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« La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale.

Elle assure l’égalité devant la loi de tous les


citoyens… »
C’est par ces mots que s’ouvre l’article premier de notre constitution. Dans « égalité devant la loi de
tous les citoyens » est contenue la réponse à la question du droit de vote des étrangers. Car de ces
"Les traités européens qui s'appliquent en France ont prévu que les citoyens de l'Union
mots, deux grands principes découlent.
européenne résidant en France peuvent participer aux élections municipales et aux
Tout d’abord,
électionsévidemment,
européennes, l’égalité devantune
nous avons la loi. Les Français,
communauté detous les Français,
destin", a justifiéont le droit
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longtemps que le droit
européenne est de
unvoter et national
scrutin le droit d'être élu dans
: les élus, dont nos territoires
je fais doitdes
partie, sont
demeurer un droit attaché à la nationalité française", a-t-il ajouté.
« députés français au Parlement européen ». À Strasbourg, ils sont détenteurs d’un mandat national
confié "Si une
par le personnalité
peuple français. C’est de nationalité
donc bien, même auétrangère qui réside
sein de la construction dans notre
européenne et d’un
pays,
ensemble qui respecte
civilisationnel nos
commun, lois et
la nation quinos
restevaleurs, veut participer
la forme indépassable aux choix
de l’expression
politiques
démocratique de notre
et politique. nation, alors mesdames et messieurs les maires,
une voie
Deuxièmement, et lui est ouverte,
conséquemment, ce cette
sont lesvoie c'est» l'accès
« citoyens à Ce
qui votent. la sont
nationalité
les Français, et
française",
uniquement les Français, qui disposent de ce droit. Car l’on est forcément citoyen d’un pays, d’une
nationLe
particulière. Et des
droit de vote c’est justement
étrangers le cadre
constitue un légal
débatd’une part,etdevant
complexe lequel les
profondément compatriotes
ancré qui
dans le paysage
politique,
sont aussi suscitant dessont
des concitoyens réflexions
égaux,sur
et la
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cadre constitutionnel et l'inclusion.
d’autre Deux figures
part, c’est-à-dire celui de la
emblématiques
loi fondamentale de la politique
de notre État, qui française,
ensembleFrançois Mitterrand
déterminent, et François
en France, Hollande, ont été associées
la citoyenneté.
à des moments clés de cette discussion évolutive.
Il est à la fois naturel et évident que c’est aux Français, à eux seuls, de décider pour eux-mêmes
Plus généralement, le citoyen est étymologiquement celui qui appartient à la Cité, à la Polis au sens
François
grec. Nous Mitterrand,
savons ancien président
depuis Aristote de la République
que l’homme française,
est un animal a marqué
politique l'histoire
(« zôon politikonpolitique du
»), un être
pays par ses réformes et ses idées progressistes. Il a souvent plaidé en faveur de l'élargissement des
vivant qui ne peut exister de façon accomplie qu’à travers son appartenance à une société. La
droits civiques, y compris le droit de vote des étrangers résidant en France. Sa vision était ancrée
première de ces sociétés, la plus immédiate, est la famille nucléaire et, à travers elle, la lignée ; la
dans la volonté de renforcer l'égalité et la participation démocratique, soulignant l'importance de
dernière de ces sociétés,
l'inclusion sociale aulasein
plusdevaste, est la
la société nation conçue comme une « famille de familles ».
française.
Le mot même de nation véhicule cette idée de grande famille puisque le mot vient du latin natio,
Plus tard, François Hollande, également ancien président de la République, a continué à aborder la
« né de ». C’est
question en tant
du droit quedes
de vote membre d’une
étrangers. Polis, ad’une
Son mandat nation,
été marqué par d’une grandesur
des discussions famille,
la que
l’on est fondéd'adapter
nécessité à participer au débataux
les institutions quidelalaconcerne.
évolutions
politique société et deNotre Cité est
reconnaître la nation
la diversité
culturelle. Bien que les initiatives concrètes n'aient pas abouti sous son leadership, la question
française. Cette nation est une expression humaine, un ensemble socio-culturel
demeure au cœur des préoccupations liées à la démocratie et à la représentativité.
organique consubstantiel à la France.
Accorder le droit de vote aux étrangers reviendrait à défaire la nation française
Depuis 30 ans, le débat sur le droit de vote des étrangers aux élections locales revient
La France est le payssur
périodiquement dans lequelde
le devant vitlalescène
peuple français,
: c’était qu’il a bâtidu
une proposition à candidat
son image sur le
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1981 et un engagement et candidat
culturelle à travers
François des régimes
Hollande successifs. La
en 2012.
République française
Entre ces est lelecadre
deux dates, institutionnel
traité de dans alequel
Maastricht (1992) lesleFrançais
accordé droit de s’expriment
vote et
démocratiquement, se prononcent
d’éligibilité aux élections sur les
municipales grands
pour et les petitsdeenjeux
les ressortissants l’Unionqui les concernent,
européenne (UE),
qui engagent l’avenir de leurs familles, de leurs villes, de leurs départements, de leurs
créant une nouvelle citoyenneté, la citoyenneté européenne.
régions et de leur pays. Il est à la fois naturel et évident que c’est aux Français, à eux
Accorder le droit de vote aux étrangers
seuls, de décider pour eux-mêmes.
reviendrait à défaire la nation française
Accorder le droit de vote aux étrangers reviendrait à défaire la nation française, à diluer
l’appartenance à cette nation et l’importance de la citoyenneté. Ce n’est qu’entre
ressortissants d’un même État, entre pairs, en membres égaux d’une communauté
nationale « indivisible » que peut s’exprimer le débat démocratique. C’est l’essence
même de la citoyenneté.
"Les traités européens qui s'appliquent en France ont prévu que les citoyens de l'Union
européenne résidant en France peuvent participer aux élections municipales et aux
élections européennes, nous avons une communauté de destin", a justifié le chef de
l'Etat. "Mais je suis très attaché à ce que notre Constitution n'aille pas au-delà, parce que je
crois depuis longtemps que le droit de voter et le droit d'être élu dans nos territoires doit
demeurer un droit attaché à la nationalité française", a-t-il ajouté.

"Si une personnalité de nationalité étrangère qui réside dans notre


pays, qui respecte nos lois et nos valeurs, veut participer aux choix
politiques de notre nation, alors mesdames et messieurs les maires,
une voie lui est ouverte, cette voie c'est l'accès à la nationalité
française",
Le droit de vote des étrangers constitue un débat complexe et profondément ancré dans le paysage
politique, suscitant des réflexions sur la démocratie, la citoyenneté et l'inclusion. Deux figures
emblématiques de la politique française, François Mitterrand et François Hollande, ont été associées
à des moments clés de cette discussion évolutive.

François Mitterrand, ancien président de la République française, a marqué l'histoire politique du


pays par ses réformes et ses idées progressistes. Il a souvent plaidé en faveur de l'élargissement des
droits civiques, y compris le droit de vote des étrangers résidant en France. Sa vision était ancrée
dans la volonté de renforcer l'égalité et la participation démocratique, soulignant l'importance de
l'inclusion sociale au sein de la société française.

Plus tard, François Hollande, également ancien président de la République, a continué à aborder la
question du droit de vote des étrangers. Son mandat a été marqué par des discussions sur la
nécessité d'adapter les institutions aux évolutions de la société et de reconnaître la diversité
culturelle. Bien que les initiatives concrètes n'aient pas abouti sous son leadership, la question
demeure au cœur des préoccupations liées à la démocratie et à la représentativité.

Depuis 30 ans, le débat sur le droit de vote des étrangers aux élections locales revient
périodiquement sur le devant de la scène : c’était une proposition du candidat François
Mitterrand en 1981 et un engagement du candidat François Hollande en 2012.
Entre ces deux dates, le traité de Maastricht (1992) a accordé le droit de vote et

d’éligibilité aux élections municipales pour les ressortissants de l’Union européenne (UE),

créant une nouvelle citoyenneté, la citoyenneté européenne.


"Les traités européens qui s'appliquent en France ont prévu que les citoyens de l'Union
européenne résidant en France peuvent participer aux élections municipales et aux
élections européennes, nous avons une communauté de destin", a justifié le chef de
l'Etat. "Mais je suis très attaché à ce que notre Constitution n'aille pas au-delà, parce que je
crois depuis longtemps que le droit de voter et le droit d'être élu dans nos territoires doit
demeurer un droit attaché à la nationalité française", a-t-il ajouté.

"Si une personnalité de nationalité étrangère qui réside dans notre


pays, qui respecte nos lois et nos valeurs, veut participer aux choix
politiques de notre nation, alors mesdames et messieurs les maires,
une voie lui est ouverte, cette voie c'est l'accès à la nationalité
française",
Le droit de vote des étrangers constitue un débat complexe et profondément ancré dans le paysage
politique, suscitant des réflexions sur la démocratie, la citoyenneté et l'inclusion. Deux figures
emblématiques de la politique française, François Mitterrand et François Hollande, ont été associées
à des moments clés de cette discussion évolutive.

François Mitterrand, ancien président de la République française, a marqué l'histoire politique du


pays par ses réformes et ses idées progressistes. Il a souvent plaidé en faveur de l'élargissement des
droits civiques, y compris le droit de vote des étrangers résidant en France. Sa vision était ancrée
dans la volonté de renforcer l'égalité et la participation démocratique, soulignant l'importance de
l'inclusion sociale au sein de la société française.

Plus tard, François Hollande, également ancien président de la République, a continué à aborder la
question du droit de vote des étrangers. Son mandat a été marqué par des discussions sur la
nécessité d'adapter les institutions aux évolutions de la société et de reconnaître la diversité
culturelle. Bien que les initiatives concrètes n'aient pas abouti sous son leadership, la question
demeure au cœur des préoccupations liées à la démocratie et à la représentativité.

Depuis 30 ans, le débat sur le droit de vote des étrangers aux élections locales revient
périodiquement sur le devant de la scène : c’était une proposition du candidat François
Mitterrand en 1981 et un engagement du candidat François Hollande en 2012.
Entre ces deux dates, le traité de Maastricht (1992) a accordé le droit de vote et

d’éligibilité aux élections municipales pour les ressortissants de l’Union européenne (UE),

créant une nouvelle citoyenneté, la citoyenneté européenne.


"Les traités européens qui s'appliquent en France ont prévu que les citoyens de l'Union
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élections européennes, nous avons une communauté de destin", a justifié le chef de
l'Etat. "Mais je suis très attaché à ce que notre Constitution n'aille pas au-delà, parce que je
crois depuis longtemps que le droit de voter et le droit d'être élu dans nos territoires doit
demeurer un droit attaché à la nationalité française", a-t-il ajouté.

"Si une personnalité de nationalité étrangère qui réside dans notre


pays, qui respecte nos lois et nos valeurs, veut participer aux choix
politiques de notre nation, alors mesdames et messieurs les maires,
une voie lui est ouverte, cette voie c'est l'accès à la nationalité
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Le droit de vote des étrangers constitue un débat complexe et profondément ancré dans le paysage
politique, suscitant des réflexions sur la démocratie, la citoyenneté et l'inclusion. Deux figures
emblématiques de la politique française, François Mitterrand et François Hollande, ont été associées
à des moments clés de cette discussion évolutive.

François Mitterrand, ancien président de la République française, a marqué l'histoire politique du


pays par ses réformes et ses idées progressistes. Il a souvent plaidé en faveur de l'élargissement des
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dans la volonté de renforcer l'égalité et la participation démocratique, soulignant l'importance de
l'inclusion sociale au sein de la société française.

Plus tard, François Hollande, également ancien président de la République, a continué à aborder la
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demeure au cœur des préoccupations liées à la démocratie et à la représentativité.

Depuis 30 ans, le débat sur le droit de vote des étrangers aux élections locales revient
périodiquement sur le devant de la scène : c’était une proposition du candidat François
Mitterrand en 1981 et un engagement du candidat François Hollande en 2012.
Entre ces deux dates, le traité de Maastricht (1992) a accordé le droit de vote et

d’éligibilité aux élections municipales pour les ressortissants de l’Union européenne (UE),

créant une nouvelle citoyenneté, la citoyenneté européenne.


"Les traités européens qui s'appliquent en France ont prévu que les citoyens de l'Union
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"Si une personnalité de nationalité étrangère qui réside dans notre


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politiques de notre nation, alors mesdames et messieurs les maires,
une voie lui est ouverte, cette voie c'est l'accès à la nationalité
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Le droit de vote des étrangers constitue un débat complexe et profondément ancré dans le paysage
politique, suscitant des réflexions sur la démocratie, la citoyenneté et l'inclusion. Deux figures
emblématiques de la politique française, François Mitterrand et François Hollande, ont été associées
à des moments clés de cette discussion évolutive.

François Mitterrand, ancien président de la République française, a marqué l'histoire politique du


pays par ses réformes et ses idées progressistes. Il a souvent plaidé en faveur de l'élargissement des
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dans la volonté de renforcer l'égalité et la participation démocratique, soulignant l'importance de
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Plus tard, François Hollande, également ancien président de la République, a continué à aborder la
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nécessité d'adapter les institutions aux évolutions de la société et de reconnaître la diversité
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demeure au cœur des préoccupations liées à la démocratie et à la représentativité.

Depuis 30 ans, le débat sur le droit de vote des étrangers aux élections locales revient
périodiquement sur le devant de la scène : c’était une proposition du candidat François
Mitterrand en 1981 et un engagement du candidat François Hollande en 2012.
Entre ces deux dates, le traité de Maastricht (1992) a accordé le droit de vote et

d’éligibilité aux élections municipales pour les ressortissants de l’Union européenne (UE),

créant une nouvelle citoyenneté, la citoyenneté européenne.


"Les traités européens qui s'appliquent en France ont prévu que les citoyens de l'Union
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l'Etat. "Mais je suis très attaché à ce que notre Constitution n'aille pas au-delà, parce que je
crois depuis longtemps que le droit de voter et le droit d'être élu dans nos territoires doit
demeurer un droit attaché à la nationalité française", a-t-il ajouté.

"Si une personnalité de nationalité étrangère qui réside dans notre


pays, qui respecte nos lois et nos valeurs, veut participer aux choix
politiques de notre nation, alors mesdames et messieurs les maires,
une voie lui est ouverte, cette voie c'est l'accès à la nationalité
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Le droit de vote des étrangers constitue un débat complexe et profondément ancré dans le paysage
politique, suscitant des réflexions sur la démocratie, la citoyenneté et l'inclusion. Deux figures
emblématiques de la politique française, François Mitterrand et François Hollande, ont été associées
à des moments clés de cette discussion évolutive.

François Mitterrand, ancien président de la République française, a marqué l'histoire politique du


pays par ses réformes et ses idées progressistes. Il a souvent plaidé en faveur de l'élargissement des
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dans la volonté de renforcer l'égalité et la participation démocratique, soulignant l'importance de
l'inclusion sociale au sein de la société française.

Plus tard, François Hollande, également ancien président de la République, a continué à aborder la
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nécessité d'adapter les institutions aux évolutions de la société et de reconnaître la diversité
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demeure au cœur des préoccupations liées à la démocratie et à la représentativité.

Depuis 30 ans, le débat sur le droit de vote des étrangers aux élections locales revient
périodiquement sur le devant de la scène : c’était une proposition du candidat François
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Entre ces deux dates, le traité de Maastricht (1992) a accordé le droit de vote et

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créant une nouvelle citoyenneté, la citoyenneté européenne.


"Les traités européens qui s'appliquent en France ont prévu que les citoyens de l'Union
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l'Etat. "Mais je suis très attaché à ce que notre Constitution n'aille pas au-delà, parce que je
crois depuis longtemps que le droit de voter et le droit d'être élu dans nos territoires doit
demeurer un droit attaché à la nationalité française", a-t-il ajouté.

"Si une personnalité de nationalité étrangère qui réside dans notre


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politiques de notre nation, alors mesdames et messieurs les maires,
une voie lui est ouverte, cette voie c'est l'accès à la nationalité
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Le droit de vote des étrangers constitue un débat complexe et profondément ancré dans le paysage
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emblématiques de la politique française, François Mitterrand et François Hollande, ont été associées
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François Mitterrand, ancien président de la République française, a marqué l'histoire politique du


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l'inclusion sociale au sein de la société française.

Plus tard, François Hollande, également ancien président de la République, a continué à aborder la
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nécessité d'adapter les institutions aux évolutions de la société et de reconnaître la diversité
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demeure au cœur des préoccupations liées à la démocratie et à la représentativité.

Depuis 30 ans, le débat sur le droit de vote des étrangers aux élections locales revient
périodiquement sur le devant de la scène : c’était une proposition du candidat François
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Entre ces deux dates, le traité de Maastricht (1992) a accordé le droit de vote et

d’éligibilité aux élections municipales pour les ressortissants de l’Union européenne (UE),

créant une nouvelle citoyenneté, la citoyenneté européenne.


"Les traités européens qui s'appliquent en France ont prévu que les citoyens de l'Union
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l'Etat. "Mais je suis très attaché à ce que notre Constitution n'aille pas au-delà, parce que je
crois depuis longtemps que le droit de voter et le droit d'être élu dans nos territoires doit
demeurer un droit attaché à la nationalité française", a-t-il ajouté.

"Si une personnalité de nationalité étrangère qui réside dans notre


pays, qui respecte nos lois et nos valeurs, veut participer aux choix
politiques de notre nation, alors mesdames et messieurs les maires,
une voie lui est ouverte, cette voie c'est l'accès à la nationalité
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Le droit de vote des étrangers constitue un débat complexe et profondément ancré dans le paysage
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emblématiques de la politique française, François Mitterrand et François Hollande, ont été associées
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François Mitterrand, ancien président de la République française, a marqué l'histoire politique du


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l'inclusion sociale au sein de la société française.

Plus tard, François Hollande, également ancien président de la République, a continué à aborder la
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Depuis 30 ans, le débat sur le droit de vote des étrangers aux élections locales revient
périodiquement sur le devant de la scène : c’était une proposition du candidat François
Mitterrand en 1981 et un engagement du candidat François Hollande en 2012.
Entre ces deux dates, le traité de Maastricht (1992) a accordé le droit de vote et

d’éligibilité aux élections municipales pour les ressortissants de l’Union européenne (UE),

créant une nouvelle citoyenneté, la citoyenneté européenne.


"Les traités européens qui s'appliquent en France ont prévu que les citoyens de l'Union
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élections européennes, nous avons une communauté de destin", a justifié le chef de
l'Etat. "Mais je suis très attaché à ce que notre Constitution n'aille pas au-delà, parce que je
crois depuis longtemps que le droit de voter et le droit d'être élu dans nos territoires doit
demeurer un droit attaché à la nationalité française", a-t-il ajouté.

"Si une personnalité de nationalité étrangère qui réside dans notre


pays, qui respecte nos lois et nos valeurs, veut participer aux choix
politiques de notre nation, alors mesdames et messieurs les maires,
une voie lui est ouverte, cette voie c'est l'accès à la nationalité
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Le droit de vote des étrangers constitue un débat complexe et profondément ancré dans le paysage
politique, suscitant des réflexions sur la démocratie, la citoyenneté et l'inclusion. Deux figures
emblématiques de la politique française, François Mitterrand et François Hollande, ont été associées
à des moments clés de cette discussion évolutive.

François Mitterrand, ancien président de la République française, a marqué l'histoire politique du


pays par ses réformes et ses idées progressistes. Il a souvent plaidé en faveur de l'élargissement des
droits civiques, y compris le droit de vote des étrangers résidant en France. Sa vision était ancrée
dans la volonté de renforcer l'égalité et la participation démocratique, soulignant l'importance de
l'inclusion sociale au sein de la société française.

Plus tard, François Hollande, également ancien président de la République, a continué à aborder la
question du droit de vote des étrangers. Son mandat a été marqué par des discussions sur la
nécessité d'adapter les institutions aux évolutions de la société et de reconnaître la diversité
culturelle. Bien que les initiatives concrètes n'aient pas abouti sous son leadership, la question
demeure au cœur des préoccupations liées à la démocratie et à la représentativité.

Depuis 30 ans, le débat sur le droit de vote des étrangers aux élections locales revient
périodiquement sur le devant de la scène : c’était une proposition du candidat François
Mitterrand en 1981 et un engagement du candidat François Hollande en 2012.
Entre ces deux dates, le traité de Maastricht (1992) a accordé le droit de vote et

d’éligibilité aux élections municipales pour les ressortissants de l’Union européenne (UE),

créant une nouvelle citoyenneté, la citoyenneté européenne.


"Les traités européens qui s'appliquent en France ont prévu que les citoyens de l'Union
européenne résidant en France peuvent participer aux élections municipales et aux
élections européennes, nous avons une communauté de destin", a justifié le chef de
l'Etat. "Mais je suis très attaché à ce que notre Constitution n'aille pas au-delà, parce que je
crois depuis longtemps que le droit de voter et le droit d'être élu dans nos territoires doit
demeurer un droit attaché à la nationalité française", a-t-il ajouté.

"Si une personnalité de nationalité étrangère qui réside dans notre


pays, qui respecte nos lois et nos valeurs, veut participer aux choix
politiques de notre nation, alors mesdames et messieurs les maires,
une voie lui est ouverte, cette voie c'est l'accès à la nationalité
française",
Le droit de vote des étrangers constitue un débat complexe et profondément ancré dans le paysage
politique, suscitant des réflexions sur la démocratie, la citoyenneté et l'inclusion. Deux figures
emblématiques de la politique française, François Mitterrand et François Hollande, ont été associées
à des moments clés de cette discussion évolutive.

François Mitterrand, ancien président de la République française, a marqué l'histoire politique du


pays par ses réformes et ses idées progressistes. Il a souvent plaidé en faveur de l'élargissement des
droits civiques, y compris le droit de vote des étrangers résidant en France. Sa vision était ancrée
dans la volonté de renforcer l'égalité et la participation démocratique, soulignant l'importance de
l'inclusion sociale au sein de la société française.

Plus tard, François Hollande, également ancien président de la République, a continué à aborder la
question du droit de vote des étrangers. Son mandat a été marqué par des discussions sur la
nécessité d'adapter les institutions aux évolutions de la société et de reconnaître la diversité
culturelle. Bien que les initiatives concrètes n'aient pas abouti sous son leadership, la question
demeure au cœur des préoccupations liées à la démocratie et à la représentativité.

Depuis 30 ans, le débat sur le droit de vote des étrangers aux élections locales revient
périodiquement sur le devant de la scène : c’était une proposition du candidat François
Mitterrand en 1981 et un engagement du candidat François Hollande en 2012.
Entre ces deux dates, le traité de Maastricht (1992) a accordé le droit de vote et

d’éligibilité aux élections municipales pour les ressortissants de l’Union européenne (UE),

créant une nouvelle citoyenneté, la citoyenneté européenne.

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