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Infoline. : 01-12-56-90
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Laboratoire de Recherche en Électronique de Conception et GSM site web : www.recsonprof.com
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PROGRAMMES
MATIERE : ELN NUMERIQUE / FILIERES : 1ères Années BTS Industrielles / PROF: RECSON
G
MATIERE : ELN NUMERIQUE / FILIERES : 2èmes Années BTS Industrielles / PROF: RECSON
I/ REVISION
TD n°1 (circuits logiques) 03H
TD n°2 (circuits combinatoires) 03H
IV/ CONVERTISSEURS
4-1/ CONVERTISSEUR ANALOGIQUE NUMERIQUE 03H
4-2/ CONVERTISSEUR NUMERIQUE ANALOGIQUE 03H
Evaluation n°5 03H
1- DEFINITIONS
1-1 Système de numération
Un système de numération est un ensemble de symboles permettant
de représenter un nombre.
1-2 Base
La base d’un système est le nombre de symboles (chiffres ou lettres)
qui composent ce système.
1-3 Rang
On donne le rang à chaque symbole à partir de la droite vers la
gauche en commençant par zéro.
1-4 Poids d’un symbole
Le poids d’un symbole est représenté par la base affectée de son
rang en exposant.
5- APPLICATIONS
(777,8125)10
(150,5)10
(1000)10
INTRODUCTION
Dans le souci d’automatiser les appareils et de les rendre plus intelligents (plus
précis, plus rapides, plus simples et possédant une capacité mémoire assez grande),
une nouvelle technologie s’est développée : l’électronique numérique. Elle est basée
sur la logique booléenne (vrai ou faux, oui ou non) de laquelle est né un nouveau
système de numération autre que le système décimal traditionnel ; le système binaire
ou système à deux états ; 0 et 1 dont les équivalents électriques sont respectivement
absence et présence de tension. Pour le traitement automatique de l’information, la
mise en place de langages numériques est nécessaire. Pour la plus part du temps,
ce sont les codes binaires.
1- DEFINITIONS
1-1. CODE PONDERE
C’est un code qui à chaque position correspond une valeur intrinsèque
appelée poids.
1-2. CODE BINAIRE NATUREL
Encore appelé code binaire pur, il est un code pondéré dont les poids dans
l’ordre sont 20, 21, 22, 23, etc. …
1-3. BIT
Le bit représente une position binaire appelée aussi digit. Ex : (1011)2 est
écrit sur 4 bits
1-4. CODE BINAIRE
Il désigne une information traitée et écrite sous forme de bits à partir d’une
norme.
2- BIT ET CAPACITE MEMOIRE D’UN SYSTEME NUMERIQUE
La plupart des équipements numériques traitent des informations codées
sur d’énormes quantités de bits. Pour avoir une maîtrise de la quantité de
bits manipulés, les bits sont groupés en quatre (quartet, quadruplet,
tétrade), en huit (octet).
M C D U
0001 1001 1000 0101
23 22 21 20 23 22 21 20 23 22 21 20 23 22 21 20
X 103 X102 X103 X100
Méthode :
23 22 21 20 nombre de 0 initiaux
24 23 22 21 succession de 1 et de 0
Un code est dit alphanumérique s’il permet de coder des nombres, des
lettres et certains symboles particuliers. Les codes alphanumériques sont
destinés à la transmission d’informations vers les unités de traitement
logique. Le code alphanumérique le plus répandu est le code ASCII
(American Standard Code for Information Interchange). C’est le code
qu’utilise la majorité des fabricants de micro-ordinateurs, il comprend :
- les 26 lettres de l’alphabet majuscules et minuscules
- les 10 chiffres décimaux
- au moins 25 caractères spéciaux
Soit au moins 87 symboles. Il faut 7 bits pour coder chacun de ces
symboles.
Démo : 26 < 87 < 27
A ces 7 bits, un 8ème permettant d’effectuer un contrôle sur l’information
transmise est ajouté. C’est le bit de parité.
Bit de contrôle de parité pair
- si le nombre de 1 est pair alors le bit de parité est 0
- si le nombre de 1 est impair alors le bit de parité est 1
Bit de contrôle de parité impair
- si le nombre de 1 est pair alors le bit de parité est 1
- si le nombre de 1 est impair alors le bit de parité est 0
4- APPLICATIONS
Exercice 1: Calcul rapide
75,5 octets = …………………………..…… bits
520 M octets = ………Octets = ……………bits = ………..Gb
(1234)10 = ( ? ) GRAY
(145)8 = ( ? )16
(9702)10 + ( ? )2
NTIC et TCOM.
0 0 0 0 1 0 1 1 1 0
La conversion en décimal est donnée par la multiplication du contenu du
registre par 2-3 Ex : (101,11)2 = 101110 x 2-3 = (25 + 23+ 22 + 21) x 2-3 = (5,75)10
La représentation à virgule introduit une erreur au-delà de trois chiffres.
Ex : soit à représenter le nombre (6,8125)10 dans la représentation à virgule
fixe. La conversion donne (6,8125)10 = (110,1101)2 et la représentation :
0 0 0 0 1 1 0 1 1 0
Ce qui donne en reconversion 6,75 au lieu de 6,8125
Il faut donc un autre type de représentation :
1-2. représentation à virgule flottante
1 1 0 1 1 0 1 0 1 1
La conversation en décimal donne 0,1101101 4 3
x 2 = 6,8125
(0,1)2 = 0,00000001 x 27
(10,111)2 = 0,00010111 x 25
(10111,01)2 = 0,01011101 x 26
Uniformisons à 25.
(0,1)2 = 0,00000100 x 25
(10,111)2 = 0,00010111 x 25
(10111,01)2 = 0, 10111010 x 25
NB : possibilité d’uniformiser à 26 en conservant la mantisse à 8 et l’exposant à 3
2- OPERATIONS SUR LES ENTIERS SIGNÉS
Un entier signé est un entier qui porte un signe + ou -. Par convention, le signe + est
codé 0 et le signe – est codé 1. Dans la représentation binaire des entiers signés, le bit de
signe est celui situé à gauche. On utilise généralement trois systèmes de codage pour
représenter un nombre binaire signé.
2-1. codage en VAS sur n bits
La représentation d’un nombre entier signé sur n bits en VAS n’est possible
que si ce entier appartient à [-2n + 1 ; 2n – 1] (le bit de signe n’est pas compté).
Ex : pour n = 3, on peut représenter les nombres de – 7 à + 7 soit 1 111 à 0 111.
Représentons les nombres +5 et -3 sur 4 bits. +5 = 0 0101 et -3 = 1 0011
2-2. codage en CR sur n bits
La représentation d’un entier positif en CR est identique à sa représentation
en VAS. La représentation d’un entier négatif s’obtient à partir de sa
représentation en VAS en remplaçant les 0 par 1 et vice versa.
Ex : (– 5)10 = (1 1010)vas
2-3. codage en CV sur n bits
La représentation d’un entier positif en CV est identique à sa représentation
en VAS. La représentation d’un entier négatif s’obtient à partir de sa
représentation en CR à laquelle on ajoute 1.
Ex : (– 5)10 = (1 1011)CR
3- CALCUL ARITHMETIQUES
0+0=0 0–0=0
0+1=1 0 – 1 = 1 (ajout 1)
1+0=1 1–0=1
1+1=0 carry 1 1–1=0
1 + 1 + 1 = 1 carry 1
0x0=0 0 : 0 = impossible
0x1=0 0 : 1 = 0 (reste 0)
1x0=0 1 : 0 = impossible
1x1=1 1 : 1 = 1 (reste 0)
4- APPLICATIONS
1. 79 + (- 44)
0 1001111
1 1010100
0 0100011
2. 27 - (+ 44)
27 - (+ 44) = 27 + (- 44)
+27 = (0 011011)vas/6 - 44 = (1 101100)vas/6
complément à deux de – 44 sur 6 bits: (1 010100)cv/6
l’opération donne :
0 011011
1 010100
1 101111
3. 9 x 11
1001
1011
1001
1001
0000
1001
1100011
vérification : 0011100 = 99
4. 10 : 4
1010 100
100
1- PRESENTATION
Un système numérique est un dispositif électronique à base de circuits numériques. Sa
réalisation part d’une idée de conception. Cette idée aboutit à un énoncé contenant une
condition de réalisation. A partir de cette condition de réalisation est établie une table de vérité
suivie d’une ou des équations de sortie. Après l’équation de sortie, des circuits numériques sont
choisis pour réaliser le logigramme du système après simplification si nécessaire
(simplifications algébrique ou graphique). Le circuit ainsi obtenu (schéma de principe) respecte
le fonctionnement du système.
Exemple de système :
2- ENONCE
Soit à réaliser un système permettant la validation d’un vote à quatre votants. L’allumage
d’une lampe placée à la sortie indiquera la validation du vote lorsque la majorité des votants
aura voté oui. (oui = 1 et non = 0).
3- CONDITION DE REALISATION
La sortie est valide lorsque la majorité des votants votent oui ;c’est à dire 3 votants sur 4.
4- TABLE DE VERITE
Nombre d’entrées n : ici, le nombre d’entrées désigne le nombre de votants (04)
Nombre de combinaisons d’entrées N : N = 2n = 24 = 16
Nombre de sortie S : ici nous avons une seule sortie représentée par la lampe.
La table de vérité est un tableau dans lequel se trouve toutes les combinaisons d’entrées
ainsi que le niveau logique correspondant à la sortie pour chaque combinaison d’entrée. L’état
de la sortie dépend de la condition de réalisation.
A B C D S
0 0 0 0 0
0 0 0 1 0
0 0 1 0 0
0 0 1 1 0
0 1 0 0 0
0 1 0 1 0
0 1 1 0 0
0 1 1 1 1
1 0 0 0 0
1 0 0 1 0
1 0 1 0 0
1 0 1 1 1
1 1 0 0 0
1 1 0 1 1
1 1 1 0 1
1 1 1 1 1
5- EQUATION DE SORTIE
L’équation d’une sortie représente la somme des combinaisons des variables d’entrées pour
lesquelles la sortie est égale à 1.
6- APPLICATIONS
Exercice 2
Soit le circuit électrique suivant :
L1 +Vcc
C1 C2
L2
C3
Leçon 2 : SIMPLIFICATIONS
1. Définition
La simplification consiste à écrire l’équation sous une forme réduite afin de minimiser le
nombre de composants utilisés ainsi que le coût de la réalisation du système. Il existe deux
méthodes de simplification : la simplification algébrique et la simplification graphique par le
tableau de KARNAUGH.
1-1. Simplification algébrique.
Ce type de simplification utilise l’algèbre de Boole respectant donc les axiomes et
théorèmes ci dessous.
Exemple de simplification
1 01
11
10
Exemple : le produit ABCD correspond au "1" pour lequel A=0, B=1, C=1, D=1 ; d’ou
l’intersection de la deuxième colonne (01) et de la troisième ligne (11)
ab
cd 00 01 11 10
00
01 1
11 1 1 1
1
10
Principe de regroupement :
Le principe de regroupement consiste à grouper dans la mesure du possible en
ordre décroissant les "1" adjacents (… 32, 16, 8, puis 4, et enfin 2).
Un "1" peut appartenir à plusieurs groupements.
Simplification :
Un groupement de 8 cases élimine 3 variables. Un groupement de 4 cases élimine
2 variables. Un groupement de 2 cases élimine 1 variable.
Les variables éliminées sont les variables qui changent d’états dans le
groupement.
La simplification est donnée par la somme des produits de chaque groupement.
Cas de l’exemple
Dans notre cas, on ne peut faire que des groupements de 2
ab
cd 00 01 11 10
00
01
1
11 1 1 1
1
10
ab ab
cd 00 01 11 10 cd 00 01 11 10 cd 00 01 11 10
00 1 1 1 1 00 1 0 0 1 00 1 0 0 1
01 1 1 1 1 01 0 1 1 0 01 1 1 1 1
11 0 1 1 0 11 0 1 1 0 11 1 1 0 0
10 0 1 1 0 10 1 0 0 1 10 0 0 0 0
M= N= P=
ab ab ab
cd 00 01 11 10 cd 00 01 11 10 cd 00 01 11 10
00 0 0 1 0 00 0 1 1 0 00 0 1 0 1
01 1 0 1 1 01 1 0 0 1 01 1 0 1 1
11 1 1 1 1 11 1 0 0 1 11 0 1 0 1
10 0 0 1 0 10 0 1 1 0 10 1 1 1 1
R= S= T=
H= J=
abc abc
de 000 001 011 010 110 111 101 100 de 000 001 011 010 110 111 101 100
00 0 0 0 1 1 1 1 0 00 0 1 1 0 0 1 1 0
01 0 0 0 1 1 1 1 0 01 0 1 1 0 0 1 1 0
11 0 0 0 1 1 1 1 0 11 0 1 1 0 0 1 1 0
10 0 0 0 1 1 1 1 0 10 0 1 1 0 0 1 1 0
K= L=
abc abc
de 000 001 011 010 110 111 101 100 de 000 001 011 010 110 111 101 100
00 1 0 0 1 1 0 0 1 00 1 1 1 0 0 1 1 1
01 0 1 0 0 0 0 1 0 01 0 1 1 0 0 1 1 0
Fascicule
11 0 d’ÉLECTRONIQUE
1 0 0 0 NUMMERIQUE
0 1 0 (partie
11 contenu)
1 1 1 1 1 1 1 1 25
Auteur : Professeur RECSON Janvier 2007
10 1 0 0 1 1 0 0 1 10 1 0 0 1 1 0 0 1
11 BP 2398 Abidjan 11
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1. Fonctions logiques
Il existe sept fonctions de base :
NON / NOT - INV: inversion logique
ET / (AND) : produit logique
OU / (OR) : addition logique
NON ET / (NAND) : inversion du produit logique
NON OU / (NOR) : inversion de l’addition logique
OU EXCLUSIF / (XOR)
ET EXCLUSIF / (XNOR)) qui sont utilisées pour la réalisation de
logigrammes. (Voir tableau)
2. logigramme
2-1. Présentation
Un logigramme est un ensemble de fonctions logiques élémentaires
appelées portes logiques permettant la réalisation d’un système numérique.
2-2. Exemple de logigramme
Soit à réaliser le logigramme de notre exemple. Les expressions simplifiées
sont :
S = AB(C + D) + CD(A + B) ou S = ABC + ABD + ACD + BCD
On pourra utiliser soit 3 portes OU et quatre portes ET à deux entrées, soit quatre
portes ET à trois entrées et une porte OU à quatre entrées selon la forme de l’équation.
Exerçons nous en complétant le deuxième logigramme.
A A.B
B A.B(C+D)
C
D C+D
C.D S=A.B(C+D)+C.D(A+B)
C.D(A+B)
A+B
ABC
A
ABD
B
C
S=ABC+ABD+ACD+BCD
D ACD
BCD
3. Applications
EXERCICE N°1
La conception d’un circuit logique a donné le logigramme suivant :
A
1
C
1
B
1 >
C1 C2
L2
GND
C3
EXERCICE N°3
Simplifiez l’expression suivante par la méthode de votre choix
X = A. B. C + B. C. + A. B
Les circuits logiques sont des systèmes électroniques possédant des fonctions logiques
et disponibles de façon matérielle sous forme de circuits intégrés. On distingue :
- Les portes logiques
- Les circuits combinatoires (additionneurs, multiplicateurs, codeurs,
multiplexeurs etc.…)
- Les circuits séquentiels (bascules compteurs registres)
- Les circuits complexes (les mémoires et autres microprocesseurs)
Les circuits intégrés logiques possèdent plusieurs sous-familles selon les techniques de
fabrication et les caractéristiques électriques. Les deux familles les plus connues sont les TTL
(Transistor Transistor Logique) et les CMOS (Complémentary Metal Oxyd Semiconductor).
1. Les familles TTL
Consommation en puissance
- Les TTL consomment entre10 et 20 mW par porte.
- Les CMOS consomment environ 0,1mW / porte (100 fois moins que
les TTL).
Vitesse de propagation
Les circuits TTL sont plus rapides (10 à 30 ms) que les CMOS (50 à
100 ms).
0 EL O
Sortie Entrée
(Output) (Input)
CMOS
VOH = VDD
VOL = 0V
VIL max = 30% de VDD
VIH min = 70% de VDD
INTRODUCTION
Tout circuit logique circuits à base de portes logiques et dont les sorties dépendent
uniquement des états présents des entrées est appelé circuit combinatoire. Il existe différents
circuits combinatoires dont les plus connus sont les Additionneurs, les soustracteurs, les
comparateurs, les multiplicateurs, les diviseurs, les codeurs, les décodeurs, les multiplexeurs et
les démultiplexeurs. Les unités arithmétiques et logiques (UAL) sont des circuits combinatoires
contenus dans les ordinateurs et permettant d’effectuer toutes les opérations arithmétiques et
fonctions logiques de base (ET, OU, NON, etc. …).
Leçon 1 : ADDITIONNEURS
Les additionneurs binaires sont des circuits logiques permettant de faire l’addition
arithmétique de deux nombres binaires de n bits chacun.
1. Demi Additionneur
- Condition de réalisation :
Addition de deux nombres A et B d’un bit chacun sans retenue
d’entrée. Nombre d’entrées : 02 (A et B). Nombre de sorties : 02 (somme S
et retenue de sortie Rs)
- Table de vérité :
A B S Rs
0 0 0 0
0 1 1 0
1 0 1 0
1 1 0 1
S = AB + AB = A + B
Rs = AB
- Logigramme :
A
S
B
Rs
2. Additionneur Complet
- Condition de réalisation :
- Table de vérité :
A B Re S Rs
0 0 0 0 0
0 0 1 1 0
0 1 0 1 0
0 1 1 0 1
1 0 0 1 0
1 0 1 0 1
1 1 0 0 1
1 1 1 1 1
S = A B Re + A B Re + A B Re + A B Re
= Re (A B + A B) + Re (A B + A B)
= Re ( A B ) + Re (A + B)
S = Re + (A + B)
Rs = A B Re + A B Re + A B Re + A B Re
Rs = Re.(A + B) + AB
- Logigramme :
Re
A S
Rs
1110
A0 S0 A1 S1 A2 S2 A3 S3
CI
74LS83
CO
5. Applications
Exercice 1
On désire faire l’addition de deux nombres 7 et (–4) à l’aide d’un additionneur
intégré, le 74LS83.
1. En utilisant le complément à deux du nombre négatif, montrez que le
résultat sera 0011.
2. Quelle est la différence entre l’addition logique et l’addition
arithmétique ; justifiez par un tableau comparatif ?
3. Déterminez les niveaux logiques aux entrées et aux sorties du circuit
correspondant à l’opération effectuée. (voir circuit)
Exercice 2
On désire réaliser un additionneur de cinq bits à l’aide d’additionneurs complets.
1. Quel est le nombre décimal maximal pouvant être obtenu à la sortie
du circuit ?
2. Sachant que la retenue de sortie d’un additionneur complet
représente la retenue d’entrée de l’additionneur suivant, réaliser le câblage de
l’additionneur de cinq bits en indiquant les entrées A4A3A2A1A0, B4B3B2B1B0 et C0
(retenue d’entrée) ainsi que les sorties S4S3S2S1S0 et C5 (retenue de sortie) ?
3. Donnez les états logiques des entrées et sorties pour l’addition en
binaire des nombres décimaux 21 et 10 ?
Leçon 2 : COMPARATEURS
Les comparateurs binaires sont des circuits logiques permettant de faire la comparaison
de deux nombres binaires de n bits chacun.