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CASTEL 24.

Romain 01/12/22

DST de CGE 1

Synthèse :
Corpus :
Les cinq documents sont liés par leurs rapports avec le foyer, ces
documents peuvent être séparés en deux catégories :

- La première sur le travail des femmes intégrera le document 2 : La vie


matérielle de Marguerite Duras en 1987 puis le document 5 : Les
femmes du sixième étage, de Philippe le Guay en 2011.
- La deuxième axée sur le bien que peut nous apporter notre maison et
comment l’obtenir et le préserver comportera le document 1 : La Villa
Malaparte de A Capri en mai 2021, le document 3 : Le minimalisme, ce
nouveau mode de vie qui a changé leur quotidien de Lola Talik en mars
2020 et le document 4 : Maman j’ai raté l’avion, phénomène
générationnel de Hadrien en décembre 2020.

Plan
I. Le travail des femmes à la maison .............................................................................................. 2

1) Les traditions familliales ......................................................................................................... 2

2) Le travail, emmancipation ou exploitation ? .......................................................................... 2

II. Se sentir bien chez soi ................................................................................................................ 3

1) La maison, un intérieur avant d’être une façade ? ................................................................. 3

2) Moins, c’est plus ..................................................................................................................... 3

3) La maison : un trésor à protéger ............................................................................................ 4

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I. Le travail des femmes à la maison
1) Les traditions familiales
Il est dit dans le document 2 qu’un foyer, qu’une maison, ce n’est
pas qu’un bâtiment, qu’un lieu, en effet, le foyer a deux niveaux : le
niveau physique, et le niveau émotionnel. Le premier représente les
murs, le toit, le matériel. Le deuxième, plus abstrait, représente la
hiérarchie de la maison, avec à son sommet très souvent, d’après le
texte, la femme. Plus encore, la femme « est » le foyer, c’est elle qui
dirige la maison et s’occupe et sert ses occupants par amour.

2) Le travail, émancipation ou exploitation ?


Le travail est-il source de liberté ? Le document 5 traite cette
problématique par l’exemple. Le texte nous raconte l’histoire d’une
riche famille parisienne et de leurs relations avec son personnel, un
groupe de jeunes femmes d’une classe sociale bien moins haute qui
tentent de monter l’échelle sociale par le travail. Hélas, cette échelle
n'est pas juste : en effet, elles sont traitées comme des animaux par
les différents membres de la famille. L’une des filles tente de grimper
encore de rang social en se mariant avec un célèbre coiffeur, mais elle
se retrouve à faire le même travail, simplement pour un autre patron,
voir même maître étant donné la situation de presque esclavage
présentée. Ainsi, le travail peut être le moyen d’accéder à la liberté,
mais dans certains cas comme celui-ci, il peut être une prison.

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II. Se sentir bien chez soi
1) La maison, un intérieur avant d’être une façade ?
Historiquement, l’agencement de nos demeures se faisait
surtout par rapport à l’esthétique extérieur, mais avec le temps, cette
tendance évolue plutôt vers un aménagement par rapport au confort
intérieur. En effet, bien que la beauté de notre demeure et son
intégration pour faire un beau paysage soit important, le
développement de notre confort devient une priorité puisque nous
profitons plus de notre maison en temps qu’habitant que de badaud
passant simplement devant notre demeure.

2) Moins, c’est plus


« Moins, c’est plus ! », cette expression n’a mathématiquement
pas de sens, et pourtant, dans le cadre du style de vie, ça veut tant
dire ! Cette expression est la description parfaite du minimalisme :
moins consommer et vivre avec moins, pour se concentrer sur ce que
l’on a et sur ce que l’on est. Le minimalisme c’est une réponse
apportée par de plus en plus de gens face à la surconsommation, c’est
mieux consommer pour moins consommer. Mais l’aspect écologique
n'est pas le seul bénéfice de ce mode de vie ! Moins consommer
implique donc de moins dépenser, et donc d’avoir plus pour ce qui
compte vraiment !

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3) La maison : un trésor à protéger
Même en étant le vilain petit canard de sa famille, le refuge de
notre chère Kevin reste sa maison, en effet, une fois seul dans sa
maison, il peut enfin souffler sans que l’on se moque de lui ou autre
traitement désagréable. Cependant dès que sa maison semble vide, de
nombreuses personnes désirent cambrioler la maison, et donc il doit
organiser la défense de son chez lui pour protéger son havre de paix.
En effet : bien que notre maison puisse t’être un havre de paix, de
nombreuses personnes désireront ledit havre de paix et ainsi le
protéger est nécessaire pour le conserver.

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Ecriture personnelle :
Sujet : Selon vous, quels sont d’une part les bienfaits et d’autre part les méfaits
d’une maison ?

Pour commencer, qu’est que l’on appelle « notre maison » ?


Notre maison est-elle quatre murs une porte et un toit ? Ce n’est pas
mon avis. Je pense qu’une « maison » c’est avant tout l’endroit,
physique ou non, dans lequel nous trouvons du réconfort, où nous ne
sommes plus dans le reste du monde, la place où nous n’avons pas le
sentiment d’être quelque part, mais bien le sentiment d’être là où l’on
est chez soi, à notre place.

Ainsi quels sont les bienfaits de cette « maison » ? Pour


commencer, quand on est chez soi, on n’est pas dans un espace public,
donc, nous sommes libres de vivre notre vie sans être jugé par le
monde extérieur. La maison nous apporte du réconfort, du repos, de
la sécurité, c’est un endroit qui nous sert d’ancre dans la réalité sans
laquelle on n'aurait nulle part où aller, personne vers qui se tourner.
Même si l’on ne possède pas de famille, un ami qui nous héberge chez
nous accorde d’avoir, même temporairement, un petit peu de chez
nous au sein du sien.

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Ce que l’on peut considérer comme des « méfaits » du chez soi,
peut venir de plusieurs facteurs :

Le manque ou l’excès de personnes qui vivent chez soi, en effet, vivre


à 30 personnes dans une maison de dix mètres carrés risque de rendre
la vie ensemble relativement difficile. L’inverse opposé peut procurer
un mal être dû à la solitude ou l’ennuie, le juste milieu à trouver
dépend de tout un chacun. De plus, si on ne s’entend pas avec les gens
avec lesquels on vit, nos vies quotidiennes seront d’autant plus
compliquées.

La sécurité est un autre facteur important. En effet, avoir une demeure


implique des risques dû à notre environnement autant sociale que
physique contre lesquels on doit protéger notre demeure, ce qui peut
être source de stress voir, si l’on n’y parvient pas, de malheur.

On peut également souffrir du désir d’avoir une demeure que l’on


estime comme meilleure que celle que l’on a actuellement, plus
grande par exemple.

Ainsi les « méfaits » de notre maison viennent essentiellement


de notre besoin du meilleur chez soi possible et non de la notion de
chez soi en elle-même.

6/6

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