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OPTIQUE GEOMETRIQUE

Approximation de l' optique géométrique Ceci constitue la loi du retour inverse de la lumière.
Indice de réfraction d’un milieu Lois de Descartes
La vitesse de propagation (ou célérité) de l’onde dépend du milieu traversé. Dans un Réflexion
milieu autre que le vide, elle est inférieure à c : La réflexion consiste en un brusque changement de direction de la lumière incidente
c qui, après avoir rencontré une surface réfléchissante, revient dans son milieu de pro-
v= avec n > 1
n pagation initial. +
La grandeur n est appelé indice de réfraction du milieu.
Voici quelques valeurs d’indice de réfraction :
Milieu Indice miroir
Vide n=1 i
I
Air n = 1,00027  1 plan d’incidence
Eau n = 1,33 −

n r
Verre courant n  1,5
Verre à fort indice 1,6  n  1,8
Pour les milieux transparents (c’est-à-dire non absorbants) et dans le visible, les indices Lois de la réflexion
sont supérieurs à 1. Dans la pratique, on trouve peu d’indice supérieur à 2 (l’indice Les lois de la réflexion sont les suivantes :
du diamant, particulièrement élevé, est de l’ordre de 2,4). 1. le rayon réfléchi est dans le plan d’incidence,
Longueur d’onde 2. les angles d’incidence i et de réflexion r sont tels que : r = −i
Les longueurs d’onde correspondant au domaine du visible varient de 400 nm à Réfraction
750 nm pour un œil moyen. Les couleurs principales sont récapitulées dans le tableau La réfraction consiste en un brusque changement de direction de la lumière incidente
suivant : qui, après avoir rencontré une surface dite réfractante ou réfringente, se propage dans
un milieu différent de son milieu de propagation initial. On appellera n1 l’indice de
l0 (nm) < 400 500 590 630 > 750
réfraction du milieu initial (dit aussi milieu incident) et n2 l’indice du milieu final.
n (Hz) > 7,5 1014 6,0 1014 5,1 1014 > 4,8 1014 < 4,0 1014
Lois de la réfraction
Couleur ultraviolet bleu jaune rouge infrarouge 1. le rayon réfracté est dans le plan d’incidence,
On peut citer le cas du laser hélium-néon, de couleur rouge souvent utilisé en travaux 2. les angles d’incidence i1 et de réfraction i2 sont tels que : n1 sin i1 = n2 sin i2 .
pratiques dont la longueur d’onde est 632, 8 nm.
n1 n2 + n1 n2 +
Cadre de l’approximation de l’optique géométrique
Les lois de l’optique géométrique étudiées dans la suite sont valables tant que les i1 i1
instruments utilisés sont de grande taille par rapport à la longueur d’onde. i2
Propagation rectiligne i2
Dans un milieu homogène et isotrope, les rayons lumineux sont des droites.
Dans une suite de milieux homogènes, le trajet d’un rayon lumineux sera formé
d’une succession de segments de droite. Réfraction avec un Réfraction avec un
Retour inverse milieu (2) plus réfringent. milieu (2) moins réfringent.
La trajectoire suivie par la lumière ne dépend pas du sens de parcours.
Optique 1 MPSI 1
Si n2 > n1 , on dit que le milieu (2) est plus réfringent que le milieu (1). Dans ce cas, point du plan transverse passant par A. Le système (S) sera dit aplanétique pour A et
n1
comme sin i2 = sin i1 , sin i2 < sin i1 et i2 < i1 : le rayon réfracté se rapproche A si le conjugué de B, noté B , se trouve dans le plan transverse passant par A . Il y a
n2 alors correspondance plan transverse par plan transverse.
de la normale.
Si n2 < n1 , on dit que le milieu (2) est moins réfringent que le milieu (1). Dans ce cas, Le miroir plan est rigoureusement aplanétique pour tout point de l’espace et c’est
sin i2 > sin i1 et i2 > i1 : le rayon réfracté s’écarte de la normale. le seul système optique qui vérifie cette propriété.

A A A A B B
Influence de la
réfraction sur la vision. A A

Image d’un Image d’un objet Aplanétisme


Réflexion totale Dans le cas où n2 < n1, si on augmente progressivement l’angle objet réel par un miroir plan. virtuel par un miroir plan. d’un miroir plan.
d’incidence i1 , le rayon réfracté s’écarte de plus en plus de la normale jusqu’à valoir Conditions de Gauss
p
. Dans ce cas si on continue à augmenter i1 , il ne peut plus y avoir réfraction puisque On cherche à quelles conditions on pourra considérer qu’il y a stigmatisme approché
2
le rayon réfracté ne serait plus dans le milieu (2). Il existe donc un angle limite Rlim c’est-à-dire à quelles conditions A est quasiment indépendant du rayon.
p Elles sont au nombre de trois mais deux seulement sont nécessaires, la troisième est
pour i1 , correspondant à i2 = :
2 n2 une conséquence des deux autres.
sin Rlim =
n1 1. Les rayons lumineux font un angle petit avec l’axe du système. On parle de
Ainsi, pour i1 > Rlim , comme cela vient d’être écrit, il ne peut plus y avoir de rayon rayons paraxiaux.
réfracté, mais seulement un rayon réfléchi : il y a réflexion totale. Ce phénomène peut 2. Les rayons rencontrent les dioptres ou les miroirs au voisinage de leur sommet
être observé par exemple par un nageur sous l’eau qui, en se retournant, regarde la situé sur l’axe optique si le système est centré.
surface et ne voit pas l’extérieur. 3. L’angle d’incidence des rayons sur les dioptres ou les miroirs est petit.
Réfraction limite Cela signifie aussi que l’objet et l’image ne doivent pas être de taille trop grande.
Dans le cas où n2 > n1 , le rayon se rapproche de la normale donc le problème de la Un dioptre est une surface séparant deux milieux d’indices différents.
réflexion totale ne se pose pas. Les angles i1 et i2 vérifient i2 < i1 : la valeur maximale
de i2 correspond à i1 =
p n1
et sin i2,max = . Le rayon émergent est contenu dans un
Miroirs sphériques
2 n2 Un miroir sphérique est une portion de sphère réfléchissante. Il existe deux types de
cône de sommet le point d’incidence, de demi-angle au sommet i2,max , appelé cône de
miroirs : le miroir concave et le miroir convexe.
réfraction.

Stigmatisme et aplanétisme rigoureux


Définitions
C S S C
Stigmatisme rigoureux
Un système optique (S) est dit rigoureusement stigmatique pour le couple de points (A,
A ) si tous les rayons issus de A passent par A après avoir été déviés par le système.
Les points A et A sont dits conjugués par rapport à (S).
Aplanétisme rigoureux
Miroir concave. Miroir convexe.
Soient deux points A et A de l’axe optique conjugués par rapport à (S). Soit B, un
Optique 2 MPSI 1
On définit : • un rayon incident parallèle à l’axe donne un rayon réfléchi passant par le foyer
• le centre du miroir C qui est le centre de la sphère ; image ;
• le sommet du miroir S qui est l’intersection du miroir avec l’axe optique ; • un rayon incident passant par le foyer objet donne un rayon réfléchi parallèle à
• le rayon algébrique du miroir R = CS. Il est positif pour le miroir concave, négatif l’axe.
pour le miroir convexe. Ces trois règles permettent d’effectuer la construction de l’image A B de l’objet AB
Le miroir plan est un cas particulier du miroir sphérique pour lequel le rayon est sur la figure suivante :
infini.
Le miroir sphérique comporte deux foyers confondus. Ils sont réels pour un
miroir concave, virtuels pour un miroir convexe. B H
A F S
A C
B H
C F S S F C

Position des foyers


d’un miroir sphérique.
Construction d’une image par un miroir concave.
Relation avec origine aux foyers, dite relation de Newton
On définit la distance focale objet f par f = SF et la distance focale image fpar
  Sur la figure précédente, on applique les relations de Thalès :
f = SF . Ces deux grandeurs sont égales et valent :
A B  SH  FS Dans les triangles BAF et FSH 
SC g= = =
f = f = AB AB FA
2
Représentation symbolique des miroirs A B  A B  FA
g= = = Dans les triangles B A F et FSH
Pour montrer que c’est dans les conditions de Gauss qu’on utilise les miroirs, on ne AB SH FS
les représente pas par un arc de cercle mais par les symboles de la figure suivante :
Avec g est le grandissement.
En égalant les deux expressions précédentes, on obtient la relation de conjugaison
avec origine aux foyers, appelée relation de Newton :
FA FA = FS = f 2 = f f 
2

Relation avec origine au centre A B  CA


C F S S F C
Dans les trianglesCAB et CA B : g = =
AB CA
Pour établir la relation de conjugaison avec origine en C, on repart de la relation de
Newton et on introduit le point désiré C. Cela donne : (FC + CA)(FC + CA ) = f 2
Avec : FC = f
SC
Sachant que f = , on obtient alors la formule de conjugaison du miroir sphérique
2
Miroir concave Miroir convexe dite avec origine au centre C : 1 1 2
+ 
=
CA CA CS
Quelques règles de construction préliminaires Formules de conjugaison avec origine au sommet
• un rayon passant par le centre du miroir n’est pas dévié puisqu’il frappe le miroir On procède comme pour la formule de conjugaison avec origine en C : on introduit
selon la normale ; le point S par la relation de Chasles dans la relation de Newton :
Optique 3 MPSI 1
(FS + SA)(FS + CA ) = f 2 Distance focale, vergence
Or FS = −f d’où en développant :
f 2 − f SA − f SA + SA SA = f 2 + Cas d’une lentille convergente
On simplifie et on divise l’expression par f SA SA : Pour une lentille convergente, les foyers objet et image sont symétriques par rap-
1 1 1 port au centre optique. Le foyer objet est situé avant le centre optique O et le
+ = B foyer image après O dans le sens de propagation de la lumière.
SA  SA f
SC
Sachant que f = , on obtient la formule A S
2 A C
de conjugaison avec origine au sommet : B F O O F
Utilisation d’un rayon
1 1 2 passant par le sommet du miroir.
+ =
SA SA SC

Lentilles minces sphériques Foyer objet d’une Foyer image d’une


lentille convergente. lentille convergente.
Les différentes lentilles On définit les distances focales :
Une lentille sphérique est un milieu transparent, homogène et isotrope limité par deux • la distance focale objet f = OF, qui est négative pour une lentille convergente,
dioptres sphériques ou un dioptre sphérique et un dioptre plan. • la distance focale image f  = OF  , qui est positive pour une lentille convergente.
Lentilles à bords minces Lentilles à bords épais Les distances focales f et f  sont opposées.
1 1
On définit la vergence V d’une lentille par : V = 
=−
f f
La vergence est homogène à l’inverse d’une distance et l’unité de la vergence est la
dioptrie (symbole d) qui correspond à des m−1 . Ainsi une lentille de distance focale
image f  = 50 cm a une vergence de 2 d.
Cas d’une lentille divergente
Pour une lentille divergente les foyers objet et image sont symétriques par rapport
ménisque biconcave ménisque
biconvexe plan convexe plan concave au centre optique mais virtuels. Le foyer objet est situé après le centre optique O
convergent divergent
et le foyer image avant O dans le sens de propagation de la lumière.
Une lentille sphérique mince est une lentille sphérique dont l’épaisseur e sur l’axe est
petite devant les rayons des dioptres et devant la différence de ceux-ci s’ils sont de
même sens. Ainsi si l’on considère les rayons algébriques R1 et R2 des dioptres, une
lentille est dite mince si : e  |R1 | , e  |R2 | et e  |R1 − R2 |
O F F O

S1 O S2 S 1 O S2
e e
Foyer objet d’une Foyer image d’une
lentille divergente. lentille divergente.
e  |R1 | e  |R2 − R1 | lentille lentille La définition de la vergence est la même que pour une lentille convergente. Dans
e  |R2 | convergente divergente 1
ce cas, la distance focale image f  = OF  est négative donc la vergence V =  l’est
f
Optique 4 MPSI 1
aussi. La distance focale objet f = −f  est positive. Finalement on divise l’expression par f  OA OA , pour trouver :
Relations de conjugaison 1 1 1

− =  =V
On se sert de trois règles de construction : OA OA f
• un rayon passant par le centre optique n’est pas dévié ; C' est la relation de conjugaison de Descartes , avec origine au centre optique O, pour
• un rayon incident parallèle à l’axe émerge après la lentille en passant par le les lentilles minces.
foyer image ;
• un rayon incident passant par le foyer objet émerge parallèlement à l’axe. Quelques instruments d’optique
Ces trois règles permettent d’effectuer la construction de l’image A B de l’objet AB
La lunette de Galilée
sur le figure suivante :
B H Les objets observés sont à une distance grande devant la distance focale, on peut alors
les considérer à l’infini. L’image finale doit être à l’infini.
F F A L’objet et l’image étant à l’infini : on dit que la lunette est réglée à l’infini.
A Il s’agit d’un système afocal. Puisque l’objet est à l’infini, l’image intermédiaire
est dans le plan focal image de L1 et comme l’image finale est à l’infini, l’image
H intermédiaire est dans le plan focal objet de L2 :
B objectif
∞ −−−−→ A1 (= F2 = F1 )B1 −−−−→ ∞
oculaire
Construction d’une image par une lentille convergente.
Les relations de Thalès dans les triangles ABF et OH F donnent : Il faut donc disposer les lentilles de manière à ce que F1 = F2 .
A B  OH  FO L1 L2
g= = =
AB AB FA +
De même, dans les triangles HOF  et F  A B :
A B  A B  F  A a F2 O2 A1 = F2 = F1
g= = = 
AB OH FO O1 a
F1
En combinant les deux relations précédentes, on obtient la relation de conjugaison B1 a
avec origine aux foyers appelée relation de Newton :
Lunette de Galilée.
F  A FA = F  O FO = −f 2 = −f 2 = ff 


D’après les expressions précédentes et en utilisant les distances focales, on peut écrire
On cherche à calculer le grossissement : a
G=
le grandissement sous les deux formes suivantes : a
F  A f On utilise pour faire ce calcul l’image intermédiaire et les rayons passant par les centres
g=−  =− optiques : B 1 A1 B 1 A1
f FA tan a  a = et tan a  a =
D' après Thalès dans les triangles OAB et OA B , on trouve alors : O2 F2 O1 F1

Avec le sens horaire choisi, a > 0 et a > 0 donc :
A B  OA
g= = a O1 F1 f
AB OA G= = = 1 >0
Pour obtenir la relation avec origine au centre, on repart de la relation de Newton a O2 F2 f2
et on introduit le point désiré O. Cela donne : Le grossissement est positif donc objet et image sont dans le même sens.

(F  O + OA )(FO + OA) = −f 2 La lunette astronomique
−f  f

En remplaçant F O par et FO par −f = et en développant, les termes en f 2 La lunette astronomique est aussi une lunette permettant d’observer des objets à très
se simplifient et on obtient : grandes distances (à l’infini). On modélise l’objectif par une lentille convergente L1
f  OA − f  OA + OA OA = 0 de distance focale f1 et l’oculaire par une lentille convergente L2 de distance focale f2 .

Optique 5 MPSI 1
+
prisme soit A. Ainsi dans le triangle IJK, la somme des angles donne :
L1 L2 r + r  + (p − A) = p ⇔ r + r  = A
Il reste à déterminer la déviation, c’est-à-dire l’angle D entre le rayon émergent du
prisme et le rayon incident. Pour cela, on calcule l’angle dont « tourne » le rayon à
 chaque interface.
a A1 = F2 = F1 a F2
• En I, le rayon tourne d’un angle a = i − r.
F1 O1 O2
a • En J, le rayon tourne d’un angle g = i − r  .
B1 Globalement, le rayon tourne d’un angle D = a+g = i+i − r − r  , soit avec r +r  = A :
Lunette astronomique.
D = i + i − A
Comme la lunette de Galilée, la lunette astronomique est réglée à l’infini et F1 = F2 Les quatre formules du prisme sont les suivantes :
et c’est un système afocal. La méthode de calcul du grandissement est la même : n sin r = sin i n sin r  = sin i r + r = A D = i + i − A
A1 B 1 A1 B 1 Condition d' émergence par la deuxième face
tan a  a = − et tan a  a =
F2 O2 O1 F1 En J, la lumière passe d’un milieu d’indice n à un milieu d’indice 1. Pour qu’il n’y ait

Avec le sens trigonométrique choisi, a > 0 et a < 0 donc : 1
pas réflexion totale, il faut que r  < Rlim avec sin Rlim = .
a O1 F1 f Ainsi il n’y a pas réflexion totale en J si :  
n
G= =− = − 1 < 0
a F2 O2 f2 1
r   Arcsin
Le grossissement est négatif, donc l’image est à l’envers. C’est pour cela qu’on ne se n
sert pas de cette lunette pour observer des objets terrestres. D’autre part, le rayon pénètre dans le prisme en I donc sin i = n sin r soit, puisque
1 1
Le prisme sin i  1, sin r = sin i  . On en déduit : r  Rlim
n n
Relations du prisme Avec la relation A = r + r  et les deux relations précédentes, on peut écrire une
Un prisme est un bloc de verre pyramidal. On utilise deux des faces dont l’arête co- première condition pour qu’il n’y ait pas réflexion totale sur la deuxième face :
mmune est appelée arête utile. A  2Rlim

À la limite, r = Rlim donc r = A − Rlim . On peut calculer alors l’angle limite
A arête utile d’incidence ilim par : sin ilim = n sin r = n sin(A − Rlim )
A D
base I J Si i > ilim , r > A − Rlim et r  < Rlim : il n’y a pas réflexion totale. Pour A = 60◦ et
i i
r r n = 1,5, on trouve ilim = 27,9◦ .
p
K A Pour ne pas avoir de réflexion totale, il est nécessaire que ilim < i <
2
.
Minimum de déviation
Prisme. Angles du prisme. Au minimum de déviation, on montre que : i = i . Donc :
On distingue en fait deux types de verres : le flint (n  1,7) et le crown (n  1,5). A
r = r = et Dm =2 i − A
L’indice de réfraction du verre dépend de la longueur d’onde selon la loi de Cauchy 2  
b soit avec sin i = n sin r : A + Dm
n=a+ 2 sin
l 2
a et b étant des constantes positives qui dépendent du verre. On dit que le prisme est n=  
A
dispersif, c’est-à-dire qu’il dévie différemment des lumières de différentes longueurs sin
2
d’onde : il sert à étudier les spectres des sources de lumière. Cette relation est utilisée en travaux pratiques pour déterminer l’indice d’un prisme
Aux points I et J, on peut appliquer les relations de Descartes soit : Cette étude est réalisée avec un goniomètre.
n sin r = sin i et n sin r  = sin i En utilisant la loi de Cauchy, Le prisme dévie plus le bleu que le rouge.
L’angle entre les deux normales est égal à l’angle entre les deux faces utilisées du

Optique 6 MPSI 1

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