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Michael Jentzer

08/11/2022

La Terre dans le système solaire (SS)


I. La Terre et les objets constitutif du Système solaire
a. Le soleil : l’étoile du système est une Naine jaune
i. Généralité sur le Soleil
Distance Terre-Soleil : 1 UA = 150 000 000 km (trigonométrie des phases de la Lune)
Diamètre : 1 400 000 km (trigonométrie connaissant la distance Terre-Soleil)
Masse du Soleil : 2.1033 kg (99,85% de la masse du SS) ; Kepler et Newton l’ont déterminé
a3/T² = G (Ms+Mp)/4π²
Avec :
a : distance Soleil-planète max
T : période de rotation de la planète autour du Soleil
G : Constante de gravitation universelle
Ms : Masse du Soleil
Mp : Masse d’une planète

Densité : 1,4 (peu dence)


ii. Rayonnement, température de surface et composition
Détermination de la température de surface du Soleil (Loi de Stepfan-Boltzman) :

E = σ T4
Avec σ = 5,67 10-8 Wm-2K-4 -> Tsoleil = 5 900 K
Détermination de sa composition : Le spectre dans les longueurs d’onde du visible
Grace au spectre éclat en fonction de la longueur d’onde, on observe qu’il y a un éclat
centré sur 0,6 µm qui comme le spectre du rayonnement d’un corps nord à 5 900 K -> confirme
que le soleil fait 5 900 K.
Pour le spectre solaire est décomposé, ainsi on peut déterminer sa composition : ozone,
eau, carbone, hélium, hydrogène.
iii. Structure et dynamique du Soleil

Noyau ou cœur :
- Rayon : ~ 200 000 km
- T° = 15.106°c (à cette température la matière a un état plasmique à cause de la grande T°)
- ρ ~ 150
Zone radiative :
- Epaisseur : 250 000 km
- T° ↓ jusqu’à ~ 1.106°c
- ρ ~ 15
Zone convective : c’est elle qui forme les tâches solaires (~5 000 km)
- Epaisseur ~ 200 000 km
- T° ~ 1.106°c
- Elle est enregistrée au cours du temps :
Avant on considérait qu’il y avait ~10 pics
sur 1 siècle, donc périodicité de 11 ans
mais depuis il est montré que sur chaque
changement de pic il y a une inversion
magnétique donc pour revenir à l’état
initial il faut 2 pics, la périodicité et donc
de 22 ans.
- Plus il y a de tache solaire, plus l’intensité lumineuse est importante ce qui a une
conséquence sur le climat sur Terre
Atmosphère :
- Photosphère (300 km ; 8 000 à 4 500°C)
- Chromosphère (2-3 000 km ; 4 500 à 1.106°C)
- Couronne
iv. Source d’énergie : des réactions de fusion nucléaires
Les étoiles peuvent produire de l’énergie par fusion nucléaire. Il y a 2 chaines de réactions :
Le cycle Proton-Proton : (en rouge proton P ; en bleu neutron N)

1) 2 noyaux d’H entrent en collisions : P-P -> Deutérium ²H + émission d’un positron (e+) et
d’un neutrino (réaction lente)
2) ²H et H entre en collision : l’électron de l’H s’inhibe avec le positron ce qui forme le rayon
gamma et 3He isotope instable
3) 106 ans plus tard quand le soleil aura produit assez de 3He pour entrer en collision et
produire l’isotope stable : 4He et 2 H qui peuvent commencer à nouveau le cycle proton-
proton (les 4 P : 2 servent pour le noyau de 4He et 2 pour les H)
Durée de vie du Soleil ?
Bilan de masse :
1H + 1H → 2H + e+ + ν OU 1H + 1H + e-→ ²H + ν
²H + 1H → 3He + γ
3He + 3He → 4He + 1H + 1H

E= Δmc²
En considérant que 4 1H -> 1 4He + du rayonnement + des photons
mproton = 1,0083 UMA et mnoyau d’hélium = 4,0026 UMA => Δm = 0,0306 UMA (perte de masse)
1 UMA (unité de masse atomique) = 1,6606.10-27 kg
Et c = célérité = 3.108 m/sec
L’énergie libérée par réaction :
Eréaction = 0,0306 x 1,6606.10-27 x (3.108)² = 4,57.10-12 J

La puissance du soleil = 4.1026 w = 4.1026 J/s


Pour 1 sec, la perte de masse du soleil est :
Δmsoleil = E/c² = 4.1026 / (3.108)² = 4,4.10 9 kg
Donc en 1 seconde le soleil perd 4,4.10 9 kg.
Donc depuis sa formation, il a perdu : conversion en seconde ; âge du soleil
Perte d’énergie = 4,4.10 9 x 5.109 x 60x60x24x365 = 6,4.10 26 kg
Soit moins de 0,032 % de sa masse actuelle (2.1033kg). On peut donc considérer que ces réactions
n’entrainent de perte significative de masse.
Alors, en considérant une composition initiale entièrement H et une masse initiale égale à la masse
actuelle (2.1033kg). On peut déterminer la durée de vie du soleil :
Nombres de réactions possibles = Masse du soleil x Nombre d’Avogadro / masse molaire de l’He
Nombres de réactions possibles = 2.3033 x 6,022.1023 / 4 = 3,011.1056

Energie totale libérée = Nbre de réaction x énergie libérée par réaction


Energie totale libérée = 3,011 1056 x 4,57.10-12 = 1,38.1044 J

Durée de vie totale = Energie totale libérée / puissance solaire


Durée de vie totale = 1,38.1044 / 4.1026 = 3,45.1017 sec = 1.1010 ans soit 10 Ga

Le cycle du carbone-azote-oxygène = Cycle de Bethe-Weizsäcker : c’est la 2ème chaine de réaction

1) Le noyau du 12C entre collision


avec un proton formant un noyau
de 13N
2) 13N se désintègre en émettant un
rayonnement et un noyau de 13C
3) Le noyau du 13C entre en collision
avec un proton ce qui émet un
rayonnement et un 14N
4) Le noyau du 14N entre en collision
avec un proton ce qui émet un
rayonnement et un 15O
5) 15O se désintègre en émettant un
rayonnement et un noyau 15N
6) Le noyau du 15N entre en collision
avec un proton ce qui génère un
4He et regénère un 12C

b. Les planètes du Système solaire et leurs satellites


Planète : corps céleste qui est en orbite autour du Soleil, est approximativement sphérique et a
nettoyé le voisinage de son orbite
Satellite : objet en orbite autour du Soleil mais dont l’orbite principale est autour d’un autre corps
du SS.
Dans notre SS il y a 8 planètes. La loi de Titus Bode : ordre des planètes en fonction de la distance
moyenne a permis de prédire la localisation de la ceinture des astéroïdes et la ceinture de Kuiper.

i. Les planètes telluriques : Mercures, Vénus, La Terre et Mars


1. Mercure
- Pas d’atmosphère
- Fort degré de cratérisation
- Traces d’activité magmatique anciennes : il n’y a pas de
renouvellement du paysage (tectonique des plaques ou
érosion : pas de dynamique interne ni externe pour
remodeler sa surface)
- Faible champ magnétique
- Pas de satellite
- Ressemblance avec la Lune
- Noyau plus important que son manteau

2. Vénus
- Atmosphère épaisse :
o Composition érosive : 97% CO2, 3% N
o T° moyenne de surface : 460°c (fort effet de serre)
o 2 circulations : basse (troposphère) et haute
(mésosphère)
- Faible degré de cratérisation
- Magmatisme type point chaud 500Ma (trace de volcan,
comme il n’y a pas d’organisation du magmatisme c’est
surement du type point chaud qui montre une
dynamique interne ou externe)
- Tectonique des plaques
embryonnaire : coronae (Archéen la
Terre avait une T° élevé donc pas de
plaque, le matériel dense redescend
directement formant des structures
concentriques)
- Pas de satellite
- Rayon comparable à celui de la Terre
- Structure interne : même moment
d’inertie qu’un corps hétérogène

3. La Terre
- Atmosphère
- Faible degré de cratérisation : marque une tectonique active
- Tectonique des plaques active
- 1 satellite : La Lune (ressemble à mercure avec un degrés de
cratérisation élevée et sa structure
interne est connue grâce à un
sismographe)
- Présence de vie
- Cf cours structure et composition

4. Mars
Plein de mission ont été effectué sur Mars.
- 2 satellites : Phobos et Deimos.
- Composition : 95,32 % CO2 ;2,7 % N ;1,6 % Ar
; 0,13 % O ; 0,07 % CO ; 0,03 % H2O vapeur et
d’oxyde de fer (Fe2O3)
- Patm = 1/160 celle de la Terre : ATM légère
- Température de surface -30°C
- Petit rayon
- Croute séparée en 2 par la vallée Marineris (répartition
dichotomique de la croute sur Mars)
o Nord : dépression, jeune, degrés de
cratérisation faible
o Sud : haut relief (composé en profondeur),
vieille, degrés de cratérisation élevé
- Magmatisme de type point
chaud car pas d’organisation
- Trace d’eau
liquide :
conglomérat
ii. Les planètes géantes ou joviennes : Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune
Le rayon et la masse des planètes ont permis de connaitre leur composition. Ils pas de composition
silicatée donc ce ne sont pas des planètes telluriques.

En fonction de la T°, l’hydrogène a un comportement différent. Ils ont tous une ATM importante
avec la même composition (80% H et 20% He et traces de CH4 et NH3)

Elles ont toutes des anneaux : matière en rotation sur le plan équatoriale de la planète.
Entre les anneaux il y a un espace vide. Il existe une limite appelé limite de Roche où en dessous de
cette limite, l’attraction gravitationnelle de la planète fait que les disques ne peuvent condenser
cad former de satellite mais au-dessus de cette limite il est possible de former des satellites.
Les satellites de Jupiter (à connaitre)
- Io : point noir c’est du volcanisme
- Europa : fracture glacée = faille : plaque de glace
- Ganymede : fort degré de cratérisation
- Callisto : faible cratérisation, océan pris en sandwich (sous forte pression l’eau peut devenir
liquide)

Satellite de Saturne : Titan


- ATM très épaisse : ne voit pas la
surface de la planète
- ATM riche en molécule
organique (méthane, azote :
vie possible ?)
- Zonation de l’ATM
- Trace d’activité : érosion mais
en surface il y a de la glace,
roche litée
iii. Les planètes naines
Les planètes naines sont des planètes qui n’a pas nettoyer le voisinage de son orbite comme
Cérès (passé d’astéroïdes à planètes naines) et Pluton (ce n’est plus une planète et elle fait partie
de la ceinture de Kepler ; il a un satellite c’est Charon)

iv. Les petits corps du système solaire


Petit corps du système solaire : corps en orbite autour du Soleil dont la masse ne permet pas une
forme sphérique, ni de nettoyer son orbite
1. Les comètes
- Composition : glace d’eau ; hydrocarbures et petites molécules organiques, silicates, CAI
(Ca, Al rich Inclusions)
- Nomenclature : n°de la comète ; lettre (C >200 ans ; P<200 ans ; X indéterminée ou D
disparue) ; nom des découvreurs
- Réservoirs : Ceinture de Kuiper et nuage d’Oort (matériaux les plus anciens du SS)
2. Les astéroïdes et les météorites
Les astéroïdes ne sont pas composés de glace.
- Composition variable les C-carbonés ; S-silicatés ; M-métallique et
silicaté
- Réservoirs : Ceinture de Kuiper, nuage d’Oort et ceinture d’astéroïdes
(entre Mars et Jupiter)

Météorite : fragment d’un corps du système solaire qui traverse l’atmosphère terrestre et peut
parvenir jusqu’à la surface de la Terre
- Critères diagnostiques : croute de fusion noire ; regmaglyptes ; impactite
- Lieux d’échantillonnage : déserts principalement
- En France : Cratère d’impacts de Rochechouart, dernière tombée en France en 2011 chez
Mme Comette ! Localement il y a augmentation de la P car il y a présence de quartz de HP

Classification :
- Météorite rocheuse :
o Chondrite : matrice de silicate dans une roche
o Achondrite : partie silicatée dans une roche
- Météorite ferreuse : cristallisation de Fer (en blanc)
- Météorite mixte : gros cristaux de silicate = Pallasite
II. Origine et devenir de la Terre et du système solaire
a. Origine et devenir des planètes du système des planètes du système solaire
i. Origine des planètes : modalité d’accrétion
Etapes de la formation des planètes et séquence de condensation
dans la nébuleuse protosolaire : tous commence par un disque de poussière
en rotation qui se condense. Le calcium et l’aluminium sont des éléments
qui condense à haute T°, lorsqu’on s’éloigne du disque la T° diminue et
d’autre éléments vont pouvoir condenser ce qui amène à une composition
hétérogène de la planète.

Comparaison de la composition chimique, par rapport à celle du Soleil, d’un objet primitif
tel que les chondrites et d’un objet différencié tel que la croûte terrestre. Si l’éléments est au-
dessus de la droite alors ATMsolaire est plus riche en cette éléments que dans la croute.
La chondrite à une composition proche de la composition du SS primitif, c’est le plus vieux corps du
SS qu’on a pu dater. Exemple le Ni
Il existe 2 grandes hypothèses pour la formation des planètes : Principe de l’accrétion homogène
et de l’accrétion hétérogène

- Hétérogène : En 10 Ma : planètes géantes formées loin du Soleil, condensation plus rapide


(BPBT) -> Gros noyaux solides (8-10 MT) retenant les gaz non expulses par les vents solaires
- Homogène : En 100 Ma : planètes telluriques formées proche du Soleil, condensation plus
lente (HTHP) -> Formation plus lente de petits corps perdant leur atmosphère “primaire”

Estimation de la vitesse d’extraction du noyau par


radioactivité éteinte Hafnium (Hf) Tungstène (W) :
- Hf : réfractaire (état solide à haute T°) et lithophile
(aime le manteau) : 182Hf-> 182W
- W : réfractaire et sidérophile (aime le Fer : va dans
le noyau) : 184W
Si la planète à une vitesse de différentiation élevé alors
tous le W va aller dans le manteau (différence de masse
(184-182)/182 donc on considère qu’il n’y a pas de
fractionnement isotopique) : rapport 182W/ 184W élevé
Vérification : roche terreste le rapport 182W/ 184W élevé
donc la séparation entre la partie silicaté (manteau) et la
partie ferreux (noyau) se fait rapidement (15 Ma)
ii. Origine des planètes et de leur satellite
Il existe plusieurs hypothèses sur la formation des satellites des planètes :
- Fission : un morceau de la planète donne le satellite
- Capture : astéroïdes proches d'une planète et capté par sa gravité et commence à graviter
autour
- Accrétion : au-dessus de la limite des Roches
- Collision : un astéroïde entre en collision et des morceaux gravite au-dessus de la limite des
Roches et commence à former un satellite (hyp retenue pour la Lune)

iii. Déplacement tardif : le modèle de Nice


On peut dater la formation de la Lune grâce à la quantité de cratère au cours
du temps en fonction de l’âge : possible uniquement si la croûte n’est pas
renouvelée.
Bombardement récent :
hypothèse : peut-être que les
planètes géantes se sont
formées plus près du soleil et
que le bombardement marque
leur migration qui aurait
augmenté ponctuellement le
nombre d'impact donc le
nombre de cratérisation
b. Origine et devenir du Soleil
i. Modèle de formation
Modèle de formation du
soleil : La matière
s’écroule sur elle-même
et entre en
condensation. A un
certain seuil il y a une
masse critique où il y a
expulsion de la matière
sur le plan équatorial.
D'où vient la matière et
comment elle se
condense ?

ii. Cause de l’effondrement


Hypothèse : Le nuage protosolaire (peu dense) croise un des bras de
la galaxie (très dense) et s’enrichie en 129I (phase 1), c'est au
deuxième croisement du bras qui va permettre de ralentir le nuage
protosolaire ce qui le contracte permettant son effondrement et
donc sa condensation où 129I -> 129Xe (phase 2).
On connait la demi-vie de 129I et 129Xe donc peut avoir une idée du
temps de trajet. La durée entre la phase 1 et 2 est de 100 Ma.

iii. L’avenir du Soleil


Plus la longueur d’onde d’une étoile est faible plus elle est
énergétique. Diagramme de Hertzsprung-Russell de
classification des étoiles. Exemple de l’evolution du Soleil
Dans 10 milliards d'année : le soleil aura puisé tous son H afin
de produire de He c’est la phase de l’expension de l’étoile où
elle refroidit.
Ensuite dans 12 Ga forme une géante rouge et le noyau de
l'étoile se contracte et une nouvelle réaction
thermonucléaire de fusion se produit : formation de C et O
jusqu'à la formation d'une super géante puis d’une naine
blanche puis naine noir fin de la vie de l'étoile
c. Origine de la matière du Système solaire
i. Le Big Bang et la formation des éléments légers
Fonds cosmologique à 3K (onde radio court): trace du big bang
Il y a une hétérogénéité des élements légers H et He.

ii. La nucléosynthèse stellaire


Au cœur des étoile on ne dépasse pas la combustion de la masse du fer (car éléments le plus stable).
Réaction nucléaires dans les étoiles
iii. Formation des éléments lourds
Pour aller au-dessus de la masse du Fe il faut que le soleil explose. Il existe 2 processus :
1) Crée des isotopes du Fer jusqu’à celui qui est radioactif qui va pouvoir capter un e- donnant
l’isotope 60 où il y aura ajout de faible quantité de neutron : s-process
2) Ajout de grand nombre de neutron qui lorsque l’éléments se désintègre forme un nouvel
isotope : r-process
Synthèse des éléments par capture de neutrons : processus S et R :

Abondance des éléments dans le système solaire et modalité de formation : courbe en dent de scie,
il y a plus d’éléments avec un isotope pair qu’impair
III. Spécificité de la Terre au sein du système solaire
a. Présence d’eau liquide pérenne

Diagramme de phase de l’eau en fonction de la température et de la pression et position des


principales planètes du Système solaire :

b. Présence d’une tectonique des plaques


LVZ : trace de l’hydrations fossile de la plaque qui entre en subduction (eau) et du ralentissement
des ondes s

c. Présence de vie : hypothèse sur son émergence


i. Hypothèses sur l’origine des molécules organiques
Origine photochimique : experience de Miller
Dans un ballon il met une source primitive à ébullition. La vapeur remonte
dans un autre ballon avec une décharge électrique qui permet la formation
de molécule organique qu’il va piéger et analyser afin de produire des
acides aminés et des bases azotés.

Origine thermochimique : dans les volcans soumarin il y a de l’eau


réductrice qui peut former des molecule organique
Origine panspermique : dans les comètes il y a des molécules organiques,
peut etre ensemensement des comète origine des molécule organique
ii. 1ère vies et radiation
Schéma évolutif de la vie sur la Terre depuis son (ses) origine(s) :

La première cellule marque la séparation d’un environnement par une membrane.


Le monde ARN
LUCA = last universal commun ancestor
On peut aussi définir une fenêtre d’environnement viable en fonction de la distance de la planète
au soleil.

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