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V+-V- vD iD i2 vs a)
Photodiode non 0 - 15V 0 0 0 (Toutes les valeurs justes : 1pt)
éclairée (Tous les signes justes : 1pt)
Photodiode éclairée 0 - 15V − 10 µA − 10 µA 1V
sous 0,2 mW/cm2
b) Pour qu’un amplificateur opérationnel idéal soit en régime linéaire, il faut que sa sortie soit rebouclée sur
l’entrée inverseuse. Cette première condition étant vérifiée, la tension de sortie doit rester à l’intérieur des
limites des saturations haute et basse (1pt)
Ces deux conditions sont ici vérifiées, donc l’hypothèse du régime linéaire est justifiée.
-2-
Corrigé :
R2 = 10 kΩ
i
e( t ) = (R1 + RGBF ).i ; s( t ) = − R2 .i
R1 = 1 kΩ - ∞ R2 .e( t ) 10
i 0 ⇔ s( t ) = − =− .e( t ) = − 6 ,25 1 .e( t )
- R1 + RGBF 1 + 0 ,6
GBF V
+ s
+
1,5pt
e V
-3-
R2 s( t )
Déterminer l’expression du rapport en fonction des
e( t )
R1 i résistances R1 et R2 en supposant l’amplificateur opérationnel
- ∞ idéal (non saturé). Démonstration (1/2 pt), Résultat (1/2 pt)
e V-
+ s
Corrigé :
-s e( t ) = R1 .i ; s( t ) = − R2 .i
R2 R .e( t ) s( t ) R2
⇔ s( t ) = − 2 ⇔ =−
e i R1 e( t ) R1
R1 i Démonstration 0,5pt
- ∞ Résultat 0,5pt
0
e 0
+ s Le second montage s’étudie de la même façon que le premier en
0 remplaçant les grandeurs réelles par les grandeurs complexes
correspondantes.
S Z2
Donc : =− 1pt
E Z1
-4-
Corrigé :
e1
i1 En linéaire : i s = i1 + i2 + i3 , donc
- vS is
R1 i2 e e e − vs
RS is = 1 + 2 + 3 et i s =
R2 i3 R1 R2 R3 Rs
0 - ∞
e1 R3 Donc
e2 0
v- 0 − vs e1 e e3
e3 + vS = + 2 +
+ Rs R1 R2 R3
v =0
e e e
⇔ v s = − Rs . 1 + 2 + 3
R1 R2 R3
c) On peut reconstruire la tension v s ( t ) avec une source de tension. Ceci ne change pas les autres tensions et
courant du montage. Ensuite, on peut calculer v − a l’aide du théorème de Millman :
R1
RS
R2 0
e1 R3 R1 R2 R3 Rs
e2 v- v-
e3 vS e1 e2 e3 vS
e1 e e v
+ 2 + 3 + s
R R2 R3 Rs e e e v
v− = 1 avec v − = v + = 0 ⇒ 1 + 2 + 3 + s =0
1 1 1 1 R1 R2 R3 Rs
+ + +
R1 R2 R3 Rs
e1 e2 e3
⇔ v s = − R s . + + Ce montage est un sommateur inverseur.
R1 R2 R3
-5-
c) Application numérique :
e1 = 5 V continu , e2 (t ) = 2. sin (ω.t ) , R1 = R2 = Rs = 1 kΩ .
Exprimer v s (t )
Corrigé :
a) La sortie de l’AOP est rebouclée sur l’entrée « - ». C’est la condition pour que l’AOP puisse fonctionner en
régime linéaire.
1 pt
Dans ce cas vd ≈ 0
is - vS
e1 i1 b) i s = i1 + i2 (loi des nœuds). 1 pt
RS
R1 e2 i2 e e − vs
0 - ∞ ⇒ 1 + 2 = 1 pt
R1 R2 Rs
R2
e1 0 R R
e2
0 0 ⇔ v s = − e1. s + e2 . s 1 pt
+ vS R1 R2
b) Toutes les sources qui agissent sur le montage ci-dessous sont des sources de tension continue et le réseau
électrique est linéaire. Donc, en régime permanent, toutes les tensions et tous les courants sont continus. Les
condensateurs se comportent donc comme des circuits ouverts.
Sans aucune justification, indiquer sur le schéma ci-dessous, la valeur numériques des tensions et des courants
représentés.
R2
C1 15 V
0
- ∞ C2
0
R1
s1 s2
R + R3
15 V R 0V
c) La source de tension « e » ci-dessous est alternative sinusoïdale. Sa fréquence est suffisamment élevée
pour que l’impédance du condensateur C1 soit négligeable par rapport à la résistance R1. De même l’impédance
du condensateur C2 est négligeable par rapport à la résistance R3. On considèrera donc que les condensateurs C1
et C2 se comportent comme des courts-circuits.
Sans aucune justification, indiquer sur le schéma ci-dessous, l’expression ou la valeur des tensions et des
courants représentés. On utilisera si nécessaire les paramètres « e », R1, R2, R3 ou R.
R2
C1 15 V
- ∞ C2
R1
s2
R + s1 R3
e R 0V
-7-
R2
C1 15 V
- ∞ C2
R1
s2
R + s1 R3
e 15 V R 0V
e) Application numérique :
R2 = 100 kΩ
C1 = 100 nF 15 V
R1 = 10 kΩ - ∞ C2 = 100 nF
10 kΩ
+ s1 s2
15 V 10 kΩ R3 = 10 kΩ
e 0V
1
e( t ) = 0 ,5. cos(6000.π .t ) ; = 530 Ω << 10 kΩ . Exprimer s1 ( t ) et s 2 ( t ) .
C1 .ω
L’hypothèse « l’amplificateur opérationnel n’est pas saturé mais en fonctionnement linéaire » est-elle vérifiée ?
Justifier en quelques mots.
-8-
Corrigé :
a) L’AOP ci-dessous peut fonctionner en régime linéaire car sa sortie est rebouclée sur son entrée « - »
3 pts
0 0
R2
C1 15 V
0 0
- ∞ 0
C2
R1
0 0
s1 s2
R + R3
15 V R 7,5 V 7,5 V 0V 7,5 V 0
3 pts
e e
.R2
R1 R1
e R2
C1 e 0 15 V
R1
- ∞ C2
R1 0 0
s2
+ s1 e e
R − .R2 R3 − .R2
e R 0 0 0V R1 R1
2 pts
R2
C1 15 V
- ∞ C2
R1 0
s2
s1 e e
R +
7 ,5 − .R2 − .R2
e 15 V R 7,5 V 7,5 V 0V R1 R1
-9-
R2 = 100 kΩ
C1 = 100 nF 15 V
R1 = 10 kΩ - ∞ C2 = 100 nF
10 kΩ
+ s1 s2
15 V 10 kΩ R3 = 10 kΩ
e 0V
e .R2
e( t ) = 0 ,5. cos(6000.π .t ) ⇒ s1 ( t ) = 7 ,5 − = 7 ,5 − 5. cos(6000.π .t ) et s 2 ( t ) = − 5. cos(6000.π .t ) 1pt
R1
La tension s1 ( t ) est bien comprise entre les tensions d’alimentation : 0 < 2 ,5 V < s1 ( t ) < 12 ,5 V < 15 V .
Il n’y a donc pas de saturation. 1pt
15 V 15 V
0V 0V
2R 2R 2R 2R
R R R R
E2
2R 2R 2R 2R
E3 E2 E1
R R R R
2 4 8
E1
2R 2R 2R 2R
2R 2R 2R 2R
Req = R
-VS E1 E 2 E 3
+ +
2 et i = − Vs . Donc
i
R i= 8 4
R R
A i 0 - ∞ E E E
Vs = − 1 + 2 + 3 2pt
0 8 4 2
R V- V
+ VS Vs = − cc . (a1 + 2.a 2 + 4.a3 )
E1 E 2 E 3 + 8 1pt
+ + V
Nous obtenons un convertisseur
8 4 2
numérique/analogique de trois bits. La résistance
équivalente vue de la sortie de l’amplificateur
opérationnel est nulle.
B
On peut généraliser la méthode sur n bits. On
appelle ce type de convertisseur un CNA R/2R
- 12 -
Corrigé :
Modèle idéal : i + = i − = 0
e . R + v s . R3
V− = 2 4 Théorème de superposition ou théorème de Millman
R3 + R4
1 pt
e . R + v s . R3 e .R e . R R + R4
Vd = 0 ⇔ V + = V − ⇔
e1 . R2
= 2 4 ⇔ v s = 1 2 − 2 4 . 3
R1 + R2 R3 + R4 R1 + R2 R3 + R4 R3
R2 R R
Ou v s = e1 . . 1 + 4 − e2 . 4 . 1 pt
R1 + R2 R3 R3
0,5 pt
- 13 -
ve + vS
Quelle est la fonction réalisée par ce montage ?
Corrigé :
d (ve ( t )) − v s ( t ) d (ve ( t )) v (t ) 1,5pt
i=C. = ⇔ =− s
dt R dt R .C
Corrigé :