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Montpellier

La ville de Montpellier est une ville


médiévale qui s'est développée à
partir du Xe siècle. Elle est bien
moins anciennes que ses voisines
Lattes, Arles, Nîmes ou encore
Bézier qui datent de l'Antiquité.

L'histoire de Montpellier est intimement liée à la dynastie des


Guilhems qui dirigèrent la ville en tant que seigneurs pendant
plusieurs siècles.

La ville s'est largement développée pendant le Moyen-Age,


notamment grâce à sa faculté de médecine et sa faculté de
droit, ainsi que sa proximité avec le port royal d'Aigues Mortes
qui favorise le commerce mais également les départs des
croisades vers la Terre Sainte.

Le centre ville de Montpellier est nommé "l'Écusson", en


référence à sa forme particulière qui semble représenter un
écu (bouclier médiéval). Il était entouré dès le XIIe siècle d'une
muraille imposante dont il ne reste que peu de vestiges.

On y trouve encore des rues typiquement médiévales, très


étroites, qui forment un véritable petit labyrinthe dans lequel il
est facile de se perdre.
Le jardin
botanique
Le jardin botanique de
Montpellier a été fondé en 1593
par le roi Henri IV. Il s'agit du plus
ancien jardin botanique de
France.

Il est indissociable de la faculté de médecine qui enseignait


alors la botanique à ses étudiants. Le jardin botanique est
encore aujourd'hui la propriété de l'Université de Montpellier.

Il fut ravagé en 1622 lors du siège de la ville par les armées du


roi Louis XIII durant les guerres de religions.

On peut y trouver un arbre particulier, un filaire à large feuille,


appelé "l'arbre à vœux". On dit qu'il aurait été planté vers 1625
et qu'il pourrait exaucer les vœux de ceux qui se laisseraient
tenter d'y laisser un message. On peut également y déposer
des mots doux et déclarations d'amour à l'attention de l'être
aimé.
La Tour des
Pins
La tour des pins est un des
derniers vestiges des remparts
fortifiés de l'Écusson (XIIe
siècle).

Elle est haute de 25m et se trouve Boulevard Henri IV. Sa


base date du XIIe siècle tandis que son couronnement de la
fin du XIXe siècle. Elle a résisté à de nombreux conflits,
notamment les guerres de religion ou la contre réforme...

La tour doit son nom à deux pins qui auraient poussés à son
sommet à la fin du Moyen-Age. Nostradamus, professeur à
la faculté de médecine au XVIe siècle, aurait prophétisé que
la cité de Montpellier sera détruite si ces deux pins venaient
à périr.

La plaque commémorative célèbre la mémoire de Jacques


1er d'Aragon (1208-1276), roi d'Aragon et seigneur de
Montpellier.
La faculté de
médecine
La faculté de médecine de
Montpellier est la plus ancienne
faculté de médecine du monde
occidental encore en activité.

Elle fut fondée au XIIe siècle après que le seigneur de


Montpellier, Guilhem VIII, ait autorisé en 1181 l'exercice et
l'enseignement de la médecine dans la ville. Quiconque
désormais, quelle que soit son origine, a le droit d'enseigner la
médecine.

La faculté de médecine se situe au sein de l'ancien monastère


bénédictin datant du XIVe siècle. Il est toujours possible de
visiter l'ancien cloitre du monastère aujourd'hui. Le grand
vestibule et l'escalier du hall datent quant à eux du XVIIIe siècle.

Le bâtiment abrite aujourd'hui la bibliothèque historique de


médecine et le célèbre conservatoire d'anatomie, un lieu
étonnant.

Les deux statues à l'entrée du bâtiment représentent deux


médecins de renom : François Gigot de Lapeyronie (1678-1747)
et Paul-Joseph Barthez (1734-1806).
La cathédrale
Saint-Pierre
La cathédrale était à l'origine la
chapelle du monastère Saint-
Benoit Saint-Germain, fondée
en 1364 par le pape Urbain V.

Cette église fut érigée en cathédrale en 1536 lorsque le siège


épiscopal fut transféré de Maguelone à Montpellier.

Ravagée pendant les mouvements iconoclastes protestants du


XVIe siècle, l'édifice est muni de défenses importantes, ce qui en
fait une véritable forteresse dans laquelle peut se réfugier la
population. Sa robustesse est visible depuis l'extérieur.

Il s'agit du monument de style gothique le plus important de


Montpellier. Son entrée originelle est précédée d'un proche
massif, composé de deux piliers cylindriques et d'une voûte
reliant ces deux piliers à la façade de la cathédrale.

A l'intérieur de la cathédrale, il est possible d'observer le grand


orgue construit en 1778 par le plus grand facteur d'orgue de
l'époque : Jean-François Lépine.
L'arc de Triomphe

L'arc de Triomphe a été construit


en 1691 par l'architecte Augustin-
Charles d'Aviler. Il symbolise la
toute puissance de la royauté
française.

Véritable porte d'entrée de l'Ecusson, il fait face à la


promenade du Peyrou et plus particulièrement la Statue
équestre du roi Louis XIV. Il se trouve au début de la rue
Foch qui fut rénovée lors des révolutions haussmanniennes
du XIXe siècle.

Son architecture s'inspire fortement de la Porte Saint-Martin


de Paris. Il mesure 28m de haut pour 18m de large. Il
comporte quatre médaillons à la gloire du roi. Il est possible
de se rendre à son sommet.

L'inscription latine inscrite sur son fronton signifie :

"Louis le Grand, dont le règne dura soixante-douze ans, a apporté


la paix sur terre et sur mer après avoir séparé, contenu et s'être
attaché à des peuples alliés dans une guerre de quarante années".
La promenade
royale du Peyrou

La promenade du Peyrou est


une esplanade emblématique
de Montpellier située à l'Ouest
de l'Écusson en bordure de
l'ancien rempart de la ville.

La promenade du Peyrou est la conjonction de plusieurs


œuvres :

La place royale du Peyrou et ses terrasses (1689)


L'arc de Triomphe (1691)
La statue équestre de Louis XIV (1718)
L'aqueduc Saint-Clément (1753)
Le château d'eau (1768)
Les bassins
Les statues enfants et lion d'Antonin Injalbert et les grilles
des entrées (1883)

La promenade du Peyrou a été construite à 52m d'altitude, au


sommet des collines "Montpellier" et "Montpelliéret". Elle offre
une vue panoramique sur la ville et ses environs, notamment
les Cévennes avec le Pic Saint-Loup.
La statue équestre
de Louis XIV

Au centre de l'esplanade du
Peyrou trône une imposante
statue équestre représentant le
roi Louis XIV.

La statue a été érigée pour la première fois en 1718. Elle fut


détruite pendant la Révolution française de 1789 et fondu pour
en faire des canons. Pendant la période de la Terreur, elle fut
remplacée par une guillotine faisant une vingtaine de victime.

La statue actuelle a été érigée en 1838.

Le roi est représenté avec le bras tendu vers l'Espagne,


évoquant son acceptation officielle du testament du roi Charles
II d'Espagne qui fit du duc d'Anjou, petit-fils du roi Louis XIV,
l'héritier du royaume d'Espagne. En réalité, si l'on observe
l'orientation de la statut, on constate que la statue a le bras
tendu vers l'Italie...

La locution latine inscrite sur son socle signifie : " A Louis le


Grand vivant les populations d'Occitanie ont voué cette statue et
l'ont érigée après sa mort ".
Aqueduc
Saint-Clément
Egalement nommés les "Arceaux",
l'aqueduc Saint-Clément fut bâti
au XVIIIe siècle afin d'alimenter
Montpellier en eau, notamment
ses nombreuses fontaines.

C'est l'ingénieur hydraulicien Henri Pitot qui le construisit sur


le modèle du Pont du Gard voisin. Il relie la source d'eau
Saint-Clément au château d'eau du Peyrou sur une distance
de 14 km.

Sur environ 800m, il est constitué d'une double rangée


d'arcades qui ont donné son nom au quartier qu'elles
traversent : le quartier des Arceaux.

L'aqueduc n'est plus en service depuis les années 1980.


La Place de la
Canourgue
La Place de la Canourgue, située
à deux pas de l'Arc de Triomphe
et de la cathédrale Saint-Pierre,
est réputée être la plus belle, la
plus romantique et la plus
ancienne place de Montpellier.

Elle devait accueillir la nouvelle cathédrale de Montpellier


avant que le projet ne soit abandonné.

Elle est bordée de nombreux hôtels particuliers datant du


XVIIe siècle.

Tout au bout du jardin trône la fontaine des licornes élevée


en l'honneur du marquis de Castrie (1776). Initialement,
érigée place Jean Jaures, elle fut transférée place de la
Canourgue en 1863.

Le bas relief de la fontaine représente la Bataille de


Clostercamp contre le prince de Brunswick de 1760.
L'église Sainte-
Anne
L'église Sainte-Anne a été
construire entre 1866 et 1869
sur les ruines de l'église Saint-
Paul (XIIe siècle), détruite
pendant les guerres de religions
du XVIe siècle.

De style néo-gothique, elle mesure 69m de haut dont le


clocher et la flèche située à son extrémité : "l'aigrette" sont
visibles depuis les quatre coins de la ville et au delà. Il s'agit
du monument le plus haut de Montpellier.

En 1984, l'église a dû fermer car elle devenait trop


dangereuse à cause du délabrement de l'édifice. En 1991,
l'église est finalement désacralisée et sa rénovation débute.
L'ancienne église est transformée en espace culturel
accueillant des expositions d'artistes locaux tout au long de
l'année.

En face de l'église se trouve l'un des bâtiments du


conservatoire de musique de Montpellier.
Les ruelles de
l'Écusson
Les ruelles de l'Écusson sont
typiques de la période médiévale,
étroites et sinueuses.

Certaines d'entre elles présentent un intérêt particulier :

La rue de l'Ancien courrier est une rue commerçante du


centre ville accueillant des boutiques locales. Elle doit son nom
à l'ancien bureau de poste équestre qui se trouvait dans cette
rue.

La rue du bras de fer tire son nom d'un lampadaire


particulier. En effet, si l'on fait attention, on remarque que l'un
des lampadaires est en réalité tenu par un bras en fer fixé au
mur. Le haut de la rue se termine par un pont en ogive assez
remarquable.

La rue de l'Aiguillerie est la rue la plus alternative de


Montpellier. On y trouve de très nombreux magasins,
restaurant mais également salon de tatouage et magasin de
musique. On y trouve également un magasin suprenant :
"pomme de reinette et pomme d'api".
L'Eglise Saint-Roch

Construite au XIXe siècle dans


un style néo-gothique, elle n'a
jamais été achevée. En effet, on
remarque qu'il manque les deux
flèches latérales initialement
prévues au dessus du clochet.

L'église est dédiée à Saint Roch, saint guérisseur des


pestiférés et des piétons pèlerins en route pour Saint-
Jacques-de-Compostelle. Il est le saint-bienfaiteur de la ville
de Montpellier. L'église Saint-Roch possède d'ailleurs
plusieurs reliques du saint.

Les fêtes de la Saint Roch sont fêtées chaque année le 16


août. De nombreuses processions folkloriques et religieuses
envahissent le centre-ville, attirant des milliers de pèlerins et
touristes.

En 2005, un trompe-l'œil est réalisé en face de l'église par les


artistes de Mad'art.
La Tour de la
Babote
La Tour de la Babotte est un
vestige des vingt-cinq tours de
l'ancienne enceinte fortifiée de
l'Écusson, bâtie au XIIe siècle.
Elle mesure 26m de haut.

En 1745, l'Académie royale des sciences y établit un


observatoire d'astronomie qui reste en activité jusqu'en
1793.

Elle servit par la suite aux services télégraphiques.

Selon la légende, Sébastien Lenormand, inventeur du


parachute, aurait testé son invention en s'élançant depuis le
sommet de la Tour de la Babotte. Il survivra à l'expérience.

Aujourd'hui, la tour abrite le club d'échec de Montpellier et la


Fédération d'astronomie populaire amateur du Midi.
La Place de la
Comédie
La Place de la Comédie est le
lieu le plus fréquenté de
Montpellier. Elle est la place
emblématique de la ville et l'un
des plus vaste espace piétonnier
d'Europe.

Elle est également appelée "place de l'œuf" pour sa forme ovale


qui est toujours visible sur les dalles.

Elle est surplombée par l'opéra comédie qui est un véritable


théâtre à l'italienne avec dorures et draperies construit au XVIIIe
siècle. Il fut cependant ravagé par plusieurs incendies. Son
allure finale a été réalisé qu'au XIXe siècle.

La statue des trois grâces trône devant le l'opéra Comédie. Il


s'agit du monument le plus emblématique de la ville. Elle
représente les trois déesses de la mythologie grecque : Aglaé,
Euphrosine et Thalie qui symbolisent la séduction, la beauté, la
nature, la créativité et la fécondité.

La statue d'origine, datant du XVIIIe siècle, est exposée dans le


hall de l'opéra Comédie pour des raison de préservation.
Le Corum

La Corum est le palais des


congrès et le second opéra de
Montpellier. Il se situe à
l'extrémité de l'esplanade
Charles de Gaulle.

Il faut construit entre 1988 et 1990 par l'architecte Claude


Vasconi. Il se distingue par sa couverture de plaques de
granit rose de Finlande "Carmen Red"

A son sommet se trouve une terrasse panoramique qui


permet d'avoir une vue sur une bonne partie de la ville en
contrebas.

L'opéra Berlioz est renommé pour ses qualités acoustiques.


Il accueille aussi bien la musique de facture classique que
contemporaine. Il contribue au rayonnement culturel de
Montpellier.
L'esplanade
Charles de Gaulle

L'esplanade Charles de Gaulle


se situe à l'extrémité nord de la
place de la Comédie.

Bordée de quatre rangées de platanes depuis le milieu du


XIXe siècle, elle est le plus grand parc du centre ville de
Montpellier.

Il s'agit du siège de nombreux festivals qui s'installent sur


l'allée de droite.

On y trouve plusieurs lieux d'intérêt :


Le musée Fabre (1824) qui est le principal musée des beaux-
arts de Montpellier.
Le pavillon populaire qui est un lieu d'exposition de
photographie
Le lycée Joffre installé dans l'ancienne fortification Vauban
Le kiosque à musique Bosc
L'Office de tourisme
La maison de l'Europe
Un bassin et des fontaines
Les monuments aux morts
La rue de la
Loge
Il s'agit d'une des rues les plus
connues du centre ville de
Montpellier. Elle accueille des
dizaines de magasins qui
renforcent sa popularité.

La rue s'appelait "carrière d'or", nom qui provenait de la


présence de nombreux orfèvres et argentiers établis dans la
rue.

Le nom actuel de la rue provient de la "grande loge", c'est-à-


dire le conseil des marchands de la ville dont la fondation fut
impulsée par Jacques Cœur, l'argentier du roi Charles VII au
XVe siècle. Il s'agissait d'une bourse de marchant et un
tribunal de commerce.

La rue de la loge fut détruite lors des guerres de religion du


XVIIe siècle et fut reconstruite lors des rénovations
haussmanniennes
La place Jean
Jaurès
La place Jean Jaurès est située à
l'emplacement de l'ancienne
église Notre-Dame-des-Tables
(XIe siècle).

Sous l'actuelle place, se trouve la crypte de l'ancienne église


encore intacte où sont entreposés les ossements de
centaines de moines (ossuaire).

En surface, la place accueille une dizaine de café/restaurant,


faisant de la place un lieu très populaire de Montpellier.

En son centre se trouve la statue de Jean Jaurès, homme


politique français et ardent militant pour la paix. Il fut
assassiné le 31 juillet 1914 pour s'être opposé à la Première
guerre mondiale.
La préfecture
Après la Révolution, la nouvelle
préfecture s'installe dans un
hôtel particulier du XVIIe siècle
entourée de trois places : la
place Chabaneau, la place des
Martyrs-de-la-Résistance et la
place du marché au fleur.

La fontaine de l'intendance est édifiée en 1776 place


Chabaneau. Elle représente une femme tenant les armes de
Montpellier et un vase.

La place des Martyrs-de-la-Résistance fut le lieu de


rencontre entre le maréchal Pétain et le général Franco. Les
résistants locaux sont enfermés au sein de la préfecture
avant d'être déportés.

La préfecture se situe à l'extrémité de la rue Foch qui relie la


préfecture à la promenade du Peyrou. Cette rue
emblématique de Montpellier est surnommée les "Champs
Élysées de Montpellier".
Le Street Art
Le Street art est omniprésent à
Montpellier. Il est possible d'en
trouver au quatre coin de la
ville. Il suffit souvent de se
montrer curieux et parfois de
lever les yeux.

Mr.BMX est un street artiste bien connu à Montpellier


pour ses accrochages urbains de vélo sur les murs de la
ville (esplanade, carré Sainte-Anne, place Albert Ier, etc..)
Les "spaces invaders" qui sont des petites mosaïques
collées aux murs.
Les bornes autours de l'Église Saint-Roch
Les trompe-l'œil (place Saint-Roch, avenue des droits de
l'Homme, rue de la Méditerranée, Boulevard du jeu de
paume, etc...)
Le canal du Verdanson, musée de street art à ciel ouvert
et tout le reste...
Antigone
Le quartier d'Antigone de
Montpellier surprend par son
architecture néoclassique. Il fut
conçu par l'architecte catalan
Ricardo Bofill entre 1983 et 2000.

Le quartier d'Antigone se situe entre le centre historique et


les rives du Lez. La majorité des immeubles du quartier a
été construire sur un style inspiré par l'architecture de la
Grèce antique.

On y trouve plusieurs lieux d'intérêt :

La médiathèque Émile Zola


Plusieurs places remarquable : place du nombre d'or,
place de l'Europe, etc...
La piscine olympique
L'Hôtel de région
L'Arbre Blanc
Située sur les rives du Lez,
l'édifice que l'on nomme "l'arbre
blanc" est un bâtiment résidentiel
élu le plus beau du monde en
2020.

Il s'agit d'un bâtiment très particulier, né de la rencontre


entre deux générations d'architectes : le japonais Sou
Fujimoto et les français Nicolas Laisné et Manal Rachdi, la
nouvelle garde de l'architecture française.

L'Arbre Blanc est le symbole du Montpellier contemporain


du XXIe siècle avec ses balcons suspendus qui font penser
à une arborescence. Il accueille une centaine de logement
répartis sur 17 étages, une galerie d'art, un restaurant ainsi
qu'un bar panoramique situé à son sommet, permettant
d'avoir une vue splendide sur le quartier en contrebas.
Les tramways
de Montpellier
La ville de Montpellier est munie
d'un réseau moderne de
tramway depuis le 30 juin 2000.

Le 30 juin 2000 est inaugurée la première ligne de tramway


reliant la Paillade à Odysseum. Les hirondelles sur fond bleu
de ces tramways symbolisent l'air

En 2006, la deuxième ligne est inaugurée, reliant Saint-Jean-


de-Védas à Castelnau. Elle arbore un motif floral symbolisant
la terre.

Le 7 avril 2012, les lignes trois et quatre de tramway sont


inaugurées.
La ligne 3 permet de relier la Mosson à Pérols. Son design
particulier, signé Christian Lacroix, est placé sous le signe
de l'eau, représentant un décors sous-marin.
La ligne 4 quant à elle permet de desservir le grand cœur
de Montpellier en faisant le tour de l'Écusson. Son design
doré, baroque et opulent, également signé Christian
Lacroix, symbolise le feu du soleil.

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