Informatique industrielle

Gado TCHABODE
2019-2020
V 1.0
 . . . Pour commencer

Objectifs

 Décrire un système et implémenter une solution matérielle et logicielle

Volume horaire et évaluation

 Volume horaire 12 h
 Evaluation (1 Devoir)
Prérequis

 Electricité générale  Programmation

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 Electronique analogique et numérique  Windows … Gado TCHABODE
 . . . Contenu

1. Electronique de puissance

2. Signaux et système

3. Régulation et asservissement

4. Informatique industrielle

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4
Informatique industrielle

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 1 Définitions

L'informatique industrielle est une branche de l'informatique appliquée qui couvre l'ensemble
des techniques de conception, d'analyse et de programmation de systèmes informatiques à
vocation industrielle.

Un système automatisé de production (SAP) est ensemble d’éléments en interaction, organisés

dans un but précis : agir sur la matière d’œuvre afin de lui donner une valeur ajoutée.

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 2 Les automatismes logiques

 Cahier des charges

Un cahier des charges, au sens strict du terme sont les conditions imposées au réalisateur
(concepteur et fournisseur) par le client (demandeur et acheteur) en vue de la création ou de la
modification d’une installation automatisée.

Exemple :
Concevoir un système automatisé de feux tricolores. Lorsqu’il fait jour le fonctionnement allume
successivement les feux : rouge(2s), vert(3s), orange(1s) et de façon cyclique. Lorsque la nuit
tombe, les feux passent en mode nuit et seul le feu orange clignote à une fréquence de 1Hz.

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 2 Les automatismes logiques

 Structure d’un système automatisé

Communication
Ordres Actionneurs
Pré-actionneurs
Partie
Partie
Commande
Partie Opérative (PO)
Relation Dialogue (PC)
(PR, IHM) Informations Capteurs/ Effecteurs
Détecteurs (mécanique)

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 3 Modes de réalisation : technologie

Un système automatisé est régi par une partie commande (PC) ; c’est la partie
« intelligente » du système. La façon dont cette partie commande est réalisée est
appelée logique. On distingue :

 Logique câblée

 Logique programmée

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 3 Modes de réalisation : technologie

 Logique câblée :

Généralement réalisée à base de composants de technologie :

 Électronique (bascules, portes logiques,…
 Électrique (contacteur, bloc temporisé, …)
 Pneumatique (distributeur,…)

Avantages Inconvénients
vitesse de traitement Le volume du matériel;
attaquer des étages de puissance Pas de flexibilité (structure figée…)
traitement d’arrêt d’urgence et de sécurité; Pas de communication;
automatismes simples et rapides à réaliser. 9
 3. Modes de réalisation : technologie

 Logique programmée
Réalisée grâce à des circuits numériques programmables c’est-à-dire pouvant accueillir un programme
utilisateur. Ce sont généralement des :
 microprocesseurs;
 microcontrôleurs;
 contrôleur logiques et automates programmables
Avantages Inconvénients
Volume de matériel réduit; Plus cher;
Moins de câblage (plus de confort) Compatibilité entre familles de composants
Plus d’informations Pérénité d’une installation
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 3. Modes de réalisation : technologie

 Critère de choix d’une logique

Pour choisir entre la logique programmée et la logique câblée, il faut tenir compte des aspects suivants:
 Complexité du processus à commander
 Evolutivité
 Encombrement
 Coût
 …

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 4. Méthode d’analyse du fonctionnement

L’AFCET (Association Française pour la Cybernétique Economique et Technique) et l’ADEPA (Agence

nationale pour le DEveloppement de la Production Automatisée) ont mis au point et développé une
représentation graphique qui traduit, sans ambiguïté, l’évolution du cycle d’un automatisme séquentiel .

Le GRAFCET est un diagramme, un acronyme signifiant GRaphe Fonctionnel de

Commande Etapes Transitions).

Il permet de décrire les comportements attendus de l’automatisme en imposant une démarche rigoureuse,
évitant ainsi les incohérences dans le fonctionnement.
Exemple :
Dans le cas d’un portail automatisé, avant de fermer (respectivement ouvrir)
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ledit portail, il faut s’assurer qu’il est bien ouvert (respectivement fermé).
 4. Méthode d’analyse du fonctionnement

Il est très important de de comprendre que le GRAFCET a deux grandes utilisations :

 Dans un document technique, le GRAFCET permet de présenter le fonctionnement d’un

système sous une forme claire, facile à comprendre et très efficace. Il s’agit de
DÉCRIRE. C’est le cas par exemple d’une machine à fabriquer des pots de yaourt. Cette
façon d’aborder le GRAFCET concerne plus l’analyse fonctionnelle qui est
traditionnellement plus proche du Génie Mécanique.

 Le GRAFCET est aussi un outil de conception ou même de PROGRAMMATION; de la

fonction traiter. Cette autre façon de voir le GRAFCET est plus proche du Génie
Electrique.
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 4. Méthode d’analyse du fonctionnement

Cela donne lieu à une notion de point de vue …

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 4. Méthode d’analyse du fonctionnement

 Grafcet point de vue système (procédé et processus) : Niveau 1

Il s’agit d’une description faite par un observateur se situant d’un point de vue externe au SAP et décrit le
comportement du système vis-à-vis du produit. Il permet le dialogue entre le client et le concepteur pour la
spécification du système automatisé. La notation, à ce niveau peut être littérale
 Grafcet point de vue partie opérative-partie relation (PO-PR) : Niveau 2
Description du système faite par un observateur se situant d’un point de vue interne au SAP et externe à la
PC. Les choix technologiques de la PO sont effectués. Il s’agit le plus souvent d’ordres destinés aux
entrées des pré-actionneurs : bobine de contacteurs, pilotage de distributeurs. Ce GRAFCET décrit les
actions produites par les actionneurs à partir des informations acquises par les capteurs.
 Grafcet point de vue partie commande (PC) ou réalisateur: Niveau 3
Description du comportement du système faite par un observateur se situant d’un
point de vue interne à la PC. 15
 5. Systèmes à microprocesseurs

5.1 Architecture et programmation

Depuis 1823 (découverte du silicium) jusqu’en 2005 (apparition des processeurs
multi—cœurs), la technologie électronique a permit de miniaturiser de plus en plus
les circuits intégrés.

 Le processeur ou CPU (Central Processing Unit) est un circuit électronique

capable d’effectuer séquentiellement et automatiquement des opérations
arithmétiques et logiques.

 Le microprocesseur ou MPU (Microprocessor Unit) est un

processeur dont les composants on été incorporés dans un 16
unique circuit intégré.
 5. Systèmes à microprocesseurs

5.1 Architecture et programmation

 Un microcontrôleur ou MCU est circuit intégré rassemblant dans un même boîtier
un microprocesseur, plusieurs types de mémoires, et des éléments personnalisés
selon l'application. Un microcontrôleur est assimilable à un petit système
informatique contenu dans un seul circuit intégré .

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 5. Systèmes à microprocesseurs

5.1 Architecture et programmation MSP430G2553 de Texas instruments

 Un processeur 16 bits, cadencé à 16

MHz, avec 16 registres de 16 bits,
 ROM de type flash de 16 ko,
 RAM de 512 o,
 16 broches d’entrée-sorties, CAN de
10 bits, PWM, interruptions,
utilisation d’un quartz, etc.

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Microchip, Atmel, Texas instruments, Toshiba, NXP, Cypress…
 5. Systèmes à microprocesseurs

5.1 Architecture et programmation

Afin de développer une application pour un microcontrôleur, il faut nécessairement un
EDI. Chaque fabriquant met à disposition des développeurs les logiciels
développement pour microcontrôleurs. Parmi ces logiciels, on peut citer entre autres :

 ARDUINO
 ENERGIA, Code Composer Studio (Texas Instruments)
 MPLAB, PICBASIC (Microchip)
 AVR Studio (ATMEL)
 Code Warior (Freescale) 19
 5. Systèmes à microprocesseurs

5.1 Architecture et programmation

On y retrouve un ensemble d'outils de développement de logiciels tels que :
 un éditeur
 un assembleur
 un compilateur
 un débogueur
 un simulateur
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 5. Systèmes à microprocesseurs

5.1 Architecture et programmation

Arduino Energia

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 5. Systèmes à microprocesseurs

5.1 Architecture et programmation

Boucle WHILE Boucle DO...WHILE Boucle For

compteur = 0; compteur = 0; for (compteur = 0; compteur <

while ( compteur < 10) do n; compteur++) ;
{…. ++compteur;
…} while (compteur < 10);
++compteur;

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 5. Systèmes à microprocesseurs

5.2 Interfaçage
Un microcontrôleur est à la fois un composant électronique et un système informatique. Il
nécessite donc une mise en œuvre matérielle et une mise en œuvre logicielle. En d’autres
termes, il est à la frontière entre l’électronique et l’informatique. De ce fait, il nécessite les
compétences d’un électronicien et d’un informaticien !

Le microcontrôleur communique avec l’extérieur au

moyen de ses « pattes » encore appelé broches ou pin.
Celles-ci sont en liaison avec des registres.

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 6 Automates programmables industriels

6.1 Définition
Un automate programmable industriel (API ou en anglais PLC : Pragrammable Logic controller)
est un appareil électronique programmable destiné à piloter en ambiance industrielle et en
temps réel des précédés industriels.

Permet de commander, mesurer et  Logique combinatoire

contrôler au moyen de signaux  Séquencement
d’entrées et de sorties (numériques  Temporisation
ou analogiques) toutes machines et  Comptage/décomptage
processus, en environnement  Calculs numériques
industriel.  Asservissement, régulation
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 6 Automates programmables industriels

6.2 Domaine d’application et quelques fabricants

 OMRON
 GE FANUC  Commande des machines
 SCHNEIDER  Automatisme du bâtiment (Chauffage, climatisation,..)
 FUJI ELECTRIC  Régulation de processus (chimie, traitement des eaux)
 MOELLER  Contrôle des systèmes
 SIEMENS  Transports (ferroviaire, routier,…)
 ABB
 MITSUBISHI
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 ...
 6 Automates programmables industriels

6.3 Architecture matérielle et fonctionnement

 Module d’alimentation  interface d’entrée et sorties
 Unité de traitement (CPU + mémoire)  Bus reliant les différentes entités

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 6 Automates programmables industriels

6.4 Types d’automates

Il existe deux types d’automates. Ceux dit:
 Compact (dans le genre « All in One »)
Il intègre en un seul bloc le processeur, l'alimentation, les entrées et les sorties. Selon les
modèles et les fabricants, il pourra réaliser certaines fonctions supplémentaires (comptage
rapide, E/S analogiques ...) et recevoir des extensions en nombre limité. Ces automates, de
fonctionnement simple, sont généralement destinés à la commande de petits
automatismes.

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 6 Automates programmables industriels

6.4 Types d’automates

Il existe deux types d’automates. Ceux dit:
 Compact (dans le genre « All in One »)

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Automate CROUZET Automate TWIDO
 6 Automates programmables industriels

6.4 Types d’automates

Il existe deux types d’automates. Ceux dit:
 Compact (dans le genre « All in One ») Bornier des entrées

Bornes d’alimentation
Port de connexion pour le
transfert de programme
Ecran de visualisation
de l’état de l’automate
Touches de navigation

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Bornier des sorties
 6 Automates programmables industriels

6.4 Types d’automates

Il existe deux types d’automates. Ceux dit:
 Compact (dans le genre « All in One »)

• Alimentation 24VDC
• 10 entrées TOR
• 2 entrées mixtes (TOR/analogique)
• 8 sorties
• Référence : SR2A201BD

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Exemple d’automate compact: SR2A201BD de SCHNEIDER
 6 Automates programmables industriels

6.4 Types d’automates

Il existe deux types d’automates. Ceux dit:
 Modulaire (personnalisable)
Le processeur, l'alimentation et les interfaces d'entrées / sorties résident dans des unités
séparées (modules) et sont fixées sur un ou plusieurs racks contenant le « fond de
panier » (bus plus connecteurs). Ces automates sont intégrés dans les automatismes
complexes où puissance, capacité de traitement et flexibilité sont nécessaires.

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 6 Automates programmables industriels

6.4 Types d’automates

Il existe deux types d’automates. Ceux dit:
Visualisation de l’état de
 Modulaire (personnalisable) l’automate sur le module
processeur (CPU)
Rack

Port USB
Module
alimentation
Port Ethernet
Emplacement pour
carte mémoire 32
M-340 de SCHNEIDER Port série Modules d’E/S,…
 6 Automates programmables industriels

6.5 Etude des modules

 Module d’alimentation
II assure la distribution de l’énergie (électrique) aux autres modules. Sa puissance
doit être suffisante pour supporter (alimenter) l’ensemble des modules qui y seront
connectés sur le rack. Ce module reçoit en entrée une tension et délivre à sa sortie
une tension continue. Elle peut être:
 Alternative : souvent directement raccordé au réseau du fournisseur d’énergie (
220 VAC ou 110 VAC ). Certains disposent d’une sortie 24 VDC destiné à alimenter
les capteurs et les détecteurs.
 Continue : souvent du 24 VDC ou 48 VDC
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 6 Automates programmables industriels

6.5 Etude des modules

 Module processeur
C’est le module le plus important. Il effectue les opérations logique, arithmétique. Sur
ce dernier il existe des voyants indiquant l’état de :
 l’automate (RUN ou STOP)
 la batterie (BATT)
 entrées sorties (I/O)
 de l’application (ERR)….

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 6 Automates programmables industriels

6.5 Etude des modules

 Module d’entrées (TOR et ANA)
Les capteurs/détecteurs qui rendent compte de l’état du SAP sont câblés aux
emplacements réservés aux entrées de l’automate. Le principe de raccordement
consiste à envoyer un signal électrique vers l’entrée choisie sur l’automate dès que
l’information est présente.
On distingue deux logiques en ce qui concerne le câblage des entrées TOR. Cette
logique est imposée par l’automate utilisé dans le projet.

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 6 Automates programmables industriels

6.5 Etude des modules

 Module d’entrées (TOR et ANA)
Pour mettre une entrée
automate à 1, il faut
imposer à cette entrée un
potentiel de +24 VDC.

Pour mettre une entrée

automate à 1, il faut
imposer à cette entrée un
potentiel de 0V.
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 6 Automates programmables industriels

6.5 Etude des modules

 Module d’entrées (TOR et ANA)

2 fils

3 fils 37
 6 Automates programmables industriels

6.5 Etude des modules

 Module d’entrées (TOR et ANA)
Il peut être intéressant pour certains automatismes de connaître l’état d’une variable
analogique (température, pression, débit, vitesse, position...). Un module, compatible avec la
gamme de l’automate choisi, permet donc une conversion analogique/numérique (+10V / -10V,
0V /+10V, 0mA / 20mA ou 4mA / 20mA) de cette variable. Un mot au format 8, 10 ou 12 bits
permet à l’automate de traiter cette variable par programmation (gestion d’alarme,
contrôle, asservissement...).
 2 fils
 3 fils
 4 fils 38
 6 Automates programmables industriels

6.5 Etude des modules

 Module de sorties (TOR)

Sortie relais Sortie transistor Sortie munie d’opto-coupleur

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 7 Réseaux industriels, communication

7.1 Introduction
Les industries de plus en plus grandissantes, et les utilisateurs de plus en plus
exigeants, est apparu le besoin de créer des réaux d’automates et les faire
communiquer. Sous l’effet conjugué des contraintes des utilisateurs, des
technologies et des standards, les architectures actuelles se structurent en quatre
niveaux distincts et interconnectés par des réseaux.

Cela a conduit vers une architecture hiérarchisée et distribuée.

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 7 Réseaux industriels, communication

7.2 Le CIM (computer integrated manufacturing)

Le computer-integrated manufacturing
(CIM), ou production intégrée par ordinateur,
est un concept décrivant l'automatisation
complète des procédés de fabrication.
C’est-à-dire que tous les équipements de
l'usine fonctionnent sous le contrôle
permanent des ordinateurs, automates
programmables et autres systèmes
numériques.
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 7 Réseaux industriels, communication

7.2 Le CIM (computer integrated manufacturing)

niveau 3 : la gestion des produits et des stocks, la gestion des approvisionnements, la
gestion des clients, des commandes et de la facturation (gérés par les ERP)
niveau 2 : la localisation des produits en stocks, les mouvements physiques et la
gestion des lots (géré par le système de gestion d'entrepôt)
niveau 1 : les automatismes
niveau 0 : les capteurs et actionneurs

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