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I Certes, le livre peut affranchir. A-Au plan individuel / B-Au plan collectif /C-
Au plan humain
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livre, peut-on dire qu’il procure une véritable libération ? / C- Le livre ne peut-
il pas, au
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1- Promouvoir la lecture
Dès l’enfance
Dans les quartiers
Dans les pays
Dans les écoles Le vieux qui lisait des romans d’amour , Pennac, la lecture gratuite.
Action sociale et politique.
2- Livres grâce auxquels l’Homme se pense lui-même en tant que tel (philosophie,
tragédie : Platon, Pascal, Sophocle, Racine…)
4- Libérer de l’ennui.
Proust (Combray, les lectures que le narrateur enfant accomplit le dimanche :
Madame Bovary. Vallès, L’enfant, lecture de Robinson Crusoe.), Borges.
5- Beaucoup ne lisent pas sans être pour autant aliénés. Il s’agit moins d’une
« libération » que d’un enrichissement.
Pennac : « le droit de ne pas lire ».
8- Les livres ont souvent préparé et favorisé les grandes mutations politiques et
sociales.
Les Lumières, 1848, mai 68 (Sartre, Marx, Freud)
10- Libérer des contingences- éléments, faits d'importance mineure - et des soucis du
quotidien.
Madame Bovary, Le Rouge et le Noir, Nathalie Sarraute, Enfance.
Illusion au sens où l’on s’identifie aux personnages qui nous mentent sur la réalité du
monde :
12- Libérer de la « doxa » - ensemble des opinions communes aux membres d'une
société et qui sont relatives à un comportement social. - et de l’aliénation
sociale- altération passagère du jugement, de la maîtrise de soi, égarement -.
Flaubert, Le dictionnaire des idées reçues. Kafka, Beckett, Camus, L’étranger.