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Moteurs à combustion interne

Par :
M. IMARIOUANE Mohamed

Réalisateur : AZIM ABDERRAHMAN


Exercice : Moteurs à combustion interne

2 Réalisateur : AZIM ABDERRAHMAN


2. La structure du moteur

➢ La partie fixe :
- Le moteur est structuré en trois étages :

3ème étage : La culasse

2ème étage : Le bloc moteur

1er étage : Le carter

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2. La structure du moteur

➢ La partie mobile :

Arbre à came
Le piston
Soupape

Mouvement
linéaire

La bielle

Mouvement
Le vilebrequin de rotation

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8. Les types des moteurs
➢ La classification des moteurs :
➢ Le nombre de cylindres et leurs dispositions.

Moteur en V
Moteur en ligne Moteur radial

Moteur opposé Moteur rotatif wankel


Moteur en VR 5 Réalisateur : AZIM ABDERRAHMAN
8. Les types des moteurs

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4. Les dispositions des moteurs
➢Le type du moteur « longue, carré et supercarré »
➢ Moteur longue :

➢ Longue course se dit d'un moteur à


piston dont la course (le déplacement
du piston) est supérieure à l'alésage (le
diamètre du piston)
❖ Le moteur à longue course a l'inconvénient
d'avoir une vitesse linéaire du piston plus
grande qu'un moteur carré ou supercarré à
régime égal, et s'adapte donc moins bien aux
hauts régimes, et donc aux hautes
puissances.
❖ En revanche, il se remplit bien à bas régime,
et permet une conduite sur le couple.

➢ Moteur carré

➢ Un moteur carré, est un moteur à combustion


interne dont la course et l'alésage sont de
même dimension.
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4. Les dispositions des moteurs

➢ Un moteur supercarré

➢ C’est un moteur à pistons dont


l'alésage est supérieur à la course.
➢ Le piston d'un moteur supercarré est
animé d'une vitesse linéaire moindre
qu'un moteur à longue course, et peut
donc atteindre des régimes plus élevés,
donc développer
une puissance supérieure à cylindrée
égale. Cette caractéristique avec
une distribution adaptée permet d'obtenir
de hauts rendements, notamment pour
les moteurs de compétition.
➢ En pratique, l'alésage ne dépasse
généralement pas la course de plus de
50 %

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6. Les moteurs cycliques
6.4 L’ordre d’allumage :

➢ L’ordre d'allumage d'un moteur indique l'ordre dans lequel


les pistons atteindront le temps de combustion, et par la
suite l'ordre dans lequel les cylindres seront allumés.

➢ L'ordre d'allumage indique également la position de


l'ensemble des pistons dans un moteur lorsqu'un cylindre
est mis à feu.

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2. La structure du moteur
➢ La partie mobile :

Arbre à came
Le piston
Soupape

Mouvement
linéaire

La bielle

Mouvement
Le vilebrequin de rotation

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2. La structure du moteur

➢La partie mobile :

❖ 1 Arbre à cames d'admission


❖ 2 Compensateur hydraulique
❖ 3 Basculeur à galet
❖ 4 Joint de queue de soupape
❖ 5 Cônes de soupape
❖ 6 Soupape d'admission
❖ 7 Ressort de soupape
❖ 8 Coupelle inférieure du ressort de soupape
❖ 9 Coupelle supérieure du ressort de soupape
❖ 10 Guide de soupape
❖ 11 Soupape d'échappement
❖ 12 Arbre à cames d'échappement

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1. La culasse

➢ Il y a plusieurs types de culasses, et elles se diffèrent


selon le type de moteur. Mais le plus important, c’est
que tous les types ont une structure commune.

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1. Le joint d’étanchéité

➢ Un joint d'étanchéité est inséré spécialement pour


empêcher toute fuite du gaz de combustion.

1 Feuille externe en acier à ressort


2 Couche médiane avec cerclage soudé
3 Feuille externe en acier à ressort
4 Feuille interne en acier à ressort
5 Feuille interne en acier à ressort
6 Indication de l'épaisseur du joint de
Culasse

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1. Le joint d’étanchéité

Dans tout moteur à combustion, le joint de culasse est une pièce


Extrêmement importante. Le joint de culasse est soumis à des contraintes
thermiques, mécaniques et chimiques importantes.
Le joint de culasse doit être en mesure d'assurer l'étanchéité réciproque de quatre
zones différentes.
• Chambre de combustion
• Conduits d'huile moteur
• Conduits d'eau de refroidissement.
Il est généralement fait la distinction entre deux sortes de joints de culasse : les joints
en matériau mou et les joints en matériau métallique.

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1. Le joint d’étanchéité

Les conséquences pour le fonctionnement de la voiture de la perte


d’étanchéité du joint de culasse ?
➢ Une perte d’étanchéité au niveau des chambres de combustion se
manifestera par une perte de puissance du moteur.
➢ Une perte d’étanchéité au niveau du circuit d’huile se traduira par une
diminution des capacités de lubrifications du moteur, avec les risques de
casse moteur .
➢ Une perte d’étanchéité au niveau du circuit de refroidissement se
manifestera par une perte des capacités de refroidissement du moteur, avec
les risques de détérioration moteur qui vont avec.
➢ Le passage du mélange gazeux en provenance de la chambre de
combustion vers le liquide de refroidissement repoussera peu à peu le
liquide de refroidissement de la culasse et la culasse, qui ne sera plus
refroidie, chauffera de plus en plus au risque de subir de gros dommages.
➢ Si à l’inverse le liquide de refroidissement passe dans les chambres de
combustions, la résistance qu’opposera au mouvement des pistons ce
liquide, qui n’est pas compressible, pourra tordre les bielles (les bras des
pistons).

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1. Le joint d’étanchéité

Quelques symptômes les plus distinctifs d’une perte d’étanchéité du joint de


culasse :

➢ Le niveau de liquide de refroidissement ou d’huile baisse rapidement et de


façon inexpliquée.
➢ Le voyant de température moteur passe au rouge.
➢ L’huile du moteur est blanche (mélange d’huile et de liquide de
refroidissement).
➢ A l’échappement, une épaisse fumée blanche (liquide de refroidissement
dans la chambre de combustion) ou bleue (huile dans la chambre de
combustion).
➢ Moteur chaud, les durites de liquides de refroidissement deviennent dures
(mélange gazeux provenant des chambres de combustions et sous pression
qui passe dans le circuit de refroidissement).

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2. Les cames et l'arbre à cames
Les Cames

➢ Les cames commandent les opérations des valves


telles que l'ouverture et la fermeture des ports
d'admission du mélange carburant et les ports
d'échappement pour évacuer les gaz brûlés.

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2. Les cames et l'arbre à cames
Les Cames

➢ La durée d'ouverture et de fermeture des soupapes


sont déterminées par l'angle d'opération, un angle
déterminé par le point de départ jusqu'au point de fin
du nez.
Angle d’opération Le nez de came

La hauteur

La zone de repos

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2. Les cames et l'arbre à cames
Les Cames

➢ La durée d'ouverture et de fermeture des soupapes


sont déterminées par l'angle d'opération, un angle
déterminé par le point de départ jusqu'au point de fin
du nez.
Angle d’opération Le nez de came

La hauteur

La zone de repos

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2. Les cames et l'arbre à cames
L’arbre à cames

➢ L’arbre à cames possède autant de cames que de


soupapes d’admission et d’échappement, disposés
avec des angles différents selon la synchronisation de
l'ouverture et la fermeture.

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3. L'entrainement de l'arbre à cames

➢ Le système de transmission du mouvement de


rotation du vilebrequin à l'arbre à cames

Courroie Chaine Engrenages

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3. L'entrainement de l'arbre à cames
Le système de distribution

➢ Les composants d’un système de distribution :

1 – Pignon de l’arbre à cames

2 – La courroie

3 – Pignon du vilebrequin

4 – La pompe à eau

5 – Tendeur

➢ Elle doit être échangée après chaque 90 000 Km ( ou


100 000 Km)

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5. Le système d'entrainement des soupapes

➢ Sachant que les soupapes contrôlent l’admission et


l’échappement dans le cylindre, leur système
d'entraînement peut affecter directement sur les
performances du moteur.

✓ Arbre à came latérale . Avec Culbuteur


✓ Arbre à came en tète .
✓ Double arbre à came en tète .
Direct

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5. Le système d'entrainement des soupapes
Arbre à came latéral

➢ La soupape est fixée sur le cylindre pour ouvrir et


fermer les ports, en utilisant une longue tige, la tige
de poussée.

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5. Le système d'entrainement des soupapes
Arbre à came en tète

➢ Il y a deux types : un en ligne dans lequel la soupape


d'admission et la soupape d'échappement sont
disposées alternativement le long de la direction
linéaire, et l'autre est en forme de V dans lequel la
soupape d'admission et la soupape d'échappement
font face les uns des autres sur le côté opposé

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5. Le système d'entrainement des soupapes
Double arbre à cames en téte

➢ Dans cette disposition la soupape d'admission et la


soupape d'échappement sont entraînés
indépendamment par deux arbres à cames différents.

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6. Le calage des soupapes

➢ Le calage des soupapes sert à régler le temps d'ouverture et


de fermeture des soupapes d'échappement et d'admission.

PMH

FE

OA : Ouverture soupape d’admission

FA : Fermeture soupape d’admission


OA
OE : Ouverture soupape d’échappement

FE : Fermeture soupape d’échappement

OE
FA
PMB

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6. Le calage des soupapes
➢ Si on examine les opérations des soupapes, on remarque une
période dans laquelle, les deux soupapes d’admission et
d’échappement sont ouvertes de tel sort que la soupape
d'admission s'ouvre bien avant que la soupape d'échappement
ne se ferme. Ceci s’appelle un chevauchement des soupapes.
Les gaz brulés en s'échappant créent derrière eux une
dépression qui favorisent l'admission du mélange carburé. Le
chevauchement des soupapes dépend de la forme de came et
du jeu de soupapes.
PMH
Chevauchement
des soupapes

FE

OA

OE
FA

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Réalisateur
1. Le bloc moteur

➢ Le bloc moteur est la partie maitresse du moteur

3ème étage : La culasse

2ème étage : Le bloc moteur

1er étage : Le carter

➢ Il contient des cylindres dans lesquels des pistons


effectue un mouvement linéaire répétitifs.

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1. Le bloc moteur

➢ Les cylindres sont destinés à


guider le mouvement alternatif du
piston sous une haute température
dégagée par la combustion du
mélange air + carburant, par
conséquent ils sont amenés à
supporter la force répétitive
résultante du mouvement alterné
des pistons.

➢ Dans une voiture, le poids du


moteur représente environ 10% à
15% du poids total, et 15% à 20%
de ce poids viennent du bloc
moteur.

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2. Les chemises des cylindres

➢ Les chemises des cylindres sont les parois internes


du bloc moteur, plus exactement la surface de
contact avec le piston

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3. La chambre d’eau

➢ Des espaces vides sont


formés pendant le moulage
entre les parois des cylindres
et la surface extérieure du
bloc moteur, ils sont connus
sous le nom de chemise
d'eau.

➢ la conception des chemises


d’eau permet de répandre
l’eau en douceur avec des
petits volumes sur toutes les
pièces, d’autres part, les
cylindres doivent être
refroidie de manière
équivalente.

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4. La partie mobile

➢ Le piston.
➢ La bielle.
➢ Le Vilebrequin.

Le piston
La bielle

Mouvement
linéaire

Mouvement
de rotation

Le vilebrequin

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4. La partie mobile
Le piston :

➢ Les pistons reçoivent les


forces libérées par la 1 – La couronne du piston
combustion. L’axe de piston et
la bielle de liaison 2 – Surface de combustion

transmettent ces forces au 3 – Alésage de l’axe

vilebrequin. Le piston permet 4 – Diamètre de la jupe


également, que les gaz 5 – La jupe du piston
d’admission soient introduits
dans le cylindre et qu’ils 6 – Segments des pistons

soient comprimés, et que les


gaz d’échappement soient 1 – Diamètre de la
chassés hors du cylindre. couronne.

➢ Les pistons sont généralement 2 – Diamètre de la

fabriqués à partir d'un alliage jupe.

d'aluminium, ce qui réduit le 3 – Diamètre dans la


poids et augmente la direction d'axe de

dissipation de la chaleur. piston.

4 – Diamètre
perpendiculaire à l'axe.

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4. La partie mobile
Le piston :

Les pistons doivent résister à des vitesses


élevées, à la décélération, et à de fortes
pressions. C’est pour cette raison que les
exigences qui s’appliquent aux pistons sont
extrêmement strictes.
❖ Masse faible. Plus légère est la masse, plus
les forces de masses sont faibles.
❖ Faible dilatation lors des hausses de
températures.
❖ Capacité de résister à des températures
élevées.
❖ Conduction efficace de chaleur, afin d’éviter
les différences de température.
❖ Bonnes propriétés de glissement.
❖ Robustesse extrême .

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4. La partie mobile
Le piston :
❖ Un piston se compose des pièces suivantes :

❖ Tête du piston
c’est la partie plane supérieure du piston.
❖ Cordon supérieur de piston
c’est la partie de la tête du piston, au-dessus des segments.
pour préserver la tête de piston, le mélange air/essence ne
s’enflamme pas à proximité du segment de feu.
❖ Les gorges de piston
ce sont des rainures pour le logement des segments.
❖ Les segments de piston
assurent l’étanchéité entre le piston et le cylindre. Ils transfèrent
également la chaleur du piston à la paroi du cylindre. L’ouvertur
e entre les deux branches du segment de piston est appelée, jeu
du segment ou coupe.
❖ L’orifice de l’axe de piston
l’axe de piston, qui relie le piston à la bielle d’entrainement, pas
se à travers cet orifice.
❖ La jupe du piston
guide le piston dans le cylindre et transfère la chaleur du piston
à la paroi du cylindre.

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4. La partie mobile
Le piston :

➢ Autour de la partie supérieure du


piston, des rainures sont conçues
pour recevoir des bagues
d'étanchéité, appelés des
segments de piston.

➢ En général, il y a trois ou quatre


rainures, le plus bas est le
segment racleur d’huile, il est
utilisé pour contrôler la quantité
de lubrifiant restant sur la surface
d'alésage du cylindre pour lubrifier
le piston. Les anneaux supérieurs
sont connus comme anneaux de
compression et de feu et ceux-ci
assurent l'étanchéité des gaz

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4. La partie mobile
Le piston :

➢ L'axe de piston est décalé


vers la face de l'alésage du
cylindre pour permettre
aux forces de poussée à
maintenir le piston contre
la paroi du cylindre.

➢ Ceci a un effet lorsque le


moteur est à froid en 1 – Piston.
réduisant le mouvement du 2 – Décalage.
piston dû à un jeu excessif,
ce qui crée un bruit. 3 –L’axe central.

4 – Face du bloc.

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4. La partie mobile
La bielle :

➢ La bielle est une tige connectée avec le piston à travers son


axe. Son objectif principal est de transférer un mouvement
linéaire provenant du piston, vers un vilebrequin en rotation.

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4. La partie mobile
La bielle:

➢ Elle est conçue spécifiquement avec une résistance


élevée à des forces de flexion, compression et
traction.

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4. La partie mobile
Le vilebrequin :

➢ Le vilebrequin relie les bielles de chaque cylindre.


Le piston
La bielle

Mouvement
linéaire

Mouvement
de rotation

Le vilebrequin

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4. La partie mobile
Le vilebrequin :

➢ L'arbre fixé sur le bloc moteur est appelé le tourillon.


➢ La partie de fixation avec la bielle est appelé le maneton.
➢ La partie sous forme de pendule à l'avant du bras de
manivelle est appelé le contrepoids ou la masse
d'équilibrage

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4. La partie mobile
Le vilebrequin :

➢ L'arbre fixé sur le bloc moteur est appelé le tourillon.


➢ La partie de fixation avec la bielle est appelé le maneton.
➢ La partie sous forme de pendule à l'avant du bras de
manivelle est appelé le contrepoids ou la masse
d'équilibrage

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4. La partie mobile
Le volant moteur

➢ Le volant moteur est monté sur le côté de transmission


du vilebrequin, il sert à maintenir la rotation en douceur
et à réduire les irrégularités dues à la force de rotation.

➢ L’inertie du volant maintient le vilebrequin en rotation,


malgré des impulsions des explosions des pistons.

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4. La partie mobile
Le volant moteur

Le volant a également d’autres fonctions


secondaires.

➢ Il porte la couronne de lancement du


démarreur.

➢ Il porte le système d'embrayage et possède


une surface d'appui pour le disque.

➢ Il porte parfois le repère de calage


d'allumage ou le déclenchement repère
P.M.H.

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4. La partie mobile
Le volant moteur

➢ La forme du vilebrequin dépend du nombre de cylindres,


sachant qu’on cherche toujours à répartir régulièrement
les explosions sur la durée d'un cycle. Plus le nombre de
cylindre est élevé, meilleure est la régularité cyclique.

Surface de contact avec


l’embrayage

Couronne
dentée

Le volant moteur

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4. La partie mobile
Le volant moteur

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4. La partie mobile
Le volant moteur bi-masse

La façon conventionnelle de limiter la propagation des vibrations de torsion dans la


transmission à été jusqu’ici d’insérer un amortisseur à ressorts dans le moyeu du
disque d’embrayage.

La situation est améliorée sur pratiquement tous les diesels et quelques moteurs à
essence par le montage d’un volant bi-masse.

c’est à dire ayant non seulement


une masse primaire solidaire du
vilebrequin, mais aussi une
masse secondaire solidaire de la
transmission. Ces deux masses
coaxiales sont connectées par
des ressorts qui permettent
jusqu’à 120° de mouvement
relatif.

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