Mots et contexte

1. Les mots « indices » ont été soulignés, coche la bonne signification.

A. Il lui répondit sèchement, désobligeamment. Devant ce ton pénible et méchant, son ami
fut peiné.
 rapidement  désagréablement  sans réfléchir  aimablement

B. À la fin du repas, lorsqu’on apporta la note, chacun sortit son porte-monnaie pour payer
son écot.
 pain  dette  économie  dépense

C. Je n'ai jamais connu quelqu'un d'aussi flegmatique que Théodule. Quoi qu'il arrive, son vi-
sage ne montrait aucune émotion. La foudre aurait pu tomber à ses pieds, il n'aurait pas
bougé d'un pouce. Si on lui disait de se montrer plus énergique, il ne répondait pas.
Quand, parfois, on finissait par s'énerver devant son manque total de réaction, il se conten-
tait de sourie! Quel drôle de zouave, ce Théodule !
 fatigué  paresseux  très calme  énervé

D. Le chasseur avait soigneusement retiré la peau de l’animal, mais des petits morceaux de
viande y étaient encore attachés. Il fallait donc l’écharner entièrement avant de transfor-
mer cette peau en cuir.
 nettoyer  couper  ranger  soigner

E. Le wagonnet remontait du fond de la mine. Ils avaient durement travaillé et celui-ci était
rempli de morceaux de charbon : aussi bien de légers débris noirs que des gaillettes cou-
leur de nuit, lourdes, épaisses.
 cailloux  sable  morceaux de charbon  branches

F. Il avait provoqué l’accident par son manque d’attention. Une fois de plus, il n’avait fait au-
cunement attention à ce qui l’entourait. Aussi, ne fut-il pas étonné quand la police lui assu-
ra que la responsabilité des dégâts et des blessures lui incombait en totalité.
 appartenir  ne pas être son problème  être annulé

G. Il était incapable de manger sans maculer ses habits : le jaune d’œuf s’étalait sur les ge-
noux du pantalon, le vin marquait sa chemise, ses manches étaient couvertes de sauce...
Quel spectacle répugnant !
 porter  peindre  nettoyer  couvrir de tâches
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2. Souligne les mots « indices » puis coche la bonne réponse.
A. Au commandement, les soldats épaulèrent leur chassepot. Quand l’ennemi fut à portée,
mille balles traversèrent l’air pour frapper les assaillants.
 manteau  gilet  couteau  fusil

B. Le paysan avançait rapidement dans le champ. Sa main gauche saisissait fortement les
épis de blé pendant que, dans un mouvement large de la droite, son étrapoire les coupait.
 pelle  râteau  faucille  pioche

C. On aurait dit que le prince Romuald n'avait jamais appris à compter. Tout ce qu'il désirait,
il l'achetait. Vêtements, parfums, chaussures, bijoux... rien n'était trop beau ni ' trop cher pour
lui. Il achetait, il achetait en permanence comme si sa bourse n'avait pas de limite. Le roi,
son père, lui reprochait d'être trop prodigue, mais rien n'y faisait. Il était sourd aux reproches
et l'argent coulait à flots.
 provocateur  dépensier  gentil  brillant

D. Depuis qu’il avait lu un de ses articles, il s’était embéguiné véritablement de lui. Il cher-
chait partout ce qu’il avait pu écrire et produire : conférences, recherches, romans ou arti-
cles de journaux. Il les lisait, relisait et expliquait partout et à tout le monde la grandeur de
son nouveau héros.

 être jaloux  être inquiet  être passionné  être attentif

E. Quelle chance ont les chats d’être nyctalopes. Lui, dans cette nuit noire et sans lampe de
poche, se heurtait au moindre obstacle, s’écorchait aux buissons, tombait à tout moment. Il
ne voyait rien.

 qui retombe sur ses pattes  qui voit la nuit  qui est souple  qui est aveugle

F. Depuis des années, ce jardin n’avait pas été entretenu : des herbes folles le recouvraient,
des touffes de plantes sauvages y avaient poussé. Avant de songer à semer, planter, faire
pousser quoi que soit, il faudrait tout nettoyer, retirer toutes ces plantes inutiles, ces herbes
sauvages qui étouffaient tout. Il prit son écobue, la leva, la baissa pour couper et arracher.
 pelle  râteau  couteau  pioche

G. L’enfant le regardait. Brun sous sa toque de velours noir, le garçonnet lui souriait... Alors
l’homme lui demanda quel chemin il devait choisir. Toujours aimable, le jeune enfant lui ré-
pondit quelque chose qu’il ne comprit pas. Aux sons il se rendit compte que ce devait être
de l’ouïghour.
 instrument de musique  langage des signes  langue étrangère  cri d’animal
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3. Souligne les mots « indices » puis réponds à la question
A. Le prisonnier était attaché à un pieu ; pour le faire parler, un cavalier avait saisi sa
nagaïka et en frappait le dos dénudé du malheureux. Les lanières de cuir traçaient des sil-
lons sanglants, mais l’homme refusait toujours de dire un seul mot.
Qu’est ce qu’une nagaïka ?
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B. C’est alors que le noroît se leva : les branches des arbres furent cassées, les tuiles arra-
chées. Les habitants comprirent que ces souffles violents annonçaient l’arrivée de la tempê-
te.
Qu’est ce qu’un noroît ?
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C. En ce jour de fête, les hommes, réunis autour d’une table, criaient, juraient, chantaient,
accompagnant leur vacarme de le schnick est force verres de schnick avalés d’un seul
souffle.
Qu’est ce du schnick ?
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D. Il se livrait à toutes sortes de rapines : il attaquait les voyageurs, les détroussait. Lorsqu’un
marchand passait, une rapine est on était sûr qu’il serait immédiatement brutalisé et volé. La
région avait perdu sa sécurité.
Qu’est ce qu’une rapine ?
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E. Il n’avait jamais dit qu’il connaissait cette affaire. Il n’avait jamais parlé non plus du rôle
qu’il y avait joué. Chaque fois que le juge les questionnait là-dessus, il jouait la surprise. C’est
ainsi qu’il avait gagné obrepticement d’être libéré et déclaré innocent.
Qu’est ce que signifie « obrepticement » ?
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F. La trace était récente. Le springer la flairait avec soin. Nul doute, le lièvre était bien passé
par là. Il allait reprendre la piste, la suivre, l’indiquer aux chasseurs.
Qu’est ce qu’un springer ?
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4. Réponds à la question posée.
A. Il avait trahi la confiance du prince, qui le ferait poursuivre, rechercher, trouver et punir.
Pour ne pas avoir à affronter sa colère, il se résigna à aller se musser en un lieu secret où il
était sûr de n’être pas retrouvé.
Qu’est ce que signifie « se musser » ?
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B. Elle portait une robe surannée. On aurait cru qu’elle vivait encore au siècle dernier. C’é-
tait le style qu’elle aimait. Ses chaussures, elles aussi, allaient avec sa tenue.
Qu’est ce que signifie « surané» ?
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C. Il apporta une tourie de quatre litres de vin blanc. Tenant le récipient par l’anse attachée
à l’osier qui protégeait le verre, il servit chacun largement.
Qu’est ce qu’une tourie ?
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D. Un vol d’hirondelles traversa le ciel. Ailes noires et ventres blancs, les oiseaux se dépla-
çaient en un vol à la fois rapide et souple. Mais ce n’était pas leur déplacement dans les airs
qui avait attiré mon attention. C’était en les entendant trisser que j’avais levé le nez.
Qu’est ce que signifie « trisser » ?
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E. La tempête avait soufflé toute la nuit. Les bourrasques avaient été si fortes que la route
était coupée : des ventis la barraient ! Et dire qu’hier encore, ceux-ci étaient de beaux ar-
bres verts et vigoureux ! C’est à cela qu’il comprit avec quelle force le vent s’était déchaîné.
Qu’est ce qu’un ?
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F. Aldo n’arrêtait pas de faire des grimaces. Il ne pouvait plus s’en empêcher et, avec sa
grosse barbe noire, il avait un visage simiesque. On aurait pu croire qu’un de ses lointains
cousins était un gorille.
Qu’est ce que signifie « simiesque » ?
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