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PSI Corrigé du Devoir Surveillé n◦ 2 vendredi 08/10/2021

Concours e3a - Épreuve de mathématiques 2 de PC -


2016

Partie I.
xn X xn
1. Pour x = 0, ∀n ∈ N∗ , (−1)n+1 = 0 donc la série (−1)n+1 converge absolument.
n n
n
x
Soit x ∈ R∗ , ∀n ∈ N∗ , un = (−1)n+1 6= 0 et
n
un+1 n
= |x| → |x|.
un n+1 n→+∞

P
Ainsi d’après
P la règle de d’Alembert, si |x| < 1 la série un converge absolument et si |x| > 1
la série un diverge grossièrement.
1
Si |x| = 1 alors |un | = est le terme général d’une série divergente.
n
X xn
Ainsi, l’ensemble des réels x pour lesquelles la série (−1)n+1 converge absolument est ] − 1; 1[.
n
+∞ +∞ 1 k

1 1 k+1 − 2
X X
2. Comme − ∈]−1; 1[, d’après la formule donnée, k
=− (−1) = − ln(1/2) = ln(2).
2 k=1
k2 k=1
k
3.a. Soit x ∈ R.
xk+1 |x|k+1
Si |x| > 1 alors par croissance comparée = → +∞. Donc la série
k(k + 1) k(k + 1) k→+∞
+∞
X xk+1
diverge grossièrement.
k=1
k(k + 1)
xk+1 1 X 1
Si |x| ≤ 1 alors ≤ 2 . Or la série converge d’après le critère de Riemann
k(k + 1) k k2
+∞
X xk+1
donc la série converge absolument donc converge.
k=1
k(k + 1)
+∞
X xk+1
Ainsi la série converge lorsque x ∈ [−1; 1].
k=1
k(k + 1)

Soit x ∈] − 1; 1[. Pour tout k ∈ N∗ ,


1 1 1
= − .
k(k + 1) k k+1
X xk+1 X xk+1
D’après la première question les séries et convergent donc
k k+1
+∞ +∞ +∞
X xk+1 X xk+1 X xk+1
= −
k=1
k(k + 1) k=1 k k=1
k+1

1
+∞ k +∞
X x X (−x)k
Or =− (−1)k+1 = − ln(1 − x) d’après l’énoncé. Ainsi
k=1
k k=1
k

+∞ +∞ k+1 +∞
X xk+1 X x X xk+1
= −
k=1
k(k + 1) k=1
k k=1
k+1
+∞
X xk X xj+∞
= x −
k=1
k j=2
j
= −x ln(1 − x) − (− ln(1 − x) − x).

+∞
X xk+1
Donc pour tout x ∈] − 1; 1[, = (1 − x) ln(1 − x) + x.
k=1
k(k + 1)
1
b. Comme ∈] − 1; 1[, d’après la question précédente
2
+∞ +∞
(1/2)k+1
 
X 1 X 1 1
k
=2 =2 ln(1/2) + = 1 − ln(2).
k=1
k(k + 1)2 k=1
k(k + 1) 2 2
 
1
4.a. La suite est décroissante, positive et converge vers 0 donc d’après le théorème spécial
n n∈N∗
X (−1)k−1
sur les séries alternées la série est convergente.
k>1
k
 n
x
b. Soit x ∈ [0, 1], la suite est décroissante, positive et converge vers 0 donc d’après le
n n∈N∗
X xk
théorème spécial sur les séries alternées la série (−1)k−1 converge et pour tout n ∈ N∗ ,
k≥1
k
+∞
X (−1)k−1 k xn+1 1
x ≤ ≤ car x ∈ [0; 1].
k=n+1
k n + 1 n + 1

xn
c. Notons pour tout n ∈ N∗ , fn : x 7→ (−1)n−1 .
n X
D’après la question précédente la série de fonctions fn converge simplement sur [0; 1].
+∞
X 1
De plus pour n ∈ N∗ , fn ≤ → 0.
k=n+1
n + 1 n→+∞
∞,[0;1]
X
Donc la série de fonction fn converge uniformément sur [0; 1].
+∞
X
Comme les fonctions fn sont continues sur [0; 1] on en déduit que la fonction fk est conti-
k=1
nue sur [0; 1].
+∞
X
Or d’après l’énoncé, ∀x ∈ [0, 1[, fk (x) = ln(1 + x).
k=1
+∞
X +∞
X +∞
X
D’un coté, fk (x) → fk (1) car fk est continue en 1.
x→1
k=1 k=1 k=1
D’un autre coté, ln(1 + x) → ln(2).
x→1

2
+∞
X (−1)k−1
Par unicité de la limite = ln(2).
k=1
k

Partie II.
1.a. Soit n ∈ N∗ ,
2n
Y
n−1
k
Y k=0 (2n)! (2n)!
(2k + 1) = n = n = n .
k=0
Y Y 2 n!
(2k) 2n k
k=1 k=1

(2n)!
Ainsi an = .
n22n+1 (n!)2
√  n n
b. La formule de Stirling est n! ∼ 2πn .
n→+∞ e
c. Nous avons
√ 2n 2n
 √ n 2n

4πn e
2 nπ22n e 1
an ∼ ∼ ∼ √ 3/2 .
n 2n n→+∞ n 2n n→+∞ 2 πn
 
n→+∞ n2 × 22n × 2πn 4πn2 22n
e e
X 1
Or d’après le critère de Riemann, la série converge ainsi par comparaison des séries à
X n3/2
termes positifs la série an converge.
Z π
2
2. On considère la suite (In )n∈N définie par In = sin2n (x)dx.
0
a. Soit n ∈ N,
Z π Z π Z π
2 2 2
2n 2n+2 2n 2
cos(x) sin2n (x) cos(x)dx.

In −In+1 = sin (x) − sin (x) dx = sin (x)(1−sin (x))dx =
0 0 0

u0 (x) = − sin(x)

πi h u(x) = cos(x),
Posons pour x ∈ 0; , .
2 v 0 (x) = cos(x) sin2n (x), v(x) = 2n+11
sin2n+1 (x)
h πi
Les fonctions u et v sont de classe C 1 sur le segment 0; donc par intégration par parties
2
  π2 Z π
1 2n+1 1 2 In+1
In − In+1 = sin (x) cos(x) + sin2n+2 (x)dx = .
2n + 1 0 2n + 1 0 2n + 1
In+1
Ainsi In − In+1 = .
2n + 1
n−1
Y
(2k + 1)
k=0 π
b. Montrons par récurrence que pour tout n ∈ N∗ , In = .
2n n! 2
n−1
Y
(2k + 1)
k=0 π 1 π π
Initialisation : pour n = 1, = = et
2n n!
2 2 × 1! 2 4
π Z π  π
2 1 − cos(2x)
Z
2
2 x sin(2x) 2 π
I1 = sin (x)dx = dx = − = .
0 0 2 2 4 0 4

3
Donc notre relation est vraie au rang 1.
Hérédité : soit n ∈ N∗ ,supposons notre
 égalité vraie au rang n.
1 2n + 1
Nous avons In = In+1 + 1 donc In+1 = In donc par hypothèse de récurrence
2n + 1 2n + 2
n−1
Y n
Y
(2k + 1) (2k + 1)
2n + 1 k=0 π k=0 π
In+1 = n
= n+1 .
2n + 2 2 n! 2 2 (n + 1)! 2

Ainsi notre égalité est vraie au rang n + 1 et l’hérédité est bien démontrée.
n−1
Y
(2k + 1)
k=0 π
Conclusion : d’après le principe de récurrence, ∀n ∈ N∗ , In = n
.
2 n! 2
On en déduit que In = πnan .
+∞ n X sin2n (x)
πh
h
2
X t
3.a. Soit x ∈ 0, , sin (x) < 1. Or ∀t ∈] − 1; 1[, = − ln(1 − t) donc la série
2 k=1
n n
+∞
X sin2n (x)
converge et = − ln(1 − sin2 (x)) = − ln(cos2 (x)) = −2 ln(cos(x)).
n=1
n
X h πh
b. • La série de fonctions fn converge simplement vers f : x 7→ −2 ln(cos(x)) sur 0, .
h πh h πh 2
• La fonction f est continue sur 0, car ∀x ∈ 0, , cos(x) > 0.
2h 2
πi h πi
• Les fonctions fn sont continues sur 0, donc intégrables sur 0, .
2 2
X Z π2
• Étudions la convergence de la série |fn (x)|dx.
Z π Z π 0
2 2 In X
Nous avons |fn (x)|dx = fn (x)dx = = πan . Or la série an converge donc la
0 0 n
Z π
X 2
série |fn (x)|dx converge.
0
Ainsi d’après le théorème d’interversion série-intégrale
+∞ Z π Z π +∞
!
X 2 2 X
fn (x)dx = fn (x) dx
n=1 0 0 n=1

c’est-à-dire π
+∞ Z
X 2
πan = −2 ln(cos(x)dx
n=1 0

+∞ Z π
X 2 2
Ainsi an = − ln(cos(x))dx.
n=1
π 0
Z π Z π
2 2
4. On note I = ln(cos(x))dx et J = ln(sin(x))dx.
0 0

4
i πi i πi
a. La fonction x 7→ ln(sin(x)) est continue sur 0; car ∀x ∈ 0; , sin(x) > 0.
2 2
De plus en 0, ln(sin(x)) = ln(x + o (x)) = ln(x)+ → (1) ∼ ln(x). Or la fonction x 7→ ln(x)
x→0 x→0 x→0
est intégrable au voisinage de 0 donc la fonction x 7→ ln(sin(x)) aussi.
i πi
Finalement x 7→ ln(sin(x)) est intégrable sur 0; et J converge.
2
i πi π π
b. Pour tout x ∈ 0; on pose u = − x. Comme x 7→ − x est strictement décroissante,
2 i πi 2 h πh 2
1
bijective et de classe C de 0; dans 0; d’après le théorème de changement de variables
Z π 2 2
2 R0 Rπ
les intégrales ln(sin(x))dx et − π ln(sin( π2 −u))du = 02 ln(cos(u))du sont de même nature.
2
0
Or la première intégrale J est convergente donc la seconde I l’est aussi et J = I.
c. Nous avons
Z π Z π Z π  
2 2 2 sin(2x)
I +J = (ln(sin(x)) + ln(cos(x))) dx = ln(sin(x) cos(x))dx = ln dx.
0 0 0 2
Z π
2 π
Donc I + J = ln(sin(2x))dx −
ln(2).
0 2
Avec le changement de variable affine u = 2x (qui est de classe C 1 , strictement croissant et
π
bijectif de ]0; [ dans ]0; π[) nous avons
2
Z π Z π Z π Z π !
I 1 π
Z
2 du 1 2
ln(sin(2x))dx = ln(sin(u)) = ln(sin(u))du + ln(sin(u))du = + ln(sin(u))du
0 0 2 2 0 π
2
2 2 π
2

En effectuant le changement de variable C 1 , bijectif et strictement décroissant, v = π − u nous


avons
Z π Z π
I 1 0
Z
2 I 1 2
ln(sin(2x))dx = + ln(sin(π − v))(−dv) = + ln(sin(v))dv = I.
0 2 2 π2 2 2 0

π π
Ainsi I + J = I − ln(2) et I = − ln(2).
2 2
+∞
X 2
5. D’après les questions 3.b et 4.c nous avons an = − I = ln(2).
n=1
π

Partie III.
+∞
X 1
1. On note dans cette question (Un )n∈N la suite définie par Un = i
.
i=n+1
2

X  1 i +∞  i 1
1 X 1 n+1 1
a. Soit n ∈ N, comme < 1 la série converge et Un = = 2 1 = n.
2 2 i=n+1
2 1− 2 2

1
Soit k ∈ N∗ , = Uk−1 − Uk .
2k

5
b. Soit n ∈ N,
+∞
X 1
Rn = (Uk−1 − Uk ) .
k=n+1
k
Uk−1 1 X Uk−1
Comme = k d’après la première partie la série converge et on peut écrire
k k2 k
+∞ +∞ +∞ +∞ +∞  
X Uk−1 X Uk X Uk X Uk Un X 1 1
Rn = − = − = − Uk − .
k=n+1
k k=n+1
k k=n
k + 1 k=n+1
k n + 1 k=n+1
k k + 1

+∞
1 1 1 Un X Uk
Or − = donc Rn = − .
k k+1 k(k + 1) n + 1 k=n+1 k(k + 1)

Uk Uk X Uk X 1
c. Soit n ∈ N, pour tout k ≥ n + 1, 0 ≤ ≤ . Or la série =
k(k + 1) k(n + 2) k k2k
converge donc
+∞ +∞ +∞
X Uk 1 X Uk 1 X 1 Rn
0≤ ≤ = k
= .
k=n+1
k(k + 1) n + 2 k=n+1 k n + 2 k=n+1 k2 n+2

+∞
Rn X Uk
Or = o (Rn ) donc = o(Rn ).
n + 2 n→+∞ k=n+1
k(k + 1)

1 1
d. Comme Un = 2n
nous avons d’après les questions b et c, Rn = + o (Rn ). Ainsi
(n + 1)2n n→+∞
1 1
Rn ∼ ∼ .
n→+∞ (n + 1)2n n→+∞ n2n
2.a. Soient n ∈ N∗ et t ∈ [0; 1], on a
n−1 n−1
X
k k
X 1 − (−t)n 1 (−t)n
(−1) t = (−t)k = = − .
k=0 k=0
1 − (−t) 1 + t 1 + t

n−1
X 1 tn
Ainsi (−1)k tk = − (−1)n .
k=0
1+t 1+t
b. Soit n ∈ N∗ , en intégrant la relation précédente ce qui est possible car les fonctions en questions
sont continues sur le segment [0; 1], nous obtenons
n−1 Z 1 1 1
tn
Z Z
X
k k dt
(−1) t dt = − (−1)n dt
k=0 0 0 1+t 0 1+t

c’est-à-dire
n−1 1
tn
Z
X 1k
(−1) = ln(2) − ln(1) − (−1)n dt.
k=0
k + 1 0 1+t
Or d’après la question 4.c de la partie 1 nous avons
+∞ n n−1
X (−1)k−1 X (−1)k−1 X (−1)k
ln(2) = = + Sn = + Sn .
k=1
k k=1
k k=0
k+1

6
1
tn
Z
n
Mais alors Sn = (−1) dt.
0 1+t
(

1
u(t) = 1+t , u0 (t) = − (1+t)
1
2
c. Soit n ∈ N , pour tout t ∈ [0; 1], on pose 0 n tn+1 .
v (t) = t , v(t) = n+1
Comme les fonctions u et v sont de classe C 1 sur le segment [0; 1] par intégration par parties
nous avons
Z 1 n 1 Z 1 n+1 Z 1 n+1
tn+1

t 1 t 1 1 t
dt = + 2
dt = + dt.
0 1+t (n + 1)(1 + t) 0 n + 1 0 (1 + t) 2(n + 1) n + 1 0 (1 + t)2
1
(−1)n (−1)n tn+1
Z
Ainsi Sn = + dt.
2(n + 1) n+1 0 (1 + t)2
n+1
t
d. Pour tout t ∈ [0; 1], ≤ tn+1 . Ainsi par croissance de l’intégrale
(1 + t)2
Z 1 n+1 Z 1
t n+1 1
0≤ 2
dt ≤ t dt = .
0 (1 + t) 0 n+2
Z 1 n+1
(−1)n
 
t 1
On en déduit que 2
dt → 0 donc Sn = + o .
0 (1 + t) n→+∞ 2(n + 1) n→+∞ n + 1
(−1)n
Ainsi Sn ∼ .
n→+∞ 2n
3. Soit  > 0.
1 √
a. Nous avons an ∼ √ 3/2 c’est-à-dire que 2 πn3/2 an → 1. Par définition de la limite,
n→+∞ 2 πn n→+∞
√ 3/2
il existe un rang N tel que ∀k ≥ N , 1 − ε ≤ 2 πk ak ≤ 1 + ε.
1 1
Ainsi il existe bien un rang N ∈ N tel que ∀ k > N , (1 − ) √ 3 6 ak 6 (1 + ) √ 3 .
2 πk 2 2 πk 2
1
b. Soit k ≥ 2. La fonction f : t 7→ est continue et décroissante sur R∗+ . Ainsi ∀t ∈ [k; k + 1],
t3/2
Z k+1 Z k+1
f (t) ≤ f (k) et par croissance de l’intégrale f (t)dt ≤ f (k)dt = f (k).
k k Z k
De même, ∀t ∈ [k − 1; k], f (k) ≤ f (t) et par croissance de l’intégrale f (k) ≤ f (t)dt.
k−1
Z k+1 Z k
dt 1 dt
Ainsi 3 6 3 3 .
6
k t k2 k−1 t 2
2

c. D’après les deux questions précédantes,


Z k+1 Z k
1 dt 1 dt
∀k ≥ max(2, N ), (1 − ε) √ ≤ a k ≤ (1 + ε) √ .
2 π k t3/2 2 π k−1 t3/2
Z +∞
P dt
En sommant ces inégalités entre n + 1 et +∞ ce qui est possible car ak et sont
n t3/2
convergentes, nous obtenons
+∞ Z k+1 +∞ +∞ Z k
1 X dt X 1 X dt
(1 − ε) √ 3/2
≤ ak ≤ (1 + ε) √
2 π k=n+1 k t k=n+1
2 π k=n+1 k−1 t3/2

7
Z +∞ Z +∞
1 dt 1 dt
et donc par relation de Chasles ∀ n > N, (1 − ) √ 3 6 Tn 6 (1 + ) √ 3 .
2 π n+1 t 2 2 π n t2
Z +∞  +∞
dt 1 2
d. Pour X > 0, nous avons 3/2
= −2 1/2 = √ . Ainsi d’après la question précédente
X t t X X
1 1
∀n ≥ N, (1 − ε) p ≤ Tn ≤ (1 + ε) √
π(n + 1) πn

et donc √
n √
∀n ≥ N, (1 − ε) √ ≤ πnTn ≤ (1 + ε).
n+1
√ √
n n
Comme √ → 1 il existe un rang N2 ∈ N tel que ∀n ≥ N2 , 1 − ε ≤ √ ≤ 1 + ε.
n + 1 n→+∞ n+1
Mais alors, ∀n ≥ max(N, N2 ), (en supposant ε < 1)

(1 − ε)2 ≤ Tn ≤ 1 + ε.

Donc
∀n ≥ max(N, N2 ), 1 − 2ε ≤ (1 − ε)2 ≤ Tn ≤ 1 + 2ε.
√ 1
Par définition de la limite, on en déduit que πnTn → 1 et donc Tn ∼ √ .
n→+∞ n→+∞ πn
4. En effectuant comme à la question 1. nous avons
+∞ +∞
X Uk−1 − Uk Un X 2Uk
Vn = = −
k=n+1
k(k + 1) n(n + 1) k=n+1 k(k + 1)(k + 2)

+∞
X 2Uk Un 1
puis nous montrons que o (Vn ) et donc Vn ∼ ∼ .
k(k + 1)(k + 2) n→+∞ n→+∞ n(n + 1) n→+∞ n2 2n
k=n+1

1 (−1)n 1 1
5. Nous avons trouvé Rn ∼ , S n ∼ , Tn ∼ √ et Vn ∼ .
n→+∞ n2n n→+∞ 2n n→+∞ πn  n→+∞ n 2n
2

(−1)n (−1)n
   
1 1 1 1
Or 2 n = o n
, n
= o et = o √ .
n2 n→+∞ n2 n2 n→+∞ 2n 2n n→+∞ πn
X 1
On en déduit que la série est celle qui converge le plus rapidement
k≥1
k(k + 1)2k
X
et que la série ak est celle qui converge le moins rapidement.

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