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 1-Introduction 

:
Ce chapitre traite des conditions de confort thermique animal pour le cas d’un
poulailler, et pour le cas humain dans une habitation. Nous allons commencer par
définir ce que c’est que le confort thermique, les différents aspects liés au confort
thermique, ainsi qu’aux facteurs qui contribuent au confort des habitants dans une
habitation, et à la viabilité des poulets dans un poulailler.

je vais aborder différents aspects liés au confort thermique et aux facteurs qui y
contribuent. J'ai consulté plusieurs sources pour obtenir des informations
pertinentes. Voici un résumé des résultats de ma recherche
 2- Définition du confort thermique :
 Le confort thermique est assuré quand un équilibre est trouvé entre le corps
humain de chaque individu et les conditions d’ambiance. A l'intérieur d’une
construction, le confort thermique dépend essentiellement de 6 critères : la
température (de l’air et des murs), le métabolisme, l'habillement, le mouvement de
l'air et l'humidité. Dans ce qui suit, nous allons présenter les différentes conditions
de confort pour un poulailler et pour une habitation, pour le cas de la saison
chaude (été) et de la saison froide (hiver)
Pour bien comprendre la notion de confort thermique et comment se sentir bien…”
 2-1- Les Conditions de Confort pour un poulailler
 1-Pour le cas été
En période chaude, il est important d’être vigilant à quatre facteurs.

 La température. Il n’est pas souhaitable de ne pas dépasser 30 à 31 °C. Des


essais de l’AFSSA Ploufragan [1] ont montré que des températures n’excédant
pas ce seuil ne sont pas préjudiciables aux animaux en fin de bande, à condition
qu’ils soient bien ventilés (qualité de l’air, vitesse d’air) et qu’ils puissent
récupérer et consommer dans la nuit.
 L’humidité de l’air ambiant. Plus cette humidité est faible, plus l’efficacité de
la thermorégulation est bonne. À l’inverse, l’air ne doit pas être trop sec, car le
niveau d’empoussièrement augmente avec des risques respiratoires. Il faut donc
conserver un minimum d’humidité dans l’air. La valeur supérieure à ne pas
dépasser se situe aux environs de 70 % à la température de 30°C.
 Les vitesses d’air. La vitesse d’air permet à l’animal d’augmenter ses pertes de
chaleur par convection forcée. Une vitesse d’air de 1m/s utilisée à une
température de 30°C permet de limiter les taux de mortalité lors d’une
augmentation de la chaleur. En dessous de 30°C, une augmentation de la vitesse
d’air de 0,1 m/s équivaut à une baisse de la température vécue par l’animal
emplumé de 1°C.
 Le renouvellement de l’air. Le renouvellement agit sur la qualité de l’air et
notamment l’apport en oxygène, le niveau d’hygrométrie relative et la teneur en
ammoniac mais il intervient aussi sur la température intérieure, les vitesses d’air
et donc la thermorégulation. Il est préconisé d’avoir un taux de renouvellement
d’air de ….. [2].

[1] http://www.cawjijel.org/fr/agriculteur/355-la-volaille-regule-difficilement-les-
fortes-temperatures?
fbclid=IwAR3oT64afGMax_Pq0UVmKcIfAzlwpiISexeOUvxBwzvoLYvNUzypsBb81kQ
[2]………………………………………………………………………..

 2-pour le cas hiver [4]: En hiver, les poules ne raffolent pas du froid, de la


pluie et du vent. Il est donc important de s'assurer que le poulailler soit confortable,
bien isolé du froid et des courants d'air, et bien étanche contre l'humidité ambiante.

 1- Les températures : Les poules sont capables de supporter le froid si


leur poulailler est bien isolé, et si les poules sont nourries en conséquence.
Cependant, la température de l’air ne doit tout de même pas baisser
moins que….. °C.
 2- l’humidité : le danger plus que le froid. Avant tout les poules doivent
rester au sec, elles supporteront beaucoup mieux l’hiver ainsi. La litière
doit être régulièrement contrôlée pour s’assurer qu’elle est sèche, et doit
être doublée pour qu’elle emmagasine mieux la chaleur. L’humidité
relative de l’air ne doit pas dépasser les 70% pour une viabilité des
poulets.
 3-courants d’air : Les parois doivent être doublées avec des plaques de
polystyrène, du plastique à bulles, et son ensemble doit être recouvert
d’une grande bâche d’hiver, pour leur faire comme une tente.
Pour autant, les ouvertures ne doivent pas être bouchées, car l’air doit
toujours circuler dans le poulailler, pour la bonne santé des poules.

[4] https://www.gammvert.fr/conseils/conseils-de-jardinage/le-poulailler-en-
hiver)

 2.2. Les Conditions de confort thermique dans une


habitation pour les cas été /hiver :
 Le confort dans une habitation dépend du maintien de la température
intérieure souhaitée quelle que soit la saison. Les conditions de réussite
du confort d’hiver comme d’été sont : isolation performante de toutes
les parois (y compris les fenêtres) + ventilation contrôlée pour une
maîtrise de l'humidité + protections solaires extérieures (création
d’ombrage) + inertie thermique du bâtiment
 .les paramètres du confort thermique :
 • La température de l'air
 La vitesse de l'air
 • Le taux d'humidité

 2.2.1. Niveau de température : les valeurs recommandées [5]


 Cas été :

 Cas hiver :

 2.2.2. Niveau de l’humidité : les valeurs recommandées


(mêmes conditions pour l’été et hiver)

 2.2.3. Vitesse de l’air : les valeurs recommandées (mêmes


conditions pour l’été et hiver)

[5] https://energieplus-lesite.be/evaluer/confort-thermique7/evaluer-le-confort-
thermique-d1/

 1- La température ambiante : En climat sec


 • Une température élevée est plus supportable pour le corps humain
car l’évaporation par sudation au niveau de la peau est plus efficace.
 • Une température froide dans un environnement sec est vite ressentie
comme glaciale
 La vitesse des courants d'air: Les courants d’air provoquent une
sensation de froid sur la peau en favorisant l’évaporation de la
transpiration Les mouvements d'air favorisent les échanges de chaleur
par convection.
 Dans le cas d’une vitesse de l’air de 1 m/s, la baisse de température
ressentie est de 4°C pour une température ambiante de 10°C.
 Mais elle n’est que de 1°C s’il fait 30°C. Cela signifie que les courants d’air
sont perceptibles et gênants en hiver à partir de 0,15m/s.
 Le taux d'humidité : À l’intérieur des maisons, l’air est asséché en
hiver lorsque le chauffage est allumé. En général, le taux d’humidité de
l’air est d’environ 25%, et il est alors nécessaire d’ajouter de l’humidité
pour ne pas ressentir de la gêne.
 En revanche, dans les pièces d’eau, après une douche ou lorsque l'on
cuisine, l’humidité dans l’air peut atteindre 85%, ce qui est excessif. Il est
alors nécessaire d’éliminer cette vapeur d’eau : c’est le rôle de la
ventilation.
 (3 : www.systemed.fr)
 3-2-pour le cas été :
 1- La température ambiante : En été, l’humidité limite l’évaporation
de la transpiration : la chaleur est donc ressentie comme plus étouffante.

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