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V. PLAN
Chapitre I : Généralités sur les aménagements hydroélectriques
1. Introduction
2. Perspectives de la production hydroélectriques mondiale
3. Approvisionnement et demande en énergie
4. Quelques définitions
5. Type d’aménagements hydroélectriques
6. Quelques équipements des centrales hydroélectriques
7. Microcentrale hydroélectrique.
8. Autres types d’énergie hydraulique.
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1. Introduction
La filière hydroélectrique constitue non seulement une des filières renouvelables de
production d’électricité au monde mais également la première à être exploitée par
l’homme. Elle valorise les cours d’eau (fleuves et rivières) existants moyennant des
aménagements allant du plus simple au plus complexe.
Environ le quart de la production mondiale en électricité est hydroélectrique. L’énergie
hydraulique était, il y a encore quelques décennies, l’une des principales sources
d’énergie des pays industrialisés.
Tout projet hydroélectrique devrait considérer sérieusement les implications
environnementales, sociales et économiques en les comparant aux autres sources
d’énergie. Et ce, au niveau initial du projet.
Dans le long terme, il a été démontré que l’hydroélectricité est économiquement plus
avantageuse si et seulement si elle est incorporée dès la conception initiale à plusieurs
projets alternatifs en y prévoyant des expansions futures en vue de satisfaire à la
demande en utilisant de nouvelles générations des unités turbines-alternateurs
(générateurs) plus performant.
2. Perspectives de la production hydroélectrique mondiale
En 1981, l’ONU a estimé que seulement 17% du potentiel hydroélectrique mondial
était utilisé. Ce chiffre devrait atteindre 80% en 2020. En outre, les statistiques au
niveau mondial estiment la puissance installée des centrales hydrauliques de moins de
10MW à environ 47 000 MW, le potentiel technique et économique avoisinant
180 000 MW.
La plupart des pays dans le monde exploite des capacités hydroélectriques très limitées
par rapport à leur potentiel. C’est le cas notamment de l’Australie (28%), l’Inde
(42%), la Corée (15%), le Royaume-Uni (32%), les USA (13%) et la Russie (21%).
Aujourd’hui, la RDC n’a développé qu’environ 5% de tout son potentiel
hydroélectrique estimé à environ 100 000 MW.
3. Approvisionnement et demande d’énergie
L’énergie électrique peut être générée à partir des centrales thermiques,
thermonucléaires et hydroélectriques.
La production de l’hydroélectricité est contrôlée par les turbines à eau.
Les centrales thermiques utilisent des turbines à vapeur, du carburant fossile (fuel)
comme le pétrole ou encore des minerais radioactifs (cas du nucléaire).
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Les centrales hydroélectriques sont donc plus appropriées pour satisfaire aux variations
de demande avec perte minimale d’énergie. Un système idéal consisterait à utiliser un
couple centrale thermique pour générer l’énergie jusqu’au maximum de la charge de
base, et l’hydroélectricité fournissant l’énergie de pointe.
Energie des centrales nucléaires
Les centrales nucléaires ne sont pas aussi appropriées pour satisfaire aux variations de
demandes parce que les réacteurs ne sont pas facilement contrôlables pour répondre
rapidement aux variations de charge. Ainsi, les centrales nucléaires sont utilisées pour
satisfaire les besoins de base avec un coefficient de charge de 80%.
Parce que non volumineux, le coût du transport du fuel nucléaire (combustible
nucléaire) est négligeable. Donc, les centrales nucléaires sont avantageuses là où les
combustibles fossiles traditionnels et l’hydroélectricité sont inexistants.
Les centrales nucléaires contrairement aux centrales thermiques à combustibles fossiles
ne nécessitent pas l’installation de système coûteux de contrôle de la pollution de l’air
et de l’atmosphère. Seuls les problèmes de sécurité empêchent la prolifération des
centrales nucléaires.
4. Quelques définitions
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fuel pour le cas des stations thermales ou d’eau pour le cas d’une autre centrale
hydroélectrique avec système de stockage.
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a) Turbines hydrauliques
Les turbines hydrauliques sont en fait des moteurs hydrauliques ou mobilisateurs
principaux dans un système de production d’énergie à partir de l’eau.
Les turbines convertissent l’énergie hydraulique en énergie mécanique utilisée
directement par un générateur d’électricité couplé à l’arbre de la turbine produisant
ainsi de l’énergie électrique.
Une turbine hydraulique est une machine rotative actionnée par l’impulsion et/ou la
réaction du courant d’eau attaquant le rotor qui consiste en une série de godets,
d’aubes courbées ou lames.
Types de turbines hydrauliques
Les turbines sont classifiées en turbines à impulsion et turbines à réaction.
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Ns =
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Les rendements des larges unités turbine/alternateurs sont généralement plus élevés
que ceux de petites unités du même type.
Si la demande d’énergie est raisonnablement uniforme, c’est pratique d’installer un
petit nombre de larges unités.
Comme le rendement des turbines hydrauliques décroit avec le débit, il est prudent
d’utiliser un grand nombre de petites unités pour de conditions d’opérations variant
largement.
La variation de charge est satisfaite en mettant les machines en opération et en arrêt
de telle façon que les unités ne soient pas soumises à de larges variations de charge et
par conséquent opérer aussi efficacement que possible.
b) Conduites forcées
Les conduites forcées sont des tubes de large diamètre généralement en acier ou en
béton utilisées pour conduire l’eau de la source (réservoir ou baie amont) jusqu’à la
centrale.
c) Contrôleur de turbines
C’est un mécanisme contrôlant la vitesse rotationnelle de l’unité turbine/alternateur.
Une vitesse constante doit être maintenue pour obtenir du courant alternatif avec une
fréquence constante. Comme la turbine et donc le générateur/alternateur qui lui est
couplé tendent à décroître ou à accroître la vitesse et comme la charge est variable
alors la maintenance d’une vitesse quasi-constante exige le contrôle et la régulation de
la quantité d’eau qui doit être permise de s’écouler dans la turbine en fermant ou en
ouvrant les vannes de la turbine automatiquement grâce au « contrôleur ».
d) Alternateurs/générateurs
Un alternateur/générateur est une machine électrique couplée à l’arbre de la turbine
horizontalement ou verticalement. Le générateur à courant alternatif synchronisé est le
plus utilisé dans la production de l’hydroélectricité.
Il comprend :
- Un champ magnétique consistant en un assemblage d’électroaimants (pôles) qui
tournent (rotor) dans un stator (unité stationnaire) qui est un système de
conducteurs (armature de bobinage). C’est le déplacement relatif entre rotor et
stator qui produit une force alternative et électromotrice.
- La turbine est contrôlée à opérer à une vitesse constante et
l’alternateur/générateur est conçu avec un nombre approprié de pôles pour
produire la fréquence appropriée à la vitesse indiquée.
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ainsi la perte d’énergies et permettent donc l’utilisation des petits conducteurs (câbles)
sur la ligne de transmission.
Les transformateurs sont habituellement placés à l’extérieur dans la cours des
commutateurs adjacents à la centrale de production afin d’éviter les dangers éventuels
tels que le survoltage.
f) Centrale de production d’énergie (Power house)
La centrale de production est constituée de :
- Une infrastructure contenant les équipements hydrauliques et électriques. Elle
est généralement un bloc en béton avec toutes les voies d’eau nécessaire en son
sein ;
- Une superstructure qui contient les unités génératrices, les exciters, le tableau de
commande et la salle des opérations.
Dans certains cas, lorsque les conditions topographiques sont compliquées (canyon
étroit), la centrale est alors construite en souterrain. Il est important d’équiper une
centrale d’une grue pour l’installation et la maintenance des équipements. Les grues
mouvantes sur toute la longueur du building sont généralement utilisées.
g) Canal de fuite (Tail race)
C’est une voie d’eau dans laquelle l’eau en provenance des turbines est déchargée. Il
peut être court et si la centrale est proche du cours d’eau alors l’eau y peut être
déchargée directement.
h) Tanks de suppression (Trop plein)
Ils ont pour objectif principal la protection du long tunnel de pression (dans les
stations à hauteur moyenne et élevée) contre les hautes pressions de coup de bélier
(water hammer) causées par une soudaine réflexion ou réception de charge. Ces trop
pleins convertissent ces oscillations rapides de pression (coup de bélier) en fluctuations
de pression lente à cause des oscillations de masse dans le tank.
7. Stations/centrales micro-hydroélectrique (Microcentrale)
Les microcentrales hydroélectriques sont souvent utilisées pour l’électrification des
milieux ruraux. Ce système est indépendant, sûr et permet d’économiser le « fuel »
type pétrole pour d’autres utilisations.
En pratique, le système injecte la technologie dans les milieux ruraux.
La chine par exemple a aménagé un nombre très important de microcentrale
hydroélectrique avec une capacité installée d’à peu près 300kw par unité.
Certaines microcentrales hydroélectriques peuvent également incorporer des canaux
d’irrigation pour les cultures hors-saison.
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1. Introduction
Lors de la conception d’un barrage, comme dans tout projet de génie civil, on peut
distinguer 3 phases bien caractéristiques qui sont :
- Les études préliminaires ou Avant-Projet Sommaire (APS) ;
- Les études d’Avant-Projet Détaillé (APD), et ;
- Les études de réalisation des ouvrages (dossier d’exécution).
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5. Application
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I. INTRODUCTION
Etudier le potentiel hydroélectrique d’un site d’aménagement hydroélectrique revient
à déterminer sa puissance. Cette détermination est tributaire des études hydrologiques
qui sont à mener à l’échelle du bassin versant du cours d’eau choisi pour
l’implantation du projet.
Ces études techniques sont à réaliser en coordination étroite avec les études
environnementales et l’analyse financière du projet. Toutes ces études vont donc
toujours s’influencer mutuellement.
II. CARACTERISATION DU BASSIN VERSANT (ETUDES TOPOGRAPHIQUES)
Les travaux topographiques portent essentiellement sur le bassin versant et le site du
barrage.
Une bonne connaissance de la topographie de la région permet de déterminer toutes
ses caractéristiques : son réseau hydrographique et sa couverture végétale.
1. Caractéristiques physiques du bassin versant
a) L’ordre :
Déterminer l’ordre d’une rivière, cours d’eau, c’est hiérarchiser ses différents affluents
afin de déterminer son confluent principal.
L’ordre de classification de SCHUMM s’énonce comme suit :
- Tout cours d’eau dépourvu d’affluents est d’ordre 1 ;
- Au confluent de deux cours d’eau de même ordre n, le cours d’eau résultant est
d’ordre n+1 ;
- Le cours d’eau formé par la confluence de deux cours d’eau d’ordre différent
prend l’ordre du plus élevé des deux.
b) La forme :
L’étude la forme d’un bassin versant dépend des paramètres suivants :
- L’indice de compacité ;
- Le rapport de relief ;
- La pente moyenne du bassin versant ;
- Le rectangle équivalent.
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G= Sachant que C = 2 et √
On a ainsi : G =
√ √
RR =
Où : RR est le rapport de relief ; RB est le relief total du bassin versant (m) et LB est la
longueur maximale du bassin versant (m). La longueur maximale du bassin versant est
évaluée en mesurant la distance entre l’exutoire et le point le plus éloigné.
G= ; P = 2 (L + l) et A = L x l
√
On obtient :
√ √
[ ( ) ]
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√ √
[ ( ) ]
La pente moyenne du cours d'eau détermine la vitesse avec laquelle l'eau se rend à
l'exutoire du bassin donc le temps de concentration.
Le calcul des pentes moyennes et partielles de cours d'eau s'effectue à partir du profil
longitudinal du cours d'eau principal et de ses affluents. La méthode la plus
fréquemment utilisée pour calculer la pente longitudinale du cours d'eau consiste à
diviser la différence d'altitude entre les points extrêmes du profil par la longueur totale
du cours d'eau :
Pmoy
La répartition des superficies entre les courbes de niveau est appelée « Répartition
hypsométrique ». Elle est visualisée par une courbe appelée « courbe hypsométrique ».
Celle-ci fournit une vue synthétique de la pente du bassin et représente la répartition
de la surface du bassin versant en fonction de son altitude. Elle porte en abscisse la
surface (ou le pourcentage de surface) du bassin qui se trouve au-dessus (ou en-
dessous) de l’altitude représentée en ordonnée. La courbe hypsométrique du bassin
donne ainsi le pourcentage de la superficie S du bassin versant situé au-dessus d'une
altitude donnée H.
Le relief joue un rôle prépondérant dans l’aptitude au ruissellement des terrains. Son
appréhension peut être faite à l’aide de l’indice de pente global (Ig).
L’indice de pente globale se calcule d’après la formule suivante :
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Pour permettre une comparaison plus poussée des bassins entre eux, du point de vue
relief, on détermine la dénivelée spécifique (Ds) à partir de l’indice de pente globale.
√
Il existe une relation entre l'indice de pente globale et l'indice de pente de roche du
bassin :
e) Densité de drainage
La densité de drainage représente la longueur totale des cours d’eau par unité de
surface du bassin versant. C’est un facteur qui dépend surtout de la géologie et des
caractéristiques du bassin versant.
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a) Mesure du débit
Il existe plusieurs bonnes méthodes pour jauger le débit d’un cours d’eau selon le
matériel utilisé, le volume d’eau présent dans le cours d’eau et la précision recherchée.
C’est une méthode simple pour mesurer les débits, faibles ou grands, avec un peu plus
de précision que la méthode du flotteur. Comme pour cette dernière, il vaut mieux
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l’utiliser en eaux calmes et par beau temps, avec peu de vent : s’il y a trop de vent et si
la surface de l’eau est agitée, le flotteur risque de se déplacer anormalement.
Procédure :
Procédure
( )
( )
avec :
√
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Avec:
I: lame d’eau infiltrée (mm); P: pluviométrie (mm); ETR: évapotranspiration réelle
(mm); R: lame d’eau ruisselée (mm); ΔS : variation du stock d’eau ; : temps de
mesure.
N.B : A l’échelle du cycle hydrologique annuel, les variations de stock (ΔS) s’annulent
sur un grand bassin.
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La crue décennale est donnée par la formule tirée par la méthode ORSTROM de
RODIER et AUVRAY (1965) :
RODIER et AUVRAY proposent d'admettre que la pluie est suffisamment brève pour
que la réponse à une averse soit unitaire.
L'hydrogramme unitaire est alors défini par trois paramètres dont seuls les deux
premiers sont nécessaires à l'évaluation du débit de pointe de crue décennale :
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Les cours d’eau peuvent être classés en fonction de la hauteur de leur chute :
- Faible chute (<15m)
- Moyenne chute (entre 15 et 100m)
- Haute chute (>100m)
La caractérisation d’un site repose sur un certain nombre de paramètres dont le régime
de la rivière, le bassin versant, la longitude, la latitude, les apports moyens, les cotes
amont, les côtes aval et bien d’autres.
b) La chute
Lors de l’étude de potentialité d’un site, on peut considérer que la hauteur de chute
brute ou dénivellation correspond à la différence d’altitude entre les niveaux de la
prise d’eau et la sortie de la turbine ou plus simplement entre les plans d’eau amont et
aval de l’aménagement envisagé.
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Pour le calcul de la puissance exploitable, c’est la hauteur de chute nette qui est
décisive. Elle tient compte de la réduction de la hauteur brute (dénivellation) due à
toutes les pertes de charges (frottements dans la conduite forcée, les coudes et les
vannes et éventuellement aux pertes de charge liées au type de turbine utilisée).
Plusieurs auteurs estiment les pertes de charge de parcours et les pertes de charge
localisées à 7,5% de la hauteur de l chute brute.
Qm = xAxV
C’est le débit qui permet à la centrale de produire sa puissance nominale. Son choix
dépend de l’utilisation de l’installation. Si la centrale est la seule source
d’approvisionnement du consommateur ou du mini-réseau, le débit nominal est celui
atteint pendant au moins 250 jours sur l’année. Dans le cas contraire, la production
doit être le facteur le plus important et le débit nominal optimal se situe autour d’un
débit atteint entre 50 et 90 jours par an.
Qt = Q – Qres
f) Potentiel exploitable
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La revue des données météorologiques de l’INERA sur une période de 10 ans a donné
les résultats suivants :
- Les précipitations annuelles évaluées sur une période de 10 ans (de 2008 à
2017) sont de (1611,8 ± 188,2) mm (moyenne ± écart type). Ainsi, P10 =
1611,8mm
Années 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017
P (mm) 1500 1333 1767 1800 1667 1867 1433 2167 1433 1633
Mois Janv. Fev. Mars Avril Mai Juin Juillet Aout Sept. Oct. Nov. Dec.
T° (°C) 25,5 25,8 26,3 26,0 25,4 23,2 22,1 22,8 24,2 25,0 25,3 25,2
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S1 S4
S2
S3
1,24m
1,30m
1,50m
On demande de :
- Faire une étude morphométrique exhaustive du bassin versant de la rivière
M’FIDI ;
- Etablir la courbe hypsométrique ;
- Faire le bilan hydrologique du bassin et déterminer la crue décennale et la crue
de projet sachant que cette dernière est prise sur une période de 20 ans ;
- Calculer le débit moyen instantané du cours d’eau ;
- Calculer les différents potentiels hydroélectriques que pourra fournir ce cours
d’eau.
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