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Mots et contexte

1. Les mots « indices » ont été soulignés, coche la bonne signification.

A. Toute la journée, il brocardait ses amis... Il reprochait au premier son nez trop court, il trou-
vait les habits du second trop ceci ou trop cela, le troisième avait l’air d’un vieux hibou, le
quatrième parlait comme un âne... bref chacun était ridicule. Aussi, ses amis finirent-ils par
s’en éloigner.
 envier  se moquer  utiliser  appeler

B. Il enfourcha son destrier. Bien calé sur la selle et guidant fermement l’animal de la main
droite, il partit au galop au cœur de la bataille.

 un âne  un chien de chasse  un bœuf  un cheval

C. Son bateau était si fragile qu’il se contentait de caboter : point de grands voyages en
mer, point d’océans déchaînés à affronter, point de ces longues semaines sur les eaux. Il se
contentait de suivre les côtes, de se déplacer de port en port, d’avancer jour par jour, à
proximité de l’abri des golfes, des baies ou des villages de pêcheurs qui pouvaient l’abriter
lorsque le temps devenait par trop menaçant.
 naviguer  rouler  visiter  regarder

D. Sans que rien ne l’annonce, il fut pris d’une démence incompréhensible, il se mit, sans
aucune raison, à crier, à sauter, à danser puis à tout casser.
 joie  folie  tristesse  calme

E. « Où diable es-tu allé te mettre ? demanda ma mère, ça fait une heure que je m’échine à
frotter cette chemise et je ne peux pas enlever ces taches. Je suis épuisée ! »
 avoir envie  souhaiter  se fatiguer à  courir

F. Août. Les vacances. Le village calme et tranquille avait bien changé. De nombreux
estivants avaient choisi ce lieu pour sa tranquillité. Mais leur présence amenait une grande
agitation.
 festivals  animaux sauvages  écoliers  vacanciers

G. Les terrassiers, en ouvrant une tranchée dans la cour de cet immeuble ancien, ont
exhumé d’anciennes colonnes qui dormaient là depuis peut-être des siècles !
 déterré  enfoui  planté  construit
Mots et contexte
2. Souligne les mots « indices » puis coche la bonne réponse.

A. Son père est un simple fellah. Du lever au coucher du soleil, il travaille la terre. Il sème, il
arrose, il arrache les mauvaises herbes. Il taille, il coupe les arbres fruitiers. Il transporte l’eau,
la terre, les cailloux. Malgré ce travail énorme et épuisant, il a du mal à nourrir sa famille. Le
propriétaire lui prend presque tout.
 bucheron  fleuriste  paysan  éleveur

B. Elle n’était pas très fière, elle savait qu’elle allait se faire gourmander. Mais quelle idée
aussi de vouloir essayer le vernis à ongles de sa maman ! Comment l’enlever ?
 se faire féliciter  se faire gronder  se faire emprisonner  se faire renvoyer

C. Ils lancèrent le grelin. Celui-ci fut saisi par les hommes qui attendaient sur la rive. Une di-
zaine d’hommes vigoureux, aux bras musclés, s’en emparèrent et, poussant des cris pour
s’encourager, tous tirèrent, tirèrent... Le grelin se tendit, lentement le bateau se mit à bou-
ger puis à glisser doucement sur l’eau du canal.
 corde  boulet  ancre  bouée

D. Ils étaient tous aussi impécunieux les uns que les autres : les premiers n’arrivaient pas à
payer leur loyer et devaient déménager sans cesse, les seconds étaient couverts de dettes.
Quant aux derniers, ils ne savaient pas le matin ce qu’ils pourraient manger dans la journée.
Le plus souvent, poches et portefeuilles étaient désespérément vides.

 difficiles  riches  fainéants  pauvres

E. « Tais-toi ! N’insiste pas. Tes paroles sont totalement ineptes : elles n’ont ni queue ni tête...
Personne ne peut les comprendre ! »
 bêtes  intéressantes  intelligentes  utiles

F. Toute la nuit, les lourds grincements avaient ajouté à l’inquiétude. Au matin, les habitants
de la ville assiégée avaient découvert de l’autre côté des murs les terrifiants mangonneaux.
Ils savaient ce que cela voulait dire. Ils comprenaient que la fin était proche, que la ville,
leur ville, était perdue. Dans quelques heures, des blocs de pierre, des rochers allaient tra-
verser l’air en sifflant pour s’écraser sur les maisons, ébouler les murs. Déjà, la troupe adverse
emplissait de projectiles les cuillères gigantesques pendant que des soldats s’affairaient à
tendre les cordes.
 tractopelles  trolls  catapultes  canons
Mots et contexte
3. Souligne les mots « indices » puis réponds à la question
A. Son oncle d’Amérique existait bien. C’était un orpailleur qui, du matin au soir, chaque jour,
lavait les sables des rivières pour en retirer les paillettes de métal précieux. Il était devenu ainsi
immensément riche.
Qu’est ce qu’un orpailleur ?
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B. Il était outré par son comportement. Comment pouvait-on se conduire de cette façon en
public ? Où étaient passées les bonnes habitudes, la correction ? Il ne pouvait accepter. Il dé-
cida d’intervenir.
Que veut dire « outré » ?
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C. Elle ne semblait jamais gaie. En toute situation elle avait le regard morne. Pour ma part je
ne l’avais jamais vue sourire. Je n’ai jamais su ni compris pourquoi elle avait toujours cet air-là.
Que veut dire « morne » ?
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D. Attiré par le bruit du combat, il approche pour découvrir un molure enserrant le chien. Le
molure s’était enroulé autour du pauvre animal terrifié, il le serrait entre ses anneaux, l’étouf-
fait, se préparait à le tuer avant de l’avaler, tout en sortant sa langue fourchue de sa gueule
menaçante.
Qu’est ce qu’un molure ?
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E. Le gardien appelait les prisonniers nominativement :


« . . . Dupuis ? Présent !
... Garlin ? Présent !
... Henriot ? Présent ! »
C’est alors qu’il comprit que la fuite de son ami allait être découverte.
Que veut dire « nominativement » ?
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F. Depuis deux semaines, ils cueillaient les fruits et aujourd’hui la récolte était terminée. Ils al-
laient pouvoir porter l’olivaison à l’huilerie voisine où tout serait pressé.
Qu’est ce qu’une olivaison ?
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Mots et contexte
4. Réponds à la question posée.

A. Il fut attiré par un attroupement. Il s’approcha, et vit que le groupe d’enfants regardait un
pugilat. Deux d’entre eux s’affrontaient et les coups pleuvaient.
Qu’est ce qu’un pugilat ?
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B. Il se met à le pasticher. Il parle comme lui, avec les mêmes intonations, avec les mêmes
gestes des mains. Tout le monde écoute avec intérêt et se met à rire : il y a vraiment de quoi
se tromper !

Que veut dire « pasticher » ?


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C. Il souffrait d’une véritable phobie des chats. Il suffisait qu’il en aperçoive un seul pour se
mettre à blanchir, transpirer, trembler ! Une vraie panique s’emparait de lui, pire que si le dia-
ble en personne se fût trouvé devant lui.

Qu’est ce qu’une phobie ?


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D. Il se plaignait de violents maux de tête. L’autre lui préconisa un remède qu’il tenait - du
moins l’affirmait-il - de son arrière-grand-mère et qui devait être efficace.
Que veut dire « préconiser » ?
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E. Méchamment, elle se gaussait de lui : il était trop ceci et pas assez cela... chacun de ses
actes provoquait rires et moqueries. Ce n’était plus supportable !
Que veut dire « se gausser » ?
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F. C’est un véritable original. Ses voisins le trouvent bien curieux. Toujours occupé à on ne sait
trop quels rêves, il marche en soliloquant. Vous le croisez dans la rue, il semble être en gran-
de discussion, parlant fort, questionnant, riant, s’étonnant à voix haute. Vous regardez bien,
pas de doute, il n’y a personne pour lui répondre, il est bien seul. Étonnez-vous alors qu’il fas-
se un peu peur aux enfants !
Que veut dire « soliloquer » ?
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