Vous êtes sur la page 1sur 54

République Tunisienne

Ministère de l’enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique

Université de Gabes

Institut Supérieur des Sciences Appliquées et de Technologie de Gabés

CMS : Projet tutoriel


Niveau Mastère GCV1

Elaboré Par : Khadijetou Mahjoube

Encadrer par Madame Docteur : Anissa Bouabid

Année universitaire : 2022- 2023

1
SOMMAIRE
INTRODUTION : ....................................................................................................................................... 4
Chapitre 1 : Introduction à la méthode des éléments finis par des exemples en thermique et en
élasticité .................................................................................................................................................. 5
Etude de quelques problèmes aux limites elliptiques ........................................................................ 6
Problèmes du laplacien ....................................................................................................................... 6
Le problème de Dirichlet homogène .................................................................................................. 6
Le problème de Dirichlet non homogène ........................................................................................... 8
Le problème de Neumann homogène ................................................................................................ 9
Problème mêle de Dirichlet-Neumann ............................................................................................. 13
Conclusion chapitre 1........................................................................................................................ 15
Chapitre 2 : Principes des travaux virtuels ............................................................................................ 16
Théorie des plaques .......................................................................................................................... 16
Différents types de plaques .............................................................................................................. 17
Plaque Mince .................................................................................................................................... 18
Théorie de Love- Kirchhoff (théorie des plaques minces) ................................................................ 19
Fonctions d’Airy ................................................................................................................................. 24
.............................................................................................................................................................. 24
Conclusion chapitre 2........................................................................................................................ 25
Chapitre 3 : Résolution du problème de projet tutoré- CMS ................................................................ 26
1/Présentation de l’énoncé de Projet CMS que on va traiter ........................................................... 26
Formules pour projet CMS .................................................................................................................... 28
2/ Formulation variationnel de problème ........................................................................................ 29
3/ Résolution de (p) pour f=1 et D=1 ................................................................................................ 31
et calcul la valeur approchée de 𝜴𝒖𝟐 ⅆ𝜴 :....................................................................................... 31
4/ Résolution de (p) pour f=1 et D=0,1..1 ......................................................................................... 49
et calcul 𝜴𝒖𝟐 ⅆ𝜴 : ............................................................................................................................ 49
Conclusion chapitre 3........................................................................................................................ 53

2
Dédicace et Remerciements

(qui ne remercie pas les gens ne


remercie pas Allah), J'exprime

ma profonde reconnaissance à

Madame Docteur et Ing Anissa

Bouabid pour tout ce que nous

enseigner dans cette semestre

vraiment c’était très utile pour

notre parcours.

Je dédie ce travail

A mes chers parent qui m’a

toujours encouragée pas

seulement dans ce travail mais

tout le long de mon parcours

A tout que j’aime et m’encourage

à continuer d’apprendre ,de

progresser et d’exceller...

3
INTRODUTION :
Dans le domaine de génie civil les dalles (par exemple) sont des éléments fréquemment
rencontrées dans les différents ouvrages, on les trouve notamment dans les bâtiments et les
ponts. Les théories classiques pour l’étude de ces structures présentent des calculs
rigoureux et épuisants, en plus de la complexité des équations pour arriver aux résultats,
surtout pour le calcul de grands ouvrages et éléments complexes.
Avec le développement de la machine et de l’outil informatique, les ingénieurs numériciens
commencèrent à mettre des méthodes numériques pour le calcul des structures, et c’est là
que la méthode des éléments finis a vu le jour. Le principe de base de cette méthode
consiste à remplacer le domaine réel par un ensemble d’éléments finis, qui peuvent être
réunis de plusieurs manières, et donc les employer pour représenter les formes les plus
complexes.

Dès lors, Beaucoup de recherche sont faites sur les éléments finis de plaque, en considérant
différentes approches et principes variationnel dans la formulation. Les premières
recherches ont été menées sur des approches simples en considérant des éléments
triangulaires et quadrilatères plats. L’avantage de ces approches réside dans leur simplicité
relative dérivée de la théorie des plaques minces de Kirchhoff

L’élasticité ou mécanique des solides déformables est l’une des sciences de la mécanique
des milieux continues (MMC), qui étudie le comportement des matériaux sous l’action des
forces et des moments, en d’autres termes on détermine la relation qui existe entre les
contraintes et les déformations, les principes fondamentaux de cette théorie sont la
réversibilité des déformations lors de déchargement, et la linéarité de comportement.
L’élasticité représente un langage commun entre les ingénieurs, même s’ils prétendent ne
pas la comprendre parfaitement, la majorité d’entre eux s’en servent.
Après avoir expédié les principes de l’élasticité dans le cas tridimensionnelle, on appliquera
ces principes dans le cas bidimensionnel dans le cadre de la théorie des plaques.

L'objet de ce travail est la détermination de déplacement de plaque mince ou membrane


élastique mince, L'utilisation de «l'intégration analytique» pour évaluer la matrice de
rigidité.

L'utilisation de langage de programmation MAPLE 18 pour la résolution de problème .

4
Chapitre 1 : Introduction à la méthode des éléments
finis par des exemples en thermique et en élasticité :
La méthode des éléments finis est une méthode numérique utilisée pour le calcul de

solutions approchées de problèmes définis par des équations aux dérivées partielles et des

conditions aux limites.

Ces problèmes aux limites apparaissent constamment en physique et il en existe


particulièrement trois grandes classes, illustrées chacune par un problème typique.

Le phénomène de propagation des ondes conduit à un problème aux limites du type


hyperbolique.

Les problèmes paraboliques sont représentatifs des problèmes de diffusion, par exemple de
la chaleur.

Enfin, les problèmes elliptiques apparaissent dans les études de régime stationnaire en
thermique, en mécanique ou en électricité.

Pendant longtemps, l’outil le plus utilisé pour la résolution des équations aux d´dérivées

partielles a été la méthode des différences finies. Peu à peu, et en raison de sa rigueur et de

sa souplesse d’emploi, la méthode des éléments finis a connu un essor remarquable.

Pour un problème aux limites donne, la méthode des différences finies part de
l’approximation des opérateurs différentiels en utilisant les développements de Taylor, alors
que la méthode des ´éléments finis part d’une formulation intégrale dite vibrationnelle.

L’invention de la méthode des éléments finis est attribuée à Courant en 1943 .

Quelques années plus tard, les ingénieurs l’ont réinventée pour résoudre des problèmes de

calcul de structures, et ceci indépendamment du travail de Courant ; les plus anciennes

références citées dans la littérature sont celles d’Argyris qui datent de 1954. Ensuite et

d´es le début des années soixante, de nombreux travaux mathématiques ont été menés sur

5
cette méthode. Actuellement, et dans le champ d’application des sciences de l’ingénieur,

la méthode des éléments finis est intégrée dans la plupart des logiciels de calcul et de

conception assistée par ordinateur.

Dans ce chapitre nous introduisons la méthode des éléments finis en la mettant en

ouevre dans l’étude de problèmes d´équilibre en thermique et en élasticité.

Etude de quelques problèmes aux limites elliptiques :

L’étude de quelques problèmes aux limites elliptiques classiques en physique et en

mécanique est abordée dans ce chapitre. Il s’agira principalement de la construction de

formulations vibrationnelles de ces problèmes et de l’étude, basée sur le théorème de Lax-


Milgram, de l’existence et l’unicité des solutions.

Problèmes du laplacien :

Il s’agit de problèmes aux limites dans lesquels la fonction inconnue, u, vérifie l’équation

aux dérivées partielles suivante : −u = f dans . Le domaine  est un ouvert borne

et connexe de RN de frontière ∂ suffisamment régulière (par exemple C1 par morceaux ).

La fonction f est supposée dans L²(). Dans les conditions aux limites nous distinguerons

∂u
les conditions de Dirichlet qui portent sur u de celles de Neumann qui portent sur ∂n .

Le problème de Dirichlet homogène :

Ce problème aux limites consiste à trouver une fonction u telle que :

Ce problème est dit homogène en ce sens que la condition aux limites est homogène.

Formulation vibrationnelle du problème . En supposant que ce problème admet une

6
solution u dans H²(), cette solution vérifie nécessairement

et la formule de Green dans H²() conduit à

Et en se restreignant dans cette formule a des fonctions v dans H01 () on obtient la
formulation variationnelle suivante du problème de Dirichlet homogène :

Existence et unicité des solutions du problème .,En utilisant l’inégalité de Cauchy-

Schwarz, la forme linéaire L vérifié

et la forme bilinéaire a vérifie

Les des inégalités et prouvent la continuité, sur H01 () muni de la norme k k1, de

L et a, respectivement. En outre, l’inégalité de Poincaré-Friedrichs conduit à

7
ce qui prouve la coercivité de a sur H01 () muni de la norme k k1. Ainsi, le problème

variationnel vérifie les hypothèses du théorème de Lax-Milgram et sa solution u

existe et est unique dans H01()

Interprétation de la solution u en termes de solution du problème Dirichlet homogène. La


solution u de la formulation variationnel n’étant que dans H01(), ses dérivées secondes ne
peuvent être considérées qu’au sens des distributions et elles verifient

Le problème de Dirichlet non homogène :

Ce problème aux limites consiste à trouver une fonction u telle que

ou u0 est une fonction donnée dans H1(). En supposant que ce problème admet une

solution u dans H2(), cette solution vérifie nécessairement

8
et la formule de Green dans H2() conduit à

En posant w = u − u0, on obtient la formulation variationnel suivante :

qui ne diffère de celle obtenue pour le problème de Dirichlet homogène que par-là d’finition
de la forme linéaire L. Il est aisé d’établir la continuité de cette forme linéaire sur H01 () et
de conclure à l’existence et l’unicité de la solution w de ce problème.

Le problème de Neumann homogène :

Ce problème aux limites consiste à trouver une fonction u telle que

9
Il est clair que si u est une solution du problème , alors u + constante est aussi

une solution. Réciproquement, supposons l’existence dans H²() de deux solutions, u1 et

u2, de ce problème. Ces solutions vérifient alors (u1 − u2) = 0 et

Par application de la formule de Green dans H2(), l’´égalité conduit à

ce qui entraine que u1−u2 est une constante. Ainsi, en cas d’existence d’une solution dans

H2() du problème , cette solution serait unique à une constante près. Par ailleurs, si

u est une solution de ce problème, alors l’application de la formule de Green dans H2()
entraine que u vérifie

En prenant v ≡ 1 on obtient

ce qui constitue une condition nécessaire sur la donnée f pour l’existence de solutions.

Nous supposerons dans la suite que la condition précèdent est verifiée.

Formulation variationnel du problème . L’unicité des solutions de ce problème ne pouvant

10
être assurée qu’a une constante près, nous sommes amenés à introduire l’espace

H1()/R, quotient de H1() par R . Ceci signifie que sur H1() nous définissons la relation

d’équivalence suivante : deux fonctions de H1() sont équivalentes si et seulement

si leur différence est une constante. H1()/R est l’espace des classes d’équivalence. Pour

v ∈ H1(),

d´signé la classe de v ( v^ ∈ H1()/R). Une formulation variationnel de ce problème dans

H1()/R s’´écrit alors

Existence et unicité des solutions du problème. Il est aisé d’´établir que, muni de la

Norme

l’espace H1()/R est un espace de Hilbert. Le produit scalaire associé à cette norme est

défini par

En vertu de la condition , la forme linéaire Le vérifie

11
et L est continue sur H1()/R.

La forme bilinéaires a vérifie

et a est continue sur H1()/R.

Pour établir la coercivité d’a sur H1()/R nous rappelons que l’inégalité de Poincaré-

Friedrichs s’´écrit :

12
ce qui prouve la coercivité d a sur H1()/R muni de la norme k kH1()/R. Ainsi, le

problème variationnel vérifie les hypothèses du théorème de Lax-Milgram et sa

solution u existe et est unique dans H1()/R.

Interprétation de la solution ˆu en termes de solution du problème . Pour une fonction

u ∈ ˆu, un raisonnement analogue à celui adopte lors de l’étude du problème de Dirichlet

homogène, conduit `a −u = f dans L²().

Problème mêle de Dirichlet-Neumann :

Ce problème aux limites consiste à trouver une fonction u telle que

où 0 est une partie de ∂ de mesure non nulle, 1 = ∂ /0 et g est une fonction dans

L²(1).

formulation variationnel du problème .En supposant que ce problème admet une

solution u dans H²(), alors cette solution vérifie n´nécessairement

13
ce qui, en utilisant la formule de Green dans H²() , entraîne

En se restreignant `a des fonctions v nulles sur 0 et en tenant compte de la condition au

limite de Neumann, on obtient la formulation variationnel suivante du problème mêle

Existence et unicité des solutions du problème ,L’espace V0 est un sous-espace ferme

de H1() et est donc un espace de Hilbert pour la norme induite par celle de H1().

En utilisant l’inégalité de Cauchy-Schwarz et l’inégalité traduisant la continuité de

l’opérateur trace sur 1, la forme linéaire L vérifie

Interprétation de la solution u en termes de solution du problème . Un raisonnement

analogue à celui adopte lors de l’étude du problème de Dirichlet homogène, conduit


immédiatement `a −u = f dans L²().
En supposant que u est dans H2(), la formule de Green dans H2() et le

14
problème impliquent que

Il est `à remarquer que dans les problèmes du laplacien la condition aux limites de
Dirichlet apparait explicitement dans la définition des espaces fonctionnels de la
formulation variationnel alors qu’il n’en est rien de la condition de Neumann. Les conditions
de Dirichlet sont dites essentielles alors que celles de Neumann sont dites naturelles.

Conclusion chapitre 1 :
La méthode des éléments finis est un outil principal dans la modélisation numérique, car
elle nous permet par la suite de déterminer la matrice de rigidité spécifique à notre élément
fini triangulaire de plaque.
La synthèse sur les éléments finis existant dans la littérature représente deux avantages
principaux, le premier, est la classification de notre élément finis par rapport aux autres
éléments en distinguant les différentes approches et principes utilisés, le deuxième, est de
placer notre élément dans une perspective d’enrichissement de la bibliothèque des
éléments finis.

15
Chapitre 2 : Principes des travaux virtuels :
Introduction :
Les formulations des théorèmes énergétiques sont à la base des méthodes par éléments
finis.
En mécanique analytique le Principe des Travaux Virtuels (PTV) est une autre formulation de
principe fondamentale de la dynamique (PFD), Il représente l’équilibre entre le travail
extérieur due aux forces de volumes et de surfaces appliquées sur un solide, et le travail
interne due aux contraintes dans un solide, le rôle de ce principe est d’obtenir une
formulation plus compacte et faciliter la résolution des équations pour les rendre plus
systématique.
Pourquoi utilise-t-on le principe des travaux virtuels ?
On utilise Le PTV pour les causes suivantes :
• Difficulté de résolution des équations différentielles de la statique et de la cinématique.
• La forme intégrale qui permet d’utiliser un calcul numérique pour trouver les différentes
inconnues.

Théorie des plaques :

Définition :
Une plaque est un solide bidimensionnel, défini par une surface de référence plane (plan x1
x2) et par une petite épaisseur (notée h(x1, x2)) par rapport aux autres dimensions
(longueur et largeur).
Typiquement, le rapport de la taille caractéristique de la plaque sur l’épaisseur est : 𝑅/ℎ > 5.
Elle peut être constituée d’un matériau homogène ou peut être obtenue par l’empilement
de différentes couches de matériaux orthotropes. Une analyse élastique des plaques
consiste à une analyse d'un modèle mathématique bidimensionnel ce qui nous conduit à
une analyse d'un problème en élasticité plane . On note 𝜔 le domaine de l’espace occupé
par le plan moyen de la plaque.

16
Définition d’une plaque et système d’efforts associés.

Différents types de plaques :

En fonction de la nature des matériaux qui les constituent et de la géométrie de leur section
transversale, les plaques peuvent être classées en trois catégories ;
a) Les plaques isotropes : elles sont constituées d'un matériau isotrope (acier, béton) et leur
section transversale est homogène. Elles sont définies par deux paramètres élastiques
(E et ν) respectivement le module d'élasticité et le coefficient de Poisson). On les retrouve
dans les constructions civiles courantes (bâtiments, ouvrages d’art.…).
b) Les plaques orthotropes : leurs propriétés élastiques sont différentes dans deux directions
perpendiculaires. L'orthotrope peut être naturelle (bois) ou techniques (dalles rédies). Le
comportement de ces dalles est défini par quatre paramètres élastiques et on les retrouve
dans les constructions navales, aéronavales, de réservoirs de l'industrie chimique, des
bâtiments et d'ouvrages d'art. [3]
c) Les plaques anisotropes : leurs propriétés élastiques sont différentes dans toutes les
directions. Neuf paramètres élastiques sont suffisants pour les devenir. Elles sont souvent
constituées de matériaux composites et sont surtout utilisées dans l'industrie aéronavale.

17
Figure : Utilisation des plaques dans les différents ouvrages.

Le domaine de l'utilisation de plaque est très répandu dans tous les domaines, en particulier
dans le domaine du génie civil où, on les utilise dans les constructions simples (habitation)
où les ouvrages d'art et elle existe sous formes différentes, y compris les circulaires et
rectangulaires et d'autre formes selon la qualité de l'ouvrage.

Plaque Mince :
une plaque ou une paroi mince, est le solide découpé, dans un prisme ou un cylindre, par
deux plans perpendiculaires aux arêtes et dont la distance, mesurant l'épaisseur de la
plaque, où de la paroi", est petite par rapport aux autres dimensions". Géométriquement,
un tel corps est défini par son épaisseur et son contour, trace du cylindre (fig. 1). De ce point
de vue il n'existe entre plaques et parois minces aucune différence. Celle-ci provient
uniquement du mode de sollicitation.

18
Théorie de Love- Kirchhoff (théorie des plaques minces) :

Hypothèses de la théorie :
La théorie classique des plaques [Kirchhoff 1850], est basée essentiellement sur les
hypothèses suivantes :
Hypothèse 1 : Aucune déformation ne se produit dans le plan moyen de la plaque.
Hypothèse 2 : La contrainte normale σz est négligeable devant les autres composantes.
Hypothèse 3 : Une normale au plan moyen avant déformation reste normale au plan après
déformation, comme le montre la figure :

Flexion des plaques et champ de déplacement

19
À partir de la première de ces hypothèses, on déduit que le déplacement perpendiculaire à
la plaque est indépendant de la variable 𝑥3 de l’épaisseur. Il est égal au déplacement du
centre de gravité du brin :

Cinématique en flexion :
Pour simplifier l’étude de la plaque, Kirchhoff suppose que le cas de flexion pure, c’est-à-
dire qu’aucune des forces statiques volumiques (𝑓𝛼(𝑥 )=0) ou ponctuelle (𝐹ad(𝑥 )=0) ni de
déplacement de membrane, seule les efforts perpendiculaires au plan (𝑥1,𝑥2) notée
𝑓3(𝑥 )≠0,𝐹3ⅆ(𝑥 )≠0 sont considérés.
Toujours dans le cas de flexion pure on peut trouver le champ de déplacement transverse
dans n’importe quel point du plan moyen, en se basant sur l’intégration des déformations.
D’après l’équation de l’équilibre aux limites :

On suppose que les efforts extérieurs sont très faibles et en tenant compte de la minceur de
la plaque sa implique que les contraintes dans le sens 𝑥3 sont nulles, ce qui se traduit à :

Pour un matériau constitutif élastique et linéaire les déformations correspondant sont :

20
Comme pour l’instant seule la flexion est considérée, le déplacement de membrane du
feuillet moyen 𝑢𝛼(𝑥1, 𝑥2,0) est pris nul. Finalement, le champ de déplacement de flexion
s’écrit simplement :

Champs de déformation :

A partir du champ de déplacement trouvé dans l’équation (1.40) on peut conclure le champ
de déformation qui est le suivant :

ɛ13=ɛ23=0 (é𝑡𝑎𝑡 ⅆ𝑒 ⅆé𝑓𝑜𝑟𝑚𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑝𝑙𝑎𝑛𝑒).

Sous forme matricielle le torseur de déformation s’écrit :

21
Comme pour les poutres, la déformation varie de manière linéaire avec x3 : de part et
d'autre du feuillet moyen, une face est en traction et l'autre est en compression.
On remarque qu'ici le feuillet moyen ne se déforme pas dans son plan : on ne prend pas en
compte les déformations dites de membrane.

Les courbures liées aux moments sont données par (Figure)

Les courbures liées aux moments : Conventions générales.

Figure : Conventions générales

On peut définir de manière plus générale le tenseur de courbure :

Cette écriture met en évidence la linéarité de la déformation en 𝑥3.

22
Contrainte généralisée et moment résultant :
Connaissant les déformations généralisées, il est très simple d’expliciter les contraintes via
la loi de comportement du matériau constitutif, d’où les contraintes généralisées.
Ces contraintes généralisées résultent, par définition, de l’intégrale sur l’épaisseur de la
plaque du torseur résultant du transport du vecteur contrainte (relativement à la normale
courante) au centre de gravité du brin considéré. On définit, pour le cas des plaques minces,
les contraintes généralisées de courbure, qui ont la dimension de moment par unité de
longueur :

On peut représenter ces contraintes généralisées sur une plaque, comme sur la (Figure ) le
montre dans le cas d’une plaque rectangulaire, possédant deux normales 𝑥1 et 𝑥2

Figure : Contraintes généralisées de flexion sur une surface élémentaire de plaque.

23
Loi de comportement :

Nous pouvons maintenant relier les contraintes aux déformations, puis les contraintes
généralisées au torseur des déformations (Eq : 1.42). Considérons pour cela un matériau
constitutif isotrope élastique linéaire [4]. La loi de comportement d’un matériau s’écrit donc
classiquement, en raideur ou en souplesse :

Fonctions d’Airy :
On veut dire par fonction d’Airy toute fonction noté ɸ(𝑥,𝑦) et vérifiant la condition suivante
: 𝛻 4ɸ(𝑥,𝑦)=0 (1.48)
Soit les deux équations d’équilibre dans le cas de contrainte planent avec prise de forces de
volumes nulles (F=0) :

En combinant la condition de compatibilité donnée dans l’équation (1.24), la loi de Hooke et


l’équation d’équilibre (1.11) on trouve :

24
Conclusion chapitre 2 :

Cette étude bibliographique nous a permis de présenter un bref rappel sur les théories et
principes qui entre dans notre étude, notamment la loi de comportement, la détermination
des contraintes et déformations dans le cadre de la théorie des plaques, et la fonction d’Airy
qui entre dans l’élasticité plane.

25
Chapitre 3 : Résolution du problème de projet tutoré- CMS :

1/Présentation de l’énoncé de Projet CMS que on va traiter :


Soit une membrane élastique mince (2paisseur négligeable) et plan  ,de frontière 
encastrée, On suppose que la plaque est soumise à une force f =(f1,f2,f3) perpendiculaire au
plan de la membrane(X,Y).
On s’intéresse à déterminer le déplacement U=(u1,u2 ,u3) de la plaque dans les 3 directions
de l’espace X,Y et Z.

Découpage choisi : 1  2  3 = [0,10] x [0,1]  [0,2] x [1,3]  [0,10] x [3,5]

 = [P1,P2]  [P2 ,P3]  [P3,P4]  [P4,P7]  [P4,P5]  [P5,P6]  [P6,P7]  [P7 ,P8]  [P8,P9]
 [P9,P10]  [P10,P6]  [P6,P5]  [P5,P1]  [P9,P10]
Les cordonnée de chaque points :
P1 (0,0) ; P2 (10,0) ; P3 (10,1) ; P4 (2,1) ; P5 (0,1) ;
P6 (0,3) ; P7 (2,3) ; P8 (10,3) ; P9 (10,5) ; P10 (0,5)

26
Petite Résumée De LA METHODE DES ELEMENTS FINIS

La méthode des éléments finis (MEF) permet de résoudre des équations aux dérivées
partielles en utilisant des approximations d’intégrales. La résolution d’un problème par la
MEF comprend les étapes suivantes :
Les principales étapes de construction d'un modèle éléments finis sont :
• Discrétisation du milieu continu en sous domaines (éléments)
• Construction de l'approximation nodale par sous domaine.
• Calcul des matrices élémentaires correspondant à la forme intégrale du problème.
• Assemblage des matrices élémentaires
• Prise en compte des conditions aux limites.
• Résolution du système d'équations (linéaire ou non).
• Post-traitement des résultats.

27
Formules pour projet CMS
1/ Loi de Hook :  = E
2/ Les equation d’équilibre en régime stationnaire : ij,i+ fi =0 ou div() +f =0

→ ij,i : divergence de contrainte


→ fi : force volumique
→ 0 : vecteur nul

1
 = (U + (U)t )
2
→ U : gradien de U
→ (U)t : gradien transposé de U

(U) = E
𝐸
(U)= (U + (U)t )
2

En développant : div() +f =0 on oura :


𝐸 ²𝑢 ²𝑈
( + ) +f =0 dans 
2 𝑥² 𝑦²

div() : dérivé sécondaire de U

Les condiyion au bord de mambrane encastrée U/r=0

𝐸
−  𝑈 = 𝑓 ⅆ𝑎𝑛𝑠 
Le probléme s’écrit : (P) :{ 2 𝑢
= 0 𝑠𝑢𝑟 
𝑟

Avec  𝑈= div (U) : la placien


Probléme Direchlet pour la placien

−𝐷 𝑈 = 𝑓 ⅆ𝑎𝑛𝑠 
(p) :{ 𝑢
= 0 𝑠𝑢𝑟 
𝑟

NB : (x)= CII(x)

28
2/ Formulation variationnel de problème :

L'objet de ce chapitre est de donner la théorie classique de résolution des


problème linéaires, via la formulation variationnelle.
Dans ce poly je tâcherai d'être le plus complet possible, en envisageant tous les
types de condition au bord.
Nous commençons, bien évidemment, par le problème ‘le problème de
Dirichlet’, pour le laplacien, avec condition au bord homogène :
𝐸
−  𝑈 = 𝑓 ⅆ𝑎𝑛𝑠 
Le probléme s’écrit : (P) :{ 𝑢2 souf [P4,P5]  [P6,P7]
=0 𝑠𝑢𝑟 
𝑟

P4 (2,1) ; P5 (0,1) ; P6 (0,3) ; P7 (2,3) ;


où, Ω est : 1  2  3 = [0,10] x [0,1]  [0,2] x [1,3]  [0,10] x [3,5]
et f une fonction, On recherche une fonction u, dans un espace à préciser.

f1(x, y) = 0
{f2(x, y) = 0 → 𝑓 =(0,0,f3=f)

Ainsi le déplacement se fait l’axe z→𝑢 =(0,0,u3=u).


La loi de l’élasticité s’écrit pour la plaque mince : 𝝈=𝑬𝜺 ; E=Module de Young
du matériaux.
Les équations d’équilibre en régime stationnaire s’écrivent : σij, j+fi=0 ou
div(𝜎)+ 𝑓=0
1
Avec : ε= (V𝑢 +(V𝑢 )t)
2
𝐸
σ(u)= E.ε(𝑢 )= (V𝑢 )+(V𝑢 )t)
2
𝐸 2 𝑢3 2 𝑈3
En développant div(𝜎)+ 𝑓=0 on aura : ( + ) +f3 =0 dans 
2 𝑥² 𝑦²

Les Conditions au bord : membrane encastrée → 𝑢 /T= 0 → u3/T= 0


souf [P4,P5]  [P6,P7]

29
𝐸
−  𝑈 = 𝑓 ⅆ𝑎𝑛𝑠 
Le probléme s’écrit : (P) :{ 𝑢2 souf [P4,P5]  [P6,P7]
=0 𝑠𝑢𝑟 
𝑟

Avec : Δu3= div(Δu3) : Laplacien


C’est le problème de Dirichlet pour Laplacien qui s’écrit dans le cas général
comme suit :
−DΔu = f dans Ω
{𝑢 = 0 𝑠𝑢𝑟  souf [P4,P5]  [P6,P7]
𝑟
Avec D=E/2 : Constante de Dirichlet
On pose que 𝜹𝒖 est un déplacement virtuel :
²𝑢 ²𝑈
[𝐷( + ) +f ] 𝛿𝑢ⅆ𝛺=0 →
𝑥² 𝑦²
²𝑢 ²𝑢
∫ 𝛿𝑢ⅆ𝛺 + D∫ 𝛿𝑢ⅆ𝛺 + D∫ 𝑓 𝛿𝑢ⅆ𝛺 = 0
𝑥² 𝑦²

²𝑢 ²𝑢
D∫ δudΩ + D ∫ δudΩ + D ∫Ω 𝑓δudΩ =0 →
𝑥² 𝑦²
Ω Ω

D’après l’intégration par partie IPP on trouve :

𝑢 𝑢 𝑢 𝑢 𝑢 𝑢
D[ [ δu]  -∫ δu dΩ + [ δu]  − ∫ δu dΩ ] + ∫Ω 𝑓δudΩ
𝑥 𝑥 𝑥 𝑦 𝑦 𝑦
Ω Ω

𝑢 𝑢
on a : [ δu]  et [ δu]  = 0 souf [P4,P5]  [P6,P7]
𝑥 𝑦

P4 (2,1) ; P5 (0,1) ; P6 (0,3) ; P7 (2,3)


Et :  = 1  2  3 = [0,10] x [0,1]  [0,2] x [1,3]  [0,10] x [3,5]

PTV : Devient
𝒖 𝒖 𝒖
(𝐃[ [ 𝛅𝐮]  =[p4,p5][p6,p7] - ∭𝜴𝟏𝜴𝟐𝜴𝟑 𝛅𝐮 𝐝𝛀
𝒙 𝒙 𝒙
𝒖 𝒖 𝒖
+[ 𝛅𝐮]  =[p4,p5][p6,p7] - ∭𝜴𝟏𝜴𝟐𝜴𝟑 𝛅𝐮 𝐝𝛀])
𝒚 𝒚 𝒚

+∭𝜴𝟏𝜴𝟐𝜴𝟑 𝒇 𝛅𝐮 𝐝𝛀

30
3/ Résolution de (p) pour f=1 et D=1
et calcul la valeur approchée de ∫𝜴|𝒖|𝟐 ⅆ𝜴 :

pour D=1 et f=1 :

Δu + 1 = 0 dans Ω
{𝑢 = 0 𝑠𝑢𝑟  souf [P4,P5]  [P6,P7]
𝑟

 = 1  2  3 = [0,10] x [0,1]  [0,2] x [1,3]  [0,10] x [3,5]


 = [P1,P2]  [P2 ,P3]  [P3,P4]  [P4,P7]  [P4,P5]  [P5,P6]  [P6,P7]  [P7 ,P8]  [P8,P9]
 [P9,P10]  [P10,P6]  [P6,P5]  [P5,P1]  [P9,P10]

Premier étape : choix des polynômes : (x,y)= CII(x,y)

On pose : (x,y)= C11(x,y) + C22(x,y)


I(x,y)= 0 sur  ⇒ I(x,y) verifie les points P1, P2, P3, P4, P5, P6, P7, P8, P9, P10

Φ1(x,y) = x,y(x-a) = xy(x-10)(x-2)(x-10)


Φ2(x,y) = xy(y-b) = xy(y-1)(y-3)(y-5)

∋ une infinité de polynômes.

Φ1 ,Φ2 vérifient les CL sur .

𝜕𝑈 𝜕𝜙1 𝜕𝜙2
( ) = 𝐶1 + C2
𝜕𝜘 𝜕𝑥 𝜕𝑥
𝜕𝑈 𝜕𝜙1 𝜕𝜙2
(( ) = 𝐶1 + C2
𝜕𝑦 𝜕𝑦 𝜕𝑦
𝜕𝑈 𝜕𝜙1 𝜕𝜙2
𝛿 ( ) = 𝛿𝐶1 + 𝛿 C2
𝜕𝜘 𝜕𝑥 𝜕𝑥
𝜕𝑈 𝜕𝜙1 𝜕𝜙2
𝛿 ( ) = 𝛿𝐶1 + 𝛿 C2
𝜕𝑦 𝜕𝑦 𝜕𝑦

𝛿𝑢 = 𝛿𝐶1𝜙1 + 𝛿𝐶2𝜙2
𝜙ⅈ
U= U (x,y) ;𝜙1,2 =𝜙1,2 (x y) alors : = I,x
𝜕𝜘

31
PTV s’écrit :

𝜕𝜙1
𝜕𝑥 𝜕𝜙1 𝜕𝜙2 𝐶1
⟨𝛿𝑐1 𝛿𝑐2 ⟩ ∫{ 𝜕𝜙2
} ⟨ ⟩ { } dΩ + ⟨𝛿𝑐1 𝛿𝑐2 ⟩
𝜕𝑥 𝜕𝑥 𝐶2
𝜕𝑥
𝛺

𝜕𝜙1
𝜕𝑦 𝜕𝜙1 𝜕𝜙2 𝐶1 𝛷1
∫{ } ⟨ ⟩ { } dΩ - ⟨𝛿𝑐1 𝛿𝑐2 ⟩ ∫ { } dΩ =0
𝜕𝜙2 𝜕𝑦 𝜕𝑦 𝐶2 𝛺
𝜙2
𝜕𝑦
𝛺

𝜙1 , 𝑥2 + 𝜙1 , 𝑦² 𝜙1 , 𝑥 + 𝜙2 , 𝑥 + 𝜙1 , 𝑦+𝜙2 , 𝑦
⇔ ⟨𝛿𝑐1 𝛿𝑐2 ⟩ 𝑥 ∫ 𝐷
𝜙1 , 𝑥 + 𝜙2 , 𝑥 + 𝜙1 , 𝑦+𝜙2 , 𝑦 𝜙2 , 𝑥2 + 𝜙2 , 𝑦²

𝐶1 𝛷1
x{ } - ∫𝑓 {
𝜙2
} dΩ =0
𝐶2 𝛺

de la forme [F]= [k] x [C]


𝑘11 = ∫ (𝜙1 , 𝑥 2 + 𝜙1 , 𝑦²) dΩ
𝑘12 = 𝑘21 = ∫ ( 𝜙1 , 𝑥 + 𝜙2 , 𝑥 + 𝜙1 , 𝑦+𝜙2 , 𝑦 ) dΩ
𝑘22 = ∫ (𝜙2 , 𝑥 2 + 𝜙2 , 𝑦 2 ) dΩ

𝑭𝟏=∫𝜱𝟏(𝒙,𝒚)ⅆ𝜴

𝑭𝟐=∫𝜱𝟐(𝒙,𝒚)ⅆ𝜴

Donc :

𝑘 𝐶1 + 𝑘12 𝐶2 = F1
{ 11 ⇒ 𝐶1 𝑒𝑡 𝐶2 ⅆ𝑎𝑛𝑠 𝜇(𝑥, 𝑦)
𝑘21 𝐶1 + 𝑘22 𝐶2 = 𝐹2

32
𝒖 𝒖 𝒖
(𝐃[ [ 𝛅𝐮]  =[p4,p5][p6,p7] - ∭𝜴𝟏𝜴𝟐𝜴𝟑 𝛅𝐮 𝐝𝛀
𝒙 𝒙 𝒙
𝒖 𝒖 𝒖
+[ 𝛅𝐮]  =[p4,p5][p6,p7] - ∭𝜴𝟏𝜴𝟐𝜴𝟑 𝛅𝐮 𝐝𝛀])
𝒚 𝒚 𝒚

+∭𝜴𝟏𝜴𝟐𝜴𝟑 𝒇 𝛅𝐮 𝐝𝛀

Si on remplace avec :

𝛿𝑢 = 𝛿𝐶1𝜙1 + 𝛿𝐶2𝜙2
Φ1(x,y) = x,y(x-a) = xy(x-10)(x-2)(x-10)
Φ2(x,y) = xy(y-b) = xy(y-1)(y-3)(y-5)

on trouve :
𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10) 𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
([(𝐶1 + C2
𝜕𝑥
) (𝛿𝐶1xy(x-10)(x-2)(x-10)
𝜕𝑥

+ 𝛿𝐶2xy(y − 1)(y − 3)(y − 5))]  =[p4,p5][p6,p7] -


𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10) 𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
∭𝜴𝟏𝜴𝟐𝜴𝟑 (𝐶1
𝜕𝑥
+ C2
𝜕𝑥
) (𝛿𝐶1xy(x-
𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10)
10)(x-2)(x-10) + 𝛿𝐶2xy(y − 1)(y − 3)(y − 5)) (𝐶1 +
𝜕𝑥
𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5) 𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10)
C2 )𝐝𝛀+[𝐶1 +
𝜕𝑥 𝜕𝑦
𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
C2 )( 𝛿𝐶1xy(x-10)(x-2)(x-10)
𝜕𝑦

+ 𝛿𝐶2xy(y − 1)(y − 3)(y − 5))]  =[p4,p5][p6,p7] -


𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10) 𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
∭𝜴𝟏𝜴𝟐𝜴𝟑 (𝐶1
𝜕𝑦
+ C2
𝜕𝑦
) (𝛿𝐶1xy(x-
𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10)
10)(x-2)(x-10) + 𝛿𝐶2xy(y − 1)(y − 3)(y − 5)) (𝐶1 +
𝜕𝑦
𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
C2 )𝐝𝛀)+∭ 𝛿𝐶1xy(x − 10)(x − 2)(x −
𝜕𝑦 𝜴𝟏𝜴𝟐𝜴𝟑
10) + 𝛿𝐶2xy(y − 1)(y − 3)(y − 5)) 𝐝𝛀

33
On pose que :
𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10) 𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
1= [(𝐶1 𝜕𝑥
+ C2
𝜕𝑥
) (𝛿𝐶1xy(x-10)(x-2)(x-10)

+ 𝛿𝐶2xy(y − 1)(y − 3)(y − 5))]  =[p4,p5][p6,p7]

𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10)
2=∭𝜴𝟏𝜴𝟐𝜴𝟑 (𝐶1 +
𝜕𝑥

𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
C2 ) (𝛿𝐶1xy(x-10)(x-2)(x-10) + 𝛿𝐶2xy(y − 1)(y − 3)(y − 5))
𝜕𝑥

𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10) 𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
(𝐶1 + C2 )𝐝𝛀
𝜕𝑥 𝜕𝑥

𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10) 𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
3=[𝐶1 + C2 )( 𝛿𝐶1xy(x-10)(x-2)(x-10)
𝜕𝑦 𝜕𝑦

+ 𝛿𝐶2xy(y − 1)(y − 3)(y − 5))]  =[p4,p5][p6,p7]

𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10)
4=∭𝜴𝟏𝜴𝟐𝜴𝟑 (𝐶1 +
𝜕𝑦

𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
C2 ) (𝛿𝐶1xy(x-10)(x-2)(x-10) + 𝛿𝐶2xy(y − 1)(y − 3)(y − 5))
𝜕𝑦

𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10) 𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
(𝐶1 + C2 )𝐝𝛀
𝜕𝑦 𝜕𝑦

5=∭𝜴𝟏𝜴𝟐𝜴𝟑 𝛿𝐶1xy(x − 10)(x − 2)(x − 10) + 𝛿𝐶2xy(y − 1)(y −


3)(y − 5)) 𝐝𝛀

34
On calcul C1 et C2 :

𝑘 𝐶1 + 𝑘12 𝐶2 = F1
{ 11 ⇒ 𝐶1 𝑒𝑡 𝐶2 ⅆ𝑎𝑛𝑠 𝜇(𝑥, 𝑦)
𝑘21 𝐶1 + 𝑘22 𝐶2 = 𝐹2
 = 1  2  3 = [0,10] x [0,1]  [0,2] x [1,3]  [0,10] x [3,5]

Φ1(x,y) = x,y(x-a) = xy(x-10)(x-2)(x-10)


>

Φ2(x,y) = xy(y-b) = xy(y-1)(y-3)(y-5)


>

10 2 10
1 3 5
𝑭𝟏=∫𝜱𝟏(𝒙,𝒚)ⅆ𝜴 =∫ ∫0 Φ1(x, y)dΩ +∫ ∫1 Φ1(x, y)dΩ + ∫ ∫3 Φ1(x, y)dΩ
0 0 0

10 2
1 3
F1=∫ ∫0 xy(x − 10)(x − 2)(x − 10)dΩ +∫ ∫1 xy(x − 10)(x − 2)(x −
0 0
10
5
10)dΩ + ∫ ∫3 Φ1(x, y)xy(x − 10)(x − 2)(x − 10)dΩ
0
>

>

F1= 13733.60000

10 2 10
1 3 5
𝑭𝟐=∫𝜱𝟐(𝒙,𝒚)ⅆ𝜴 =∫ ∫0 Φ2(x, y)dΩ +∫ ∫1 Φ2(x, y)dΩ + ∫ ∫3 Φ2(x, y)dΩ
0 0 0

35
10 2
1 3
𝑭𝟐=∫ ∫0 xy(y − 1)(y − 3)(y − 5) dΩ +∫ ∫1 xy(y − 1)(y − 3)(y −
0 0
10
5
5) dΩ + ∫ ∫3 xy(y − 1)(y − 3)(y − 5) dΩ
0
>

>

F2=
.

𝑘11 = ∫ (𝜙1 , 𝑥 2 + 𝜙1 , 𝑦²) dΩ


𝑘12 = 𝑘21 = ∫ ( 𝜙1 , 𝑥 + 𝜙2 , 𝑥)(𝜙1 , 𝑦+𝜙2 , 𝑦) ) dΩ
𝑘22 = ∫ (𝜙2 , 𝑥 2 + 𝜙2 , 𝑦 2 ) dΩ
Si on remplace :
10
1 𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10)
𝑘11 = ∫ ∫0 ( )² +
𝜕𝑥
0
2
𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10) 3 𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10)
( )²dΩ +∫ ∫1 ( )² +
𝜕𝑦 𝜕𝑥
0
10
𝜕2 𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10) 5 𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10)
( )²dΩ + ∫ ∫3 ( )² +
𝜕𝑦 𝜕𝑥
0
𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10)
( )²dΩ
𝜕𝑦

>

>

36
>

>

>

𝑘11 =

10
1 𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10)
𝑘12 = 𝑘21 =∫ ∫0 ( +
𝜕𝑥
0
𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5) 𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10)
)( +
𝜕𝑥 𝜕𝑦
2
𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5) 3 𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10)
)dΩ +∫ ∫1 ( +
𝜕𝑦 𝜕𝑥
0
𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5) 𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10) 𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
)( + )dΩ +
𝜕𝑥 𝜕𝑦 𝜕𝑦
10
5 𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10)
∫ ∫3 ( +
𝜕𝑥
0
𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5) 𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10) 𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
)( + ) dΩ
𝜕𝑥 𝜕𝑦 𝜕𝑦

>

>

>

37
>

>

>

𝑘12 = 𝑘21 =

38
10
1 𝜕xy(y−1)(y−3)(y−5)
𝑘22 =∫ ∫0 ( )² +
𝜕𝑥
0
2
𝜕 xy(y−1)(y−3)(y−5) 3 𝜕xy(y−1)(y−3)(y−5)
( )²dΩ +∫ ∫1 ( )² +
𝜕𝑦 𝜕𝑥
0
10
𝜕 xy(y−1)(y−3)(y−5) 5 𝜕xy(y−1)(y−3)(y−5)
( )²dΩ + ∫ ∫3 ( )² +
𝜕𝑦 𝜕𝑥
0
𝜕xy(y−1)(y−3)(y−5)
( )²dΩ
𝜕𝑦

>

>

>

>

𝑘22 =

𝑘 𝐶1 + 𝑘12 𝐶2 = F1
{ 11
𝑘21 𝐶1 + 𝑘22 𝐶2 = 𝐹2
>
>
>
>

39
>
>

on résoudre (p) pour f=1 et D=1 et 𝛿 = 1


𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10) 𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
([(𝐶1 + C2
𝜕𝑥
) (𝛿𝐶1xy(x-10)(x-2)(x-10)
𝜕𝑥

+ 𝛿𝐶2xy(y − 1)(y − 3)(y − 5))]  =[p4,p5][p6,p7] -


𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10) 𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
∭𝜴𝟏𝜴𝟐𝜴𝟑 (𝐶1
𝜕𝑥
+ C2
𝜕𝑥
) (𝛿𝐶1xy(x-
𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10)
10)(x-2)(x-10) + 𝛿𝐶2xy(y − 1)(y − 3)(y − 5)) (𝐶1 +
𝜕𝑥
𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5) 𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10)
C2 )𝐝𝛀+[𝐶1 +
𝜕𝑥 𝜕𝑦
𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
C2 )( 𝛿𝐶1xy(x-10)(x-2)(x-10)
𝜕𝑦

+ 𝛿𝐶2xy(y − 1)(y − 3)(y − 5))]  =[p4,p5][p6,p7] -


𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10) 𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
∭𝜴𝟏𝜴𝟐𝜴𝟑 (𝐶1
𝜕𝑦
+ C2
𝜕𝑦
) (𝛿𝐶1xy(x-
𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10)
10)(x-2)(x-10) + 𝛿𝐶2xy(y − 1)(y − 3)(y − 5)) (𝐶1 +
𝜕𝑦
𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
C2 )𝐝𝛀)+∭ 𝛿𝐶1xy(x − 10)(x − 2)(x −
𝜕𝑦 𝜴𝟏𝜴𝟐𝜴𝟑
10) + 𝛿𝐶2xy(y − 1)(y − 3)(y − 5)) 𝐝𝛀

𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10) 𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
1= [(𝐶1 𝜕𝑥
+ C2
𝜕𝑥
) (𝛿𝐶1xy(x-10)(x-2)(x-10)

+ 𝛿𝐶2xy(y − 1)(y − 3)(y − 5))]  =[p4,p5][p6,p7]

40
>

1=

41
𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10)
2=∭𝜴𝟏𝜴𝟐𝜴𝟑 (𝐶1 +
𝜕𝑥

𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
C2 ) (𝛿𝐶1xy(x-10)(x-2)(x-10) + 𝛿𝐶2xy(y − 1)(y − 3)(y − 5))
𝜕𝑥

𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10) 𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
(𝐶1 + C2 )𝐝𝛀
𝜕𝑥 𝜕𝑥

>

>

42
>

43
2=
𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10) 𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
3=[𝐶1 + C2 )( 𝛿𝐶1xy(x-10)(x-2)(x-10)
𝜕𝑦 𝜕𝑦

+ 𝛿𝐶2xy(y − 1)(y − 3)(y − 5))]  =[p4,p5][p6,p7]

>

44
3=
𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10)
4=∭𝜴𝟏𝜴𝟐𝜴𝟑 (𝐶1 +
𝜕𝑦

𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
C2 ) (𝛿𝐶1xy(x-10)(x-2)(x-10) + 𝛿𝐶2xy(y − 1)(y − 3)(y − 5))
𝜕𝑦

𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10) 𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
(𝐶1 + C2 )𝐝𝛀
𝜕𝑦 𝜕𝑦

>

>

45
46
>

4=

5=∭𝜴𝟏𝜴𝟐𝜴𝟑 𝛿𝐶1xy(x − 10)(x − 2)(x − 10) + 𝛿𝐶2xy(y − 1)(y −


3)(y − 5)) 𝐝𝛀
>

>

5=

Alors :
𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10) 𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
([(𝐶1 + C2
𝜕𝑥
) (𝛿𝐶1xy(x-10)(x-2)(x-10)
𝜕𝑥

+ 𝛿𝐶2xy(y − 1)(y − 3)(y − 5))]  =[p4,p5][p6,p7] -


𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10) 𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
∭𝜴𝟏𝜴𝟐𝜴𝟑 (𝐶1
𝜕𝑥
+ C2
𝜕𝑥
) (𝛿𝐶1xy(x-
𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10)
10)(x-2)(x-10) + 𝛿𝐶2xy(y − 1)(y − 3)(y − 5)) (𝐶1 +
𝜕𝑥
𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5) 𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10)
C2 )𝐝𝛀+[𝐶1 +
𝜕𝑥 𝜕𝑦
𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
C2 )( 𝛿𝐶1xy(x-10)(x-2)(x-10)
𝜕𝑦

+ 𝛿𝐶2xy(y − 1)(y − 3)(y − 5))]  =[p4,p5][p6,p7] -


𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10) 𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
∭𝜴𝟏𝜴𝟐𝜴𝟑 (𝐶1
𝜕𝑦
+ C2
𝜕𝑦
) (𝛿𝐶1xy(x-

47
𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10)
10)(x-2)(x-10) + 𝛿𝐶2xy(y − 1)(y − 3)(y − 5)) (𝐶1 +
𝜕𝑦
𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
C2 )𝐝𝛀)+∭ 𝛿𝐶1xy(x − 10)(x − 2)(x −
𝜕𝑦 𝜴𝟏𝜴𝟐𝜴𝟑
10) + 𝛿𝐶2xy(y − 1)(y − 3)(y − 5)) 𝐝𝛀

= 1 + 2 + 3 + 4 + 5 = 0.01462731714 - 3964.144102 + 0.03852379742


- 27.32759496 + 37.78499133 =

Finalement = 3953.633555 pour les conditions précédente.

U(x,y)=C1.Φ1(x,y)+C2. Φ2(x,y)

Calcul valeur approchée de :∫Ω |𝑼|² dΩ


10 2 10
1 3 5
∫ ∫0 |𝑼|²dΩ +∫ ∫1 |𝑼|²dΩ + ∫ ∫3 |𝑼|²dΩ
0 0 0
>

>

∫Ω |𝑼|² dΩ =

48
4/ Résolution de (p) pour f=1 et D=0,1..1
et calcul ∫𝜴|𝒖|𝟐 ⅆ𝜴 :
𝟎, 𝟏 ≤ 𝑫 < 𝟏

𝒖 𝒖 𝒖
(𝐃[ [ 𝛅𝐮]  =[p4,p5][p6,p7] - ∭𝜴𝟏𝜴𝟐𝜴𝟑 𝛅𝐮 𝐝𝛀
𝒙 𝒙 𝒙
𝒖 𝒖 𝒖
+[ 𝛅𝐮]  =[p4,p5][p6,p7] - ∭𝜴𝟏𝜴𝟐𝜴𝟑 𝛅𝐮 𝐝𝛀])
𝒚 𝒚 𝒚

+∭𝜴𝟏𝜴𝟐𝜴𝟑 𝒇 𝛅𝐮 𝐝𝛀

𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10) 𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
(D[(𝐶1 + C2
𝜕𝑥
) (𝛿𝐶1xy(x-10)(x-2)(x-10) +
𝜕𝑥
𝛿𝐶2xy(y − 1)(y − 3)(y − 5))]  =[p4,p5][p6,p7] -
𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10) 𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
∭𝜴𝟏𝜴𝟐𝜴𝟑 (𝐶1
𝜕𝑥
+ C2
𝜕𝑥
) (𝛿𝐶1xy(x-
𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10)
10)(x-2)(x-10) + 𝛿𝐶2xy(y − 1)(y − 3)(y − 5)) (𝐶1 +
𝜕𝑥
𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5) 𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10)
C2 )𝐝𝛀+[𝐶1 +
𝜕𝑥 𝜕𝑦
𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
C2 )( 𝛿𝐶1xy(x-10)(x-2)(x-10)
𝜕𝑦

+ 𝛿𝐶2xy(y − 1)(y − 3)(y − 5))]  =[p4,p5][p6,p7] -


𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10) 𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
∭𝜴𝟏𝜴𝟐𝜴𝟑 (𝐶1
𝜕𝑦
+ C2
𝜕𝑦
) (𝛿𝐶1xy(x-
𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10)
10)(x-2)(x-10) + 𝛿𝐶2xy(y − 1)(y − 3)(y − 5)) (𝐶1 +
𝜕𝑦
𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
C2 )𝐝𝛀)+∭ 𝐟𝛿𝐶1xy(x − 10)(x − 2)(x −
𝜕𝑦 𝜴𝟏𝜴𝟐𝜴𝟑
10) + 𝛿𝐶2xy(y − 1)(y − 3)(y − 5)) 𝐝𝛀

49
On pose toujours que : 𝛿 = 1 𝑒𝑡 𝑓 = 1
𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10) 𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
1= D[(𝐶1 𝜕𝑥
+ C2
𝜕𝑥
) (𝛿𝐶1xy(x-10)(x-2)(x-10)

+ 𝛿𝐶2xy(y − 1)(y − 3)(y − 5))]  =[p4,p5][p6,p7]

𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10)
2=𝑫 ∭𝜴𝟏𝜴𝟐𝜴𝟑 (𝐶1 +
𝜕𝑥

𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
C2 ) (𝐶1xy(x-10)(x-2)(x-10) + 𝐶2xy(y − 1)(y − 3)(y − 5))
𝜕𝑥

𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10) 𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
(𝐶1 + C2 )𝐝𝛀
𝜕𝑥 𝜕𝑥

𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10) 𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
3=𝑫[𝐶1 𝜕𝑦
+ C2
𝜕𝑦
)( 𝐶1xy(x-10)(x-2)(x-10)

+ 𝐶2xy(y − 1)(y − 3)(y − 5))]  =[p4,p5][p6,p7]

𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10)
4=𝑫 ∭𝜴𝟏𝜴𝟐𝜴𝟑 (𝐶1 +
𝜕𝑦

𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
C2 ) (𝐶1xy(x-10)(x-2)(x-10) + 𝐶2xy(y − 1)(y − 3)(y − 5))
𝜕𝑦

𝜕𝑥𝑦(𝑥−10)(𝑥−2)(𝑥−10) 𝜕𝑥𝑦(𝑦−1)(𝑦−3)(𝑦−5)
(𝐶1 + C2 )𝐝𝛀
𝜕𝑦 𝜕𝑦

5=∭𝜴𝟏𝜴𝟐𝜴𝟑 𝐶1xy(x − 10)(x − 2)(x − 10) + 𝐶2xy(y − 1)(y −


3)(y − 5)) 𝐝𝛀

50
Si D=0.1 :
P=(0.1(0.01462731714 - 3964.144102 + 0.03852379742 -
27.32759496)) + 37.78499133

>

>

Si D=0.2 :
P=(0.2(0.01462731714 - 3964.144102 + 0.03852379742 -
27.32759496)) + 37.78499133
>

>

Si D=0.3 :
P=(0.3(0.01462731714 - 3964.144102 + 0.03852379742 -
27.32759496)) + 37.78499133
>

>

Si D=0.4 :
P=(0.4(0.01462731714 - 3964.144102 + 0.03852379742 -
27.32759496)) + 37.78499133

>

>

Si D=0.5 :
P=(0.5(0.01462731714 - 3964.144102 + 0.03852379742 -
27.32759496)) + 37.78499133
>

51
>

Si D=0.6 :
P=(0.6(0.01462731714 - 3964.144102 + 0.03852379742 -
27.32759496)) + 37.78499133

>

>

Si D=0.7 :
P=(0.7(0.01462731714 - 3964.144102 + 0.03852379742 -
27.32759496)) + 37.78499133
>

>

Si D=0.8:
P=(0.8(0.01462731714 - 3964.144102 + 0.03852379742 -
27.32759496)) + 37.78499133

>

>

Si D=0.9:
P=(0.9(0.01462731714 - 3964.144102 + 0.03852379742 -
27.32759496)) + 37.78499133

>

>

∫Ω |𝑼|² dΩ =142.7865537

52
Conclusion chapitre 3 :

Dans ce chapitre on a validé l’élément fini de plaque mince. Cet élément a


prouvé sa performance et sa robustesse dans le traitement des plaques, grâce
aux approches et techniques utilisées dans son développement. L’adoption de
l’approche en déformation qui a contribué dans l’enrichissement de champ de
déplacement, plus l’utilisation de l’intégration analytique dans l’évaluation de
la matrice de rigidité.

53
Les Références :
1/ Les cours de CMS /ISSAT par Docteur Ing : Anissa Bouabid

2/ Méthode des Éléments Finis et Problèmes Elliptiques : Hatem ZENZRI et

Mohamed AIDIE école Nationale d’Ingénieurs de Tunis 16 septembre 2011

3/ Calcul numérique des plaques et des parois minces/ Doctoral Thèse

4/ Équations aux dérivées partielles/ Polycopié rédigé par Antoine Henrot

5/ Étude des instabilités dans les membranes minces sous chargements

thermomécaniques /Kodjo Attipou

6/ FEM Modeling: Introduction

7/ Finite Élément Trusses

8/ Mécanique des Structures par Eléments Finis

9/ MEF Méthode des Éléments Finis Responsable du cours : Hervé Oudin

10/Nouvel Élément Fini De Plaque Mince Base Sur L’approche En Déformation

Et Les Solutions Bi-Harmoniques De La Fonction D’airy/Mémoire De Master

11/Méthode Des Eléments Finis/Herve Oudin

12/Méthode des éléments finis/A. Bendali Toulouse – 2013

13/Méthodes numériques d’approximation et de résolution en mécanique

14/Modélisation des éléments finis/Jean-Charles Craveur

54

Vous aimerez peut-être aussi