciter1.1 population à sc poxr plus d'une qu1 a cu lieu c::ffecti... emtnt. Mais un F.ût reste:: cenain. du moins au poiru
qucsdon. Il y ;1 lieu, <ÙI'IS cc cas, de :.'insp irer c.,t. veut dire que déj~ ~ cette ~poque-là, qui de vue officiel: l'homme n'est jamais plm
du pUS)ligc .suiv:m t: "L 'amplmr tin rlpn-t uJ- remonte à 40 ans, q uelqu'un avait connai~ recournt sur la Lune. *
Jiom pulitiquts o-u J.()('Îillrs r/Jpnui pn1babk sancc de: f.tjc:. réel.:; et d'événements jamai.:;
mrm dt! lA mmlim Mnr la clrmr dirig~anu d ivulgué\. "-OlE
inurpr+u (1) son rôk-, dr lA fof'ln (2) dom rr .M.ti\ commen t cda érair-il Pf"'iblt si l'hom~ (1) RApport sur k Ûmlll pour la Sâm« r1
J,.,;" ptut mr mrmu-1, n (3) dr lopporru· mt n'éuil pas encore arri\C l. b. Lune:? ll ~ I'Am."""IÏ.tfw. Chamb" Jn {kp11th tin ÉwiS·
nul, t.Jnl ""Ir pktn natronJI 'l" ïnJi•oit!Mrt tk l""" que l'on soit parv<"nu l de tdles conclu· u..u, s-, C.ongrts. ,,..,.,,;,. I<UIItn. n • 242: prt>-
IÎrtr proftr Ju bouln'mnnt'nl ou Ju rrnforu· ~iom gf'lce à des informatiun\ obtenues par fHJIÙJqnJ J"hwk sur ln impbratums tÛ1 anivir.h
mnrt dn tlffitutks er drs r.,af-turs d'autrui". "J'nulrts ooin ". !parut/a pacifiqutt pour ln qwttùms hwnainn.
A notre avis, l'un de::. points les plus d écon- n 'aucuns pourraient faire remarquer que l'rfpnrl f"Jur la NASA pnr Ir llrvokiug !tmilutr
ccn~ts d\1 Rrooking Report est rc::pr~ru é qu:urc ans auparavant, en 1954, le première tt mvrt)'l '"' Comitl tÛ lA Wlmk Houst tk /'J:."'rat
par le fdic qu'il n'exclue pas- c:n vue des pre- rencontre officielle lvec des cxtratem::stn=s dr l'Union, Ir /8 am·;/ 1961.
P
etui> no des années, le gouverne- pour l'rnnpc atOmJqu< ct par l'administra·
ment .ml~ricain avait soutenu radiuion\, F.n outrc, plus de 600.000 person- tion pour b rtehcrchc ct le db-eloppement de
que •cul 3% des déchets nes ont tr.a~o·Jillé dl.n.S les installations atomi- l'énersie. Le npport souligne: /'objt<tifprinri-
nudé:&irb J.V'.t.it été enterrés dans que>, ép;orpillées dans toute l'Amérique, à pal tk rn tXpbimcn nr tk mnuTrr tÜmummt
le sol ou nv:ticnc ét~ enfermés dans des conte- p.onir de 1!>13. L>cpuis
lon;, des millions de ln 1fiu hio~qun du matbi•l mdi~actif.
neurs de f:tihle fo•b ilité, alors que les 9ï% qui kilograrnmes de déchets rndioo<.."tif:, on1 été ing!rl ou inbAil. n tir mtsuw !~ tnnps llictssai-
rc.stcnt avaieru é1~ placés dans des <.:onteneurs éparpillé.< dai'IS l'environnement t:t des som# rt à l'nbsorprion dr t'ts suhsumus mdioartim
à haurc 'l.é(;urité. M:tîntcnaJu les frats-Unis rne.< énorme.< d'argent seront nécessa.ires pour par/, rorpt IJumni11. T:tnt la (JAque la NASA,
one admii qu'il, en .1.vaknt sow.-cscimé l'im- h~ déc,;onramin:u ion des territoires (1~ <:Stirna- avec l'aide de l'Aoomic Fnergy Commission
portance. l" "'"' sl'2nde panic des dé.chtts tio"' parlent de plus de 200 milliards de dol- de la ba.sc d'Oal< Ridge (une des "villes acomi-
nudéairo, en efTet. a été 'logée' dans le sol lar<). De plus, ~ f>.udra tonir compte du qucs réalisées dunnt 1< Manhattan Projcct),
dur.1n1 les d«cnnia marquéa p:ar ht course nombre indéfini de: trav.ltlleu"' et de civils soumirent plu~ de 200 personnes. atteintes
lux armtmtnts. tt la dechéU, produ.ir.s entre sÛfc'm('nt ct irrip;ar.ahlc.mem comaminés. & d'un ç;nlU:r. l des r.ad.i~tiow à haute intensi•c!~
le début des années 40 ct r. fon des années -o, puis, il nt a:min que des milliers de femmes, dan) un but d'ttudc.
oont...Wnn un ~ pourttnt.IS" de pluto· d'hommo n d'en(.,,., om été utilisés colllJll<
nium. ooba~ n !Otomi') des émissions de substan- L'URANIUM DES HOPIS
ces radioorn= ,r,., le but d'en étudier les le gotl\crnement des tlats-UM continue.
LES VICTIMES DES RADIATIONS dfru. impc:"urOOblt. l violer encore: i-ujourd'hui les
Il est difficil<.["''"l"• impossible, de définir le F n novc:mhre 1986. une Conunission du droit.. hum;liru des tndicn.s de I'Ari.wJla, en les
nombre de c..ito)·tn.s unéricains morts de Congrès a publié un ra.pport sigJlÎ~ç:orif imi- expropriant de leur) terres pour &voriscr les
"'mon ')ilc:ncieuse"' dans les années qui ~uivi rulé '" Le< cob"1ycs améric;Üns: treure ans intérêts des multin.uionJie."i. l.e."ï Navajos ct les
rem la Seconde Guerre Mondiale. d'expériences sur les r.tdiOJ.tiom f.tjl~ sur de.< Hopis cherchent A~ÏMt:r en promouvant leur
Après Hiro,h irnn e1 Nagasaki, lors des tests d ooyeo><de< Ltats·Unis.ll s'agird'expériences culrurc, soutenu) p;.lr de~ :•s.'>ociations cr des
effectué. emre 1 9~5 ct 1962 dans I'Qçéan :mtori~ée$, promues ct financées par le personnaf.!tCS sensible), ulignés sur leur grande
Padfiqne él dans le désert du Nev"dda, plus tle ''Mar1hana1'1 Projcct", par 1~ Conunl~ÎO I'I [(adition. Il suffit de n:~rJrder au-ddà des car-
- -1M5 at 1!112.
....
""
tes ofroadks potar s'apcrt:c''Oir que les oarilS imensif, m:ais SOU\'Cnt aussi, à cause de la
du Big \1oumn VÎ\'COt, pour kur malheur, au· d.!durgc de déchm toxiques, à bquelle il fauc
de<stt\ de: ri<.hcs gucmcnts de: houille et d'W':I· ajouter les cxpnicncc:s nucléaires, effeau&:s
niurn. Hd»J malgré la protestations des chefs ;au~us ct cn dessous du terrain où ils se:
rradidonncl;, et rclig.cux, à Black Mesa - un lrQU\'C:OC.
peu plw au Nord, ~ur une surface louée par Je Les com~quem.c.\ de cc:ne policiqut: d cvicn·
Tribal Coundl de< Hopi< et des Navajos en nem manife.<tes • ~urwut dans les grands Pays
1'196 - la l'e.1hody (actutUtmtnt propriété tels que l'Inde c t l'Afrique· dans les nombreux
angl:~i<e) y tr:ov.1ilk pour 40.000.000 de dol· cas O~J des cnfùms naissent atteints de malfor·
lar~ p.~r .m. Une !lOmm e considérable, il n'y a m~u ion.s, mais aussi à cause des signes éviaenLS
pas~ dire! laissb sur le:> corps de C.ClL'< qui one été exposés
En outre, d'aprè< une cscimacion réccmc, la ?a. des WU!\;~ r.~di oactives.
société vendrait l'ur:lniurn 3 22 doUars par
tonne. concrai~ment au coût effeCtif de: 12 USA. DES INVESTISSEMENTS
centimes de dollar par con nt. ASTRONOMIQUES
U y a longternp< qut la 1\:abody - qui compte Un rappon de la majorité républicaine à la
-oo n.,if< amériain• parmi ses employés - Corn rn i»•on Commerce du Congrès des
cherche • a<:croicro"" aerivités d'aploiarion Ëu ..... Uni• • "'odu poblic qu'uoc grande par·
dca n:ssow= narurtlles, en 5è moquanc dca tic des sy.c~mo l h.1u1< rtchnologie, réalisés
coruéqucnccs sur l'environnemem, e. en )(: rn Amérique au cour< des 1 1 demi® années
pou»ant \'m l'intérieur, où les natifs qui wnt pour chercher à dépolluer les dépôts radioac·
rt><6 • lcs llopis et les Navajo. ré<istenc avc:c tifs. au co(u de 3,4 milliards de doUar> (plus de
ténadcf. couragt: et amour pour leu r terre (cc: 3.5 milliuds d'euros), 0111 complètement
n'est pas de la a·hétorique, c'es1 un fait) contre échoué. Les ~cèmes dt dépollution .c .ont
ces accords 5ign~ par des cher.~ imposés. dans av~r~s tellement ineffietœs ctu'ils ont été qua-
IQqucU ils ne sc rcconnais.coem pa~. Cinq lifiés d ï nutilis•blcs. le r:lppnrc est sens:ltion·
Pr~idc:nt~, le Congrès, les tribunaux et le..'> nd ct jette unt ombre sur le pmjec du
nualtin.nionaJC) n'ont pas encore réussi à dér.t- "D<:p:trtmcnt ofEncrgy" (Ministère de I'Ëner-
"-incr le$ dissidents q ui refusent d'être gic des ttau·Unis) qui prévoit le nenoyage dt
ttamféré>. A l'ichdle planéuire, les indigèn<> tow les dépôts de décheu radiooaifs améri·
wnt contrainrs de s'8oign~ des lieux où ib c:a.uu d. ici b fin du si«<e, en in••fStÎ$-SAnt 200
ont ''écu depuis toujours. à cause de l'appau· nullwds de: dolbrs.
vri~t du wl, dû à l'activité frénétique
d'au<Jction min~rale ct dc déboisement RUSSIE. DES FLEUVES
CONTAMIN(S
[)'aJ>tè> une nou"clle, dilfuséc il y a deux
moi~, une: c_oquipc fonnét de savants améri-
cains et russes- après la fermeturt dt l:a ccn .. vues à ce< effet. Le I)'St~me 5<mÎt composé ITALIE. DES AFFAIRES RENTABLES
tr.tlc de: Tchernobyl- a découvert une v:a.leur d'un genre de <Orpilles en acier, appdécs AVEC PEU DE RISQUES
si élevée de la radioactivité dans le> neuve• "pénérrareun", ou à double charge crewc qui, La crimin:1l ih~ o rganisée manifeste un reg:;ain
Romashko et Tom qu'elle les a dassé> p:trmi une fois remplies dC' COntt'neurs de déchers d'imérêt pour la genion de cc busines~, qui
les plus dangereux du monde. U oomamina· nucléaires, scraiem rdlchées dans l'eau ou est "~m;~ble" loue en ne comporr.m1que peu
tion - la. plw é[endue que l'on 1i1 jamais "tirées", en O)':lnt recours l différemcs rechni· de: rh:ques.
consatéc (les •pécialisres d~nt qu'elle dépa$- ques, ven le fond dela mer, en les cnfuuissan< Selon une cstimarion digne de foi, le uafic
>ede loin le désasuc de T chcrnob)il, est q;.Je à quelques diain<S de m~rn:s daru les couches illici<e des déchrn radioac<ifs rapporte seu·
li cdlc produit< par au moins 10.000 œntnles argikuscs. Le proje< de I'ODM. qui pré\-oi< la lemcm en ce qui concerne l'Italie - environ
nucléatres. la nom-dk est également con- oonmuccion ct l'emploi de 540 pénétran:urs 600 millt•uls delires. Souvcm des fO" e< des-
firmée d>ns le "Gm'l'fllcmenr Accounabiliry chaque année, consi)lc donc 1 uaruformc-r lc::s citernes ~nt ex~diés à l'étranger, en choisis·
Projcc<'l Officè de Scaule. I.. ou~e d'une caux de I'Af<ique du Sud en la poubc:Ue sam ""'tc beaucoup de soin lc:s destin;uioru
pollution awsi gigamcsque est officiellemem nucléaire du monde. fon:ole<. On préfhe. évidemment, deo nations
inconnue, mais vu que dans la 20ne placée déchirées par les guerres civiles, où il est plus
sous le contrôle milimire il y o deux centrales ITALIE. RECONVERSION f.1cile de disposer de "puits creu<<'< dans le
nudé:aircs, la contamination peut être facile~ La reconversion des cemrales nucléaires a été territoire'", en échange. de diiYérenres fourni-
mcm :attribuée à un ou plus-ieurs rbacurs dfocruéc, nuis il exiSie encore 21 dépôiS de tures (~lon certains chercheur~: fournitures
tenus rigoureusement ..sec.retS ... lc:s savantS ont déchrn radioaaif> répartis en particulier au d'ormes, de drogue. linancemen<s ~levés à
alen~ I'AU:A (l'Agence lmcm21ionalc de I'Jl.. centre ct dans le nord. Il est prC:.u à coun de> adversaires en lune).
nergie Atomique:) qui travaille sow l'égide des renne b m~ au point de projeu dcs<inés li Ici il y a lieu de mentionner les affiUres obs·
Narioru Unia: ct qui exerce une fonaion ck fou mir une solution d8inin~ l tr.t\-t:CS deux cures, irresolues jwqu'à ce jour, de trafic.
vigilance sur l'utiJjS2[ÎOn l'énergie atomique. grands si<e.s qui seront riali!és à s..luggU, daru intC'rnacionaux.: li6 ~ l'homicide dt la journa-
Jo province de Verceil. e< à Trisaia, dans la pro- liste Ilario Alpi.
AFRIQUE DU SUD. LE CAS ODM vince de Marera. Seront·ils vraiment nova- En conclusion. i1 est priorir.aire d'tchanger et
L'enterrement dc. déchetS au fond des océans, teurs? Le gouvernement a affirmé: "Le pr(Jjd d de difFuser des infonrt3tÎOI'I$ avant qu'il ne
formellement interdit p.ar la Convention mnpli dmx conditions: stmritl absolu~ tk ln soir trop tard.
lnrema<ion~le de Londres, es< l'obje< de l'acti· p<tpulnrilm " dlm>issllllrr dans k umps tk la Nous devons :abandonner )a mcnraliré du
vi<é promue par la société Oceanic Disposai mdioat'riviti midurlk. S..ns rt/lgun à /izrri)rt. ..tour jct.lblt: .. 1 si chère à norrr culrurc1 tt
Mmagcmen< lnc. (OD~i). En nui 1995, plmt 14 l{tdftum tb 14 skllnrl sismU{.u (N.d.r. nous oricmer \'trs des matériaux facilcmeru
1'00~1 - dont le siège légal se trou\T rue les /Jtali~ t1t amsùlir« ((lm~ UM nAJÙtn à hau1 rccycbblcs.
Tlts VK:rgcs ct dont le apical social se monte à risqu~ sismiqru), uN pntb ((lntributittn nous En ancndant que les représencam:s politiques
20 millions de dolbn - a concacr< la société nr fournù l"" I'Enra qut ,.,•..,,fk .l &fogt~<, k now prot~nt mieux, .soyons conscients de
sud·afriaùnc Atomic Energy Corporation. Glis. L 'inltallation tb S..luœa S<Ta rlalisl~ grâr~ notrt pouvoir de cico)--ens consommateur).
Ltd. à Pretoria, afin de promouvoir un pro-- à unr nour,~/k tr<hno/ogit qui pttwù la virrifi· Les lobbies nucléaires som en réali<~ des
gramme pour le dévdoppcmem d'octivit~ de cation tk rlichm, aûm qu ·~ Trisaia, nous urili· colos;,cs :aux pieds d'argile. qui .s·appuicnt sur
rrnnspon el d'enfouissement deS d~ hets seron.s un proctssw tk cimmullion, m pla{-1Znr its des g:ointe< des affaires louches d'lttnt ...
radioactifs dans J'océan, dans des zones pr<!· dlt'h~rs dans drs cont-i'ntwrs spldntiX t11 dmm.r': mais cela, le "Peuple de Seatrle" le <ait d~jà. *
53
L
u début des années 50, cc "Théorie des Apparences", résult:n d< 30 ans par cc fluide. En effet, Todcschini démontre
_••
eux des courantS électriques qui, m~apsychiques (télépathi~. rhabdomancie, cap<~·
retransmis par les lignes ner- crtk thbaJWutiques dt>s gu~rl\.,fUtS, télékinésie.
JtE .CNO D l 1' AL1.4
1
veuses au çcrvc:g,u, suscitent dans ~pirltl~ïmP, etc.) et de tév~ter dahemént les causes
MlN ISTBR O l)BLLE CORPO R AZ:IONI la psyché )<:..') ~ll'hlttons de lumiè- tl 10\ tffers de l'hyp~. do r•lt<ltoMagnérothé-
_.._~~
K, ékctricité. th~lcur, son. etc.. rapt4P', dt rawpunclure. ôt Li dermouo&ogie. de la
révélant amtl b mcn-cillc:usc I>Sv<ha,.lv'<', de 1o ..,.fbrotlli<•P'<'· de l'homlo-
rcclmologîc ékcuonique de rous pa1I'W, cw l'orgonom•e. M t·•,mculothkapie. de
les organes du système nerveux; l'•mmunologie, etc... ~c. Ellf con\l•tu., fg:ate:me:nt
• enfin, une: partie psychique-: une malik(' d'~udf' pOur lt~ phy\i,lfnS, chlmis1es,
cHe fournit la preuve scientifique ing~nifur~, industriels, m~decJM. philosophes.
de l'cxistcntc: de: l'.lmc humaine, th~otoalens, savants et profcsseui'S de toutes les
du monde ~piriwcl ct de Die1.1. bf'1nc.hts du savoir. C'est pour cene raison que
beaucoup de <ha;res d• l>'v<i>oboophysique "'"'
RAPPORTS nf<s on Europe et on ~,.. En plu-, ~ pnn-
AVEC L' {GLISE c pes ont ftê repris dans ~s tiYrH. ut isk dans les
1 ? En aoûr 1950. le furur l'apc Jean un~rs.tk et les instituts. CtS mfmts pfinc;ipes ont
Ï/'~:
XXII I rencomre lbdeschini ct, ét~ ex.posês par des savants dans d~s milliers d'ar·
après une sfric d'cnrrcciens, il (uj tictes parus dans di~rs journau~. reovuPS, livrE:~$,
r-·r-·
propose un cycle de conférences ainsi qu'à travers des confirtnct\ lia radio et à la
pour diffuser sa théorie à Paris cr téifvision. Après sa mort, la localitf de Val~a di
runs d'autres villes de la ~rance,
._..."
1 où Mgr Roncalli orair alors
B<rsamo lu a dédié la place P""<ipalo où el • a
pla(~ un MOnurnent en soo honntur.
:-;once Aposroliquc.
' Mais vu que cc dernier fut > BIBUOGRAPHIE
nommé Cardrnal de Venise. le Ses principales publications sont:
projet a subi dC5 retards. l'ar la • La tMorle des apparences
.'
' ·;
tïuice il fut mis .à cxéculÏon sur la
denundc du l'résident du
• La Psy<hobiophysique
• Qutlle est la dé de l'unMr1
Conseil des Mmiun::s français. • l'ururation de ta Ntitre tt~ ses
Bi<bulr. cr du Mini.<rre de l'Édu- t,h.tf"''pS de force
cation Nacionllt. lletir. • U.péntnces dêcisiws poiJf la phySique moderne
Todes:hini .s-en. nomm~ Membre • Sc-ttnc.e universelle
des Académie..\ Sderu ifiques de
S.1Înt·É1ienne, de Vjler)Ce e1 de "' c1ui p~nèr re les r'nystè1·es du cn.tïmos e1
Paris, et on lui oiT'rira la "bmpe <.:hC'rt.hc d,1 11~ le SOtL.\-M,I I;I ~.;.IU\c! profonde de....
de: miueur'" ...ymhole de: l:t lumi~- phc:nomènc:.\. *
mm · IIEŒMBRE 2003 57
......,_....,,._
___
-70.
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.. , "'
3...Poo
•
blishmtnt" militaire ou gouvernemental er de paramèrres interprétatifs er suhjeccifs que J'on
tous les phénomènes qui répondem au "ct voudraic évicer. 11 s·agic par conséquent d'une
n'est pas possible: dom: (4 n'exi.su pm'' (et qui opéra[ion :tl'hicraire> puisque le d10ix d'url tel
n'one jamais reçu l'attention qu'ils rnéri- modèle exclur:}it forcémenr les aurres
raicnr). que nous pouvon:. affirmer :lujour- modèles potentiels et les autres "iden1i1és''
d'hui que la rccher<:he "fologiq"e a obtenu possihles des OVNIS. La reproduc<ihilité des
d'indéniabl~ r6uh3tS. Ces ré.o;u]rat.(O mêmes effeL~ perçLL~ esc différeme, er elle re~ae rou ..
qui ont p<:rmis à ceux qui om su cr voulu les jours possible, mais die s'avère être peu utile
voir sous un nouvea~t jour de prendre au point de vue galiléen.
consdencc de la réalité intelligence et rec:hno-
Jogique qui caractérise Je phénomène OVN 1. AU-DELÀ DE l'APPARENCE
C'est J'applkation de la "méthode scientifique" L'approcl>e scientifique appliquée à ce
rradirionndlc qui a rendu possible la réalisa- domaine s'est donc révélée lnçomplète et en
tion de ces objccri&. Mais c'est surtout le fajr partie inachevée, vu qu'elle aurait p\1 et dlr
d'être conscient dts limites de la méthode engendrer des grandes révolutions de la pen-
elle-même qui a emp<!ché les "folog"es (d" sée, mai!> ceUes-ci sont restées à mj-chemirl. Il
moim les plu.o; "éclairés" d'entre: eux) de: tom- ne: fàut pas oublier, c:n effet, que la science
ber dans J'erre\lr commise par le< disciples explique le "comment" des choses mais non
mêmes de Galilée. Par c.xemple, si lill nornbre le "pourquoi". Nous comprenons àlors J'em-
impressionnant de: personnes dans le monde:: barras de c:eux qui n 'estiment plus l>uffisantes
entier .. apparccnanr à des races, rdigiOn!>. cc::rmines explications, souvent fo rcées ou
culrurcs, croyances. classes sociales et niveaux tom à f.'lit inconsistantes, q\ri nous som ser-
d'instruction très différents errtre eux- aflir- vies avc.x:: ~.rne certitude et une désirwolwre
menc qu'elles om été c::rtlevées p;)r les extra- extrêmes. lJ est nécessaire de rendre complète
ccrrcscrcs ct racomc:m les mêmes dérujls. on la méthode scientifique ~tfin q\r'eUe soit un
soutiem que "les enlevés n'existent pas ... ingrédient. une phase:: d\r processm cognjtif,
parce qu'il n'est pas possible de dépasser la c:.t non une conclusion ou. o.: qui c:sr pire, un
vicesse de la lumière:"! orade qui débite des vérités absol"es en appa-
raissant trop souveru inviolable et inébran-
LA DtMONSTRATION FORCÉE lable. Et p\IÎS il v:t\lt la peine de citer ce qui a
Ainsi, les OVNI n'cxistc:nt pas. parce que s-i été ex.primé p;)r un fameux logicien et malhé-
J'on affirme le contraire il fJut bien le maticic:n. Bertrand R\rssdl. qui. dans son
démomrer; alors que l'assertion opposée:.• ouvrage "Mysticisme ct logique". affirmait:
claire er résolue, n'est soumise à auc.:un ''Dans tqurrsles st'Îences on r.Wit disn'nguer deux
concrôlc. Er là on oublie que toute affirma- sorrQ de lois: t()ut d'abord, r.lle1 qui sqn1 vlri-
t ion. quelle qu'elle soir, doit être soutenue fobies t>xpirùmmralermmr. mais qui ne .sont
par des preuve.<;. Aussi, si je dis que les Crop probnN~mmt qu 'approximarillt'1; tT cr/les qui
Circks (les mystérieuses formations qui appa- '"som pas vtriftnb/rs, mais qui som probabk-
raissc:nt dans les champs cultivés du monde mmt .xacm., [ 1)
entier) om été réalisés au moyen d'une corde La contradiction apparente emre l'uciliré de
ct d'un piquet, je dois le démontrer. Si j'affir- la méthode scientifique er l'étroitesse de la
me que le tbnoirl :1 eu une haJiucination, je science nous porte à fajre une première consi-
dois le prouver, et ainsi de suite. Nous pou.. dération méthodologique: l'approche empi-
vons tout au plu.<; - mais sans que la chose rique esc nécc:.ssairc: à un premier niveau
nou!l conv3Îrlque pour autant - voir recon .. cognitif, celui qui nous permet de distinguer,
nue l'existence"" concept de ·Non Jdmtifit'; avec une fuiblc marge d'erreur, l'OVNI de
qui peut toutefois prêter le Aanc au principe I'OVJ (c'e.<r-à-dire J'ohjet non identifié de
de la modi/isdtion et de i:l "f!mduuibiliti celui idemifié). Ensuite, il faut aller plus loin,
exprimé par la méthode galiléenne. Selon en passant à un second niveau. celui de l'ufo..
cette manière d' ahor·der la question. si logie perceptive, qui fournit des réponses ct
J'OVNI demeure 110n itkmifi!, il n'est aucu- veut comprendre la réalité de certains événe-
nem~m reproduc[ihle: une chose .. fausse" ou ments. & dans tout cela. il faut tenir compte
..simulée" n'est qu'une copie de quelque des implications éthiques, spirirudles cc de la
chose d'existant ct de OOJlll\.1. Mais si un objet conscience qui rernerrem en jeu norre vi~ion
n'est pas identifié. il ne pe1.1t être ni recréé ni du monde.
simulé c:n laboratoire. À la lirnire, on peut
créer un modèl~. sernhlahle ... dans couee la NOUVELLE PERCEPTION
mesure du possible - à ce que J'original esc L'erreur de fond que l'on commet souvcnr
censé ttre.. en inrroduisam cependant les esr de considérer que le fair de compléter la
n1m
dans 1e
la porc.ptlon (C. -
"COmmunion"~
....
méiliode scientifique par de nouvelles pcrs- d'une Perception Élargie qui, en plus de celle
lX'C[ÎVes de frontière soit une preuve d'irra- physique. dire<:tement liée ~H•x donnée..~ l>fn-
tionalisme et de dogmadsmc, donc de soricUcs ou phy~iqt•c:::S. accompagne une p.,çy-
F.tih)es.<;e) alors qu' il s'agit cxactcmcnc du cho-pcrcc::ption concernant l'esprit, 1ravaille
con[raire. La science, ct le scientisme qui en sans sc servir des sens, et que l'on tend sou-
e.~t l'exuémisation fidéiste laisscnc trop de vcnc à mettre. en rapport ave<: 1~ phénomènes
que.'icions sans réponse, ct parfois ils fournis- paranormaux. extrasensorids ou avec les
sene même des réponses tellement "ouuécs", manifestat.ioru de télépalhie, psychokir'lé..~ie,
improbables (hien que logiquement défen- vision à distance. et<.:. En ré-o~.lité, œs phc!no-
dable.<) et grotesques qu'elles apparaissent mèncs ne sont qu'une panic::, tme extériorisa-
encore plu.'i incroyables que les prémisses. tion, une intc:rpréta.tion des bases de la
I.e but de ces considérations est d'e.«ayer de Perception Élargie. Le conu:pt de fond .:st
dépasser les limites cognitives de la science que J'on entend afllrmcr l'cxistcnçe, en plus
acweUe afin d'ouvrir de nouveaux hori1..ons. des cinq sens que nous connaissons. d'autres
11 ne s'agit pas d'un processus facile, surtout capacités ct possibilités cognitives.
pour celui qui a gr3ndi à l'ère de l' évolucion Les événements OVNI ct les observations en
tcclmologiquc, avec ses froids mécanjsmes sont l'un des exemples les plus oomplets ct
matériels ct causalLx continuellement en exhaustifs. En présence d'une expérience ufo-
mouvement. '10'-ltefois. il esr possible d' emrer logiquc, le témoin ne sc limite pas à évaluer
dans une nouvelle d imensior' perceptive qui le phénomène du poim de vue sensoriel: cout
devrait nous a.ssun::r une connaissance plus d'abord, parce qu'w> stimulus reçu par un
aisée de la véritable essence du rnonde qui seul récepteur sensoriel (comme par exemple
nous entoure.. Il s'agir de renforcer des fac- la vue) n'a presque jamais d'élément> suffi-
teurs tels que les suivanL~: sanrs pour être compris rationncUcmem, avoc
- Smsibilité une ccrcicudc extrême cr suivant des raisons
-Umsâmce convencionncllcs; ensuite~ parce que l'insoli-
-Intuition ce, le non..nacurd, l'inconnu som perçus au-
La s.:nsibilité nous permet de capter et d'ob- delà de la simple constatation sensorielle,
server les détails, lc:s nuances, les aspeclS d' UI' ju..çqu'à arriver à un niveau cognitif plus élevé.
phénomène qu' un esprit plus aride et froid En reléguer l'essence derrière des principes
n'appréhenderait pas de F.lçon immédiate et logico..réduccionnisccs est fondamenr.ùcment
spontanée. La St.nsjbilité nous incire à Mluer trompeur, surtout si nous nous basons ct
les choses selon leur vraie nature, en allant nous nous limitons à un ou deux sc:ns seule-
au-ddà de la simple donnée sensorielle. menL Les sens, dans leur totalité. sone en
La çonscic:nçe est le moteur de la corlnaissan- rapport direct avec le mouvcmcm perceptif
ce, çc qui nous permet de: comprendre les qui a lieu avec une panidpation plus grande
limites matérieUcs ct physiques à l'intérieur de l'espri<.
desquelles le rationalisme tendrait à nous
confiner; c'est la diversité de notre esprit et la PRÉJUGÉS
conscience de la posséder. Beaucoup de personnes, témoins d'événe-
L'intuition enfin est le resson qui ouvre les ments OVNIS ~UlOrmaux er d ifficilement
portes à la sensibilité ct à la conscience. J'étin- classables, tentent sponc:lnénlem de donner
celle qui provoque la compréhension de la une explic.1rion rat ionnelle de ce qu'ils ont
nature du monde extérieur, la base même: sur vu. Cc:ue rema1 ive, souvem forcée mais abs~
laqudle s'appuie le oonccpt d'intdligcnu:. fument compréhensible, est le ré.su1tar de
deux causes possibles:
INTÉGRER LES ORGANES 1) çraÎntc: d'être wurné en ridicule si l'on
SENSORIELS racontait sa propre expérience; donc, désir
La satisfaction de ces conditions comporte d'apparaître "normaux.. , fonernenc :wcré
un changement de la Perception. un accrois- dans ses propres convictions et capable de
semene incomparable de la conscience~ un reconduire n 'irnpone quoi à quelque chose
dépassement de l'affirmation selon laquelle de classifié, exempt d'inconnue.~ ec donc
nou.'i percevons cr nous connaissons le "maîtrisable" .
monde extérieur uniquement grâce à nos 2) incapacité de dépass.:r les hmites imposées
cinq sens (vue, ouïe. toucher, goQr er odorar). par les cinq sens pour arriver à une conscien-
1.1 physique et 13 formacion méthodique.< des ce perceptive qui va au-delà des frontières
processus scientifiques que nous connaissons déterministes de notre panie logique:. On
tOLLÇ om été fondé.'i sur cene chèse. pense donç à tore que la Perception d\m
Il serai< plu.< opportun, cepcndan<, de parler phénomène atypique est "mentale:", non réd-
- ....
photugJaploié à - Nuagos..,typo
vers la moitié des années 80. lenticulaire, souvent
ÀcOté, deux techniciens dans confondus avec
leo -oireo de la céléllre let OVNIS.
~.
T
ADRESSE - -- - - - - - - -- - -
ADRESSE
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FAX
E·MAJL - -- -- - - - - -- - - -
A8011NUIUT Heouvt:IIT!
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SIGNATURE:
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humain~ deviennent Un a"-ec: nacions du monde de tds phé- graphie den<aire et l'on décou·
leur hérit:~ge œ"niquc légiti- nomènes .~<: mul<iplient. LI vrc un petit objet tri>ngubirc
me. • 1figueirinho n'est désormais plus possible d'origine inconnue ...
- . moack
La Planète lerre franchit une de réduire c~s minmieux Une femme est témoin, une •aJ"'
écape unique dans son évolu- ouvragd d'art, ~l'œuvre d'im... nuit, de l'apparition d'un ovni - ca llliiDCIIICS dcs-
tion. L'Huntanhe! est malntc- postcurs, comme c.crcain.s le dans la vallée de San Fernando lppelâ aussi agroglyphn,
nanr prête ~ vivre des prétende m . (Californie) . Depuis ccc évène· at. compleus, "gravés" daru
changement~ in i rnaginablcs Mickaël Hc.emann, jou rna liste men r, un objet de pcdte lea champa avanr le.< moissons.
ju<que là. Jo~6 1rigueirinho, scicnlifiquc mon dia lemenr dimension, imposiblc: à ic.lenÜ· Depu11 1975 le phénomène
écrivain ct thercheur aurhcnci- connu pour sa pubJio1ions sur fier, est présent à l'intérieure de 1 Intensifie dans le monde
que, a vécu une expérience de le sujcc, enquête depuis plus de sa jambe... enuer. On en compte d<jà
rransmucation de l'âme ( walk dix ans sur cene enigme. JI a I.e jeune Percr observe daru le piUJ de 9000!
in) en 1988. rcnconué rous la témoins. ciel nocrume un objet lumi· Quds men gos cochés appor·
Oepuis, il )>="&" des informa· visité rous les conrincnts, attaf)·· neux é\•olu.anr au-dessw d·u.n rent-ils? Quelle inHuence leurs
rions sp<ciliqucs i propos des si row les • crops eudes. ou champ de paraces douca. Des prupribés 8krromagnériques
enjeux dc:s temps i '-en ir, et de "cercla de bit'", ces étranges années après, à l'occasion d'une ont-elin?
nncre coopécation pour que la figura groméuique, toujours banale radiographie, des méde- A c~ue nouvelle découvenc,
pl•nè<e Tc= reuou•e la place inexpliquées. Il cxpo;c ici ses cins consnuenr qu~u.n étrange le m>-.crre sépai.,.ir et la polémi·
qui lui revient au sein du convictions, appuyées par a:Ues objet se trouve profond<mcn< que cntrt scientifiques, musi..
C.osm"'. U a er66 un cemre spi· des meilleurs scientifiques de l,1 enkysté à l'intérieur des rissw ..:icru. mJ.thématiciens. scepri..
riruel au Brésil, qui manifeste la planète. Il n'esc plw possible de de $1 main gauche. que. ct du.rlat,\llS s'intensifie.
vie selon les lois •upérieures et nier la simulranéité entre la ré-.a- Lltuteur a prlsnut Jt"' travaux D'cminenu experts et sciemifi-
ol1 ceux qui s'engagem sur la lisation des "crops circla~ ct la dt rtthtrcht dttm lt mondt que) du mond e entier vous sou ..
voie d'évolution peuvenr se pré<ence de myscéricuscs bu<des mtitr, et il fut l'un dN upt mettent la !tOmme un ique er
prép2rer pour le changement de lumière (champs de plasma) t'hercheUrs am/ricains tboisis exclwivc de leurs recherches.
planétaire... <e déplaçant à grande vite»e ... commt poru-parok... Sont·ib Je. messages secrets...
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Audelb
dela
pensée
unique,
Osez
l·info
que
· vous ne
trouvez
pas
ailleurs!
en collaboration avec le Docteur Antoine Achram