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OPINION : les bébés du 3ème millénaire qui sont-ils?

Lecture
••
-
d'auras Mol-- :r.-t
Les Dossinrn
" Sw~S méniens sur 1 e
Gouvernement
Mondial
---


Qua voue eac:hlaz ou non Ce lM&,.. . . . •fPaiU qui Hors de notre aapRa at L'81Mur d6vola dana ca
lire laa-. ca livre vous ...m .. ll...,...tedaa PN~NM
v~ hon de notre lllmpa . . . . . . . . . . . plus
8ldara • GOtnp•odl• ce COfP8 trolti ...... ,.
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qui . . . . . . I r - . las ....... qulvlw-lollial........ ....,•• tu du P'*'amMia
qulr......._ rda loi b•INÎigo11tion.

CheQJn d a - chapm.
rNtal'•-9-.rt d'un
En~ an s,ria, laa
auteurs -.1 llnmHiatenlant
Cet-....-...
• cœ~P~•Idre notre karma,
meitre da ••111111 ayant -.-tl6aparunttreda.......,.. qui da vie an vie, prolanga
connurMII• a n - - - * - f '11.

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* SCIENCES DE L' EXTRA- ORDINAIRE

STARGATE
Editorial 3 ENIGMES Dl! LA TERRE
Les tours de Watt
LES ENIGMES Dl! L' HISTOIRE À Los Anl(elea 17 atructures en
Un regard dans le temps acier datant des années cinquante
et mesurant 30 mètres de haut
Une machine pour voyacer dans nous reportent 6 la vie mystérieuse
le passé, construite et mlae de leur constructeur et au pourquoi
â l'essai. (1ère partie) de ces constructions.
par Peret Kmssa 4 pat Alessandto Torrnes1 38
DOSSIER COUVERTURE
Les crop circles et ~ .
ENQUÊTE
Et1ons-nous seuls
le TZOLKIN sur la lune?
Une erreur êtrance de l'ordinateur Les enrel(lstrementa audio des
continuait d'Indiquer le conversatk>nl entre la navette
21 septembre 2012
par Alessan<Jro Turatto 10 spatiale Américaine et le contrôle
mission de Houston le
confirmeraient •••
ENQUÊTE pat Carlo Sltbltdm 42
Le contrôle
ENQUÊTE DÉCHETS RADIO.ACTIFS
technologique
Le marché du nucléaire
des existences Nous avons été entourés d'un linceul
Le pasM, le prêaent et le futur peuvent et d' une atmoaph6re de secret.
être sondêa 6 travera les données
génétiques.
par \llllCCM) Plt>ttlll 50
par ChnstofotO &ttt>IJro
- - -- -- - -
20 AUTRE SCIENCE TODESCHINI
TECNOLOGIE SPAnALE Le savant oublié
Plus vite que la lumière Plusieurs chercheurs ont rév61ê des
analol(les entre les études, dês<>m>als
Les hypot.....,s qui rendraient
cohérentes lea r6v61atlona de
oubliées de Todeschlnl. 54
par Carlo SablKI•n
Bob t.azar, aavant de la zone 51.
par Alessandro Torlncsl 24 NOUVELLE UFOLOGIE
OPINION La nuit obscure
Les bébés du de la science
3•m• millénaire : Et si une nuit, reprdant le ciel,
ja devala découvrir quelque chose
qui sont-ils? d 'Insolite, de •non Identifiable" ?

Un chercheur, c616bre dans Je monde


par Alex TonneS/ 58
de l"ufoloCie, exprime aea convictions
personnelle& au aujet d 'u.n phénonMn&
mondial étendu concernant des enfarTts
dotés de capacttk Incroyables•••
pat la rédactiOn 28
TECHNOLOGIE
La force du son
Des expériences récentes montrent qu'li
est possible d 'utiliser les ondes sonores
pour engendrer de l 'énerele...
pat Crisloforo BarbDIO
34
-réserve cette ptlse fl~X imtlses et ftlits div6l'$
ingoLites o~ extrtl-o-rdintli-res.

'
Jl vos pL~mes, pd$Stonnés de
L'extl'tl-o-rd indi-re,
no~s tdtendons vos photos
et histoi-res étonntlntes_

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2 - O(Cl- 2003
Il est aujourd'hui
une évidence...
e Monde est en pleine mut:uion et vit actuellement des moments

L plus fa mastiques les uns que les autres. ll y a bien sûr des guerres
sans fondements, des auemats multiples, des violeurs en séries et
des marchand~ de r~ves.
Le climat lui m'me ne sait plus Olt il en est cr, d'étés meurtriers en
hivers a....~a.çsins, de fome de glaciers en montée des caux, nous ne savons
plus où regarder...
Mais que re~:,,..rdons-nous au juste ? Ne tournons-nous pas la tête dans
la seule direction que nous indiquem ceux qui nous di ripent?
Pendant que nous pleurons nos morts, agissons sous 1 emprise de la
colère et crions à l'itljusrice, le monde change. En tournant juste un
peu la rête, nous pourrions percevoir des enfdnt.\ de Lumière qui regar-
dent les humains s'auro-dérrui rc sans co mprendre, des savams er des
chercheurs qui continuem à croire en l'Impossible cr, des ~hénomènes
dits "myMérieux" qui reis des clins d'oeil nous proposent 1espoir.
Sur la revue Belge bien informée "Agenda plus" nous pouvons lire :
"Pendant qu'à Tokyo , on parle des civilisations extra-terrestres aux
in fos de 20h ... ce sujet reste encore tabou dans la plupart des pays d'Eu-
rope... Des budgets colossaux sont alloué~ depuis la seconde guerre
mondiale pour discréditer rour constat ct faire disparaître toute rrace
concernant les Ovnis er autres E.T. "
Ainsi, pendant qu'une parrie de la population se demande encore si une
civilisation peut exister en dehors de notre bonne planète, des contacts
"'officieux entre nos officiels et des races cxtranécnn~"'~c tiennent sous
toutes les latitudes.
Ceux que J'on nomme "les Grand~" de cc monde ct qui ne le sonr que
pa.r le pouvoir que nous leur accordons, ~ont depuis longtemps en
contact r~ulier avec les "aliénigèncs".
Les mut•uons observées au niveau des struCtures de l'ADN humain,
animal ct végétal, l'augmentation du pouls de 1• Terre ct toutes les
découvertes qui sortent de l'ordinaire cr lais.'lent entrevoir d'immenses
possibilités som volontairement cachée.~ au grand public ou discrédi-
lées. Pouvoir er Espoir marchent rarement main dans la main er l'igno-
rance er la peur som les sceptres d'un pouvoir qui ne laisse aucune place
à la Connaissance, source de J.ibcrré. Pour qu'aujourd'hui le fossé encre
ceux qui savent ct ceux qui doivem er veulent
~ savoir se comble peu à peu, l'équipe de Srargare
vou~ /roposc une autre information er un autre
regar sur la Vie.
Afin que chacun retrouve son autonomie ct sache
que tour est possible, afin que l'espoir nous anime,
nous vous offrons, comme dans la revue Nexus, des
articles qui ne sont soumis ni à la reconnaissa nce
des "officiels" ni aux publicités.
Pour les apprécier pleinement nous vous
conseill ons simplement d'ouvrir une porte à rous
M•go,;ne l"'"en•;re les possibles cr de vous di re en les lisant: "Er si
*
après rour, c'éra ir Vrai ?"
L a version originale du récit Je plus fumeux de J'écri- Palestine ne correspondaient pas à la vérité. Il n'existait aucune
vain anglais H. <.;.Wells, déjà publiée en 1888 sous Véronique qui aV;Iit soulagé le Chrisc en esmyam la sueur de son
Je titre The Cronic ArgonautS dans la revue The front. Et J'homme appelé Simon, écarté par le.< snldaL< romains de
Science School's Journal, parut sept ans plus tard à Londres, sous la masse des spectateurs, n'était point disposé à aider Jé<us de plein
forme de livre intitulé Timc Machine (La machine à voyager dan> gré; on a dCt lui forcer la main.
le remps). En 1905, l'ouvrage fut traduit en allemand, ct l'intérêt Un silence presque sacré s'abattit dans la pièce oit l'appareil, plutôt
qu'il suscita dans le monde de la cinématographie fut considérable. étrange er gigantesque. fonctionnait. Le groupe avait suivi Jes é:vé-
Mais personne, ct surtout aucun savant à l'époque. ne pensa que le nements avec le souffle coupé. Seul un homme, parmi les présents,
voyage à travers le temps pouvait, un jour ou l'autre, devenir J'objet ne parvenait pas à réprimer un léger sourire qui sc dessinait sur son
d'une discussion. L'histoire fictive de H. <.;, Wells était considérée visage. l'our lui, les minutes qui s'écoulaient é<aient comme le plus
comme pure fantaisie, sans aucune pcrspccrivc de réalisation. grand triomphe de sa vie. Cet homme-là paraissait différent des
Aujourd'hui cependant, la situadon semble avoir manifestement autres, tant par sa tenue que par la profession qu'il exerçait. Le
changé. bénédictin Alfredo Pellegrino Ernerci n'é-
Le physicien ct mathématicien de génie, tair pas seulement moine. La même pas-
Srcvcn W. Hawkins, s't)t dit convaincu de sion, dè.o; son jeune âge, l'avait accompagné
la possibilité d'effectuer """ voyages à tra- dans le domaine de la recherche sur la
vers le temps, cc qui nous permenra.it musique ancienne. En effet, plus tard il
bientôt de visiter noue pass~. L'important avait insrallé, avec l'aucorisacion des auto-
c'c.~t de réussir à construire une machine rités ecclésiastiques supérieures, à l'inté-
spéciale ct puissante qui nou:> permette - rieur du doîuc de son O rdre -situé sur la
grâce à l'utilisation d'une quanlilé con- petite î]e vénitienne Saint GeOrge - le
sid<'rable d'énergie - de dépasser la vitesse Conservatoire de Musique '"Benedetto
de la lumière. Ce n'est que de cene maniè- Marcello".
re que nous pourrons "vaincre" le temps, Dans le même conservatoire se trouvaient
en nous assurant la possibilité d'aller dans également le< pièces du Laboratoire, dans
n'importe quelle direction, et œrce loi lequel le frère - avec quelques-uns parmi les
physique existe, selon Hawkins, mais elle plus grands expertS -avait lancé, à l'insu de
est particulièrement complexe. "]Oute la presse ct du public, une série d' expérien-
th<'oric est grise", dit le poète - parce qu'il ces physiques et pataphysiques réalisées au
semble que la machine à voyager dans le moyen d'un appareil très sophistiqué.
:c':"ps ait déjà été cottstruite et même mise Dans un seul but: effectuer un saur tem.-
a 1essat. porel dans un passé lointain.
Une fois terminés les uavaux préliminaires
L'EFFET JfSUS relatifs à la construction de la machine
Stupéf.Uts et ahuris, les savams fixaient J'é.. gigantesque, il aurait été possible de prou-
cran gigantesque qui F..isait partie d'un ver mainœnant que l'on pouvait franchir le
appareil à l'aspect monstrueux, vu sa com- seuil du temps en revenant 2000 ans en
plexité. Bien qu'ils eussem pan icipé à la arrière. A l'appareil insolite on avait dollllé,
consum.:tion de Ja machine, maintenant à J'unanimité, le nom proposé par le père
chacun d'eux semblait avoir besoin de Ernmi lui-même: CHRONOVISEUR.
quelques minutes pour se reprendre, pour A la différence de la machine conçue par
comprendre que, dans la réalité de leur conscience, chaque scène H. G. Wells- à laquelle J'écrivain doir son immot·ralité d'auteur de
sur l'écran n'étaie pa.o; un produit imaginaire mais une réalité tridi- science-fiction - celle du père F.rnecri pos.<édait la qualité de
rnensionnelle. "'Visualiseur du temps". Le frère bénédicrin avait eu cene idée à ua-
Ce qu'ils voyaient avait déjà cu vraiment lieu il y a dctLx miJlc an.s. vctS une série de circonstances dues au hasard.
Essouffiés, les saV;~ntS observaient la marche de Jésus-Christ ver.; Je Ayant fait la connaissance d'un professeur de musique de Jcsi,
lieu de son exécurion, sur le Golgotha. C 'était le vrai Jésus qui Giuseppe Marasca, avec lequel il partageait la même passion pour
avançait sur J'éc.ran, cr sur ses épaules on avait chargé Ja poutre la musique, il appric J'exisrence d'une œuvre d'opéra ancienne et
horizontale de la croix; .ses ch~ûnes aussi étajem vra.ies. et elles incomplète du poète Ennius CaJabcr, donr il restait t!nviron 25
entravaient sa marche, car elles avaiem été soudées ô celles des deux ligne.< et quelques références atLx écrilli de Cicéron, de Probus et de
hommes condamnés~ mon pour les crimes qu'ils avaienr cornmis. Nonius.
Pour la première fois, des bommes du XXe siècle étaient témoins Le chercheur musical qu'était le père Ernctti entra en action et,
ocu]aircs ct audiùfs (l'iŒ>tallatiou fonctionnait aussi au niveau avec son an'li Mara~ca, il pai"\'Înt à reconstruire la première mise en
sonore) de cet événement qui, après des siècles, est encore à la base scène de la rragédie..opéra, intitulée "T hye.stcs", un titre que son
d'un mouvement religieux: le C hrislianisme....-:..ce n'esr que mai n~ ameur lui ..même lui avait donné. Sa rcprésenmtion fut aussi la der-
ten~tnt que les témoins se rendirenc compte que certaines choses nière, car l'o:uvrc aurait pris pour cible - et rouché- le système
menrionnées dans les Évangilc.o; cr sc rattachant aux faits de la nerveux du Sénat de: Rome, en sorre que d' aurres représentations

SGm oEŒ"6RE :2003 5


~~ : GloghlmoM•coni Reccns1ruction ~
• - lo Papo Plo Xl. Aoo bu cio du pouible Ctwonovisew,
1apage:_la_lsatlon d'opréo I' INIIyoe
du chemin de ctolx. ....... -Mpar
Christ, selon Emstti, portait une l' aolropllysideft
aull1dllon Klllt Grun•
...
seute poutre ''" 5e5 épaules.
...
furen t inrerdiu:s. ct lc scénario fut presque
complètement détruit, à C..'\use de ses conte-
n us cxce-ssivC-mê:nt révolutionJlaires.

AVEC L'AUTORISATION
DU VATICAN
A partir de œ moment-là, le père Ernerri
fUr obsédé par l'idé<:. de retrouver les mor-
ccau.x pcrdus de cene œuvre, afin de hl ren-
dre accessible à l'étude de l'hisroire
musicale. Lorsque l'idée de construire un
Chronoviseur fur réalisée, le moine héné..
diclin ' 'Îl la possibiliré de se meme sur les
traces du "Tbyestes" égaré.
Mar.tSca r<Sta fidèle et garda le silence sur œ
trésor p~nda.nt de long'-' es an nées, en gar-
dant jalousemenr chez lui la vidéoca~serre er
le livrer de nores, transcrit par le rcligieu.x
avec le texte en ]adn ancien.
Ce n'esr q ue hien plus rnrd, lorsque des
rumeurs comrnencèrenr à courir, évcillam
la cu riosiré de quelques journalisres de la
presse populaire - ~i insistants qu'ils par..
vinrenr à faire parler le professeur - que DÈS LA FIN DU XIXE SIÈCLE,
1' accion de pionnier du moine bén6dit:tin
véniden devine de nomriété publique. Mais GUIGLELMO MARCONI, INSOUCIANT
q u'érajt.-ce cour cela par rapport au coup de
DE SA CÉLÉBRITÉ DE SAVANT,
rnaître du Chronoviscur qui permettait,
justemem, de visualiser le chemin de croix AURAIT ENTREPRIS - SELON
de Jésus-Chrisr' Selon les savanrs physi-
ciens, il s'agissait d 'un progrès crès impor- L'ARCHEVÊQUE SQUICCIARINI -
rant. Mais d'aprè:s le rbrologien Ernerri, il
LES PREMIÈRES TENTATIVES
s'agissait d 'une tonfirmation: démonstra-
tion de facco de la vérité de la foi, abstrac- D'ENTRER EN CONTACT AVEC LE
tion fai re de certains petits détails erronés.
MONDE DES MORTS, UTILISANT
Il existe une personne q ui conn aît be-.tu-
coup plus de détails que d'au tres intéress<!s
L'ÉLECTRONIQUE ET LA
au suje.r de. l'expérience réalisée derrière les COMMUNICATION SANS AL.
murs d u doîrre Saint Georges à Venise.
Cerre personne enseigne la théologie à la
Sorbonne de Paris. Pendanr de longues à jerer le discrédit sur les autorités spiri-
années, le père François Brune fur lié d'une ruelles du Vatican. L'occasion m 'e n a étC:
profonde amitié au père Erneui, lequel, donnée lorsque j'ai été reçu en a udience
bien q ue ne confiant ce secret à llei'SOnne par le Nonce apostolique, représencanr
d':nnre, lu i révéla beaucoup de détails sur diplomalique du v:.1rican e n Autriche,
ses (ravaux. I.e père Brune transcrivit sc.~ I'Archevèque Donaro Squicciarini. J'ai cu
entretiens avec son ami F.rnerri, mais il ne le moyen de parler en rêre à rêre avec
publia ses expériences que depuis quelques Ernetti du Chronoviseur, d 'acriv irés s'y
années. lhns ces écrirs, l'auteur françajs mpporrant et d 'audiophonie. Je me rend is
aborde un sujet d ont le père Erneui s'oc- compte que le phénomène de la voix des
cupait constamment avec une grand~ pas- morL~ n'était pa.~ d u cour une thématique
sion. cr qui a trouvé un consensus dont seul Friedrich Jürgcnson s'émit
univoque même aupr~s dcs hauts responsa- occupé.
bles d u Varican, comme il a éré possible de Bien avant 1959, quand le chercheur
le vérifier: la recherche sur la provenam.:e s uédois avai[ déclaré qu'il avait entendu
de voix sur bandes magnéciqucs. la voix de sa mère lui parler de l'Au-delà,
J'ai pu vérifit:r JXrSOnnellement qu' il ne le 17 scprcmbrc 1952, le père Agostino
s'agissait pas d'une simple mmeur rendant Gcmd1i eut un succès précisémenr dans

6 5<il1l · DÉCEMBRE 2003


- - - - - - - ----------

Wlmbw won Braun aurait Au centre:


iti avec Enrico Fermi L'iM dt Salnt.-g.. où ost
(• bas) 1•un des SIIY..U . ... eon... •atolr• de
. . inventèrent le M.-...-o-cello.
ctwono't'iseur. Ckleuous:
Je père François Brune.
T

qui était à l'écoute. Mais Guglielmo


Marconi s'intéressa également à des phé-
nomè-nes plus mystérieux, comme me le dit
Squicciarini. En effet, dès la fin du XIXe
siècle, le physicien aurait entrepris, insou-
ciant de sa notoriété de savant, les premiè-
res tenr.uives d'entrer en contact avec le
monde des morts, utilisant l' élecuonique et
la comm unication sans fil, et ck capturer
leurs voix m yscé.rieuscs grâce à ses appareils,
afin de les rendre accessibles au monde.
Mon interlocuteur haut piao:' n'avait pas
démenti que les expériences de Marconi
avaient trouvé un consensus au Vatican. Il
ne faut donc pa~ s'étonner si les u avaux de
recherche du Vénitien Ernerd n'avaienc pas
été contrecarrés par les autorités déricalcs
supérieures. Protégé par les murs du cloître
Saint-Georges, loin du tintamarre de la
ville, le religieux bénédictin, avec son équi-
pe scientifique pleine d'enthousiasme, pou-
vair se consacrer au développement de son
Chronoviseur en vue de franchir le seuil du
temps.

COMMENT TOUT CELA COMMENÇA


L' idée de construire un appareil grâce
auquel il devient possible de voyager,
visuellement et acoustiquement, dans le
passé, lui était venue quelques années aupa-
rav:HH. en même temps que Je père
Gemelli, dans le laboratOire de physique
expérimentale de l'Université Catholique
de Milan. Alors les deux Frères parvinrent à
diviser les parties des chants grégoriens -
grâce à différents fthres - de toutes les har-
mon ies er modulations supérieures. Le père
Ernetti - non seulement musicologue mais
aussi diplômé en physique atomique et en
langues andenne.~ - sc posa Je problème se
rapportant au ..de.~ri n" de ces harmonies et
c-e domaine: au moyen d'une machine modulations séparées. Avaient-elles dispa-
qu'il avait développée lui-même dans le rues pour toujours, détruites déful.itive-
laboratoire de physique de l'Université menr, ou bien elles avaient été cou t
Catholique de Milan, il réussit à évoquer la simplement effacées de l'cnrcgisucmenr du
voix de son père défunt cr à l'cnrcgimcr chant? Le père Ernctri n'était pas enclin à
(bien que par hasard, en quelque sorte). croire à une destruction tOtale. Il était cer-
Toutefois, le père Gemelli ne fut pas le tain que les tonalités devaient continuer à
pionnier des recherches dans le domaine du exister d'une fàço n ou d'une autre ou ail~
paranormal. Squicciarini m'avait égalcmcnc leurs. Et si cela était vrai, il devrait l'être
parlé des expériences réalisées par son con- aussi pour toutes les oscillations tonales
citoyen, Guglielmo Marconi, qui, déjà en créées et existantes d;ms notre passé.
1896, avait développé le premie~· r"d iotélé- Le Frère chercha à encrer en conract avec:
graphe, pour lequel il reçut rrei?.e ans plus d'autres physiciens, il leur exposa son
tard le prix Nobel. Marconi fut chargé per- hypothèse et trouva un vaste consensus.
sonnellement par le Pape Pie XI d'installer Ainsi se forma amour de ce moine extrê-
la première srarion de radio du Vatican, et mement actif un cercle de savants pas-
le Pape en fit lLs:age dès le premier moment. sionnés er disposés à vivre avec lui une
envoyant un mc.ssagc au peuple argenrin aventure fan tastique: reconsuuire de.~ traces

sam · DÉCEMBRE 2003 7


L'Ardlov-...,- Squiccinli, lors
d•..,. audience privée moc: Poter"'-
ne te limita pas à confirmer les études
d·~ mals Ill dévoiltles dessou• des
rtdwchtl daftl te domllne prawMOI'mll
-pardu-du\latiawl.
....

tonales appartenant sOrement à des épo- Nobel dt physiqut, Georgts Charpak, n 'htsi-
q,.~es loimaines. Ce fur ainsi que le pas à raconur au public qu'il a nurepris
tl!
Chronoviseur, l'appareil qui voit dans le Ms r~durch~s ana./ogurs à ailt>s tÛ 11wn ami
rcmps, commença lcnccmcnc à prendre PrUegrino EnU'tti", a affirmé Brune en révé-
corps. lant la raison de la simple "rc'vc'lation" de
l.orsque son ami Brune lui demanda à son confrère italien, voyageur du temps. Le
qui il fallait attribuer la naissance du t héâtre des événements reproduits sur l'é-
C h ronoviseurt il lui répond it sur un ron cran du Chronoviseur, accompagnés de
diplomadque: "Nou..'i édons plusieurs pcr..- sons, varie entre le connu et 1' inconnu. Il y
sonncs, cc il y avait parmi nous Enrico avait différentes vues de l'antiquité romai-
Fermi ct l' un de ses élèves. puis un prix ne, des scl:nes du marché de Trnj,ln, et
Nobel japonais, un chercheur porrugais ct même l'un des discours les plus f,uneux de
l'experr en technique aérospatiale cr en Cicéron, son premier discours contre
fusées. I'Allernand Wernher von Braun, Cari lina (Q uou.sque [andcm aburere,
paniculièrenlenr inréressé à rouee cerre pro-- Ca[ilina, padenria nostra? - "Ju.c;ques à
blématique". A la question de Brune au quand abuseras-tu de notre patience,
sujet de la capacité de la machine de sc Carilina?"), dans lcqud lc:s d1ercheurs con-
déplacer dans le temps cr de la crédibilité de '
Materent, avec un <:ert~uu '
. elOnnemem,
cc que la reproduction visudJc émit en quelques différences dans la langue P"rlée à
mesure de moncrcr, le père Erncni décrivit répoque par rapport à cc que l'on enseigne
à son ami que, oucrc des parolc.'i de Benito aujourd·hui dans les écoles.
Mussolini ct avant lui de Napoléon !cr, la C 'éraiem les heures qui offraient à Ernetti
documcnr:adon confirmait le vérité des des impressions paniculièrcs: avec ses col-
tmagcs. labora.teurs. il pouvait revivre complète- e père Pellegrino Alfredo Maria
Le père Fra.nçois Brune décrivit minutieu- ment sur l'écran du Chronoviseur. une l Ernetti, moine bénédictin de
l'Abbaye de Saint-Georges-Majeur à
sement cet entretien avec le moine bénédic- petite cr brè~c rrag~ie Mtique, accompa-
tin dans son livre .. En dirce< de r au-ddà'·. gnée de mustque .... Venise, où il mourut en 1994, fut un
..Est-cr qur vous avrz pu rrcotJStruirr ir trxre exorciste célèbre, un savant, un théo-
DES PISTES VERS LE PASSt du "Thym" • d,- Quintus Ennius?'; deman- logien, un spécialiste de musique
L: Chronoviseur entraînait toujours plus da Bnme à Emetti. Celui-c-i acquiesç:l d'un ancienne et un chercheur dans le
loin ce petit groupe de savan ts, en remon- signe de la rêre: ''Nou.s avons vu tt enundtt domaine de la pneumophonie (voix de
tant de plus en p lus le P'SSé rle l'hisroire t.flut k 1exu) ks chœurs ~~ ût tmtsique. Je suis J' esprit), discipline qu'il a découverte
humaine. !lien qu •il ne s'agissait pas d'un m po.sussion du uxu imigrai de am rragt~ lui-même et dont le nom dérive des ter-
véhic1de - comme dans le récit de H. G. dit··. On compl'end que dans la mémoire mes pneuma (esprit) et phono (son).
Wells - à bord duquel on pouvait entre- du frère, c'est le linguiste er le rnusicologue Travaillant à un chant grégorien avec
prendre physiquen,erlt u n voy:lge à travers qui fonr ~urfuce. .. "'c'ttait un~ tfpoqu~ très son collègue, Père Agostino Gemelli,
le cemps, les sava.nLc; de l'île Sai m.-Georges iméwssanrf' .. c'est ainsi qu'Erneni exprime Ernetti enregistra par hasard la voix du
étaiem devenus les témoins oculaires ct son sentiment de chercheur - ''m1r époque père d e celui-ci. Avec u n groupe de
auditifs d'événements h istoriques passés, durant laqurUr /,. fntin, SI!I/S fimpulsion savants fidèles, il se consacra pendant
dont les imagc.s ct les son.s pouvaient être dotmlr park grec. commrnrair li s'éloigner de d es années à des expériences dans le
caprés par le C:hronoviseur. j'ai pttlf•tlrt us formts dialt>cta!t>J et popuiAirrs pour s'affir- doma ine de la physique et de la
d&idi d~ raconur dans l~s moindrts dita ils u mer commt grand~ langue lirrhairf ~ * paraphysique. Ce travaille condu isit à
qu 'Ernnti m'avoir dit, parce qu~ 11orr~ pri'( A suivre... l'invention du fameux Chronoviseur.

8 SG1!1 • OËCEM3RE 2003


< phu en plus de gens gomma à mâcher, erc.

D nvcnt combien les


• Même si les avenisscmcnt~ )ur
huiles essentielle~ et
l'aromathérapic pcu-
cnntribucr à notre bicn-
êrrc: ct à notre: ~anté...
un savo1r

les dangers des Hh <nnr très
importants; il convient donc etc:
les apprivoiser une p:u une.
c.:omme on apprend à connaître

millén a1re
Les huile. ossenrielle< <nnt un ami. C.es cadeaux de b.
d'autant plU> utiles qu'elit< nature om éré employés avec
conniruc:nt une défense natu- ~<»< et efficacité dcpui< des
rel!< pu1~.antc contre les bacrf- miU~rW.rcs. dans les ~<!decines
ties, qUI elles, résistent de phu populaires. Pourquoi no pa.< en
en p lu< aux anri-biociquc. de faire tout autant?*
.<ynthè<c. quelquc:lli ccnramcs
La nature po,.,ède en eJTer la d'e<pèccs produisent
capacité de s'adapter aux der- o«e7. d'liE pour per-
nières mutations bactérienne~. mettre une exrracrion
De tOul ltmps, ces merveilles écu no rn i que men r
de l.t nat ure ~ sont avérées nos ''~able. I:ossenœ s'éla-
moillam ;alliés. bore JU ~in de certaines
cellules des plan res aroma-
UN BRIN D'HISTOIRE tiques.
Les tradition> de rous les por< F.n distillant ces
nom apprcnncm que les huiles piJnt« ~ l'aide d'un
essentielle~ onr été utili s~<:s abmbic. o n obrienr
depuis des millénaires, ranc l'c.lll florale, sur laquelle
dano; le domaine de la parfume- noue un liquide consri-
rie que de la rui>ine, la cosmé- ru< de molc'rules volacilc.;
tique, la m~ccine ou même le d'aspect huileux.
culte rdigocux. C'est l'huile csscncicUc.
Les p~ros de la Chine anciquc Anonuon! Il ne s'agir pas
purifiaiem los temples avec de d'une huile grasse au même
l'enceM. Les pharaons d'Égyp- mrc que l'huile de rourn«<>l
rt ucilisa.icnc aussi les huiJeS ou d'oli"·c mais hien une syner..
essentielle> ct les plantes aro- g1e de plusieurs dizaine> de
matique~. pour la cosmérique mol~culcs aromatiquc:s.
ct la médecine. Depuis co
temp<, tous les peuples de la LE MODE D'EMPLOI
M~diterranéc cr du Moyen- 1~< HF. étant par narurc vola-
Orienr om appris à tirer pani oilos, 1> première méthode d'ab·
de ces m~quo cadeaux de <Orpcion p~sc par la voic-
la naru.tt. •<rienne. On peur rép;wdre des
L:histoin: de Marie \ladeleine, milliards de fmes particule<
qui vc"'-1 de l'huile de Nard sur d'liE dans l'aunosphère à l'ai-
les pied> de J6u>, démonrre de d'un diffuseur éhuique ou
l'imporrancc des parfum< /o d'un brûleur. du coude er frorrcr cerre zone
cene époque. Cette HE très Cene rnéthod<: convieru sur- avec le poigner de l'amer: main.
rare eSl ~ncore disponible rom aux huiles de conifère~, de Le pli des coudes er les f>Oigne"
aujourd'hui. romarim;1 de lavandcs,d'euca· <'to.nt trè> vascularisés, l'ai><Orp
lypnn. d'agrumes, cre. tion >e fait plus rapidement.
UNE HUILE ESSENTIELLE, l.a deuxième méthode d'ab- la consommarion par voie
C'EST QUOI ? sorption est la voie curan«. bucc;ale est plus resrroinre. Il
I.e rq;no vcgéw compte plu- CtnJmes huiles convic:nncm '·aut mieux résen-er ct mode
~ieu" cenraincs de milliers d'es- aux massages localisés (Pruchc, d'emploi aux H.F.. is.rues de
~uJemem quarre
pèces. rtl.l.Î$ pin rouge, verge d$or, e-tc); planees aromatiques à usage
mille d'enor< elles ont choisi d'auuQ ~c: prêtent bien ;~u m:l$- culinaire comme l'anis. le
'"le- chemin des arôme.~"', c'est-à· sagc de tOUl le corps (bv:tndc, girofle. la menrhe, le thym ou
dire qu'dies fa briquent des épinette noire, etc.). la cannelle.
huiles mcmielles (HF.). On peut aœ.si '\'t'rser deux ou Nom e n consommons ré-gulië-
De nombre, rrois gouttes d'HE dans le pli remenr dans les bonbons, les
UNE HYPOTHÈSE DE
RECHERCHE RENDAIT LE
CHEMIN ENTREPRIS DE PLUS
D aru les dcmicn jours du mois
d'•oin, alors que la saison dc:s
crop ci rd es ne semblait
~mnJ~Î\ plu.t exprimer- quoi
que ce SOli d'ml~re«:Jnt, après rapparÎIÎOO de
EN PLUS INTÉRESSANT. la "Tête de l'extn-~erre<tre' de Cr•bwood
lOBASl Farm Hou~, deux. pictogrammes apparurent
PEUT·ÈTRE, L'ÈTUDE •
d•m le Wiltshire qui semblaient comenir des
34A élément) pouvanr strvir de point de dépan
COMPARÉE AVEC LE in1ére.,,,uu puur une: :maly,e :•pprofondie. En
effeL, les de1nier~ évènement.< des s:lisons pa.<;-
CALENDRIER MAYA NOUS sécs s'élaicnc ~;ou~nt révélés parciculiè:remem
RAPPROCHAIT-ELLE D'UNE riches en mfonnation.t (comme l.a répon.~
l'année dernière, au rne<.uge d'Arecibo de
CONCLUSION. Chilholton d.tn\ le Hampshire) et même s'il
ne sagi=• pas de crop cirdes particulière-
PEUT-ÈTRE QUE, DANS CE mene extr.~~orduu.ittS. nous avions étt attirés
CAS AUSSI, LES CERCLES pas b pcrf«<On ck kur f.actun, a leur com·
plcxilc..l..;a p~micrc formaôon~ apparue à
DANS LE BLÉ NOUS Bct:klwnp1on le 26 .001 fig.l , <rait compo-
.« ck ckw< pcnr.q;rammes concentriques
INDIQUAIENT LA DIRECTION entour6 de pctia sccrrurs circulaires; candis
que la ..-conde, <il;)lal<'e deux jows aprà à
À PRENDRE... C:rookc:d 5olcy l proximi1~ de Hu ngerford.
.s· 3' (fi~. 2) présentait une carac[érlo;Uque inhahi-
par ALESSANDRO TURATTO,
FABIO SACCOMANI
.
20 A
rudlc, sa partie ce•male éranr fuite d'épis de
blé llOil· plié<.
et VINCENZO PINELLI

• •
FIG . 3
AIW.YSE GEOMETRIQUE picrogr.unmc «•n corn~ de 504 losanga
À l'ocasion de la premiù< analyse nous sombra qui repraenwem la épis de blé
nous <rions apaçus que l'image enlacée à droits ct d'un nombre ~ de losanga qui
l'intériau de la couronne cirwlaire sem- oc:eupaient l'espace des épis pliés (1/ 2),
blait avoir des analogies bôdentc:s ave<: la )]1~~· <Oit un total de 1008 lo...nges (72xl4).
double h~lice de l'ADN humain (fig.3), De plus le rapport entre le diamètre du
étant composée de l'enroulement en spi- cercle interne ct celui du cercle externe
rale de deux filament> reli6 emre eux. était de 1/2.
O n peut consr.ner (tlg.4) que trois enrou-
lementS completS de 360 degl"és (ou six ADN ETI KING
enroulementS identiques de 180 degrés) Nou.c; avons p~gé ces réRexions avec
som repréçencés. Ccci nous a incités à ünnen Rtnore, cherche= indépendante
approfOndir la recherche à m.ven un essai de depuis des années dans le domaine de la loi du
r«<nstruaion géométrique:. Nous avons ainsi tA!mps. laquelle nous a oooucillés de rechercher
dkouvm que le dessin ~ dévdoppait le long clcs analogi<s avec le alcndno- Maya. D se fait
de b c:ouronne c:irc:uWre en ~ divU.nt en 72 que dans les premicn jours de SeptA!mbre, l'un
!«teurs qw oo:upa~<nt eb.cun 5 degrés. le clcs plus grands connaisseurs"' interprètes de
LE TZOLKIN OU CALENDRIER
la cradition Maya, Jose Argucllcs vcnaic de
publier une écudc qui sc:mblaic d'une certaine 9 3 10 4 11
manière se trouver en relation avec le crop cie- 4 11 5 12
de de Hungerford. Les planches en annexe,
striccemem reliées à la carce génétique de 12 6 13
l'ADN (fig. JO}, nous reporte!\! au principe du
Yin ec du Yang du 1 King, livre divinacoire de 10
la Chine ancienne (fig. JI). Dans ce symbo· 11
lisme, la division des espaces blancs ct noirs,
correspondant aLL't principes du bien ct du 12
mal, est réparrie de manière égale. exaccemem
13
comme dans le crop cirde de Hungerford, où
l'on retrouve les 1008 losanges qui fo rment le 1
pietogramme, eux-mêmes divisés en parties
égales: 504 oellules noires ec 504 cellules blan· 2
ches. Un rapport visuel qui est srricrcment
3
relié au crop circle anglais où les parties claires
et foncées sone équivalentes.
Le calendrier sacré Maya de Twlkin (fig.5) esc
composé d'une grille de 13x20 = 260 oellules
dans laquelle le chiffre 13 esc le nombre des
cons du cycle galactique cc le chiffre 20 celui
des tribus du cycle solaire (fig.6), Dans cc cal-
cul du temps formé par 20 cycles de 13 jours
chacun, 4 couleurs harmoniques (rouge,
blanc, bleu ec jaune) (fig.7}, 4 direccions, 4
élémentS représemam le cycle énergétique cer-
resue, reviennenc constammenr de même que
l'ADN esc composé de 4 bases azotées.
En observant le schéma du Tzolkin (fig.5)
nous avons remarqué également que les jours
de l'accivacion du porcail galaccique (cellule.<
noires) forment approximacivemem une 2 9 3 10 4 11
im;tge semblable à la double hélice de l'ADN
et elles som au nombre de 52. Sans aucun
douce 52 est le chiffre clé Maya, ct ille dcvien·
dra plus rard aussi pour notre calcul, FIG. 8
Nous nous sommes rappelés par la suite avoir
lu dans le livre "Vical Signs", de Andy
Thomas, une analyse du chercheur anglacs
Michael Glickman, au sujec du cercle dans le
blé apparu à Etchilhampton, Whiltshire
(fig.9) en août 1997. Cc pictogramme écait
constitué d'une grille de 780 carrés (26x30); si
l'on attribue à chacun d'eux la valeur d'une always bonds with
semaine (26 scmaincs=6mois) Michael a obte-
nu exactement le chiffre correspondant à 15
ans, aboudssanr ainsi à 2012. année indiquée
par les Mayas comme la fin du compce à
rebours de ce temps. C'est à la suite de cerre
érude que le pictogramme a été surnommé
"the mayan oountdown". Fig.J2 : De Poussin,
environ 1650 a.c En bas le schéma de l'analy-
se géométrique occulce du tableau. Des liens
avec l'année 20 12 ont égale.ment écé décou· atways bonds wtth
verts dans d•aucres formations par Je chercheur
GeoffStray qui. en l'occurrence. a mis en évi-
dence le F.tit que les 780 carrés correspon-
d raient eJC3Ctement ~ uois Tzolkin

12 liCilll ·DÉCEMBRE 2003


FIG. 7

MOON sacy.
DRAGON SERPtNT EARTH
WAliŒit

w
00 Wll"l> m
w \'>'OttLD-
BltiOGUt
~
E::)J
DOC
ffiJ WIZAlO ~ Mlllotl

M GHT HAND MONIŒY EAGU STOttM

SGm DECEMBRE 2003 13


De Poullin, environ
1650a.c
Enblo le tdl6mado
ranalyso gjoonéb.,..
occutte du tal:lleal.

À LA SUITE D' UNE ÉTRANGE ERREUR


DE L'ORDINATEUR QUI CONTINUAIT
D'INDIQUER LE 21 SEPTEMBRE 2012,
NONOBSTANT LES POINTS DE
DËPARTS DIFFËRENTS DE NOS
CALCULS. ..
NOUS AVONS ESSAYÉ UN NOUVEAU
PROGRAMME QUI NOUS DONNA
ENCORE UNE FOIS LE MÊME
RÉSULTAT :
LE 21 SEPTEMBRE 2012

(13x20- 260 jours). Noue surprise fut d'au-


cam plus grande quand, en considérant le
calendrier Maya, nous nous sommes m is à
analyser le p iccogrammc apparu à
Bcckhampton le 26 aoûr 2002 (deux jours
avant les crop circle.< de Hungerford): dans
chacun des cinq secteurs de l'éroile la plu.<
grande, 13 demi-lunes apparaissent reconduc-
tibles à un cycle galactique de 13 jours, pour
\Hl tot:~l de 13x5=65 jours, ex:.Jçtement uoe
s:~isou g:tl:~ctiqu< ou 1/4 de Tzolkin
(6Sx4=260 jours). Tout cda rendait lt chtmin
où nous nous étions engagés de plus en plus
intéressant et nous en .sommes venus à penser
que nous é1 ions peul-être ~rl tr:'lin de nous
approcher d'une œnaine condu.<iion et que
pcut-.êrrc aussi dans cc cas~ci les deu.x cercles
dans le blé étaient en crain de nous livrer une
date pour message. Fig. 10: !:analogie avec le
symbolisme d ivinacoirc des 1 King esc éviden.-
te dans la division emre les blancs ec les noires
des c.ascs. correspondant aux principes du bien
et d \ 1 mal.

14 """' · DÉCEMBi!E 2003


le.,._......
L'onai<ICle avec
dMnatol,. des 1King ott iviclente
dans .. division-· ... blanes
et Ses noirs des cases,
COf1'95IIOI"da aux principes
.,
du bien et du mal.
FIG . 10

21 SEPTEMBRE 2012
En rcvtmmt maintenant à not re Crop de
Hungerford, nous avons imaginé de muiLi~
plior 72 sec1eurs par le chiffre 52 del"' ADN"
tlu calendrier Maya (les 52 por!ails galani·
que.<!) en ohoenant 52x72=3744. À ce stade
de notre recherche, il nous fallait rrouver une
date de départ pour le: "'oountdown". le
compte à rebours! Après plusieur=> tentatives
en utilisant lin programme pour le calcul des
jours e1 :1prè.:; une erreur éLrange de J'ordina..
tè\J r qui corllinuaiL d'indiquer le 21
Septornbre 20 12 malgré les différente.< dates
de dtpart chol:ties dans nos c.1lculsJ nous
avons essayé de sousuaire les 6S jours dt.$
cinq cycles du crop citck do Bockhampton
c:n obtenant un intervalle de: tc:mp:. de: 3679
jours. Cc: dc:rnic::r p:t'ls:..1ge reponé à panjr du
26 aofit 2002 (jour de l'apparition de la for·
•nation de Bec:kh:unpcon) a donné comme
ré>ultat pré<:isément le 21 Septemhre 20 12,
date de l'éqt1inoxc: d'automne, jour de
l'année ol1lcs heur~ d'ob:;çurilé SOnt ég:1les ~
celles de 1::~ lumière, exact.e ment comme il
::1pparaî1 d:ut'i le crop circle de
Hungerrord olt les hia n •
cdlulc::.s noire.'i c h e s .
som égales Ceue fois enco-
au.x cd- re deux cordo. dans le
Iules blé, rdjés emre eux de tome éviden-
ce, semblent nous ramener à la date fàtidiquc:
de 2012. Que sc: passero-t-il à ectte époc:~.ue,
plusieurs fois citée d::ms différerues prophécies,
ct non seulement dans œlle du peuple Maya?

UNE DERNIERE CURIOSITE


Il y a qudques joms nous :avons d iscu(é des
résultats de çc:tte redu::rche avec un ami, qui
après avoir Vtl la photogr::~phie du cercle de
blé de &<:khamptOn et l'importance du
numéro 72 dans le misonnemenL que notLç
avions suivi nous a ûgnalé inunédi:uemem
le tableau les .. Pasteurs d'Are:uiie~, peim par
Poussin en 1650 c:nviror' sur ordre du car..
dînai RosLigliosi, futur Pape Clément IX.
De.'i érudes récentes démontrent l'existc::nçe
dans la mile d'une géométrie occulte. d•une
analogie surprenante) fondée sur le pcnm-
gramrne) avec inscrit un autre pcmag:ramme et
l'angle de 72 degrés (fig.13) qui semble gou-
verner toute la géométrie de l:.1 rcprésc:nt;l-
don.*

NOTE:
• www.tortuga.oorn
•• wv.w.swirlc:dnews.eorn
...... www.diagnosis20 12.oo.uk

liGIIl · otŒMBRE 2003 15


omo
a nucridon orchomolécu-

L laire sc résume en trois


points: les bonnes molécu-
les, en bonne quantité, au bon
Nous disposons aujourd'hui de preuves
tangibles nous permettant de
comprendre qu'une alimentation
endroir. En deux mots: l'orga-
nisme hiologiquc ne peut pas dépourvue de certains éléments joue un
fo ncdonncr harmonieusement
s'il ne reçoit pas. au point de rôle essentiel dans le développement de
vue quantitatif et qualitatif, <.:er- certaines maladies. Hippocrate disait
taincs substances indispensables
à son fonctionnement. Notre déjà à ses patients: "Faites en sorte que
::tlimenr:uion ne répond plus la nourriture soit votre remède et le
désormais à ce.ç besoins, et cela
pour plusieurs raisons: manque remède votre nourriture... "
ou excès d us à des déséquilibres
ti té anormale (soit par excès soir
par déCaut) de ces suhsrances
nécessaires.
Prenons par exemple le
Magnésium. Les émotions et le
stress répétés provoquenr une
pene importante de ce minéral,
dom la ctrence se rr:1duir par
des désordres rrès mal sup·
portés, reis que la fatigue chro-
nique. la désorienta rion,
l'absence de mérnoire, les cram~
pes er Je fourmillement aux
extrémités, les états dépressifs ...
Tou tefois. il faut filire une peu ~ la prévenrion des mala-
di.stincdon encre deux types de dies. tl est impormnr de rappe·
désordre: l'émotivité, qui C.'luse 1er qu'une maladie évolue en
~ùi menr~1ires, mais amsi altéra .. pour J'immunité contre le can- une pene de Magn6ium, ct les soutdjne pend:~nr 15 ou 20 ans
(ÎOn des élément.ç eS;.çcmicls à cer cr non disponibles en qum- aurres désorc.lrc:s qui ~~~ SOIH la av~Hll de se déc1arer. Nous
cause des additifs. L: mess per- tiré suffisante. à cau~e des conséquence. Il est nécessaire de disposons aujourd'hui de preu-
manent dans notre vie quoti- ~ng:rais utilisés en agriculwre. réduire l'émo[ÎVité excessive ves tangibles nous permettant
dienne moderne implique une l..-3 nutrition onhomolécub ire g.r~ce à une thérapie émotion~ de comprendre q u' uue alimen~
perte importante de muoéraux est alors appliquée afin de dé rer- nelle, relie q ue la Florirhérap ic ration dépourvue de certains
essentiels. tels que le miner la relation existanre entre de Bach (voir l'arricle inrirulé éléments joue un rôle essentiel
Magnésium ou le Sélénium, l'apparition de telle ou telle "Une cure de l'âme"). La méde- dans le développement de cer-
deux éléments indispensables maladie et b p1·ésence en quan~ cine moderne s'intéresse trop taines maladies. Aurions~ nous
elles ltre apporrées régulière-
mene p~r 1'.1limenr.arion (à l'ex-
'-êptton de la vitamine Dl,
<ynthéti«'e par la peau, cr les
vir::amincs 68 ct K. dont une
parcie <-<t synthétisée par les
boctéries de l'inœsrin).-.

La besoins quoddiens varient


selon les vitamines: de quelques
millioni~mes de gramme (vita·
mine ll12) ~ un gramme (vita·
min~ C). Les viumines ne
constilu~m pas une source d'é-
nergie ct n'ont aucun rôle srnJC-
turd d;otu l'organisme, m•is
leur p~nce est nécessàÎre pour
1> pluparc des réaccions biochi-
miques n:<ponsablcs de la vic
e<llul>ire.
Fn tfTet, en l'absence de vi rami-
nes. les glucides, les lipides er les
protides apporcés par l'alimen·
i:II ÎOil c;era ienr inutilisables. Le
manque de vitamines peur don-
ner lieu ~ des troubles métaboli-
ques graves... Actuellement.
nous connaissons J3 "ir.amincs
ct nous sa• ons aujourd'hui que
Funk J\'~t ton en ce qui con-
<.~me IJ deuxième partie de son
h~'J'Othèse: toutes les ,;tamines
M>nr bac.n loin de contenir de
l'v.ore. Au point de me chimi-
que, il .<'agir de substances tout
~ lair différentes les unes des
atHrt~. Ainsi, le.~ vitamines sc
divisent en 2 groupes, selon
leur< propriétés physiques,
c'e<t-~-dirc selon qu'elles soient
solubles dans k-s rorps gras ou
dans l'cau:
Vitamines liposolubles (solu-
bles dans une substance grasse):
vitamine A (Proviwnine A,
auendu un peu trop? Nous QUE SONT LES re panie de son hypothŒ, c'cst·~-dirc Bêta-C.rorène),
aurions dû «outer Hippoçrate. VITAMINES? Funk avait raison: les vitami- vil;uninc l>, vi1lmine E., virami...
qui disait déj:O ~ $<> patients: Le mor ·viumine· vient de nes sont des compo.s6: orgmi- ne K. Cts vitamines sc rrouvcnr
"F:ùra rn sone que b nourri m- "vie• er de ·:amine"' - atotatc. qucs actifs à d(':) do~c:) dJns l~s J.liments riches en
"' soit votn: remède ct le rem~­ Le chercheur américain d'ori- minimales ct indispensables au grai>SéS (lipides), reis que les
de voue nourriture ..... gine polon:ai~e, Ca~imir funk. bon fonctionnement de noue huil<.<. le bir, le beurre, les
Mais est-ce que nous savons qui fo rgea en 1912 e< terme organisme. à la croiss;ance et ~ reuf<. les noix. ainsi que dans le
effectivement de quoi nous technique. considérait cc~ .)lib- b reproduction. ë lles ne sonr pni'ison ct la viande. Les vitami-
avons besoin? De quelle vitami- stances comme nécc~s.airc:s ~ 1.1 pas synthétisées - ou du nes A, D. E ct K wnt emmaga-
ne ou minérai (oligoél~mem) vic. en affirmant qu'elles c.on- moins, elles ne sonr synrhéti· sinée) dans l·org-.misme. sunout
paniculi~ rcmcnt tcnaient toute) dt: l'al(Hê'. sées que parriellemenr- par le d2n.< le foie ct dam les tissus
En cc qui concerne la premiè- corps humain . Aussi, doivent·
couvrir en panic les besoins
pendanc quelques mois, car
nous prenons peu de vitamines
liposolubles à travers la nourri-
ture. Mais du fait même qu'el-
les peuvent être "srockées", elles
présentent un risque de surdo-
sage.
Vitamines hydrosolubles
(solubles dans l'e.1u). Toutes les
vitanlines du Groupe B: Bl-
B2-B3-B6-B12- Biotine ou 88
- Acide fo~que ou 89 -
N iacine ou ll3 ou vira mine PP
-Acide pantothénique ou 65-
vitamine C.
la vitamine C er les huit vira-
nlines du Groupe B ne se trou-
vent dans noue organisme
qu'en rrès petites quantités. Un
excès de vitamine.< hydrosolu-
ble.~ eH facilement éliminé par
les reins.
l.es réserves conscicuées ne sone
suffisantes que pour une brève solidité des os; er s;u1s la vitami- transformés en énergie er en importance dans la prévention
durée (à l'exception de la vira- ne K. il n'y aurait pas de coagu- matériaux: JlUtritifs. La \fÎtanlj- des maladies relies que le can-
mine !112). larion du sang. Les vitamines ne B6, par exemple, incervienc cer, l' arrériosdérose, la cataracte
Cela signifie que nous devons du Groupe B som souvent des dans plus de 60 systèmes enzy- et d'aucres maladies dite.'\ "de la
renouveler constamment 1' ap.. subscances qui emrenr dans la matiques du métabolisme pro.. civilisation". Oc.'\ érudcs cffcc..
port de œs vicamines à n·avers consrirution des e nzymes, ces rid ique. Le besoin de cette ruées sur des milliers de femmes
une alimentation équilibrée. petits auxiliaires qui conrri- vitamine augmente en propor- encejnres o nt montré que l'aci-
L'avamage de rour cela: même buem au bon fonctionnement tion des protides contenus de fo~que (vitamine du Groupe
des doses 100 fois supérieures de l'ensemble du métabolisme dans la nourriture. B) empêchait l'apparition de
ou plus aux besoins journaliers et en assurent la régulation. Le funsi, les grands consomrna- malformatio ns congén irales de
peuvenc être considérées en métabolisme gère, rour au long reurs de viande, de poisson et la colon ne venéhrale, de la
général comm e inoffensives. de notre vic, Jcs processus de de produits laitiers en one par.. moelle épinière ct du cerveau
construcdo n, de cransforma .. tic ulière ment besoin. (malformation du tube neural,
FONCTIONS SPÉCIFIQUES rion et de dégradation de nos spina-bifida). L' importance de
Nous connaissons avec préci- cellules, er il est responsable de SUBSTANCES l'acide folique durant la grosses-
sion les d1amps d'action des la croissance, du développe- INDISPENSABLES se est mise en évidence par une
vicamines. L1 vitam ine A. par ment er du processus de vieillis- Elles sont bonnes pour la santé, amre consrar.:adon: au cas où il
exem ple, est néce.~.saire à une semene de noue corps. En cane et nous le savons pratiquement manque, o n observe dc.s avorte-
bonne V4C; la vitamine D règle que producccurs d'enzymes, les cous depuis noue pcdcc cnfan .. menes spontanés. Lc.s vitamines
le fixage d u calci um, du vitamines participent donc à de ce. Nous ne les voyons pas, mais ne peuvent pas cout f.ùrc. mais
phosphore ainsi que d'autres nombreuses opéradons au cours elles exercent une influence sans d ies rien ne font."'ionnc
m inéraux dans Je dssu osscu.x - desquelles les aliments (proti- capir.aJe sur noue organisme. plus comme il fàu r dans notre
ct elle est donc responsable de la des, lipides ct gluâdcs} sont Leur importance c.st vi cale dès le organisme. Cc ne sont pas des
début de la vic ct jusqu'à la remèdes minculeux, comme
vieillesse. EUes renforcent notre d'aucuns le croier1t, mais leur
système immunitaire ou systè- champ d'acrion esl vasce, et
me de défense, er elles jouent même plus qu'on ne J'imaginait
un rôle important dans la for-
mation des globules du sang
jusqu 'à ce jour. *
(hématopoïèse). Mais les vira- JOSIANE MARCHAND
mine.~ po.ç_-o;èdenr bien d'aucres Nacuropathc, D irecuicc
propriétés. Des recherches de l'ISEMEN- Institut
récentes o nt montré que les Européen de Médecine
vitamines C ct E ainsi que le naturelle.
bêra-carot~nc ont une gf'.mde josianemarchand@yahoo.com
les additifs alimentaires
PRODUITS SUSPECTS Cholestérol : Prcincz l'ucilisation abusive de Reproduisez cette liste,
(PERTURBATIONS) : E 320, E 321 cc; additifs en sélectionnanr distribuez-la autour de
b produits que vous achete-z. vous, affichez-la et sur·
E 11S,I 141,1 150, E 153 Digestion (crème glacée) : tout, garder· la sur vous
E 1~1. E 1~1 f 173. f 2 Hl E407 Pensez à la santé de vos lorsque vous faites vos
1

[ l~ 1 1 l77 enf.tnrs. courses 1


Dermatite:
lnlenin< E 230, [ 231, E 133, E 238 PRODUITS
(pcmuharion\) : INOFFENSIFS :
1:. 22 •• ~ -22 F 223 r 22 Sensibilité cutanée :
1:226 [311, E312 E 100, E 101, E 103, E 104.
E 105, E Ill, E 122, E 126,
Digcsrion< Aphtes: E 130, E 132, E 140, E 151,
(pcrmrhation<) : E 330 E 152, E 160, E 161, E 162.
t '' ~?. F HO r H E 163, E 170, E 174, E 175.
t-ISO,~ .uO, f 461 F 46- PRODUITS E 180, E 181, E200, E 201,
[ 16 ' th CANCtRIGtNES : E 202, E 203, E 236, E 237,
E 238, E 260, E 261, E 262,
PRODUITS E 142, E 210, E 21 1, l:.. 212, E 271, E 280, E 281, E 282,
DANGEUREUX : E 213, E 2H, E 215, E 216, E 290, E 300, E 301, E 302,
E 217, E 239, E 4.~1 E 303, E 304, E 305, E 306,
E 102,1:. 110. E 120, F. 121,
1:.1r
E 307, E 308, E 309. E 322,
E 325, E 326, E 327, E 331,
Mangez frais!
Desrrucrion viramino B12:
[123 :
TRES CA.'ICËRJGtNF
E 332, E 333, E 334, E 335.
E 336, E 337, E 400, E 401.
Evitez les additifs.
E120

Accid~nt va=lairc: (daru


charcuterie) :
E 250. E 251, r 252
01'-'TERDIT EN URSS FT
AUX USA)
"lous ces additifs sont acrud-
lemenr autorisés en France.
mais doivent êrrc indiqu6.
E 402, E 403, E 405, 1:. 408,
E410, E411,E413,E414,
E 420, E 421, E 422, E 440,
E 471, E 472, E 473. E 474,
E 475, E 480
............
Llllll a rlllr ,..
. . . aa'r 1 . .
,.••,.........
,.aauuh s.
1

PRODUITS CANCÉRIGÈNES PRODUITS DANGEREUX PRODUITS SUSPECTS


ë 100, E 101, E 102, E 103, E 104, E 105, E 110. E Ill, E 120. E 121, E 122, E 123, .!:: 125
E 126, E 127, E i30, E 132, E 140, F 112. ~ " E 151, E 152, > E 160, E 161,
E 162, E 163, E 170, E 1-1 L ~ E 174, E 175, E 180, E i81, E 200, E 201, E 202,
E203. 1:.210.~211.E212,E213.E214 .~..215 L216.t2P. r220. ---223
~ E 230. ë 231,!:.. 233. E 236, E 237, E 238, E 239. E 250. E 251,
E 252. E 260, E 261, E 262, E 271, E 280, E 281, E 282, E 290, E 300, E 301, E 302, E 303,
E 304, E 305, E 306, E 307, E 308, E 309, F 3i 1. E 312, E 320, E 321. E 322, E 322, E 325,
E 326, E 327, f- 330. E 331, E 332, E 333, E 334, E 335, E 336, E 337, 340
1:. 5'-~l E 400, E 401, E 402, E 403, E 405, E 407, E 408, E 410, E 411, E 413, E 414, E 420,
E 421, E 422, E 431, E 440, 1- 450 1- iClO f- 461 t 162, E 463, E 'l6 E 471, E 472, E 473,
E 474, E 475, F 4T, E 480
A

CONTROLE

ES EXISTENCES
"LE PASSt, LE PRÉSENT ET LE FUTUR PEUVENT ÊTRE SONDÉS
À TRAVERS LES DONNÉES GÉNÊTIQUES". LE GARANT DE
l'INTIMITÉ, STEFANO RODOTÀ, EXPRIME DES DOUTES FONDÉS
SUR LES SYSTÈMES INFORMATISÉS DE RECUEIL
D' INFORMATIONS. UNE MENACE MONDIALE SÉRIEUSE À LA
LIBERTÉ ET AUX DROITS FONDAMENTAUX DES CITOYENS

par CRISTOFORO BARBATO

n mai dernier. le Garant de l'in-


rimiu!, Sccf..no Rodotà - à l'occasion de la <h•que J>OS$ibiliré.
pré.«<n ration du Rapport Annud 2002, "Lt corps - a d it le
tenue ~ Rome - a cxprim~ des do uces Garant - tsl ttl train tk
sérieux sur 1a procection juridique effective tkvmir urt mot tk passt,
d u dro it d e l' ind ivid u à l' imimité. Un droit la corporéiti s 'itkntifit tl
qui, selon Rodot;\, pourrait êuc miné par drs mots-eUs abstraiu,
les récentes conquêtes dans le domaine aux tmpfflmtt digiutl~.s,
technologique, par l'union d e secteurs 4 l'iris~ llUX traiu du visn--
auparavant ~paré>, tds que la génétique et gt, à l'ADN On rt'cotm
l'éloctrOnique, ct par de po5$ibles éléments tk plus m plus frtrpum-
rttU<illis à la swtc de campagnes du type mmt à us donnt~s
commercial ou de ..!curit~ sociale. biomltriqldS, non sn.U.
"A,.Jourrl'hut -a d~aré Rodotà - la pro- mmt tians un but tf'itfm.
uaion J.n tlonnln P"U'nntlkl nt> roncnnt ttficarùm ou comm~ di
pos sn~kmmt la tlivulgatitm abusW. tk ntn tl'acch à diffirmts snvi-
infor,atiom. F!Jk consisu igakmmr à tltfrn- tn, 11lllis IUISSÎ commt 111-
drt la tphnt pnvk ron'" tks invasions qui mtnts s~n·ant à dn
violmt k droit à la tra11quiUiti, annula11r k humain auJOutd'hui, >elon Rodotà. grâce dassificnllons, à dn rontrôks ultmtsm par
tlroit dt non J.(n~ir ·•. Le rapport du Garant aux nouveaux )(:énarios (prometteurs mais rapport nu mom('llt dt l'identification. Et k
a élé centr~ en particulier sur la génédquc, en même ccmp) inquiétants) offercs par la corps ptut ltrt prldisposi de manière à étrt
sur l'exploitation commerciale via gc'nc'tiquc. la biologie el l'électroniq ue, esr suivi n locnlis; e11 pamttnnu:r. Cr.rtairu
l'Incerner, 5ur le!! perspectives ct lc:s dangC'rs devenu un pôlt d'auraction: l'objectif est parmts anglais, traumatisls por ks m~­
q ui sc p rofilent à l'horizon. Le corps d 'en examiner ehaque.ecrer e< d 'en uciliscr mtnt.s tt lrs violtnus commi.Jts sur ks tnfoms,

20 "'""' iltCEMBRE 2003


0111 IÛ111t1ndl qu'un'- puu il~trroniqu~ soit dam être utilisa pour d,; fichogts cmtmlists Garant - pttw~nt donc h'"s sondls à tratN!rt
tmtrtr soUJ la ptau tk kun fi!J, afin dr savotr " tk mallr, tl tlk doit itrr toujours orrom- ln dannits glnltiqtus". ..
à rhaqul' insutm oit ils st tmutvnr. LA sur- pagnir dïmtrummts ~tdlquotJ dt roncrok ·~ unr tpoqu• où l'on pumt sltofflommt ln
•~illanu liKUlk m amfik it Ullf s~ru dt lais- ronfits """p~nnn intlrmm ~ Le rapport •·io"rn~m =nsi~ tk la propriltl mu/kt-
" ikrmmiqur, k corps humnm lumt concic:nt également unt an~lyse K:rupuJru.. rurik, ln flxtslauun doitomr rtftirhir sur
aJJumÜ à un t~bjn fJ"'IaJ1UJut /'n mouw- sc des <liffi:remcs implications de la généri- rmr poSJibilltl d• s'nnpn,.., d'un 111p«1 tk
mmt. romrôlabk à disttmctgrtlct 1J unt urh- que, grâce aux nou•clles technologies, daru l'tdmrirt ditutrui, qui rourht ln nwnn
nologit sauUitairt ': E[ il ajouee. en posmt les cas où dies ~"'"""' erre "appliquées" à mêmn rit l'aisunrr individurlk n tk grou-
une: quc~tion i nquiéranre: "Lt but dt f'idtn- la limitation de< droiu de l'individu. "lA pt, til prltX~Janr tn paniculi~r unr prouction
rifirntion, dt la survtillanu u tk la slruritl violatiMt dt la sp!Jh• privlr, rr(s K'"'" m Joi phutk adlquart ~
t!t's 11'/UJSII.ciÎons ptut...il vminum justifitr - a souligné Rodotà droimt encore plw
n Ïmportr qutl!t utilisation du corps humAin, inquiltantt si l'on ti~m compu du foir qut. UNE NOUVELLE DIMENSION
rrndut po11ibk par lïtmovnrion urhn~logi­ grâce aux dannüs tirlts de 11 Ïmpor" qurl DE LA SURVEILLANCE
qur? fragmmt dt matlrirl glnlttqt« (11liivt:, chr- D'•urre< dangers pour l'intimit~ du
Que f•m-il f.Urc? Le Garant, >c n'fér>m <>mX, peau.. 111nt), il nt potStbk d'obunir tks citoyen <Ont représentés par les techniques
aux réglcmcntacions en "igucur. cncour.1ge informations "lam't1 nDn uukmmr à lï- de localisation (TLQ des per<c>nncs_ Ces
il ~pcctcr 1• dignité de!;, personne. de l'i- dmtiti tk la penonnt, mats aUJSi d'un gm" syn<mcs font ....ge de divel"' innrumcnt>
dentité personnelle ainsi que de. "principes "pridimf'. Er pt~isqut k glnomt ronsritut de locali>•Ùon, comme par exemple lo
de finalité ct de proponionnalité". h il l'inurmidiairt f'ntrt !ts ~lnbations, Üs pucos sow-cutanées impbntabl« d.m le
;1ffirmc: "~ults tks misons soâaln trh fort6. donnif-s conarnant unt stuk pmonnt four.. corp< humilin ct celles insérée< dan. n 'im-
tl non pns un simpk ttvanraxe OfXanismion- nisstnt dts informmions tur tout.ts celles qui porte qud prod uit commercial.
ntl ou lronomiqut, ptuvtnJ justifitr h appartimllmt à 1011 grot~pt biologiqru •. "& Tout ctla, >don Rodotà, mer en évidence
rmnm à la biom&ric, qui nt dait ptU upm- ptUsl. le prlsmt tl lt fiaur - avertit le .. rmt nouvtUt dimtnsion dt la surt•tilinn.tt,
- - -
sam . OEC018RE 2003 21
i-
La ...IMrlsation des
les ledwliques
de recomaiHMCe
faciale pennottent
d'l-l'lndMdudo la
ma&:M et dl .. satvre.
Le,__ Ufet.og Mfilil en
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clonnéH our le$ tnmaetiono,
dollnformati<lrtl
. , . . _ ._
sphirep!tvM.
phy_....... et
à la

~ ~

mu/ur. possible prtr k changement socinl qui


a tnmsformé k téltphone ccliulairr pmqu' m
proiiJI!st. dr. la pmonnr, tm fil 1/ectroniq"'
inviJiblt. tt tr($ robwtt qui ptmttt dr. suivre
char.tm dt noJ mouvtments dtms n 'importe
qzullabyrinthe~
lhns son l'<lpport, le Garam n'a pas hésité
à form'-1Jer des critiques ~ères à l'encontre
du système américain TIA - Total
lnformarion Awareness, le puissant instru-
menr doré de capaciré de reconnaissance
électronique (data mining) conçu par le
Département de la Défense (UoD). JI est
nécessaire que l'Europe - souhaite Rodot~
- qui est capable de trouver une enreme au
sujet des droits de la personne, sad>e f.Ur<
valoir ces principes même vis-à-vis du pro-
gramme TJA. que l'admin isrrarion de Hush
voudrair uriliser pour conrrô1er les commu-
nications de chaque ciroyen de la planète.
"La surveillance- insis<e Rodotà- p®t. dr.
l'exceptionntlau quotidim, dti dasst.s 'dange- LE JOURNAL DE VIE DE LA DAR PA au mot book, signifie carte grise~ en langage
reuses' il taus 1~ gnu en génhrzl. /.a foule n'tst En eiTet, le Département de la Défense nautique:: journal de bord, donc avc:c: le: mot
plu.s solitaire ni onmtyme. l.n ntontfristttion :unériClin (DoU) est sur le point d'entre- !ife, vic, il illustre le concept de journal per·
tÛs imagf'S, les uchniquts dt rt'comtaissance prendre une série de programmes conçus sorutd), un système d'exploitation qui <>SSO·
fizciak pt7m~rr~m d'ùol~r l'individu d~ la pour recueill ir, Cltaloguer et rendre sonda· cie une énorme quantité de senseurs, mêmt
mass~~ de i'idtmifi~r tt dt k suillrt'. l~ "tûtltt bles toutes sortes d' informations possibles du type médical, à un analogue complet des
mining': !ïtzussmtu rtchnrh~ d'informatùms sur la vie des persotutes. moyens de commwliCltion possibles, en
sur 1~ cmnporummu de cJutcun, tngcndrt La UAJU'A (Défeme Advanecxl Rc:.t".uch mc:.ure d'enregistrer le plus petit fmgnknr
un~ production comituu de profils indivi- l'roject Agency) serait sur le point de lan- de donn~c.s qu'un sujet peut dire. &:rire,
druls, jàmilins, dt group~. Ln s-urveillance 11 'tt cer le projet d'une base de données globa· observer, allant jusqu'à sonder ses "inten-
pas d~ frnnrürt>s ". Cet averrissemenr du le de gr;>nde portée, en mesure d'enquêter tions", tout e-mail envoyé ou reçu, tout~
Garanc de l' imimicé est plus que mo rivé, sur les individus, induanl la communica- image vue, lOut journal lu.
su rcouc à la lumière de récents programmes tion, les rencontres, les négociations d'af. 'lout cela serait associé aux infonnations
sophisciqué.ç pour le recueil d'informarions, faires et mêrne les sentiments engendrés recueillies de différentes sources: un émc:t-
décidémenc inquiécancs, élahoré:s par le par l'imerac(ion soci~ùe au cours de la vie. teur GPS pour les déplacemems de la per-
Dépancmcm de la Défense de< ~rars-Uni<. 11 <'appelle l.ifel.og (log, en anglais, associé sonne, des senseurs audiovisuels pour capter
tout ce que J'individu dit ou f.'lit, t:lJldis que
des schémas biomédicaux tracent le proftl
de son état de santé.
"Le LiftLog - déclarent les employés de la
L>ARJ>A - doit s• procurer ICJ donr1étJ pour
connaîtrt tam ks expériencr.s pS)•chiques d'un
individu qur. sa irtttractùms dans le tnQtUÛ,
awc n'importe qutll~ autrt tntil!''.
Sur le plan de l'intimité, cela signifierait
entourer les "participants" d'un système
énorme de dispositifs portables, de sondes,
de caméras ct de micro-espions pour leurs
céléphones cellulaires, pour leurs ordina~
ceurs, leurs téléviseurs. fax, ccc. Les relève~
mems physiques seraient capturés par des
senseurs et errunagasinés comme de multi-
ples flux de données suivant des résolutions
et des formats appropriés.
Les éléments sernnt à obtenir les informa-
tions sont extrai(S pri.ncipalemem d'une
grande quantité d'applications ittformati·
!>ées: révélareu rs, connaisseurs, ;uulyseurs

22 SGill · DECEMBRE 2003


·-·-.....,.,....._.
Le nou- lyiÜ!no dt 10 DARPA
CM} M proewtt ... donnMt pour

ainsi qu'une documcntaùon bas& sur des


"' --
po)'CIIIQoM d'u o - quo dt
IMII"'bti&ctlw•ewc n'Importe

.....
informnionç physiques (sur la manière OARPA pourta.~t permettre aux militai-
faits (heuriuique). Les données ainsi obte- dont nouç nous sentons) ainsi que des res de développer do wistants informati-
nue., homologuées en coda de r<eonnais- archives ~ur les médias (oc que nous lisons). sés comme combattant> ct capitaines de
sance. <uhit<ent un catalogagc ultérieur Gordon Bell (professeur de sciences des guerre qui peuvent s'avérer plus efficaces,
selon le< différents ru'-caux de provenance. ordin>~eur< et ing~nicur électronique à la vu qu'il< peuvenr avoir un accès plus facile
À rrave,.. la déducùcm ct le raisonnement, Carnegie-Mellon University), chercheur à aux expériences p..,éc). Et il ajoute: "les
le Lifel.og engendre plu>ieur> couches de la Micro<aft, recueille toute> .es lettres en ordinarcurli peuvent nous rappeler corn ..
représen t3tions à un niveau toujours crois- les class..1nt, il enregistre ~ conversations. ment chaque étudiant apprend, en
sam. 1.'innoduction dc.s séquences sauvegarde le< page.< web qu'il visite et les exerça nt une: i ntcracdon avec les systèmes
don née< pmvient d 'une périodicité de e-m:)il reçu~. en plaçant ensuite toutes les d'enrraîncmcnc, ct en conséquence corn·
si r u>~ion< agrégée> ~ de• conrcxces déter- donnée< dan~ un d~pôt élr:<:tronique sur- ment adapter les lcçoru". Même si le spé·
miné~ qui oon~titucnt pour un individu la nomm~ "MyiJfeBits" (Motccaux de Ma ciali<re John Pike, cfueaeur du sire du
m.!moirr lpisbdiqu~. Les échantillons d' évé- Vie). Le Lifel.og de la DARPA développe- comité de défense Globa!Security.org dit
nement~. 3 l'intérieur de la "bande tempo- rait con<idérablement oc conocpt en con- qu'il rtouvc l'explication très "difficile à
relle" contiennent l'idencificaùon des trôlant le< déplaocments phy>iques des croire·.
habitude<, de< relaùons ct du quoùdien. gens er tout ce qu'ils observent dans les ·u semble êrre affirme Pike- une consé-
Donc, celui qui accède à la ba.c de données différente< SltwÙons. Cela rend le projet quence du <ystème TIA. un autre program-
pourrait mrou,·cr une trace spécifique scmbhblc au tra>-ai.l du prof=r Steve mt dt la DARPA pour Lt sécuriré et la
d'une rransirion p....C.:, r.tppder une expé- .Mann, de rt:nivcnuè de Toronto. Depuis sur\'<illancc de la patne" .
rience qui vient d'avoir lieu, en urilisam 19~0. quand ilav:ut 10 ans, Mann a urili- "Plus le comporttment caracrérid d 'un
rour ~implcmcnt un moteur de recherche <é la cam~ra airui qu un déploiement de individu - a dc!c.l.u-~ Aftergood - la vic de
imerfact. lien~urs pour cnrcgi)trcr son exisœnce. routine, 1o relation; et les habitudes peu-
Mann raconte qu'il o1 c.:onvaincu ses éru- vent êcrc rcpré)cnt6 numériquement, ct
CR tER d ianc• acruds ct prc'<idents de faire de pllL< il dtviendr-J f•<:ile d'idenrifier chaq ue
UNE MtMOIRE-SUCdDANtE même, en insér.un le: tOU l au nom d'une penon ne ou de la contrôler.
Apparemment, le projet semble le dernier "technologie de l'cxi5t«>ce", "mét.aphysi- Dans le rapport sur le l.ifeLog, la DARPA
de la liste dam le wdre des recherches éla- que de la libre volontf'. sc fait le porte-parole de. droits humanitai-
borées par la DAIU'A, dont une grande res quand elle propose qu'un "accès anony-
partie <ont restée> de• expériences de labo- UN PROJET PEU PUBLICISt! me appropri~ aux donnée.< du Lifelog-
r:uoire. Mais la DARPA c:>t a<tuellement à Mai< quds pourraient être les objectifs pourrait aider I. rc.;hercht médicale ou une
la recherche de fananu:ments, et certains d'un programme comme le l.ifeLog? La enquête rapide en cas d'urgence épidémi-
penonnages du milieu, tels que Steven rrchcrehe, d'aprè> lo experts, poui'T:lit être qu~"'. Pr&:i~mcm en certe période~ la
Afiergood, ami)'>tc pour les programmes ucilistt pour coruuui~ un sysrème qui, DARPA (qui n'a p>< tncore établi le bud-
de défense de la féd~r.nion des Sa>'211ts semblable 3 l'être humdin, puisse améliorer get dïnvc:>tisscmen" pour le programme)
Américains, sont préO<.<upés. les simulilnoru <i'cntr.ûnemem miliraires ct est en train de demander à des industries et
Afirrgood sc dit com·ainw que le Lifel.og cdlcs didacriquo né<.esMires pour enrichir des académies de 50lucrîre les proposiùons
pourrait dép;u>cr de loin la portée du TlA, les )eux· de réalité virtuelle. l.a technolo- pour huit mois de recherche, avcç une pos-
ajoutant à CC) donnt:es rran.sitoire.~ des g•e- affirme J.ul Walker, porre-parole de la sible cxtcn~ion ~ vingr..quatrc mois. *

sœn · OÉCEMBi!E 2003 23


D'APRÈS LES NOUVELLES
THÉORIES POSTULÉES PAR LA
PHYSIQUE QUANTIQUE, IL
SERAIT POSSIBLE DE
PARCOURIR DES DISTANCES
INTERGALACTIQUES GRÂCE A
DES SYSTÈMES DE
PROPULSION A COURBURE,
OBTENANT AINSI LE WARP
DRIVE. DES HYPOTHÈSES QUI
RENDRAIENT COHÉRENTES LES
RÉVÉLATIONS DE BOB LAZAR,
SAVANT DE LA ZONE 51

24 SGm -(JÈ;ct"MBRE 2003


_
r._.....,. ___ ...
. _...................... .
Lo pllyolcloo IIIIÔrlellin R - Lazat.

------
...,....d,....coutlww .. t t6itN
. .

...
2 2 ':

?

A u cas où d'hypothétiques visi-
teurs cxu:arerresues voudraient
couvrir les mormes distances qui ~tl.a
Torr< des S)'St~mes célestes extl':lSOl>.ires les
plus proches de nous, un cemps octraordi-
naircmc:nt long leur serait nécessa.irc, même
s'ils voyagcaiont à la vitesse de la lumihe.
Alors comment parviendraient-ils ~ nous
«joindre?
Olmbion de fois n'avons-nous pas onttndu
= question? Pour les sceptiques dio con-
ri<nr déji La rq,oose. .En gênerai dio est
po6ée aux ufologues dans l'immrion d. cir-
conscrir< le sujet"' de ramen<r les possibi-
lités do contact avec des inrdligcnces
extrarcrrc:strc:s au conto:re êrroir des con-
nai5Sances humaines actuelles. D'apr~ la
Thc!orie de la Relativité énoncc!e par
Einstdn, il est impossible de dc!passer la
vitesse de la lunlière. Une celle assenion
d<Vicnt le prcnli<r er, pour beaucoup, le seul
r<mpan l opposcr, dans le but do discrali-
r<r or démolir La r6ùité d'un ph<nomènc
qu'il est n<!cc:ssaite désormais d'accepter cr
de compr<ndrc. Il est indc!ni2hle qu'une
affirmation aussi soüde, comme a:Uc établi<
par Einsrdn, a créé de grandes difficultés
aux ufologues er permis aux "im~gristes
scicmifoqucs" de bien soutenir leurs Ùt~o­
ric:s, nocammenr vis..à-vis de l'opinion
publiquo. Une attitude différeme, plus
ouvene, plus "de frontière" - comme nous
aimons b définir nous-mêmes - del.-ait
néctss>.i,.mcnt '=ir de ce mondo sciencifo-
que (sou\-.nt trop tbc!orique er rar<ment
concret), qui opposait obscinémom sos a:r-
tirudes aux doutes cr aux hypothèsa relati-
ves l des r6ùir6; nouvelles et surpronantes.
Ainsi, si les ufologues soutiennent .. en sc
basant $Ur leurs recherches • que la vitesse
limiro dela lumi~e n'est pas cdle reconnu<
D'aprM lM prlndpoo dll
W.., Dl!ve, Il serait
pouible de ~*courir des
-lntom.ilairOI
au mo)W'I de "aaut:a
dimenslonnets"•


jusqu'ici, ils ne suscirenc que des c ritiques et
des sourires pédants. Alors que si une affu-
marion de ce genre vient de la conununauré
scientifique elle-même, qui s'oppose si rigi-
demenr aux thèses "bizarres er singulières",
elle devient phL~ crédible. Er cela, selon un
cliché bien connu: les ufologues sont des
visionnaires ou, dans le meilleur des cas, des
rêveurs auxquels il ne faut pas prêter trop
d'acrention.

MAHOMET ET LA MONTAGNE
Tl esr opporrun de rappeler que la Théorie
de la Relacivicé Rescreinte (TRR) démontre
essentiellement deux concepts fondamen-
taux:
- la viresse de la lumière dans le vide est la
même, quel que soir le référentiel;
- il n'exisre pas de référentiel absolu.
Nous savons, en o uue, qu'un corps doté
d'une masse non nulle réussirait à grand-
peine à re.<rer cel s'il voy:>geaic à 300.000
km/sec, car une opération de ce genre exige-
rait une énorme quantité d'énergie. Cette
chèsc n'esc vraie que si l'on néglige les effecs
gravitationnels (ec dans ce domaine il y a particules supraluminiques. A ce sujet, les ccr" en avant le point de départ ct e n arriè·
e ncore beaucoup à faire) . Ainsi, certains études de Mr Gonzales-Mesrres sont inté- re le poim d'arrivée. Le vaisseau spatial sc
marhémaciciens er physiciens corn mencè· ressantes. Lors de la 28e Confér<ncc retrouverait ainsi dans une sorte de "bulJe
rent à se poser cene question: au lieu de Internationale de Physique à Haute Énergie cosmique" au sein de laquelle les principes
&ire voy:>ger un corps d'un point A à un (Varsovie, juillet 1996). il présenta une d'Einstein continueraient d'être valables.
poinc B en ligne droice à la vitesse de la étude comparée minutieuse ayant trait, Donc, selon Alcubicrrc, il est possible ct
lumière, pourquoi ne pa.~ chercher à con- d'une parr, à certaines particules auxqudles mathématiquement correct d'i magi ner
tracter l'espace afin de rapprocher le poinc seraient associés de nouveaux degrés de - dans le cadre de la Rclarivicé générale -
B du poinc A? Le corps en question ne vio- überté non encore découvertS expérimenta- un mécanisme: qui puisse dépas..~er la vices..
lcraic pas les limices posculées par la lement, et d'autre part, aux implicacions sc limite de la lumière sans contredire cette
T héorie de la Rclacivicé, vu que l'espace cosmologiques possibles de ces parries de la chéorie.
seul sc déformerait, en nous rapprochant macière qui se déplaceraient plus vite que la
de notre objet et en s'étendant derrière lui. lumière. Ce thème est abordé et débattu LES CAPACITÉS DES OVNI
En somme, puisque la moncagne ne vient dans plusieurs milieux scientifiques. Il laisse La chéorie d'Aicubierre reflèce fidèlement le
pas à Mahomet, c'csc Mahomec qui ira à la présager qu'à l'avenir la science affirmera comportement décrit par de très nombreux
montagne. Donc, si 1' on prenait e n considé- eUe aussi er démontrera sans équivoque la témoins d'OVNI. Faisant le récit de cc
ration les dfeu gravitationnels, les c.ho.ses possibilité de se déplacer à des vitesses supé- qu'ils one observé, ils indiquent des été-
changeraient, parce que les règles ec les rieures à 300.000 km/sec. menes cohérencs avec l'hypochèsc de dépla-
équaùon.s qui décrivent l'espace.. temp.~ que Le chème des déplacemencs, grâce à des pro- cemencs supraluminiques basés sur des
nous connaissons ne seraient pas directe.. pulseurs capables de dépasser la vitesse limi- effecs gravitationnels. En effet, ce n'est pas
ment applicables à un contexte si élargi, te établie par la Théorie de la Relativité, par hasard que les obserntions d'OVNI ont
conune celui que nous présenteraient de devient de plus en plus accuel er de moins écé caractérisées par certains détails liés à la
nouvelles hypochèses gravirationndlcs. en moins distant de toue ce qui esc raconlé dynamique du mouvement. On peur les
daos de nombreux films ou romans de résumer conune suit: - capacité de station-
LA BULLE COSMIQUE science·fiction. Si la réalité assimile des con .. nement aérien (comme si la gravité ne
Il n'y a rien de nouveau dans le fait que la cepcs er des images provenant du monde de représentait aucune contrainte);
physique quantique, s'occupant du "micro- la fiction (sans s'étonner de la possibilité · mouvem ents brusques avec des accéléra..
cosme" (qui, paradoxalemenc, ressemble tel- d'un parcours en sens inverse!), nous pou- tions spc:ctaculaircs;
lement à l'U nivers), se concentre sur la vons alors comprendre pourquoi d'illustres - dématérialisations soudaines qui laisse-
recherche de particules subatomiques qui mathématiciens conune Miguel raient supposer un saut dimensionnel ou
pourraient se déplacer à des vicesses supé- Alcubierre en 1994 - ont soutenu la possi- une distorsion spatio-ccmpord le.
rieures à celle de la lumière. Nombre de bilité de réaliser un vaisseau spatial dont le
savanes ct divers cenues de recherche s'inté· syscème de propulsion aurait pu tordre UNE ÉNERGIE INIMAGINABLE
ressent depuis longtemps à l' cxiscence de l'espace en le conrracr:anr, de F..çon à "dépla- Le concept de "Warp drive" (propulsion

26 S<illl • DÉCEMBRE 2003


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L'Hiuslntlon.-o

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OOUrtlure.
Le pl!yolcltn Clwll Yan 8oft
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requis - au = où on ne f.lit que supposer t10n de ccru..ina soucoupe" vnbnrcs


q u'il fonctionne- une énergie inimaginable. récupérées. Cc qu'il a décrit apparnit tour à
Cela fut démontré malhém.lt..iquernen r p-ar fuir cohérent avec la théorie du "Warp
lc.s deux chcrchcun. Airui, les convicrion.(l d rive". Mais Mr Luar décrivit le< propul
e nthousiastes en f.-weur elu "\Varp d rive" sours gl'2virutionnds d es OVNI en 191!9,
s'évanouirent de faço n irrévoc.1ble. Mais la alors qu'Alcubicrre fonnul~ S<>n étude en
théorie d'Alcubierrc fut reprise par le phy- 1994. En wméquence, une des hyporh~
sicien belge de l'Uni•cr>itt Carholique de les plm probabb est que .\Ir l.a>.ar a elfcc·
Louvain. ChiiTrc; à b m;ûn, Chris Van Ù\"mlcnt rn··;tillé à Dreamt.nd ct • \'\1 des
Den Broeck dc'monu·• - bien qu'a\-ec de vc11icules >patiil.ux exrrarerresrre< en y dfcc
gros problbnes théoriques, tds que la néces- ruant quelque> intervention<. .\bi< le rôle

DANS LA PRATIQUE, SI CETTE


MINUSCULE BULLE COSMIQUE
TRIDIMENSIONNELLE PASSAIT
DANS LA QUATRIÈME
DIMENSION, NOUS AURIONS
UNE ZONE MULTIDIMENSION-
NELLE TRÈS VASTE

sité de produire une tnergie négacive suffi- qu'il a JOUé dans ce cas esr inférirur à celui
sante - que le "Warp drive" ét.air beaucoup qu'il a déUaré, et son bagage <eicntifique
moins improbable que œ que Pfenning ct moins impunant. t.n somme. on 2l'impro-
r-ord cbcrciWcm :1 farre croire. En dli:t, sron qu'il a dû s'occuper de quelque chooc
selon Van Den llmeck, en modifiant la de non convemionnd er que le point de
géométtie d'AJcubierrc pour rcporr<:r roure dc'p•m de son récit est vrai ct correct, bien
la bulle cosmique :1 des dimensions subaro- que M>n imerprétarion ou son imaginat.i()n
miquts, il nesernit pas néce553ire d 'avoir des aient probablemenr enrichi tOU[C cette
quantités é normes d'~nergie. Son affirma- h istoire. La question fondamentale qui re:. te
tion était b3Sée sur l'hypothèse d'une nouvel- à po;ercstla suivanre:si Mr lazar a parlé du
le dimension spario-ren1pordlc cxtrémcment système de propul<ion des OVNI en indi-
vaste à l'imérieur, m:ti~ ..vue de l'extérieur" quam de grandes similitudes ave:<. la théorie
clic appara!trait o:trèmcmcnt petite. Dam d'Akubit:rre:. comment pouvait-il connaître:
supralwrunique à oourbure, dinonion) est la pratique. si Cette petite bulle cosmique tti- do aspects aussi spécifiques ct sacntifiquc-
donc la tnruposition fidèle de ccs ,.,h>eula dimensiooneUe passait daru la quatrième mcnt coh~re:nlS cinq ans à l'avance? *
spatiaux. Le: f;tit de supposer lrur o:istcncc d.imen.sioo. nous au rion~ en réafjté une zone
c:t de la ;outenir p•r des argumcn<atioru multidimensionnelle rrè.< vaste qui n'cxigt"
scientifiques, comme J'a fait Alcubicrn:, qu'une q1L1nriré d'tnergic vraiment réduite.
ouvrirait de nouvelles perspectives. Il ne f.1m Les •ffirmarions de Pfenning et Ford furent
pas s'~tonner si l'affirmacion du mathém.llη ainsi démenties ou du moiru ramenées à
cien de !"Université du Pay> de Galles a leurs jtmes proportions, ct le postulat selon
a. M. Alcubierre, Class. Quantum Grav.
suscit~ des c.ridqucs ct des accioru vi~nt :).)a lequel il esr impossible de dépasser la vitesse n h994J Ln
banaliser, e:n la considérant comme une sim.. de la lumière ne paraiswt plw. aussi solide er
a. L.H. Ford and M.J. Plenning, Class.
pie rda rion de cause à dl"c:t (à chaque action Quantum Grav. 14 (1997) 1743
incontournable.
cor.-..pond une n'action). Ce fut ain<i qu'en J. S.V. Krasnikov, Phys. Rev. D 57
19')7 deuxchcrchewsde t.Tufts Uni\-.:nity CINQ ANS AUPARAVANT, LAZAR (1998) 476o
._ C. Van Den Btoeck. "A warp dri~
(Ma.ssachusctt>), Micbad Pfenning ct Larry JI vaut la peine de prcndrc en considération
wrth reasonable total energy require·
Ford, essay~rent de démolir la th~c le lien cxist:mt emre la thl!orie d'Aicubicrrc-
d'Aicubierre, en démontr3nt que l"hypotho- Van Den Broeck et les affirnmion< du p hy- ments, gr-qc/9905084"
sc du ''Warp drive" était 5;1ns fondement ct sicien Bob Lazar. Celui-ci soutient qu'il a s. www.spires.slac.stanford.edu/cgi·
non plaw.ible. Un système de propul<ion de rrav;tillé dans la Zone 51 (inmllarion S-4) à bln/spiface/find/hep/www?rawcmd•t
+warp&Format=www&sequence•
cc genre appliqué à un vai«eau spatial aur;tit la rérroingénierie de< <y<tèmcs de propul-
------------------------- Stilll · OÉCEMOA( =F
UN CHERCHEUR, CÉLÈBRE DANS LE MONDE DE L'UFOLOGIE,
EXPRIME SES CONVICTIONS PERSONNELLES AU SUJET D'UN
PHÉNOMÈNE MONDIAL ÉTENDU CONCERNANT DES ENFANTS DOTÉS
DE CAPACTÉS INCROYABLES. DES CONNAISSANCES QUI, DANS
CERTAINS CAS, PROUVERAIENT L'EXISTENCE
D'UNE MATRICE EXTRATERRESTRE
par RICHARD BOYLAH, PH.D.

n des p:rnagcs les plus inté- moment mèmc. Je contact avec les habi-

U ressants de la Bible décrit


une ;cène dans laquelle
Jésu.s eSt assis après avoir
tcr1niné ses enseignc.ments.
tarlls de la Terre. prr'occupés par les condi-
tions vex.atOiro impo~ aux enfants.
Cela s'explique du làit q ue ces entités
senûeru conscientes qu'il s'agit des généra-
Des enfams viennem ~lui en courant, mais tions qui, en croissant. pourraient condui-
leurs m~rc:> le. re<Îennent. L'Avatar de la re la Terre à une trc tout à fait nouvelle,
Galil~ répond: "LIÎ:.>CL venir à moi ecs celle que le> natifs appellent le "Cinquième
enfanu et ne les ernpêchet pas, car le monde" .
Royaume de< cieux est à eux·. U, chef spi-
rituel Lakota (Floyd And) déclara, lors de LES INFORMATIONS ONIRIQUES
la conférence "Star V15ion •, que Jésus était Un "cnf.ant des étoiles" pourrait donc être
un homme ·,-cnu de< éroiles. U, chaman défini comme une créature d'origine dou-
Lakoa entendait par li que la conscience ble: humaine et am terrestre. La contribu-
de cc personnage tu ir, 2 son -avis, au moins tion cxrnuerresrre à l'origine de ces pe<iu
en panic de narurc extratcrresue et proba- poutrart pfO\-cnir d'un maréricl reprnducrif
blement soutr:nuc par la srrucrurc généti- d'ing~nietie générique, de la technologie
que ET-humaine hybride. biumédicale. d 'un lien télépathique au
L'amour émuuvam de Jésus et son atten- nivau conscic:nt. ou même d'une incarna ..
tion enver) les enfants seraient partagés par tion directe d'un cxrratcrrcsrrc dans un
des myriades d'hôtes extraterrestres qui corps humain.
ser.tiem en train d'intensifier, en cc CQ cnf,uus seraicnr spéciaux, cr Jcurs

28 """' O((;o.t)At 2003


p2renr$ émcnrcillés en .scr.ücnr tour à F.ût
ron<eicnt<. On dirait qu'il s'agit le plus
«>uvcnt d'adultes dans des corps d'enf.um,
leur regard est souvent résolu ct lcun; con-
naissances supéricu.ra à leur âge.
De longue.) annéo de recherche extr.atcr-
re_çrrc don) le dom.Line de: l' ing~nicrie bio-
logique ct un cllort permanent pour faire
pmgrc\.~Cr la race hu maine a uraient p ro-
duit de~ cnF.mt) dont lc.s tètes seraien t .sou-
vent si grandes <.~u'cllo rc:udem nécessaire
u ne cé)..1riennc uu du moins une épisiolO-
mic, c'e>t·l-dire le ;cul moyen de les faire
naîcrc. ~1êmc ~i Wte augmentaûon des
dimensions de b. boîte crânit'nne serait un
indice approxiltl<ltif d'intdligcncc, cc qui
serait encore phu irnporu.m c'est le déve-
loppement hum>in d.uu le domaine des
Clp.tcit6 ps)chiques .tccmes, des oprimde<
qui milistrlitm 1.1 bioénergie (ki, chi,
pmn>), lo forc<S cosmiques de guérison er
le lien intuitif ct t~l~pathique avec d'autres
wurc,;c.) de c.:on)I.;Îtnce. Certes. ce rype d'é-
change n'.wr;tÎC pas lieu se ulement :111
niveau p hysique, le cransferr d ' infor ma-
I io n~ se pa~'iei'J ir souvenc la nuir, dans cc
qui :lppara.t«ra. it un ~rat de rêve, donc l'cffCr
serail d':lugmenrer la conscience C[ la pcr..
spectivt selon laquelle ces enfume< agiraienr. n certain nombre de phénomè- Les caractéristiques de ces
Les te..hnologie. complexes er sophisri-
quh.) corr~pondraienr da\'anrage aux apri..
mdes de ces enF..nts plutôt qu'à ccUcs de
U nes, plutllt complexes pour être
clasH$ selon les modèles psy·
choloaiques traditionnels. ont été
créatures, selon les experts.
les écrivains et les anthropo-
leur< parents: ils sc làmiliariscraicnt rri:s jusqu'à ce jour trés peu analysés par
ai~menr a\'t'C l'ordinateur pc:rsonnd. ct ils les moyens d'information. l'un de
sophes qui les ont analysées,
réu<-~iraienr l
noavigucr sur lnrcmct presque ces phénom~nes serait celui des Star seraient sans précédent de
inruinvcmcnr. Chlldrtn (Enfants des ttoiles). Dans par leurs capacités psychiques
Il panit que même Albert Einstein a reçu différentes parties du monde, on a
ce type dïnlormations durant la nuit, des cherché à analyser ces créatures et leurs connaissances
indic.tcions qui auraient in}piré .ses rhéorit"S "slnaull~res • appelées également spirituelles
d'avant·garde. Quand Mc Michael Wolf- lndl&o Chlldren (Enfants Indigo), afin
membre du groupe d'études du NSC d'en comprendre la nature effective. par ClllafOIIOIIO UII&4IIO
{National Security Council) - fut analysé 1t Certains chercheurs, dontl'ufologue
Princeton comme enfant prodige, il eut américain Richard Boylan, semble·
une COO\'C:rsacion avec Ein-!ltein, a u terme raient enclin à envisager une impli· unité: dépassant ainsi le concept de
de laquelle le ~.tvJJH n'aurait pas été surpris cation de type extraterrestre. temps linéaire, ils seraient à même
p.ar la. c.:onnotissotnu que Je jeune a-vair de~ Or, cette thést est qualifiée d' "extrê- de penser d'une manière que nous
th~rie. le< plus •"•ncécs. apprises, au dire me" par beaucoup, mais elle est éaa· pourrions appeler "holographique ".
de Wolf. durant les rransfcns nocrurncs ltmtnt soutenue par d'autres Dans leur livre "The Indigo
d'informations. spécialistes dt "frontière" qui affir- Children •, publié aux ttats-Unis en
I.e ~p<!ciali"e o.,;d i\dairc- technicien de ment d'un commun accord que ces 1999, les auteurs lee Carroll et Jan
lo :-;'ASA raconte une con\'crsation qu'il enfants "spéciaux• s'incarnent lober décrivent .ces enfants - nés
avait eue avec l'un do physiciens le. plu. depuis un certain temps sur la Terre dans différentes régions de la planè-
fameux du monde, Stephen Hawking, qui -depuis trente ans environ, ave< des te, sous diverses cultures et reli·
lui aur-.ait d~mJnd~ ol1 il aV;,lit pui~ Se': pointes maximales à partir des gions- en les définissant, d'après la
concepts de technologie avancée: "ces idée.< années 8o- afin d'assister et d'aider nuance Indigo de leur aura (voir
mc viennc!nt dura m le sorn meil", aurair notre planète en agonie. Ces créa· paragraphe suivant), comme doués
répondu Ad.lire, el le savam lui aurair con .. tures, tr~s Intuitives, seraient en "d'un patrimoine nouveau et hors du
finné que ta même chose se pas<air égale- mesure de percevoir tout ce qui les commun, ainsi que de caractéris·
melH pour lui. entoure comme faisant partie d'une tiques révélant un modèle de com·
30 sam • O(Cf.WilllE 2003
portement sans précédent•. champ d'énergie émis par leur aura. le menté. Ce modèle présente des fac·
Certains spécialistes semblent être du livre de Nancy Ann Tappe serait le pre· leurs communs qui suggèrent à ceux
même avis, par exemple James mi er livre connu dans lequel les modè· qui interagissent avec eux (les parents
Donahue qui, dans son livre intitulé les de comportement humain de ces en particulier) de changer de compor·
"The World's Star Children are under enfants indigo auraient été identifiés. tement, afin de les élever en leur assu-
Attak", affirme qu'ils présenteraient L'auteur classe des genres déterminés rant l'équilibre et en leur évitant une
des capacités psychiques spéciales et de comportements humains en grou- série de frustrations mentales poten-
une connaissance spirituelle subcons· pes de couleurs, et elle a créé intuiti· tielles.
dente. vement des liaisons ainsi qu'un
Toutefois, étant nés de parents • ordi· important système. Un des groupes de COMMB'Jl lfS RECOONAÎTRE
naires • et instruits par des ensei· couleurs que nous trouvons dans son la liste suivante indique quelques-uns des
gnants qui souvent n'en comprennent activité est précisément l'indigo, qui mod~les de comportement les plus fréquents
pas les potentialités, ils seraient "révèlerait" ce nouveau type d'en- caract~rlsant ces enfants, et en particulier dix
considérés comme "anormaux", vu fants de façon très précise. des caractéristiques les plus communes,
qu'ils refusent les modèles standard Si d'aucuns trouvent plutôt insolite le selon les auteurs susmentionnés.
de l'éducation traditionnelle (tant classement humain basé sur des grou· 1. Ils entrent dans le monde en mon·
familiaux que scolaires). pes de couleurs, il peut être néan- trant une attitude que l'on pourrait
En conséquence, il arrive souvent que moins intéressant d'analyser une qualifier de royale (et ils se compor-
ceux qui en ont la charge recourent à étude assez semblable menée, bien tent souvent d une manière
des analyses médicales qui, en géné- que pour d'autres raisons, par le pro· "noble").
ral, tendent à diagnostiquer pour l'en- fesseur Hartman Taylor et publiée 2. Ils ont l'impression qu'ils • méritent
fant un "Syndrome de déficit dans le livre "The Color Code: d'être ici", et ils sont surpris quand
d'attention avec hyperactivité" A New Way to See Yourself, Your les autres ne partagent pas leur état
(SDA/H), impliquant la prescription de Relationships and Life" (le code des d'âme.
psycholeptiques, tels que le Rltalin. couleurs: une nouvelle façon de se ). Ils ne donnent pas beaucoup d'lm·
L'anthroposophe Georg Kühlewind, un voir soi-même, de voir ses relations et portance à l'estime de soi.
des premiers à s'intéresser à ce phé· sa vie). 4- Ils parviennent à grand-peine à
nomène, affirme dans son livre "Les Cet ouvrage, bien qu'il n'ait rien à voir accepter le concept d'autorité abso·
enfants des étoiles" que ceux-ci mani- avec les Enfants Indigo, montrerait en lue (l'autorité qui ne donne pas
festent non seulement une maturité et tout cas qu'il existe un lien entre tes d'explications ni d'autres possibi·
une sagesse surprenantes, mais aussi combinaisons de couleurs et les attri- lités).
une forte inclination spirituelle, et buts humains. Hartman parte des s. lis tendent à ne point se conformer à
souvent même une grande déception modèles d'Hippocrate et des modèles certaines coutumes. faire la queue,
causée par la société adulte au sein de du Moyen Âge servant à cataloguer les par exemple, est pour eux quelque
laquelle ils sont nés. différentes personnalités, réparties en chose de très difficile.
Les Enfants des Étoiles jouiraient, au plusieurs types: sanguin, mélancoli· 6. Ils se sentent frustrés par des systè·
dire de Kühewind, d'une abondance que, flegmatique et colérique. Il les mes basés sur des automatismes et
caractéristique d'énergie vitale. Au associe respectivement aux couleurs qui n'exigent aucune pensée créati·
lieu d'être reconnue et valorisée par suivantes: rouge, bleu, blanc et jaune. ve.
une pédagogie adéquate, elle est sou· De toute façon, selon les affirmations 1· Ils suivent souvent les voies les plus
vent considérée comme un symptôme de Tappe, de Carroll et de Tober, la indiquées pour faire certaines cho-
de trouble social et traitée par des couleur indigo de l'aura de ces ses, tant chez eux qu'à l'école, et de
médicaments qui tendent à la •norma· enfants représente un champ d'éner- ce fait ils paraissent quelquefois
liser". gie caractérisé par l'illumination, la "rebelles" (non intégrés à aucun
spiritualité d'un individu qui a cultivé système).
QU'EST-CE QU'UN ENFANT INDIGO? sa présence divine sur la Terre. 8. ils peuvent paraître asociaux et
Comme nous l'avons dit plus haut, Jusqu'à ce jour, des milliers et des mil· introvertis, comme si personne ne
"Enfants Indigo" est l'un des termes liers de ces jeunes dotés d'une forte parvenait à les comprendre, à moins
forgés pour indiquer cette "singuliè· spiritualité, comme nous l'avons dit qu'ils ne se trouvent avec des per·
re • génération de créatures. En 1982, plus haut, sont diagnostiqués et sonnes comme eux. Pour eux, la vie
une femme nommée Nancy Ann Tappe traités comme frappés de désordres à l'école est souvent problématique.
a écrit un livre intitulé " Understanding bipolaires du comportement, de 9· Ils ne répondent pas au genre de
Your Li fe Through Color• (Comprendre désordres d'hyperactivité et de déficit discipline qui consiste à se servir du
votre vie à travers les couleurs). d'attention. En réalité, un Enfant sentiment de culpabilité pour faire
l 'auteur, dotée de facultés sensitives, Indigo manifeste un nouvel ensemble pression.
a commencé à 'voir' une nouvelle insolite d'attributs psychologiques et 10. ils ne sont jamais timides lorsqu'ils
génération d'enfants reconnaissables montre un modèle de comportement demandent les choses dont ils ont
à la couleur indigo contenue dans le qui, jusqu'à ce jour, n'a pas été docu- besoin. 0

- - DECE-2003 31
LA DOUBLE NATURE Enfant des Étoiles, visité la nuit
La conception de cecre génération d'avant· par les exuatcrrc.~rres dans .sa
garde aurait lieu grâce à un processus qui cham bre à coucher. Son récit
dépassernit la simple reproduction humaine conrinuel de cet épisode aurait
(comme celle de Jésus). Dans cermins C.lS, susçjcé une réaccion cellemenr
leurs parents auraient eu des conr:acrs extra· violente chez sa rnère que 1' enF.uu
rcrrcsrrcs sans en garder un souvenir con .. aurait appri.~ rapidement à ne
scienc, er cc n'esc qu'aprè.'i bien dc.'i années plus lui faire de confidences.
que cerre réminiscence remonre à la surface. Malgré cela, il aurait montré de
À la su ire d'un rel conracr, un Enranr des toute fuçon des dessins d'ET et
"troiles serait conçu corn me matériel généri- de vaisseaux spatiaux à son
que exrrarerresr:re ou avec un gène humain grand-père, plus compréhensif.
altéré par la biorcchnologie ET, de fàço n à
mcnrc en évidence des apcirudcs supéricu.. LES ÉCOLES POUR
res à la moyenne. Dans plu..'i d'un cas, il LES HYBRIDES HUMANO·
semblerait que les parents des enfantS ainsi EXTRATERRESTRES
recon nus aient été eux.. mêmes des Srnr Lors de leurs différents conracrs
C hildren. avec les huJ,lains, les exHacer-
Ces personnages particuliers seraient crès dans l'inconsciem remonreraien~ à la surfu- resrres auraient comrnuniqué qu'il y aura
inrdligcnts, ils auraient un esprit cosmique ce. L'écrivain Whirley Scrieber (fameux bientôt .sur la Terre des "écoles spéciales"
ct posséderaient une sensibilité plus grande pour l'épisode de son enlèvement par les pour les Enfants des Étoiles, dans losqud-
par rapport aux aurros enf.uns do leur âge. cxuatcrrcsucs, dom on a ciré le film cr le Ios ils pourront apprendre à uciliscr libre-
Certains d'entre eux se rappeiJcraicnc livre inrirulés "Communion") aurair fré.. ment les aptitudes ct lc.s talents qu'ils
même d'une vic précédente au cours de quenré une école primaire un peu spéciale. possèdent, cds q ue la célépathie, la préco·
laqudlo ils auraient vécu avec leur famille 11 raconrc qu'il aurait souvenc senti le gnition, la rélékiné.sie, l'intuition, la Jecrure
ET. Durant los régressions hypnotiques, il besoin de laisser sa maison er de rejoindre de l'aura, la guérison bioénergétique, sans
se serait avéré invariablement qu'ils en bicyclette une forêt où il aurait trouvé êuc pour autant ridiculisés, comme cela .sc
auraient accepté volontairement de s'incar- d'autres onlàms do son âge. passerait aujourd'hui dans los établisse·
ner comme êues hwnains en f.tveur de: ce Là, une figure capuchonnée vèruc d'une ments scolaires traditionnels.
moment historique: pani<.:ulier. Ces enfants lo ngue tunique leur aurait montré des scè- Ces écoles particulières exigc::raic::nt un
apparaimUent souvent embarrassés par le nes cirées du pa.o;.<é ct du furur. \Vhidey sup· onsdgnemenc crès sensible afin do dévdop·
primitivisme de la vie terrcsue. par la den- posa que dans le passé, étanr donné sc.~ per l'appartenance biculrurdle do ces
sité de leurs <X>rps physiques « los f.ùbles vèrc::mcnts, l'cnscignanrc avait été une reli- cn.fà.nts, ct elles prévoiraient la création d'u-
capacités intellectuelles et comportementa- gieuse catholique comme cdlos q ui lui nités élémentaires c::t supérieurc::s. En outre,
les de leurs semblables. Ils ex'lSpéreraiem enseignaient ~ l'écolo paroissiale. Par la dies disposeraient d'urùr6 spéciales pour
leurs parems (humains) par leurs récits con- suite, à l'âge adldte, il aurait rencontré de les parents, afin de leur enseigner er de leur
cernant le lieu d' oil ils viendraiem ou leurs nouveau quelques-w1s de::. ses anciens com- conseiller comment aider leurs fils à déve-
vrais procréateurs extraterrestres, en faisam pagnons, qui auraient pris parr acLx leçons lopper leur poremiel. De plus, les adultes
souvem des observations profondes sur les d'endOCtrinement. Un dos cas les plus inté- seront encouragés à accepter ce genre
phobies humaines, comme s'ils y étaient ressantS de Star Kids concerne une fillotte d'expérience et à assimiler non seulement la
presque étrangers. Pl usieurs parents se sont de six ~ms. que nous appdlcrons Karrina. réalité ordinaire, mais aussi une réalité
demandés: "quel genre d'enfànrs avons- EUe décrivit à ses parems, à son frère et à cosmique vers laquelle nous évoluons rapi-
nous eu?" . I.e but du présent travail est pré- ceux qui l'analysèrem, l'école qu'elle aurait dement. Ayam lill degré de manuiré préoo·
cisément de résoudre ces perplexités er de fréquemée la 11uit, en dessinant même le ce très développé, les Enfants des Etoiles
fournir une méthode aidant à mieux con- vaisseau spatial dans laquelle cette école parviendraient à occuper des posres de
na:iue ce.s enfants:. :mrair été placée, ainsi que la salle dorée djrection à une époque en pleine transfor~
d'un .. rableau noir, qui n'est pas exactement mation. Ils pourrn ienr êrre les enseignant..~
ENSEIGNEMENTS COSMIQUES un tableau noir". Elle illustra également "le du nouveau rnonde, les gujdcs, les guéris..
Dos nombrolLX Enlànts dos Étoiles parlent srylo spécial" qu'elle aurait utilisé pour dcv seurs alternatifs, les visionnaires, les o rgani-
de déplacemc:nts nocturnes, à un endroit sinc::r à distance sur le non-tableau. Kauina sateurs de communautés ct lc::.s artisans de
déterminé de la Terre ou à J'extérieur, sur sc souviendrait de sa parente extraterrestre, la paix. Ils pourraionc assumer la fonction
un vaisseau spatial à bord d uquel do nom- qui sc::rait un jour apparue à la mère humai- d'ambassadeurs lors des rencontres avec les
breuses notions leurs seraient indiquées er ne de la fillette pour lui demander do prcn· visiteurs cxtratcrrc.strcs, durant la phase de
enseignées, y compris des événements rela- dre soin de la petite, maintenant qu'elle transition de la soc.iété actuelle:: à une autre
tifs à un avenir prochain. JI semit dit à ces éraie une créature terreStre. En outre::. la qui voyagera parmi les étoiles. Accueillons
sujers parriculiers qu'ils ne parviendraient petite enfant écrirait "en caractères extrater- favorablement nos Enfants des Étoiles er
pas à cour comprendre à l'insunr même, restres", parlerait er traduirait "sa tUlgue renforçons leur développement.
mais que par la sui re - au cas où cela se ren· exrracerresrre" da.ns un scy-le coulam. Ils pourr~1iem représenter effecrivemenr
drait nécessaire - les informacions stockées Seymour (nom de f.1nr:aisie) serait un autre norre avenir. *
32 sam · OËŒMBRE 2003
n ow sommes totale-
ment responsables de
cc qut sc passe sur la
planète Terre ! Je sais
impossible do sortir de la toile
d':t.r:>ignéc cri« par les FP qut
nous entourent et par les cg"'~
gores qui nous nourric;~nt cr
la barreaux d'une prison que
nous ..~ons con.slr\Üte pierre
•près pierre mais qui n'est qut
du \"Cnt ct que nous pou'"ons ~
\'OÏr. Aimer le beau • .s~aimer et
<'offrir du temps ou <-c que l'on
2ime esr une marque de respc:ct
pour ce que nous sommes ct je
combien ces propo> peu,·ent que nous enrrecenon~. chaque instant dissoudre. ne m'imurgc pas contre c.c:la.
hre générateun de .:ulpabilité I.e plus gr>nd manipulateur les .Euc:-s du ~couvernernenr C'e.<r dans l'énergie émise pat le
~r pounanr, je ne peux n·e.u pas à l'extérieur de nOI.l). i1 Mondial• n'existent q ue parce F.it de poss~dcr plus ct mieux
confondre responsubilit~ et cul- esc là er c·e.u nou~·mêmc. Nous que nous le voulons. Ils utili- que d•:mtrc$, q ue :.c trouve les
pabiliré. la culpabilité est une er nos envies de po uvoir, nos !ic:nt simplemem ce q ue noue; FP destructrices c:t manipu-
enfant de l'orgueil, cet orgueil peurs de perd re cr nntrc désir leur offrons ct surtout, ce qu'il bhlc<.
qui nous fah croire que nous de pu issance. P3rrnur, no us y a de plus bas en nous. ~·cnrourcr de beau par amour
pouvons inrer,·enir et changer cherchons à conquérir une pl• Ainsi, toutes les fois oè1, p3r du hcau, émet une a uue éner-
la vie d'2urrui saru son con.sen- ce qui jamai~ ne nous a été en- l'imcnnédiaire des public it ~. gie que celle q ui con.si>"te à s'cu-
remenr. levée. nous désirons un obje< pht< tourer de beau par amour du
D'après mes cxp<'riences, en Nous lurtoru avcx: now·mêmc. cher, plus luxueux, plu< ... moi-je ct c'ot t t qui en fait
CUlt que thérapeute ou lors de toute l• différence. Il ne s'agit
mes sorties astrales, je n'ai ja- pas ici de morale, mai> simple-
mais rcnconu~ un tue quj ment de •physique subtil.,. Il
puisse modifi<r le pucours parait anodin de wuloir <tOu-
d'une personne par son ani rude jours plus•.
ou ses faits s:ms q u'une parrie Cependant, ch•que énergie de
d'elle n"ait dir •Oui•. pouvuir que nous c réons va ali·
La culpabilit~ q ui nous habirc menrcr une autre énergie heau ..
si souvent, n'a que peu d'milité, coup plus puissante e r perni-
si ce n'est celle de nous déuui.. citUM:: l'égrégore du Pouvoir,
re, sans aider ceux envers Jes .. qui li. wn tour va_ d éverser sa
qud~ nous nous semons cou.. force :.ur )Q tlictateurs en puic; ..
pables. ).;> r~ponsabilité sc si- >ante ou Mjà en place. A
tue sur un autre registre ct c'est chaque instant, par le< FP que
à eUe que je m'adre<se lorsque nou> créons et les gesres qui en
j'évoque la nunipulation dom d«oulcm. nous rendons la
nous ClO)Ons ~i ~u\·enr èr:rc les main .l ttt~x- que nous nom-
impuiwnres vicrimes. mom nos •manipulateurs- cr
Toutes les foi< où nous émet- noUl renforçons leur action.
tons des FP lourdes cr presque Je me souviens de l'époque où
cangiblcs, elles sc ti'1UlSforment tOut le monde ou presque~ était
aussitôt en in.urumcnts de: ma- alterrc! par les agissements d e
nipul;nion. sans savoir que le s.1ng que nous p lus... plus .. . , nous laissons S.dam llusscin.
L1 science acrucllc ct non offi- répan dons autour de nou~ en des énergies activer en nous le J'enrend~ encore les réflcx.iom
cielle q u i œuvre auprè.< du gou- plus encore notre propre song deuxième p lexus (ou chakrJ), actrbes à ,m n e ncontre ct les
''ernemenr mnndial, sait depuis q ue celu i d e n'imporrt q ui celui q ui d it insatiabJe : ~je pri ~res ou méditations qui
longremp~ comme nt manipu- d 'autre. Nous noue; lllcc;c;ons veux p lus», pour paraître plus :waicnt pour but d'étouffe r son
ler le< FP que nou• lui offrons S<UlS arrêc, noue; noue; meurtris· ct avoir un semblam d e puic;- action ...
conc;ra.mmcnt avec la plu~ gmn- sons er nous nom tapons. en sance.
d e naïveté. pleur3nr~ la rêrc comrc nos J'entend> déjà des voix s'élever
~orre monde 5C' traruforme au- propr~ mure; en maudissant le ct me dire : •Nous avonc; déjà
jourd'hui en poudriè"' alimen- créareur. entendu ces discouro aunefnis
tée par les app<'ut> do pouçoir Kous générons sans cesse : Le dans not"' ,;eille 1'-.gli«!. C'.c
que nous nourric;~n.s rous mensonge ! .On sc ment tOU· n'est pas de cela dom nous
d'une f.t~on plus ou moins vi- jours à soi-même avant dt avons besoin aujourd'hui !
sible. Voulonvnous vraimcnc menci.r à autrui•. Fini.s.sons<n avec les imerdiu
sortir de ce jeu du Moi ? La grande Loi Cosmique est de ~ f.ûrc plaisir, les rcsuicriom
Acœp<on< do ne plus meme en idc:-ntiquc: pour tous. amorale en mus genres ct les ascérùrno
avam notre moi je ct la peur d u car au-delà de la mor> le, elle n'a rclîgicu."( qui o nt mené le- mOn·
manque qui e n découle ? La cure de savoir si elle couche des de là où il est aujourd'hu i.
gra nde queStion e>t là. riches ou clec; p:mvrcs, des bons Nous voulons d'autres proposi·
T.·mr que nou) cuntinuerons ~ ou des méchant~, dc;_c; jeunes ou tions ... ..
p rendre des p rétc:Xte) rnus par des vieux, elle EST. La vic, la joie, l'arnoul' n·mu ê.xtraü d u livre: Fonnes-Pensées
• la peur de pcrdrc)l, il nous sera Ainsi, nous gémissons derrière: rien en com rnu n avec le pou· de Anne GIVAUDA N

: ., ..
L
e son, comme le montre dans les érudes pour la réduction de la pol·
n' im porre quel morceau lurion acousrique. Dans le Los Alamos
assourdissant de m usique National Lahorarory> au Nouveau ..
rock> peur êrrc incroyable.. Mexique, un moteur a été développé, ct o n
mene puissant. U ne force J'a sur nom mé "ami de l'environnement",
qui, sollicitée, peur produire dc.s changc.- car il est alimenté par cerre technologie.
mcncs dans le corps humain ou fai re léviter Déjà construit au XIXe siècle> d'après le
des obje<s clans l'espae<. Une force relie· principe de la pompe du curé écossais
ment puissante que son application dans le Robert Srirling - qui d&:ouvrit que les gaz
secteur rcchnologico-milirairc est actud lc- q ui y sont contenus n'explosent pas
mcn r prise en considération par les savants. comme clans le moteur à explosion. mais sc
Les premiers tests cA-ècrués sur des oobayc:-s détendent et sc contractent à cause de la
avec des fréquences à ultrasons ont endom- chaleur. litisant bouger les pisrons - le
magé les rissus er provoqué la mon d 'ani· moteur à chaleur thermo-acoustique émet
maux par hémorragie interne. Ces résultats un son à rravers l'hélium réchauffé à l'inté·
onr mis en évidence le potentiel de ce sec- rieur; les ondes sonores poussent alors le
teur t:t ont encouragé à poursuivre la piston qui. g.rdce au mouvement aJternàtif.
recherche dans le monde entier. alors que produit de l'électricité. "Dts motrurs à coût
dans le domaine miliraire ils onr rallumé rlduit comme celui-ci semimt tr'h iruliquls
l'espoir de trouver une :l rme à uril ise1· d:HlS aussi pour tm tUIIg'- domt1tiq1u"- d ir Gn~g
les conAi ts furu1·s. Duram!~.J cOtifliJJ - as;~;u­ Swif[, un des créareur.lô du moreur expéri ..
rem les experr.s - on pou"ait me"" m pinet mental. ''En d'autrts r.ermes. ils pou"aien.r:
tot groupe de haut.-parirors orùnti-s vm 1'~11 .. ém utilish wttt à /.a fois pottr produùe dt 1'1-
tumi~ qui sn-ait ainsi dhruit ptzr d~s uûra- /~ctridtl, cha.rtjj;r d~ l'tart ou ln maison".
som très puissants, dts ond~s sonorN à très Mais cc som surrouc les voitures qui pro-
bms~ fttqttl'JJ.rt,
inftrirorrs au st'uil diuulibi- duisenr en abondance de la poiJurion
litt d.- l'oreille hunutine. AI~ec une arme de ce acoustiqut'. à laqudlt' nous sommes expo-
genre, on pourrait mtttrt à rxtcurion des sés chaque jour. Un groupe de savants ble de limiter le fracas des auroroures er de.s
attlfques dlvastatri,·es sans même tirer un stul japonais affirme qu'une possible solution à chemins de fer grke à la superposirion du
coup dt fou ni utiliser dts ttrma conuention- ce problème poumür consister à comb3t· son lui-rnêrne (en langage cechnique ce pro..
ntllts. rre le bruir par le bruit, car ce principe esr cessus s'appelle "contre-phase". (N.d.r.).
" b hase des casques de pilore< d'avion. 1.' "Tnsrirure of Noise C:onrrol" (ANC) -
MOTEURS A ONDES SONORES I.' insliruc japonais .. Puhlic ·work~ qui ucilise des anénuatcurs cylindriques
Heureusemenr, le son e.çr égaJemenc ,.utili .. Rcsearch" a conçu un nouveau rype de - mesure les o ndes sonores cngendrtc.s
~é" à des fins plus constructives> comme maçonnerie pourvue d'un disposicif capa- par Je erafle (des pointes minimales aux

34 """" • DECEMBAE 2003



mihe foi< nec •ucch co 1940.
Actuellemenr. l'usage do wns à grande
puissance en <i perfectionné que l'on par-
vient à mainrenir des objets .suspendus en
l'air jusqu 'à les &.ire tournoyer, comme
s'ile; glic;c;;\icnt $Ur un t01pis rouJan( invisi-
ble.
Yashiki f lashim oto, de la Kaijo
Corporation, de Tokyo, a projeté un d ispo-

si tif qui - grJ(.e ~ l'~mi\.<ion d'ondes sono-


res à 20.000 vibra rion< par seconde - e>t
en mciurc de maintenir une minCC' cou-
che de >ilidurn su<11endue dans l'air à un
millimètre du sol. La di rcccion ct la vites-
sc peu' enc dies auMi être contrôléo. selon
Hasbimoto, et œla pourrait révolutionner
l'industrie dt~ wmi-conductcun~ étant
donné que les micro-puces ultrasensibles
ne supporrent pas beaucoup de ·mite-
menes·. 0>M le passé. d autre> méthodes
one ét~ mises à l'essai ~do fins industriel-
les. Elfes étaient basée> >ur des moyens de
transporr "san< con~~~-r·. c'est-à-dire des
syStème< qui utilisaient, par exemple, les
jets de gu ou la foree électromagnétique,
m:1i~ affi rme c:ntorc Hashimoro - la
lévirarion acoustique offre le maximum
d'avantages. "DansiOUJ ln caJ, il~~ poui-
hl~ dt foi" livurr n ïmporu qtul matiri.au.
û sysrhnt ptrm~l un conrrôk iln:i n unt
grantlr rapnritl ti• manipulation. En ounr,
par mppor1 ii tiitulm ptmm, k mkanismr
tb suspnmott nt compact tt il consommr rriJ
pnt ti'httrgrr~ o·autro rccbcrcbc:> dans ce
pointe; m.a.ximJies). En~uite. il les repro- LtVITATION ACOUSTIQUE secteur ont éré f.utcs dam l'esp>.ce. En
duit en obten.tnr .1Însi l'annulacio n do Ainsi, la recherche a permis non S<"ulemem effet, beaucoup d'expériences peu ...·enr êrre
sourc.;cs sonort.~ provenant du va-et-vient de résoudre cerrains problème> relatifs aux réJli~s en absence de gravité terresrre.
de.) voiture.~. I.e résultat en est une réduc- moyen<de transport, mais aussi de décou-
tion du ti nt:Hnarrc auquel sont sownises vrir qu'en urilisant la magie de la lévita- LA SONO-LUMINESCENCE
nos oreille~ cnurmcméc.s, meme !loi Ja d.irni- tion, le ~nn pc:ut êcrc un moyen de T.'ah<ence de poids à l'imérieur des lahora-
nution réali<ée jusqu' ici n'ct que de 5% H::l iHJwrr en soi! coires spatiaux en orbite auwur de la Terre
e1wirnn. La lévitacion fut expérimentée pour la pre.. a conduit nla c.Jtt..ouvene d'un autre phé-
sœn · otCEMBRE 2003 35
__
-·--
LIIINctu,.Mia

,""'""'_
--
fi!U iMIIIIGIIIIIOnOfM

"
nomène lié au son et qui a cnthou.~ia.~;;mé re qui pourrait donner lieu dam le monde dc:>tinéc au diverrisscmem (VR). Ce nou-
bcauc<>up de savants américaim. û: qui a à des cemaine> d'applications différentes: veau programme, appelé Su"o /)tpol~. s'est
susciré leur intérêt " été la présence des de ]a fusion nucléaire au rrairement des vu décerner une décoration par le J)esign
"luminescences acoustique~·· (terme ccch- eaux usées. Eu tout cas, Lcighron demeure Council en tanr q ue "Produit du
nique: auralis.1tion (1), c'c:st-à-dire lum ière imperturbable. "P~nonn~ 11 iz 4fictivnntnt Millénaire". Le secret de b réalisation "''
émise p-ar un liquide sou.s une prcs..~ion dbnontrl la p<Jtsibilirl tk quelque appli<tt- üé aux champs sonores vinuel1. Grlce ~
acowrique <levée - N .d.r.). le phénomè- Ûbn qut ct l()it- affinn~r-ii. une régulation adéquace, on pem faire
ne, connu également comme "sono--lumi.- L 'ntthousiasm~. SltKirl par tks txpirimtts croin: que la source sonore ~ rrou..,e par-
ncsccnce", avait déjà été o~ sur la foitts dans dts !«aux tksrinh à 1'1/imination lOUl: derrière, au...<fcssus, de pout et d'aune
Terre en 1930, même si sa <ar.~eteruaqu.:s tks Jkkts, tsl tomprlhnuibk: ks !«aux m d~ la tête-. ct l'on peut même ~imuler une
daru l'espace "'"' très différemn. qu..tion sont tontrôlh n parfoirnnmt J)'ml- rotation. L'équipe de Philip 1\elson, de
"D-s o:pirimra mon#ml f{IU' lrs pulsano1u triqun. Évùkmm~nt, au mom~nr où l'on y l'ln>IÏtu« of Sound and Vibracion
tÜ la lu mintS(tntt sont très courus - affi rme i""· par txtmplt des eaux usùs, l'expirimtt Rescarc.h de Sourhampron, er celle dirigée
Tim Llghron, professeur J'acousrique lchou~·: par Harco Hamada, à la Den ki University
ultrasonique er sous-marine à. I'Univcrsicé Dern ièremenl, le Dépancmcnc d'acous(i- de 'tokyo, ont produir un système pour la
de Snurhampron, Angleterre. 11 s'ngir d'wt que de Southampton écair sur le point de çréatiun clc.s "virrual acou.~ric imagts".
piJbtom''" que la piJysique actuelle p.ur dif faire une d~couvcrtc qui pourraic révolu- "L~ systtmt comistt à plaar tkux haut-p<Jr-
jirilmtrnr txpliqun-". Ce nouveau rypc de cionner les m6.lia.): un syscème sonore vir- l~un rm prn /',.n & l'autrr. Cme disposition
luminc.sccnce acoustique esl une: décom.-cr.- ruel qui complète la réaliré virruelle f>roduu un champ sono" nzdianr explique

36
,_,--do
Lot _,_... J'ISVR
,.. • ..tt.ntli r...ateur
___ _______
, ... ..,.....
_,_
Le .......... ~. . . . . . . Mlno .......

---·-
,
----~~~~~
oiiNtrowe.

le professeur Nelson - criant unt cantctlri-


v+

,
~,
Eo- r·· :•
••-•3-0.
• c?e:. Kallo
Cocpocatloe: de Tolcyo.

sriqut particulim t;rjtt 4 /aqu.lk il t1t pas-


ttbk IÛ produirt' un tigna/ minimal tiant k
champ IOTUirt' IÛ /'unt ou tb l'oum ort'tlk tb
l'nutlittur'. Cela perme< donc au son pro-
duir chez l'auditcoH d'ê<rc très scmhbble ~
u11e copie fidèle du son qui serait produi<
par la source virtudle. Une foi.s cnregisué,
il cs< possible de "'produire le processus de
cc ~ignal et de le ~réer <mt sur un ordi-
nate<lf que sur une puce sp<ciale ~ appli-
quer à des appareillages d'usage couram,
cel~ qu'un téléviseur, un ordinaccur nu une
chaîne stéréo. Au Japon, la YamahJ
C.orpor:nion a autorisé l'usage de cene
technologie ct =intenam elle est en 1rain
de cons!Cuire des puces en vue de s.1 rétli-
sation. Etûm, cela permema au ')"l~me
VR une simulation crès prodte de celle que

Le coussin chinois à ondes sonores


es dem1~res années, ce nains chercheurs chinois de la Northwestern Polytechnic.al University
C de XI'an, guidés par le physicien Wen·Jun XIe, ont fait une série d'e.p~rlences sur la lévitation
acoustjque. décidément surprenantes. le team chinois a réussi, grlce i l'emploi d'ultrasons, à
raire lfovlter de petites sph~rts constituées aussi bten de matériaux solidti que de liquidfS lourds,
tels que l'indium ou le mercure. En effet. tes expfttences de lév~Ytiort ICoustlque faites iusqu id
avaient itt mtnées en ayant eulusivement recours ides substanus ou l des matériaux orsani·
ques l~sers - a upliqué le ph)"lden Wen·Jun Xlo.l'fquipo chinoise, en r~alité, est allée plus loin,
en diveloppant un vérîtablt Goussin à ondes sonores. capable dt soulever jusqu'à un gramme de
a
matfriel travtrs un seul fmttteur. Il suffit de penser que, dans le passf. une e.xpéritnce anato·
gue efftctufe sur un fragment d'or avait requis l'emploi de 130 émeneurs sonores. les rKherches
menées par l'fquipo chinoise pourra~nt réwluhonMr los tt<hniqllti dt fabrication des p<oduits,
t•ls que les suporconducteurs, ou 1• ~eur induWitt·pharmaceutiquo. Oltr&ents matf<iaux dif·
nenes i manier, des substAnces hautemE"nt conosiWi., Ades temp&atures flevées imposslblts i
insérer dans des conteneurs de n'Importe queleenre sans provoquer une corrosion. pourraient
être fabriqués grâ'e à leur suspension dans l'air, due à l'action d'ondes sonores. C.B.

nous "capcurons dans la réaliré. Er les


nos<algiqucs du rock pourront même s'im-
merger dans des copies par&itc.< de con-
ctrts du passé, en admtLmn[ que leur ouïe
soir en mesure de le fu ire. *
NOTE
(1) l' auralisation est un processus qui pormet
de combiner un son enregistré dans un milieu
sans ~cho (anerhoïque) avec la réponse à
l'impulsion d'un milleu r~el (mesurée ou
simul~e), et qui fournit la sortie acoustique du
son sans écho comme s'il eût été reproduit
dans le milieu réel (en ajoutant donc la
réverbération due aux c.aractêristlques ~'ou·
stiques du milieu réel). les applications sont
tr~s variées, elles vont de la simulation de la
correction acoustique d'un milieu à l'~tude de
la qualité du son.

- - ~2003 37
À LOS ANGELES 17 STRUCTURES EN
ACIER DATANT DES ANNÉES CINQUANTE
ET MESURANT TRENTE MÈTRES DE
HAUT NOUS REPORTENT A LA VIE
MYSTÉRIEUSE DE LEUR CONSTRUCTEUR
ET A LA RAISON POUR LAQUELLE ELLES
ONT ÈTÉ CONSTRUITES

par GABRIELE ZAmRI

L
es Toun dt Wizlts se dressent dans le
quartier afro-américain homonyme de
Los Angeles qui, en 1965, fut le théâ-
tre de violenrs conflits er de graves
émeuces raciaJes. Ces tours furenc consuuiccs par
un artisan, Sabato Simon Rodia, né en Italie en
1897, qui les réalisa en plus de 30 ans (de 1921 à
1954), dans une zone siméc au n• 1765 East de la
107c Rue de la ville. Dix-sept tours en acier.
renforcées par d"" cibles, par des sommiers et du
ciment, où sont placés des milliers de pièces en
céramique brisées, des fonds de bouteilles, des
bidons, des boulons, des vis, des pierres et d'aurres
1 matériaux recyclés issus des ordures. Elles ont été
construiœs par Rodia, qui n'a reçu aucune aide
.... ._ financière er qui vivait dans une peri ce maison
~ •• si mée dans le chantier. En 1954, dès que J'ouvrage
'.-. • U1~ fut terminé, Simon Rodia abandonna Los Angeles
.... '
cc, chose curieuse-. il s'installa en Californie.
Les Tours de Watts risquèrent d'être ab-.mues à la
suite de J'ordre donné par le Département p<>ur la

38 SGm • O(CEMBR€ 2003


sécurit~ des ~i fiœs, qui craignait de les pour construire cet ouvrage?'", il répondait: humain . Donc, les Tours de Warcs pou-
voir s'écrouler. Cet ordre fut annulé devant ''ft mt proposais tf. foirt queftJut chose dt vaient-elles jouer le rôle de '" radiophare""?
l'insi<eance du '"Comité pour les Tours"", grand n jt /"ai fait!". Et dan< l'affirmative, pour guider qui?
constitué spomanément parmi les gens du Eff~ctivcmcnt. il en a ~t~ ainsiJ car les 17 Ou bien avaient-dies une autre foncrion
quartier. tours en acier ac re.ignem une hauœur de 30 spécifique que nous ignorons'
En 1978, elles furent céd6cs au gouverne- mètres, et elles occupent une surlàcc trian- Une théorie fascinante nous est proposée
ment et, depuis lors, enregistdcs dans le gulaire de 45 mètres de côté. par le feuilleton ttlévisé "Dark Skies, dans
"Registre national des Lieux Historiques". l'épisode '"Les émeutes de Waru'", où le
L<ur enuetien a été confiée au DES ANTENNES RADIO groupe ocxuhe •Majestic 12" associe la
D<'panement des Affaires Cuhurdles de R(CEPTRICES7 muetu~ des Tou" l la spirale de l'ADN
Los Angeles, où fut constitué le "Wans Les Tours de Wans, de par leur forme h&- humain, cela en supposant que le construc-
T""1:rs Am Center, un si~ qui organi- coïdale, su~n:nt l'idée d' une tension vers reur ait pu êtn: inOucncé par des civilisa-
se, entre autres, des expositions, des conft- le haut, d' un élan vers l'espace. De plus, on rions amtttres:trc:S de: passage, à tr.t'\'efS
renœs, des séminaires ct des visites guidées peut remarquer sur les Oèches des germ ina· des impulsions transmises l son subcons-
pour les écoles et les touristes. tions géométriques destinées à accueillir cienr.
Il y a lieu de mentionner à cc sujet le des phares lumineux. L'ouvtage semblerait Selon une autre hypothèse inquiétante, les
"Watts Towers Drum Festival", une mani- incorporer une sorte de code, un micro- Tours de Warcs seraient probablement des
festarion musicale annuelle qui contribue à cosme qui se reAète dans le macrocosme. appareils radiorécepteurs. En effet, de telles
surnommer les Tours "Cathédrale du jazz"". L'écrivain italo-américain Son Ddillo les S[fUCtures en acier- pourvues d'un généra~
Lorsqu'on demandait à l' "architecre" décrit comme si d ies éraient des ant<nnes teur de tadiofréquence qui produit ou
Rodia: "'De quoi vous ~ces-vous inspiré qui reflèrcraient l'essence de l'esprie reçoit des courants électriques oscillants -

"""' · tltœ.tBRE 2003 39


· :;;·~ .,
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:...·7/-~.:.:.r~:.•.i: • ·.· • . . . ~· .....·- ·~
J 'r_t.,.::;!.... 1 •• • - ,.._ - ----- ' '
-•V "- ·- I ·r 1 , ." · • • ........ \.. . ·.

~ - , -.: ENIGMES DE LA TERRE

pourrakm rhllemem fonctionner comme d.uu l'espace pour rtt<·


des <!men<urs-ricq>reurs. et en les obser- "-oir cruuilc do infor·
"""' nn pourrai! les comparer~ des amen- mations g<'ncriqucs
nes du 'YI"' rradirionnel à bobine. Hélas! fournies par des êtres
nous ne .avon• pas si les Tours de Wam spatiaux? Voilà cc que
onr <!t<! efTectivemenr connectées ~ un propose le feuilleron
générateur plac<! ~ l'incérieur de l'habita- téltvis<' "Dark Skies".
tion de Rodia. vu que sa maison fut détrui- Ou alur:. nous pouvons
te par un incendie, tout de suile après sa nous in>pirer de l'hy·
morr. poth~.se """ncée par k
Aimi1 ccw: [hOOric fac;cinanre resre entourée feuilleton • A comme
de m~t~re, alors que les questions que l'on Androm~c. transmis
se pose spontanément restent les suiva.ntes: p•r la RAI dans 1«
quel genre de mt.~Sages pourrait recevoir une Jnn<'es 70 ct tir( du
telle structurè lk la part de qui? Et pour roman homonyme de
quoi F.tire? Fr encore. serv.ait-eUe par hasard Sir Fred Hoyle ct John
à rr.msmenre le code du ADN humain Elliot. D;uu cc roman·

feuilleton. le mathématicien Fleming,


interpr<!t<! par l'acteur Luigi Vannucchi.
reçoit un message codl mysrlrieux, prove-
nant d'Andromède. pour construire un
super-ordinateur dans le but de recréer en
laboratoire un être humain de genre fémi.
nin, imerpr<'t<! par Nicoletta Rizzi.
L'organimion intéress<!e au projet s'appe-
lait "!mel". Nous trouvons aussi une rrame
analogue dans deux films, de production
;unéricainc, des années 90: "Spc:cics", de
1995 et "Species 2", de 1998. où l'on parle
cene fois du SIL. "Space Intelligence Life",
qui s'av<!rera erre~ b fin un formidable pré-
dateur humain.

UN tPILOGUE OBSCUR
De toute fiaçon, b vie de Simon Roclia ra«
obscure ct cnrourtt dt m}"Stè:rc. Sa déci...
sion. en 1965, d"abandonn~r brusquement
son habit•rion. c'est-~-dire les Tours de
Wans, reste encore une énigme inexplica-
ble. D' oprès certaines hypothèses inquié-
ta mes, Rodia fur conrraint d'abandonner
sa maison sous la pression de cenains per-
sonnages occultes. et ce furent toujours ces
derniers qui poussèrem les autorités à
déclarer dangereuses les Tours de \Vans,
afin qu'elles soient abanues. On pourrait

40 sam O(ŒMBRE 2003


même supposer que Rodia érair carrémcm de 1~ ahanrc au moycn de
inconsciemment impliqu~ dans quel- perira sccou.<.e:< telluriques cngcn-
que proJet secr<:t ~ur le "Conrrôle dréo l"''
le '}"tème Tesla. Encorc
Men cal ... car il chail considéré comme aujourd'hui, ces conjC'Cttl.rO oonù-
belucoup d'.lUUèS ~Htisu!.\ de son nuent de nmu .!iéduirc.
temps comme un révolmionnairc, Nta l hell reu~ment, la seule personne
donc u ne men.tce pour l'ordre érahli qu i pouvair nnm dévoiler le dc'roule-
er l'csrabli>h mcnr ~ l'épO<l Ue. Le fair mcm de: ces tvénemcnts était Rodia
qu' il air brusquemcm .tbandon né le lui-même, qui en e nterré. dcpuis le
projet su)mendonn~ a incité ccrrai .. 17 ju illet 1965. au cimetiète de
nes agences gouvernementales à sc S:HH:1 Caterina, à Martinet., en
mettre l !'.C~ trousses. Er c'est précisé- Californie. *
ment pour éviter de possibles réror...
sions ou d'aucro menaces que Roclla NOTA
aurait d&-idé de tout abandonner t). Le Majestic·t2 est un groupe
pour se meure ) l'abri. I.e Majesric secret d'i nvestigation sur les
(1) aur.ùr cmuire renré de détruire les OVNI, formé de douze me111bres.
Toun, tom d'abord pula voies léga- Il aurait été constitué à la
le., mais par la <uite en chcrcb=t à demande du président Truman,
manipuler le.< émeutes raciales d e par suite du crach de Roswell,
1965. Enfin. il ~mhle qu'il ait tence' survenu durant l' été 1947.

LA CATHEDRALE DE LA "SAGRADA FAMILIA"


En terre d'Espe&ne, un exemple de style aothlque renfermerait un cœur philosophai. La "Pierre•,
port6il par les cathares, serait en mesure de transformer les métaux en or.

rsqu'on parte de tours. on ne sau· de la S.Conde guerre mondiale. De toute

L: ait passer sous silence une


onstruction qui. en Europe, a pris
une valeur symbolique. liée elle aussi à
façon, l'Intérieur de la cathédrale avait
été projeté en vue d'&primer l'idée
d'une IO<fl qui rappelle l'arbre dela con-
une ville. Cette structure. qui semble naissance. et dont les décorations sym-
avoir trait au th~e que nous avons boUsent les Saints qui montent vers le
abordé, est celle de la "Sagrada ciel et les anges qui descendent sur
Familia", et elle se trou"" en Espagne, Terre. Un grand nombre de personnes,
dans la ville de Barcelone. Il s'agit d'un vivant surtout dans l' entourage des
genre de cathédrale tout à fait particu- différents spécialistes, avancent l'hy-
lier. Elle a été construite selon le nou- pothèse que l'accident survenu à Anton
veau style gothique qui remplaça Gaudf · mort écrasé par un tram en 1926
rapidement le style roman, et qui est ·aurait été organisé par certains groupes
caract~risé par des techniques innova· occulles ou lit! à des sociétés seaètes,
triees et par une symbolique ésotérique qui pensaient que la cathédrale devait
projetée vers le ciel. Cette construction contenir en réalité la "Pierre philosopha-
splendide a êt~ réalisée par le grand le". Il serait opportun de souligner que
architecte visionnaire Anton Gaudi par Pierre philosophale" on entend un
(Reus 1852 - Barcelone 1926), inspira- objet macique produit à travers le pro-
teur de l'Art Nr>uwau espagnol appelé cessus alchimique appelé "Grand
"mouwment du modernisme catalan•. Œuvre". capable de transformer en or
La .. Sasrada Familia'". commencée en les métaux pauvres. En outre, toujours
1882, met en évidence l'utilisation simultanée d'un grand nombre de dans les miUeux occultes, des bruits circuleraient et laisseraient enten·
techniques dues aux nombreuses variations que l'artiste Introduisait dre que cette "pierre". gardée dans la cathédrale de Barcelone. serait
durant les phases de réalisation. Cette structure, qui rend manifeste celle portée en Europe par les Cathares. Ceux·ci constitueraient une
l'usage de différents matériaux.. tels que le fer, le verre.la céramique ou secte religieuse dont la doctrine, dérivant du manichéisme. se serait
le ciment, peut rappeler à première vue le "style" des Tours de Watts. développée en France entre le XIIe et le XIIIe siècle apr. ).·C .. Ses disei·
Aprês la mort d'Anton Gaudi, la construction fut abandonnée par man· pies, connus sous le nom d'"alblgeols", lurent exterminés par la

- que de financements: c'était l'époque de la guerre civile espagnole et papauté et par les Français à Montségur en 1244. 0
Ectwin Aklrin M ll'omêne
tur la Lune.
Avoc Nell Armstrong et M-
Colllno, Ils fonnaient l'""ipage
d'AI)ollo u <•gaudle)•
....

ÉTIONS-NOUS
c: es <.krniers mois, la NASA a
fitit l'objet d'une âpr<: com-
pagne d'accusation ct de
polémiques. qui a cu un
grand écho parmi lc.s médias améric..·tins.
En c::fl'et, cen:rines source:, .soutic:nnc;nt que
LES ENREGISTREMENTS AUDIO DES CONVERSATIONS
ENTRE LA NAVETTE SPATIALE AMÉRICAINE ET LE
CONTRÔLE MISSION DE HOUSTON LE CONFIRMERAIENT.
QU 'EST-GE QUE LA NASA A DÉCOUVER:r DURANT
l' hornme, e1l 1969, n'a jamais déharqué sur
l:l Lune er qu' il ~·est agi d'une mise erl scène LA MISSION APOLLO? ET POUR QUELLE RAISON LE
coloss:>le réalisée ad hoc. C.:e problème o déjà
été soulevé dc:puis l':lmu~ç dernière, durant GOUVERNEMENT DES ÉTATS-UNIS
une .,éric: de: progr:munes télé\'ÎS6 de:: la NRC
CONTINUE-T-IL A CACHER ET A NIER LA VÉRITÉ?
et de hi Fox où l'on avait donné une gr:mde
place à de telles hypothè.<oe.<o, en laissant s'ex-
primer cerr:ains sceptiques qui avaient fomlU- par CRISTOFORO BARBATO
Ié de lourdes critiques à l'encontre de
l' organisnle spatial américain.
Une polérnique :llimeruée par l'affromemenl
er) d irect en1re l':lSirOrl:lure Bu.r.z Aldrin e1 lm
de ses détracteurs, qui en est arrivé à deman-
der pour cene affaire de prêcer sermem sur la
Bible. Après un long silence, la NASA a
aujourd'hui décidé de répondre à ces accusa~
rions en lançant une véritable campagne,
donc le coûr esc d'environ 15.000 dollars,
afin de prouver définitivemenc que ces spé~
culacions som sans aucun fOndcmenc. Il s'a-
git d'tm projet médiatique:: que <.:crtains
exp<:rtl> one critiqué, e<\r - sdon c::ux - le f.l.it
d'ignorer les diffilmations aumit été plus pro-
ductif que dt: chc-rrher à convaincre lc:s scep-
tiques les plus acharnés.
La thèse sdon laqudle l'homme n'aurair pas
débarqué sur b Lune n ':1 rien de: nouve::;n1,
puisqu"en 197 5 l'Américain Bill Kaysing -
responsable pendam quelques années des
publications rcchniques de la Rockerdyne
Research Propulsion, qui projeta les propul-
seurs pour les missions spaciale.'i ApoiJo - a
envisagé cette évenrualicé dans son livre
"Nous ne sommes jamais allés sur la Lune".
K:-~ysing a <:herd1e: à prouvc::r que cert~~incs
pholographies prireç au cours des difTérentes
missions Apollo 0111 été m:1nipulées et réali-
séc::s dans des studios.
Il a condtl que:: ces opération:,, ainsi que l'en-
ter rt:mem deo:i do~ierS g~u:Hl1 S p:tr b NASA,
avaient pour objectif de faire une très rnau-

42 sam · DÉCEMBRE 2003


5Cim ol ctMttHE 2003
En haut, à gauche: La .enoe, en bas, montre
struduredlscoïda~ en détailla tonne lunaire
sur la surface lunaire oomue comme "Shard• tt
pllotocroP!iée ... photogapl1lée pa' la -
Apollo 18. américaine Clementine, dans
les années 90•
...
vaise plaisamcric à toute la collecriviré. Les qu ïis st tr()uvtnt parr{) ut: à la surface, du rôti Vu qu'il n'y eur aucune c.o nfirmation offi ..
arguments présentés par Ka~ing ne som pas invisible ct du côtl connu, dans ks crat(rf'S, sttr cidlc, la nouvelle ne fut pa.< diffusée par la
rout à fair erronés, corHr:tiremenl à ses oon- les "mers .. n sur !<t"s haun plmeaux. //$ sont n1 presse, à l'excep[ion d' un article paru d:HlS le
clusioM. F.n efTe1, :w cou rs d($ trente derniè- rrain dr chang" l'aspm "' la Lunf. cm, quorjdien wa..~hingcon Post, qui publi:l Celle
res années. de nombreux élémems, qui ont çQnstatarùm a boukllf'Ni lu prograJnnl<t's spa- histoire en première page, le 22 novembre
transpiré de la NASA cr du scJvice de rensei- tiaux ttmiricains r.t SQVÎétiqucs". Lc::onard a 1966. en l'intitulant "Six ombres statuaires
gnements militaire américain, confirmem publié un livre en 1977, intitulé "Someoody my~'térieuses photographiées sur la Lune par
cene manière d'agir. dom le but cependam Else is on 1he Moon"' (Qudqu\m d 'autre est I'Otbiter". Richard Hoagland. d 'après cc que
n'était pas de rna.<;quer l' insuccès de la Jenl;t- sur la Lune), çomenam plus de 24 photogra· Marrs rappone dans son livre, a avancé l'hy-
cive de "conquérir" b Lune, mais d'évicc::r que plUes. Certaint".s d'entre elles apparaissaient pothèse que, probablement, l'objectif des
les média.ç puissent s' intére.<;ser ~ une série troubles à l'œil inexpert. ct d ies auraient pu missions Apollo é(air de découvrir la véri(é
d'"anomalies gênante.<'' qu' il éuit préférable indiquer n'importe quoi, alors que d'autres sur ces anomalies lunaires.
de ne point divulguer. étaient insoli1es. Lui-même. ainsi que d'autres chercheurs
Des "'anomalies" qui. selon certains chcr.- Oans cenaines Oll pouv:1i1 voir clai rement soupçonneux. se sonr demandé publique-
chcurs~ dont l'Américain George H. de.o; "poncs" [r:lVerser les cn::va.sses lunaires. ment si les destinations de certaines missions
leonard, auraicm été révélées; par une analy- des uaces de "sucurc:" qui scmblaiem unir les Apollo sur la Lune - comll}e la Mer de la
se minutieuse des .. acrivités" insoli1es qui ont fraçturcs de la surfa<:e. des strucrurcs en Tranquillité pour Apollo Il et la zone
eu lieu sur la surface lunaire. forme de ooupole au centre des cratères. cr de 1àurus-Limow pour Apollo 17 - ,avaient été
En 1977, c<>mme l'a dit Jim Marrs dans son long..'i ··sentierS" ~ur la plaine lunaire. Les choisies à cause du grand nombre d'observa ~
livre "Aiitn Agenda·, après de longues savanes de la NASA ignorère1u ete tels indic::~ rions insol ites enrtgistrécs dans çene localité.
année::S de rc:x:herche dans les ar<:hlvcs photo- en classant l'affaire. Léonard n'a pas é1é le F.n effet, en rn ars 1996, Hoagland ct d'au·
graphiques de la NASA, Leonard a soutenu seul à avancer une hypo[hèse de ce genre. lres cherd1eurs lif.s ~l Ja NASA oon,•oquèrent
qu 'i) a uouvé des preuves suffisantes pour le Plusieurs chercheurs. parmi lesquels il y a lieu une conférence de presse au National Press
convaincre que la Lune était occupée par une de men[ionner Richard HoagJand, ont soute- Club à Washington D .C .. au cours de
race lnrelllgence ou par plusieurs races venues nu depuis des années que les photOgraphies laquelle ils firent des déclaradons sensation-
probablemenr de l'extérieur du système solai- de la Lune momrenr une série de SlruCture~ nelles sur c.:ert:.1ines documtntations photo-
re. "[.A !.une - :1 affirmé Leonard - est certai- semblables à des coupoles rransparemes sous graphiques gardées par i:J NASA er qui
nmrmt httbit!t pttr ces ()ct:upttnt:s. li est évident lesquelles on peut entrevoir des trace.o; qui prouvaient l'existence d'ouvrages "exl r3ter-
indiqueraient les restes probables de villes ou resl res" sur la L\•ne. "Us prûcs de vue -
d'énormes install.:u ions. E1l llovembre 1966, déclarèrent lts spédalisre:s - rtaiisùs duratJt
le Lunar Orbiter Il pri1 des photo~. ~ une des missiqns officit'iif'J, ()nt étt analysil's pt'ndam
distance de 90 miles au-de.~us de la surf:1ce quarrr. ans, grâce à des rechnglogies er des ordi-
lunaire. Dans ces photos, on pou\~:J.jt voir de nateurs qu~ la NASA ~lk-mmz~ ne possédait
mine<:s pyramides ou des obélisques sembla· pm ily a rrtnu mu- r'ets-à~dire qtumd !11 pho-
bi<:S au û:ntrnl Park's Clcopatra's Nccdlc. uu fomu pnJes. Mttilllmllfll ~//ti nous fournit-
dont rertalns étaient aussi hauts qu'un édifi.. sm& d" prroves st'Îmtifiqufl d' lA prlsmce
ce de quinze étages. Narurdlcmem, la NASA d'tmci~mtti srructurt1 ttrtiflcùlies tur la !.,.une.
nia que les photos de l'Orbiter avaient révélé l=i1 outu, ii pttrttît évident qu~ la vlritable
quelque chose d'anormal sur no[re satellite, immtion tk john Kmn~dy. qutfnd ii rncoura-
bitn que quelques images eussent été cédées. gta ft progTIImm• Apo/k, !tait d 'm voytr des

44 S1i111 • DÉCEMBRE 2003


MmllUIUtn amlriuuu tiJr«tnnmr Pt"n us n~i­
nn. "' l1fU' tb wumn- '"films " tb nzpportn'
tin prruti'J phpu1un - 1 tompriJ tin protluiu
manuforruris à 111111/p<r sur la T<rrr~ !-"$
rapponcurs pr(.scntèrcnt lun de: la conféren-
ce de pn:ssc d<> •n:oly>c.' cl des photographies
à l'appui de: lc:ur .ugurncmaxion, cr bien quC'
dt nombreux journ:JiiSLe.~ï fussent présents, la
diffusion de: c.:ct év~nernem par les médias
dans cout le pays fut trè) faible, sinon nulle.
~caucoup attendaient une oonflrrn:u ion plu~
ou moins directe aprb les c.léclar.uions faites
par le chcrchc:urJ 'JUNOUI de la part de la
NASA cl de œux qui om été sus la Lune,
mais il n'en (ut rien.
Après la conf<rcnu de presse de Hoagland,
l'amonaurc Alan Rcn• tllchra: û n ._.,pot
mzi. pnsonnt. t1 Ûlrrmmr pdS mtti ni Pttr
Connu/. 114 vu qu<b(u< ch.>< pout'tllfl indiqun-
ill priunu Jim~rmnn NCIIÜUWOIIS•.
Tou1cfoi•, "'lon de nombreux ufOiogues et
çhercheur<. dès les premières missions spaci~­
lc:S de la NA!IA autour de la Terre cous les
astromtutc..\, y compris ceux des missions
Apollo suivame\1 ont eu des rencontres rap,.
prochécs :tvec de..' ~vlhicuks spatiaux non
idnuifiis ~ Roppe lons ~ cc sujet les observa-
cioru de Glenn, Carpcmcr ct Sçhirra c:n
1962, de Gordon Cooper en 1963, Mc:Diviu
Bommt e1 L<wdl en 1965, Young, Collins,
Conrad c< Gordon en 1966, Sdûna, Eisdc,
Cunnigham, 1\orman. lm'eU ct Anders en
1968, Mc:Divm, S<:on, Scbwcickart,
St>fTord, Ccrnan, Young. Collins, AJdrin,
Atmsttong. Corad. Cordon ct Rean en 1969,
Shepard en 19~ 1, Youn ct Duke en 1972.

L'INCROYABLE CONVERSATION
D'ARMSTRONG ET ALDRIN ainsi la M<r tÙ /11 /r,JtiiJUillitl à 1 h 17 tb /'a- cc qui a :IClmé \on p:nron précédent d'avoir
Mai~ m~me ~i la NASA n'a jamai.s oonfirmé prh-rmdi. D'flprh rn-Illms rapports, jtls9u'à a ctnsuré le\ érni11~ions d'Apollo Il ainsi que
de tels événcmenu nl révélé volont:IÎremenc- jour non l'OIIflrmh, Nfil Anmrrong et Edwin cdle~ d 'auc re~ï missions - Aldrin et
comme le dOCI:trcnl u·ri ;IÏrb chercheurs) sur.-. 'Buzz' A/drin virmr des OVNIS p<u d< umpt Armstrong étaic:nc en train d'dlè<:tuer le::urs
tout Hoagl:tnd - l.t v~ric~ sur ce qui a été apri's l'aiuniuagr. }r mr wu11irm ttll()ir tmundu, explorations à une certaine diManœ du LF.M ,
découvC'n durant IQ différentes mis.~ïions spa .. dumnr i'tmiuùm tllivulr, un des rlna IZStr0- qu3nd !iOudain quelque chose .suscita la oon-
rialcs, des information) ont quand même nduU1 patÛT d'unr ..Jumifrf,. i) /'inrbÙu.r ou vers:alinn :anim~e u.pportée ci-dessous:
tr.l1lSpiré. Cn patt1culicr, le >pécialis1e améri- au-tlnsw d'un mmrr, t1 '1"' k Contrôk Arm.<-trong: "'Qu rsr-a qr« c 'at? Qu'est-cc qur
cain Don Wil)on, ~.tm\ son livre "'Our Mission dcm11nd.. plus tlïnform111i•ns. Mais •n t~l ntlm tk Duw? cm (QUI re que je lM!VX
\iystcn<>U\ S1>><e>hip Moon", publié en n "rnlmtlir rim dlurrt ":. tawir'" Conrrôk M">ion: -Q>.! 11•t•il lÀ·
1975, rappor1e une série de milations inhé- l.a (;nn~cruuôn sui,<tme. incroyable.. fut NK... (mauv;ai\C rcap1ion, bruits confus) ...
rentes aux diverses mjssions s-patiÀies ap1ée l"'' des radiœmatcuss en possession ContrôJ, Mw1on apf'lk ~ Il ... ~
des1inh.l .1 la "conquête" de la Lune. nW.s il d apJ'3rdl1 de ricep1ion VHh capables d'in- Apollo 11: ··en machtm wnt lnormn. mon-
rJc.:oncc « qui se .scr.lit récUcmcnt passé tert.'C'plcr la tr;;tn,mi\.,ions provenant de la sinlr! Gixnnrnqurl!. . Oh mon Din~! Vous nr
dur.ml l'aluniuagc historique d'Apollo Il, NASA. À <c: rnornem·l~. !'~mission télévisé< poumn pas k mnrr!... }< vow dis qu'il J 11
'urvenu le 20 juillet 1969. D'après ce qu'é- en dirc:u ~'interrompit pendant deux minu- d'aurrn vaÎJsraux spauaux IJ-bas... alif!lls sur
crie Wilson: '".•. Pendant que Mu·hatl CiJ!iùzs te.~ à cause de: la prétendue ·surr:haujj~ d'une la bortfu" loimmnr du craûrt.'.. . Ils som sur la
orbitait autour dr la l.rmt dtms k moduk tk ramira ... mais l'~mi.ssiun r.tpponée fut clj_ire- Lunr rn train dr nous r~ardtr!" Encore
commamb, Nril Armstrong et Edwin A/drin mcnr captée par de~ c.:cnt;.tin~ t.I':Hna!eu~ Bindc1\ comme on peut le lire dan!) le livre de
dtrrnulinm vtnlr Joi lunain,) bord du modu.. radio. Selon Onu Bindcr - qui f:.tisotit partie Don Wilson; '"NnNinllrmmr, ii n J a t<U aucu-
/, d'rxpk!rnti011 lunairr (LEM), r<joignam à l'époque du programme spatial de la NASA ru ctmfinnlllion ojficirlk de rrt incroyable rdp-
---
Photographies de deu.x
formes lumineu5e5
--..p,;...
d' .lj>ollo u pondant
qu'il orbitait artow

..,
delal.one•

port dr la pnrt dr la NASA 011 dr qurlqur ""'" \.emre de Ctmtrôle appelle Apollo 11. Europe.
au.roriti. Nous lU' gnrantissom pas son tturJun~ A. et A.: "Nous awns vu qu~lqu~s visitrurs. Ils Professeur: "Que se passa-t-il réellement 1~
riritl. mais si rout alli tsf vmi, nous pnuvf.ms sont rcstis là pour qu~ique umps. n ils ont dehors, duram la l'nission Apollo 1 1?
diduiw qut k Contrô!t MU!ùm a hésité au obsrrvt ln in.stn.tm.tnrs ': Armsrrong: Ce ltlt qudqu" chose d'incroya-
dlbut, durchant à prrndrt unr décision, puis il H .: "Rfpftrz, rtpltrz!" ble. Cc:rtes, nous avions toujours su que- cela
s'est "!Jii! ctml1nt un hlri.rstJTI ~n Qrdonnant A. ct A.: "Laissez-nous sondn usu orbiu. . di! pt)uvait être possible::-. Le fàit c~:rt que nous
aux asrronauus qui haimt dncmdu.s sur la 625 à 5... La connexion nutomatiqur Nt avons été sommés de quiller le.~ï lieux! À l'c;;-
Lunr d'oublirr a q-u'ils avai~m vu tf dt rtsll!r acr.ivü. . . M~s mains rrembknt ulinne1lf quej~ poquc il érajc absolumem hors de question
ra!mt's er indijflrmrs. commr si ritll 1/t s'hait n1t"ivl! à n"tn foir('. Le filmer? Oh mon Dieu! de construire une station spaciale ou une
pnssf. Aprh touJ, prrsqur 600 millions tÛ prr- Si Ct1 satrl.tt t:amiras ont enregisni qurlqut Ville Lunaire.
somJf'i dam ft monik mtiN' hoimt rn train t:hvse, aWrs qu'est-cr quis~ pass~m?" Professeur: "Qu'emende-1.-vous par 'nous
d'lc(ltttn .. llvtc lt soujjlr coupl - chaqu~ mot H .: "AIIfZ- 1!11111 mrrgistr! quelqllf cb.u>" a ..·ons ~1.é sommés de quitte r les lieux' "?
prononrl pttr ks d~x prrmit!rs homma qui A. et A.: 'Je 11 @ais pns dr film à ma porl!e. Armsr rong: Je ne peux pas rentrtr dans le
laùsèrt'tJt bun rraas sur la Lrmt>". Trois prises rk vue des disqu.ts ou de fJUOi t.p~.t u détail, je peux seulement VO\l.S dire que leurs
soir d'ttulrt:, qui it4itmt en train d'rndom11111Ker vaisseaux spaciaux étaicm de loin supérieurs
CES DEUX MINUTES k film ". am:. nôtres, cam par leurs dimensions que par
MANQUANTES H. : "/.~miroirs. ks miroirs: rst-cr q~t.t liOUJ l.ts leur technologie. Mince com me ils élaienl
En 1987, le livre "Celestial Rise'' (Aube awz inJMIJi?" grand<i! ... el men:lÇ:llHS! Non, la possibilité
Céleste) d e Richard Wac..çon, rapport..ail in A. c:.t A: "Oui, ils sont au bon mdroù. Mais de cor1sr ruire une St:t1ion sp:uialc: était hors
ext enso le surp renant dialogue d 'Apollo Il quiconqu~ a t:onsrruir ces vaisseaux spatiaux de qucsüon.
cité plus haut, cd qu 'il a été capté par des pn~t siJmnnu UMurnrr demdin et les enlever. Professeur: "Mais la NASA envoya d'aurres
centaines d':unate::urs radio aux l!tats-Unis: Urminl". missions après Apollo IL .. "
'"Ouram l'émission c;:n d ireu qui montrait Une désinformation orchesrrée par la C1A? Armstrong: Naturellement. La NASA s'était
l'a.lunisS3ge d'Armstrong et Aldrin - qui Dans son livre "lleyon Top Secret", l'ufo lo- engJgée à le làirc, à l'époque, ct d ie ne pou-
n:joignirent la Lune à bord d 'une navette gue 1i rnorhy Good - au sujet d 'une possible: vait risquer de semer la panique sur la ~lêr re.
américain e - il y e ut dclLx minutes de silence 1'e r1COIH re r:lppro<.:héc: que;: les astronautes Mais en réalité il s'agissait d 'une rocade e1
p<:ndant lcsqudl.,; les images ct le son furent d 'Apollo auraiel)t eu - r.•pportc;: un morceau d'une fugue. Toujours dans son livre. Good
inlt:rromptL.\. d 'une conversation qu'il cenait de source r:•pporte quelques déclarntions de J'ufologuc
La NASA a toujours SOulenu que;: <.:t:. problè- sûre~ il lui avait été cédé par le service de ren- russe. M r Vladimir A.z.hazha, selon lcqud
me étair c:1usé p:lr l:t surd,aulfc: d'une;: dt".s seignements britann ique. La convers.1cion en ArlfnSlrong a transnùs au Contrôle: Mission
caméras, qui a interféré avc;:c la réception. Cc question avait eu lieu emre un professeur un rnc.;s:;agc;: qui parlait des deux grands objets
problème;: imprévu a également surpris les (q u i a demandé l'anonym>t) et Neil mystérieux. qui les observaient après avoir
spc:.çtau.:urs les plus qualifiés, qui ne furent Armstrong. lors d'un congrès ti~ b NASA en atterri près du module )unairc. tv1ais cc texte
p:t$ eu m~\J re d 'expliqut r comment - dans le
cadre d'un projet si ooûteux - un des inst ru-
ments les plus important.<; pouvait tomber en
panne ... Peu de remps aprè.< le débarque-
mene h istorique sur la Lune, le directeur de 1~
ba.e de HOtm on, Christopher Craft, 6t quel-
q ues décb r:u ions s-.~rprename:, q uand il
abandonna la NASA, dotu le contc:nu a été
confi rmé par des centaines d'amateurs radio
qui one syntonisé leurs stations sur la m~me
fréquence utilisée par le-s astro nautes.
Pendant les deux minutes d'interruption, la
NASA a censuré tant le son que l'image.
Void la version intégrale de la conversation
qui a tu lieu emre les astronautes ct le Ccnrre
de C.ontrôl~:
Armstrong ec Al drin: Y."n (Jbjets sont gigan-
trsquts. Non. non. n(m .. . (~ n't-1t p11s un~ illu-
sùm d'optiqu~. Pmonnt: n~ croira d un~ chos~
partillr1 ~
Hou_<con (C h risropher Cr:ill) : "Quoi?. ..
Quoi?.. . Quoi> Qu- du,ble s. p11ss<-t-ii> Qu 'r.st-
ct'qui tu va pas?"
A. et A.: ''Ils JOIIt là, sous la surfocr".
H .: "Qu'nt qu'il y a. .• là?" (bruir de fond)
communkation ooupé<-; in terfé rences; le

46 5Gll1 • DÉCEMBRE 2003


d'Apollo JXIrmi de nombi'C"UK) çh.1î nes de
radio. "Qunnd Apollo- affi rmc-t-il -fia tout
prN dt' la Lu nt, ks SJSTfmrs dr rommunication
tmbsh 4 ntu lpoque-IÀ n 'amt'lllrnt pdS dUSJi
kun. En foir~ tou~aln transmusrons ptu:sllimt
À tnftWJ un Hullmnuur, trh puiSSilnt~ munt
J 'unr 11n1mnr âi"ttionnrl/r sur la baruk tÜ
frlqumct S, ttllrt 1.106 tl 1.2fl7 MHz
(mlgtthtrtz) avu dr nombrruJrJ bandes, qui
lmr.ttmnlt chactau• dr twml1rtux signaux rn
mrmt tttnps. à trilt'trs "" tlllgrapht1 multi-
pks. Par o:mrpk, il y 4t'llir upt clt7Ulux pqur
fourmr tin znformatitms mltiJrllln s11r les am-
tintons phynqut< dn tUtrontluJ<r, nn~f pqur
rtlnltUNitll" kf Jonn/n rmmllxii.Jm/n i.ttn Ju
pns#lgt Jnrim la Lum·. qui nt pout'ltimt pas
hrt trtmsmisrs a·ver uni' nmrnnt dirtctionnd-
lr".
Chaa·lain ajouee emre aunes: ". .. il snnbk
qur Jous ln vols Ap<JIIo rr Grmini lt11imt sui·
VIl il distlln«, m4is qwkfurfou ttldSi tk rm

pm pqr tin •Vbiculn if"'"''""'tl~ntfn• cam-


u.,.,.tsm. À chaqu.r lvl11nnmt tk u ttnr~~ ln
asrronnutn ont infonnl ft Contrôle Mission,
qui tl son tour. a impost ft siltnu lt plus abso-
lu 1)ans son livre. Marrs é<.;.ril que Chatelain
N'

M: ç,eraiL exposé dangcn:u~crn~m en affirmant


qu'à lal\ASA des bruit> couraient sur Apollo
13, disant qu'il tr.ansl'orurt des appan:ils
nucltaua à pl.2cer wr la Lune pour d'lèauc:::r
n< fut jamais poné il la connaissance du av;aicm trouvé les OVNl sur l;~ Lune. Encore: des rtlcvâ ~i~mique.~. Un tel système: fut mis
public, car il fut censuré par la NASA. En aujourd'hui, Chatelain sourient avec véhé- hors d'usage par un OVNI. qui protégeait
outre, l'écrivain anglai~ dtc lt savant Russe mence 1.1 véridici[é de ltur~ rapport)), et d;ms pmbablcmcnt une base ex1ratcn-cscrc Junaire.
Aleku ndcr Kazantscv, ;don lequel "Buxz" son livre "Our Ancescors Came from Oucer (;.,qui est certain, d 'aprè< le< dtdarations de
AJdrin, compagnon de mission d'Armsuong. Spacc, 1978), il écrit: "QUAnd Ap<Jf}q JI 11 Chalcla.in. c'est que l'organisme spatial amé-
oaura.r tourné un film en couleur sur les vthi- auhri pqur lit prrmi}rr fois ditru lit Mtr tk ill ricain a Yuloru..airemem étouffé: (oomme il
culc:s atr.ttemsms de l'intérieur du module lm•uluiUitl, a ~~~ ik umps avant .scmblcr.ait le faire cncort auiounfhui) toutes
lunain:, e1 œs prises de vue k kraient ~le­ qu ~"''"'"»&ne tlescmtk /'nut.tr portr mmrr ca informations ainsi que les: déu>u,ertes .sur
ment pounu1v1es à l'at~ rieur avr::e pitti sur lit Lunt, tkux OVNIItiiJtnl suspmdus la pr6cncc d'OVNI, dl'cerum durant les
Armstrong. A ce sujet, Good affirme daru au~lnJus J'tu.x. Ln mrronaurn vtrtnt cn-tainrs mWion) )patiales. ( :errr politique at con-
,.;on livre que la source militaire aurait cu par chosn durant ill misfion IJui nt pmwainu ;tw firmée: - çormnc:: le ~ulip,nc: Marcs - par M r
la suite l'occa.~ ion de rencontrer Neil disrutks bors tk la NASA. !/ tst rm diffiâk Carry H cuc.lerson, chcrchtur de ];a Gc:::ner:1l
Arm.s1 rong. Celui...cj confirm:. que le film J'ohu-nir que/qut information IJ'« ct soit t:k 14 Dyn;amic:s, qW travaillait ava. la NASA.
av;~i1 ét~ effectivement mum~ par Aldrin. NA,Sit qu.i txna mM" un rtJntrfJk irroit Stl' Selon lw, non sculcmcm l' •gence spatiale
mais ~uestré par la CIA une fois qu'ils "'"" dnmf&IUitm tk m lvltmntnl1 ~ aV<tÎI la capacité de: sup1)rirntr les informa-
halent rnoumé:s sur la Tc~. Soucieux de Cbatdain dirigeait 1< pmja cr la consrruc- tion< sur les OVNIS (Objcrs Volants Non
son int~rité, Armstrong n:fu;;~ d< fournir lion des systèmes de communicacion Identifiés) mais ... die lc:s utili,it. En outre,
d'~1u1rc:~ détails. Il se limit.- ~ confi rmer que d'Apollo, y oompris celui de traitement de le, .a.\uonauccs avaient ra,u !"ordre pércmp--
c'était vraimcnc la ClA qui • pour élouffcr les donnée; pour la NA!>A. Il savait donç de l(')irc de ne parler à per~nnc de cet argu-
nouvdla - dirigeait la vaste campagne de quoi il parlait. Depuis son arrivée aux Écars.. ment. Cene t lt~se es( renforcée par les
désinform.at ion concernant Je programme Unis, en provenance du MJroc., en 1955. il dédarouions faites lors d'une in 1erview
spatial américain el les rencontres avec les :avait fait carrière daru l'indus1rie aérospatia- radiophonique en mai 1995, :. la station
OVNIS. le: chef de l'ingénierie r.tdar cr des systèmes WOL-A\1 de Washin!\ton, accord~ par
de communication pour k wmpte de la Don3 litto:: Hare, ancie-n u:chrucien de l2
LES RtvtL.ATIONS DES SPtCIALISTES Ryan Uccrronics, à la fin do années 50, il phorogr.phie au Johnson Space Flight
DE LA NASA avait obtenu 11 breve1~, il ~·~t~h enrôlé dans Cc:111c:r de Huscon. Non sculc:rncnl Dona
F.n 1979, l'ancien OirecLeur des J'aviation c:t. par l.a lôuice, il a fait panic dtl H:are :a r~élé que durant le., IIIÎ\l<!Îons Apollo
Communications de la NASA, Maurice projet Apollo. Chatelain a admis qu< b de nombreux OVNIS :w:tient ttt réclkmcnr
C:haLelain, confirma qu'Ann~trong et Aldrin NASA pouvait cacher Jc::s émls$Îons secrètes photographiés, mais qu'un groupe de tcchni-
--------------------------~----
- OlCOIBAE 2003 47
Olljel"""-. pilot~
l' orbite . . . . . cbant ..
U'
'omM lumln 11 :entt,
phot ~-IIIJhiill • deux momentl

.,....,. ....,...._ ~-~~--·


llliuloo Apollo. 12,
-NASA (A$ 1M14553) . . - . . par ....... 1A.
llo-lo-•wtwe do
.,
...ëric:lil ~o... lloollloC~

cieru de l;a photographie avaient pour riche


de faire disparaiLte le, <>bjcl> do> images,
avant qu'dies ne soiem mon1rm .1u public.
A la lumière de ce q ui " é1é CJ<p<.>>é jusqu'ici,
il $C'Jl'lble légirime que:: a.rt.liru lecteurs sc
po~cm quelques questions inévitables: pour
quelle raison la NASA ct le gouvtrncmem
des fllts-Unis chercheraient-ils i étouffer les
nouvciiC!S concernant l"aistcncc d'une: vic:
o:tratc:m::srtt? Er sunout - d':~~prO 1~ infor-
mations d'Armstrong rapi>Ortéa par lmpliau:ion of Pea<.<ful Spacc Aaivicics fur
Tomodhy Good er d'après ce qui • été déclaré Human AlTa ir\ (1) (Proposicions d'étude sur
p•r H<>ogland en 1996 - la NASA pouvait- les implicatiorn des activités spatiales pacifi-
elle déj?a ~:woir quoi ou qui c:Uc: aurait uouvé que~ p(nlf )Q questions humaines), dam
sur la Lune? lequel il f:ait ~;avoir que si la NASA devait
découvrir des prcuvo de vic: c:xuatcrrcstrc.
L'INQUIETANT elle serait tenue d 'txcr<;cr un contrôle étroit
RAPPORT BROOKING sur les nouvelles \y rApp<.>nom, pour dc:s ,.;.
U:s réponses possibles à ces quco1ions scnirot sons de skuri1l publique.
control.lfi dans les pag<'S d'un dossier officid L:n rel contrôle c-r juSiifl<' par k pa=gc sui-
daunr de la fin des année> 50. appelé vant: • Ln tlbmm colkrrh m 11mhropo~
Rapport Brooking. ronrimnmt tk nombrrux rxrmpks tk S«ihls
Le document, commissionné por la NASA •u bim hablm dans kur miliro$ qui ont ltl
Hrooking lnnirure de Wa.shimon D.C .• en dirruitt'1 UITUJU,Iks ontiti ttmtattl<1 par d'au·
1958- :mnée de la fondation de l"<>rganisrne tres socihis awc /nqutlitt t!ks n~l.tttir.nt pas
à la demande du présidem Eisenhower - fut fomilia.rislts tmJNtrovl.ml, tt qui avairnt dts
porté à la connaissance du prQic.lem du idùs n unt fof"n dt vivrr dijfirmrrs. û/ks qui
comit<' de la NASA pour le< é111do '"' vaste ont suroùu à unt u/k expirimcc onr dû PllJ"
échdlccn 1960. U faut précL«<r<JIIe!. ~ASA r/Xrmrmr k prix tks thangnnmts tk lnm
n;tquir en pleine guerre &oide. qwn1 I()U.... IC$ valnl~ Mnitl«in tl tompt~rtnnmts •· Er Üns
progra da.n.s k domaine des scic.nca '-pa• iJ- la squs-sutitm 1J lA /"'t' 216 mtituût
Ico dérivoiem de l'applicacion ct du perfec- "lmpliarùms of11 DISiYJt'"] ofF.xtratenTSlTIIII
tionnement des technologies de guerre.. Lift~ on peut hrc cbn10 le même documc:nt:
EncoJ'(' aujourd'hui, œue logique" prévaut. ". . . Plusin;rs coJmolqgmn n asmmomrs tsti-
En dfer. même si eUe est fln:1n\.éc par des ment trh prohabk l'rxittl'ncr d'uru vit inuUi-
cm reprises publiques. la NASA n 'e..,, p:1s gr.nre dans brauroup dimtrn syJtbm:s sola/res NATIONAL A.EIO~UT'JC$ A.."fl> $P.CZ A0Kl-....1r.b.TIO>;
resp·on'Oahle vil'o-à-vis de l'opinion publique, (. . .). Des ubjrtt fobriquh à un mommt dittr· ~!' t1D BsciOXI)<Cl l~smt"T''O."'
mai'i du ( ;ouvt:rnemc::nt J.mé-ricain. et il mi11l par en formes dt vit pourrainu ltw
n'cxiue aucune loi qui lui impo.sc de ~nager dicouV<TtS lon tk not forum actiuitls ;parU/ln
REPORT
ou... ertcment ses informations. Au conrnire.
l!. Section 102 de l'Acte du 29 juillet 1958
sur 14 lMM, sur Man tt sur Vhus"'.
Sur le plon poliuque er <n:uégique, le
... ....
COlllln'TE!: ON SCŒ)[CE A.NI> A.S'I'aOSAtmCS
(The Spacc Act), par lequel I"Org;ani<me Rapport m:ornnunde 2 lo NASA de prendre:
O.S. BOUSE OP ~-uTIVES
~méri~in fur œnstiru~ on peut lire: Sc!riew.emcnt c:n coruidér:uion ce qui suit: 'EIGB'tT-sEV"JiD CONGB:a
"La NASA est cha~ de faire connaÎtre aux "Au tllS où l'on voudrait pourruivn- ln ltUIÛI J'iUt' .a:a:ow
agcncts djrccremenc concernée., p:u la défen- visant à dlftnir lu com}Jrlhrnsion imot:Wnntl.k ........
4-t nationale les découverces qui ont une t l inttlkctutlk, ln !lttirudes n !rs alrtmn·o m
valeur ou une .significalion milit:•ires ( •.. ). lvmtt«/1~, inh;rtmn Il la possibilitl ft aux
Les informatiOI)S obtenu~ ou développées conslqtuncts dt k1 dlcou•~rtl' d'uni' vie atm·
par a:r orga.ni.çme dans l'exercice de >d fonc- urrl'Strl'. un ctrtain nombrr de qu<>stiom
tions. prévues par le présent Actè. pourront serairnt souin-ln n nngn-aimt une ripqnH:
être wumiscs à des inspections évcnr~lles. qwd imp.ut po"mm IWDir la diffusion tks
gu( <bns les ~suivants: ~) inforrmtions au mullllts tk en ltuiJn? Q!uznd ft d.tns qudln
$UJet d<.<quello la loi fédénk a aucor~ ou drœnstanas poumtii-<Jn ln divulgun ou ks
dem•nd~ le secn:t, et b) information• «nues cm:hcr au pub/ir, ft d.tn1 qutl but? En outre ...,.... "'aHl 0 =4 . . . ~-,.......,.!laM-tc a..
oc._hée\ pour protéger la sécurité narJonale". qu<-1 rôk poumlÎml nrtt~ir lrs Mv~rnts ainsi que kac ctœ. ~--,... ...... " ...........

(voir ene rdilc::t ci-dessous. sur le rapport de la ditutrr.s p~nom1a ortupnnr dnptJJtn dr mpon-
NSA).
Le llrooking lns[Îlute rétlige:a un r"ppon
Sttbi!itl du cas où "'" ulll' dtrtmvtrU smlit
. ,.
fi'illlt'. .
...
intitulé "' Proposed .SLUdit..' un the La possibilité d'une 1>reuve irréfuublc de

48 ...... OEŒMI!AE 2003


UNE MENACE POUR LES AUTORITÉS
rLedacunart ~- 1SI6818'1a ...... SloiiiV•'f! !CJ HM-A ladM,ai!!JIGI Ms'llà~Joh1901i
a politique de dissimulation. vis-à-vis de ta présence de HYPQTIUf 1111 LfJ IMIS n PIIOIIÙMO Df IIIIYI

L formes de vie extraterrestres ou de pi~ces s'y rapportant, le but de cette monographie est de donner briMment quelques
daterait d'une époque antérieure à la constitution de la éclaircissements sur les Implications ayant trait à la survie de l'hu·
NASA. Parmi les documents qui exhortaient à adopter un tel com- manité et suggérées par les principales hypothèses sur la nature du
portement. souhaité par les autorités gouvernementales, il y a lieu phénomène connu en général sous le nom OVN 1. (... Omission ...)
de mentionner: le "Rapport sur les rencontres du Comité s) Certains OVNI sont l'expression évidente d'une intelligence
Consultatif Scientifique sur les Objets Volants Non Identifiés - extraterrestre. Selon plusieurs savants éminents, il y a lieu d'en
convoqué par la CIA du 14 au 18 janvier 1953". Dans la conclusion. tenir compte, ne serait-ce qu' en prévision des multiples consé-
on peut lire: "le récit réitéré et exa- quences que cela pourrait avoir
géré de ces phénomènes (ren- sur la survie de l 'humanité. les
contre avec des OVNIS) finit par deux points suivants pourraient
devenir, en ces temps tourmentés, bien les résumer:
une menace pour le bon fonction· a) Il a été mai ntes fois prouvé,
nement des organes destinés à tout au long de l' histoire humai·
protéger la classe politique". (Par ne, qu'une confrontation entre
la suite. cette commission fut nom· une civilisation supéri eure au
mée 'Robertson Panel'). Un autre point de vue technologique et un
document, encore plus éloquent, peuple moins avancé peut avoir
rédigé en 1968 par la National des effets tragiques. En général,
"·~ ·~r ! .Ill! . .u.:"GPTI) r.J.TIIIhTl . . . . lftl_lUCJtl('l: ..~. .,.,
Security Agency (NSA) à la deman- je . ... uÎÎ î u ...u . h , .. ,....... ,, • . •• celui qui est "Inférieur" subit une
IIJJ'fli>n?~. . • •••Mr • t ftr•UH~i,l ""' ' nn • • htH nll• • •
de du président lyndon Johnson, t/ ..,..., ~bltt 1 "'' ,.,...., • • the ••f • e•h ,.._ t.ro t tr r~ ••ll • ' ' • invasion sur le plan matériel.
,_,, . . h u - " ' '- • • • ,.._.._•Jtoci ..JI' "'""'h~ d • tl laoo ll•...,
est celui intitulé " UFO HVPOTHE· • lhiMdetlctUJ lahn• ...,.,h n.. "hh•l.-" U - • II.J' n• )f t l b) Dans la confrontation de deux
te ...,,, u •l ,_,t.
SIS AND SURVIVAl QUESTIONS" "'/ 1• ••rr-hU• " ' " - h• ,...,., .. .t eJr.&flc~tl.J tllfh " ' '
peuples très différents au point
" ' ' " '' , lu•h , ,.,_. M•l..,. tM t.hrt• • t.·• •tdlo cd h ot ,
(hypothèse sur tes OVNIS et pro· - • .,,. • .,.,,., • or-ck r - •• •••Ult - ,.,. - n, ~-... • de vue culturel, celui dont la cul·
•r ... tU•r ••••;,. ,
blêmes de survie), dont le contenu ture est inf~rieure ou moins virile
(partiellement dégagé de la censu- subit fréquemment une perte tra-
re le 13 novembre 1984, à travers le gique d'identité, et te plus sou-
FOIA " Freedom Of Information vent, il est assimilé par l'autre.
Act", Décret-loi sur la liberté d'in· 6) Commentai re: Une analyse de
formation en vigueur aux ttats· ce phénom~ne devrait être faite
Unis qui permet de délivrer, sur avec une certaine urgence. afin de
demande, des documents à t'origine censurés) boen que présentant bien mettre en évidence la menace qui incombe et de définir avec
encore des passages censurés, permet d'envisager, du moins pour prkision sa vraie nature. Elle devrait permettre de d~elopper des
l 'essentiel, les implications possibles pour la survie du genre mesures défensives ad~uates en un temps mini me. On pourrait
humain, en se basant sur les hypothèses suggérées par ce genre de dire, au moins en partie, que cet instinct de conservation a de nou-
phénomène. Nous donnons ci-dessous la traduction du texte men- veau occupé le devant de la scène à cause du problème soulevé par
tionné. les OVNIS.

l'nistcncc d'une vic o:tr"l.ltrrcsuc imc:lligen- mièro missions sparialo - b. possibilité de aur.ai1 eu lieu à la base de ~.funx.. en préscnu
tt" poUlTil.lt 01\-"(tÎr des co~uc:nccs bien !,'1"3- d~couvrir des objcn fJbnquk d'origine d'~nhowcL Du T<Sic, une alfumation de
vcs $Ur l'<ng;.tnÏS:UÎOn SOC'iopolitique~ et inconnue sur \fars ea <ur la Lune. Et c'c:s{ c;:c et gmrc powrah sembler tOut ~fait gr.nuirc.
inciter1.1 population à sc poxr plus d'une qu1 a cu lieu c::ffecti... emtnt. Mais un F.ût reste:: cenain. du moins au poiru
qucsdon. Il y ;1 lieu, <ÙI'IS cc cas, de :.'insp irer c.,t. veut dire que déj~ ~ cette ~poque-là, qui de vue officiel: l'homme n'est jamais plm
du pUS)ligc .suiv:m t: "L 'amplmr tin rlpn-t uJ- remonte à 40 ans, q uelqu'un avait connai~­ recournt sur la Lune. *
Jiom pulitiquts o-u J.()('Îillrs r/Jpnui pn1babk sancc de: f.tjc:. réel.:; et d'événements jamai.:;
mrm dt! lA mmlim Mnr la clrmr dirig~anu d ivulgué\. "-OlE
inurpr+u (1) son rôk-, dr lA fof'ln (2) dom rr .M.ti\ commen t cda érair-il Pf"'iblt si l'hom~ (1) RApport sur k Ûmlll pour la Sâm« r1
J,.,;" ptut mr mrmu-1, n (3) dr lopporru· mt n'éuil pas encore arri\C l. b. Lune:? ll ~ I'Am."""IÏ.tfw. Chamb" Jn {kp11th tin ÉwiS·
nul, t.Jnl ""Ir pktn natronJI 'l" ïnJi•oit!Mrt tk l""" que l'on soit parv<"nu l de tdles conclu· u..u, s-, C.ongrts. ,,..,.,,;,. I<UIItn. n • 242: prt>-
IÎrtr proftr Ju bouln'mnnt'nl ou Ju rrnforu· ~iom gf'lce à des informatiun\ obtenues par fHJIÙJqnJ J"hwk sur ln impbratums tÛ1 anivir.h
mnrt dn tlffitutks er drs r.,af-turs d'autrui". "J'nulrts ooin ". !parut/a pacifiqutt pour ln qwttùms hwnainn.
A notre avis, l'un de::. points les plus d écon- n 'aucuns pourraient faire remarquer que l'rfpnrl f"Jur la NASA pnr Ir llrvokiug !tmilutr
ccn~ts d\1 Rrooking Report est rc::pr~ru é qu:urc ans auparavant, en 1954, le première tt mvrt)'l '"' Comitl tÛ lA Wlmk Houst tk /'J:."'rat
par le fdic qu'il n'exclue pas- c:n vue des pre- rencontre officielle lvec des cxtratem::stn=s dr l'Union, Ir /8 am·;/ 1961.

sœn · OEŒMBRE 2003 49


50 _, · O€CEMBI<E 2003
...

"NOUS AVONS ËTÉ ENTOURÉS


D'UN UNCEUL ET D'UNE
ATMOSPHÈRE DE SECRET.
ET JE DIRAIS MËME PLUS,
J'APPELLERAIS TOUT CELA:
RÉPRESSION".
(HAZEL O'LEARY, MINISTRE DE
L'ÉNERGIE, CONFÉRENCE DE
PRESSE TENUE A WASHINGTON
LE 7 DÉCEMBRE 1993)

par VINCENZO PINEW

200.000 10ldm américains furent exposé> aux

P
etui> no des années, le gouverne- pour l'rnnpc atOmJqu< ct par l'administra·
ment .ml~ricain avait soutenu radiuion\, F.n outrc, plus de 600.000 person- tion pour b rtehcrchc ct le db-eloppement de
que •cul 3% des déchets nes ont tr.a~o·Jillé dl.n.S les installations atomi- l'énersie. Le npport souligne: /'objt<tifprinri-
nudé:&irb J.V'.t.it été enterrés dans que>, ép;orpillées dans toute l'Amérique, à pal tk rn tXpbimcn nr tk mnuTrr tÜmummt
le sol ou nv:ticnc ét~ enfermés dans des conte- p.onir de 1!>13. L>cpuis
lon;, des millions de ln 1fiu hio~qun du matbi•l mdi~actif.
neurs de f:tihle fo•b ilité, alors que les 9ï% qui kilograrnmes de déchets rndioo<.."tif:, on1 été ing!rl ou inbAil. n tir mtsuw !~ tnnps llictssai-
rc.stcnt avaieru é1~ placés dans des <.:onteneurs éparpillé.< dai'IS l'environnement t:t des som# rt à l'nbsorprion dr t'ts suhsumus mdioartim
à haurc 'l.é(;urité. M:tîntcnaJu les frats-Unis rne.< énorme.< d'argent seront nécessa.ires pour par/, rorpt IJumni11. T:tnt la (JAque la NASA,
one admii qu'il, en .1.vaknt sow.-cscimé l'im- h~ déc,;onramin:u ion des territoires (1~ <:Stirna- avec l'aide de l'Aoomic Fnergy Commission
portance. l" "'"' sl'2nde panic des dé.chtts tio"' parlent de plus de 200 milliards de dol- de la ba.sc d'Oal< Ridge (une des "villes acomi-
nudéairo, en efTet. a été 'logée' dans le sol lar<). De plus, ~ f>.udra tonir compte du qucs réalisées dunnt 1< Manhattan Projcct),
dur.1n1 les d«cnnia marquéa p:ar ht course nombre indéfini de: trav.ltlleu"' et de civils soumirent plu~ de 200 personnes. atteintes
lux armtmtnts. tt la dechéU, produ.ir.s entre sÛfc'm('nt ct irrip;ar.ahlc.mem comaminés. & d'un ç;nlU:r. l des r.ad.i~tiow à haute intensi•c!~
le début des années 40 ct r. fon des années -o, puis, il nt a:min que des milliers de femmes, dan) un but d'ttudc.
oont...Wnn un ~ pourttnt.IS" de pluto· d'hommo n d'en(.,,., om été utilisés colllJll<
nium. ooba~ n !Otomi') des émissions de substan- L'URANIUM DES HOPIS
ces radioorn= ,r,., le but d'en étudier les le gotl\crnement des tlats-UM continue.
LES VICTIMES DES RADIATIONS dfru. impc:"urOOblt. l violer encore: i-ujourd'hui les
Il est difficil<.["''"l"• impossible, de définir le F n novc:mhre 1986. une Conunission du droit.. hum;liru des tndicn.s de I'Ari.wJla, en les
nombre de c..ito)·tn.s unéricains morts de Congrès a publié un ra.pport sigJlÎ~ç:orif imi- expropriant de leur) terres pour &voriscr les
"'mon ')ilc:ncieuse"' dans les années qui ~uivi­ rulé '" Le< cob"1ycs améric;Üns: treure ans intérêts des multin.uionJie."i. l.e."ï Navajos ct les
rem la Seconde Guerre Mondiale. d'expériences sur les r.tdiOJ.tiom f.tjl~ sur de.< Hopis cherchent A~ÏMt:r en promouvant leur
Après Hiro,h irnn e1 Nagasaki, lors des tests d ooyeo><de< Ltats·Unis.ll s'agird'expériences culrurc, soutenu) p;.lr de~ :•s.'>ociations cr des
effectué. emre 1 9~5 ct 1962 dans I'Qçéan :mtori~ée$, promues ct financées par le personnaf.!tCS sensible), ulignés sur leur grande
Padfiqne él dans le désert du Nev"dda, plus tle ''Mar1hana1'1 Projcct", par 1~ Conunl~ÎO I'I [(adition. Il suffit de n:~rJrder au-ddà des car-

S<illl · DECEMBRE 2003 51


l
--..,.. o-
o,ôroUont d o - do .. pollution
do l't m t r - .....
do l o - do T-.....,t.
C,_o: pjuado 200.000 IOidola

- -1M5 at 1!112.
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tes ofroadks potar s'apcrt:c''Oir que les oarilS imensif, m:ais SOU\'Cnt aussi, à cause de la
du Big \1oumn VÎ\'COt, pour kur malheur, au· d.!durgc de déchm toxiques, à bquelle il fauc
de<stt\ de: ri<.hcs gucmcnts de: houille et d'W':I· ajouter les cxpnicncc:s nucléaires, effeau&:s
niurn. Hd»J malgré la protestations des chefs ;au~us ct cn dessous du terrain où ils se:
rradidonncl;, et rclig.cux, à Black Mesa - un lrQU\'C:OC.
peu plw au Nord, ~ur une surface louée par Je Les com~quem.c.\ de cc:ne policiqut: d cvicn·
Tribal Coundl de< Hopi< et des Navajos en nem manife.<tes • ~urwut dans les grands Pays
1'196 - la l'e.1hody (actutUtmtnt propriété tels que l'Inde c t l'Afrique· dans les nombreux
angl:~i<e) y tr:ov.1ilk pour 40.000.000 de dol· cas O~J des cnfùms naissent atteints de malfor·
lar~ p.~r .m. Une !lOmm e considérable, il n'y a m~u ion.s, mais aussi à cause des signes éviaenLS
pas~ dire! laissb sur le:> corps de C.ClL'< qui one été exposés
En outre, d'aprè< une cscimacion réccmc, la ?a. des WU!\;~ r.~di oactives.
société vendrait l'ur:lniurn 3 22 doUars par
tonne. concrai~ment au coût effeCtif de: 12 USA. DES INVESTISSEMENTS
centimes de dollar par con nt. ASTRONOMIQUES
U y a longternp< qut la 1\:abody - qui compte Un rappon de la majorité républicaine à la
-oo n.,if< amériain• parmi ses employés - Corn rn i»•on Commerce du Congrès des
cherche • a<:croicro"" aerivités d'aploiarion Ëu ..... Uni• • "'odu poblic qu'uoc grande par·
dca n:ssow= narurtlles, en 5è moquanc dca tic des sy.c~mo l h.1u1< rtchnologie, réalisés
coruéqucnccs sur l'environnemem, e. en )(: rn Amérique au cour< des 1 1 demi® années
pou»ant \'m l'intérieur, où les natifs qui wnt pour chercher à dépolluer les dépôts radioac·
rt><6 • lcs llopis et les Navajo. ré<istenc avc:c tifs. au co(u de 3,4 milliards de doUar> (plus de
ténadcf. couragt: et amour pour leu r terre (cc: 3.5 milliuds d'euros), 0111 complètement
n'est pas de la a·hétorique, c'es1 un fait) contre échoué. Les ~cèmes dt dépollution .c .ont
ces accords 5ign~ par des cher.~ imposés. dans av~r~s tellement ineffietœs ctu'ils ont été qua-
IQqucU ils ne sc rcconnais.coem pa~. Cinq lifiés d ï nutilis•blcs. le r:lppnrc est sens:ltion·
Pr~idc:nt~, le Congrès, les tribunaux et le..'> nd ct jette unt ombre sur le pmjec du
nualtin.nionaJC) n'ont pas encore réussi à dér.t- "D<:p:trtmcnt ofEncrgy" (Ministère de I'Ëner-
"-incr le$ dissidents q ui refusent d'être gic des ttau·Unis) qui prévoit le nenoyage dt
ttamféré>. A l'ichdle planéuire, les indigèn<> tow les dépôts de décheu radiooaifs améri·
wnt contrainrs de s'8oign~ des lieux où ib c:a.uu d. ici b fin du si«<e, en in••fStÎ$-SAnt 200
ont ''écu depuis toujours. à cause de l'appau· nullwds de: dolbrs.
vri~t du wl, dû à l'activité frénétique
d'au<Jction min~rale ct dc déboisement RUSSIE. DES FLEUVES
CONTAMIN(S
[)'aJ>tè> une nou"clle, dilfuséc il y a deux
moi~, une: c_oquipc fonnét de savants améri-

52 5lilll oECEMSAE 2003


Deux
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...IMc:Mta
tltH
...
••k*l•
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If

cains et russes- après la fermeturt dt l:a ccn .. vues à ce< effet. Le I)'St~me 5<mÎt composé ITALIE. DES AFFAIRES RENTABLES
tr.tlc de: Tchernobyl- a découvert une v:a.leur d'un genre de <Orpilles en acier, appdécs AVEC PEU DE RISQUES
si élevée de la radioactivité dans le> neuve• "pénérrareun", ou à double charge crewc qui, La crimin:1l ih~ o rganisée manifeste un reg:;ain
Romashko et Tom qu'elle les a dassé> p:trmi une fois remplies dC' COntt'neurs de déchers d'imérêt pour la genion de cc busines~, qui
les plus dangereux du monde. U oomamina· nucléaires, scraiem rdlchées dans l'eau ou est "~m;~ble" loue en ne comporr.m1que peu
tion - la. plw é[endue que l'on 1i1 jamais "tirées", en O)':lnt recours l différemcs rechni· de: rh:ques.
consatéc (les •pécialisres d~nt qu'elle dépa$- ques, ven le fond dela mer, en les cnfuuissan< Selon une cstimarion digne de foi, le uafic
>ede loin le désasuc de T chcrnob)il, est q;.Je à quelques diain<S de m~rn:s daru les couches illici<e des déchrn radioac<ifs rapporte seu·
li cdlc produit< par au moins 10.000 œntnles argikuscs. Le proje< de I'ODM. qui pré\-oi< la lemcm en ce qui concerne l'Italie - environ
nucléatres. la nom-dk est également con- oonmuccion ct l'emploi de 540 pénétran:urs 600 millt•uls delires. Souvcm des fO" e< des-
firmée d>ns le "Gm'l'fllcmenr Accounabiliry chaque année, consi)lc donc 1 uaruformc-r lc::s citernes ~nt ex~diés à l'étranger, en choisis·
Projcc<'l Officè de Scaule. I.. ou~e d'une caux de I'Af<ique du Sud en la poubc:Ue sam ""'tc beaucoup de soin lc:s destin;uioru
pollution awsi gigamcsque est officiellemem nucléaire du monde. fon:ole<. On préfhe. évidemment, deo nations
inconnue, mais vu que dans la 20ne placée déchirées par les guerres civiles, où il est plus
sous le contrôle milimire il y o deux centrales ITALIE. RECONVERSION f.1cile de disposer de "puits creu<<'< dans le
nudé:aircs, la contamination peut être facile~ La reconversion des cemrales nucléaires a été territoire'", en échange. de diiYérenres fourni-
mcm :attribuée à un ou plus-ieurs rbacurs dfocruéc, nuis il exiSie encore 21 dépôiS de tures (~lon certains chercheur~: fournitures
tenus rigoureusement ..sec.retS ... lc:s savantS ont déchrn radioaaif> répartis en particulier au d'ormes, de drogue. linancemen<s ~levés à
alen~ I'AU:A (l'Agence lmcm21ionalc de I'Jl.. centre ct dans le nord. Il est prC:.u à coun de> adversaires en lune).
nergie Atomique:) qui travaille sow l'égide des renne b m~ au point de projeu dcs<inés li Ici il y a lieu de mentionner les affiUres obs·
Narioru Unia: ct qui exerce une fonaion ck fou mir une solution d8inin~ l tr.t\-t:CS deux cures, irresolues jwqu'à ce jour, de trafic.
vigilance sur l'utiJjS2[ÎOn l'énergie atomique. grands si<e.s qui seront riali!és à s..luggU, daru intC'rnacionaux.: li6 ~ l'homicide dt la journa-
Jo province de Verceil. e< à Trisaia, dans la pro- liste Ilario Alpi.
AFRIQUE DU SUD. LE CAS ODM vince de Marera. Seront·ils vraiment nova- En conclusion. i1 est priorir.aire d'tchanger et
L'enterrement dc. déchetS au fond des océans, teurs? Le gouvernement a affirmé: "Le pr(Jjd d de difFuser des infonrt3tÎOI'I$ avant qu'il ne
formellement interdit p.ar la Convention mnpli dmx conditions: stmritl absolu~ tk ln soir trop tard.
lnrema<ion~le de Londres, es< l'obje< de l'acti· p<tpulnrilm " dlm>issllllrr dans k umps tk la Nous devons :abandonner )a mcnraliré du
vi<é promue par la société Oceanic Disposai mdioat'riviti midurlk. S..ns rt/lgun à /izrri)rt. ..tour jct.lblt: .. 1 si chère à norrr culrurc1 tt
Mmagcmen< lnc. (OD~i). En nui 1995, plmt 14 l{tdftum tb 14 skllnrl sismU{.u (N.d.r. nous oricmer \'trs des matériaux facilcmeru
1'00~1 - dont le siège légal se trou\T rue les /Jtali~ t1t amsùlir« ((lm~ UM nAJÙtn à hau1 rccycbblcs.
Tlts VK:rgcs ct dont le apical social se monte à risqu~ sismiqru), uN pntb ((lntributittn nous En ancndant que les représencam:s politiques
20 millions de dolbn - a concacr< la société nr fournù l"" I'Enra qut ,.,•..,,fk .l &fogt~<, k now prot~nt mieux, .soyons conscients de
sud·afriaùnc Atomic Energy Corporation. Glis. L 'inltallation tb S..luœa S<Ta rlalisl~ grâr~ notrt pouvoir de cico)--ens consommateur).
Ltd. à Pretoria, afin de promouvoir un pro-- à unr nour,~/k tr<hno/ogit qui pttwù la virrifi· Les lobbies nucléaires som en réali<~ des
gramme pour le dévdoppcmem d'octivit~ de cation tk rlichm, aûm qu ·~ Trisaia, nous urili· colos;,cs :aux pieds d'argile. qui .s·appuicnt sur
rrnnspon el d'enfouissement deS d~ hets seron.s un proctssw tk cimmullion, m pla{-1Znr its des g:ointe< des affaires louches d'lttnt ...
radioactifs dans J'océan, dans des zones pr<!· dlt'h~rs dans drs cont-i'ntwrs spldntiX t11 dmm.r': mais cela, le "Peuple de Seatrle" le <ait d~jà. *

53

L
u début des années 50, cc "Théorie des Apparences", résult:n d< 30 ans par cc fluide. En effet, Todcschini démontre

A plus tard dans les années 70,


on avaic déjà écrie beaucoup
sur Marco Todcschini. Savanr
singulier ct contemporain de
la naissance de la relativité d' Einstein, il en
de recherches, d' é[udes er d'expériences -
illusue de manière exhaustive les phénomènes
de l'univers, ell les démontrant d(:: manière
originale à 1r:\vers des lois er des formules
scientifiques. La rhéorie :ldoptée par
q\lt tOut - des noyaux atomiques aux galaxies
- peur naître du mouvcmenc des vortex .sphé-
riques de cene substance: qui. c.n tournoyam à
une vitesse supraluminiquc autour de leur
noyau central. c.récm. par fron:cmcnc, la roca..
refusa les axiomes. comme cane d'auucs du Todeschini est celle qui avait été inaugurée tion de oouches concemriqucs successives.
reste. Il trouva. grâce à .sa recherche originale, par le grand De.(jcanes, et emerrée ensui le par Cette rOt'.uion formt. ainsi les particules ultra-
l'c:xplicaùon des phénomènes de l'univers, Newton. Selon cene rhéorieJ tous les phéno- microscopiques qui constituent la matière. Et
.sans devoir faire allusion à des conccpcs obs~ mènes de l'univers seraient causés par le mou- Stlivant le sens de leur rotation. eUes créent les
curs ni conrrcdire la physique classique ~i­ vement d 'une substance cosmique qui Je forces d'amacrion ou de répulsion qui les
lécnnc. remplir rota.lemenL. appelée Éther. <:arat:térisent et qui sont responsables des
Ses émdes le conduisirent à la création d'une formes d 'agrégation de la matière.
no\lvdle "science universelle" nommée RtALITÉ OU ILLUSION?
Psychobiopl•y>iqu<, grâc. it laquelle il par· La Thtorir tûs Apparmm nair de la supposi- ORGANES SENSORIELS
vÎI\1, pou r b p remière fois au monde. à uni- tion que cous les phénomènes que nous per.. Approfondissant ses études, Todeschini com-
Ger les sciences physiques, biologiques cr ccvons ne seraient que des '"apparences" prend que pour arriver à une vision homogè-
psychiques. Son ouvra- causées par le mouvement du fluide cosmique ne de la création, il faut aussi étudier la réalité
ge fondamental qui, venant en comacc avec nos sens, biologique, car elle est l'intermédiaire dans la
· publié en engendre des cffers dans notre psyché. En ce compréhension """ phénomèn.,. Grâce à 10
1949 et sens. le son. la lumière. la saveur~ l'odeur, la équations "psrchoph)'$iques" qui généralisent
in li culé force. la chaleur, J'élecuicité, ccc. som des la loi d'inertie de Newton (F = ma),
-apparences, car elles ne som que l'élaboration Todeschini démomre la correspondance enue
p.sychique des stimuli suscités par la rencontre les décélérations de la matière conue Je corps
entr<: le mouvement du fluide universel, dom humain ct les sensations qui naissent dans la
la fréqoenet est différente, ct nos organes sen- psyché~ en monrranc que toutes Jes sensations
soriels. Une fois arrivés au cerveau, siège de la obéisscnr à cene loi (Sn • ma). La gtande
psyché, les rness:1ges sont transformés en des importance de tour cda réside dans le fair
sensations qui leur corresporldenL En ré31ité qt•t. pour la première fois on introduit dans
cc ne sont que des ondes d'éther silencieuses, les sciences exactes. en sus des phénomènes
obscures, sans saveur, inodores ec :nher- physiques objectifs, les phénomèn"" physiolo-
miqucs; eUes ne som d ifféreme.(i que par giques er psychiques subjectifs corrcspon·
leur fréquence. La conséquence d 'une danrs, jusqu 'ici négligés.
telle chéorie es[ extraordinaire: si À ce p ropos. Todeschini examine la structure
tout est engendré par les mouve.. des organes sensoriels de l'homme, en réali-
menes de l'éther cosmique, alors la sant une carte électronique à travers laquelle il
matière eUe-même ct ses champs découvre leur fonctio nnement. Cela le
de force doivent être engendrés conduic à la conclusion suivante: alors que le

54 """' · DECEMBil€ 2003


parcours du çouram tlc::(..."tronique suscité pM et en synchronie :lutour de leur point cerm-al De nos jours, un syscèrnc de propulsion de: cc
les organes d~ sens 3 tr:Jvers les nerfs'" est un et, e1'1 même temps) "accornplissem une révo-- genre est appelé "propulsion non newtonien·
phénomène physiologique objectif, la sensa- lution" autour d'un cenere commun, en sone ne". Rarement on sc réfère à leur précurseur,
tion çorrespondante, qui naît dans rlotre Moi, que la force centrifuge ré.<ouJtance peut êue sinon pour les théories cosmogoniques ct cos-
ct qui provient de la partie spé<:iaJisé<:: du cer- orientée dans la di rec~ ion er dans le sens dé.ü.. mologiques qui considèrent l'éther comme
veau. s'avère être un phénomène:: psychique:: rés. Le moteur est b:1sé su r le concept selon élément irremplaçable pour la compression
subjecrif. Cda a conduit ~ l'élabora~ ion de lequel la décélération cemripè<e des mas.<es des p hénomènes,.
découvertes scientifiques et ~ des inventions trouve u ne réaction dans l'espace fluide du
qui non sc:ulc::mc::nt c.:onfi rment l:t 1héorie, milieu et que cene réaction s•ideJa ifie à la L'OUBLI DE LA RECHERCHE
mais pc::rrnew:nt aussi de réaliser des appareils force propulsive centr·ifuge. 11 est vraiment curieux que les œuvres de
très utiles, tels que les prochèses artificielle.<~) le En conséquence, le fo nction nement du Todcschini aient été oubliées malgré leur suc-
pactmalm, lt c"'ur électrique, des appareils moteur morme de façon expérimentale la cès initial ct malgré une proposition decandi-
servant à redonner la vue et l'ouïe, etc. Ouidité de l'espace. Le disposi<if fi<égalemem darure au prix Nobd, à une époque plutôt
l'ohjet d'un rapport lu à un congrès tenu en récente.
AU·DELÀ DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE Allemagne en 1973, dans lequel il démonrrai< Et pourtant les raisons de cet étouffement ne
Une invemion superbe :1 été celle du "moteur que ce moteur pouvait avoir le.<o mêmes carac.. som pas difficiles à comprendre. Dans son
à force propulsive cencrifuge") cons1irué de lérisriques et les mêmes possibilités que ce-lles œuvre Todcsc:hini prend clairement position
de;:ux maSSc:S qui w urnem indépendamrnem ulilisée.< pour la propulsion des OVNIS. contre Jc:s théories d'Einstein. car elles nient

VIVRE DANS UN MONDE


COmmunictltlon
Des études ré<entes sur la Communication Facilitée (CF), diffusées en mangeant, par exemple, l'enduit (qui recouvre les murs), ne pouvant
Italie vers 1990, ont montré que l'autisme n'est plus réductible à une pas l'assimiler à partir d'aliments composés.
simple psychose, comme on le croit trad itionnellement, mais c'est Il peut y avoir aussi une hyposensibilité au toucher qui provoque une
aussi une déficience neuromotrice. l e syndrome de l'autisme, comme absence de perception du corps; ou une hypersensibilité au toucher
du reste d'autres pathologies de différente nature, est c;~ractérisé par qui, au contraire, engendre un excès de sensibilité aux vêtements, au
one apraxie, c·est·à ·dire par l'incapacité d'exécuter des mouvements point qu'on n'arrive plus à les supporter. Un autre genre de trouble
intentionnels. Cela signifie que là où un certain système comporte· vérifiable est la déficience de l'ouïe, qui donne lieu à une d istorsion
mental est considéré, encore aujourd'hui, comme un problème psy· des basses fréquences, alors que l'ouïe excessive donne lieu à une
chique (et en ce sens • soigné"), il peut en revanche être lié à une perception qui dépasse la bande sonore (ultrasons). De plus, on a
incapacité objective. Arnaldo Firmani, Assistant Educateur Culturel découvert que certaines personnes surestiment tes difficultés de la vie
(AEC), explique que " l'être humain agit dans te milieu et son compor· ou, au contraire, les sous-estiment, ce qui les oblige à prendre sans
te ment peut être défini comme l'ensemble des actions apprises à tra· cesse une posture pouvant favoriser cette "vision .. de la vie. D'autres
vers un processus évolutif du type adaptatif, basé sur l'assimilation ont la sensation que les murs vont s'écrouler sur eux, et cela provoque
(par le milleu} et sur l'accommodat (réponse au milieu). Toute action a un blocage physique au vrai sens du terme, qui l es pousse parfois à
son programme, qu'elle exécute à travers l'information du milieu, l'éla· rechercher un coin comme point de repére certain.
boration de l'action, le lancement du 'programme', l'attention conti· Les effets dus à des troubl es de l'organe de l a vue peuvent être de plu-
nuelle et constante (travail musculaire, mesure des distances, etc.) et sieurs sortes. Les sujets qui présentent une accommodation déplacée
te contrôle de t•aboutissement. Dans ce processus, le cerveau utilise vers le côté externe de la rétine adoptent une posture anormale de la
t'interrelation des organes sensoriels. Dans le cas spécifique de l'au· tête pour bien voir. Ceux qui ont l'habitude de manipuler la sative avec
tisme, vu qu'il y a une déficience sensorielle, l'élaboration du pro· leurs doigts le font en réalité pour voir de façon correcte, grâce à l'ef·
gramme par le cerveau subit une variation l i~e à la n~cessité fel de 'prisme' obtenu par la salive elle-même qui joue le rôle de len·
d'adaptation. L'ensemble des problématiques du sujet détermine le tille (pour ce probl ème il existe actuellement des lunettes spéciales).
type de classement (fonctionnement bas, moyen ou é levé).la thérapie Une autre déficience concerne la • perception du mouvement". En
est établie en fonction de ce classement ". effet, pour fixer un objet l'œil accomplit de très petits mouvements
Grace à ce processus de réhabilitation, un sujet atteint d'autisme peut imperceptibles, sans s'apercevoir de l'obscurité entre un mouvement
être en mesure de communiquer et d'élaborer un système de relations et un autre, contrairement à ce qui se passe entre les photogrammes
avec le monde, en dé<rivant ses problématiques: par exemple, • ne me d'un film. Chez un sujet déficient, ces mouvements microscopiques
posez pas de questions directes, écrivez-les, autrement je me bloque". sont beaucoup plus lents et la phase "d'obscurité" est tellement pro·
En outre, on a souvent constaté chez ces sujets l'absence de l'enzyme longée qu'il lui semble qu'une personne en mouvement, ou toute autre
qui élimine la toxicité des aliments. Cela donne lieu à un besoin diffé· chose, apparaît en un point du milleu pour réapparaître de nouveau en
rent de nourriture chez celui qui en est atteint, et si son organisme lui un autre point. Qu' il s'agisse d'un cauchemar ou de magie, on ne sau·
demande du calcium, Il parviendra à l'absorber instinctivement en rait éluder ce genre de problème.

56 ii<i1n • DÉCEMBRE 2003


l' exitï1enœ de l'éther ct supposent que la vites- LE MtCANISME f ê VaiSéCca di Bergamo, le a~ avrii•B99. il est
~c: de l.a lumière est la vitesse n'l:aximalc cxis-
ttUH d.am l'univers.
La p>-ychobiophysique de Tudochini a donc
cu un écho mondial, parce qu'elle dépasse la
N
est
mortl• •3 ocrobre 1988. O.pholln de mê<e, Il
erM>Y~- dès son plu• ;tunt l&t · au <allège A
O.ln> b Théo<ie des Apparence<, ' lod<Sdùni rhéoric d'Einstein, la mécanique ondularoirc C.sahmsgiore où il restt ju~u·t t'list de •7 ans.. Il
.._ffirmc qur: la théorie d'8nsu~in m sans fon· de Schrodinger. la théorie quanrique ena,.. f'tt\l,li'i• dans l'arn'lét c.omnM' otrkier du Gftûe
den>eno. d.Hc:iscnbcrg, l'ahsu<dc du>lirc rompk'men· tt pllore .,..teor. l pœnd "'" d;p!O<ne de maitrise
~nurcllernenc. tous CC'\I.J qui restent cram- c.u~ ondc:-oorpuscule (tt" Bohr c1 1;. çybc:.mc!- e-n ln&ênltrit Mécanique et t~roniq~ à l'tcole
ponn~ ~ la pétaudière de la science · pour ti~uc de Wiener. Toutcl <;cl théorie) Polytl'<hnoque de Turin. Il se spécialise dans plu·
.1in~oi dire officielle .. peuvent tout au plus faire n 'admmem que la réalite m:nérîdlc objocti· sieur\ branehes de la Physique tt de la Ph~lo-neu·
~c: mhl.a nl de rien. ve, c:n c:xduanc les réalicO biologiques ct spi- rolosl• ~tIl t nstigne (Omme professeur titulaire de
De phh. Tode.tïchini soutient l'existence de rituelles subjectives, qui sc manifestent Mkanique Rationnelle tl be<uonlqué au couts
"fot\.:C\ \pirituelles'"; donc on peut facilement poumnr daru rout l'Uru..:n. La pbysÏ<jue biPMil d lngéniériè Sut~n@Urw STGM ~ Romé, él
im,;agincr l.a réaaion des $il\>'11\U onhodoxcs acrudk. en dfct, ne conrcmple que la phé- commto prof•ueur dt TMtmodynamiqué o\
f.~a: lun< relie dédar.uion. nomènes objectifs sans mdure lc:s rrois disci· lln>t 1111 Te<hnoque 1.-.lu..rr;.! d'(l•t PaleO<apa' 1
\1>i> malgn! œla, il semble que les hyporhèscs plincs fondamenwcs, qui sc manifcsrem B<rpm•.
K"ir:nnfiqu~ les plus réccnrcs mettent en ~dlc:mcnt dans Je cosmos. c'est-à-dire, selon Dt plus, il a été Pr~side-nt d(' t·Académie
q ut$tÎon divc:rs élérnem~ ete h théorie 1ode<chini: Internationale de Psychobiophysique, membre
Einstciniennc ct que l'éther, l ha).Sé p:u l:1 • unt' p:mie physique: elle môtu re que 1011~ d'honneur du Conseil National des Recherches
pnne. etïl en train de rentrer par la fcnê:trc. lo phénomènes naturel) ~'idcmlficnt à des Scitnt!Oques de Hal\i el df! 2~ .teaôfmie-s italiE!nnes
Or, cnc.;ure u1le fois. il semble que personne mou..:menrs particuliers de l'cspaec fluide; et ,.,,.,,~n·s.. Aujourd'hui, commto dans IE!S
ne se \OU't ient de 10dcschim. • une panic biologique: eUe monttt que ccs concrn l'lternationaux df Phy\tq!H' t! dfo MfdecifiE'
Un <hcrd>eu< "impoiUllt" qur esr n:srt daru mou"-cmcnts. en entrant en contact a\'tt nos tenus dans • J>O'sO, lo Psy<hob4ophy>oqu• ost •n
rombrc de l'histOire de t. science. organes scruonch. produiscm en rnMUre de démonter la r~llff dfo~ phkomènes

_••
eux des courantS électriques qui, m~apsychiques (télépathi~. rhabdomancie, cap<~·
retransmis par les lignes ner- crtk thbaJWutiques dt>s gu~rl\.,fUtS, télékinésie.
JtE .CNO D l 1' AL1.4
1
veuses au çcrvc:g,u, suscitent dans ~pirltl~ïmP, etc.) et de tév~ter dahemént les causes

MlN ISTBR O l)BLLE CORPO R AZ:IONI la psyché )<:..') ~ll'hlttons de lumiè- tl 10\ tffers de l'hyp~. do r•lt<ltoMagnérothé-
_.._~~
K, ékctricité. th~lcur, son. etc.. rapt4P', dt rawpunclure. ôt Li dermouo&ogie. de la
révélant amtl b mcn-cillc:usc I>Sv<ha,.lv'<', de 1o ..,.fbrotlli<•P'<'· de l'homlo-
rcclmologîc ékcuonique de rous pa1I'W, cw l'orgonom•e. M t·•,mculothkapie. de
les organes du système nerveux; l'•mmunologie, etc... ~c. Ellf con\l•tu., fg:ate:me:nt
• enfin, une: partie psychique-: une malik(' d'~udf' pOur lt~ phy\i,lfnS, chlmis1es,
cHe fournit la preuve scientifique ing~nifur~, industriels, m~decJM. philosophes.
de l'cxistcntc: de: l'.lmc humaine, th~otoalens, savants et profcsseui'S de toutes les
du monde ~piriwcl ct de Die1.1. bf'1nc.hts du savoir. C'est pour cene raison que
beaucoup de <ha;res d• l>'v<i>oboophysique "'"'
RAPPORTS nf<s on Europe et on ~,.. En plu-, ~ pnn-
AVEC L' {GLISE c pes ont ftê repris dans ~s tiYrH. ut isk dans les
1 ? En aoûr 1950. le furur l'apc Jean un~rs.tk et les instituts. CtS mfmts pfinc;ipes ont

Ï/'~:
XXII I rencomre lbdeschini ct, ét~ ex.posês par des savants dans d~s milliers d'ar·
après une sfric d'cnrrcciens, il (uj tictes parus dans di~rs journau~. reovuPS, livrE:~$,

r-·r-·
propose un cycle de conférences ainsi qu'à travers des confirtnct\ lia radio et à la
pour diffuser sa théorie à Paris cr téifvision. Après sa mort, la localitf de Val~a di
runs d'autres villes de la ~rance,
._..."
1 où Mgr Roncalli orair alors
B<rsamo lu a dédié la place P""<ipalo où el • a
pla(~ un MOnurnent en soo honntur.
:-;once Aposroliquc.
' Mais vu que cc dernier fut > BIBUOGRAPHIE
nommé Cardrnal de Venise. le Ses principales publications sont:
projet a subi dC5 retards. l'ar la • La tMorle des apparences

.'
' ·;
tïuice il fut mis .à cxéculÏon sur la
denundc du l'résident du
• La Psy<hobiophysique
• Qutlle est la dé de l'unMr1
Conseil des Mmiun::s français. • l'ururation de ta Ntitre tt~ ses
Bi<bulr. cr du Mini.<rre de l'Édu- t,h.tf"''pS de force
cation Nacionllt. lletir. • U.péntnces dêcisiws poiJf la phySique moderne
Todes:hini .s-en. nomm~ Membre • Sc-ttnc.e universelle
des Académie..\ Sderu ifiques de
S.1Înt·É1ienne, de Vjler)Ce e1 de "' c1ui p~nèr re les r'nystè1·es du cn.tïmos e1
Paris, et on lui oiT'rira la "bmpe <.:hC'rt.hc d,1 11~ le SOtL.\-M,I I;I ~.;.IU\c! profonde de....
de: miueur'" ...ymhole de: l:t lumi~- phc:nomènc:.\. *
mm · IIEŒMBRE 2003 57
......,_....,,._
___
-70.
--
_
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.. , "'
3...Poo


blishmtnt" militaire ou gouvernemental er de paramèrres interprétatifs er suhjeccifs que J'on
tous les phénomènes qui répondem au "ct voudraic évicer. 11 s·agic par conséquent d'une
n'est pas possible: dom: (4 n'exi.su pm'' (et qui opéra[ion :tl'hicraire> puisque le d10ix d'url tel
n'one jamais reçu l'attention qu'ils rnéri- modèle exclur:}it forcémenr les aurres
raicnr). que nous pouvon:. affirmer :lujour- modèles potentiels et les autres "iden1i1és''
d'hui que la rccher<:he "fologiq"e a obtenu possihles des OVNIS. La reproduc<ihilité des
d'indéniabl~ r6uh3tS. Ces ré.o;u]rat.(O mêmes effeL~ perçLL~ esc différeme, er elle re~ae rou ..
qui ont p<:rmis à ceux qui om su cr voulu les jours possible, mais die s'avère être peu utile
voir sous un nouvea~t jour de prendre au point de vue galiléen.
consdencc de la réalité intelligence et rec:hno-
Jogique qui caractérise Je phénomène OVN 1. AU-DELÀ DE l'APPARENCE
C'est J'applkation de la "méthode scientifique" L'approcl>e scientifique appliquée à ce
rradirionndlc qui a rendu possible la réalisa- domaine s'est donc révélée lnçomplète et en
tion de ces objccri&. Mais c'est surtout le fajr partie inachevée, vu qu'elle aurait p\1 et dlr
d'être conscient dts limites de la méthode engendrer des grandes révolutions de la pen-
elle-même qui a emp<!ché les "folog"es (d" sée, mai!> ceUes-ci sont restées à mj-chemirl. Il
moim les plu.o; "éclairés" d'entre: eux) de: tom- ne: fàut pas oublier, c:n effet, que la science
ber dans J'erre\lr commise par le< disciples explique le "comment" des choses mais non
mêmes de Galilée. Par c.xemple, si lill nornbre le "pourquoi". Nous comprenons àlors J'em-
impressionnant de: personnes dans le monde:: barras de c:eux qui n 'estiment plus l>uffisantes
entier .. apparccnanr à des races, rdigiOn!>. cc::rmines explications, souvent fo rcées ou
culrurcs, croyances. classes sociales et niveaux tom à f.'lit inconsistantes, q\ri nous som ser-
d'instruction très différents errtre eux- aflir- vies avc.x:: ~.rne certitude et une désirwolwre
menc qu'elles om été c::rtlevées p;)r les extra- extrêmes. lJ est nécessaire de rendre complète
ccrrcscrcs ct racomc:m les mêmes dérujls. on la méthode scientifique ~tfin q\r'eUe soit un
soutiem que "les enlevés n'existent pas ... ingrédient. une phase:: d\r processm cognjtif,
parce qu'il n'est pas possible de dépasser la c:.t non une conclusion ou. o.: qui c:sr pire, un
vicesse de la lumière:"! orade qui débite des vérités absol"es en appa-
raissant trop souveru inviolable et inébran-
LA DtMONSTRATION FORCÉE lable. Et p\IÎS il v:t\lt la peine de citer ce qui a
Ainsi, les OVNI n'cxistc:nt pas. parce que s-i été ex.primé p;)r un fameux logicien et malhé-
J'on affirme le contraire il fJut bien le maticic:n. Bertrand R\rssdl. qui. dans son
démomrer; alors que l'assertion opposée:.• ouvrage "Mysticisme ct logique". affirmait:
claire er résolue, n'est soumise à auc.:un ''Dans tqurrsles st'Îences on r.Wit disn'nguer deux
concrôlc. Er là on oublie que toute affirma- sorrQ de lois: t()ut d'abord, r.lle1 qui sqn1 vlri-
t ion. quelle qu'elle soir, doit être soutenue fobies t>xpirùmmralermmr. mais qui ne .sont
par des preuve.<;. Aussi, si je dis que les Crop probnN~mmt qu 'approximarillt'1; tT cr/les qui
Circks (les mystérieuses formations qui appa- '"som pas vtriftnb/rs, mais qui som probabk-
raissc:nt dans les champs cultivés du monde mmt .xacm., [ 1)
entier) om été réalisés au moyen d'une corde La contradiction apparente emre l'uciliré de
ct d'un piquet, je dois le démontrer. Si j'affir- la méthode scientifique er l'étroitesse de la
me que le tbnoirl :1 eu une haJiucination, je science nous porte à fajre une première consi-
dois le prouver, et ainsi de suite. Nous pou.. dération méthodologique: l'approche empi-
vons tout au plu.<; - mais sans que la chose rique esc nécc:.ssairc: à un premier niveau
nou!l conv3Îrlque pour autant - voir recon .. cognitif, celui qui nous permet de distinguer,
nue l'existence"" concept de ·Non Jdmtifit'; avec une fuiblc marge d'erreur, l'OVNI de
qui peut toutefois prêter le Aanc au principe I'OVJ (c'e.<r-à-dire J'ohjet non identifié de
de la modi/isdtion et de i:l "f!mduuibiliti celui idemifié). Ensuite, il faut aller plus loin,
exprimé par la méthode galiléenne. Selon en passant à un second niveau. celui de l'ufo..
cette manière d' ahor·der la question. si logie perceptive, qui fournit des réponses ct
J'OVNI demeure 110n itkmifi!, il n'est aucu- veut comprendre la réalité de certains événe-
nem~m reproduc[ihle: une chose .. fausse" ou ments. & dans tout cela. il faut tenir compte
..simulée" n'est qu'une copie de quelque des implications éthiques, spirirudles cc de la
chose d'existant ct de OOJlll\.1. Mais si un objet conscience qui rernerrem en jeu norre vi~ion
n'est pas identifié. il ne pe1.1t être ni recréé ni du monde.
simulé c:n laboratoire. À la lirnire, on peut
créer un modèl~. sernhlahle ... dans couee la NOUVELLE PERCEPTION
mesure du possible - à ce que J'original esc L'erreur de fond que l'on commet souvcnr
censé ttre.. en inrroduisam cependant les esr de considérer que le fair de compléter la

60 liGI11 • DÉCEMBRE 2003


--........,...,.le Nevada,
USA,.., l"L Unefwmation _.....,
Aneleterre le 18/ 07/ 2002. Sou....tles
-...-cie
"riiM:OI'Itlet •IPPiodtiM" COftiPOI"1;ent un

n1m
dans 1e
la porc.ptlon (C. -
"COmmunion"~
....

méiliode scientifique par de nouvelles pcrs- d'une Perception Élargie qui, en plus de celle
lX'C[ÎVes de frontière soit une preuve d'irra- physique. dire<:tement liée ~H•x donnée..~ l>fn-
tionalisme et de dogmadsmc, donc de soricUcs ou phy~iqt•c:::S. accompagne une p.,çy-
F.tih)es.<;e) alors qu' il s'agit cxactcmcnc du cho-pcrcc::ption concernant l'esprit, 1ravaille
con[raire. La science, ct le scientisme qui en sans sc servir des sens, et que l'on tend sou-
e.~t l'exuémisation fidéiste laisscnc trop de vcnc à mettre. en rapport ave<: 1~ phénomènes
que.'icions sans réponse, ct parfois ils fournis- paranormaux. extrasensorids ou avec les
sene même des réponses tellement "ouuécs", manifestat.ioru de télépalhie, psychokir'lé..~ie,
improbables (hien que logiquement défen- vision à distance. et<.:. En ré-o~.lité, œs phc!no-
dable.<) et grotesques qu'elles apparaissent mèncs ne sont qu'une panic::, tme extériorisa-
encore plu.'i incroyables que les prémisses. tion, une intc:rpréta.tion des bases de la
I.e but de ces considérations est d'e.«ayer de Perception Élargie. Le conu:pt de fond .:st
dépasser les limites cognitives de la science que J'on entend afllrmcr l'cxistcnçe, en plus
acweUe afin d'ouvrir de nouveaux hori1..ons. des cinq sens que nous connaissons. d'autres
11 ne s'agit pas d'un processus facile, surtout capacités ct possibilités cognitives.
pour celui qui a gr3ndi à l'ère de l' évolucion Les événements OVNI ct les observations en
tcclmologiquc, avec ses froids mécanjsmes sont l'un des exemples les plus oomplets ct
matériels ct causalLx continuellement en exhaustifs. En présence d'une expérience ufo-
mouvement. '10'-ltefois. il esr possible d' emrer logiquc, le témoin ne sc limite pas à évaluer
dans une nouvelle d imensior' perceptive qui le phénomène du poim de vue sensoriel: cout
devrait nous a.ssun::r une connaissance plus d'abord, parce qu'w> stimulus reçu par un
aisée de la véritable essence du rnonde qui seul récepteur sensoriel (comme par exemple
nous entoure.. Il s'agir de renforcer des fac- la vue) n'a presque jamais d'élément> suffi-
teurs tels que les suivanL~: sanrs pour être compris rationncUcmem, avoc
- Smsibilité une ccrcicudc extrême cr suivant des raisons
-Umsâmce convencionncllcs; ensuite~ parce que l'insoli-
-Intuition ce, le non..nacurd, l'inconnu som perçus au-
La s.:nsibilité nous permet de capter et d'ob- delà de la simple constatation sensorielle,
server les détails, lc:s nuances, les aspeclS d' UI' ju..çqu'à arriver à un niveau cognitif plus élevé.
phénomène qu' un esprit plus aride et froid En reléguer l'essence derrière des principes
n'appréhenderait pas de F.lçon immédiate et logico..réduccionnisccs est fondamenr.ùcment
spontanée. La St.nsjbilité nous incire à Mluer trompeur, surtout si nous nous basons ct
les choses selon leur vraie nature, en allant nous nous limitons à un ou deux sc:ns seule-
au-ddà de la simple donnée sensorielle. menL Les sens, dans leur totalité. sone en
La çonscic:nçe est le moteur de la corlnaissan- rapport direct avec le mouvcmcm perceptif
ce, çc qui nous permet de: comprendre les qui a lieu avec une panidpation plus grande
limites matérieUcs ct physiques à l'intérieur de l'espri<.
desquelles le rationalisme tendrait à nous
confiner; c'est la diversité de notre esprit et la PRÉJUGÉS
conscience de la posséder. Beaucoup de personnes, témoins d'événe-
L'intuition enfin est le resson qui ouvre les ments OVNIS ~UlOrmaux er d ifficilement
portes à la sensibilité ct à la conscience. J'étin- classables, tentent sponc:lnénlem de donner
celle qui provoque la compréhension de la une explic.1rion rat ionnelle de ce qu'ils ont
nature du monde extérieur, la base même: sur vu. Cc:ue rema1 ive, souvem forcée mais abs~
laqudle s'appuie le oonccpt d'intdligcnu:. fument compréhensible, est le ré.su1tar de
deux causes possibles:
INTÉGRER LES ORGANES 1) çraÎntc: d'être wurné en ridicule si l'on
SENSORIELS racontait sa propre expérience; donc, désir
La satisfaction de ces conditions comporte d'apparaître "normaux.. , fonernenc :wcré
un changement de la Perception. un accrois- dans ses propres convictions et capable de
semene incomparable de la conscience~ un reconduire n 'irnpone quoi à quelque chose
dépassement de l'affirmation selon laquelle de classifié, exempt d'inconnue.~ ec donc
nou.'i percevons cr nous connaissons le "maîtrisable" .
monde extérieur uniquement grâce à nos 2) incapacité de dépass.:r les hmites imposées
cinq sens (vue, ouïe. toucher, goQr er odorar). par les cinq sens pour arriver à une conscien-
1.1 physique et 13 formacion méthodique.< des ce perceptive qui va au-delà des frontières
processus scientifiques que nous connaissons déterministes de notre panie logique:. On
tOLLÇ om été fondé.'i sur cene chèse. pense donç à tore que la Perception d\m
Il serai< plu.< opportun, cepcndan<, de parler phénomène atypique est "mentale:", non réd-

5G111 · DECEMBRE 2003 61


CMiessous: objet lumineux

- ....
photugJaploié à - Nuagos..,typo
vers la moitié des années 80. lenticulaire, souvent
ÀcOté, deux techniciens dans confondus avec
leo -oireo de la céléllre let OVNIS.
~.
T

le er par conséquent incxistame. La donnée


sensorielle ne persiste pas hors de la "sensa-
tion perceptive".
C'est comme si l'on considérait que la Lune
n'existe pas durant la journée parçe que nous
ne pouvons pas la voir.
La "matérialité" ou "corporéité" de l'événe-
ment OVNI observé dépasse la pecsistance
sen..<;OJ'ielle, eUe sc fl.xe à l'essence mémc de
l'e.c;prit d'obscrvadon. Cirant cnçoce Russell,
".. . Ui dotmùs tk ln psydJokigie ne di.ffrT<m
pas) quant à lnlr caracùre intrin.sèqur. tk ce/ks
tk ln physiqtu; qut ks snw<Ums som que/qut·
fois dt1 donniN dt la psychologit tt tk ln phy-
sique; fltndis que ks images, qui som dans U.Jle
cmain~ mtsun des dnnnl~ ~iusiw-mmr psy-
&hù/ogiqu'-1, J~ dùtingumt tUs st-nsations Mn
pas par kun qualitis intrim~quN, tmûs uni-
qunnmt par ksm rotTI!ations" [2] Cc qui s'en
dégage avec force, c'est l'égalisation des don-
nées psychiques (donc perceptives) avec celles
physique (donc existanœs, réelle, concrètes) .
L'élargissement de ces vues ct de ces pc:rspcc-
cive..o;; met mut à fait en jeu notre conscience. rer la Perception d'un phénomène de la attitude ct cene approche pourraient contri-
Conscience~ donc de la Connaissance qui buer à mieux comprendre le phénomène
LA CONSCIENCE COMME dérive de cc phénomène. L'analyse exclusive~ OVNI, sa portée. son importance ct ses liens
INSTRUMENT D'ANALYSE ment physique est réductive ct rcsuiccive. avec la réalité qui nous vivons quoddicnnc~
C'est pour cerre raison que nous pouvons La conclusion à laquelle nous devons arriver mene.
affinner que le problème de la Pcrcepcion cr comporce un examen ct une évaluation diffé.. C'est un insuumenc en plus. à ne pas sous~
de:: la Con nais..unœ du monde extérieur est cents de.c; moyens ct des possibilités cognitives estimer et à valoriser pour çomprcndre ct
étroitement liée au concept de Conscience: qui nous apparcicnncnt. Apprendre à obser- connaîm: cc qui sc manifeste avec toujours
nous sommes consciem..c; de tout cc que nous ver un phénomène non scu1cmcnt avec nos plus d'insistance à nos yeux. *
percevOilS. "senseurs" mais aussi de façon introspective,
I..a Collscience contient donc en soi Ja pourrait nous permcnre de comprendre RÉFÉRENCES
conscience de la Perception) de noue fitçon davantage nos proccssw meneaux ct leurs 1•1 "Mysticisme et logique" de Bertrand
de nous mettre en relatÏOJl avec le monde corré)arion..s avec la réalité extérieure. Russell première édition TEA février 1993,
scnsorid, les objets, la marière. Elle implique Ce processLLc; intérieur nous; met à même de Editori Associati S.p.A., l onganesi & . © 1980
l'cxisrcnœ des idées, des sen53rions, des senti- "voir" certaines choses qui peuvenc être vues · 20122 Milan Publication sous l icence de ta
ments, de la force créatrice de la pensée er de exclusivement par nous: cela ne veuc pa.~ dire longanesi & C.
la représentation symbolique que nous don- qu'elles n'exi.srem pas, mais tout simplemem [2) "Analyses de t'esprit" de Bertrand
nons d'ordinaircà la réalité. On ne peut sépa- que lem perception n'est pas publique. Ceue Russell - © C/E Giunti · G. Barbera, 1957

62 SGm • D~CEMBRE 2003


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e-mail : contact@stargatemagazlne-fr.com
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-
......- ...
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HfSSRGfS

T.;:- E

JoU TRIGUEIRINHO M lchllil HESEMANN Doc:teut Roget K. LEJR


UN APPEL À MESSAGES OVNIS ET
l 'HUMANITt IMPLANTS
&lut-~ Éllllla hjectlllre Le Mlralre D str OJil
D18 D 25 D 14,80
I'Wfoff tk Amtt (;hwi~IR
Atwnt l'""f"'' JJt L>r OmsJ:u,, Till~~
lfltrfWiwtfiJ'I tb C.lfll E. P4msJrfû,.
(( Il y 2 un appel, vctWll de
L cn ccctc nuit du 11 août
2001, plu< de quatre ccnu
cercle.ç mrgk~nr danlo un
U ne personne. rr:waillanr
pour la Défen<e aux
U.S.A., entend de curieux
connellations lointaines champ de hlé du sud de bruies, resscmblam ~ des émi,.
comrôlées par les Hiérarchies I'Anglerr:rre, couvr.ant une sions de radio, qui pro,·ienncnt
qui sone présentes sur cette superficie de 90 000 mè<rcs de l'intérieur de $1 mâchoir.
plan~te, pour que les êtres carrés. O.ns plw de quatre Elle sc fait faite une radi<>-

::·:,~:,.--:!::::
humain~ deviennent Un a"-ec: nacions du monde de tds phé- graphie den<aire et l'on décou·
leur hérit:~ge œ"niquc légiti- nomènes .~<: mul<iplient. LI vrc un petit objet tri>ngubirc
me. • 1figueirinho n'est désormais plus possible d'origine inconnue ...
- . moack
La Planète lerre franchit une de réduire c~s minmieux Une femme est témoin, une •aJ"'
écape unique dans son évolu- ouvragd d'art, ~l'œuvre d'im... nuit, de l'apparition d'un ovni - ca llliiDCIIICS dcs-
tion. L'Huntanhe! est malntc- postcurs, comme c.crcain.s le dans la vallée de San Fernando lppelâ aussi agroglyphn,
nanr prête ~ vivre des prétende m . (Californie) . Depuis ccc évène· at. compleus, "gravés" daru
changement~ in i rnaginablcs Mickaël Hc.emann, jou rna liste men r, un objet de pcdte lea champa avanr le.< moissons.
ju<que là. Jo~6 1rigueirinho, scicnlifiquc mon dia lemenr dimension, imposiblc: à ic.lenÜ· Depu11 1975 le phénomène
écrivain ct thercheur aurhcnci- connu pour sa pubJio1ions sur fier, est présent à l'intérieure de 1 Intensifie dans le monde
que, a vécu une expérience de le sujcc, enquête depuis plus de sa jambe... enuer. On en compte d<jà
rransmucation de l'âme ( walk dix ans sur cene enigme. JI a I.e jeune Percr observe daru le piUJ de 9000!
in) en 1988. rcnconué rous la témoins. ciel nocrume un objet lumi· Quds men gos cochés appor·
Oepuis, il )>="&" des informa· visité rous les conrincnts, attaf)·· neux é\•olu.anr au-dessw d·u.n rent-ils? Quelle inHuence leurs
rions sp<ciliqucs i propos des si row les • crops eudes. ou champ de paraces douca. Des prupribés 8krromagnériques
enjeux dc:s temps i '-en ir, et de "cercla de bit'", ces étranges années après, à l'occasion d'une ont-elin?
nncre coopécation pour que la figura groméuique, toujours banale radiographie, des méde- A c~ue nouvelle découvenc,
pl•nè<e Tc= reuou•e la place inexpliquées. Il cxpo;c ici ses cins consnuenr qu~u.n étrange le m>-.crre sépai.,.ir et la polémi·
qui lui revient au sein du convictions, appuyées par a:Ues objet se trouve profond<mcn< que cntrt scientifiques, musi..
C.osm"'. U a er66 un cemre spi· des meilleurs scientifiques de l,1 enkysté à l'intérieur des rissw ..:icru. mJ.thématiciens. scepri..
riruel au Brésil, qui manifeste la planète. Il n'esc plw possible de de $1 main gauche. que. ct du.rlat,\llS s'intensifie.
vie selon les lois •upérieures et nier la simulranéité entre la ré-.a- Lltuteur a prlsnut Jt"' travaux D'cminenu experts et sciemifi-
ol1 ceux qui s'engagem sur la lisation des "crops circla~ ct la dt rtthtrcht dttm lt mondt que) du mond e entier vous sou ..
voie d'évolution peuvenr se pré<ence de myscéricuscs bu<des mtitr, et il fut l'un dN upt mettent la !tOmme un ique er
prép2rer pour le changement de lumière (champs de plasma) t'hercheUrs am/ricains tboisis exclwivc de leurs recherches.
planétaire... <e déplaçant à grande vite»e ... commt poru-parok... Sont·ib Je. messages secrets...
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en collaboration avec le Docteur Antoine Achram

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ÉDITIONS SOIS 224PAGES

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