1-

A) Dans la préface de « Dernier jour d’un condamné », Victor Hugo

semble sur la défensive car il n’arrête pas de répéter que la sentence
de mort est un crime publique, que c’est sinistre et que ceux qui
organisent ou ordonne ces exécutions se croient juste mais sont en
fait pitoyables. Deuxièmement, on remarque qu’il est sur la défensive
car il donne beaucoup d’arguments pour prouver son point aux
autres.
B) Il s’adresse aux lecteurs sur un ton convaincant.
Extrait 1 : Nous venins de dire que l’échafaud est le seul édifice que
les révolutions ne démolissent pas. Il est rare, en effet, que les
révolutions soient sobres de sang humain, et, venues qu’elles sont pour
émonder, pour ébrancher, pour érêter la société, la peine de mort est
une des serpes dont elles se dessaisissent le plus malaisément.
Extrait 2 : Heureux s’il a rendu pitoyables ceux qui se croient justes!
Heureux si, à force de creuser dans le juge, il a réussi quelquefois à y
trouver un homme!
C) Non, la population était pour la peine de mort, mais Victor Hugo est
contre la peine de mort. Premièrement dans la préface, Victor Hugo
explique que chaque fois qu’une exécution avait lieu, il entendait la
roule qui applaudissait le spectacle et lui, chez lui, pensait au
misérable condamné et avait peine pour lui. Et ensuite il dit :
« Comme on le voit, à l’époque où ce livre fut publié, l’auteur ne
jugea pas à propos de dire dès lors toute sa pensée. Il aima mieux
attendre qu’elle fût comprise et voir si elle le serait. » ce qui
démontre son aversion pour la peine de mort et que la population
est en désaccord avec lui sur ce point.

2-
A) Caractéristiques psychologiques : curieux (il dit toujours être curieux
quand quelque chose se passe), empathique (il prend toujours pitié
des personnes dans une situation triste) et familiale/ paternel
Caractéristiques physiques : Il a une barbe, les cheveux châtains et un
corps et il est jeune et robuste.
B) Premièrement, la lecture nous fait ressentir la souffrance du
condamné car il y a beaucoup d’usage de vocabulaire connoté, par
exemple : lugubre, hideuse, odieux, affreux, effroi, etc

C) Après la lecture, le personnage m’apparaît plus fictif que réel car je

n’ai aucune manière de l’imaginer. Dans le livre, il y a tellement peu
de caractéristiques qu’on ne peut pas se créer une image ou une idée
du condamné ce qui rend très difficile de croire qu’il est un
personnage réel. Ensuite, ses pensées ne sont pas toujours
rationnelles pour quelqu’un qui va bientôt subir la peine de mort,
comme s’il n’en avait pas peur ou que l’événement ne l’angoissait
pas du tout. Pour finir, je trouve que le personnage semble détaché
de la réalité, il ne donne jamais d’informations sur le temps et il
donne ses descriptions comme si le temps passait très vite pour lui
puisque c’est un livre.

D) Le principal allié du condamné semble être être le prêtre, car c’est le

seul qui agit avec lui avec respect et ensuite, il est celui qui lui
remonte le moral avant sa peine de mort. Le principal opposant du
condamné est selon moi le condamné lui-même, c’est lui qui a
commis le crime lui-même et qui s’est mis dans cette situation et
deuxièmement, il se met lui-même en tête des idées destructrices
qui le brise mentalement.

E) Votre honneur,
Compte tenu du crime commis et des circonstances entourant le
crime, l’accusé ne mérite pas la sentence de mort. Premièrement,
l’accusé à une femme et un enfant, une famille qui devra vivre sans
lui. Ensuite, il montre du regret envers ses actes, le condamné
exprime son sentiment de culpabilité envers les gestes qu’il a posé et
le sentiment de regret. Ensuite, il assume pleinement la gravité du
crime commis et accepte ce qui c’est passé même si c’est regrettable.
Pour continuer, selon moi, une personne aussi vive d’esprit ne mérite
pas la sentence de mort, l’accusé est définitivement une bonne
personne portant de bonne valeur, il ne mérite pas la sentence de
mort, il peut faire de la prison je vous l’accorde mais il ne mérite pas
de mourir. Pour finir, l’accusé est si jeune, il a une vie à bâtir devant
lui et le temps de renouveler sa personne et de changer pour le
meilleur, nous devont lui laisser une autre chance puisqu’il est si
jeune et qu’il peut devenir un homme nouveau.

3-
A) Je me suis senti mal et rempli de tristesse pour le condamné, qui
paraît être une si bonne personne pourtant condamné à la peine
de mort. Tout le long du roman, j’ai ressenti de l’empathie, de la
tristesse et de la culpabilité envers l’accusé. Ce sont les 3
sentiments dominants que j’ai ressenti pendant ma lecture.

B) Oui, je trouve que c’était une bonne idée, car puisque c’est écrit à
la première personne, l’auteur peut encore plus décrire le drame
se déroulant dans la tête de l’accusé. Il peut encore plus décrire
les émotions vécues et donner une impression de réalité encore
plus frappante à l’histoire.