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Vient l’interprétation : celle d’Alain Planès est éminemment "Krokodil" et "Lebiadkine" sont assez bien représentés dans la
personnelle, concentrée sur le chant, toujours mesurée par la base. Mais la "Suite sur des sonnets de Michel-Ange" ne l'est
main gauche. La technique pourtant des plus solides se fait que 3 fois.
discrète. Remarquable.
Diapason, No.577, Olivier Rouvière Classica n°117, p. 104 (Franck Mallet, 3).
Classica n°118, p. 99
3CD EMI classics " / EMI 2CD EMI classics " / EMI
Mozart, Wolfgang Amadeus (1756-1791) Mozart, Wolfgang Amadeus (1756-1791)
Don Giovanni (1787) Zauberflöte (Die) [La flûte enchantée] (1791)
Eberhard Wächter (Don Giovanni) ; Giuseppe Taddei (Leporello) ; Nicolaï Gedda (Tamino) ; Gundula Janowitz (Pamina) ; Lucia Popp
Joan Sutherland (Donna Anna) ; Luigi Alva (Don Ottavio) ; (Reine de la nuit) ; Walter Berry (Papageno) ;
Elisabeth Schwarzkopf (Donna Elvira) ; Graziella Sciutti (Zerline) ; Gottlob Frick (Sarastro) ; Gerhard Unger (Monostatos) ;
Philharmonia Ch. & Orchestra ; Carlo Maria Giulini (dir.) Philharmonia Chorus. & Orchestra ; Otto Klemperer (dir.)
Epoque classique Epoque classique
REED. // Enr. 1961. REED. // Enr. 1964.
Impossible de rater le "Don Giovanni" miraculeux d'équilibre de Pas de dialogues parlés. Mais "La flûte..." d'O. Klemperer,
C. M. Giulini, premier choix de la discographie. admirablement chantée, est d'une force spirituelle peu
commune.
2CD EMI classics " / EMI 2CD EMI classics " / EMI
Puccini, Giacomo (1858-1924) Puccini, Giacomo (1858-1924)
Bohème (La) (1891) Tosca (1900)
Nicolaï Gedda (Rodolfo) ; Mirella Freni (Mimi) ; Mariella Adani Maria Callas (Floria Tosca) ; Giuseppe Di Stefano (Mario
(Musetta) ; Caravadossi) ; Tito Gobbi (Scarpia) ;
Mario Sereni (Marcello) ; Orch. & Ch. du Theâtre de l'Opéra de Franco Calabrese (Cesare Angelotti) ; Orch. & Ch. du Théâtre de la
Rome ; Thomas Schippers (dir.) Scala de Milan ; Victor De Sabata (dir.)
Epoque post-romantique Italie 20ème siècle Italie
REED. // Enr. 1964. REED. // Enr. 1953.
3CD EMI classics " / EMI 3CD EMI classics " / EMI
Strauss, Richard (1864-1949) Strauss, Richard (1864-1949)
Rosenkavalier [Le chevalier à la rose] (1911) Salome (1905)
Elisabeth Scharzkopf (La Maréchale) ; Otto Edelmann (Ochs) ; Hildegard Behrens (Salome) ; José Van Dam (Jokanaan) ; Wieslaw
Christa Ludwig (Octavian) ; Ochman (Narraboth) ;
Teresa Stich-Randall (Sophie) ; Philharmonia Orchestra & Karl-Walter Böhm (Herodes) ; Agnes Baltsa (Herodias) ; Wiener
Chorus ; Herbert von Karajan (dir.) Philharmoniker ; Herbert von Karajan (dir.)
20ème siècle Allemagne 20ème siècle Allemagne
REED. // Enr. 1956. REED. // Enr. 1978.
Dans "Le chevalier à la rose" d'H. von Karajan, on retrouve E. La version d'H. Karajan se recommande pour sa direction ; un
Schwarzkopf, C. Ludwig et T. Stich-Randall (trio féminin de Philharmonique de Vienne luxuriant ; la Salomé de H. Behrens,
rêve) guidées par un orchestre de lumière et un chef en état de légère et vénéneuse ; le Jokanaam de J. Van Dam ; et la prise de
grâce. son. Elle est merveilleuse.
(Classica n°118, p.87, J. Rousseau, Choc) (Dictionnaire des disques et des compacts / Diapason ; R.
Laffont, coll. "Bouquins")
À la tête de l'Orchestre philharmonique de Malaisie, fondé Asraël évoque la lutte de l'Homme contre l'ange de la
il y a seulement dix ans, Claus Peter Flor obtient une mort. Weller en donne une lecture d'une tension et d'une
homogénéité et une qualité de son remarquable, notamment des violence qui arrachent l'auditeur de son siège. La puissance de la
vents. Sa lecture de l'ample symphonie de Suk, sans lumière, bourrasque qu'il soulève bouscule un Orchestre national de
impressionne. Les tempos très serrés, la maîtrise absolue des Belgique aux sonorités assez brutes de décoffrage, et pas
sonorités, tout concourt à une vision implacable qui ne laisse pas toujours impeccable ; qu'importe, l'élégance quasiment
de place à l'espoir. expressionniste balaie les réserves.
Diapason de déc., p. 108, 5 diapasons, JC Hulot. La Légende des vainqueurs morts commémore la disparition des
soldats tchèques durant la Première Guerre mondiale. Le
matériau est brut, grandiloquent, mais les interprètes en font
une musique colorée, presque visuelle.
(Classica n°118, p.122, A. Tubeuf, 4/5) Diapason n°575, p.112 (Jean-Luc Macia, 3)
SE PCDM4 SE PCDM4
Diapason n° 575, p. 116, Nicolas Southon, 5 Classica n°118, p.118 (Pierre Doridot, ****)
Le chemin parcouru par le chœur du Magdalen College de disque Il faut aussi priser Loeffler, Holst ou Respighi. Le sensualisme
en disque sous la direction de Bill Ives aura été l'un des plus sonore de La Nuit transfigurée, lui, est plus hollywoodien que
vertueux parmi les maîtrises d'Albion. viennois, et le climat envoûtant de Bartok n'efface ni le manque
de tension, ni les limites de l'orchestre (Houston).
Diap. 575, p. 114, B. Fauchet, *****
Diap. 575, p. 118, Rémi Louis, *****
Diapason n°576, p.90 (Olivier Rouvière, 4). Diapason, No.576, Roger-Claude Travers
Couplage inédit et pourtant logique, la seconde de ces Ferdinand Ries, ami et élève de Beethoven, demeure un
deux partitions étant habituellement présentée comme la compositeur à redécouvrir. Les amateurs de cor naturel
version revue et corrigée de la première. Dans l'opus 58, apprécieront de retrouver Teunis Van der Zwart et son complice
Gerhardt dispose d'un jeu de main gauche d'une dextérité peu Erwin Wieringa; ils défendent brillamment une œuvre plaisante
ordinaire. Dans l'opus 127, l'orchestre de Bergen reste d'une et très virtuose.
regrettable platitude ; une perspective de studio ne donne guère
de corps à un plateau orchestral pourtant consistant mais Anton Steck avait déjà défendu la musique de Ries avec son
permet, en revanche, de suivre sans effort le fil de la partie quatuor Schuppanzigh (eux aussi chez CPO); le disciple de
soliste. Reinhard Goebel se penche ici sur le concerto pour violon (1810),
qu'il anime d'une éloquence venue du XVIIIème.
Diapason de jan., p. 95, 4 diapasons, PE Barbier. Accompagnement à l'avenant de la Kölner Akademie.
Diapason n° 576, p. 101, Pierre-E. Barbier, 4 Diapason de jan., p. 106, Diapason d'or, PE Barbier.
Diapason n°576, p.108 (Harold Lopparelli, 5). ***** Diapason n° 576, p. 108.
SE PCDM4 3 DIL 35
Blanc
Capté sur le vif en novembre 2008, cette nouvelle lecture Voilà du clavecin sans chichi, du phrasé sans feinte, de la vigueur
tient le cap. Gergiev impose des tempos rapides et ne les modère sans brusquerie, de la musique sans arrêt. Et ce petit rien qui
que dans les numéros figurant Juliette, le dernier volet étant le signale la vraie ramiste : la pulsation intérieure. Suivez les
plus réussi, le seul à dégager quelque émotion. On admire figures de La Laborde, si disjointes, si difficiles à déduire les
l'incroyable maîtrise d'un compositeur capable de satisfaire les unes des autres : un moteur quasi imperceptible les relie et rend
caprices des solistes et chorégraphes successifs, tout en à la pièce ce "Rondement" qui lui fait souvent défaut. Quand
refusant la moindre concession sur la nature de son tombe le dernier ré de La Marais, Noëlle Spieth a gagné son pari.
orchestration. Le clavecin seul "ne laisse rien à désirer".
Diapason de fév., p. 84, 4 diapasons, PE Barbier. Diapason n°577, p.85 (Ivan A. Alexandre, 5)
*****Diapason n° 577, p. 99
SE PCDM4 3 WIS 45
Blanc
Chopin a dominé la vie musicale du XIXe siècle à un point que l'on L'interprétation du Trio de Chopin présente des phrasés
imagine mal aujourd'hui. De nombreux compositeurs lui souples, une atmosphère subtile et des traits non forcés. La
témoignèrent leur admiration en lui élevant des stèles musicales transcription de la Polonaise brillante pour trio est un vrai
d'envergures diverses. Ferveur et sentiment sont les qualités de bonheur : le violoncelle trouve dans le violon un partenaire
Plowright. Pour sa réalisation sobre et intelligente, privilégiant la enthousiaste pour affronter les tourbillons de la partition ;
beauté sonore à la digitalité pure, on ne laissera surtout pas défendue en outre avec beaucoup de brio, elle perd en caractère
passer ce disque. démonstratif ce qu'elle gagne en équilibre. On reste plus réservé
sur le violon qui accuse une certaine dureté dans les passages les
Diapason d'avril, p.108, diapason d'or, E Moreau. Classica d'avril, plus passionnés de Tristia.
p. 111, ***, J. Bonnaure.
Diapason d'avril, p. 86, 4 diapasons, J. Bastianelli.
Mais SergioTiempo et Karin Lechner sont remarquables dans un **** Classica N° 121, p. 105. **** Diapason N° 579, p. 107.
Ravel sacrément enlevé. Moments passionnants garantis. Diap.
579, p. 106, E. Moreau, ***** Écoute très appréciée.
**** 4 Diapasons
***** 5 Diapasons
Album généreux, où tout respire la musique et rien ne sent le (Diapason n°580 p.98. H. Lopparelli. 4)
studio."
DIAPASON DECOUVERTE
**** *****
Nicolas Baron
****
Franck Mallet
(Choc du mois Classica)
2CD Soli Deo Gloria Harmonia 2CD Soli Deo Gloria Harmonia
Bach, Johann Sebastian Bach, Johann Sebastian
Cantates BWV 47, 96, 114, 116, 148, 169 Cantates BWV 9, 107, 170, 186, 187
Monteverdi Choir ; English Baroque Soloists ; John Eliot Gardiner, Monteverdi Choir ; English Baroque Soloists ; John Eliot Gardiner,
dir. dir.
Musique baroque Allemagne Musique baroque Allemagne
2CD Soli Deo Gloria Harmonia 2CD Soli Deo Gloria Harmonia
Bach, Johann Sebastian Bach, Johann Sebastian
Cantates BWV 2, 10, 21, 76, 135 Cantates BWV 38, 49, 98, 109, 162, 180, 188
Monteverdi Choir ; English Baroque Soloists ; John Eliot Gardiner, Monteverdi Choir ; English Baroque Soloists ; John Eliot Gardiner,
dir. dir.
Musique baroque Allemagne Musique baroque Allemagne
Gardiner et ses musiciens poursuivent leur apostolat musical en
cette année 2000. Leur pélerinage Bach, toujours organisé selon
le calendrier liturgique, les menait lors de ces 4 étapes à travers
les 6 mois qui constituent la période trinitaire de mai à
novembre. Leur compte-rendu discographique s'accompagne de
notes : précision détaillée de chaque cantate aux souvenirs des
lieux et des concerts. Gardiner ne cesse d'y répéter son amour
pour des oeuvres qui appellent un enthousiasme convaincu et non
un respect paralysant. L'écoute continue de ces 8 disques en
offre une juste illustration.
(Classica, septembre, p.94. P. Venturini. 3 et 4)
** Diapason n° 585, p. 98
40770 PCDM3 3 MAR 15.11 40771 PCDM3 3 MON 35
Blanc Blanc
PCDM4 3 MAR 15.11 SE PCDM4 3 MON 35
Blanc Blanc
(Diapason n°585 p.114. R. Tellart. 5) (Diapason n°585 p.114. P. Ramin. Diapason d'or)
(Classica n°128 p.87. P. Venturini. Choc) Diapason n° 586, p. 119, Patrick Szersnovicz, 5