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Définitions :
« La psychologie différentielle regroupe les études comparatives des différences psychologiques entre
les individus humains, tant en ce qui concerne la variabilité interindividuelle dans des groupes
homogènes que la variabilité inter-groupe (groupe différant par l’âge, le sexe ou le milieu social) »
(Reuchlin, 1964)
Résultats
Les étudiants qui était les plus consciencieux réussissaient le mieux leurs études
Résultats
Plus les personnes ont une résilience importante et plus le traitement pharmacologique est efficace
pour réduire les symptômes dépressifs
Les variables indépendantes provoquées sont des variables manipulées par le chercheur :
Le chercheur fait varier cette variable chez les participants
Les modalités de cette variables sont donc construites par le chercheur
Exemples :
Les variables parasites/confondues sont des variables qui (1) varient en même temps que la variable
indépendante et (2) qui ont un effet sur la variable dépendante :
Lorsque l’on étudie l’effet d’une VI invoquées, comme le chercheur ne manipule pas cette
variable, il est fréquent que cette variable varie en même temps que d’autre variables (que
l’on appelle variables parasites)
Comme la VI invoquée et la variable parasite varient en même temps, il est difficile de savoir
si c’est la VI invoquée ou la variable parasite qui influence la variable dépendante
Le participant a donc fait mieux que la population de référence (0,5 écart type au dessus de la
moyenne)
Dans les deux situations, le participant a obtenu le même score brut. Cependant, comme la moyenne
de la population change entre les deux situations, dans un cas il a obtenu un score inférieur à la
moyenne (note z<0) et dans l’autre un score supérieur à la moyenne (note z>0)
Situation concrète
Condition d’application d’un étalonnage
3. Corrélation
La corrélation est un indicateur statistique permettant de mesure la degré de liaison/
d’association entre deux variables
Le coefficient de corrélation est généralement représenté par la lettre r
Plus deux variables sont fortement associées et plus la valeur du coefficient de corrélation
s’éloigne de 0.
o Si deux variables sont positivement associées (plus variable 1 augmente, plus la
variable 2 augmente)
r>0
o Si les deux variables sont négativement associées (plus la variable 1 augmente, plus
la variable 2 diminue)
r<0
o Si les deux variables ne sont pas associées (les variations de la variable 1 ne sont pas
liées aux variations de la variable 2)
r=0
Attention : les corrélation sont très souvent effectuées entre une variable invoquées et une
variable dépendante
Dès lors, même une corrélation forte ne permet pas d’inférer une causalité entre deux
variables
Exemple :
1. Définitions de l’intelligence
Énormément de définitions
- Binet (1916)
Tendance à suivre et maintenir une direction précise ; capacité d’adaptation dans le but
d’atteindre un objectif et pouvoir d’autocritique
- Spearman (1923)
Capacité à établir des liens, des relations (logiques)
- Freeman (1955)
Ajustement ou adaptation de l’individu à son environnement, capacité d’apprendre et de
réaliser un raisonnement abstrait
- Gardner (1983)
Capacité à résoudre des difficultés ou problèmes
- Stenberg (1986,88)
Activités mentales impliquées dans l’adaptation intentionnelle, le façonnage et la sélection
d’éléments de l’environnement
Construction du modèle
Description du modèle
Facteur g : interprété comme une capacité différentielle, innée, d’énergie mentale et de
raisonnement logique
« toutes les branches de l’activité intellectuelle ont en commun une fonction fondamentale
tandis que les éléments restants ou spécifiques de l’activité semblent être totalement
différents les uns des autres »
Pour Spearman, la réussite d’un individu à un test va dépendre :
1) De l’efficacité de son facteur g (qui ne varie pas selon le test)
2) Et de l’efficience du facteur cognitif spécifique nécessaire à la résolution du test (qui varie avec
chaque test).
Implications pratiques
Construction du modèle
Thurstone fait passer énormément de tests papier-crayon (jusqu’à 60 tests) à des sujets
Grâce à l’observation des corrélations entre tous les tests, il regroupe les tests qui se
ressemblent (qui ont une corrélation forte)
Thurstone identifie 7 aptitudes primaire relativement indépendantes
Dans ce modèle, les individus peuvent avoir des points forts/ points faibles (i.e., avoir des
bonnes compétences dans certaines aptitudes mais pas dans d’autres)
7 aptitudes primaires
Ensemble de tests papier-
Analyse statistique indépendantes sous-tendent
crayon
les performances
Les tests avec des corrélations fortes sont regroupées au sein de la même aptitude
Implications pratiques
L’intelligence fluide se manifeste plus fortement dans les épreuves de raisonnement inductif sur un
matériel non figuratif.
L’intelligence cristallisée se manifeste le plus fortement dans les épreuves de vocabulaire, dans les
analogies verbales, …
Le sudoku sollicite l’intelligence fluide, les mots croisé l’intelligence cristallisées.
Modèle CHC
IV. Chapitre 4 : Les échelles de Wechsler
1. Introduction
Imaginez que les normes d’une tâche de mémorisation de chiffres (empan endroit) soient :
- 2 chiffres à 4 ans
- 3 chiffres à 6 ans
- 4 chiffres à 8 ans
- 5 chiffres à 10 ans
- 6 chiffres à 16 ans
- 7 chiffres à 22 ans et +(les individus
ne progressent plus, en moyenne,
après 22 ans)
Rappel
Note z = 0 +/- 1
Alors (note z) * 15= 0 +/- 15
Alors (note z) * 15 + 100 = 100 +/- 15= distribution QI Wechsler
Structure de la WAIS-IV
10 subtests principaux…
…qui permettent de calculer 4 indices
composites (ICV, IRP, IMT, IVT)…
…qui permettent de calculer le QI total.
3. 1. Présentation de la WAIS-IV
a. Indice de compréhension verbale
Similitudes
Dire en quoi deux mots/concepts se ressemblent
« Groseille & Framboise »
Vocabulaire
Donner la définition d’un mot
« Hygiène »
Information
Evaluer les connaissances générales
« A partir de quelle température l’eau gèle-t-elle ? »
Symboles Codes
e. 2. Présentation de la WAIS-VI