Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
THERMIQUE D’UNE
CONSTRUCTION BOIS
Formation du 29 au 31 Janvier 2014
Étude Thermique
Thermographie
Infiltrométrie
Audit énergétique
Formation
Programme :
Tour de table :
Contexte énergétique et
Environnemental
Les politiques énergétiques
L E C O N T E X T E É N E R G É T I Q U E E T E N V I R O N N E M E N TA L
109
52,9 55,7
3 767
Million Tep
Autres
*Source: ADEME
240
L E C O N T E X T E É N E R G É T I Q U E E T E N V I R O N N E N TA L
Le bâtiment et les émissions de Gaz à Effet de
Serre (GES)
Émissions annuelles: Répartition des émissions de
GES par secteur d’activité*
120 Mt CO²
33 Mt de carbone
0,5 t /pers
13%
26% Transport
21% Industrie
19% Agriculture
21% Habitat
Energie
*Source: ADEME
L E C O N T E X T E É N E R G É T I Q U E E T E N V I R O N N E M E N TA L
Le bâtiment , trop
premier
grand
consommateur
consommateur
d’énergie
La chaleur : La transmission
LES BASES DE LA THERMIQUE
L’isolation, le principe
Pourquoi isoler ?
Pourquoi isoler ?
Pourquoi isoler ?
Le Confort Thermique:
C’est la différence entre la température des parois et la température de l’air.
Au-delà de 2 à 3°C d’écart l’inconfort se fait ressentir.
LES BASES DE LA THERMIQUE
Pourquoi isoler ?
Exemple:
LES BASES DE LA THERMIQUE
Notion de base
La résistance thermique
Mesure la capacité intrinsèque d’un
matériau à résister au flux de chaleur
(ou de froid) entre ces deux faces
R (m²K/W ou m²°C/W)
Les résistances thermiques
s’additionnent
Plus le R est grand plus la résistance
thermique est grande
L E S PA R O I S O PA Q U E S
Notion de base
Comment évaluer la qualité thermique d’un isolant ou d’un système d’isolation ?
Définition:
La conductivité thermique λ est le flux de chaleur qui traverse 1m² d’une paroi d’ 1
m d’épaisseur lorsque la différence des températures entre les deux faces est de 1°
λ est exprimé en Watts par mètre et par degré d’écart (W/m.°C ou W/m.°K)
L E S PA R O I S O PA Q U E S
Calcul de base
Calcul de la résistance thermique
R=e/λ
e = épaisseur du matériau en mètre
λ = (Lambda) conductivité thermique du matériau
Notion de base
U (W/m².°C) = 1 / R
Exemple: 1 : 3.33 = 0.30 W/m².°C
L E S PA R O I S O PA Q U E S
Notion de base
En conséquence:
Notion de base
Autres exigences
L’aération du logement
Fenêtre avec entrée d’air obligatoire incluse dans les pièces
principales (hors pièces d’eau et cuisine)
Sauf en cas de présence:
- D’une ventilation double flux
- D’autres entrées d’air dans les pièces
Le confort d’été
Mise en place de protections solaires (Volets ou stores
extérieurs)
L E S PA R O I S O PA Q U E S
Notion de base
La RT 2005 et 2012
Consommation d’énergie primaire (Cep)
Consommation globale d’énergie inférieur à la
consommation de référence calculée (Cep < Ceprèf)
Limite supérieur de consommation pour le résidentiel
(Cep < Cepmax)
Confort d’été (Tic)
Température maximale atteinte en été inferieur à la
température de référence calculée (Tic < Ticrèf)
Caractéristiques thermiques minimales (2005 uniquement)
Respecte de gardes fous pour les parois et les
systèmes (Ubât < Ubâtrèf)
L A R È G L E M E N TAT I O N T H E R M I Q U E F R A N Ç A I S E
* De références
L A R È G L E M E N TAT I O N T H E R M I Q U E F R A N Ç A I S E
Toiture
Combles et rampants 0,20 0,25 0,28
Toiture terrasses, plancher haut 0,27 0,27 0,34
Mur
Mur extérieur 0,36 0,40 0,45
Mur sur local non chauffé (LNC) 0,36 0,40 0,45/b
Plancher bas
Vide sanitaire ou LNC 0,27 0,36 0,40
Terre plein 0,27 0,36 0,36
Plancher extérieur ou parking collectif 0,27 0,36 R ≥ 1,70
L A R È G L E M E N TAT I O N T H E R M I Q U E F R A N Ç A I S E
Chaudière micro-cogénération
L A R È G L E M E N TAT I O N T H E R M I Q U E F R A N Ç A I S E
RT2012, LesBBC-effinergie
exigences à respecter
*Aepenr ≥ 5 kWhEP/m².an
L A R È G L E M E N TAT I O N T H E R M I Q U E F R A N Ç A I S E
Attestation à établir
Prise en compte du Bbio
au dépôt du Étude au format .Xml
permis de construire
OCCUPATION
2ème Objectif = adéquation d’utilisation
• Régulation et système de chauffage optimisés
• Comportement économe
HABITAT CHAUFFAGE
Prise en compte du climat
Climat océanique
Climat semi-océanique
Climat continental
Climat montagnard
Climat Méditerranéen
Le Bioclimatisme
Vitrage Uw Fs
La transmission lumineuse
Le choix des vitrages
TL = Transmission Lumineuse
Rapport entre le flux lumineux entrant dans le local (par transmission et diffusion) et le flux
total reçu sur le vitrage.
Plus TL est élevé, plus le vitrage laissera passer la lumière naturelle.
RL = Réflexion Lumineuse
Flux lumineux réfléchi vers l'extérieur.
Plus RL est élevé, plus le vitrage aura un aspect réfléchissant ou « miroir » vu de l'extérieur.
TE = Transmission Énergétique
Quantité d'énergie transmise dans le bâtiment.
AE = Absorption Énergétique
Quantité d'énergie absorbée par le vitrage. Coefficient déterminant pour évaluer le risque
de casse thermique.
Plus le coefficient est élevé, plus le vitrage monte en température
RE = Réflexion Énergétique
K = Déperdition
FS = Facteur Solaire
Rapport entre l'énergie entrant dans le local (par transmission et diffusion) et l'énergie
totale reçue sur le vitrage.
Plus FS est bas, plus le vitrage sera performant pour « filtrer » la chaleur du soleil.
S = Sélectivité = TL / FS
Les vitrages les plus performants du marché ont une sélectivité de 2.
Plus S approche 2, alors le vitrage est performant en termes de contrôle solaire, c'est-à-
dire, meilleur compromis entre lumière naturelle entrante et chaleur naturelle « bloqué ».
Les menuiseries
• L’isolation
– Acoustique:
» AC1: R ≥ 28 db
» AC2: R ≥ 33 db
» AC3: R ≥ 36 db
» AC4: R ≥ 40 db
– Thermique: de Th5 à Th11
» 4/16/4 TBE
» Argon
» Warm edge
Principe été
Le Bioclimatisme
1,38×𝑒
Déphasage (h)=
√α
Le Bioclimatisme
Bâtiments de bureaux :
CepMax= 30 x Mctype x (Mcgéo + Mcalt + Mcsurf + MMcGES)
BBC-effinergie +
Améliorer l'étanchéité à l'air du bâtiment en durcissant
l'exigence de perméabilité à l'air
0,8 m3/h.m² en immeuble collectif d'habitation en cas de mesure par
échantillonnage.
1,2 m3/h.m² en tertiaire de moins de 3 000 m².
Il est possible de mettre en place une démarche qualité « Annexe VII ».
Pour les maisons individuelles, l'exigence ne change pas et reste à 0,6
m3/h.m².
Améliorer l'étanchéité à l'air du bâtiment en formant les
entreprises intervenant sur le chantier
Tous les corps d'Etat concernés par la perméabilité à l'air doivent avoir suivi
une formation pratique à la mise en œuvre de l'étanchéité à l'air par l'une
des formations agréés Effinergie.
BBC-effinergie +
• Améliorer l'efficacité des systèmes de ventilation et la qualité de l'air en
rendant obligatoire la mesure de la perméabilité des réseaux
• Rendre obligatoire une évaluation des consommations mobilières, les
autres usages de l'énergie (médias, électroménager...)
• Suivre les consommations d'énergie dans les bâtiments à usage
d'habitation et délivrer l'information aux utilisateurs
• Obligation de mise à disposition d’un guide d’usage détaillant l’utilisation,
l’entretien et la maintenance des équipements et du bâti permettant de
préserver la pérennité énergétique.
• ….
http://www.effinergie.org/index.php/les-labels-effinergie/1048-le-label-
effinergie
BBC-effinergie
• Organismes certificateurs:
BBC-effinergie
Exemples:
La MAISON
LA maison passive
PASSIVE
Définition:
• Maison « sans » chauffage
• Très basse consommation
• Base: Apport solaire /
interne
• Très forte isolation
• Peu/pas de ponts
thermiques
• Étanchéité à l’air renforcé
• Maîtrise de la ventilation
Passiv’haus Institut
• 3 grandes exigences:
1. 15 kWheu/m²SHAB.an pour le chauffage
2. n50 ≤ 0,6 h-1
3. 120 kWhep/m²SHAB.an total (électroménager compris)
Température de référence : 20°C
Pondération de la T° extérieur en fonction de l’altitude 0,6°/100 m et de la zone
Logiciel de calcul : PHPP méthode EnEv
Passiv’haus Institut
• Conversion en énergie primaire:
Énergie Coefficient
Gaz / Fioul / Charbon 1,1
Électricité 2,7
Bois 0,2
Solaire thermique 0
Solaire photovoltaïque 0,7
-Avantages :
-Lambda
-Prix
-Variétés des formats et des épaisseurs
-Avis technique sur tous les produits
-Mise en œuvre (découpes, formats disponibles, …)
-Léger (transports, etc.)
-Résistance au feu
-Inconvénients :
-Effets sur la santé (allergies, cancérigènes ?,etc.)
-Comportement à l’eau et à la vapeur d’eau
-Faible inertie thermique (matériaux léger)
-Très peu de densité (20 à 25 kg/m3)
-Avantages :
-Possibilité de souffler la ouate
-Produit adapté à l’ossature bois
-Produit écologique
-Bon comportement à l’eau et a la vapeur d’eau
-Produit dense (50 à 80kg/m3) => Bon déphasage
-Très bonne acoustique
-Inconvénients :
-Prix
-Délais d’approvisionnement longs
-Gamme réduite
-Tenue au feu?
-Découpe
-Tassements (insuflation)
-Avantages :
-Produit « écologique »
-Bon comportement à l’eau (hygroscopique)
-Résistance naturelle aux nuisibles (rongeurs …)
-Inconvénients :
-Gamme réduite
-Tenue au feu ?
-Découpe
-Tassements (durée dans le temps ?)
-Lambda élevé
- Densité 25 à 80kg/m 3
-Avantages :
-Produit « écologique »
-Bon comportement à l’eau (hygroscopique, imputrescible)
-Bon comportement au feu (M1)
- Résistance naturelle aux nuisibles (rongeurs …)
- Densité 80 à 120kgm3 -> déphasage, acoustique
-Inconvénients :
-Gamme réduite
-Prix
-Rareté
-Prix indicatif au m² : : Liège en PNX EP 120MM 1Mx1M: 30,31€ HT / m²
Les autres
• Le lin: proche du chanvre
• La laine de coco: Cher et pas locale
• Coton: très bon face au feu et eau
• Roseaux: toiture ou milieu humique
• Mouton: le plus vieux isolant, écheveaux
• La paille: qualité/prix
Les polystyrènes
-Formats disponibles : Panneaux, vrac (billes)
-Dimensions courantes : 1200mm x 2600mm
-épaisseurs : de 20mm à 300mm
-Coefficient lambda: de 0,028 W/m.K (extrudé) à 0,039 W/m.K (expansé)
-Avantages :
-Prix
-Performance thermique
-Avis technique
-Léger (transports, etc.)
- Imputrescible
-Inconvénients :
-Énergie grise (450 à 850 kWh/m3)
-Effets sur la santé (allergies, cancérigène et mutagène ?etc.)
-Comportement à la vapeur d’eau
-Très faible inertie thermique (matériaux léger)
-Mise en œuvre, découpes…
-Acoustique
-Comportement au feu M1 à M3
-Avantages :
-Prix
-Performance thermique
-Avis technique
-Léger (transports, etc.)
- imputrescible, peu incompressible
-Inconvénients :
-Énergie grise (1000 à 1200 kWh/m3)
-Effets sur la santé (allergies, cancérigène et mutagène ?etc.)
-Comportement à la vapeur d’eau
-Très faible inertie thermique (matériaux léger)
-Mise en œuvre, découpes…
-Acoustique
-Comportement au feu M1 à M3
-Avantages :
-Prix
-Performance thermique
-Avis technique
-Léger (transports, etc.)
-Comportement au feu
-Inconvénients :
-Énergie grise (600 kWh/m3)
-Comportement à la vapeur d’eau
-Très faible inertie thermique (25kg/m3)
-Prix indicatif au m² :
PARE VAPEUR ET PARE PLUIE
PARE-VAPEUR & PARE-PLUIE
La structure idéale :
Les DTU (série 40) décrivent la mise en place éventuelle d’un écran sous
toiture, souple ou rigide, situé entre le comble et la face interne des éléments de
couverture.
Note: tous les écrans de sous toiture de sont pas des films pare-pluies.
PARE-VAPEUR & PARE-PLUIE
ou Sd ≤ 0,18m
PARE-VAPEUR & PARE-PLUIE
SD ≥ 18 m
PARE-VAPEUR & PARE-PLUIE
• La perméance:
C’est la quantité de vapeur d’eau (gaz) traversant 1m² de matériau en 1h
pour une différence de pression partielle de 1mm.Hg (mercure) entre les
deux faces.
Elle s’exprime en g/m².h.mmHg
• A une température
donnée l'air ne peut
contenir qu'une
quantité de vapeur
d'eau maximum appelé
poids de vapeur
saturante
PARE-VAPEUR & PARE-PLUIE
Logement
1,7 m3/h.m² 1,2 m3/h.m² 1,3 m3/h.m² 1 m3/h.m² 1 m3/h.m²
collectif
1,7 m3/h.m²
bureaux, hôtels, 1,2 m3/h.m²
1,7 m3/h.m² - 1,7 m3/h.m² Valeur par défaut
restauration …
3 m3/h.m²
3 m3/h.m² 2,5 m3/h.m²
Autres usages - - Valeur par défaut
A L’ ÈTRANGER
Logement collectif
Surface équivalente de fuites (AL)
Référence feuille A4
Q4 = 1,8 m3/h/m2
AL = 654 cm2
Niveau RT 2005
référence
Q4 = 0,8 m3/h/m2
AL = 282 cm2 Pour une maison
Niveau BBC / RT
2012
individuelle
Q4 = 0,6 m3/h/m2 • Surface : 110 m2
AL = 210 cm2
• V = 275 m3
• AT bât = 196 m2
Niveau Passif
Q4 = 0,16 m3/h/m2
AL = 56 cm2
QU’EST CE QU’EST
L’ÉTANCHÉITÉ À L’AIR ?
Pourquoi doit t’on être étanche à l’air ?
DÉFINITION :
Assurer un bon niveau d’étanchéité à l’air pour un bâtiment, c’est être capable
de maîtriser les flux d’air qui circulent à travers des orifices volontaires
(bouches de ventilation et entrées d’air) et limiter les flux incontrôlés, non
prévues lors de la construction, qui peuvent être source de pathologies,
d’inconfort, et de gaspillage d’énergie.
2. La conservation du bâti
3. L’hygiène et santé (qualité de l’air intérieur)
4. Le confort thermique et acoustique
5. La facture énergétique
6. La sécurité des personnes (proximité industriel)
LES PHÉNOMÈNES MOTEURS
L’action du vent
La VMC
Le tirage thermique
LES PHÉNOMÈNES MOTEURS
L’action du vent :
Une surpression sur les
façades exposé au vent
favorise l’infiltration d’air et
crée une dépression sur les
autres favorisant une
exfiltration d’air.
Le tirage thermique :
La différence de pression de
l’air chaud et de l’air froid
favorise le déplacement des
masses d’air entrainant une
infiltration ou une
exfiltration d’air parasite.
H x (Text – Tint)
LES PHÉNOMÈNES MOTEURS
La ventilation :
Nb de pièces 1 2 3 4 5 6 7
Qm mini m3/h 35 60 75 90 105 120 135
Qm mini cuisine 20 30 45 45 45 45 45
Nb de pièces 1 2 3 4 5 6 7
Qm mini m3/h 10 10 15 20 25 30 35
LA CONSERVATION DU BÂTI
Forte perméabilité
Faible perméabilité
Augmentation du risque de condensation +
Meilleur contrôle des débits d’air volontaires
Mauvaise ventilation de l’habitat
LE CONFORT THERMIQUE ET ACOUSTIQUE
20 cm d’isolation travaillent
seulement comme 2 cm
LA CONSOMMATION D ’ÉNERGIE
Hygro B
Double Flux
LA CONSOMMATION D ’ÉNERGIE
Pour une maison individuelle, 10% à 20% de réduction sur le Cep en passant de la
valeur par défaut 1.3 m3/h/m² à 0.3 m3/h/m²
Etude de cas
202
III. PHASE ETUDE ET SUIVI
Etude de cas
203
MÉTHODOLOGIE DE CONCEPTION
206
Support Mémento Mininfil
207
Les différentes liaisons à
traiter
1 – Liaison Mur / Plancher bas
2 – Liaison menuiserie / Appui
3 – Liaison menuiserie / Linteau
4 – Liaison menuiserie / Tableau
5 – Paroi courante
6 – Traversée de paroi
7/9 – Liaison mur / Toiture terrasse
8 – Traversée de toiture terrasse
10 – Liaison mur / Rampant
11 – Traversée de toiture
12 – Liaison comble / Rampant
13 – Liaison fenêtre de toiture
14 – Liaison mur / Bloc baie ou VR
15 – Liaison mur / Plancher intermédiaire
16 – Liaison porte d’entrée / Linteau
17 – Liaison porte d’entrée / Seuil
18 – Traversée de plancher bas
19 – Trappe d’accès gaine technique
20 – Traversée de plancher intermédiaire
208
Mémento Mininfil
209
Rédaction des CCTP
Les prestations « étanchéité à l’air » doivent être
intégrés pour chaque lot.
Exemples
Lot cloisons – doublages
Spécifications particulière étanchéité à l’air
L’entrepreneur devra joindre la totalité des joints de panneaux OSB avant de commencer
les doublages à l’aide d’un ruban adhésif type RAPID CELL de chez PROCLIMA ou équivalent.
210
Phase conception
Quelques règles simples de conception
Chaque pénétration de l’enveloppe constitue une fuite potentielle
Limiter les pénétrations inutiles pénétration unique pour chaque
réseau (eau, téléphone, électricité, EU)
Privilégier un emplacement des locaux techniques dans l’espace
chauffé
Ne pas intégrer les locaux ventilés dans le volume étanche
Cheminement simple des ventilations
Espacer les réservations pour les traversées de planchers et de murs
Préférer des vides techniques en murs et plafonds pour la distribution
des gaine techniques Plan d’étanchéité protégé
LA MISE EN ŒUVRE
Etanchéification liaison
charpente sur maçonnerie
Source Proclima
Source Proclima
LA MISE EN ŒUVRE
Source Proclima
LA MISE EN ŒUVRE
Les fuites d'air parasites sont réparties de manière diffuse au droit des points
singuliers de l’enveloppe
OÙ SONT LES FUITES ?