Séance d’ introduction

au ladder

Utilisation du logiciel Crouzet

 1.L’automate
1.1. Description

► Face avant
 1.L’automate
1.1. Description

o L’écran :

= 4 lignes de texte qui fournissent :

- des informations.
- des actions sélectionnables/menus.
 1.L’automate
1.1. Description

o Les symboles :
 1.L’automate
1.1. Description

o Les boutons de commande :

1.L’automate
1.1. Description
 1.L’automate
1.2. Connexion contrôleur/PC + transfert programme

► Connexion entre le PC et le contrôleur :

 Communication réalisée grâce à une liaison USB

Pour réussir la connexion entre les 2 élts, il faut vérifier que :

- le contrôleur est physiquement connecté au PC

- la connexion soit correctement configurée
 1.L’automate
1.2. Connexion contrôleur/PC + transfert programme

oConfiguration de la connexion :

1) Fenêtre Configuration : menu contrôleur connexion configurer

2) Choisir le type de liaison : Port Com  USB
3) test
4) OK

RQ : si la liaison USB n’existe pas :

- panneau de configuration
- ajout de matériel
- matériel déjà connecté
- sélection du port COM USB
 1.L’automate
1.2. Connexion contrôleur/PC + transfert programme

► Transfert du programme du PC vers le contrôleur :

 traduit le programme en données chargeables pour le transfert

o Réalisation du transfert :

1) Menu contrôleur  Ecrire vers le contrôleur

2) fenêtre résultat de compilation
soit compilation réussie et l’application est transférée
soit échec et code d’erreur
3) Si compilation réussie : Boîte de dialogue  OK
4) Lancement du transfert  OK
 1.L’automate
1.2. Connexion contrôleur/PC + transfert programme

oCompilation réussie :

 Ouverture boite de dialogue « option écriture »

Protection : protéger le programme par un mot de passe

Enregistrer les modifications : permet d’enregistrer automatiquement les

modifications

Lancement automatique du Mode MARCHE : permet de passer

automatiquement le contrôleur en mode MARCHE à la fin du transfert.
 1.L’automate
1.2. Connexion contrôleur/PC + transfert programme

o Echec de la compilation :

 Message d’erreur (code) : signification : voir aide Crouzet

Solutions :

1) Diagnostique du contrôleur : visualiser toutes les caractéristiques (menu

contrôleur)

- Matériel : caractéristiques du contrôleur (entrées/sorties, type, langue…)

- Application : caractéristiques de l’application embarquée sur le contrôleur
( noms, auteurs, mémoires utilisées…)
 1.L’automate
1.2. Connexion contrôleur/PC + transfert programme

2) Mise à jour du logiciel : permet de charger le logiciel du contrôleur

(menu contrôleur)

- choisir le mode de fonctionnement

- changer la version
- effacer le programme chargé dans le contrôleur, ainsi que
l’effacement
des paramètres de configuration
- se débarrasser un programme protégé par un mot de passe oublié.

.
 1.L’automate
1.2. Connexion contrôleur/PC + transfert programme

o Le transfert vers le contrôleur sera possible si :

la compilation est réussie.

Le contrôleur est à l’arrêt.
Le type de contrôleur correspond à celui qui est connecté

Attention : en LADDER : le programme compilé sera écrit vers le contrôleur

même s’il contient une erreur de programmation.
 1.L’automate
1.2. Connexion contrôleur/PC + transfert programme

► Exécution du programme :

Permet de démarrer/arrêter le programme contenu dans le contrôleur :

Marche du contrôleur avec RAZ des paramètres sauvegardés : toutes les

valeurs courantes sont réinitialisées avant le démarrage du programme
(tempo, compteur…)

Marche du contrôleur sans RAZ : les valeurs courantes pour lesquelles

l’option sauvegarde sur coupure de secteur est active sont conservées.

Arrêt du contrôleur : le programme n’est plus exécuté.

 1.L’automate
1.2. Connexion contrôleur/PC + transfert programme

► Mode monitoring :

 Permet la visualisation le fonctionnement réel sur le PC

Visualisation des
valeurs des entrées sorties du contrôleur et de ses extensions,
sorties des blocs FBD,
sorties des bobines et des contacts LD,
l’état courant des paramètres et les affichages de l’écran face avant du
contrôleur connecté.
 1.L’automate
1.3. Vérification du programme

Deux types de vérification :

- contrôle de la cohérence du programme

- contrôle des performances du programme

l’occupation mémoire,
les durées d’exécution de l’application utilisateur,
les capacités en mémoire,
la vitesse d’exécution du contrôleur
 1.L’automate
1.3. Vérification du programme

o Vérification de la cohérence du schéma :

En LADDER : anomalie  un symbole (œil en haut à gche) bleu rouge.

Double clique sur cet œil rouge  fenêtre cohérence du programme

Attention : toutes les anomalies énoncées, ne le sont peut être pas.

 il faut vérifier

Exemple anomalie : câble dans le vide , Reset d’une fonction non connectée,
…
 1.L’automate
1.3. Vérification du programme

► Vérification des performances :

Données dans la fenêtre « Résultat de compilation »

- Vérification des tailles mémoires de l’application utilisateur : Le

compilateur du programme calcule les volumes utilisés dans les différentes
zones mémoires du contrôleur.

- Vérification des durées estimées de l’application utilisateur : Le

compilateur calcule la durée estimée du programme en additionnant les
temps élémentaires d’exécution de chaque fonction utilisée.

- Contrôle de la période d’exécution max de l’application sur le contrôleur

- Durée des traitements propres au fonctionnement du contrôleur et des

éventuelles extensions
 2.Ladder
2.1. Présentation du langage

► Présentation générale :

LADDER = langage à contacts (LD) = langage graphique

permet la transcription de schémas à relais

Symbole utilisé : contacts, bobines, blocs opérations…

 2.Ladder
2.1. Présentation du langage

► Structure du langage :

Le programme peut contenir :

- 120 lignes maximum de programme,

- 5 contacts et d’une bobine au maximum par ligne.
- zone test, dans laquelle figurent les conditions nécessaires au
déclenchement d’une action (contacts),
- zone action, qui applique le résultat consécutif à une combinaison
logique de test (bobines).
 2.Ladder
2.2. Les éléments du langage LD

► Commentaires :

Le commentaire facilite l’interprétation de la portion de réseau auquel il est

affecté, mais n’est pas obligatoire.

Barre des
contacts et
Mode de fonctions
fonctionnement

Cohérence du Zone de
programme programmation
 2.Ladder
2.2. Les éléments du langage LD

► Entrées TOR = un contact :

Représente l’état de l’entrée du contrôleur (BP, capteur,

interrupteur…)
Se place en zone test et occupe une seule colonne

Rappel : l’état d’une entrée :

 état haut  laisse passer le courant (active)
 état bas  ne laisse pas passer le courant (inactive)
 2.Ladder
2.2. Les éléments du langage LD

oMode :

NO : utilisation de l’état direct de l’entrée. Si l’entrée est alimentée, on dira alors que
le contact est passant.

NF : utilisation de l’inverse de l’état de l’entrée. Si l’entrée est alimentée, on dira alors

que le contact est non passant..
 2.Ladder
2.2. Les éléments du langage LD

► Sorties TOR = bobine des relais de sorties du contrôleur:

Représente l’état de la sortie du contrôleur

Se place en zone d’action et sur une seule colonne

Mode de fonctionnement :
 2.Ladder
2.2. Les éléments du langage LD

o Les bobines :
 2.Ladder
2.2. Les éléments du langage LD

o Utilisation en contact :

2 modes de fonctionnement NO ou NF :

NO : si la sortie est alimentée alors le contact associé est passant.

NF : si la bobine n’est pas alimentée, alors le contact associé est

 2.Ladder
2.2. Les éléments du langage LD

► Relais auxiliaires = mémoires:

Agit de la même façon que O TOR avec même mode de fonctionnement

mais ne possèdent pas de contact électrique de sortie sur automate

 Permet de mémoriser un état qui sera utilisée sous la forme du contact

associé.

Exemple d’utilisation : Besoin de mettre plus de 5 contacts pour une sorties

 2.Ladder
2.2. Les éléments du langage LD

► Compteur :

Permet de compter de 0  valeur de présélection

Permet de décompter de la valeur de présélection  0

o 4 modes de fonctionnement :
-Comptage (C): A chaque excitation de la bobine, le
compteur s’incrémente ou décrémente selon paramétrage

-Sens (D) : permet de déterminer si on compte ou

décompte quand la bobine est activée

-RAZ (R) : l’excitation de la bobine remet à zéro le compte

ou remet à la valeur de présélection le décompte

- Contact (C1) : sera passant qd le compte ou le décompte

sera atteint si c’est un NO
 2.Ladder
2.2. Les éléments du langage LD

- Paramétrage :

Valeur
présélection

Chois compte
ou décompte
 2.Ladder
2.2. Les éléments du langage LD

- Exemple :

1 x que I2 a été enclenché le nbre de fois voulu par CC1  C1 va s’activer et

la sortie O1 sera active.
 2.Ladder
2.2. Les éléments du langage LD

► Temporisation :

oType de temporisateur :
Timer
Timer
TimerBWA-C
Li/L:: impulsion
permet
permetdede
:prolonge sur
retarder/prolonger
la sortie
créer une àalternance
chaque
enclenchement/déclenchement
front montant/descendant
ON/OFF de du
la sortie de
Timer B/H /diminue la sortie au front montant contact
l’entrée
 2.Ladder
2.2. Les éléments du langage LD

o Mode de fonctionnement :

T : lorsque la bobine est active, la

temporisation commence
R : lorsque la bobine est activé, la tempo
se remet à zéro
T1 : contact associé, dès que la
temporisation est finie, le contact associé
est passant si c’est un NO
 2.Ladder
2.2. Les éléments du langage LD

oParamétrage :

Permet de définir la durée du retard d’enclenchement/déclenchement

 fenêtre de paramétrage

oExemple :

1x que I1 est enclenché :

- i1 : enclenché  RT1 inactive
-  TT1 active
- après x sec : T1 s’active  O7
s’active.
 2.Ladder
2.2. Les éléments du langage LD

 Les éléments de liaison :

 Relie les éléments graphique de test et d’action.

Une connexion horizontale = ET logique

 transmet l’état du contact situé immédiatement à sa gauche au contact

situé immédiatement à sa droite.

Une connexion verticale = OU logique

 le contact directement à dte sera inactif si les états de tous les contacts

horizontaux situés à gauche sont inactifs,

 le contact directement à dte sera actif si l’état d’au moins un des
 2.Ladder
2.2. Les éléments du langage LD

►
Règles de programmation :

- Les éléments graphiques de test et d’action occupent chacun une seule cellule
- les actions sont toujours situées sur la colonne bobine,
- tout réseau de contact se termine par une action (bobine) en dernière colonne,
-l’étatd’une fonction d’automatisme peut être utilisé comme test (contact) . Le contact
est alors désigné par le nom de la fonction associée,
exemple : T1 représente l’état du temporisateur "TT1"
t1 représente l’état complémentaire du temporisateur "TT1 »
- Les liaisons se lisent (s’interprètent) de gauche à droite,
- Si, dans un réseau, on utilise l’action S (Set) d’une fonction d’automatisme, il est en
général conseillé d’utiliser une action R (Reset) sur la même fonction.
- les actions R (Reset) d’une fonction d’automatisme sont toujours prioritaires sur
l’action S (Set) appliquée à la même fonction au même instant,
 2.Ladder
2.1. Présentation du langage

► Commentaires :

Le commentaire facilite l’interprétation de la portion de réseau auquel il est

affecté, mais n’est pas obligatoire.
2.Ladder
2.3. Exercice
2.Ladder
2.3. Exercice
 3.Paramétrage
3.1. paramétrage d’une application

Le paramétrage d’un programme de l’utilisateur permet de :

- changer les dates de passage de l’heure d’été à l’heure d’hiver et

réciproquement,
- paramétrer chacune des fonctions qui compose l’application

► Paramétrage :

- depuis le contrôleur : sélection modification autorisée.