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MODULE 4
AGIR EN SITUATION D’INCERTITUDE
COMPLEXITÉ,
INCERTITUDE
& CONTROVERSES
LA NOUVELLE DONNE
Partie 1 : Les nouveaux risques
Module 4 Séquence 1.1 : Complexité, incertitude & controverses : La nouvelle donne
Dialectique de la Technologie
L’innovation technologique est devenue un moteur de nos sociétés
à l'aube du 3ème millénaire.
Pourtant, si les avancées technologiques se multiplient à une
vitesse déroutante, elles vont aussi créer de plus en plus de
risques, notamment du point de vue de leurs effets sanitaires,
sécuritaires et environnementaux.
Car, les technologies prometteuses pour une meilleure
productivité ou qualité de vie, sont également porteuses de
« nouveaux risques » — tant socio-économiques qu'écologiques.
Partie 1 : Les nouveaux risques
Module 4 Séquence 1.1 : Complexité, incertitude & controverses : La nouvelle donne
Le « revers » du progrès
Comme le disait Karl Marx, l’homme fait
l’histoire, mais pas toujours l’histoire qu’il
avait imaginée.
RETOUR SUR
EXPÉRIENCES
Partie 1 : Les nouveaux risques
Module 4 Séquence 1.2 : Retour sur expériences
L’accident Seveso
Seveso est le nom d’une localité en Italie du nord où s'est produite, le 10
juillet 1976, une explosion dans un réacteur de TCP (2,4,5-
trichlorophénol) dans l'usine ICMESA, située dans la région Lombarde en
Italie.
Un nuage toxique contenant du TCDD (2,3,7,8-tetrachlorodibenzo-p-
dioxin), fut relâché accidentellement dans l'environnement, contaminant
gravement une zone de population dense située sous le vent et mesurant
6 km de long et environ 1 km de large.
L’accident Seveso
Avant la catastrophe de Seveso en 1976, plusieurs accidents industriels
impliquant le TCP avaient déjà été signalés :
La vache folle
L’émergence de la maladie de la « vache folle » peut être assimilée à un choix
technologique fondé sur le souci de rentabilité sectorielle (la filière bovine en
Angleterre).
La vache folle
Les OGM
Les OGM
Les technologies OGM pénètrent la vie quotidienne (santé, nutrition)
et sont ressenties par beaucoup comme une invasion des domaines du
privé et du sacré.
L’ÉTENDUE
DES
‘NOUVEAUX RISQUES’
Partie 1 : Les nouveaux risques
Module 4 Séquence 1.3 : L’étendue des « Nouveaux Risques »
DÉCOUVERTE
DE LA
NOTION DE RISQUE
Partie 2 : Risques et incertitudes : De quoi s’agit-il ?
Module 4 Séquence 2.1 : Découverte de la notion de risque
Civilisation chinoise
Moyen-Age chrétien
Sociétés du risque ?
SOCIÉTÉ DU RISQUE (U. Beck, 2001)
Chacun est confronté à une série de menaces plus ou moins ciblées
socialement.
!
F. Ewald parle de « assurantialisation » des sociétés
développées, avec l’instauration de l’Etat-
Providence. La vieillesse, le chômage, l’invalidité, la
pauvreté sont considérés comme des risques qu’il
s’agit d’assurer.
Partie 2 : Risques et incertitudes : De quoi s’agit-il ?
Module 4 Séquence 2.1 : Découverte de la notion de risque
RISK ASSESSMENT
Identification, évaluation et mesures
par des approches quantitatives ou
qualitatives pour estimer la
probabilité et la sévérité du risque.
Partie 2 : Risques et incertitudes : De quoi s’agit-il ?
Module 4 Séquence 2.1 : Découverte de la notion de risque
v En quoi un processus
d’évaluation des risques
aide à orienter l'action ?
v Comment peut-on
établir des passerelles
entre l’évaluation des
risques et les actions à
mener ?
Partie 2 : Risques et incertitudes : De quoi s’agit-il ?
Module 4 Séquence 2.1 : Découverte de la notion de risque
DÉFINITIONS
QUANTITATIVES
DU RISQUE
Partie 2 : Risques et incertitudes : De quoi s’agit-il ?
Module 4 Séquence 2.2 : Définitions quantitatives du risque
Probabilité d’occurrence
Intolerable area
Intermediate area
Normal area
Etendue du dommage
UNIVERS RISQUÉ
1 L’agent sait quels événements peuvent se
réaliser dans le futur et il connaît la
probabilité d’occurrence de chacun d’eux.
UNIVERS INCERTAIN
2 L’agent connaît les événements futurs à
envisager, mais pas les probabilités
correspondantes. Il va élaborer des
« probabilités subjectives ».
RISQUE :
DÉFINITIONS
QUANTITATIVES ET
QUALITATIVES DU
RISQUE
Partie 2 : Risques et incertitudes : De quoi s’agit-il ?
Module 4 Séquence 2.3 : Définitions quantitatives et qualitatives du risque
Probabilité qu’un
phénomène naturel
d'intensité donnée
se produise en un
lieu donné.
Partie 2 : Risques et incertitudes : De quoi s’agit-il ?
Module 4 Séquence 2.3 : Définitions quantitatives et qualitatives du risque
VULNÉRABILITÉ
La probabilité et les conséquences de l’aléa (approches
scientifiques du climat, par exemple).
Il s’agit de la probabilité qu’un feu se propage Elle exprime la probabilité de départ de feu en
Occurrence en un lieu donné. Cette probabilité combine le
plus souvent la probabilité d’éclosion et un
un lieu donné. Elle est fonction de la présence
d’activités humaines de type « poudrières », de
modèle de propagation intégrant plusieurs la sensibilité climatique (celle-ci considère la
variables (combustibilité de la végétation, pluviométrie, les températures, etc.), et de
biomasse, pente du terrain, position dans le l’inflammabilité de la végétation. Elle peut aussi
versant, exposition au soleil, exposition au vent être évaluée statistiquement à partir de
dominant, etc.). Elle permet la construction de données historiques disponibles. Elle est à
la « carte des surfaces potentiellement l’origine de la « carte de mises à feu
brûlées ». potentielles ».
Les infrastructures
Partie 2 : Risques et incertitudes : De quoi s’agit-il ?
Module 4 Séquence 2.3 : Définitions quantitatives et qualitatives du risque
IDENTIFICATION
DES RISQUES
Partie 2 : Risques et incertitudes : De quoi s’agit-il ?
Module 4 Séquence 2.4 : Identification des risques
1 Construire le problème
2 Signaux précoces
3 ‘Screening’
4 Conventions scientifiques
Partie 2 : Risques et incertitudes : De quoi s’agit-il ?
Module 4 Séquence 2.4 : Identification des risques
Structuration du problème
Screening
Conventions scientifiques
LES APPROCHES
INTÉGRÉES
D’ANALYSE DU RISQUE
Partie 2 : Risques et incertitudes : De quoi s’agit-il ?
Module 4 Séquence 2.5 : Les approches intégrées d’analyse du risque
L’approche actuarielle
Toxicologie et épidémiologie
L’évaluation probabiliste
L’économie du risque
Cette approche est utilisée par les décideurs, qui en comparant les
aspects positifs et négatifs, puissent prendre position en faveur ou
non d’un projet.
Le concept de l’analyse
économique est proche de celui de
l’analyse technique. La différence
majeure est celle de la
transformation des impacts
physiques en termes d’utilités
subjectives. Les utilités décrivent le
degré de satisfaction ou de non
satisfaction associé aux actions
possibles.
Partie 2 : Risques et incertitudes : De quoi s’agit-il ?
Module 4 Séquence 2.5 : Les approches intégrées d’analyse du risque
La psychologie du risque
QUESTION
DE VOCABULAIRE
Partie 3 : Les enjeux d’action et de décision
Module 4 Séquence 3.1 : Question de vocabulaire
Perception
Représentation
Évaluation
Le terme « ÉVALUATION » est largement utilisé dans les
démarches objectives (de mesure) comme dans celles
subjectives (de jugement).
LES PERSPECTIVES
D’ANALYSE DU RISQUE
Partie 3 : Les enjeux d’action et de décision
Module 4 Séquence 3.2 : Les perspectives d’analyse du risque
4 Théorie critique
5 Perspective post-moderne
C’est une des théories dominantes et parmi les plus couramment admises.
Elle se définit par l’idée que les personnes, ou agents, vont réaliser une
action en adoptant un comportement visant le plus grand profit, le plus
grand intérêt pour sa personne ou au moins le moindre mal.
Théorie critique
La théorie critique porte sur l'examen et la critique de la modernité
(Habermas).
Recherche de consensus à
partir d’une compréhension
mutuelle des faits ; des valeurs,
des expériences et des
hypothèses normatives.
Partie 3 : Les enjeux d’action et de décision
Module 4 Séquence 3.2 : Les perspectives d’analyse du risque
Perspectives post-modernes
La post-modernité est un mouvement qui critique les croyances et les
valeurs partagées par les idéologies modernes, tel que le matérialisme, la
rationalité ou l’universalité (Lyotard, Ewald, Foucault).
Pour faire des choix prudents, les individus doivent être conscients des
intérêts sous-jacents.
La réponse doit être apportée par la société et par les personnes qui
sont considérées comme les plus compétentes au sein de la structure.
Partie 3 : Les enjeux d’action et de décision
Module 4 Séquence 3.2 : Les perspectives d’analyse du risque
Comme la réflexion
post-moderne, la THÉORIE
CULTURELLE DU RISQUE considère le risque comme
étant la résultante d’une construction sociale
(Douglas, Wildavsky).
INDICATEURS
ET PERTINENCE
Partie 3 : Les enjeux d’action et de décision
Module 4 Séquence 3.3 : Indicateurs et pertinence
Réalisme ou constructivisme ?
Enjeu de l’évaluation du risque comme étant objectif
(probabilités objectives d’impact), ou comme le reflet de
convention des professionnels de l’évaluation du risque ou de
groupes d’acteurs sociaux :
Associations et ONG
Economic Participation
Distribution
Ecological
Distribution
Recognition
Subsistence
Partie 3 : Les enjeux d’action et de décision
Module 4 Séquence 3.3 : Indicateurs et pertinence
Un risque, Pourquoi?
APPROCHES
CONCEPTUELLES
PORTEURS DE Indicateurs,
CONNAISSANCES concepts (Pertinence ENJEUX
0, 1, 4)
CHOIX À
Contexte
EFFECTUER
(SCÉNARIOS…)
Partie 3 : Les enjeux d’action et de décision
Module 4 Séquence 3.4 : Incertitudes et contrôle de la qualité de la connaissance
INCERTITUDES ET
CONTRÔLE
DE LA QUALITÉ DE LA CONNAISSANCE
Partie 3 : Les enjeux d’action et de décision
Module 4 Séquence 3.4 : Incertitudes et contrôle de la qualité de la connaissance
INCERTITUDE
Comme un manque de connaissance, la distance entre la
connaissance qu’on a de la réalité, et la réalité elle-même,
l’expression d’un doute, un degré de confiance dans une
affirmation, une « perception » (état subjectif), état
d’incommunication, un défaut d’un processus de recherche…
Partie 3 : Les enjeux d’action et de décision
Module 4 Séquence 3.4 : Incertitudes et contrôle de la qualité de la connaissance
Dimensions de l’incertitude
TECHNIQUE (inexactitude)
EPISTÉMOLOGIQUE (ignorance)
ÉVALUATION DE LA BASE DE Qualité exigée ; limite au niveau des connaissances et des méthodes
CONNAISSANCE existantes, impacts sur la qualité du résultat.
NUSAP
NUMERAL • UNIT • SPREAD • ASSESSMENT • PEDIGREE
Score Proxy Empirique Méthode Validation
Méthode acceptée
Comparée avec des
Bonne Modélisé / dérivé avec un minimum de
2 mesures non
corrélation de données consensus sur la
indépendantes
fiabilité
Méthode préliminaire
Faible Conjecture avisée
1 dont la fiabilité est Validation faible / indirecte
corrélation / Estimation
inconnue
CONSTRUIRE DES
PASSERELLES
… aux questionnements…
Qui identifie les risques? Pour répondre à quels objectifs ?
Comment faire des choix entre les stratégies ou les options d’action ?
Poids Jugement
Valeur
subjectif synthétique
T% acidité 75%
Enjeu 2 25%
Enjeux
Catégories d’acteurs
Partie 3 : Les enjeux d’action et de décision
Module 4 Séquence 3.5 : Construire des passerelles entre l’analyse et la gouvernance des risques
Identification
Caractérisation
Communication
Who needs to
CHARACTERISATION
AND EVALUATION
do what, when ?
La méta-méthode Integraal
Etape 1
IDENTIFIER
Etape 6 Etape 2
S’INTERROGER STRUCTURER
Etape 5 Etape 3
COMMUNIQUER REPRÉSENTER
Etape 4
ÉVALUER
PARTIE 4
DÉMARCHES INTÉGRÉES
POUR INFORMER LES CHOIX
STRATÉGIE
PRÉVENTION - voir venir : permet d’agir, d’une part, sur la source (par
substitution ou par réduction du caractère dangereux) et, d’autre part, sur le
vecteur (en jouant sur le sens, l’intensité).
Le principe de précaution
Par l'article 200-1 du Code rural de la loi du 2 février 1995 relative au
renforcement de la protection de l'environnement selon lequel :
« L’absence de certitudes, compte tenu des connaissances scientifiques et
techniques du moment, ne doit pas retarder l'adoption de mesures effectives et
proportionnées visant à prévenir un risque de dommages graves et irréversibles à
l'environnement à un coût économiquement acceptable »
De la gestion de risques...
… à la gouvernance de risques
Des « Porteurs de Connaissance » et des « Porteurs d’Enjeux »
(Stakeholders, en anglais) deviennent des « acteurs » engagés pour
partager et construire les connaissances nécessaires, et pour identifier
les déficits, les manques et les incertitudes.
STRATÉGIE
Probabilité d’occurrence
CASSANDRA
PYHTIA
DAMOCLES
MEDUSA
CYCLOPES
Etendue du dommage
Normal Area Intermediate Area Intolerable Area Beyond Definition
Stratégie de gestion
Processus de
décision selon les classes des risques
Est-ce que le
Non Eliminer les incertitudes majeures
risque potentiel
est connu ?
(production de connaissances)
Oui
Limites des Risques normaux : gestion de la
Non routine
critères
dépassés ? Amélioration de la
Non PYTHIEE
Autres critères Précaution
forts ?
Oui Fournir des
Oui PANDORE substituts
Non Ubiquité, persistance,
Dommage irréversibilité forte
Dommages potentiels et Mieux connaître les
potentiel est CYCLOPE
probabilité incertains Probabilités
connu ?
Probabilité incertaine
Réduire la désastre
Oui DAMOCLES potentiel
Désastre Probabilités inconnues, Probabilité faible
potentiel faibles ou fortes ?
connu ? CASSANDRE Renforcer les
Probabilité et le délai des responsabilités
effets sont importants
Non
Mobilisation Oui
Mobilisation forte MEDUSE Construire la
sociale forte ?
confiance
Non
Partie 4 : Démarches intégrées pour informer les choix
Module 4 Séquence 4.2 : Stratégies de gestion des risques par classe de risques
Exemple
Plantes transgéniques, spécifications génétiques, les gaz à effet de
serre, les POP (Persistant Organic Pollutant).
VIVRE
AVEC LES
INCERTITUDES
Partie 4 : Démarches intégrées pour informer les choix
Module 4 Séquence 4.3 : Vivre avec les incertitudes
1 Réduire l'incertitude
2 Contrôler l'incertitude
L’exemple de l’Eutrophisation
L’eutrophisation compte parmi les altérations les plus courantes des eaux
continentales et marines relatives aux activités humaines (agriculture, eaux
résiduaires…).
Les manifestations sont les efflorescences de
cyanobactéries toxiques dans les lacs et les cours d’eau, et
les proliférations de macro-algues vertes dans les zones
côtières.
COMMENT PEUT-ON LES ÉLABORER afin de les rendre opérants pour la gestion ?
ÉVOLUTION
Le modèle technocratique
LE MODÈLE TECHNOCRATIQUE
Dans ce modèle, la science est considérée comme objective.
Elle est comme devant fournir directement des informations
aux décideurs. Les scientifiques sont perçus comme les
meilleurs juges pour établir la tolérabilité des risques et pour
informer les décideurs à propos de ce qu’ils doivent faire.
COMMUNICATION DES
SCIENCE DÉCIDEUR
RISQUES
Partie 5 : Vers une gouvernance inclusive des risques
Module 4 Séquence 5.1 : Évolution des formes de gouvernance des risques
Le modèle décisionnel
LE MODÈLE DÉCISIONNEL
Dans ce modèle, les décideurs ont besoin d’informations
autres que celles provenant des scientifiques afin d’établir
une décision ; d’autres facteurs légitimes doivent être
considérés : les objectifs socio-économiques, politiques…
POLITIQUE
MESURE DU EVALUATION GESTION DU
D’ÉVALUATION
DU RISQUE RISQUE DU RISQUE RISQUE
CARACTÉRISER
LA GOUVERNANCE
INCLUSIVE
DE RISQUES
Partie 5 : Vers une gouvernance inclusive des risques
Module 4 Séquence 5.2 : Caractériser la gouvernance inclusive de risques
Un modèle de
« dialogue autour de la connaissance »
FOCUS GROUPS
Des groupes de discussion avec facilitation.
PANELS DE CITOYENS
Des groupes sélectionnés (représentatifs des citoyens) pour
fournir, à travers des discussions modérées, des arguments et
recommandations aux processus de prise de décision.
JURYS DE CITOYENS
Des groupes ressemblant aux « panels », excepté que leur
délibération doit résulter en un "verdict" ou une
recommandation spécifique.
CONFERENCES DE CONSENSUS
Des conventions qui combinent un panel de citoyens avec des
témoignages d’experts dans un forum public ad hoc autour des
questions majeures – typiquement avec rapport écrit et
recommandations.
Partie 5 : Vers une gouvernance inclusive des risques
Module 4 Séquence 5.3 : Outils de dialogue, outils de partenariat
OUTILS DE DIALOGUE
OUTILS DE PARTENARIAT
Partie 5 : Vers une gouvernance inclusive des risques
Module 4 Séquence 5.3 : Outils de dialogue, outils de partenariat
MEILLEURE
LÉGITIMITÉ
GLOBALE
MEILLEUR
MEILLEURS
CARACTÈRE DE
RÉSULTATS
PROCESSUS
SUBSTANTIFS
MEILLEURE
MEILLEUR
EXPLOITATION
ENGAGEMENT
DES
DES INTÉRESSÉS
CONNAISSANCES
Partie 5 : Vers une gouvernance inclusive des risques
Module 4 Séquence 5.3 : Outils de dialogue, outils de partenariat
Co-Production de connaissances
Bâtir la confiance….